26.06.2013 Views

UNIVERSITÉ DE MÉDECINE ET PHARMACIE ,,Gr. T. Popa " Thése ...

UNIVERSITÉ DE MÉDECINE ET PHARMACIE ,,Gr. T. Popa " Thése ...

UNIVERSITÉ DE MÉDECINE ET PHARMACIE ,,Gr. T. Popa " Thése ...

SHOW MORE
SHOW LESS

You also want an ePaper? Increase the reach of your titles

YUMPU automatically turns print PDFs into web optimized ePapers that Google loves.

<strong>UNIVERSITÉ</strong> <strong>DE</strong> MÉ<strong>DE</strong>CINE <strong>ET</strong> <strong>PHARMACIE</strong><br />

,,<strong>Gr</strong>. T. <strong>Popa</strong> "<br />

<strong>Thése</strong> de Doctorat<br />

La recherche clinique et de laboratoire, de l'infection syphilitique<br />

associée à la grossesse<br />

Dirigeant Scientifique:<br />

Dr. Zenaida Petrescu<br />

Ètudiant:<br />

Résumé<br />

Dr. Mohamed Mamdouh Ali Ibrahim Daoud<br />

IASI – 2012


Syphilis congénitale, la grossesse, l'infection, la prévention<br />

2


SOMMAIRE<br />

ABRÉVIATIONS 4<br />

I. INTRODUCTION 6<br />

II. LA CONNAISSANCE ACTUELLE 10<br />

1. Épidémiologie de l'infection syphilis 10<br />

2. Les données sur l'agent étiologique de la syphilis 17<br />

3. Clinique prénatal de la syphilis et l'infection syphilitique 23<br />

4. Diagnostic en laboratoire de la syphilis 47<br />

5. Traitement de la syphilis 56<br />

6. La syphilis et la grossesse: l'évolution et le pronostic 64<br />

III. CONTRIBUTIONS PROPRES &<br />

PERSONNEL RECHERCHE<br />

Portée de la recherche 67<br />

Objectifs de la thèse 67<br />

Étude I: Étude rétro-prospective statistique sur une période<br />

de 9 ans (2003-2011) des femmes enceinte et les nouveau-nés<br />

diagnostiqués avec la syphilis<br />

1. Matériel et méthodes 68<br />

2. Statistiques sur la jurisprudence à l'étude 76<br />

3. Discussion 87<br />

4. Conclusions 91<br />

Étude II: Étude prospective sur l'épidémiologie, les<br />

investigations cliniques et de laboratoire sur une période de<br />

3<br />

67<br />

68<br />

92


six ans (2005-2010) des femmes enceinte, puerpéralité et des<br />

avortons diagnostiqués avec la syphilis<br />

1. Matériel et méthodes 92<br />

2. Statistiques sur la jurisprudence à l'étude 118<br />

3. Aspects cliniques et de laboratoire de l'infection associée à la<br />

grossesse avec la syphilis<br />

4<br />

128<br />

4. Le résultat de l'enquête sérologique a étudié 144<br />

5. Les modifications histologiques dans vêlage syphilis<br />

placentaire<br />

147<br />

6. Traitement de la syphilis chez les femmes enceinte 158<br />

7. Traitement du nouveau-né de la grossesse associée à la syphilis 160<br />

8. Prophylaxie de la syphilis pendant la grossesse 160<br />

9. Discussion 161<br />

10. Conclusions 168<br />

Étude III: Étude prospective sur une période de six ans (2005-<br />

2010) des enfants nés de mères atteintes de syphilis<br />

169<br />

1. Matériel et méthodes 169<br />

2. Statistiques sur la jurisprudence à l'étude 171<br />

3. Discussion 182<br />

4. Conclusions 186<br />

IV. DISCUSSION 186<br />

V. CONCLUSIONS 191<br />

VI. RÉFÉRENCES 195


ABRÉVIATIONS<br />

ANOVA = ANalysis Of VAriance (méthode de traitement statistique)<br />

APGAR = L'activité musculaire, Puls, G = réflexes A = couleur de peau,<br />

Respiration<br />

BCF = Bătăile Cordului fetal (rythme cardiaque fœtal)<br />

CDC = Centers for Disease and Prevention<br />

CRL = Crown-rump length (longueur cranio-caudale)<br />

CTG = Cardiotocografic (cardiographique)<br />

DAT= Diamètre Transverse Abdominale<br />

DBP = Diamètre Bipariétal<br />

DFA = Direct Fluorescent Antibody Test<br />

DFO = Le Diamètre Fronto-Occipitale<br />

DSP = Départament de la Santé Publique<br />

DTT = Diamètre Transversal de la poitrine<br />

EIA = Enzyme-linked Immunosorbent Assay<br />

ELISA = Enzyme Linked Immunosorbent Assay<br />

FDA = US Food and Drug Administration<br />

5


FTA–Abs = Fluorescent Treponemal Antibody with Absorption Test<br />

IFD = Immunofluorescence directe<br />

IFI = Immunofluorescence indirecte<br />

Ig = Imunogobuline (imunoglobulin G)<br />

ITS = Les infections sexuellement transmissibles<br />

LA = Le liquide amniotique<br />

LCP = Lungimea craniu-pelvis (longueur de crâne du pelvis)<br />

LCR = Le liquide céphalorachidien<br />

LF = La longueur du fémur<br />

MS = Ministère de la Santé<br />

RPR = Rapid Plasma Reagin<br />

TPHA = Treponema pallidum haemagglutination assay<br />

TP-PA = Treponema pallidum particle agglutination assay<br />

TRUST = Toluidine Red Unheated Serum Test<br />

UE = L'Union Européenne<br />

UV = Ultra-violet<br />

VDRL = Venereal Disease Research Laboratory<br />

6


I. INTRODUCTION<br />

La syphilis est une maladie infectieuse systémique, complexe, à<br />

évolution chronique, avec des manifestations cliniques protéiformes,<br />

imitant de nombreux problèmes de peau causés par le Treponema<br />

pallidum, qui affecte uniquement les humains et certains primates.<br />

On constate un caractère permanent des signes cliniques et de<br />

l'évolution de la maladie, et une remarquable préservation de sensibilité<br />

à la pénicilline du Treponema pallidum à partir de 1943, et il existe<br />

rarement des souches résistantes actuellement.<br />

L'infection syphilitique est d'une particulière gravité, aussi bien<br />

sur le plan social, de par la grande contagiosité de ses manifestations<br />

primo-secondaires, que sur le plan individuel, de par les conséquences<br />

au long terme de la maladie. La syphilis a été appelée «le grand<br />

imitateur», à cause du tableau clinique souvent atypique.<br />

Comme on peut la transmettre aux descendants, la syphilis peut<br />

avoir une influence négative sur le statut social et la santé des futures<br />

générations. La syphilis congénitale est causée par le passage des<br />

spirochètes à travers le placenta d'une mère infectée au fœtus durant la<br />

vie intra-utérine.<br />

Elle est le résultat des filtres sérologiques inefficaces ou de<br />

contamination pendant la grossesse.<br />

Une fois la maladie diagnostiquée, il est de la responsabilité des<br />

spécialistes de mettre en place un algorithme thérapeutique correcte.<br />

7


Les limites de la pratique médicale, dans certains cas, rendent<br />

difficile l'établissement d'une stratégie thérapeutique en toute entente<br />

avec les patientes. Par conséquent, il devient nécessaire aux médecins,<br />

de développer leurs propres stratégies, adaptées à la réalité clinique et<br />

socio-éducative existante, qui servirait les intérêts du patient et de la<br />

société.<br />

La première partie de la thèse a été consacrée à la description<br />

générale de l'infection syphilitique, y compris des éléments<br />

d’épidémiologie, étiopathogénie et de diagnostic clinique et<br />

paracliniques, puis j'ai fait une présentation des stratégies actuelles du<br />

traitement.<br />

La deuxième partie de cette étude, se base sur le fait que, la<br />

douleur foetale est toujours déterminée, de manière significative par<br />

l'infection syphilitique transmise de la mère à l'enfant pendant la<br />

grossesse.<br />

L’ étude interdisciplinaire de spécialistes cooptés, les<br />

obstétriciens, les dermatologues, les néonatologistes, des maladies<br />

infectieuses, des radiologues et de laboratoire vise à identifier et évaluer<br />

les facteurs de risque affectant les chances de survie et le rétablissement<br />

de l'enfant né d'une mère atteinte de syphilis, la sommation et l'analyse<br />

d'études cliniques et paracliniques caractéristiques liées à la syphilis<br />

maternelle et congénitale, des propositions visant à limiter les<br />

conséquences de la transmission à la descendance, causée par le T.<br />

pallidum en Roumanie en 2012 .<br />

8


II. CONTRIBUTIONS PROPRES & PERSONNEL RECHERCHE<br />

BUT <strong>DE</strong> LA RECHERCHE<br />

Cette étude a débuté dans les locaux où, la mortalité infantile est<br />

encore causée par l'infection syphilitique transmise par la mère à<br />

l'enfant pendant la grossesse, dans un pourcentage significatif à l'échelle<br />

mondiale.<br />

L'étude vise à établir l'incidence de la syphilis chez les femmes<br />

enceinte et les nourrissons à Iasi entre 2003-2011, pour identifier et<br />

évaluer les facteurs de risque influençant la survie de l'enfant, la<br />

description des caractéristiques cliniques et de laboratoire liées à la<br />

syphilis congénitale et la détermination de l'efficacité du traitement dans<br />

la lutte contre cette pathologie.<br />

OBJECTIFS DU TRAVAIL<br />

Identification des cas de syphilis acquise chez les femmes<br />

enceinte issue d'une enquête pendant une période de 9 ans, à compter de<br />

2003-2011.<br />

L'évaluation des liens épidémiologiques au niveau local, et le<br />

plan de leur emploi dans le phénomène général.<br />

Identifier l'efficacité des méthodes de diagnostic actuellement<br />

utilisées à Iasi.<br />

Suivi de l'efficacité des schémas spécifiques adoptés par les MS<br />

en Roumanie, celui-ci, une fois appliqué correctement au long terme,<br />

9


peut conduire à la guérison de la maladie chez la mère et l'enfant, avec<br />

ou sans séquelles.<br />

L'évaluation des progrès et des résultats des cas suivis, avec<br />

l'occasion de mettre en évidence les coordonnées générales dans<br />

lesquelles on pourrait encadrer cette maladie.<br />

Étude I: Étude rétro-prospective statistique des femmes enceinte et<br />

les nouveau-nés diagnostiqués de syphilis, sur une période de 9 ans<br />

(2003-2011)<br />

OUTILS <strong>ET</strong> MÉTHO<strong>DE</strong>S<br />

L’étude rétro-prospective statistique, a été effectuée en ajoutant<br />

et en corrélant des données statistiques et médico-légale, obtenues grâce<br />

au Service de Surveillance et Contrôle des Maladies Transmissibles.<br />

Dans le groupe des patients étudiés ont été inclus 922 sujets: 461<br />

puerpéralitées diagnostiquées de syphilis et les bébés nés de ces mères.<br />

Le diagnostique les femmes enceinte et des nouveau-nés, a été<br />

réalisée par des méthodes cliniques (inspection et palpation) et de<br />

laboratoire, notamment sérologiques: RPR, VDRL, TPHA, ELISA IgM,<br />

ELISA IgG, FTA-Abs (IFI IgG, IFI IgM).<br />

Les données obtenues ont été traitées statistiquement en utilisant<br />

l'ANOVA bi-factorielle et les tests spécifiques de corrélation, puis<br />

tracées à l'aide de Microsoft Office Excel logiciel 2007.<br />

10


RÉSULTATS <strong>ET</strong> DISCUSSION<br />

En Roumanie, la tendance est, de diminuer l'incidence de la<br />

syphilis de 2003 à nos jours (de 15% de nouveaux cas en 2009 , à 11 %<br />

en 2011) étant un taux des plus élevés de la réduction du nombre des cas<br />

de syphilis (30 % depuis 2006) en comparaison avec l'UE où l’incidence<br />

des cas de syphilis a été de 4,55% en 2009.<br />

Selon les données fournies par la DSP de Iasi, environ un quart<br />

des femmes en Roumanie, qui ont été diagnostiquées de syphilis étaient<br />

enceintes. Le nombre de cas confirmés de syphilis congénitale<br />

enregistrés dans les maternités de Iasi ont enregistré des diminution<br />

spectaculaires au cours de la période pendant laquelle ce phénomène a<br />

été étudié, ce qui est cohérent avec la diminution de nouveaux cas de<br />

syphilis déclarés à travers le pays en même temps. La différence<br />

significative entre les deux populations, c'est que depuis 2008, il n'a pas<br />

été confirmé qu'il y avait des cas de syphilis congénitale, grâce au<br />

travail intensif, de l'équipe des épidémiologistes, dermatologues, des<br />

obstétriciens, et médecins de famille. L'incidence de la syphilis<br />

congénitale à Iasi a été fortement diminuée de 59,2% de naissances en<br />

2006 à 38,6% en 2007, puis zéro dans ces dernières années (2008-<br />

2011). La plus part des cas proviennent de la zone rurale et la<br />

prédominance des hommes (56%) aux nourrissons atteints de syphilis<br />

confirmée, enregistrée à Iasi, ne peuvent pas refléter la prévalence de la<br />

syphilis dans les deux environnements de la zone géographique dans<br />

laquelle nous avons mené l'étude, et ne peuvent être extrapolés à<br />

11


l'échelle nationale. Aucune des femmes avec des nourrissons atteints de<br />

syphilis congénitale n'a été traitée correctement pendant la grossesse<br />

contre cette maladie. Il est à noter que 41% des cas provenant des<br />

localités à proximité des villes de Pascani et Târgu Frumos,<br />

représentaient deux grandes épidémies à Iasi (Figure 1).<br />

44%<br />

15%<br />

Figure 1. Répartition pour cent des femmes enceinte ayant eu des<br />

nourrissons atteints de syphilis congénitale confirmée (entre 2003-2011)<br />

selon le lieu de résidence.<br />

Sur les 27 des cas de puerpéralité avec des enfants atteints de<br />

syphilis congénitale confirmée, 15 cas n’ont pas été pris en compte au<br />

cours de la grossesse (Figure 2).<br />

22%<br />

12<br />

19%<br />

Pascani<br />

Targu Frumos<br />

Les autres comtés<br />

D'autres localités<br />

du comté


56%<br />

Figure 2. Répartition en pourcentage des cas pris en charge par le<br />

médecin de famille, de femmes enceinte qui ont des enfants atteints de<br />

syphilis congénitale confirmée<br />

Quatre des 12 cas poursuivis par les médecins de famille tout au<br />

long de la grossesse n'ont jamais procédé à des tests de laboratoire.<br />

Cette situation est inacceptable dans un pays où l'accès aux tests de<br />

sérologie de la syphilis est gratuit est souvent facilité par le déplacement<br />

des équipes de laboratoires mobiles sur le territoire (Figure 3). La<br />

plupart des nouveau-nés de mères atteintes de syphilis (78% des cas)<br />

ont été déclarés comme des patients atteints de syphilis congénitale due<br />

à titre d'anticorps augmenté supérieur ou égal à 4 que dans les tests des<br />

anticorps maternels ou quantitatifs des tests VDRL positivité: ELISA-<br />

IgM ou FTA-Abs IgM (figure 4).<br />

44%<br />

13<br />

Enceintes qui<br />

avaient medicin de<br />

famille<br />

Enceintes qui n'<br />

avait pas médicin<br />

de famille


Figure 3. Répartition en pourcentage de l'évaluation sérologique de la<br />

78%<br />

70%<br />

30%<br />

syphilis pendant la grossesse.<br />

22%<br />

Figure 4. Répartition en pourcentage des cas de syphilis congénitale<br />

confirmée par la présence / absence de signes cliniques<br />

14<br />

Enceinte<br />

sérologique évalué<br />

Enceinte unrated<br />

par leur médecin de<br />

famille<br />

Avec des signes<br />

cliniques<br />

Sans signes<br />

cliniques


Sur les 27 femmes enceinte pendant la période périnatale<br />

diagnostic de syphilis qui avait nourrissons atteints de syphilis<br />

congénitale confirmée, entre 2003-2011, le comté de Iasi, faite par le<br />

Département des sciences de la santé publique, 12 patients (44% des<br />

cas) ont dit qu'ils subi au moins un avortement spontané et les fœtus<br />

morts nés dans l'histoire (figure 5). Répartition en pourcentage selon<br />

qu'il s'agit ou non d'un traitement de la syphilis, le nombre de femmes<br />

enceinte ayant eu nourrissons atteints de syphilis congénitale confirmée<br />

entre 2003-2011, le comté de Iasi, faite par le Département des sciences<br />

de la santé publique est représenté dans la figure 6.<br />

56%<br />

44%<br />

Figure 5. Répartition en pourcentage des femmes enceinte ayant eu<br />

nourrissons atteints de syphilis congénitale confirmée en fonction de la<br />

présence / absence d'antécédents obstétricaux pathologiques:<br />

avortements spontanés et des fœtus morts<br />

15<br />

Avec une fausse<br />

couche / mort-né<br />

dans l'histoire<br />

Sans fausse<br />

couche /<br />

mortinaissance<br />

dans l'histoire


7%<br />

Figure 6.Répartition en pourcentage des femmes enceinteayant eu des<br />

nouveau-nés atteints de syphilis congénitale a confirmé, selon<br />

l'utilisation du traitement<br />

Étant donné le faite que de plus en plus les parents se méprendre<br />

à exercer leur rôle parental, en refusant un traitement correct<br />

concomitant avec leur partenaires sexuels, il est impératif de rétablir le<br />

service La Police de la Santé (disparu depuis 1989) qui devra réagir<br />

ensemble avec les DSP des villes et qui devront mener sur la bonne voie<br />

l'acte médical sur les parents, tout dans l'intérêt de l'enfant.<br />

16<br />

93%<br />

Sans traitement Traitement non précisé


Étude II: Étude prospective sur l'épidémiologie, les investigations<br />

cliniques et de laboratoire des femmes enceintes, puerpéralité et des<br />

avortons diagnostiqués avec la syphilis, sur une période de six ans<br />

(2005-2010)<br />

OUTILS <strong>ET</strong> MÉTHO<strong>DE</strong>S<br />

Le lot totale se composait de 209 femmes enceintes, avortons,<br />

parturientes diagnostiquées avec de la syphilis. Les enceinte on été<br />

hospitalisé dans la Clinique d'Obstétrique et de Gynécologie "Cuza<br />

Voda" à Iasi pendant 6 ans entre 2005-2010. L’année 2011 a été<br />

consacrée à l'interprétation des données épidémiologiques, cliniques, de<br />

laboratoire et de traitement, et leur traitement statistique. Ces cas ont<br />

fait l’objet de l’étude actuelle basée sur des examens cliniques et sur<br />

certains examens d'imagerie réalisés par étudiant par le doctorant. Aux<br />

femmes enceinte et aux nourrissons prises en compte pour l’étude on les<br />

à fournis gratuitement: l'examen clinique initial et la confirmation du<br />

laboratoire du diagnostic, l'instauration du traitement en conséquence et<br />

l’initiation de ceux-ci, la surveillance du traitement afin qu’il soit<br />

effectué complètement, ainsi que des contrôles et des réévaluations<br />

périodiques.<br />

La Composition du groupe d'étude:<br />

Lot de 209 patients étudiés étaient : 185 femmes enceintes,<br />

parturientes et l'avortés ont suivi le bon traitement pour la<br />

17


syphilis, et 24 avortés et parturientes n'ont pas reçu un<br />

traitement avant d’être hospitalisées à la maternité.<br />

159 femmes enceinte qui ont accouchée à terme Ou<br />

prématurément, les fœtus vivants ou morts, 50 femmes<br />

enceinte qui ont avorté spontanément ou sur demande.<br />

Pendant la grossesse, ces patientes ont été étudié cliniquement<br />

(y compris l'évaluation psychologique) et paracliniques par: surveillance<br />

sérologique, échographies, cytogénétique, l'examen histopathologique<br />

du placenta ou du produit d'un avortement pratiqué dans le laboratoire<br />

d’Anatomie pathologique de l'Hôpital Clinique d'obstétrique et de<br />

gynécologie "Cuza Voda" à Iasi.<br />

RÉSULTATS <strong>ET</strong> DISCUSSION<br />

Les pauvres soins prénatals sont un facteur de risque majeur<br />

dans le développement de la syphilis congénitale.<br />

Dans cette étude, nous avons essayé d'enquêter et de définir les<br />

caractéristiques des femmes enceinte à haut risque d'avoir un bébé avec<br />

une syphilis congénitale.<br />

Nous avons également assisté à une série de patients qui n'ont<br />

pas reçu suffisamment de surveillance prénatal et quine présentaient pas<br />

de données sur le développement et le suivi de la grossesse et les cas<br />

d'avortement au deuxième trimestre. L'âge moyen des patientes du<br />

groupe total de l'étude était de 25,64 ans, avec une variation de 14 à 44<br />

ans, avec une forte proportion de cas âgés de 21-25 ans (Figure 7).<br />

18


25<br />

20<br />

15<br />

10<br />

5<br />

0<br />

2005 2006 2007 2008 2009 2010<br />

≤ 20 21-25 26-30 31-35 36-40 41-45<br />

Figure 7. Répartition selon l'âge et les années des femmes enceintes<br />

On peut observer que malgré le fait que l'incidence de la syphilis<br />

est en baisse en général, les cas ont une tendance d’apparaître plus dans<br />

les régions rurales, avec un faible niveau d'éducation (Figure 8), sans<br />

emploi, comme ont indiqué aussi d'autres études dans le autres pays à<br />

travers le monde. Selon le domaine de provenance on a constaté que la<br />

plupart des cas proviennent des zones rurales (57,89%) (Figure 9).<br />

On a pas remarque la syphilis primaire et le pourcentage de<br />

femmes atteintes de syphilis secondaire floride est 11,96%. Si parmis<br />

88,04% des patientes de la groupe sont dans l’état de la syphilis latente<br />

sans être détecté par les médecins de famille, sans que les patientes ou<br />

leurs partenaires sexuels n’ont pas vu la présence de signes cliniques,<br />

devrait être accordée une éducation à la population.76% (159 enceintes)<br />

des femmes nés à terme ou prématurément et pendant la grossesse 24%<br />

19


(50 enceintes) des cas s'est dénoncé spontanément ou sur demande<br />

(Figure 10).<br />

0<br />

5<br />

10<br />

15<br />

20<br />

25<br />

30<br />

2005 2006 2007 2008 2009 2010<br />

Sans étude École primaire Milieu scolaire<br />

Lycée Faculté<br />

Figure 8. Structure du lot en fonction du niveau de scolarité<br />

Figure 9. Répartition par région d'origine de patients<br />

20


Sur les 16 cas d'avortements spontanés (1er et 2e trimestre de la<br />

grossesse), 7 patients (44% cas) ont déjà été diagnostiqués avec la<br />

syphilis et étaient ou avaient entamé un traitement de la syphilis selon le<br />

schéma de l'OMS. 2 des 7 qui ont avorté et qui ont été traité eu des<br />

fausses couches à cause d’une dose de Moldamin dans la même journée<br />

ou le lendemain. Pris dans leur ensemble, la situation de l'avortement<br />

dans notre groupe montre que la plupart des grossesse, à savoir 68%<br />

d'entre eux ont été cessé d'évoluer, une décision de la femme, qui n'est<br />

pas justifiée par des données de la littérature médicale ou des tests<br />

médicaux, les explorations, indiquant la nécessité impératif de<br />

l'avortement. Parmi les naissance avec une évolution jusqu'à<br />

l'accouchement 80% (127 cas) étaient nés à terme et 20% (32 cas)<br />

étaient des naissances prématurées (Figure 11). Il est à noter qu'une<br />

femme enceinte atteinte de syphilis ont montré une ou plusieurs<br />

maladies associées simultanément, comme le montre le graphique. Dans<br />

le groupe d'étude a constaté que, il ya 24 patients qui ne bénéficient pas<br />

de suivi de la grossesse et étaient à la première consultation, ils ont<br />

représenté 11,48% du groupe total de 209 patients. Les changements<br />

dans l'examen clinique général, ce qui exigeait une attention particulière<br />

et une enquête plus approfondie: les verrues de la végétation (verrues<br />

génitales), de l'herpès simplex génitales, la vaginite, les femmes avec<br />

des réactions cutanées.<br />

Changements dans les tests de laboratoire qui nécessitaient une<br />

enquête détaillée: anémie, la sérologie discordante, diagnostic<br />

21


sérologique faux positif. 45,7% des femmes enceinte ont dit qu'ils<br />

avaient des antécédents de maladies sexuellement transmissibles, à<br />

l'exclusion infection par le VIH.<br />

76%<br />

Figure 10.Evolution de la grossesse pour les patients atteints de syphilis<br />

Figure 11. Répartition des cas selon la durée de la gestation<br />

22<br />

24%<br />

Avortement La grossesse a évolué<br />

20%<br />

80%<br />

Naissance à<br />

terme<br />

Une naissance<br />

prématurée


L'incidence de la syphilis associée à la grossesse est plus élevé<br />

chez les femmes primipares ayant une éducation sexuelle pauvres.<br />

Dans la présente étude ont été signalés deux cas d'hépato-<br />

splénomégalie et deux cas à une ascite et hydramnios. Les mères de ces<br />

bébés ont eu un traitement précis pendant la grossesse et à la naissance,<br />

les nourrissons avaient une sérologie négative pour la syphilis.<br />

Le profil sérologique le plus couramment rencontré dans les cas<br />

de syphilis primaire est RPR et TPHA. Très rarement, dans les premiers<br />

stades de la syphilis primaire, RPR et TPHA est négatif, FTA-ABS est<br />

positif. Dans l'étude ont été utilisés les tests tréponémiques pour la<br />

confirmation de 180 cas de syphilis diagnostiqués en effectuant TPHA<br />

(86% cas) et 29 cas par ELISA (14% cas). Nous croyons que tester les<br />

femmes enceinteest extrêmement utile conformément au schéma ci-<br />

dessus même si le coût de test TPHA est plus élevé que le RPR et TPHA<br />

devient en retard ou pas du tout malgré après d’un traitement<br />

correctement induite.<br />

Arguments en faveur de l'introduction du TPHA dans la pratique<br />

de routine de maternités en Roumanie sont:<br />

1) un test positif est plus rapide que le RPR ou VDRL (plus près du<br />

moment des rapports sexuels infectés)<br />

2) est un marqueur qui reste positif, généralement plus long que le<br />

RPR, après un traitement équitable effectuée.<br />

3) à 5% des patients atteints de la syphilis latent en retard non<br />

traitée devient negatif, pendant que TPHA reste positif.<br />

23


4) 11 cas de femmes enceinte testées et exclu du groupe RPR<br />

étudie a montré faux positif et ce résultat a été comme possible dans le<br />

contexte de la grossesse.<br />

5) On sait que RPR peut être positif même sans infestation THPA :<br />

les personnes âgées (10% des personnes de plus de 70 ans), enceinte, la<br />

leptospirose, la mononucléose infectieuse et d'autres maladies<br />

infectieuses, les maladies auto-immunes, 25% des toxicomanes des<br />

stupéfiants iv, le HIV, l'hépatite, la tuberculose, le paludisme, chancre<br />

mou .<br />

6) PRP fausse négatif peut être causée par les trousses médicaux<br />

anciens au qui ne sont pas a nous- même (ne sont pas manipulé<br />

correctement obtenus en achetant à bas prix, de qualité médiocre).<br />

7) RPR devient positif plus tard que TPHA (≥ 2 semaines).<br />

Il est préférable de s'assurer de la présence d'une cicatrice<br />

sérologique positif TPHA, avec le contrôle a posteriori des la négativité<br />

des tests non tréponémique et / ou l’absence d'IgM par ELISA ou FTA-<br />

Abs après un traitement correctement suivi, que d'ignorer un nouveau<br />

cas de syphilis avec des tests non tréponémique avec une fausse<br />

négativité ou vieux cas de syphilis avec une négativité spontanée de ces<br />

tests. Dans 7 cas, les nourrissons étaient séropositifs après les non<br />

tréponémique de syphilis tandis que les mêmes tests étaient négatifs<br />

chez les mères. Cela pourrait être expliqué par la possible négativité<br />

spontanée, sans traitement, des testes non tréponémique e dans la<br />

syphilis latente tardive, alors que chez l'enfant peut être positif en raison<br />

24


d’une nouvelle infection du fœtus. Certaines mères ont eu une fausse<br />

négativité du RPR périnatale, mais le test sérologique du nourrisson à<br />

été correcte. Une autre explication pourra être qu’il y a eu une fausse<br />

positivité des tests non tréponémique aux nourrisson. Seuls 25,83% des<br />

enceinte ont effectué des tests sérologiques avec leurs partenaires<br />

sexuels: 16 partenaires ont eu constamment un résultat négatif pendant<br />

tous les tests sérologiques, alors que les femmes restaient positives,<br />

même si le titre d'anticorps a diminué. Les 38 autres partenaires sexuels<br />

ont montré une positivité constante lors de tous les tests sérologiques.<br />

L'âge gestationnel moyen au moment de l'application du<br />

traitement était de 17,7 ± 3,9 semaines.<br />

Certains médecins ont «conseillé» les patientes enceintes,<br />

diagnostiquées avec la syphilis durant le premier trimestre de la<br />

grossesse, d'avorter en tenant compte de "graves anomalies<br />

congénitales" qui pourraient compromettre la conception du produit en<br />

cours. Mais il est connu le fait que la négativité de la sérologie peut<br />

durer de nombreuses années, et dans certains cas peut durer toute la vie<br />

la positivité des tests non tréponèmique. En outre, T. pallidum traverse<br />

la barrière du placenta après l'âge gestationnel de 16-18 semaines. Il est<br />

donc absurde l indication d’un avorte pour les grossesses ayant détecté<br />

la syphilis dans le premier trimestre. Un simple traitement conforme aux<br />

schémas en vigueur peut assurer le développement du fœtus sans être<br />

influencé par la syphilis traitée. Donc nous ne pouvons pas parler d’un<br />

avorte thérapeutique.<br />

25


L'échographie a été pratiquée comme un outil de suivi pour le<br />

diagnostic et le suivi d’évolution des 145 grossesses jusqu’ à la<br />

naissance, qui ont reçu aussi un traitement.<br />

Les résultats ont montré que l'échographie n'a pas pu trouver la<br />

présence de placento-mégalie dans aucun des cas suivis (Figure 12).<br />

Après ces examens nous avons constaté : deux cas d'hépato-<br />

splénomégalie fœtale et deux autres cas avec une ascite, hydramnios et<br />

une hidrops fœtal.<br />

Figure 12. Mesure de l'épaisseur placentaire<br />

Examens Eco-doppler de fœtus pendant la grossesse ne montrant<br />

aucun changement significatif.<br />

26


Changements anatomo-pathologique du placenta<br />

Dans cette étude nous avons analysé Histopathologie, 23<br />

placentas de mères ayant une sérologie positive pour la syphilis et 17<br />

produits de l'avortement (et les débris trophoblaste placentaire).<br />

Parmi les 23 patients dont les placentas ont été soumis à un<br />

examen anatomo-pathologique, 19 ont reçu un traitement équitable pour<br />

la syphilis avant la naissance, et 4 femmes enceinte ont été traitées.<br />

17 placentas provenanr de mères ayant une sérologie positive<br />

pour la syphilis et le traitement qui suit, n'a montré aucune anomalie<br />

morphologique macroscopique ou microscopique.<br />

Parmi les 4 femmes enceinte non traitée, 3 sont nés à terme (d'un<br />

fœtus mort) et interrompue à 22 semaines de grossesse.<br />

Dans ce dernier cas, le placenta a eu les dimensions: 9 cm de<br />

diamètre et 2 cm d'épaisseur et des lésions chroniques de Villitis<br />

chronique, infiltration plasmocytaire intervilositaire, la prolifération des<br />

fibroblastes et une et une hypertrophie vileuse.<br />

L'un des placentas qui provient d’une femme enceinte<br />

diagnostiquée avec la syphilis et non traitée avait une augmentation du<br />

volume macroscopique et le poids, sans grands objectifs des<br />

changements microscopiques.<br />

Les 5 placentas qui provient des 2 femmes enceinte atteintes de<br />

syphilis traités et 3 non traitées ont présenté des lésions comme:<br />

- Chorioangioma-like (congestion vasculaire massive,<br />

hypertrophie vileuse avec immature Vili) (Figure 13)<br />

27


- L'œdème et des lésions vasculaires (Figure 14)<br />

- Hématome déciduale basale<br />

- Chroniques de Villitis plasmocytaire aiguë (Figure 15)<br />

Il n'était pas possible d'évaluer la syphilis anatomie pathologique<br />

dans le cas de placenta qui provient de la grossesse avec le fœtus mort<br />

car il est difficile de différencier ces changements qui se produisent dans<br />

le remodelage vasculaire mortinaissances.<br />

Anciennes zones d'infarctus ont été identifiés sur les préparatifs<br />

histopathologiques du placenta.<br />

L’examen d’histopathologie du produit de curetage dans 17 cas<br />

de femmes enceinte diagnostiqués avec la syphilis et qui ont connu un<br />

avorte spontané ou sur demande à un âge de la grossesse entre 6-9<br />

semaines n'a pas mentionné des changements qui pourraient révéler la<br />

présence de la maladie ou de son agent étiologique.<br />

Eritroblastose a été constante et significative différente. Les<br />

résultats obtenues, combinés avec nos observations sur eritroblastose<br />

placentaire trouvé presque entière chez les mort-nés due à des raisons<br />

syphilitiques suggère que l'anémie est un facteur important dans la<br />

mortalité à cause de la syphilis congénitale.<br />

28


Figure 13. Histopathologique à chorioangioma-Obx10<br />

Figure 14.Tronc vilositiaire, enflure et congestion vasculaire<br />

Figure 15. Plasmocytes infiltrant villosités choriales, une hyperplasie<br />

des cellules de Hofbauer - placenta syphilitique sans traitement.<br />

29


Discussions sur l’examen de l'étude psychologique<br />

Les médecins prennent une attitude objective, strictement<br />

nécessaire, quand une femme enceinte est diagnostiquée de syphilis.<br />

Plus de 50% des médecins croient que les femmes enceinte<br />

infectées par la syphilis devrait continuer la grossesse avec le traitement<br />

nécessaire en raison de la possibilité de guérir la maladie et de ne pas<br />

transmettre la syphilis congénitale jusqu’à 16 - 18 semaines de<br />

grossesse. Suite aux recherches, le résultat à été que l'attitude des<br />

femmes enceinte a été fortement influencé par ces nouvelles (l’infection<br />

à T. pallidum), au sens où cela a fait apparaître les symptômes de stress,<br />

la tension psychique, l'inquiétude pour l’enfant, le souci de cacher le<br />

diagnostic (48% n'ont pas parlé à la famille sur la situation, alors que<br />

39% cache à son mari cet événement).<br />

Plus difficile semble être la relation avec les cadres médicaux<br />

qui traite ces femmes avec réticence, supériorité et semblent leur faire se<br />

sentir coupables (42% ne se sentent pas à l'aise dans les relations avec<br />

les cadres médicaux, tandis que 28% ont la honte, la gêne, simplement<br />

parce qu'ils sont tellement diagnostiquée.<br />

Comme une conclusion générale, l'attitude de ces femmes subit<br />

des changements depuis la nouvelle du diagnostic. Les sentiments<br />

principaux sont confrontés à la honte et de culpabilité, et, en outre,<br />

l'estime de soi menacée.<br />

Leur anxiété augmentera les tensions sur les motifs de "toujours<br />

en garde" (ne pas être découverte par son mari, par sa famille, par ses<br />

30


parents). Les femmes font preuve de confiance dans leur médecin et<br />

dans le traitement à suivre, sans se faire des soucis notables sur le futur<br />

état du nouveau-né.<br />

Le traitement des femmes enceinte atteintes de syphilis<br />

La plupart des femmes enceinte dans l'étude et ont reçu un<br />

traitement pendant la grossesse ont été diagnostiqués avec la syphilis<br />

sérologique pendant le 1èr trimestre de la grossesse (57 % des cas<br />

respectivement 106 patientes sur 185 traitées) et seulement 3% des<br />

patientes ont été détectés au troisième trimestre de grossesse.<br />

Le traitement des femmes enceinte atteintes de syphilis a<br />

consisté à l’administration de la pénicilline G cristalline en petites<br />

quantités pendant la journée de prétraitement lui-même, en 4 doses i.m.<br />

à 6 heures d'intervalle, comme suit:<br />

la première dose: 25.000 UI, la deuxième dose: 25.000 UI, le<br />

troisième dose: 50.000 UI, une quatrième dose: 100.000 UI<br />

Le lendemain, comme la réaction de Jarisch-Herxheimer n’a<br />

forcé le report du traitement, ont passé à l'administration de Moldamin,<br />

de 2,4 millions d'UI / dose, i.m. profond à intervalles de 5 jours,<br />

chacune avec 3 doses dans le cas de la syphilis récente et,<br />

respectivement 4 doses pour la syphilis tardive ou on a administré<br />

Retarpen, 2.400.000 UI / dose, i.m. profond à 7 jours d'intervalle, 2<br />

doses –syphilis récente et 3 doses - syphilis tardive.<br />

31


Dans la présente étude on a réalisé sur 24 enceintela<br />

tococardiograma pendant et d’une manière sélective au cours des 12<br />

premières heures après l'injection intramusculaire d’une très petite dose<br />

de pénicilline G cristallin (25.000 UI ou 50 000 UI) avant la dose<br />

thérapeutique de Moldamin / Retarpen. L'intention de cette étude était<br />

l'évaluation de la souffrance fœtale et des contractions utérines et dans<br />

le cas de la réaction Jarisch-Herxheimer.<br />

Le tococardiograme n’a pas enregistré des modifications<br />

significatives grâce au traitement suivi per les femmes enceinte dans le<br />

troisième trimestre de la grossesse, ce qui indique que le traitement de la<br />

syphilis est sans danger pour la mère et le fœtus, mais ayant toujours la<br />

possibilité de s’installer une réaction de Jarisch-Herxheimer.<br />

Une enceinte, prise en étude dans la 33ème semaine de<br />

grossesse, a réalisée avant un traitement chez le médecin de famille avec<br />

2,4 millions UI Moldamin GP, 5 doses à 7 jours d'intervalle.<br />

Dans le cas d’une menace d’un avorte / naissance prématurée,<br />

les femmes enceinte surveillées ont reçu des progestatifs (Duphaston 2<br />

comprimés / jour durant le premier trimestre de la grossesse ou de la<br />

progestérone ou Utrogestan 100 x mg 2-3 / jour dans les deux<br />

prochaines trimestres de la grossesse, à des doses diverses pour des<br />

périodes le temps ajusté en fonction de chaque cas) et tocolytique (no-<br />

Spa, Scobutil, scopantil etc.)<br />

Traitement des partenaires sexuels a été indiqué concomitant que<br />

celle des femmes enceinte atteintes de syphilis.<br />

32


Le traitement des nourrisson issus d'une mère atteinte de syphilis<br />

Les nourrissons de mères atteintes de syphilis ont été traités<br />

selon les schémas en vigueur par certains médecins immédiatement<br />

après la naissance sans demander les résultats des tests sérologiques de<br />

l'enfant à partir de sang obtenu à partir de la fontanelle.<br />

D'autres médecins ont prévu une "confirmation" du RPR et<br />

TPHA positivité chez les enfants, quel que soit a été comparé à RPR de<br />

la mère ce qui n’est pas équivaut à une confirmation du diagnostic de la<br />

syphilis. D'autres médecins préfèrent la confirmation sérologique de<br />

diagnostic de syphilis chez les enfants pour traiter: test- FTA-Abs IgM<br />

positif ou EIA-IgM positifs, RPR de nourrisson il y a quatre fois plus<br />

grande que le RPR de la mère. Le traitement des nourrissons était<br />

pénicilline G cristalline pendant 14 jours à une dose de 50.000 UI / kg<br />

toutes les 12 heures dans les 7 jours de la vie (parce que la fonction<br />

rénale ne permet pas d'augmenter la dose) et 8 heures d'intervalle dans<br />

jours suivants de la vie. Un traitement rapide de la syphilis est<br />

nécessaire pour guérir l'infection, de prévenir les complications et la<br />

transmission à d'autres. Conjoints exposés doivent être examinés, testés<br />

et traités. La pénicilline reste le traitement de la syphilis d'abord, pour<br />

les patients enceinte tant que les patients qui ne sont pas enceintes.<br />

complications.<br />

Les antibiotiques peuvent guérir la syphilis et prévenir les<br />

Les femmes enceinte infecté avec la syphilis doivent être traités<br />

correctement en début de grossesse.<br />

33


Les patients atteints de rapports allergie à la pénicilline, y<br />

compris les femmes enceinte atteintes de syphilis à un stade<br />

quelconque, doivent être désensibilisés et traités avec de la pénicilline.<br />

Le syphilis prénatal est rare et généralement décrits chez des<br />

nourrissons prématurés. Progrès réalisés et mis en place par un<br />

traitement adéquat précoce peut être favorable.<br />

A 1 an après le traitement est effectué correctement, seule une<br />

minorité de femmes enceinte et puerpéralité et les avortés étudié<br />

12,91% (27 cas) avaient VDRL négatif ou RPR, mais dans tous les<br />

autres cas traités 87,09% (182 cas) à a noté une diminution de la RPR<br />

titre et quantitative VDRL.<br />

Les enquêtes sont recommandé pour le dépistage des femmes<br />

enceinte pour la syphilis, due à une infection fœtale.<br />

Le dépistage est fait:<br />

• la première visite prénatale de la femme enceinte<br />

• début du troisième trimestre de la grossesse et à nouveau à la<br />

naissance pour les femmes à haut risque d'être infectées.<br />

Comme d'autres études ont montré plus tôt, les résultats du<br />

dépistage prénatals devraient être examinées par des équipes<br />

spécialisées de médecins, des équipes multidisciplinaires ont de<br />

l'expérience dans la gestion de la syphilis.<br />

Cela permettrait d'assurer un diagnostic précoce avec une<br />

évaluation approfondie de la mère et le fœtus, une stratégie de<br />

traitement rapide et efficace, et suivre l'évolution de la mère et l'enfant.<br />

34


Étude III: Étude prospective des enfants nés de mères atteintes de<br />

syphilis, sur une période de six ans (2005-2010)<br />

OUTILS <strong>ET</strong> MÉTHO<strong>DE</strong>S<br />

Étude prospective des enfants de mères atteintes de syphilis ont<br />

eu lieu entre 2005-2010.<br />

Dans le groupe d'étude ont été inclus 121 nouveau-nés suspects<br />

de la syphilis congénitale, venant de mères atteintes de syphilis admis à<br />

la maternité du service de néonatologie "Cuza Voda", entre 2005-2010.<br />

Parmi eux ont été confirmés le diagnostic sérologique de la<br />

syphilis avec seulement 8 nourrissons.<br />

L'Hôpital Clinique d'urgence pour les enfants "Saint- Maria "de<br />

Iaşi ont été suivis 55 enfants d'âges différents (0-14 ans) de toute la<br />

région géographique de la Moldavie, avec un diagnostic de syphilis<br />

congénitale précoce ou tardive, entre 2005-2010.<br />

RÉSULTATS <strong>ET</strong> DISCUSSION<br />

De nouvelles données sur les nourrissons de mères ayant une<br />

sérologie positive<br />

Sur les 121 nourrissons de mères atteintes de syphilis, seuls 8<br />

cas ont été confirmés sérologique la syphilis congénitale.<br />

Parmi les nourrissons atteints de syphilis congénitale confirmée,<br />

62,5% avaient un score d'Apgar


de syphilis congénitale est déplacé, parfois sont intéressé plus d'organes<br />

ou de système (Figure 16).<br />

Les bébés prématurés à venir de mères atteintes de syphilis<br />

étaient de 14% (17 cas) du total. Le groupe a cherché à la maternité de<br />

4,96% (6 cas) étaient prématurées avec une syphilis congénitale<br />

confirmée, ce qui représente 3,77% des bébés nés de mères atteintes de<br />

syphilis.<br />

38%<br />

Figure 16. Répartition selon le score d'Apgar des nouveau-nés avec un<br />

diagnostic confirmé de la syphilis congénitale en maternité Cuza Voda<br />

La proportion de nourrissons prématurés entre la syphilis<br />

congénitale confirmée était de 75% (6 cas sur 8). Tous les 8 enfants<br />

diagnostiqués avec la syphilis congénitale confirmée étaient des mères<br />

non traitée ou incorrectement traitée pour la syphilis.<br />

36<br />

62%<br />

APGAR < 7 APGAR ≥ 7


Il est à noter que la prématurité est fréquente chez les enfants<br />

atteints de syphilis congénitale confirmée proviennent de mères atteintes<br />

de syphilis non traitée.<br />

Dans l'hôpital "Saint- Maria "de Iasi ont été hospitalisés,<br />

diagnostiqués sérologique et traitée correctement 55 enfants avec des<br />

cas de syphilis congénitale, dont seulement 19 (35% des cas) étaient<br />

symptomatiques. Parmi les signes trouvés dans ces cas, est caractérisée<br />

par la fréquence: une hépatomégalie (6 cas, ce qui représente 9,09%) et<br />

l'anémie (4 cas, représentant 7,27%), et la rareté des cas: e nez<br />

craniotabès associé à (1 cas ), la nécrose prématurée cloison nasale,<br />

l'anémie et une détresse respiratoire néonatale (1 cas), ostéochondrite<br />

congénitale scapulo-humérale droite et le coude gauche et talus valgus<br />

pied droite (1 cas), la peau pâle, avec dessin veineuse abdominale<br />

associée à une augmentation hépato-splénomégalie (1 cas).<br />

Les non tréponémiques utilisés pour diagnostiquer la syphilis<br />

des nourrissons a montré que 25 enfants avaient RPR négatif et 96 RPR<br />

positif. La radiologie est une des meilleures méthodes de diagnostic de<br />

la syphilis chez le fœtus et nourrisson.<br />

Les os longs cylindriques peuvent être facilement examinés<br />

cliniquement et radiologiquement, mais n'importe quel os peut être situé<br />

à une blessure ou une périostite diffuse.<br />

L’importance dans la littérature sur les signes radiographiques<br />

des os, de la syphilis congénitale dans l'étude n'a pas pu identifier que 6<br />

cas(9,84%) de tous les enfants atteints de syphilis congénitale.<br />

37


Hépatomégalie était présent dans 13,11% des enfants atteints de syphilis<br />

congénitale (Figure 17).<br />

Figure 17.Thoraco-abdominale radiographie nouveau-né avec la<br />

syphilis a confirmé, une hépato-splénomégalie<br />

Planning de suivi des enfants atteints de syphilis congénitale<br />

La syphilis congénitale précoce apparaît chez le nouveau-né<br />

dans les deux premières semaines et peut se produire souvent comme<br />

l’ostéoperiostite et ostéochondrite.<br />

38


Après la naissance, une réaction périostée commence,<br />

probablement à cause du l’excès de l'activité musculaire augmentée<br />

effectuée sur ce tissu, et pour les petits enfants c'est peut-être les lésions<br />

squelettiques les plus marquantes. Tout les enfants réactifs sérologiques<br />

(ou avec les mères réactifs sérologiques à la naissance) doit être suivis<br />

cliniquement et sérologique (tests non tréponémique) pendant 3 mois<br />

jusqu'à la négativité des tests ou jusqu'au quand le titre a diminué de 4<br />

fois. Si l'enfant n'a pas été infecté (cet-à-dire que les tests étaient positifs<br />

dus à un transfert passif d'IgG maternels) le titres d'anticorps non<br />

tréponémique devrait diminuer jusqu'à l'âge de 3 mois et les tests<br />

doivent être maintenus négatifs jusqu'à à l'âge de 6 mois.<br />

Le même résultat sera atteint et si l'enfant a été infecté, mais<br />

bien traitée immédiatement après la naissance.<br />

La réponse sérologique après le traitement chez les enfants<br />

traités après la période néonatale peut être plus lente.<br />

Si les titres sont stables ou augmentent après l'âge de 6-12 mois<br />

l’enfant devraient être évalués, y compris LCR et traitée avec un régime<br />

de 14 jours de pénicilline G par voie parentérale.<br />

Les anticorps maternels tréponémiques transférés passivement<br />

peuvent être présents chez un enfant jusqu'à l'âge de 15 mois.<br />

Un test tréponémique réactif après l'âge de 18 mois est encore un<br />

signe de diagnostic de la syphilis congénitale.<br />

Tous les enfants nés de mères ayant une sérologie positive<br />

doivent être évalués par un test quantitatif non tréponémique (VDRL).<br />

39


III. DISCUSSIONS<br />

Les facteurs de risque varient en fonction d'une région, c'est<br />

pourquoi nous avons considéré intéressant d'identifier un profil général<br />

de la femme enceinte qui a un risque accru de contracter une infection à<br />

la syphilis qui peut être transmise au fœtus. Il est à noter que 73% des<br />

patients ont un faible niveau économique, ils ne bénéficient d’aucune<br />

éducation et nécessite donc l'existence de mesures socio-économiques<br />

pour élever le niveau de la culture et l'éducation sanitaire, l'hygiène dans<br />

la vie quotidienne, la lutte contre le risque des pratiques sexuelles.<br />

Le nombre de femmes qui accouchent chaque année dans la<br />

maternité "Cuza Voda" n'a pas changé dans les derniers 10 ans, mais<br />

cette étude montre que, à Iasi la grossesse et la syphilis congénitale sont<br />

strictement liés à personnes socialement défavorisées.<br />

Le profil maternel avec le risque le plus élevé est chez la jeune<br />

femme qui n'a pas reçu une surveillance prénatale adéquate et qui n’a<br />

aucune connaissance sur la santé personnelle et les règles d'hygiène.<br />

Cette grande faute dans ces cas, appartient au système de santé<br />

primaire, respectif au médecin de famille parce que la plupart des<br />

patients qui avaient une sérologie positive étaient jeunes, sans éducation<br />

sexuelle primaire, mais aussi sans aucune surveillance d’une grossesse<br />

déjà avancée<br />

La plupart des caractéristiques de la maladie ont été décrites<br />

pour plus de 100 ans.<br />

40


Des coûts abordables de tests utilisés pour détecter la syphilis<br />

ont été introduits dans les programmes de dépistage prénatal afin de<br />

contrôler la syphilis congénitale.<br />

En outre, on peut dire que ces programmes étaient responsables<br />

de la diminution de la quasi-élimination de la syphilis congénitale dans<br />

de nombreux pays et il est estimé que cette maladie appartient au passé,<br />

même si elle continue à persister dans les pays pauvres du tiers monde.<br />

La dévaluation du mariage et de la notion de famille, l'existence<br />

des relations extraconjugales et de partenaires multiples sont des<br />

facteurs favorisant la maladie.<br />

En investiguant l'état matrimonial des personnes on a observé un<br />

pourcentage élevé d'infection pour le célibataire et pour ceux vivant en<br />

concubinage. Il ya une augmentation de l'incidence chez les femmes qui<br />

ne travaillent pas (chômeurs, femmes au foyer, etc.).<br />

Un pourcentage de 13,4% des femmes (28 cas) ont des<br />

partenaires sexuels travailleurs effectuant des activités pendant une<br />

longue période loin de sa famille (chauffeurs, les pilotes pétroliers de<br />

marine, représentants commerciaux loin de leur ville ou même à<br />

l'étranger).<br />

Aucun du groupe étudié des femmes enceinte qui ont donné<br />

naissance à un enfant avec une syphilis congénitale n'a jamais appartenu<br />

à d'autres groupes ethniques que le roumain.<br />

Les femmes enceinte appartenant à d'autres groupes ethniques<br />

(les Rroms, les hongrois) ont été soumis à un traitement approprié<br />

41


pendant la grossesse donnant naissance à des enfants sans la syphilis<br />

congénitale.<br />

Au cours des quatre dernières années (2008-2011) n'ont pas été<br />

diagnostiqué des cas de syphilis congénitale à Iasi.<br />

D’après l'expérience acquise au fil des années et surtout la<br />

contribution de nombreuses études scientifiques, on peut conclure<br />

qu’une collaboration étroite entre le médecin de famille, pédiatre,<br />

gynécologue-obstétricien, le dermatologue, le microbiologiste, qui ont<br />

devant eux une infection sexuellement transmissible peut mener à<br />

identifier de nombreux cas de syphilis congénitale qui seraient<br />

autrement ignorés.<br />

Les partenaires sexuels de patientes atteintes de syphilis appelés<br />

afin de subir un examen sérologique ont répondu dans faible<br />

pourcentage (25,83%). Entre 54 partenaires de femmes enceinte ayant<br />

une sérologie positive, qui ont choisi de se présenter au contrôle<br />

sérologique les résultats ont démontré: 29,63% étaient RPR négatif et<br />

70,37% étaient RPR positif.<br />

Tests VDRL et le RPR peut avoir des résultats faussement<br />

positifs dans des conditions divers et, par conséquent, ceux-ci doivent<br />

être confirmés par des tests tréponémiques: TPHA, FTA-ABS, MHA-<br />

TP. Ils restent positifs pendant toute la vie et ne peut donc pas être<br />

utilisé pour suivre l'évolution de la maladie.<br />

congénitale.<br />

Le test FTA-ABS a été introduit pour le diagnostic de la syphilis<br />

42


Ce test est basé sur le principe que l'IgM ne traversent pas le<br />

placenta et donc leur présence dans le sang des nourrissons est une<br />

réponse à une infection à la syphilis active et non à un transfert positif<br />

comme ce passe dans le cas IgG traversant le placenta.<br />

IV. CONCLUSIONS<br />

1. La maladie syphilis avec tableau clinique polymorphe, avec une<br />

évolution imprévisible et mauvais pronostic dans les cas non<br />

diagnostiqués et non traités dans le temps, avaient une fréquence<br />

considérable de 0,4% chez les femmes enceinte admises à la maternité "<br />

Cuza Voda " et à la Clinique dermatologique de Iasi dans la période<br />

2005-2010.<br />

2. Les données fournies par le Département de la Santé Publique,<br />

environ un quart des femmes en Roumanie, qui ont été diagnostiqués<br />

avec la syphilis êtes enceinte.<br />

3. Une grande partie du blâme pour le nombre croissant de cas de<br />

syphilis congénitale ont eu les médecins de famille qui ont suivi des<br />

femmes ayant une sérologie positive au cours de la grossesse et qui<br />

n'ont pas trouvé un moyen de convaincre les mères d'être traités<br />

correctement. Tous les enfants ont été diagnostiqués avec la syphilis<br />

congénitale étaient des mères qui n'ont pas été traités pour la syphilis<br />

pendant la grossesse.<br />

43


4. L'incidence de la syphilis congénitale en Iasi a été fortement<br />

diminué de 59,2% naissances en 2006 à 38,6% naissances en 2007,puis<br />

étant zéro dans ces dernières années (2008-2011)(Figure 18).<br />

80<br />

70<br />

60<br />

50<br />

40<br />

30<br />

20<br />

10<br />

0<br />

42<br />

8<br />

65<br />

55<br />

2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011<br />

Figure18. Comparaison des cas suspects / confirmés de syphilis<br />

congénitale entre 2003-2011, le comté de Iasi,<br />

Enregistré par le ministère de la Santé publique<br />

5. Pour quelques enquêtes épidémiologiques plus précises et pour<br />

le traitement approprié à tous les partenaires sexuels diagnostiqués avec<br />

la femme enceinte devraient être aidé d'un organisme du Département<br />

de la Santé Publique, pour mener à bien ce que le médecin prescrit, les<br />

intérêt du patient pour une vie saine et de la société.<br />

74<br />

46<br />

44<br />

54<br />

46<br />

26<br />

53<br />

5 4 6 4 0 0 0 0<br />

Cas suspects de syphilis congénitale<br />

Cas confirmés de syphilis congénitale


6. Toutes les femmes enceinte atteintes de syphilis doivent être<br />

hospitalisé par les médecins de famille, qui devraient avoir une<br />

distribution uniforme dans chaque zone de Iasi.<br />

7. En Iasi les plus parte des femmes enceinte atteintes de la<br />

syphilis provient de la zone rurales probablement en combinant les<br />

effets de l'épidémiologie, l'incidence est influencée par de nombreux<br />

facteurs, les plus importants sont: le degré de culture, de l'hygiène, la<br />

base économique de l'individu , changement de comportement sexuel,<br />

l'état immunitaire du contact, la quantité d'inoculum.<br />

8. Maternelle profil de risque élevé: a la femme jeune ne<br />

bénéficient pas de la surveillance prénatale, sans éducation sexuelle de<br />

base, qui n'a pas une connaissance personnelle de règles sanitaires et<br />

d'hygiène.<br />

9. Les femmes enceinte qui ont participé au cette étude proviennent<br />

principalement de la catégorie de la population avec l'enseignement<br />

secondaire (46,88%) et seulement 2,87% ont obtenu un diplôme<br />

collégial.<br />

10. La groupe qui a été touche souvent par la syphilis congénitale<br />

c’est la groupe d'âge 21-25 ans (40,19% des 209 cas) qui a été<br />

enregistrée dans l’étude.<br />

11. Analyser l'occupation des femmes enceinte avec la syphilis il ya<br />

une incidence accrue de ceux qui ne fonctionnait pas (chômeurs,<br />

femmes au foyer, etc.)<br />

45


12. Suite à notre recherche montre que l'attitude des femmes<br />

enceinte a été fortement influencé par les nouvelles (infection à T.<br />

pallidum), dans le sens où il est apparu des symptômes de stress, la<br />

tension, l'inquiétude pour les enfants, le souci pour le diagnostic de la<br />

famille et de la clandestinité la société.<br />

13. L'attitude de la femme soufre des changements, depuis le<br />

diagnostic de la syphilis. Les sentiments principaux sont confrontés à la<br />

honte et de culpabilité et de diminuer l'estime de soi. L'anxiété est<br />

augmente à la suite de la pression.<br />

La tableau clinique varie d'un arrondi à l'autre, mais le traitement doit<br />

être correctement mis en place, selon l'OMS sans une trop grande<br />

variabilité d'un patient à l'autre.<br />

14. Les formes cliniques de la syphilis aux les femmes enceinte sont<br />

souvent considérés purement sérologiques ou avec des lésions cutanéo-<br />

muqueuse minime, passent souvent inaperçues.<br />

15. Avec suffisamment de certitude, IgA et IgM peuvent apprécier la<br />

détermination du type d'infection récente ou en retard, mais la forme<br />

clinique de la maladie peuvent être indiqué seulement d’un clinicien.<br />

16. Nous croyons que devrait être le dépistage obligatoire des<br />

femmes enceinteà la maternité tandis que le RPR et TPHA pour éviter<br />

les erreurs de diagnostic. Dans les cas incertains, un test ou FTA-Abs<br />

pour la détermination des anticorps IgM anti T. pallidum peut être<br />

extrêmement utile. Technique TPHA devrait être systématiquement<br />

46


inclus dans l'arsenal des techniques de diagnostic de la syphilis à la<br />

maternité, parce que la précision des résultats est évident<br />

17. Le traitement précoce des femmes enceinte détectées avec<br />

sérologie positives syphilitique peut prévenir l’ apparition de la syphilis<br />

congénitale .<br />

18. Tous les nourrissons de mères dont le statut sérologique de la<br />

syphilis n'a pas été déterminé pendant la grossesse sera nécessaire tester<br />

avant la sortie de l'hôpital.<br />

19. Dans l'étude n'a pas pu identifier que 6 cas seulement (9,84% de<br />

tous les enfants atteints de syphilis congénitale) dont été trouvés des<br />

lésion sur l’os spécifique pour la syphilis congénitale. La radiologie a<br />

fourni l'une des meilleures méthodes de diagnostic de la syphilis fœtale<br />

et aux nourrissons. Les os longs cylindriques sont les lésions qui<br />

peuvent être facilement identifiés à partir cliniquement et<br />

radiologiquement, mais on note que l'un des os peut être le raison d’une<br />

blessure diffuse ou une périostite.<br />

20. L’hépatomégalie était présent dans 8 cas (12,7% des enfants<br />

atteints de syphilis congénitale), pourcentage très faible comparatif avec<br />

les donnés de la littérature (51%).<br />

21. Toutes les femmes enceinte feront un test de dépistage<br />

sérologique de la syphilis deux fois pendant la grossesse: au premier<br />

trimestre, le plus tôt possible après la 28e semaine de grossesse.<br />

22. La prévention primaire de la syphilis pourrait être atteint par des<br />

enquêtes des parents au second degré de patients détectés avec cette<br />

47


maladie, qui peut être apparente cliniquement normaux, mais avec une<br />

sérologie positive.<br />

23. La prévention secondaire consiste à :<br />

l'éducation sexuelle qui a un rôle particulier ;<br />

arrêter l’altération de la fonction et la morphologie des organes<br />

et des systèmes affectés par la maladie grâce à un traitement médical en<br />

général<br />

des contrôles régulière, en l’absence des manifestation clinique.<br />

V. RÉFÉRENCES<br />

1. American Academy of Pediatrics and The American College of Ob-<br />

stetricians and Gynecologists (eds). Antepartum care, in Guidelines<br />

for perinatal care, 4th ed., Washington, D.C., 1997, pp: 65-92.<br />

2. American College of Obstetricians and Gynecologists, Perinatal<br />

viral and parasitic infections, ACOG Practice Bull, 20, 2000, pp:<br />

300-307.<br />

3. Blank S., McDonnell D.D., Rubin S.R., Neal J.J., Brome M.W.,<br />

Masterson M.B., <strong>Gr</strong>eenspan J.R., New approaches to syphilis<br />

control. Finding opportunities for syphilis treatment and congenital<br />

syphilis prevention in a women's correctional setting, Sexually<br />

Transmitted Diseases, 24, 1997, pp: 218-226.<br />

48


4. Bocşan I.S., Izolarea in bolile infectioase, Epidemiologie practică<br />

pentru medicii de familie, Editura Medicală Universitară „Iuliu<br />

Haţieganu”, Cluj-Napoca, 1999, pp: 220-223.<br />

5. Bucur Ghe., Opriş D. A., Monografii medicale. Boli<br />

dermatovenerice, Editura Medicală Naţională, 2002, p. 118.<br />

6. Buiuc D., Tratat de microbiologie clinică, Editura Medicală,<br />

Bucureşti, 2008, p56.<br />

7. Buttigieg G., Detection and management of syphilis in pregnancy,<br />

British Journal of Hospital Medicine, 33, 1985, pp: 28-31.<br />

8. Centers for Disease Control, Relationship of syphilis to drug use and<br />

prostitution Connecticut and Philadelphia, PA. Morbidity and<br />

Mortality Weekly Report, 37, 1988, pp: 755-764.<br />

9. Centers for Disease Control and Prevention, Guidelines for treat-<br />

ment of sexually transmitted diseases, Morbidity and Mortality<br />

Weekly Report , 47 1998, pp: 1-111.<br />

10. Committee on Obstetric Practice American College of Obstetricians<br />

and Gynecologists, Prevention of early-onset group B streptococcal<br />

disease in newborns [opinion 173], American College of<br />

Obstetricians and Gynecologists, Washington, D.C., 1996, pp: 112-<br />

134.<br />

11. Diaconu J.D., Coman A. O., Benea V., Tratat de terapeutică<br />

dermato-venerologică, Editura Viaţa Medicală Românească, 2002,<br />

pp: 37-78.<br />

49


12. Fiumara N.J., Syphilis among Mothers and Children. In:<br />

Proceedings of Impact of the Fetus of Parental STD, New York<br />

Academy of Science, Washington, D.C., 1987.<br />

13. Gheuca-Solovastru L., Dermatologie clinică şi venerologie, Ed.<br />

Junimea Iaşi, 2003, pp: 308-327<br />

14. Ivan A., Teodorovici <strong>Gr</strong>. Pentru un concept epidemiologic in lupta<br />

cu bolile netransmisibile, Viata medicala, Bucureşti, 1981, pp: 419-<br />

423.<br />

15. Jackson F.R., Vanderstoep E.M., Knox J.M., Desmond M.M.,<br />

Moore M.B., Use of aqueous benzathine penicillin G in the<br />

treatment of syphilis in pregnant women, American Journal of<br />

Obstretics & Gynecology, 83, 1962, pp: 1389—1392<br />

16. Larsen S.A., Hunter E.F., Kraus S.J. (ed.), A manual of tests for<br />

syphilis, 8th ed. American Public Health Association, Washington,<br />

D.C, 1990, pp: 167-189.<br />

17. Lynn W.A., Lightman S., Syphilis and HIV: a dangerous<br />

combination, The Lancet Infectious Diseases, 4, 2004, pp: 456-66.<br />

18. Malone J.L., Wallace M.R., Hendrick B.B. et. al., Syphilis and<br />

neurosyphilis in a human immunodeficiency virus type-1 sero<br />

positive population: evidence for frequent serologic relapse after<br />

therapy, American Journal of Medicine, 99, 1995, pp: 55-63.<br />

19. Mamunes P., Cave V.G., Budell J.W., Andersen J.A., Steward R.E.,<br />

Early diagnosis of neonatal syphilis: evaluation of a gamma-M<br />

50


fluorescent treponemal antibody test, American Journal of Diseases<br />

of Children, 120, 1970, pp: 17-21.<br />

20. Mandell G., Bennett J.E., Dolin R., Principles and Practice of<br />

Infectious Diseases, 6th ed. Churchill Livingstone, Philadelphia,<br />

2004, p.56.<br />

21. Ministerul Sănătăţii Direcţia Generală de Sănătate Publică şi<br />

Inspecţia Sanitară de Stat, Comisia de dermatovenerologie, Ghid de<br />

diagnostic şi tratament al infecţiilor transmise sexual, 2004, pp: 6-<br />

22.<br />

22. Moga M., Cristescu G., Infectia cu sifilis in sarcină, Obstetrica, 4,<br />

2006, pp: 34-48.<br />

23. Murray R.P., Baron J.E., Jorgensen H.J., Landri M.L., Pfaller A.M.,<br />

Manual of Clinical Microbiology, ASM press., Washinghton, D.C.,<br />

2007, pp: 12-17.<br />

24. Nathan I., Bawdon R.E., Sidawi J.E., Stettler R.W., McIntire D.M.,<br />

Wendel G.D. Jr., Penicillin levels following the administration of<br />

benzathine penicillin G in pregnancy, Obstretics and Gynecology,<br />

82, 1993, pp: 338-342.<br />

25. Petrescu Z., Brănişteanu D., Ţăranu T., Stătescu L., Dermatologie şi<br />

infecţii transmise sexual, Editura Junimea, Iași, 2008, pp: 446-459.<br />

26. Popescu V., Dragomir D., Arion C., Infecţiile nou-născutului.<br />

Sifilisul congenital – curs litografiat, IMF, Bucuresti, 1979.<br />

51


27. Rawstron S.A., Bromberg K., Comparison of maternal and newborn<br />

serologic tests for syphilis, American Journal of Diseases<br />

Children's, 145, 1991, pp: 1383-1388.<br />

28. Sanchez P.J., Wendel G.D., <strong>Gr</strong>imprel E., Goldberg M., Hall M.,<br />

Arencibia-Mireles O., Radolf J.D., Norgard M.V., Evaluation of<br />

molecular methodologies and rabbit infectivity testing for the<br />

diagnosis of congenital syphilis and neonatal central nervous system<br />

invasion by Treponema pallidum, Journal of Infectious Diseases,<br />

167, 1993, pp: 148-157.<br />

29. Schmitz J.L., Gertis K.S., Mauney C., Stamm L.V., Folds J.D.,<br />

Laboratory diagnosis of congenital syphilis by immunoglobulin M<br />

(IgM) and IgA immune blotting, Clinical and Diagnostic<br />

Laboratory Immunology, 1, 1994, pp: 32-37.<br />

30. Temmerman M., Fonck K., Claeys P., Bwayo J. et. al., Syphilis<br />

Control During Pregnancy Effectiveness and Sustainability of a<br />

Decentralized Program, American Journal of Public Health, 91, 5,<br />

2001, pp: 705-707.<br />

31. Tomizawa T., Kasamatsu S., Hemagglutination tests for diagnosis of<br />

syphilis. A preliminary report, Japanese Journal of Medical Science<br />

&Biology, 19, 1966, pp: 305-308.<br />

32. Ţiplica G.S., Dinu M., Sălăvăstru C., Popescu S.Raportul anual al<br />

cazurilor de sifilis înregistrate la Spitalul Clinic Colentina, Dermato-<br />

Venerologie, 2003, vol. 48, nr. 3 (supliment), pag. 21, ISSN<br />

1220/3734<br />

52


33. United States Public Health Service, The serodiagnosis of syphilis,<br />

Veneral Diseases Information, 9, 1939, pp: 211-224.<br />

34. Wiley J. and Sons, Enzyme-Linked Immunosorbent Assays<br />

(ELISA), in Current Protocols in Molecular Biology Supplement,<br />

34, 1996.<br />

35. Williams K., Screening for syphilis in pregnancy: An assessment of<br />

the costs and benefits, Community Medical Centers, 7, 1985, pp: 37-<br />

42.<br />

36. Wisdom A., Color Atlas of Sexually Transmitted Diseases, Year<br />

Book Medical Publishers, 1989, pp: 65-113.<br />

37. Young H., Moyes A., Seagar L., McMillan A., Novel recombinant-<br />

antigen enzyme immune Assay for serological diagnosis of syphilis,<br />

Journal of Clinical Microbiology, 36, 1998, pp: 913-917.<br />

38. Zenker P.N., Rolfs R.T., Treatment of syphilis, Reviews Infection<br />

Diseases, 12 (Supp 6), 1990, pp: 590-609.<br />

39. Zenker P.N., Berman S.M., Congenital syphilis: reporting and<br />

reality, American Journal of Public Health, 80, 1990, pp: 271-272.<br />

40. Ziaya P.R., Hankins G.D.V., Gilstrap L.C., Halsey A.B.,<br />

Intravenous desensitization and treatment during pregnancy, Journal<br />

of the American Medical Association, 256, 1986, p. 2561.<br />

53

Hooray! Your file is uploaded and ready to be published.

Saved successfully!

Ooh no, something went wrong!