Consort Baroque Peggy Bélanger & Michel Angers - Claire Martin ...

L a u r e n t i a
C o n s o rt B a ro q u e
P e g g y B é l a n g e r & M i c h e l A n g e r s

L a u r e n t i a
C o n s o rt B a ro q u e
P e g g y B é l a n g e r & M i c h e l A n g e r s

Photo (c) Pierre LaRue

Aperçu…
«The performances by Canadian soprano Peggy Bélanger and her colleague Michel
Angers are excellent. »
-Bertil van Boer, Fanfare Magazine (États-Unis), juin 2011
« [Amanti, io vi sò dire] est un album de très grande qualité réalisé par
deux artistes de très grand talent… C’est magnifique!»
-Madeleine Ross, Bonjour la Côte, Radio Canada, mai 2011
«Un petit moment de ravissement!»
«Música divina, voz celestial »
«Il Seicento di Ferrari e i virtuosi del Québec»
«Peggy Bélanger […] est une interprète exceptionnelle.»
«Une soirée divine à l’opéra !»
«Peggy Bélanger est un oiseau rare de la relève.»
«Michel hypnotise les gens avec sa mystérieuse
-Louise Savard, L’encre des jours, Radio Canada, mai 2011
-Eduardo Torrico, Revista Diverdi (Espagne), février 2011
-Luigi DiFronzo, Tutto Milano (Italie), octobre 2010
-Luc Rouleau, Le fureteur québécois, novembre 2010
-Raphaël Hovington, Plein Jour de Baie-Comeau, septembre 2007
-Hélène Boucher, InfOpéra, avril 2007
guitare aux échos des profondeurs de l’âme»
-Raphaël Hovington, Plein Jour de Baie-Comeau, mars 2000
«Michel Angers aime la guitare et en tire le meilleur
profit pour exalter les émotions»
-Raphaël Hovington, Plein Jour de Baie-Comeau, avril 1998
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Table des matières
Aperçu ............................................................................................................................ 4
Biographies..................................................................................................................... 6
Biographie de Michel Angers ........................................................................................................ 6
Biographie de Peggy Bélanger Michel Angers ......................................................................... 7
Dossier de presse............................................................................................................ 8
Michel Angers couronné à Québec............................................................................................... 8
Michel Angers gagne le Prix à la création artistique ............................................................... 9
Critique de Bertil van Boer (États-Unis) .................................................................................... 10
Diverdi craque pour Michel et Peggy ...................................................................................... 11
Critique d’Eduardo Torrico (Espagne)....................................................................................... 12
Critique Disque Office (Suisse) ................................................................................................... 13
Amanti, io vi sò dire, vive l’Italie! ............................................................................................... 14
Il Seicento di Ferrari e i virtuosi del Québec (Italie) .............................................................. 15
Il Barocco in San Marco per voce e chitarrone(Italie) ........................................................... 16
Un disque en Italie pour Michel Angers et Peggy Bélanger ................................................ 16
Michel et Peggy à Milan ............................................................................................................. 18
Peggy Bélanger en Italie ............................................................................................................ 19
Moment magique à Cap St-Ignace! .......................................................................................... 20
Une soirée divine à l’opéra! ....................................................................................................... 21
Un voyage musical autour du monde ........................................................................................ 22
Un pot-pourri de Michel Angers et Peggy Bélanger ............................................................. 22
Peggy Bélanger est un oiseau rare de la relève ................................................................... 23
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Michel Angers
Guitariste et théorbiste
Le canadien Michel Angers a complété ses études collégiales
au Cégep de Sainte-Foy sous l’œil attentif de M. Jacques
Chandonnet. Il a ensuite obtenu un baccalauréat avec mention
en interprétation de la guitare classique de l’Université Laval
sous la direction du concertiste Rémi Boucher puis, terminé une
maîtrise en interprétation de la guitare baroque sous la
direction des messieurs François Leclerc et Richard Paré.
Prix avec grande distinction à l’unanimité du Conservatoire de
Musique du Québec avec Paul-André Gagnon pour professeur,
Michel Angers a été boursier de nombreux organismes à
vocation culturelle dont le Conseil des arts et des lettres du
Québec, l’Académie de musique du Domaine Forget,
Tafelmusik Baroque Summer Institute de Toronto, Oberlin
Baroque Performance Institute et récipiendaire de la bourse
Suzanne Hamel-Michaud en 2005. En 2006 il a enregistré pour l’émission «Jeunes Artistes-
Espace musique» de Radio-Canada.
Gagnant de la finale nationale du Concours de Musique du Canada en 2005, Michel Angers
est très actif sur la scène musicale internationale se produisant notamment aux États-Unis, en
Italie, en Espagne et en Suisse. Il poursuit de nombreux projets musicaux dont le duo avec la
très talentueuse soprano Peggy.
Deux fois boursier de la Fondazione Marco Fodella, il s’est perfectionné en musique ancienne
sous la direction de Paul Beier, à l’Accademia Internazionale della Musica di Milano, à Milan.
Ces deux dernières années il a enregistré avec l’ensemble Gravitación pour l’étiquette
américaine First Step Records «Le Stagioni» ainsi qu’en duo avec Peggy Bélanger pour le
prestigieux label italien Stradivarius «Amanti, io vi sò dire».
En 2011, Michel Angers a remporté le Prix à la création artistique pour la région de
Chaudière-Appalaches remis par le Conseil des arts et des lettres du Québec.
5

Peggy Bélanger
Soprano
La canadienne Peggy Bélanger a complété ses études en
chant lyrique en décrochant le Prix à l’unanimité du
Conservatoire de musique du Québec sous la direction
de Madame Hélène Fortin. Boursière de la Fondation
Marco Fodella, elle a ensuite complété une spécialisation
en musique ancienne auprès du très réputé contre ténor
et chef d’orchestre Roberto Balconi, à Milan.
Boursière de l’Académie de Musique du Domaine Forget
(Québec, Canada), du Tafelmusik Baroque Summer
Institute (Toronto, Canada), du Oberlin Baroque
Performance Institute (Oberlin, États-Unis) et du Conservatoire de Musique de Québec,
Madame Bélanger a été lauréate de nombreux concours dont le Concours de Musique
du Canada et le Concours «Soliste avec Orchestre» du Conservatoire de musique de
Québec.
Artiste raffinée et colorée, Peggy Bélanger chante régulièrement pour divers groupes
et compagnies en Amérique et en Europe, notamment en Italie, en Suisse et en Espagne.
En 2007, elle a été décorée par l’Association des membres de la Légion d’honneur
française de Québec pour son intérêt et la qualité de son interprétation de la musique
française.
Elle a enregistré pour le label belge Passacaille et son plus récent enregistrement est
publié par la célèbre étiquette italienne Stradivarius «Amanti, io vi sò dire».
Crédit photo © Sophie Grenier
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Journal Le Plein Jour, Baie-Comeau, 7 décembre 2011
7

L’Oie Blanche, Montmagny, 7 décembre 2011
Journal Le Placoteux, La Pocatière, 7 décembre 2011
8

AMANTI, IO VI SÒ DIRE • Peggy Bélanger (sop); Michel Angers (thb)
Classical Reviews - Early Music
Written by Bertil van Boer
Wednesday, 15 June 2011
This is a nice little disc of short arias and instrumental dances by four Baroque Italian composers with
whom I have had little contact in the past. The bulk of the works are by Benedetto Ferrari (c. 1603–81)
and Alessandro Piccinini (1566–1639), the former mostly a vocal composer and the later a lutenist,
who wrote a rather substantial treatise on his instrument about 1623. To round out the disc are an aria
by Bellerfonte Castaldi (1580–1649) and a passacaglia by Girolamo Viviani, of whom almost nothing is
known, save for a single date in a manuscript that can either be read 1631 or 1691.
The style of the vocal music consists of poetic settings of arias or small cantatas done in the early 17thcentury
bel canto style, with fluid melodies, the remnant of ornamentation left from the even earlier stile
nuovo of Giulio Caccini or Jacopo Peri, and a subtle yet intimate accompaniment by the lute or theorbo.
There are the usual odd twists of harmony, such as in the opening “Amanti, io vi sò dire” or the nicely
descriptive “Amor tu mi ribello,” but this is pleasant music that reflects the mostly diatonic style of the
period. Pietro della Valle’s 1640 comment that the music came first before the poetry could easily apply
here, as the lines are so fluid, even languid, that topical verses would fit easily. It is social music that is
both entertaining and expressive, but without special effects such as counterpoint or special
madrigalistic word-painting. Ferrari, whose career ended after 1662, was acknowledged a great
theorbo player even in old age, but when he attempted to regain his title as maestro di cappella at
Modena, he was dismissed as “old and tedious,” ageism if one ever recognizes it. The nice set of
dances interspersed between the vocal music are mostly by Piccinini, whose only work, a set of
tablature dances, was printed in 1623. They are solid pieces, meant not for dancing but entertainment.
Castaldi’s work is competent but not groundbreaking; as a wealthy merchant, he apparently did not
have to work and thus was able to be seen as an amateur with some talent. His sole capriccio seems
old-fashioned but fits in well with the Piccinini.
The performances by Canadian soprano Peggy Bélanger and her colleague Michel Angers are
excellent. She has a crystal-clear voice, uses the ornamentation with nice nuances, and phrases her
work well. Angers never overshadows her in the vocal music, and in the dances allows for a nice sense
of rhythm as well. My favorite is the Piccinini gagliarda, but all of the movements are done with
confidence and a good sense of tempo. If you wish to have a disc that displays the Florentine
Camerata’s notion of the expression of words without excess passion, then you could hardly find a
better set of works. This really is a good disc to have in one’s early Baroque collection.
Bertil van Boer
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Plein Jour de Baie-Comeau, 27 avril 2011
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Eduardo torrico
Revista Diverdi (Espagne)
Février 2011
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Disques Office (Suisse), 12 novembre 2010
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A M A N T I , I O V I SÒ D I R E, vi v e l ' I t a l i e !
L'Italie fut, pendant plusieurs siècles, le fer de lance culturel de l'Occident. Elle a été le berceau de
la Renaissance, une période déterminante qui influence encore de nombreux courants artistiques.
La vielle, je me suis permis un retour en arrière, pour mieux comprendre la musique d'aujourd'hui
grâce aux talents de deux artistes de premier plan. J'ai fait un fantastique voyage dans l'univers
du chant lyrique.
Accompagné de Peggy Bélanger et de Michel Angers, j'ai pris contact avec une suite d'airs,
d'influence florentine, composés entre le 16e et le 17e siècle. Au départ, je ne savais pas trop à
quoi m'attendre. Je me suis retrouvé, dès la première mélodie, charmé par ce style. Ces
chansons d'amour, ou Cupidon a fort à faire pour éveiller les esprits et les cœurs, sont une pure
merveille. Elles n'ont pas pris une seule ride, même si le tout date de 5 siècles. On a beau se
promener dans un répertoire ancien, il reste que l'esprit de ce style est enjoué et optimiste.
Il faut savoir que la Renaissance cherchait à retrouver l'essence de la culture antique. L'ensemble
des chansons, entendues la veille, se voulait le reflet des mélodies de la Grèce antique. À
l'époque, des bardes chantaient les amours des femmes et des hommes en solitaire,
s'accompagnant d'un instrument à cordes. N'ayant pas de copies proprement dites de ces
musiques, les artistes de la Renaissance ont tenté d'aller chercher l'esprit de ces contes, à partir
de la littérature de l'époque. Cette forme de récital est nommée "recitar cantado". Cette tradition
n'est rien de moins que l'origine de l'opéra.
Peggy Bélanger, que je ne connaissais pas auparavant, est une interprète exceptionnelle. En plus
d'avoir une voix juste, elle joue littéralement ces chansons. Michel Angers, quand à lui, joue du
théorbe. Il s'agit d'une sorte de luth, au manche immensément long et doté de 14 cordes. Au
travers des 19 mélodies proposées au programme, cet instrumentiste nous a offert plusieurs
morceaux en solo.
Cette prestation a eu lieu dans l'ancienne chapelle du musée de l'Amérique Française. Ce
spectacle fait partie d'une suite de concert offert par l'ensemble Anonymus. Il s'agit d'un groupe de
musique ancienne qui visite le répertoire médiéval. Cette entité est aussi un diffuseur qui organise
des récitals. Les deux artistes, que j'ai vus hier, font partie de cet ensemble.
Pour celles et ceux qui aimeraient écouter ce genre de musique dans leur salon, il est possible de
se procurer un CD qui vient d'être produit. Il sera disponible dans quelques semaines. Il va sans
dire que je le conseille. C'est une merveilleuse manière de découvrir les origines de l'art lyrique
moderne.
Par Claude Rouleau 1 , 8 novembre 2010
1 Claude Rouleau, AMANTI, IO VI SÒ DIRE, vive l’Italie! Blog Fureteur québécois,
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Tutto Milano, le 7 octobre 2010
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Il Giorno, le 7 octobre 2007
Un disque en Italie pour Michel Angers et Peggy Bélanger!
Raphaël Hovington
Après un séjour de deux ans en Italie, Michel Angers et Peggy Bélanger sont de retour au Québec pour
compléter le montage d'un album enregistré à Eupilio, au nord de Milan, et portant sur la musique de
Benedetto Ferrari.
Les deux Québécois sont diplômés de l'Accademia Internazionale della Musica di Millano. En 2007, Michel
Angers décrochait une bourse de la Fondation Marco Fodella dans le cadre d'un concours international.
En compagnie de son amie, la soprano Peggy Bélanger, il quittait la Belle Province pour aller se spécialiser
en musique ancienne. Aujourd'hui, il possède un diplôme en théorbe tandis que Peggy a obtenu le sien en
chant baroque.
Leur formation était basée sur l'étude de traités anciens, datant parfois du XIIe siècle. «L'idée était de
comprendre comment interpréter la musique ancienne, explique le théorbiste. Nous avons appris à
déchiffrer la notation musicale de l'époque qui présente de nombreuses différences avec celle
d'aujourd'hui».
Durant son séjour à Milan, Peggy a été invitée à chanter à plusieurs reprises comme soliste avec
l'Orchestre de l'Académie de Milan. Elle a même interprété le premier rôle du Couronnement de Poppée,
celui de Poppée, de Claudio Monteverdi. Elle s'est produite avec l'Ensemble Fantasyas dans un concert
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diffusé sur les ondes de la télévision italienne. Les deux artistes ont participé à de nombreux concerts, tant
en Suisse qu'en Espagne et en Italie.
Musique du XVIIe siècle
Le premier album de Michel et Peggy devrait paraître à la fin de l'été. Il porte sur la musique du
célébrissime Benedetto Ferrari, un grand théorbiste de son époque qui a contribué à démocratiser l'opéra
en ouvrant le premier opéra destiné au grand public. Les deux artistes ont choisi pour ce premier album,
voix et théorbe, des pièces composées en 1640, extraites d'un livre dédié à l'empereur Ferdinand III
d'Autriche.
L'enregistrement a été réalisé en trois jours à Eupilio avec l'aide du célèbre directeur artistique Andrea
Dandolo. «Il a eu la gentillesse de s'occuper de nous pour la prise de son. C'est une sommité en la
matière», soutient le Baie-Comois Michel Angers. D'ailleurs, à ses yeux, «Le 17e siècle, ce n'est pas si loin
que ça. C'est proche de nous. Québec a été fondée en 1608. On dit que c'est une jeune nation», dit-il, rieur.
Avec l'Ensemble Gravitación
La carrière de Michel et de Peggy s'annonce prometteuse. À leur retour au pays, même s'ils avaient le
cœur gros de laisser leurs nouveaux amis derrière eux, ils ont profité d'une bourse du Conseil des arts et
des lettres du Québec pour participer à une formation sur l'opéra baroque à l'Accademia D'Amore à Seattle.
Boursier de la Fondation Early Music America, le jeune artiste en a aussi profité pour prendre part à un
stage de perfectionnement en musique ancienne. Il s'est joint à l'Ensemble Gravitación pour
l'enregistrement d'un disque sur la musique du XVIIe siècle pour cinq voix et théorbe. Il s'est rendu à
Champaign, en Illinois, pour accompagner le groupe et enregistrer avec eux, une pièce en solo, Ciaccona
d'Alessandro Piccinini. Le disque devrait être prêt en février.
À Noël, Michel et Peggy ont été à nouveau invités par l'Ensemble Anonymus qui a attendu leur retour pour
offrir à quatre reprises La fête des ânes, une œuvre médiévale du XIVe siècle, où, à cette époque, une
seule fois dans l'année, il était permis au peuple de se moquer du clergé en couronnant un âne dans la
cathédrale de Beauvais.
D'autres concerts attendent ces deux artistes, entre autres, les 14 février et 21 mars à l'église St-Dominique
de Québec. Une tournée est prévue en Italie après la sortie de leur album, non sans un arrêt potentiel à
Baie-Comeau, où le public a déjà eu le bonheur d'apprécier leurs talents d'interprètes.
Journal le Plein-Jour de Baie-Comeau, 13 janvier 2010
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Plein Jour de Baie-Comeau, 7 février 2009
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L’Attisée, mai 2008
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Journal L'Oie Blanche, août 2007
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Objectif Plein-Jour de Baie-Comeau, le 21 septembre 2007
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Plein Jour de Baie-Comeau, le 8 septembre 2007
Journal Haute Côte-Nord, le 8 septembre 2007
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Magazine InfOpéra, Avril 2007/vol.14 N o . 8
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