ViSTAS - fevrier 2012.pdf - Securitas

ViSTAS
Bulletin des employés de STAS Canada
Volume 2, Numero 2
Fevrier, 2012
Dans ce numéro
Message du président
Vigilance à l’aéroport
Point de mire sur la qualité
«Le Rover»`- 2e Partie
Le logo de STAS n’est pas seulement
une façon de reconnaître la marque de
commerce de STAS partout dans le
monde, mais aussi une illustration des
valeurs de STAS qui se résument
dans les trois mots phares suivants :
Intégrité, Vigilance et Esprit de service,
tels que représentés par les trois
points rouges de notre logo.
Intégrité : STAS ne fait jamais de
compromis dans ses exigences
d’intégrité. L’intégrité implique
également la responsabilité
d’exprimer ouvertement son opinion,
de signaler toute irrégularité et de ne
pas dissimuler d’information.
Vigilance : Le professionnalisme
implique de voir, entendre et évaluer
et un employé de STAS est toujours
attentif. Les professionnels de la
sécurité développent une intuition qui
nous aide à noter des choses que les
autres ne constatent pas.
Esprit de service : Un employé de
STAS fournit de l’assistance à chaque
fois que nécessaire.
Message du
président
Our Values in Action
Que sont les valeurs?
Les valeurs sont des
croyances et des idées.
Elles expriment combien
d'importance nous accordons à certains objets,
idées ou croyances. Les valeurs servent à
façonner nos attitudes et nos comportements
envers le monde extérieur et vis à vis nousmêmes.
Nos valeurs sont habituellement infulencées
par ceux et celles qui nous entourent. Quand
nous sommes enfant, les choses sur lesquelles
notre famille se développe et auxquelles elle
croit sont très importantes. La façon dont nous
sommes élevés et éduqués, nous permet
d'adopter certaines valeurs fondamentales de
la société et plus tard dans la vie s'ajouterons
des influences de nos collègues et
gestionnaires.
Les valeurs façonnent la culture d'entreprise et
jouent une partie intégrante dans la fondation
d'une organisation - que ce soit la culture
d'entreprise, l' identité de la marque, les
normes de service, l es codes de conduite, ou l
e code d'éthique. Elles sont les croyances
fondamentales qui animent le comportement
organisationnel et la prise de décision. Elles
déterminent également la façon dont nous
sommes perçus comme entreprise et
comment nous choisissons d'être perçu par
nos clients et tierces parties.
Les trois valeurs fondamentales de
Securitas sont représentées par les 3 points
rouge de son logo; Intégrité, Vigilance, Esprit
de Service.
Aujourd'hui, je voudrais parler d'esprit de service.
"Un employé de Securitas offrira de l'aide, même
si la tâche demandée ne relève pas directement
de ses fonctions. Dans son effort continu de
rendre son environnement plus sécuritaire, un
employé de Sécuritas offrira toujours son aide
lorsqu'un incident nécessite une intervention "
Récemment à Sept-Îles, la sœur de l’un de nos
agents de contrôle de sécurité a accueilli chez
elle la famille de sa sœur, y compris trois enfants,
dont le foyer venait d’être détruit par un incendie.
Notre DSS local a pris sur lui d’en informer son
bureau régional, qui a communiqué avec nous au
siège social. En moins de 48 heures, un soutien
sous la forme d’une modeste contribution a été
remis à l’agent de contrôle pour l’aider à soutenir
sa famille. Je sais aussi qu’au cours de la
deuxième semaine de février, nos employés des
Îles-de-la-Madeleine ont dû faire face à une
importante panne d’électricité, qui a duré
plusieurs jours. À nouveau, j’ai vu beaucoup de
courriels s’échanger entre les gens qui voulaient
s’assurer que leurs collègues étaient en sécurité –
les gens se sont tenu les coudes même à
distance.
Ce ne sont que deux exemples d’esprit de service
et d’intégrité provenant de la région de Québec.
Vous verrez aussi dans ce numéro quelques
exemples de vigilance à l’aéroport d’Halifax. Mais
je suis sûr que nous avons des employés partout
dans notre région qui adhèrent à nos valeurs
fondamentales et qui se comportent tous les
jours en héros du quotidien.
Soyez prudent et prenez soins les uns des autres.
Patrice
1

Vigilance à l’aéroport
Par Lisa Macintosh – Spécialiste en acquisition de talents (Région des Maritimes)
Le 15 février 2012, le directeur des services de sécurité (DSS) à YHZ, Bryan Lunn, a reçu le prix iWatch de
l’Administration aéroportuaire d’Halifax pour son signalement d’une situation suspecte aux autorités de la sécurité
aéroportuaire. La DSS Kim Birrel et le spécialiste en technologies de l’information Darren Lapierre ont aussi reçu des
prix pour avoir signalé des sacs de voyage laissés sans surveillance. L’équipe de YHZ a clairement démontré qu’elle
reconnaît les valeurs de STAS.
Bryan Lunn est ici photographié en train de recevoir son prix. Bryan travaille à l’Aéroport
international Robert-L.-Stanfield d’Halifax depuis cinq ans dans le domaine de la sécurité du
transport aérien. Grâce à ses connaissances et à son expérience, Bryan ne met pas de temps à
identifier une activité suspecte. En retour, grâce à ses connaissances, Bryan utilise ses
compétences pour agir comme accompagnateur et mentor auprès des membres du personnel de
contrôle de sécurité à YHZ dans leurs activités quotidiennes.
STAS Canada encourage tous ses employés dans toute la région à adopter la même approche à la vigilance à titre de
membres de la communauté de sécurité de l’aéroport, et à nous communiquer tous les cas où vous avez signalé des
menaces potentielles aux autorités, afin que vous soyez à votre tour honorés. Veuillez toutefois vous rappeler de ne
JAMAIS vous charger vous-mêmes de faire appliquer la loi. Laissez intervenir la police et le personnel de sécurité de
l’aéroport, qui sont formés à cette fin, si vous constatez une activité suspecte dans l’aéroport.
Qu’est-ce que iWatch? Le programme iWatch est conçu pour accroître la sensibilisation à la sécurité au sein de la
communauté de l’Aéroport international Stanfield d’Halifax. Les employés de l’aéroport reçoivent de la formation au
moyen de séances d’information et de documentation sur les « indicateurs « de comportement terroriste ou criminel et sur
la nécessité de signaler immédiatement de telles observations à la Sécurité de l’aéroport. Pour encourager les
signalements, le programme iWatch comporte un élément « Hommage » et « Récompense » qui est conçu non seulement
pour encourager les signalements, mais aussi pour aider le programme à se développer.
2

Point de mire sur la qualité
L’amélioration continue
Dans la présente édition de ViSTAS,
j’aimerais profiter de l’occasion pour
informer tout le monde des rôles des
spécialistes en performance et qualité
(SPQ). Présentement, nous comptons
trois spécialistes en performance et
qualité dans notre région. My Kien
Trinh et Nezar Salameh sont situés
à YUL et Isaias Da Silva, à YHZ.
Les SPQ ont pour rôle de recueillir
des données dans les points de
contrôle, de surveiller les tendances
et des fournir de l’accompagnement
et du mentorat. Tout ce qu’ils
recueillent à propos des critères de
conformité est conforme aux critères
de conformité de l’ACSTA. Une fois
les données recueillies, celles-ci sont
saisies dans notre base de données
et, par la suite, font l’objet d’une
communication avec l’ACSTA lors de
nos rencontres hebdomadaires. En
outre, l’ACSTA nous fait part aussi à
chaque semaine des résultats de
conformité qui sont mesurés par ses
agents de surveillance à YUL et à YHZ
et, ensemble, nous analysons les
tendances et les occasions d’apporter
des améliorations sur une base
continue. L’ACSTA est passablement
impressionnée par les mécanismes de
reddition de comptes que nous avons
mis sur pied et elle est aussi très
impressionnée par la somme des
progrès que nous avons réalisés et
que nous continuons d’apporter grâce
aux initiatives de qualité que nous
avons implantées jusqu’à maintenant
dans les aéroports de classe 1,
nommément YUL et YHZ.
Dans le but d’atteindre nos objectifs
de performance et de nous assurer
que nous mettons toujours l’accent
sur l’amélioration continue, durant
les mois de janvier et de février, les
spécialistes en performance et
qualité à YUL et à YHZ ont animé
des sessions d’accompagnement
avec tout le personnel de contrôle
de sécurité sur les procédures
appropriées de DTE par
Q : Qu’est-ce qu’une « offre active » et pourquoi sommes-nous obligés de la faire?
prélèvement sur ordinateurs
portables. J’ai été très impressionné
par les efforts des personnes
impliquées et heureux de
l’amélioration de l’efficacité et de la
constance qui en ont résulté. Les
sessions d’accompagnement
similaires vont se poursuivre et
couvrir les différents aspects du
processus de contrôle de sécurité.
Par exemple, la prochaine initiative
à être élaborée et mise en œuvre
sera en relation avec les procédures
de DMOM et FMP.
Je tiens à remercier tous les
membres de notre personnel pour
leur soutien et j’espère que nous
allons continuer à faire progresser
notre programme de qualité.
Rosemarie Del Vasto
Vice-présidente Qualité,
conformité et performance
STAS Canada, en tant que fournisseur de services agissant au nom d’une société d’État, a l’obligation de se conformer
aux exigences définies dans la Lois sur les langues officielles (LLO). L’objectif de la LLO est de s’assurer que le
Gouvernement du Canada soit en mesure d’offrir les services aux Canadiens de langue anglaise et de langue française
dans la langue de leur choix.
Un élément de cette exigence, non seulement prévue par la loi mais également formulée dans le but de répondre à nos
objectifs internes de service à la clientèle, fait en sorte que le personnel de contrôle de sécurité de STAS Canada a
l’obligation d’« offrir activement » les services dans les deux langues; il s’agit d’un moyen d’informer le public que les
services sont disponibles dans les deux langues officielles. Une façon de proposer activement le service consiste à
saluer les passagers en disant « Hello-bonjour » ou « Bonjour-Hi ».
Bien que simple en apparence, la performance de STAS Canada dans ce domaine a été étonnamment sporadique et
nous nous creusons les méninges afin de trouver des moyens d’améliorer la situation. Si vous avez des idées ou une
explication sur les raisons pour lesquelles, à votre avis, il en est ainsi, ou encore si vous pouvez suggérer des moyens
créatifs pour améliorer notre « offre active », faites-nous les savoir à vous-faites-la-difference@securitas.ca.
3

LE « ROVER » - 2e partie
Par Jon Olson, chef de point de service, YHZ
Filant en flèche vers Mars à une vitesse d’environ 149 000 km/h, le vaisseau spatial se
composait de deux sections. La première était l’étage de croisière, de forme circulaire, qui
contenait les panneaux solaires, les propulseurs de correction et l’antenne à moyen et à
faible gain, destinée à maintenir l’engin spatial en contact avec le Centre de contrôle de
mission. La seconde section était la capsule spatiale. Elle était de forme conique et
constituait essentiellement le module d’entrée sur Mars, qui transporterait l’unité du Rover à
la surface de Mars. Il s’agissait d’un véhicule spatial délicat, mais néanmoins fiable.
Le vaisseau spatial avait maintenant atteint le rythme de croisière de sa mission. Même si
cette phase ne comportait pas les mêmes effets spectaculaires que le lancement, il ne s’en
agissait pas moins d’une phase importante de la mission. C’est durant cette période que les
scientifiques et les techniciens du Centre de contrôle de mission effectuaient les
procédures de « télémaintenance ». Les panneaux solaires devaient être maintenus orientés
vers le soleil de façon à conserver l’alimentation électrique du vaisseau spatial. L’antenne à
moyen et à faible gain devait être ajustée de manière à rester en contact avec le Centre de
contrôle de mission. Des mises à feu de correction étaient effectuées à mi-parcours pour
que l’unité maintienne la vitesse et la trajectoire appropriées.
À 45 jours de Mars, les préparatifs ont débuté en vue de l’entrée du vaisseau spatial dans
l’orbite martienne.
L’unité était maintenant parvenue à 3 500 km de Mars et les ingénieurs du Centre de
contrôle étaient maintenant en plein activité. Ces prochains 45 jours revêtaient une
importance critique. Une erreur maintenant et il n’y aurait plus aucune chance même de
tenter une mise en orbite martienne qui aboutirait toute seule à un atterrissage. Trois mises
à feu de séparation à mi-course devaient être déclenchées de manière à ce que le vaisseau
spatial entre en orbite de Mars selon une trajectoire précise. Les programmes d’Entrée, de
Descente et d’Atterrissage ont été téléchargés vers l’amont et testés. Ceux-ci étaient d’une
importance vitale, étant donné que le Centre de contrôle de la mission devrait se fier à eux
quand le vaisseau spatial entrerait dans l’atmosphère. Une fois dans l’atmosphère, il n’y
aurait aucune communication jusqu’à ce qu’une transmission soit envoyée de la surface
après un atterrissage réussi.
À 225 millions de km de distance, les techniciens du Centre de contrôle étaient rivés
anxieusement devant les consoles de leurs ordinateurs au moment où la capsule spatiale
s’est détachée de l’étage de croisière et que les préparatifs finaux en vue de l’entrée dans
l’atmosphère martienne ont été effectués. L’étage de croisière devait demeurer en orbite
pour aider le Centre de contrôle à surveiller l’entrée et à maintenir les communications. Le
rythme cardiaque de chacun et la tension étaient à leur maximum au moment où la mission
entrait dans sa phase la plus stressante.
L’interruption totale des communications venait de commencer.
La capsule spatiale était entrée dans l’atmosphère de Mars.
(À suivre)
Jon Olson aime écrire
de la fiction dans ses
temps libres et il a
pensé que, pour faire
changement, le
personnel de contrôle
de sécurité
apprécierait lire une
fiction. Dont il est
l’auteur et qui sera
publiée en une série
d’épisodes dans
ViSTAS au cours des
prochains numéros.
Le récit raconte
l’histoire d’un rover
exploratoire qui atterrit
sur Mars à la
recherche de signes
de vie.
Vous aimeriez écrire?
Si vous avez des
suggestions pour les
prochains bulletins ou vous
aimeriez écrire pour nous,
faites parvenir vos idées de
récits à vous-faites-la-
difference@securitas.ca
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