Encyclopédie : Le Garçon aux Bâtons d'Encens 1 DIONYSOS - Accueil
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<strong>Encyclopédie</strong> : <strong>Le</strong> <strong>Garçon</strong> <strong>aux</strong> <strong>Bâtons</strong> d’Encens<br />
Extraits de l’Ouvrage encyclopédique – à Thème portant sur la Mythologie hellénique ancienne<br />
<strong>DIONYSOS</strong><br />
Sous – chapitre : Mythes des Dioscures<br />
PUBLIE SUR LE SITE DE MG : www.mythesgrecs.com<br />
Article : <strong>Encyclopédie</strong> de TitiLatulipe<br />
23. 01. 2007 17 : 00<br />
Dionysos, le dieu de l’Ivresse<br />
•Naissance et filiation<br />
•Attributs<br />
•Généralité<br />
•Amour<br />
Proposition de fiche descriptive complémentaire :<br />
Définition de l’<strong>Encyclopédie</strong> :<br />
« Dieu grec du Vin et de la Vigne, appelé aussi Bacchos dès le Vème siècle avant Jésus –<br />
Christ, d’où par la suite son nom Bacchus en latin. Il est le fils de Zeus et de Sémélé. Son<br />
culte donna lieu à des fêtes, les Dionysies, berceau de la tragédie, de la comédie et du drame<br />
satyrique. <strong>Le</strong>s Dionysies sont les fêtes en l’honneur de Dionysos, dans l’Antiquité grecque.<br />
Parfois considéré comme l’incarnation de la croissance végétale de la vigne, et comme celle<br />
du vin, Dionysos est issu de l’union du roi de l’Olympe et de la mortelle Sémélé. Sur le<br />
perfide conseil de la déesse Héra, Sémélé implore Zeus de se montrer à elle sous son<br />
apparence réelle … et succombe aussitôt { la vision du dieu armé de son foudre. Délivré du<br />
ventre de sa mère, Dionysos achève sa gestation dans la cuisse de son père. Mais Héra<br />
pourchasse l’enfant, puis le frappe de folie alors qu’il erre de pays en pays. Guéri par Rhéa,<br />
la Titanide mère de Zeus (sa grande - mère paternelle), Dionysos soumet les peuples des<br />
futurs Balkans, voisins de la Grèce ancienne, et revient triomphalement en Grèce. Il offre la<br />
vigne <strong>aux</strong> hommes, multiplie les prodiges qui lui ouvrent les portes de l’Olympe, et punit les<br />
rois qui ne voient en lui qu’un étranger perturbateur de l’ordre établi (Thémis). Son<br />
cortège traditionnel et exotique généralement impressionnait ses observateurs : car<br />
Dionysos thyrse et coupe en main est accompagné de Pan et de Priape, de fauves, et de<br />
femmes possédées - qui étaient nommées les Ménades ou également appelées Bacchantes -,<br />
de satyres et de Silènes. <strong>Le</strong> culte de Dionysos, importé de Thrace ou de Phrygie, est introduit<br />
à Athènes au VIème siècle avant Jésus – Christ, puis adopté par les Romains qui donnent au<br />
dieu le nom de Bacchus. <strong>Le</strong>s festivités en son honneur – les Dionysies pour les Grecs, les<br />
Bacchanales pour les Romains – donnent lieu <strong>aux</strong> premières représentations théâtrales et à<br />
des processions où se mêlent transes extatiques, chants et danses rituelles. Dans la pensée<br />
de l’auteur Nietzsche, Dionysos personnifie la sincérité de l’instinct, le rire, la démesure et<br />
les excès, tandis qu’Apollon y incarne l’harmonie ».<br />
Référence : <strong>Encyclopédie</strong> 2012<br />
ENCYCLOPÉDIE DE TITILATULIPE : Edition 2012 © Tous droits réservés<br />
Chapitre : VII –<strong>DIONYSOS</strong> & DIOSCURES :<br />
DANS LE GARÇON AUX BÂTONS D’ENCENS - Mythes / auteur : TitiLatulipe<br />
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<strong>Encyclopédie</strong> : <strong>Le</strong> <strong>Garçon</strong> <strong>aux</strong> <strong>Bâtons</strong> d’Encens<br />
Extraits de l’Ouvrage encyclopédique – à Thème portant sur la Mythologie hellénique ancienne<br />
<strong>Le</strong> dieu Dionysos<br />
<strong>DIONYSOS</strong>, le Patron des Vignerons<br />
NAISSANCE ET FILIATION<br />
Dans la mythologie grecque, Dionysos était un fils de Zeus et celui de « Sémélé », fille de<br />
Cadmos (roi fondateur de Thèbes), Sémélé étant également la sœur d’Ino (l’épouse<br />
d’Athamas). Dans la tradition romaine, Dionysos est assimilé à Bacchus le dieu du vin. Il<br />
appartient donc à la génération des dieux olympiens dans le panthéon des divinités<br />
grecques classiques. Il semblerait qu’à l’époque des assyro – babyloniens, le dieu Adad<br />
en tant que dieu de l’Orage et de la Fertilité sous l’aspect d’un puissant Taureau : était<br />
assimilé avec le dieu Dionysos de la mythologie grecque ancienne. Tandis que dans la<br />
religion chrétienne, Dionysos était l’un des visages allégoriques du diable, à l’instar du<br />
dieu Pan (lire sous Pan). Dionysos se rendit dans les Enfers d’Hadès afin d’en ramener<br />
sa mère défunte par le foudroiement de Zeus (lire sous Zeus). Chez les nordiques,<br />
parfois, Dionysos était – il assimilé avec le dieu scandinave Loki, ennemi et jaloux du<br />
pauvre dieu Balder dont il provoqua la mort volontairement (lire sous Hermès). Par<br />
ailleurs, parfois, le dieu Dionysos des pratiques grecques, en raison de son acte pour<br />
sauver sa défunte mère Sémélé dans les Enfers d’Hadès, fut assimilé avec le dieu Apis<br />
des pratiques égyptiennes. C'est-à-dire, comme un dieu funéraire de l’Égypte ancienne,<br />
également figuré de la tête d’un taureau, et portant quelque fois le disque solaire entre<br />
ces deux cornes sacrées. Mais parfois, il incarne le dieu crocodile, ce qui en fait un dieu<br />
des crues et des décrues, notamment de celles du Nil d’après la croyance égyptienne.<br />
ATTRIBUTS<br />
Dans la mythologie grecque, ses attributs sont le fruit de raisin et le fruit de la grenade,<br />
le cep et sa vigne, la f<strong>aux</strong> divine, parfois la couronne de laurier ou la couronne de fleurs.<br />
<strong>Le</strong> thyrse est également un autre des attributs de Dionysos, tout comme l’arbre du<br />
figuier ainsi que le lierre. Ses animaliers favoris et sacrés étaient : « l'Âne », « le Coq » et<br />
« le Jaguar ». « <strong>Le</strong> Frelon » fait parfois partie de ses autres attributions (rare) ainsi que<br />
« le Tambourin » et « la Coupe » à boire. Parfois, il lui fut attribué jadis, arbitrairement,<br />
« l'Alligator », notamment en raison de la corrélation avec son influence et ses<br />
affiliations dans la mythologie égyptienne, mais ce dieu reçoit également l’attribution<br />
symbolique du « Taureau » pour animal totem et emblématique dans le cadre de<br />
certains cultes. Dionysos jadis régnait anciennement sur le territoire actuel des Balkans,<br />
dont la Perse antique faisait anciennement partie, par exemple. Et non forcément sur<br />
celui de l’Inde comme l’indique parfois faussement certaines des encyclopédies<br />
modernes actuelles. Bien qu’il soit possible que pour Dionysos également, une partie de<br />
l’Inde eut fait partie de ses territoires antiques. L’Inde étant anciennement associée à des<br />
cultes liés à celui du dieu Hermès, qui y aurait eu des sanctuaires naturels, de même qu’à<br />
une autre divinité ancienne dont le nom fut perdue par la suite ou remplacé, et que l’on<br />
nommait jadis à travers des récits de la mythologie de l’époque la plus reculée : il s’agit<br />
du dieu Apollon – Déméter. Selon des données de mythes toutefois très anciennes et<br />
rares, et tirées de plus de diverses traditions complexes de la tradition orale : Celles – ci<br />
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Chapitre : VII –<strong>DIONYSOS</strong> & DIOSCURES :<br />
DANS LE GARÇON AUX BÂTONS D’ENCENS - Mythes / auteur : TitiLatulipe<br />
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<strong>Encyclopédie</strong> : <strong>Le</strong> <strong>Garçon</strong> <strong>aux</strong> <strong>Bâtons</strong> d’Encens<br />
Extraits de l’Ouvrage encyclopédique – à Thème portant sur la Mythologie hellénique ancienne<br />
ont peut - être été modifiées en fonction de certaines traductions, donnant lieu <strong>aux</strong><br />
erreurs d’interprétation qui perdurèrent jusqu’à ce jour.<br />
GÉNÉRALITÉS<br />
Dans la mythologie grecque ancienne, Dionysos est un dieu à part. Il fut sauvé par Zeus<br />
et Gaïa, alors que sa mère Sémélé, une mortelle d’une beauté extraordinaire, perdait la<br />
vie face à la splendeur divine de son amant tout puissant : Zeus le souverain des dieux.<br />
En effet, la belle Sémélé aimée de Zeus fut cruellement piégée durant leur idylle par la<br />
femme de ce dernier, Héra la Jalouse, laquelle donna un f<strong>aux</strong> conseil amical à la jeune<br />
mortelle, que la Reine du Ciel savait être sa récente rivale. Hors de jalousie, la déesse<br />
Héra pour s’en débarrasser inspira à la pauvre Sémélé de supplier Zeus l’adultérin,<br />
après avoir fait jurer et prêter serment au Souverain des dieux par devant le Styx (lire<br />
sous Némésis) de réaliser ce souhait - type de promesses qui ont toujours pour<br />
conséquence que les serments proclamés au nom du Styx même par le plus puissant des<br />
dieux ne peuvent ensuite être annulés. « Questionne-le pour que celui –ci se dévoile à toi<br />
sous sa forme la plus merveilleuse : c’est à dire sous son apparence divine », suggéra<br />
Héra à Sémélé. Mais la vision était interdite <strong>aux</strong> mortels. Zeus terrifié par la demande<br />
eut beau la mettre en garde contre le fait de formuler un tel souhait, sachant<br />
pertinemment que seuls les dieux immortels sont autorisés à pouvoir admirer Zeus dans<br />
cette splendide apparence divine : sans en encourir de conséquence. C’est ainsi que la<br />
mère de Dionysos ne voulant rien entendre. Et Zeus ayant déjà juré de réaliser la fatale<br />
promesse avant d’avoir entendu la fameuse requête de sa jeune amante mortelle … fut<br />
bien obligé d’exécuter ce vœux mal inspiré. Ce qui tua la jeune rivale d’Héra presque sur<br />
le coup.<br />
<strong>Le</strong> dieu Dionysos<br />
Mais juste avant que Sémélé ne meurt dans les flammes qui étaient en train de l’irradier,<br />
et juste avant qu’elle n’aille rejoindre Hadès : Zeus s’aperçut qu’elle attendait un enfant.<br />
Grâce à la déesse Gaïa, il put le retirer à temps des flammes et vu que la gestation n’était<br />
pas encore arrivée à terme. Gaïa lui recommanda de l’abriter dans sa cuisse gauche de<br />
sorte qu’il puisse voir le jour. C’est ainsi que Dionysos naquit quelques temps plus tard.<br />
Quand l’enfant vint au monde, il fut nommé « le deux fois né » et élevé par plusieurs<br />
tuteurs et nourrices, dont la seconde femme du Roi Athamas : car il s’agissait de sa tante<br />
maternelle, la déesse Ino (réf. : la Toison d’or). Puis la relève notamment fut ensuite<br />
assurée par Silène, Faunus, Apollon et Pan. Il semblerait que même Héra finalement le<br />
prit en pitié et accepta de s’occuper d’une partie de son éducation. Tandis que dans<br />
d’autres versions de la mythologie grecque classique, Héra poursuivra au contraire,<br />
plutôt Dionysos de sa haine et de sa vengeance farouches. Et elle finira même par les<br />
frapper de folie : lui, ainsi que ses deux parents adoptifs. Héra profitant de l’inattention<br />
de Gaïa pour les persécuter secrètement. Et vu que le petit Dionysos, selon cette autre<br />
explication, avait jadis été confié par Hermès, ce, à la demande de Zeus le Roi des dieux,<br />
... à des mortels placés sous la bienveillante protection de Gaïa la divine souveraine<br />
originelle, C’est ainsi que Dionysos vécut plutôt sur la Terre afin d’échapper à la colère<br />
de la Reine des dieux qui sévissait dans le Ciel.<br />
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Zeus et Dionysos<br />
Extraits de l’Ouvrage encyclopédique – à Thème portant sur la Mythologie hellénique ancienne<br />
Dionysos est l’un des dieux les plus importants figurant parmi la seconde génération des<br />
dieux olympiens. <strong>Le</strong> culte des rites dionysiaques fit l’objet d’une adoration sacrée très<br />
mitigée dans toute la Grèce antique. Ce dieu rancunier était considéré dans la tradition<br />
antique comme le dieu de l’ivresse et des débordements du corps, de la fête célébrée à<br />
la fin des vendanges. Puis ce n’est que plus tardivement qu’on lui aurait attribué le don<br />
de provoquer la folie (comme Héra), mais également celui de rétablir la clarté des<br />
esprits des foules (comme le dieu Pan). On associe à Dionysos une suite et un cortège<br />
de serviteurs très chahuteurs : les Faunes et les Satyres, <strong>aux</strong>quels se joignent Pan et<br />
Faunus.<br />
<strong>Le</strong> dieu Dionysos<br />
À la suite du dieu Dionysos, sont associées deux catégories de douze jeunes servantes :<br />
les nymphes dont la pureté ou le dévergondage étaient placés sous sa protection<br />
également selon certains récits. Ce cortège de jeunes femmes se nommait les<br />
Bacchantes, divisées en deux parties distinctes : les vierges folles et les vierges sages.<br />
Plus tard, on ne retint à l’association des Bacchantes ou Ménades, que l’attitude des<br />
vierges folles (en référence <strong>aux</strong> rites dionysiaques qui mettaient en scène des transes<br />
rituelles assez complexes et méconnues et parfois également mises en analogie <strong>aux</strong><br />
célèbres dieux Kama Sutra (pour les grecs signifiant :« l’art des calmes plaisirs apaisants<br />
de l’amour ») de l'Asie mineure.... ou associés à la culture religieuse indienne et hindoue<br />
ou parfois persique – sans doute en raison des effets liés au vin absorbé dont Dionysos<br />
enseigna la nouvelle culture <strong>aux</strong> humains de la Perse, et lequel vin décuplait ou inhibait<br />
la force des hommes). <strong>Le</strong>s Bacchantes de Dionysos selon le mythe donnèrent la mort au<br />
pauvre Orphée inconsolable d’avoir perdu sa bien – aimée Eurydice (prétendue être<br />
une des filles d’Apollon). Mais ce meurtre est relaté d’après la mythologie moderne.<br />
Dionysos, assez beau, est confondu parfois avec le dieu Éros (l’Amour fils d'Aphrodite).<br />
Par ailleurs, Dionysos est considéré parfois comme un dieu malfaisant en raison du fait<br />
qu’il était connu pour châtier sévèrement ceux qui ne reconnaissaient pas son nouveau<br />
sacrement, en tant que nouvelle divinité. Il inspire parfois la mégalomanie des rois<br />
(laquelle est une forme de folie). Mais la mythologie grecque le représente<br />
habituellement comme un dieu de l’Euphorie, de la Joie et de la Beuverie propre au<br />
bruyant cortège de Dionysos. Mais également connu comme étant un dieu de<br />
l’Instabilité, de l'Insatiabilité, de l’Extérieur et de l’Inconnu, dans ce sens un dieu des<br />
Vagabonds et surtout comme un dieu du Désordre. Parfois, l'attribution sur la végétation<br />
luxuriante lui est retirée. Car celle - ci ne fait pas partie du pouvoir divin propre au dieu<br />
Dionysos, à l'origine du mythe. Bien qu'il fut tardivement considéré historiquement,<br />
comme ayant été parfois également : la divinité hellénistique des "drogues médicinales".<br />
En fait, il était supposé être la divinité qui produit les mauvaises drogues qui étaient<br />
supposées être susceptibles d'emprisonner les destins fragiles propres à certaines<br />
catégories d'habitants, dans la civilisation hellénistique, dès l'époque de la Grèce<br />
antique. <strong>Le</strong>s gens placés sous son influence étaient alors jadis déclarés infréquentables<br />
dans la société des cités antiques.<br />
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<strong>Encyclopédie</strong> : <strong>Le</strong> <strong>Garçon</strong> <strong>aux</strong> <strong>Bâtons</strong> d’Encens<br />
<strong>Le</strong> dieu Dionysos<br />
Extraits de l’Ouvrage encyclopédique – à Thème portant sur la Mythologie hellénique ancienne<br />
La Légende raconte qu’après avoir été reconnu comme nouvelle divinité grecque,<br />
Dionysos descendit <strong>aux</strong> Enfers afin d’aller y chercher sa mère, Sémélé, qu’il ramena de<br />
force (c'est à dire contre la volonté d'Hadès) dans le monde des vivants (prise de note :<br />
lire tous les mythes de la mythologie grecque en rapport avec Dionysos). Dionysos est<br />
aussi considéré pour différents motifs comme le dieu des Orgueilleux, du moins celui<br />
"des F<strong>aux</strong> Humbles". Ce qui le rendait agaçant <strong>aux</strong> monarques. La Haute - Égypte et une<br />
partie de l’Asie mineure lui seraient associées. <strong>Le</strong> domaine de Nysa devint l’un de ses<br />
plus célèbres sanctuaires sacrés et historiques.<br />
Dionysos et le Thyrse<br />
L’épisode le plus célèbre du dieu Dionysos est certainement celui qui le met en rapport<br />
de conflit avec le roi Lycurgue régnant sur la Thrace. <strong>Le</strong> roi Penthée ne fit pas meilleur<br />
accueil au nouveau culte du dieu de l’Ivresse et ne connut pas pour ce motif une fin plus<br />
heureuse que celle de Lycurgue. Certaines légendes en raison du tempérament du dieu<br />
des vignerons et des vendangeurs en font une divinité de la Raison fermée contraire à<br />
Athéna la Sagesse de la Raison, et le représente par ailleurs comme un dieu de la<br />
Violence guerrière, décuplée par la consommation du vin. Mais parfois au contraire,<br />
Dionysos est estimé comme l’ennemi de la Guerre, et donc comme l’ennemi d’Arès.<br />
Parfois Dionysos est aussi considéré comme un dieu espion : dieu des voyeurs, doté<br />
comme ses bacchantes divisées en deux catégories ... de deux caractères de<br />
personnalités, aussi stable qu'instable, à l'exemple de l'état d'ébriété. D'ailleurs, certains<br />
historiens évoquant le curieux rapport entre l'état de la folie qui le lie parfois à certains<br />
actes criminels ..., le dieu Dionysos, régissant la folie, était parfois également considéré<br />
comme « un dieu des criminels et des bandits ». Car tout crime était acte de folie. Lors de<br />
la révolte du dieu des Forgerons, Dionysos réconciliera Héra avec le dieu des Forges et<br />
des Braises : Héphaïstos, le fils de celle - ci (lire sous Héphaïstos). Certains des textes<br />
anciens qui relatent son histoire mythologique, le donnent pour père du voleur<br />
Autolycos. Dont la paternité fut parfois également attribuée par erreur sans doute au<br />
dieu Hermès, le messager. Dionysos certainement reste le père du voleur Autolycos.<br />
Tandis que lui – même, Dionysos, était parfois donné par les anciens comme le fils<br />
adopté peu de temps après sa naissance, ce, par le dieu Poséidon.<br />
Dionysos et Ariane<br />
Enfin, lié à l’Égypte, il est considéré parfois comme un dieu de la Renaissance et de<br />
l’éternel recommencement. Ou au contraire comme un dieu des morts quand il est<br />
assimilé à Apis. D’ailleurs, il est à remarquer que le culte du dieu Dionysos est l’un des<br />
seuls qui sut renaître après la chute des hommes à la fin de la Paix entre les dieux<br />
olympiens et les Humains (réf. : lire sous Thémis : le mariage de Thétis). Son pouvoir et<br />
son influence sur eux, et parmi les hommes sur la Terre, se fit encore plus considérable<br />
dès cette période. D’autre part, Dionysos est aussi considéré comme un dieu symbole de<br />
la puissance enivrante de la végétation luxuriante dont l’influence parfois est assimilée<br />
ou contraire à celle de la Grande déesse Déméter qui protège la Nature et l’Agriculture.<br />
Déméter est la Mère– Nature. Dionysos influençant différemment sur la nature sauvage<br />
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par opposition à l’agriculture. Dionysos est aussi un puissant dieu de la vitalité. Mais le<br />
dieu Dionysos semblait pouvoir également générer comme effet contraire à celui qui lui<br />
est généralement attribué, la décroissance de la Nature et notamment la décroissance de<br />
la végétation, contradictoirement tout autant. Par ailleurs, il semblerait que le dieu<br />
Dionysos siégeait dans la mythologie grecque, sur certaines parties des Enfers, étant lié<br />
au monde infernal souterrain, dans le domaine gouverné par le dieu Hadès. Ainsi, le<br />
« spem » (l’espoir du sperme) est parfois associé à Dionysos, quant il nourrit la folie.<br />
Alors qu’il se doit d’être associé <strong>aux</strong> naissances. Dionysos était parfois considéré comme<br />
un dieu de la Pluie, et des Crues ou décrues des dieux – fleuves de la Grèce ancienne.<br />
Remarques et anciennes théories :<br />
Dans l'ancien temps antique, peu avant la chute totale et l'abandon définitif des<br />
croyances anciennes consacrées <strong>aux</strong> divinités grecques. <strong>Le</strong>squelles perdurèrent malgré<br />
tout, tacitement ou non, et prétendument parfois jusqu'<strong>aux</strong> environs de la découverte de<br />
l'Amérique. Selon les légendes de certains recueils origin<strong>aux</strong> perdus (mais dont<br />
certaines pistes furent conservées ou retrouvées). Ce culte religieux consacré à la<br />
divinité du vin, tout d'abord formellement interdit, car il était consacré au dieu de la<br />
Folie : Dionysos (lire sous Dionysos, lire sous Héra). Puis particulièrement en vogue et<br />
tenu secret dans certains milieux soci<strong>aux</strong>. Ce, peu avant l'avènement des nouvelles<br />
croyances chrétiennes notamment, semble-t-il. <strong>Le</strong> culte de Dionysos développa donc les<br />
incompréhensions sociales de l'époque et les guerres philosophiques qui mirent fin au<br />
culte des dieux grecs. La Paix religieuse, et la Paix des dieux furent définitivement<br />
rompues. Puisque, pour exemple, le culte secret de la divinité du vin, parmi d'autres<br />
cultes d'époque, avait pour particularité de s'attaquer selon ses adeptes, mais en<br />
sourdine : à 'l'homme sage' (Homme de Sagesse). Qui quant à lui vénérait par exemple:<br />
Athéna, la déesse des Arts. Ainsi la Sagesse fut perdue, tant sur le plan politique que sur<br />
le plan social en Grèce, et peu à peu à Rome. C'est semble-t-il le culte de Dionysos qui fut<br />
à l'origine de la première désorganisation sociale antique qui donna lieu à la révolution<br />
du système politique. Notamment à Athènes, mais, également dans d'autres villes de la<br />
région ancienne de Grèce. Et qui parvint à mettre fin au règne des dieux à travers le<br />
panthéon antique hellénique. Selon certaines sources clés. Mais très peu connues (rare).<br />
<strong>Le</strong> culte du dieu de la folie aurait donc conforté notamment un nouvel intérêt contraire<br />
<strong>aux</strong> habitudes religieuses de l'époque antique. Ce fut un mystérieux culte consacré à « la<br />
mort », mais également consacré à celui de « la peur ». L'influence de ce culte en Grèce<br />
par ailleurs est noté comme provenant des terres de l'Égypte ancienne (où le dieu des<br />
Morts est Anubis - lire sous mythologie égyptienne). Mais avec la naissance de la<br />
nouvelle religion chrétienne basée sur le culte de Jésus - Christ. Combattu par les<br />
romains tout d'abord. C'est ainsi que le principe de "la réincarnation" par exemple, pour<br />
ne citer qu'un de ces principes religieux hellénistiques perdus, mais pourtant abordé<br />
dans les croyances anciennes de la Grèce déjà à travers sa mythologie. Notamment avec<br />
'le mythe de la Pythie' (qui parfois en ce personnage symbolisait elle - même la<br />
réincarnation d'Apollon en une femme lors de transes divinatoires réputées au travers<br />
de toutes les contrées grecques) : Fut renié par la Chrétienté. La foi bouddhique le<br />
conserve. La Chrétienté en fit le nouveau principe de la résurrection. <strong>Le</strong> concept de la<br />
mort (Hadès) fut durablement bouleversé et considérablement modifié, dès cette<br />
référence chronologique clé, par cet exemple.<br />
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Cependant, tout le principe de la Vie, et les anciens cultes religieux en Grèce qui leur<br />
étaient jadis consacrés. <strong>Le</strong> furent de la même manière (car les données furent soit<br />
altérées, soit également perdues). À l'observation de la Nature. Certaines pistes et<br />
certaines traces furent prétendument conservées dans le culte musulman. Avant qu'à<br />
son tour, le culte musulman originel ne se modifie, lui également, sous l'influence de<br />
certains mensonges. Induits et introduits comme dans toutes les religions révisées vers<br />
le 19ème siècle. De par certaines de ces écritures alors faussées à l'époque où elles<br />
furent produites, ou bien ultérieurement. Que ce soit après "les guerres médiques" ou<br />
que ce soit plusieurs siècles encore après. Des mensonges furent introduits. Et ceci<br />
devint un dangereux principe. Une nouvelle croyance religieuse vit néanmoins le jour. Et<br />
avec elle, une nouvelle forme de cités sociales. Mais les valeurs véridiques naturelles peu<br />
à peu disparurent des cultes. Malheureusement au vu des incompréhensions générées<br />
par la civilisation de l'Homme, tout ceci finit par aboutir sur des guerres de religions<br />
souvent bien inutiles et stupides entre les hommes justement. Toute cette<br />
désorganisation religieuse ne se fit pas en un jour bien entendu. Mais la vraie raison en<br />
serait indiquée dans l'aspect des cultes anciens, où l'une des parties était consacrée à la<br />
Nature, mais également <strong>aux</strong> sacrifices, mais parfois humains ("culte des statues").<br />
<strong>Le</strong>squels aspects avec l'évolution sociale, furent de moins en moins <strong>aux</strong> goûts du jour<br />
des Cités, sur le plan religieux, jusqu'à leur interdiction totale en société. Mais cette<br />
interdiction fut bien souvent bravée par les rebelles à l'ordre religieux en vigueur. Ils<br />
furent à nouveau repris dans certains cultes chrétiens, semble-t-il, exacerbés lors de la<br />
découverte d'autres continents - clés.<br />
Pourtant, à l'époque de la Grèce antique, le dieu Dionysos était également un dieu de la<br />
vie, des réjouissances, et de la gaité. Cependant, son rayonnement et celui d'Apollon -<br />
Phébus furent néanmoins la cause probable de la chute de la mythologie vitale, et de<br />
celle des autres cultes hellénistiques, à cette époque. Entraînant la perte de l'Amour et<br />
des connaissances de la Nature.<br />
Sur les divers plans religieux. Mais également à cause de la folie guerrière - outre les<br />
conquêtes fructueuses et les richesses abondantes mais éphémères parfois. La folie<br />
générée par la civilisation romaine empruntant ses croyances au culte des Hellènes,<br />
mais en les modifiant à tort (au fur et à mesure de l'avancée des guerres romaines<br />
contribuèrent à augmenter le mal politique au pouvoir). C'est ce qui aurait fini par<br />
porter vraisemblablement à conséquence sur le plan historique de l'humanité en<br />
Europe, du moins dans les régions où ces pratiques naturelles furent connues. Une<br />
Europe ancienne qui se vit dès lors envier son riche passé historique.<br />
Et sur le plan de la mémoire collective des peuples anciens d'Europe. Une certaine folie<br />
gagna le continent puis se calma. À ce propos, il semblerait que les proportions<br />
géographiques en cette époque ancienne n'étaient pas du tout les mêmes que celles que<br />
l'on pourrait avoir définies aujourd'hui. <strong>Le</strong>s régions géographiques n'étaient pas<br />
forcément perçues de la même manière. Ce qui modifie la perception des emplacements<br />
et des lieux (que ce soit dans le ciel sur le plan des constellations par exemple ou que ce<br />
soit au niveau des territoires géographiques). Si bien que les cartes deviennent un<br />
immense puzzle subjectif. Ainsi le culte du panthéon grec mourut et disparut de la même<br />
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Chapitre : VII –<strong>DIONYSOS</strong> & DIOSCURES :<br />
DANS LE GARÇON AUX BÂTONS D’ENCENS - Mythes / auteur : TitiLatulipe<br />
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<strong>Encyclopédie</strong> : <strong>Le</strong> <strong>Garçon</strong> <strong>aux</strong> <strong>Bâtons</strong> d’Encens<br />
Extraits de l’Ouvrage encyclopédique – à Thème portant sur la Mythologie hellénique ancienne<br />
manière que la mystérieuse Atlantide. Et lors des séismes soci<strong>aux</strong> dont les traces<br />
historiques furent modifiées. Certaines indications de données historiques ne furent<br />
retrouvées qu'au 19 ème siècle après Jésus - Christ. Mais leurs interprétations suggestives<br />
de l'époque 19 ème laissèrent peut - être un certain nombre d'erreurs formelles dans les<br />
écritures actuelles qui nous parvinrent sous forme de traduction.<br />
Et certains de ces témoignages destinés à nous permettre de comprendre cette ancienne<br />
civilisation passionnante qu'était celle de la Grèce antique, demeurèrent « fragilement »<br />
cachés. N'étant pas à oublier bien entendu et qui plus est, que la divinité de Dionysos<br />
était jadis également une divinité « des obsessions qui accablent les mortels ».<br />
AMOURS DES DIEUX - <strong>DIONYSOS</strong><br />
Dans ses rapports amoureux, on lui concède une union avec la merveilleuse déesse<br />
Aphrodite, de laquelle il aura le dieu Priape admis comme l’un de ses fils. Puis, plus<br />
tardivement, la mythologie grecque lui donne la belle Ariane comme épouse, après que<br />
cette dernière eut été abandonnée par le prince Thésée alors qu’elle lui fut si utile lors<br />
de son affrontement contre le Minotaure. Pour la consoler, Dionysos devint son<br />
confident et finit par épouser la princesse qu’il conduira auprès de son père Zeus, dans<br />
l’Olympe, afin que ce dernier lui accorde l’Immortalité (à la princesse Ariane). Mais ceci<br />
provient de la mythologie moderne. On lui connaît auparavant, une aventure tragique<br />
avec Érigonès, puis selon certaines versions avec la déesse Éris la Discorde (rare).<br />
Enfin, une source très fiable dément totalement le mariage de Dionysos avec Ariane, ce<br />
au profit d'un mariage avec une autre célèbre princesse : il s'agit de la princesse Hélène<br />
de Sparte, auquel il consacrera le nom dérivé à l'un de ses attributs divins princip<strong>aux</strong>.<br />
Bien que parfois la princesse Hélène de Sparte fut citée pour être plutôt sa fille (lire<br />
sous Némésis, lire sous Arès), ce qui resta fort controversé.<br />
Ariane et Dionysos, de Titien 1523<br />
Citation(s) d’autre(s) site(s) ou auteur(s) :<br />
« Si l’on relie entre eux les éléments épars de la légende pour les rendre cohérents, ce qui<br />
n’est pas facile, les mythes ayant tous des versions multiples selon les lieux et les époques,<br />
on peut dire { peu près ceci en s’inspirant des sources de l’époque classique, et en<br />
particulier des Bacchantes d'Euripide, texte fondé sur une légende de Thèbes en Béotie ».<br />
« Dionysos est avant tout un dieu de la végétation arborescente et de tous les sucs vit<strong>aux</strong><br />
(sève, urine, sperme ou anciennement dit : ‘spem’ : l’espoir, lait, sang, eau, pour aboutir au<br />
vin, etc.), comme en témoignent ses épiclèses (...) : symbolisant l'« esprit de l'écorce », ou<br />
encore de "Sukítês" : représentant le «protecteur des figuiers ». Il se spécialise ensuite dans<br />
la vigne, qu'il est censé avoir donnée <strong>aux</strong> hommes, ainsi que dans l'ivresse et la transe<br />
mystique. Ses attributs incluent tout ce qui touche à la fermentation, <strong>aux</strong> cycles de<br />
régénération.»<br />
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« Dionysos, lui, est d'abord la divinité de la végétation en général, du ganos (humidité<br />
vivifiante) qui anime tout l'univers végétal. Il restera toujours le dieu des grands arbres, ses<br />
fidèles brandissant le thyrse (bâton terminé souvent par une pomme de pin, héritage des<br />
vieux cultes de l'arbre) et le lierre qui, comme tout feuillage restant vert en hiver, est le<br />
symbole de la continuité de la vie, par-delà le rythme des saisons et des générations. Puis<br />
Dionysos devient le dieu de la vigne et du vin, ce vin qui, " liquide et feu à la fois, est comme<br />
le ganos de la vigne " et exalte l'homme jusqu'à lui faire parcourir les étranges sentiers de<br />
l'ivresse »<br />
« Dieu grec de la végétation, en particulier de la Vigne et du Vin, fils de Zeus et de Sémélé.<br />
Appelé aussi Bakkhos, il devient Bacchus chez les Romains. <strong>Le</strong> culte de Dionysos a<br />
contribué au développement de la tragédie et de l'art lyrique »<br />
- Fin de citation –<br />
IMAGE DE LA REPRÉSENTATION DE <strong>DIONYSOS</strong><br />
<strong>Le</strong> dieu Dionysos & ses Ménades (3ème et 4ème images)<br />
HUMOUR<br />
Concernant Dionysos :<br />
Citation d'un texte populaire humoristique :<br />
Prière à notre Père Bacchus<br />
(....<strong>Le</strong>vez-vous....)<br />
« Notre Saint Père Bacchus, qui êtes au bistrot,<br />
Que votre nom soit arrosé !<br />
Que la bouteille vienne !<br />
Que votre volonté soit faite à table,<br />
Comme au bar !<br />
Donnez-nous chaque jour nos trois demis quotidiens !<br />
Pardonnez-nous nos pétées comme nous pardonnons aussi,<br />
À ceux qui nous ont soûlés.<br />
Ne nous laissez plus tomber sous la table,<br />
Mais délivrez-nous de l'Henniez,<br />
Car c'est à vous qu'"appartiennent"<br />
La bouteille, les verres et le tire-bouchon !<br />
Aux siècles des siècles,<br />
Santé ! »<br />
- fin de Citation -<br />
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<strong>DIONYSOS</strong> – CHAPITRE VII<br />
Sous – Chapitre : Mythes & Légendes<br />
LES DIOSCURES<br />
Complément d'information et remarques sur Castor et Pollux :<br />
<strong>Le</strong>s Héros Dioscures<br />
CASTOR ET POLLUX<br />
Castor et Pollux sont des fils jume<strong>aux</strong> de Zeus et Léda, dans la majeure partie des<br />
recueils, et autrement dits aussi autrefois : « les Dioscures ». Dans le cadre de leur<br />
intervention mythologique la plus connue. C'est effectivement, qu'ils participèrent<br />
notamment à l'Expédition des Argonautes. Menée par le grand héro grec Jason. Jason<br />
(lire sous Jason) était un fils légitime du Roi AEson, un roi mythique qui régna sur la cité<br />
d'Iolcos située en terre de la Thessalie. Jason dut partir un jour pour la contrée de la<br />
Colchide avec cinquante de ses alliés, que l'histoire grecque hellénistique nomma « les<br />
Argonautes ». Ayant survécu à son périple, le prince Jason, aidé des Dioscures<br />
« Castor » et « Pollux ». Revint un jour de la Colchide muni de la célèbre 'Toison d'or<br />
magique' Qu'il avait conquise, mais obtenue grâce à la précieuse aide de la princesse<br />
magicienne Médée, une des filles du roi de la région. Médée était tombée amoureuse de<br />
Jason à son arrivée à la cour royale de son père, lequel avait pour ordre de le tuer. Ce<br />
qu'il n'exécutera pas tout de suite en raison des obligations royales liées <strong>aux</strong> règles de<br />
l'hospitalité hellénique respectées des grandes cours de cette époque (lire sous le signe<br />
de la Constellation du Bélier, dont la toison d'or avait pour réputation de pouvoir voler<br />
et se mouvoir dans les airs comme un tapis volant...). Dans la mythologie grecque, Castor<br />
et Pollux, appelés par la suite les Dioscures (c'est-à-dire : signifiant « les jeunes de Zeus<br />
», mais autant : « <strong>Le</strong>s f<strong>aux</strong> dieux » « <strong>aux</strong> erreurs de mœurs »). Sont les fils jume<strong>aux</strong> de<br />
Léda. <strong>Le</strong>s sœurs de Castor et Pollux sont Hélène et Clytemnestre. Dans la mythologie<br />
grecque, les héros Castor et Pollux prennent part à la chasse du Sanglier de Calydon.<br />
Ainsi qu'à l'expédition des Argonautes. Ils combattent contre le héros Thésée qui<br />
terrassa pourtant jadis le célèbre Minotaure. Pour récupérer leur sœur Hélène. Que le<br />
Prince Pâris avait ravie et enlevée. En retour, les deux frères jume<strong>aux</strong> « raptèrent » et<br />
enlevèrent à leur tour les filles du célèbre <strong>Le</strong>ucippe. Reconnus pour être le symbole grec<br />
de la figure indo-européenne des dieux jume<strong>aux</strong> : <strong>Le</strong>s Dioscures sont le symbole des<br />
jeunes gens en âge de porter les armes. Ils apparaissent comme des sauveurs dans des<br />
situations désespérées et sont les protecteurs des marins. « <strong>Le</strong> feu sacré de Saint-Elme »<br />
était jadis parfois considéré comme le fait de leur manifestation physique. Ils sont<br />
associés à la constellation des Géme<strong>aux</strong>.<br />
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Affiliation classique :<br />
<strong>Le</strong>s Dioscures apparaissent déjà dans l'Iliade, qui nommait Castor, "le dompteur de<br />
chev<strong>aux</strong>", et Pollux, "le boxeur". <strong>Le</strong> poème ne mentionne pas avec précision le nom de<br />
leurs parents. Mais Hélène les nomme comme ses frères. Dans l’Odyssée, en revanche,<br />
Homère en fait tous deux les fils du Roi Tyndare et de Léda. Inversement, Castor et<br />
Pollux furent tous deux considérés comme étant des fils de Zeus, du moins d'après « <strong>Le</strong><br />
Catalogue des femmes » rédigé par le pseudo-Hésiode. Ce qui sera relaté semble-t-il<br />
également dans « les Hymnes homériques », où l'hymne qui leur y est associé, les<br />
qualifie également pour la première fois mythologique de : « Dioscures ». Par ailleurs,<br />
« <strong>Le</strong>s Chants cypriens » introduisent le motif selon lequel Castor est mortel et Pollux est<br />
immortel. Cependant, la légende la plus fréquente établit que leur mère Léda, qui se<br />
serait unie avec Zeus alors qu'il s’était supposément métamorphosé en un voluptueux<br />
cygne blanc (ce qui restait jadis plutôt une caractéristique du dieu Dionysos à cette<br />
époque), aurait pondu deux œufs : l'un contenant Pollux et Hélène, fils de Zeus. Et un<br />
deuxième œuf contenant Castor et Clytemnestre, descendants du roi Tyndare<br />
directement. Comme descendants issus d'un roi mortel : Pollux et Hélène sont donc de<br />
simples mortels, alors que Castor et Clytemnestre sont des demi-dieux.<br />
L'autre recherche du Mythe d'origine :<br />
Pour information, il est bon de savoir que d'après la vieille origine de la légende grecque,<br />
dans la mythologie très ancienne, le héros Pollux se faisait parfois nommer et appeler<br />
différemment. Son nom originellement aurait signifié prétendument, et ce, selon<br />
certaines définitions en grec ancien : 'le Poil', ou 'le poilu'. Ses autres noms étaient :<br />
'Trikòs', 'Trikòtos', "Trikoton", ou parfois encore : 'le Héros de Laknê'. Ou 'le héros de<br />
Trie' (Thridz (?)). Car on le donna jadis pour l'un des fondateurs prétendus de la "ville<br />
de Trieste". Trieste étant une ville d'Italie située au nord - est du grand pays italien. Sur<br />
l'Adriatique, c'est à dire tout au fond du Golfe de Trieste et dont la Cathédrale chrétienne<br />
datait du XIème siècle, et d'après les ruines romaines sur lesquelles elle fut<br />
vraisemblablement construite (mais seulement vers l'an 1000 à 1100 apr. Jésus - Christ).<br />
Trieste ayant peut - être été une très ancienne colonie éloignée de la Ville d'Athènes. La<br />
Ville de Trieste inspira le nom des trières (en nouvelle moquerie des descendants des<br />
Dioscures contre Athéna - les Dioscures étant jadis parfois la désignation de « ceux qui<br />
faussent les prières », et Athéna étant une grande déesse des prières – Sagesse des<br />
prières, ces deux mots francophones se ressemblent à une lettre près il est vrai…). Pour<br />
définition : les Trières, c’était en outre ces bate<strong>aux</strong> à trois rangs de rames dont le<br />
commandant de bord se nommait un triérarque. À cette époque, en tant que citoyen<br />
athénien, tout commandant d'une trière, était quant à lui tenu d'armer sa trière à ses<br />
frais. Et il se portait le garant responsable de la traversée, ce, jusqu'<strong>aux</strong> colonies les plus<br />
éloignées d'Athènes (Poséidon et le commerce maritime antique).<br />
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Affiliation ancienne d'après la légende d'origine :<br />
Castor et Pollux et leur influence dans l'Histoire des Villes (en Europe):<br />
Comme expliqué ci - dessus. D'après le mythe ancien qui sera modifié par la suite selon<br />
les connaissances de la mythologie grecque classique et moderne. Il semblerait pourtant<br />
que la naissance des héros Castor et Pollux, ainsi que celle de leurs sœurs Hélène et<br />
Clytemnestre furent plutôt liées <strong>aux</strong> œuvres fécondes du dieu Dionysos, un puissant fils<br />
de Zeus. Pollux était resté mortel, et son nom signifiait 'le poilu'. Ses autres noms<br />
(jusqu'à ce qu'il devienne définitivement le Pollux actuel et fils de Zeus) en conséquence<br />
étaient connus sous ceux de : 'le héro de Thrie', 'Trikòs', 'le héros de Laknê', 'Trikotos',<br />
'Trikoton'.<br />
<strong>Le</strong> héros Castor (dont l'autre nom fut parfois "Pigmê psilos", soit signifiant : 'le poing<br />
non poilu', ou encore surnommé "Castor Kondilos", soit signifiant : 'Castor au fort coup<br />
de poing'). Était considéré comme mal apprécié de la déesse Athéna (la Sagesse). Il était<br />
immortel, certes. Et il avait pour pouvoir divin de recevoir le bon hasard (en raison de<br />
son immortalité), car Castor fut protégé dès sa naissance de la déesse Tykê (la déesse du<br />
hasard). D'après cette version ancienne. Castor, comme divinité, veillait sans forcément<br />
le savoir sur les hommes et femmes poètes, notamment. Jadis, il aurait joué un rôle<br />
historique dans la fondation de la Ville de Kastalie, qui corroborerait la construction de<br />
la Ville de Castille, elle également divisée en deux parties géographiques nord et sud, et<br />
elle aussi située en Espagne (Pays symbole des deux jume<strong>aux</strong> « dioscuriens » en<br />
Europe). Peut - être y eut-il une certaine confusion géographique en référence au mythe<br />
originel consacré au héros Castor.<br />
L’ancienne histoire de Castor<br />
Dans l’ancienne mythologie, la déesse Athéna avait pris le héros Castor en grippe car<br />
elle reconnut un jour en lui, qu'il favorisait le mal, le dieu Mysos, qui sert parfois le dieu<br />
Arès, son ennemi juré (ennemi juré d'Athéna). Mysos d'après la mythologie grecque<br />
ancienne était un dieu mineur "insufflateur" de la haine, notamment de la haine ourdie<br />
contre les gens intelligents. La déesse Athéna qui incarnait la Sagesse pure, ne pouvait<br />
souffrir ni le dieu Arès ; ni le dieu Mysos et ses équivalents : le dieu Arekthès, les déesses<br />
Ekthra (c'est à dire : celle qui soutient ceux qui ont de la Haine, et qui se précipite vers le<br />
bas pour cela) et Arekthéia (la Haine sous sa personnification féminine particulière). La<br />
déesse Athéna la Chaste les avait donc d'autant plus ces divinités mineures en horreur.<br />
Car il semblerait que la fille de Zeus, Athéna. Fut selon les dires d'un culte ancien.<br />
Faussement assimilée avec ces dernières (Ekthra et Arekthéia qui l'usurpaient dans<br />
certains cultes anciens athéniens, avant que la déesse Athéna ne reprenne sa place<br />
propre, et sa définition première. Notamment au sein du Culte des Panathénées<br />
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d'Athènes - rare). Pour se moquer méchamment de la chasteté de la déesse Athéna, sur<br />
le conseil du dieu Arès, le dieu Mysos osa un jour nommer l'une de ses filles, qui venait<br />
de naître : Mysantropia (celle qui a la haine des Hommes. Notamment celle qui a la<br />
haine des Hommes mûres, mâles). Tandis que l'autre fils de Mysos se vit nommer<br />
banalement : Misétos (celui qui est haïssable). Et dont Arès s'occupa de l'éducation <strong>aux</strong><br />
armes. En réponse à cette outrage, la déesse Athéna n'eut d'autre choix que de les<br />
maudire tous deux (les enfants de Mysos) et leurs proches. En les affublant chacun d'une<br />
'pneuma' (haleine) insupportable. <strong>Le</strong> héros Castor fut considéré comme un fondateur<br />
de la Ville de Castille (en Espagne, qui aurait repris son nom dérivé par ses<br />
descendants). Et comme le héros Castor, semblait durant son enfance avoir été placé<br />
sous tutelle de ces divinités négatives, la déesse Athéna fit également en sorte qu'il soit<br />
accablé d'un amour fraternel et intimement secret pour son frère jumeau Pollux, qui, lui,<br />
était resté toujours mortel. Avec devoir de veiller sur lui. Il faut savoir qu'Athéna,<br />
d'après le conte ancien mythologique. Fut en mesure de frapper le pauvre Castor de sa<br />
malédiction de sagesse. Castor étant un fils de Dionysos, d’après la version première,<br />
puis de Zeus selon la seconde interprétation mythologique la plus connue. Pour le bien<br />
du peuple humain (mais simplement de Grèce : l'Humanité de cette époque d'après la<br />
croyance) : Athéna sanctionna Castor. Car le mythe ancien précise. Que Castor, son<br />
frère Pollux et leurs deux soeurs. Ne sont pas directement les fruits de l'amour de Zeus.<br />
Mais plutôt bel et bien les fruits directs de l'amour de Dionysos (fils de Zeus) qui était<br />
opposé à Tyndare. D'après une union amoureuse survenue entre le dieu Dionysos et la<br />
princesse Léda, mais que Zeus courtisait également. Léda succomba au fils de Zeus :<br />
Dionysos, métamorphosé en Cygne blanc (animalier de Dionysos - version rare et<br />
occultée, cependant). Ce qui provoqua dans un premier temps le courroux de Zeus<br />
contre Dionysos. Athéna en profita donc. Il ressort que le mythe des deux œufs est bel<br />
et bien véridique d'origine. Mais à ce détail, que la paternité serait parfois faussement<br />
attribuée à Zeus. De plus, il semblerait qu'avant de mourir, Castor eut le temps d'avoir<br />
plusieurs descendances au cours de ses voyages. Ces descendances furent nommées<br />
anciennement : « les Kastellanoï » ou « les Kastes ». Dont les autres noms furent<br />
également celui de « Gênos » et de « Phylê », c'est à dire « les fous d'orgies », ou plus<br />
précisément : « les fous orgiaques ». Qui bénéficient des privilèges du fils : et soit qui<br />
sont les descendants de Dionysos (d'après le culte orgiaque). Dionysos qui, à cette<br />
époque, semblerait avoir été considéré comme étant un dieu protecteur des nouvelles<br />
forteresses antiques, ainsi que comme une divinité protectrice des apothicaires, mais<br />
quand ils font notamment des comptes compliqués et mesquins (dès le 5ème siècle ? –<br />
lire sous Dionysos). Et par différenciation des pharmaciens herboristes protégés du<br />
dieu Apollon prétendument. D'après la croyance d'époque (lire sous Apollon). Ce sont<br />
vraisemblablement eux qui jouèrent un rôle dans l'érection de la Ville de Castille en<br />
Espagne et qui porte depuis, du reste, le souvenir et le poids de la destinée de ce nom,<br />
notamment pour cette raison. Elle fut longtemps associée <strong>aux</strong> Dioscures (Castor).<br />
Ce nom fut également conservé semble-t-il pour rappeler le privilège sur la mort que les<br />
dieux anciens de Grèce attribuèrent à l'un des deux frères, plutôt qu'à l'autre. Reflet<br />
d'une injustice, et source d'un motif de haine entre les hommes et les dieux. Et que l'un<br />
des jume<strong>aux</strong> résorba finalement avec sagesse, ce, au terme de sa propre destinée. Selon<br />
le souhait secret de la déesse Athéna. En léguant son immortalité à son frère. Pour qu'il<br />
survive à ses fatales blessures alors qu'il fut mortellement atteint d'une flèche en plein<br />
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cœur durant la Guerre de Troie (lire sous Thémis). Dans cette version isolée et<br />
ancienne du mythe grec. Castor reste le frère jumeau immortel. Et Pollux est le frère<br />
jumeau mortel. Par opposition à aujourd'hui où il est précisé le plus souvent le contraire<br />
dans la mythologie classique. La déesse Athéna, dont la Sagesse était sans limite, et par<br />
l'exemple de leur mort. Avait souhaité donner une leçon d'humilité à son frère divin<br />
Dionysos, dont la naissance des fils jume<strong>aux</strong> avait enorgueilli le dieu jusqu'<strong>aux</strong> outrages<br />
envers son propre père Zeus. Dionysos ayant remis en question l'ordre de la Vie et<br />
l'ordre de la Mort. En ressuscitant sa propre mère (Sémélé) des Enfers du dieu Hadès<br />
qui est le souverain suprême du monde souterrain. Ainsi : La mort de Pollux (selon le<br />
but caché et final de la déesse Sage). Conjura du reste pour un temps la laideur humaine<br />
qui semblait s'être emparée des habitants de cette région durant la Guerre et durant<br />
toute cette époque manifestement. Mais ceci ne put empêcher à long terme les<br />
événements à venir en Grèce ancienne (lire sous Thémis). Soit les guerres qui<br />
détruisirent la civilisation hellénique, définitivement. Ensuite, outre ces informations<br />
réservées, il faut impérativement rappeler que certains détails mythologiques furent<br />
clairement et délibérément altérés. Dès l'époque des Apôtres (du Christ). Ce qui semble<br />
correspondre en parallèle à l'Apogée des croyances de la mythologie grecque encrée<br />
dans ces contrées. Et qui correspond également à l'explication superstitieuse selon<br />
laquelle la déesse Aphrodite fut rendue malade par le dieu de la Folie (Dionysos - lire<br />
sous Aphrodite). Au profit de la Chrétienté : l’idée que les dieux grecs sont devenus<br />
imparfaits et peuvent être atteints contribua à l’abandon de leurs anciens cultes en<br />
Grèce, comme pour les dieux du nord de l’Europe (Allemagne) vers le XI ème siècle. Pour<br />
ce motif, le culte d'Athéna s'opposa au Culte du dieu Dionysos (malédiction chimique,<br />
les mystères du vin), dès cette époque. De sorte que quelques explications sont<br />
incertaines. Ce qui n'empêchera pas la défaite d'Athènes. Mais ce sont les dates<br />
chronologiques qui posent problèmes dans leur enchaînement. Selon de vieilles<br />
croyances, certes, et qui furent surpassées par les nouvelles croyances religieuses<br />
qu'alimentèrent parallèlement la nouvelle Chrétienté. Pollux (le frère mortel de Castor)<br />
quant à lui. Aurait fondé comme son frère, une ville durant leur courte séparation : ce<br />
serait la Ville de Thrie (Tridz) en Italie du nord. Pollux avait pour avantage de calmer et<br />
de tempérer son frère Castor, dans le combat. Mais la légende de la mythologie détaillée<br />
qui relate la mort de l'un des Dioscures nous reprécise bien en quelles circonstances,<br />
l'immortalité et la mort de l'un. Sauva de la mort, la vie de l'autre. En ce sens, parfois, les<br />
rôles attribués à l'un et à l'autre peuvent diverger en de nombreux points de ce qui<br />
précède ci - dessus expliqué. Mais au final, toutes les données mythologiques qui les<br />
concernent. Permettent de comprendre relativement bien toute la profonde symbolique<br />
du mythe originel de Castor et Pollux dans la mythologie grecque au moins. Et à quoi, la<br />
mort de Castor et Pollux contribua. <strong>Le</strong> dieu Mysos fut vaincu. Selon le souhait de la<br />
déesse Athéna de démontrer l'orgueil que la folie génère parfois sans remords<br />
(Dionysos). Ce sera l’une des symboliques du mythe. Dionysos qui à ses heures, avait<br />
réputations d'attiser l'esprit destructeur lors du sentiment de compétition. Chez les<br />
Grecs. Dionysos serait au final considéré comme l'influence divine qui fut à l'origine de<br />
leur défaite. D'après les explications d'époque, Dionysos épousera la princesse Hélène<br />
de Sparte, dont il prendra le nom pour en honorer l'un de ses princip<strong>aux</strong> attributs divins<br />
(lire sous Dionysos).<br />
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La mort des Dioscures d'après la mythologie moderne :<br />
<strong>Le</strong>s Dioscures sont morts tous les deux quand débute la Guerre de Troie, ce qui<br />
explique qu'ils n'y prennent pas part. La version majoritaire du mythe, dans laquelle les<br />
jume<strong>aux</strong> ont un destin particulier, se trouve pour la première fois dans l'Odyssée.<br />
Pendant la Nekuia, le héros Ulysse les rencontra sous terre où « ils restent vivants tous<br />
les deux sous la terre féconde ; Cependant, même là en-bas, Zeus les comble d'honneurs ;<br />
De deux jours l'un, ils sont vivants et morts à tour de rôle. Et ils sont gratifiés des mêmes<br />
honneurs que les dieux.» Alcman évoque un sommeil magique, en compagnie de<br />
Ménélas, dans le sanctuaire de Thérapné, en Laconie ; chez Pindare, les jume<strong>aux</strong><br />
passent un jour sous la terre à Thérapné, l'autre <strong>aux</strong> côtés de Zeus, sur l'Olympe. En<br />
effet, selon la version qui fait de Castor un mortel et de Pollux un demi-dieu, celui-ci à sa<br />
mort, voit son père lui proposer l'immortalité. Mais Pollux refuse que son frère Castor<br />
demeure <strong>aux</strong> Enfers en raison de son statut de mortel pour seul motif. <strong>Le</strong> Roi des dieux<br />
lui propose alors de demeurer un jour sur deux <strong>aux</strong> Enfers avec Castor et un jour sur<br />
deux sur l'Olympe également avec lui (d'autres versions proposent un partage de six<br />
mois dans chaque lieu, ce qui n'est pas sans rappeler le mythe de Perséphone enlevée<br />
par Hadès et qui partage son temps entre sa mère et son époux, ainsi que la légende<br />
d'Adonis). <strong>Le</strong>s héros Castor et Pollux ont été placés parmi les constellations et désignés<br />
par l'amas des étoiles connues sous le nom des Géme<strong>aux</strong> (les Jume<strong>aux</strong> d'or, en<br />
référence à leurs qualités héroïques durant la bataille).<br />
<strong>Le</strong>ur légende aurait inspiré tout un opéra du compositeur Jean - Philippe Rameau<br />
(L'Opéra Castor et Pollux). Rameau fut un théoricien de la musique française qui vécut<br />
de 1683 à 1764. Il fut un remarquable organiste et claveciniste, et publia plusieurs<br />
traités d'harmonie, rendus capit<strong>aux</strong> à la compréhension de l'harmonie musicale<br />
moderne. Il se consacre à l'Opéra dès les années 1730. Dès cette période, il composera<br />
trente - deux tragédies lyriques, comédies et ballets, et opéras comiques (comme : "<strong>Le</strong>s<br />
Indes galantes", "Castor et Pollux", "Platée", ...) qui illustrent un style nouveau qui fait<br />
place et honneur à l'émotion et au sentiment dramatique, et qui se rendent admirables<br />
de par leur invention mélodique, leur couleur orchestrale et leur recherche de timbres<br />
instrument<strong>aux</strong>. Jean - Philippe Rameau se trouva impliqué dans la querelle fameuse qui<br />
opposa les tenants de la musique française de l'époque, à ceux de la musique italienne.<br />
Rameau écrit par ailleurs un recueil de Pièces de clavecin en concert. L'opéra 'Castor et<br />
Pollux' est l'un des plus notables qu'eût écrit le compositeur français Jean - Philippe<br />
Rameau.<br />
Dans la Nature<br />
Définition du Castor :<br />
Pour en revenir <strong>aux</strong> héros grecs justement. <strong>Le</strong> nom du héros Castor aurait été attribué<br />
également à une célèbre espèce animale parmi les mammifères rongeurs amphibiens<br />
des pays froids, à large queue plate. Et dont la force prodigieuse de la queue contribua à<br />
la réputation de cette espèce, de même que sa fourrure et sa capacité à construire des<br />
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Chapitre : VII –<strong>DIONYSOS</strong> & DIOSCURES :<br />
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Extraits de l’Ouvrage encyclopédique – à Thème portant sur la Mythologie hellénique ancienne<br />
barrages dans le lit des rivières. Ce sont de remarquables pêcheurs. Par ailleurs, il est<br />
intéressant de relevé peut - être que dans la langue française, la peau traitée de manière<br />
à évoquer la fourrure du castor se nomme 'la castorette'. Et que la substance tirée à<br />
partir des glandes sexuelles de l'animal se nomme, du latin : 'le castoréum'. <strong>Le</strong>s<br />
historiens et archéologues prennent pour référence une célèbre œuvre d'art illustrant<br />
vraisemblablement Castor le Vigoureux et Pollux le Lumineux, selon le détail d'un relief<br />
de Palazzo Altemps, à Rome. Pollux : aurait donné son lieu à la Ville de Thrie (Italie).<br />
Castor : aurait donné son lieu à la Ville de Kastille (Espagne). Peut - être en raison de<br />
cette légende ancienne, la Ville de Castille hérita d'une dualité (mais géographique), la<br />
dualité étant une caractéristique du mythe qui fonde d'après cette explication, son<br />
origine : soit, la Sagesse (Athéna) contre la Folie (Dionysos).<br />
Culte des Dioscures à Sparte (Ville d’Arès)<br />
<strong>Le</strong>ur principal lieu de culte est à Sparte et dans la ville voisine de Thérapné. Pindare les<br />
appelle les "intendants de Sparte". Ils sont le modèle et la garantie de la dyarchie royale.<br />
Ils protègent l'armée civique, qui part toujours en campagne avec les dokana, une arme<br />
sous forme d’un ensemble de deux bâtons liés entre eux et qui les représente. Quand l'un<br />
des deux rois reste à Sparte, l'un des Dioscures reste également en arrière. Ils sont<br />
vénérés lors des Théoxénies : on dresse pour eux une table et une banquette avec deux<br />
coussins, ainsi que deux amphores contenant un mélange de grains. La salle est ensuite<br />
close pour permettre <strong>aux</strong> Dioscures de prendre leur nourriture. Des reliefs et des vases<br />
les représentent apparaissant dans les airs, montés sur des chev<strong>aux</strong>, au-dessus du<br />
banquet. Ils sont également figurés par des serpents s'enroulant autour des amphores.<br />
<strong>Le</strong>urs apparitions sont nombreuses. Ils se manifestent au roi Lysandre avant la bataille<br />
d'Aigos-Potamos ; celui-ci les associe ensuite à Zeus, Artémis et Apollon dans son exvoto<br />
de remerciement, à Delphes. Pausanias rapporte bon nombre de leurs miracles.<br />
Un jour, ils se présentent comme des étrangers dans leur ancienne demeure spartiate et<br />
demandent l'hospitalité. <strong>Le</strong> maître des lieux leur refuse leur ancienne chambre, occupée<br />
par la jeune fille de la maison – le lendemain, celle-ci a disparu, mais on retrouve dans la<br />
chambre l'effigie des Dioscures. Pendant la deuxième guerre de Messénie, leurs<br />
fantômes et celui d'Hélène déjouent la tentative des Messéniens d'attaquer Sparte de<br />
nuit. Au cours de la même guerre, deux jeunes Messéniens se déguisent en Dioscures, se<br />
rendent à des festivités spartiates en l'honneur des jume<strong>aux</strong> divins et, profitant de<br />
l'adoration qu'ils suscitent, massacrent les fidèles. En punition de ce sacrilège, les<br />
Dioscures poursuivent les Messéniens de leur courroux et ne leur permettent pas de<br />
regagner leur terre avant l'époque d'Épaminondas. Pour remarque, parfois, les<br />
Dioscures figurèrent autant les deux serpents reptiles ornant le bâton du dieu Hermès.<br />
<strong>Le</strong> dieu étant le protecteur des messagers, des serviteurs, des greffiers et des médecins,<br />
et celui des scribes, notamment (très rares – lire sous Hermès).<br />
Culte des Dioscures à Rome :<br />
<strong>Le</strong> culte de Castor et Pollux apparaît également à Tusculum et Rome. En 484 av. J.-C., les<br />
Romains leur bâtissent un temple sur le Forum romain, ce, en remerciement pour la<br />
victoire du lac Régille. Selon la légende, les Dioscures sont intervenus dans le combat en<br />
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personne, sous l'apparence de grands et be<strong>aux</strong> cavaliers, puis ont annoncé eux-mêmes<br />
sur le Forum la victoire romaine. <strong>Le</strong>ur nom est souvent employé dans les jurons, celui de<br />
Castor étant réservé <strong>aux</strong> femmes. Représentation des fils de Dionysos (dans la version<br />
ancienne classique): Ils sont représentés portant une tunique blanche, une chlamyde<br />
pourpre et le pilos, un chapeau conique qui a la forme d'une moitié d'œuf et rappelle les<br />
circonstances de leur naissance. Ils figurent souvent en compagnie des chev<strong>aux</strong> Xanthe<br />
et Cyllare, comme dans le célèbre groupe, qui encadre actuellement la place du Capitole,<br />
à Rome. Ils figurent sur le coffre de Cypsélos, entourant Hélène, avec Éthra gisant sur le<br />
sol à leurs pieds ; une inscription indique : « <strong>Le</strong>s Tyndarides emmènent Hélène et enlèvent<br />
Aethra d'Athènes ». On les retrouve également dans les représentations des différents<br />
épisodes de la quête des Argonautes, comme les métopes du trésor des Sicyoniens à<br />
Delphes. Ils figurent sur le cratère des Niobides, qui représente peut-être le départ des<br />
Argonautes, Castor portant le pilos et tenant la bride d'un cheval, Pollux tenant un<br />
bâton, le pilos porté autour du cou par une courroie et un manteau sur le bras[31]. Enfin,<br />
le rapt des <strong>Le</strong>ucippides est représenté sur un relief en bronze au temple d'Athéna<br />
Chalkioikos (« à la maison de bronze ») et sur le trône d'Apollon à Amyclées. Jean-<br />
Philippe Rameau leur consacre une tragédie lyrique, « Castor et Pollux ». Dans la<br />
chanson <strong>Le</strong>s Copains d'abord, Georges Brassens fait allusion <strong>aux</strong> jume<strong>aux</strong> mythiques.<br />
Note utile :<br />
<strong>Le</strong> dieu guerrier Arès eut de nombreuses relations amoureuses, dont notamment :<br />
Aphrodite, Harmonie (fille divine d’Aphrodite). Et surtout sous notion retrouvée :<br />
Hécate (la déesse de la Nuit : lire sous Nyx, lire sous Morphée) son épouse officielle dans<br />
l’ancienne mythologie hellénique, quand le dieu Arès est également considéré comme<br />
étant un dieu de la Nuit. Puis, sous notion très rare : Artémis, la déesse de la Lune (et<br />
meilleure amie d’Hécate). Enfin, la déesse romaine Bellone, quand Arès se retrouve sous<br />
son nom de dieu Mars, est citée comme étant son autre épouse officielle. Bellone étant la<br />
correspondance exacte à la déesse grecque Ényo.<br />
Source : LE GARÇON AUX BÂTONS D’ENCENS - CHAPITRE VII – Dionysos<br />
Sous – chapitre : <strong>Le</strong>s Dioscures – Mythes & Légendes<br />
Mots clés : Dioscures, Ménades, Bacchantes, Sémélé et Zeus, Ariane, Hélène de Sparte, Satyres, → Arès<br />
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16. 06. 2008 12 : 30<br />
Remarque sur Dionysos<br />
Dionysos et son Thiase, musée du Louvre<br />
Dionysos est le dieu de la Vigne. Du Vin et de la Folie probablement confondue avec<br />
l'état d'ébriété dans l'Antiquité (lire sous Dionysos). Dionysos commandait dans la<br />
mythologie grecque <strong>aux</strong> dieux et déesses de la Folie. Symbolisées sous les traits de<br />
certaines divinités mineures. Telles que celles que représentent : le dieu Athopon, le<br />
dieu Tinos, ou encore la déesse Mania (ou Mainê) la folie, les déesses Méria et Anoïa la<br />
privation de la raison. Ces divinités sont les entités mythologiques. Qui, dans la Grèce<br />
antique. Inspiraient <strong>aux</strong> humains la Folie et la Déficience. En effet, Athopon, Tinos,<br />
Mania, Méria et Anoïa sont les dieux grecs qui suscitaient généralement l'action de<br />
l'irrationalité humaine. Nommée également. Par la symbolique du dieu Alogikos. <strong>Le</strong>quel<br />
notamment. Était connu pour rapter toute raison <strong>aux</strong> humains et parfois <strong>aux</strong> dieux. Ces<br />
divinités étaient considérées comme des ennemies d'Athéna la Sagesse de la Raison (lire<br />
sous Athéna). Car en effet, ces divinités mineures malveillantes ravissaient chaque fois<br />
qu'elles le pouvaient les larmes divines de la déesse '<strong>aux</strong> yeux pers' : 'Athéna', disait-on.<br />
Quelques autres dieux grecs mineurs<br />
Naissance de Dionysos<br />
Gélès, le dieu du Rire<br />
<strong>Le</strong> dieu Gélès est le dieu du rire : Celui qui aime rire de bon cœur. Dans la mythologie<br />
grecque ancienne, il génère la bonne humeur, l'euphorie et la joie. C'est un dieu<br />
secondaire et mineur. Assez peu connu, les grecs en firent une entité allégorique.<br />
Pourtant, c'est lui qui se manifestera le premier lors de l'affaire de l'adultère (lire sous<br />
Aphrodite et Arès). Car en effet, étant allié à la cause d'Héphaïstos, l'influence du dieu<br />
Gélès agira sur l'assemblée des dieux de l'Olympe lorsque cette dernière (l’assemblée)<br />
apprit la nouvelle et qu'elle vint constater par elle – même la mauvaise posture des deux<br />
amants pris au piège dans le filet du dieu Forgeron. <strong>Le</strong> dieu de la Joie et de la Jovialité<br />
restera cependant le dieu Ilaros (la Joie), dont le nom en français donna naissance au<br />
nom commun de l’hilarité.<br />
<strong>Le</strong>s dieux de l'Habileté<br />
Dans la mythologie grecque, les dieux princip<strong>aux</strong> sont vénérés. Mais il leur est le plus<br />
souvent associé une multitude de divinités mineures qui les secondent et les servent.<br />
Ainsi entend-on parfois parler des dieux de l'Habileté. Connus sous les noms des dieux<br />
Deinotès, Takytès, Empeiria, Sothia, ou Deksiotès. Ils présidaient discrètement <strong>aux</strong><br />
cultes d'Hermès, d'Apollon, d'Athéna, d'Arès, et d'Artémis. Ils inspiraient tous les héros<br />
dans leur action. Et dans leurs combats et autres expéditions périlleuses. La plus<br />
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puissante d'entre ces divinités était sans doute la déesse Ekklinê la déesse de la Défense<br />
(rare). Car elle patronnait l'Agilité. Si curieusement que cela puisse paraître. Celle - ci<br />
(Ekklinê) observait le service de la déesse Éos. Qui parfois, représente quant à elle, et à<br />
son acquis : la déesse de la Défense parfaite (Éos). Ce, dans certaines traditions de la<br />
civilisation grecque. Ekklinê eut deux filles. Qui se nomment : Epikoyria et Boéthéia. Ce<br />
sont ainsi les trois puissantes déesses de la défense, et placées souvent auprès d'Athéna.<br />
<strong>Le</strong>s combattants attaqués leur devaient bon nombre de leurs victoires.<br />
Illustrations de Guerriers<br />
L'Aide <strong>aux</strong> Héros<br />
Au service d'Hermès et d'Athéna, dans la mythologie grecque. Ces divinités mineures du<br />
secours et de l'aide contribuaient à l'ordre des choses. Thémis la Justesse avait souvent<br />
recours à leur conseil. Connus sous le nom des dieux secourables suivants : les déesses<br />
Nous et Dianoia : l'Intelligence. Généralement associées avec l’universelle déesse<br />
Epistemê : la Connaissance. Elles intervenaient sous le bon patronage d'Hermès.<br />
La déesse Agkinoia était l'Intelligence habile. Elle inspirait, ce, sur tout ordre d'Athéna,<br />
l’action de tous les héros. Tels qu'Ulysse et Héraclès, par exemple. <strong>Le</strong>s déesses Athéna<br />
et Thémis s'allouaient le conseil de la déesse Epieikeia qui était l'Équité. Celle-ci était<br />
donc leur servante. Epieikeia était vraisemblablement la fille de la déesse Thémis.<br />
D'autre part, en tant que fille de Thémis, Epieikeia avait un fils qui se nommait Epeikès.<br />
<strong>Le</strong> dieu Nomos, autre fils de Zeus et Thémis était la symbolique de la Loi. <strong>Le</strong>s fils de<br />
Nomos étaient le dieu Agraphos le dieu mineur régissant les lois naturelles. Ainsi que le<br />
dieu Peithomai le dieu régissant la loi que les humains devaient subir (rare). Associés<br />
au dieu Kreston qui était le dieu de la Bonté lui-même un fils du dieu Beltion (qui était<br />
« celui qui bonifie »). Ces divinités mineures s'offraient l'amitié du dieu Ousa le dieu<br />
révélateur. Parmi les autres dieux révélateurs figuraient également les dieux suivants<br />
s'agissant des dieux : Merusis, Erdeiknomi celui qui révèle les coupables, Deloe, et<br />
Menoen. <strong>Le</strong>s déesses Moira et Tykê veillaient sur le Destin et sur la Destinée des héros.<br />
Ainsi que parfois. Sur celle de certains dieux. On les dit, rarement toutefois, parentes des<br />
déesses Moires. Elles orientaient sur les humains : la déesse Anagkê la Nécessité. Ainsi<br />
que le dieu Anagkaion le Besoin, frère de la première. La déesse Athéna chassait du<br />
chemin de la suprême Héra : les dieux Anaidès l'Irrévérence et Anaidéia la déesse de<br />
l'Irrespect. <strong>Le</strong>s dieux princip<strong>aux</strong> de la Grèce antique orientaient sur les hommes qui<br />
avaient des fautes à se faire pardonner : la déesse Oiktos la Pitié. Laquelle tempérait<br />
alors les déesses Érinyes de la Vengeance. <strong>Le</strong>s cousins sympathisants, de Phoibos et<br />
Deimos, étant les dieux Ptoesis la Terreur et Ekpleksis l'Épouvante.<br />
Illustration de la scène : .... C'est sur l'ordre de Zeus le roi des dieux olympiens, que le dieu Mercure confie le dieu Bacchus<br />
<strong>aux</strong> Nymphes de Naxos<br />
Dans la mythologie grecque ancienne, au détail descriptif, il était alors parfois dit que<br />
lorsque les deux premiers : Phoibos et Deimos, se trouvaient d’un côté dans un camp<br />
militaire. <strong>Le</strong>s deux seconds : Ptoesis et Ekpleksis, se trouvaient quant à eux dans l'autre<br />
à faire les mêmes horreurs durant les guerres les plus sanglantes. Sinon, Ptoesis et<br />
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Ekpleksis étaient attribués au service de la Muse Melpomène (la Tragédie). <strong>Le</strong>s dieux de<br />
l'enseignement étaient représentés sous la forme de la déesse Didaskê celle qui informe.<br />
Et sous celle des autres dieux. Que sont les divinités mineures suivantes :<br />
Peiranlambanê, Manthanê, Ethidzomai. <strong>Le</strong> courage était inspiré <strong>aux</strong> héros sur l'ordre<br />
des dieux princip<strong>aux</strong>. Et ce autant parfois et par exemple, par le dieu Andreia la<br />
Vaillance, le dieu Tharrès le Courage, le dieu Tharros la Bravoure, les dieux Tolma et<br />
Kartesis l'Endurance au combat. <strong>Le</strong> dieu Tolma qui prodigue l’endurance au combat,<br />
étant parfois cité en lieu et place du dieu Titan Thaumas fils de Pontos : pour l’époux de<br />
la déesse Pléiade Électre (lire sous Iris). La déesse Bia la Violence, le dieu Biadzomai la<br />
Violence gratuite, et le dieu Biaos la Violence et la Véhémence : étaient par Éris la<br />
Discorde envoyés lors des guerres et des autres situations, ce, pour attiser la haine et les<br />
frictions sociales ou militaires. Éris étant quant à elle également la déesse des rixes. Dont<br />
deux des enfants divins étaient notamment et par exemple : la déesse Eidzê et le dieu<br />
Eridos. <strong>Le</strong>ur père serait le dieu Thorybos qui est la personnification de la Bagarre ou de<br />
la Barbarie, avec lequel Éris aurait eu une aventure (rare). Ces derniers sont les alliés<br />
des dieux Astathmeton l'Instabilité et Abebaion les Perturbations liées à la folie. La<br />
déesse de la riposte était la déesse Takeia, siégeant sur les contres – attaques. Son fils<br />
étant le dieu Atarakos le dieu patronnant le Sang - Froid. <strong>Le</strong> dieu de la Vérité et des Flots<br />
était le dieu Nérée (lire sous Nérée). La déesse Karteria l'Endurance prodiguait force et<br />
courage <strong>aux</strong> héros de la mythologie ancienne. Tandis que la déesse Takeia la Répartie<br />
leur indiquait comment riposter. <strong>Le</strong> dieu Eleos fils d'Éos était le dieu de la Compassion<br />
(lire sous Éos, lire sous Aphrodite). Son éducateur fut le dieu mineur Eksegersis le<br />
Réveil, associé avec la déesse Thysikê l'Instinct. <strong>Le</strong>s deux dieux des rêves se tenant au<br />
côté de Morphée qu'ils servaient généralement, sont les dieux suivants : Enypion le rêve<br />
heureux, et Oneiros le rêve malheureux. Ou inversement (avec Morphée y compris). La<br />
déesse Dikaiosynê l'Impartialité fut assimilée à Diké la Justice humaine. Ainsi, fut il<br />
établit dans la mythologie grecque qu'il y existait une infinité de divinités secondaires.<br />
Difficiles à classer. Dont la mythologie courante ne fit pas toujours mention. Mais dont<br />
l'influence fut pourtant associée à celle des douze grands dieux princip<strong>aux</strong>. Dans le<br />
Panthéon grec ancien. Quotidiennement, ils furent plus ou moins associés à toute réalité<br />
de la civilisation grecque, selon leur importance qui variait en fonction des cultes<br />
religieux, aujourd'hui disparus. Et ils furent même jadis attribués à certains d'entre eux :<br />
les divinités grecques complémentaires, selon la présentation qui en est faite ici. Dans ce<br />
sens, on retrouva de nombreux vestiges de temples anciens, consacrés à ces divinités<br />
majeures ou secondaires.<br />
Image : Naissance du dieu Dionysos<br />
Quelques mots sur le Roi Athamas, et l’aide qu’il apporta à Dionysos.<br />
<strong>Le</strong> Personnage d’Athamas<br />
Citation :<br />
« Celui dont le nom signifierait : ‘Celui qui n’a pas la foi en détruisant les génies du mal’.<br />
Mais autant : ‘Celui qui moissonne des Lieux sacrés et élevés’. Athamas : Fils d’Éole et frère<br />
du roi Créthée, de Salmonée et du roi Sisyphe selon les versions (lire sous Sisyphe) ; à qui<br />
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la déesse Héra ordonna d’épouser Néphélé, nuage à qui le dieu Morphée sur ordre de<br />
Zeus avait jadis donné l’apparente forme de ladite déesse du Ciel pour tromper Ixion (lire<br />
sous Héra). De ce fantôme de déesse naquirent deux fils, Phrixos et <strong>Le</strong>ucon, et une fille,<br />
Hellé. Malheureux de cette union en raison d’un filtre d’amour, selon le breuvage jadis<br />
concocté par Ino : Athamas s’éprit d’Ino, fille de Cadmos (lire sous Harmonie), dont il eut<br />
deux fils nommés Léarchos et Mélicerte (lire sous la Toison d’Or, lire sous Jason).<br />
Ensembles, Ino et Athamas cachèrent Dionysos, fils illégitime de Zeus et de Sémélé, et<br />
l’élevèrent dans leur palais déguisé en fille. Irritée de cette attitude, la déesse Héra rendit<br />
Athamas fou au point qu’il prit son fils pour un cerf blanc et le tua d’une flèche au cours<br />
d’une crise. Dionysos aveugla Athamas opportunément afin qu’il fouette une chèvre au<br />
lieu de son second fils Mélicerte. Effrayée par la violence de son mari, Ino se jeta dans la<br />
mer du haut des roches « scironiennes » avec son enfant. Zeus les sauva pour la générosité<br />
qu’ils avaient eue { l’égard de Dionysos et fit d’Ino une divinité du nom de <strong>Le</strong>ucothée, et<br />
de Mélicerte, le dieu Palémon, qu’il envoya dans l’isthme de Corinthe (ville solaire<br />
consacrée { l’astre des dieux, et dont le roi était Sisyphe) sur le dos d’un dauphin. Rejeté<br />
des siens, le roi Athamas entama une longue errance accompagné de quelques fidèles, puis<br />
il alla consulter l’Oracle de Delphes (Apollon) qui lui recommanda de s’arrêter de<br />
marcher que lorsque des bêtes sauvages lui auraient procuré de la nourriture. C’est ainsi<br />
affamé et sans ressources, qu’il rencontra dans une plaine de Thessalie, des loups gris<br />
(symbole d’Apollon et de Nyx) dévorant un troupeau de moutons blancs. <strong>Le</strong>s prédateurs<br />
détalèrent { l’approche du groupe de vagabonds, si bien qu’Athamas et ses compagnons<br />
purent se nourrirent grâce <strong>aux</strong> restes laissés par les loups. Ils décidèrent en conséquence de<br />
créer en cet emplacement une nouvelle ville nommée : Alos, afin de remercier les dieux<br />
pour ce festin miraculeux. La région prit le nom d’Athamantia. Ensuite, Athamas se<br />
remaria avec Thémisto (« Celle qui définit la Justice coupable ») et ils reconstituèrent<br />
ensembles une nouvelle famille royale. Ainsi, tout d’abord époux de l’apparence d’une<br />
déesse, puis protecteur d’un dieu de la végétation et de la vigne, ensuite rendu fou par la<br />
déesse véritable (Héra) : Athamas ne parvint à créer son centre citadin qu’après avoir été<br />
nourrit par le symbole mystique de la nuit et du jour sous l’aspect des forces de la nature<br />
redoutées. Cependant, ce n’était plus d’un enfant mort que naquit une ville, mais des restes<br />
d’un troupeau. Avec le Temps des Olympiens, Zeus, Héra et Dionysos, le meurtre rituel<br />
n’était donc plus rendu indispensable. »<br />
- Fin de Citation -<br />
Source : LE GARÇON AUX BÂTONS D’ENCENS - CHAPITRE VII – Dionysos<br />
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