La Cuisine continue - Bibliothèque de Toulouse

p1.111."...."1"--"InuPeummanummularumme. 

ADMINISTRATION 

O REDACTION 

38, Rue Roquelaine 

TOOlsOUSE 

43 

F"""e? 1h. ion 20f,. 

Colonies ' 

Étranger 9 fr. 18 fr. 36F, 

QUATRIZME ANNE'E. 24,10e5 

Paroles 

et Actes 

CO. a,fascuraud a l'habitude de pérorer 

A la :1,1 des banquets auxquels sont con 

Tués fus puissants parlementaires do 

notre triste République radicale. Les 

,fiscours sentent, à la fois, le champa- 

gne, l'esprit et l'arrivisme. Ajoutez-y 

un pesé de patriotisme, puisque c'est à 

E mode après les rés-était-ans qui vien- 

nent d'être faites au sujet des louches 

combinaisons financières qui sont à la 

base mémo du notre action au Maroc. 

Celui fois, M. Maseuraud sc plaint 

qu'en notre douce et vertueuse Franco 

on rencontre une systématique et rigou 

relise opposition aux lois que nous OC- 

{raie le Patdement. J'ai failli applaudir 

quand je nie suis souvenu, fort à pro- 

pos. que les forbans de la politique ra- 

dicale ont approuvé, avec un cynisme 

épouvantable, J'illégalité d'un Briand. 

M. Mascuraud entend, parait-il, sou- 

lever nnpinion. Ce n'est pas difficile. 11 

Dut respecter le. lois: Frer.t bien. Deux 

coupes de champagne là-dessus : Un 

petit e011p de ii Marseillaise à 

el ça 

passe. 

àfniS, tfil inènfr moment, voilà SOM Se 

produit un événement qu'on n'a peut- 

être pas ;indigné avec assez d'énergie, 

ct, gui prouve, d'une f tiQUI 1.0di à fait 

indiscutable, que cc sont nos dirigeants 

radicaux eux-mates qui. de nouveau, 

avec celte audace due notre faiblesse 

seule autorise, subvient les lois du pays. 

Vou, savez ce dont il s'agit. A l'oc- 

casion dit Congrès des mécaniciens et 

des chaulfeurs, da Compagnie du Nord 

a refusé des congés à deux mécaniciens 

el à deux chauffeurs que leurs camara- 

des organisés avaient délégués à ces 

mitigrès. Voilà cciqes un nefus QUi 55 

comprend , depuis la grève, c'est le 

premier congres, on effet,, qui réunit 

ces Irimailleurs de la voie 'ferrée, et ils 

I' sont -représentés au nombre de 12.000. 

Le tbotschilld de .1a Compagnie du Nord 

a shulu faire le fort. Il refusa donc les 

congé; 

1."111èrefatexliünl'irseu 15".'ilh(iie9r''lerrnitIsi4i' / 

t 

du COnSeil cl représenter au gouverne- 

ment une politique stupide et haineuse 

dnetion anti-syndicaliste, nos camara- 

des s'apereeiyent que dans un petit coin 

du ministère, existe Utt certain Auga- 

peur. jadis intéressant, /Mis aujour- 

d'hui tombé dans les Tnavaux Publies. 

Ou désigne des camarades ; Colly su- 

campagne la délégattion. Tu es là, Au- 

gagneur '? On le trame, on lui expose 

le cas ; c'est une violation du droit syn- 

dical. Le ministre, toujours du nom 

d'Augagneur, écoute. L'histoire dira s'il 

n'a pas .ballaé. Enfin, il promet d'inter- 

venir, de prier la Compagnie de reve- 

nir Me sa déSiSIMI. 

Ce qu'il s'eh fiche,l'Augagneur, de. la 

vitaltition du droit syndical ! Et, pen- 

dant qu'il vo prier la Compagnie, au 

lieu de la rappeler à l'ordre et à noliser- 

li, 

' ltiti-ois des lois républicaines, vous en- 

tendez les péroraisons mascurautardesi 

-.exigeons, nous, radicaux, le respect des 

lois ! 

C'est foudroyant 1 La logique est une 

lavé fil/e qu'on viole sans qu'elle pro- 

ieste. Le radicalisme a un tas 4e crimes 

'de cet ordre sur sa conscience ! 

Que voulezsvous ? Nous ne disons 

mien ! 

., Il y aun autre exemple. On discute 

ferme au Parlement sur la liberté d'ac- 

lieu des membre, du corps enseignant. 

J'ai toujours cru que les instituteims 

sent des citoyens, qu'ils ont le droit 

d'écuire, de penser et d'agir selon leurs 

ConScience. J'ai connu des professeurs 

de collège qui affichent leur sentiment 

1'éactionriaire, 'avec courage et avec di- 

gnité, le les eu félicitais. Mais j ai con- 

nu Ull petit pion de collige qui faisait 

des condés-encra socia/istes, et qui, MM 

les rapports d'un commissaire do poli- 

ve abruti par l'alcool, recevait, tous 

ley mois, de violents reproches de son 

Ires aimable recteur.- 

J'ai eu mille raisons de croire que la 

liberté d'opinion est unie fulslis1.111ei Fi1t 

oc-iei qu'un ministre de notre vénérable 

képublique balbutie à la tribune du 

Parlement pour essayer d'établir que 

ih neutralité absolue s'impose aux mom 

M'es de l'onseignement, terne en de- 

' horde de leur service. Ars demoutsmt, 

-ajoute son jésuitisme très radical, ils 

' sent libres. De1 telle sorte qu'il no ré- 

sulte Plefl de clair ni de précis de ces 

dSclarations ministérielles. Barthou 

'"ins iù ail habitués à un langage cuis- 

it Barthou l'al hideusement 

rand il fallut agir dans le sens 

?Irisations. Chaumet et Stecg, 

i h, au milirm de réticences 

. divaguent., sourient et sa- 

le humilie des accia.mations 

radicale châtrée et ané- 

- 

-i'sueiinute 9 La liberté d'a- 

là majorité radicale s'en cou- 

lis! deuxième crime prémédité 

monstrueux ! 

-auroral qui pérore : respectons 

I, la République ! 

es brigands 1 

Jean FONTANILLS S. 

ÉCHOS 

Le BULL TROMPEUR 

Cette petlre histoire rient d'égayer 1,5 mon- 

dains attardés dans me célèbre villo d'eaux du 

cette de la France. 

121e, c'était uns jolie Ainéricaine aderant 

Francoie ; Lui, un gentleman correct, d'une élé- 

gance discrète et sobre. A la promenade, ou ca- 

sino, un buil superbe et de grande race t naseau' 

pagmait toujours. 

Sur le sellier, na flattant Fanimal, la jolie 

Américaine lut mi nem, un nom somptueux, oct,,, 

d'une famille apparentée à dea princes de l'Em- 

pire, Conquise, subjugués, la charnuate Tran- 

satlautique «ut des renards tendres pour le gent- 

leman, e: peur le chien due niasses répêtam. 

Il arove se qu'on peut deviner. L'idelle fut 

courte, mais passaissa r lm baigneurs êe l'hô- 

tel fredonnaient le refrain de la c Vie pnri. 

sie.e 

Ferme. les se na! 

Ne ti,Mlom sanenImme. 

Mais, un jour, es belle Améritaine n.perout 

on; qui Faelinait devant mencleur très Mie 

qui pestait le buil dna; ses lona. nie'adoré disait 

d'un ton très humble 

LoaoitsracleM,ladoasutaausadr, 

Hélas ! ee n'était que le valet de chambre. 

Lu délicieuse Tramarkutique quitta bien site 

00554 aimes per une dépéehe mystérieuse. 

Olt 

PAR HAIS?: DE TOLSTOI. 

Le cumle Léon de TolstA e compté duns sa 

femS, des jurants qui ne pensaient pas du toies 

ennene lui. Le plus ardent advemire de sesdoe- 

tSnes fut, à eeup sfir, ce Dimieri Tolstoï qui fut 

rnkishe de l'instramtiae publie,: et de d'intérieur 

mas les tsars Alexandre II et Alexandre III. 

Cerna,s jour us haut fonetimmaim Os son mi 

ni-sers devant partir eu muances, vint faire ses 

adieux osu -ministre. 

Je sens souhaite bas voyage, dit te Sirote. 

Mais, 0 propos, 50 allet-vous dosa pas,r votre 

congé 

Sur les bords du Min, st je serais heureux 

ci Voire excellenee voulaT bien me charger d'une 

-- Te me Vois pus trop-. ,Mals, an fait. si... E5t- 

eo que vous passer pur Mayence I 

Certainement. J'ai male l'intention hais 'y 

arrêter quelques jours. 

Alors, miei de servire que vomi allez cne 

rend, 47ele irez devant fa statue de Gutenberg 

et cons crashent, en men nom, trois rois on visage 

de cet 

IL N'EST PAS DE PETITES ECONOMLES 

L'imprmatio Schumann vient do publier se; 

ménnoirca. 

Nous y voyons que sll paya fort cher quelque- 

fois MS cabots. l'illustrissime Tamanne n'atm- 

Meit pas... les siens avec des usus:sues. 

Le tente chanteur, raconte M. Sehurnmin 

ensportait toujeux tom petite lampe ir akeol 

luoutême euisimit des aliments qu'il allait ados- 

errer personne et qu'il réglait d'habitude avec 

Sas bigete .do théâtre.., 

àfais il ma ,stlograit particulièrement exigeant 

ourla epteStie delnininaite, ees eontrats stipe. 

1.nes la fourniture de trente-deus bougies par 

jour et a de menière murelité o pour éclairer sa 

loge. 

Or. comte les loges d'artistes sont ;généralement 

sanies de benS de gaz ou d'ampoules êlectriques, 

ces trente-doua boggies, que Tainanee se manquais 

pes de ',Marner churme sols il les emmagasinait 

demeure, lea ondellait migneusrmut et las 

sait suivre dans des malles spéciaies.... 

Puis. it les vendait I 

nous que le ténor disparu conservait as Mot 

a feu >. Mute sa valeur c moliéresque r, 

Et psitt-Etre su &Tom.. Fargotique re- 

ps...ion d' e &Aniser o, 

LA QUESTION DES POUDRES. 

A la Chambre 

Un orateur. Sand, il est. indifférent au 

public quo la poudre soit fabriquée par l'Etat 

Ses vertical:ers: tout eo que nous demandons. 

e 'est qua la peue/e Ka fabriquée par l'Etat ou 

un particuliers; Mut en ses' no. denandens, ekst 

saris poudre ne s'enflamme et'en face de n'es. 

Les Mouchards 

Voici que l'on parle lu nouveau de mou- 

chards et d'agents provoindeurs. Il ne 

faut point s'en étonner. Cet: nefs, seuls, 

auraient pu croire que Métivici était- uni- 

que dans sen genre. 

.Tant que nOns VivrOns en république 

bourgeoise, où faut n'est que mensonge 

et corruption, il y aura des canailles pour 

trahir les camarades et des canailies peur 

payer les traître,. 

LM individu comme Nlétivier est évi- 

demment un ignoble personnage. 51als 

je trouve encore plus ignoble le ministre 

qui suscite et subventionne de tacs gens. 

Et, 'cependant, pendant que 01étivier se 

cache pour échapper au mépris public et 

aux justes représailles, -ceux qui l'ont 

employé et payé, c'est-à-dire Clemeneeau 

et Briand, circulent librement, se promè- 

nent le front haut et peuvent encore pré' 

tendre aux situations les plus élevées. Il 

y a là un exemple de démoralisation gé- 

nérale qui règne partout 

Soyez bien persuadés, d'ailleurs, ge'll 

y a des mouchards dans tous les milieux. 

Lépine et Clenaenceau l'ont avoué Cyni- 

quement au cours de l'onquete parlemen- 

taire sur le scandale Rochette-Lépine-Pi- 

chereau, aujourd'hui étouffé, Et cette dé- 

claration n'a ému pers.sle dans le sale 

monde de la radicaillo. Le mouchard est 

le pilier de 'nes institutions, au même titre 

que les plat, saints qui, in le...Chambre, 

votent les ordres du jour de confiance et 

approuvent l'emploi des s lois scéléra- 

tes ». 

Il y a des mouchards chez les roto,' 

misteh, .comme il y en a chez les révolu- 

tionnaires. 

Penclant que leaseconds pOussênt aux 

violences intempestives, irréfléchies et 

inutilement dangéreuses. les premier, ex- 

ploitent les fusillades et les mesures de 

répression pour tenter d'effrayer les timi- 

des et de les rejeter dans la jattoose. 

Il appartient aux organisations ought- 

res et seCialistes de ne point tomber dans 

le panneall. A nous de no. Serrer les 

coudes et de, déjouer les maneeuvres gou- 

vernementales. 

'Les fripouillards bourgeois sont bien 

bêtes s'ils croient pouvoir enrayer la Ré- 

volution sociale b l'aide de quelque, fri- 

pouillards qu'ils peuvent rencontrer dans 

cas s'arsgc. 

ils ne 

d eine distréditer un pett plus 

un r,gline déjà miltisamment demie aux 

yeux de la classe ouvrier, 

Naance A/LARD, 

C I LA *1= 

L'ADMINISTRATION TUNISOIS 

L'incurie et l'incapacité de eadolinislra, 

lion tunisienne ayant conduit là Tunisie à 

la spoliation. ou choléra et a la guerre ci- 

vile, M. Alapelite, résident général nomade, 

Sem enfin décidé d'ailleurs fer. oc con- 

tra. à résider pendant quelques jour,/ 

dans Sen roYeame 

Les Tunisien» n'en soni dailletus pas 

plus rassueés et, depuis que N. Alapetite 

les SOmml aux eapricey d, son arbitral,, 

ils ne sont pas encore fixés sur le point de 

savoir à quel moment le résident général 

out le plus nuisible à la Tunisie s lors- 

qu'il intrigue à Paris ou lorsque, par ha- 

sard. il adminiitre Tonie 

s'il faut en croire nos merères de la 

presse tunisienne. el. A/apelite profiterait 

des récents troubles d, Tunis, dus à son 

incurie et à l'intapacité de ses eoilabera- 

teum Roc-Blanc et Fleury, pour essayer de 

sa venger, de leur de Sen adminietrés 

tuas les citoyens indépendants gui . 

refusent à s'incliner devant les résultats 

lamentables de mn admini,tration. 

N.s lisons ilans lin Phare» - 

Les affaims sont poralynes: les transuctions 

commerciales tant etternmeent arréleeet des 

souks sont barricadé.; nombre de magasins du 

quartier européen sont fermés. La sécurité n'exis- 

te plus. 

El notre confrère sente : 

Le gouvernement tunisien. pour cather ses 

propres faunes. en omise a violer la iiberla de 

penser, le droit d'écrire, et InArne le eib,rte Im- 

mune. 

Le ac Libéral écrit 

Ii y a ironie ms que la France occupe ta Tu- 

ie.. Un se demande, en voyant les événements 

ui se déroulent, si on ne fan pas peigne mai. 

VeiS reve, 

Ft. voila à quoi aboutit le gouvernement oht 

protectorat représenté par MM. Dobler, Alapetile 

t Blanc. a une émeute qu'ils n'o. même -pas 

bu prévoir et qu'ils ont étO impuissants à rio 

primer, 

C'en le moment. que M. Alapetite choisit 

pour faire annoncer qu'il viendra à Paris 

(miment) poue soutenir sus AdMinistrat 

devant le Parlement. 

San, doute [...me la corde seetient le 

pend, 

CHROMQUE 

Comment Bismarck --- 

fit Chanter la Bavière 

1S ,:arn'er 1555, dans le palais de Ver:nIcs. 

Bis:natal pc recaSer son grand dessein, us: fat 

moi,us l'amoutation clam,, France quo la reanur, 

tien dol'Empira germanique r le,, Etats allemandS 

Sa soumirent, spontanément, à la auenurchie peur' 

Pour réaliser . 7116,1(1, il ne sans:kit pos au 

-ffitincelier de Pm de vaincre s Il fallut surtout 

qu'il extorque ium letesaluis An Sud Faélié. 

slon gui leur répugnait. N5 le Wurtemberg. ni la 

ricsm, si k Orand.Dueld de Bols ni rustout le 

Royal:ne bavarois s'étalent disposés à abdigner 

au profit de la Penne. 

B5eman0 se heurta Amante:lx, e, Vinera.. 

gemee ei à l'hostilité ouverte ceci minier» ba- 

varois. Bray. QemS il arriva Ô Versaince, le 

23 omobre /SM, telni-ol pouvait se emire 55 le 

noirra de l'heure ». Metz maso r.jonrs, soi 

la Loire, Ils jean. avinées républicaines pre- 

naient l'offensive; les nettres s'agitaient. Que 

interiEs on que :a victoire ehanneat 

de ému, et voila earnpromis, à laveille du plus 

ntame 9I/TeS, tont le formidable effort de la 

politique /dama:skies., 

Sa lismière qui cuvai; elaireme. Mus ces 

avantagea, en profilait; elle ntsult scs 

Ni la trahison de Bans'eur ni l'échec des négo- 

ciations entamées par Thiers pour l'armistice, ni 

la morgue ameriensa de Bismarsk as lot firent 

perdre courage. Bien que le temps eût travaillé 

eentro lui, Bray maintenait et aggravait ses pré- 

tentions et, an début de novembre, il menaçait la 

Prousa d'abandonner Versai/les et rejoindre he 

roi Louis, qui, olutét que d'être réduit à devenir 

. satellite do la Prusse, songeait 5 abdiquer. 

Au moment même 05 il avait déciad la rupture, 

Ray fit volte.face. Subitement, il devint le mail; 

leur auxiliaire de L'hégémonie prussienne ; il finit 

par rallier le Hesse, Bada et le Wurehembern 

qu'il m-ais &mes contre Beria ciseau hésitaient; 

.fin, 15 eontraignit 5 la soumission Sr roi Louis. 

Nous as prétendons pas qu'il mit été sut pou- 

voir du ministre bavarobe ;l'empêcher l'unité 

elle était dans la force des Moses 'omis. sans 

/a complais.co Usinera. de h Bavière. les Etats 

germaniques auraient pu réaliser one Mlemanne 

pl. Inne nous une Prusse -.oins lourds Cc revi- 

rement politique du diplomate Bray odare eu des 

conséquences inealeulables. Mois si. brusque, ai rom, 

pleta si étr.go qu'air été lo ehangement, nous 

?media l'expliquer. 

Dems un ouvrage réesas et tes ingénieuxl'his- 

torien allemand de Ravine, professeur à l'Univeo 

sit-é de liane, prouve que le s Folio de la Poviére 

dans la restauration de l'empire allemand 's 

pour Origine et peur fondement un ehmage 

in octobre. Je! Eue, après l'arrivée de 

nisnieck h. Versailles, on gros de ehassours Sec, 

klembourgeok, qui avaient occupé le elialeatt de 

Clersay, propriété de Boulier, a. environs da 

.r.e.7, 7 dém.-rit Uss Imam cm:sidéral.rs de 

papiers. Le e CS...u.reur e avait emporté à 

Cereey non seniument dci documents venus du 

ministère des affaires étrangères et du eabinst de 

l'empereur, pour les mettre ilmas one 'sabra de 

compagne, 5 tuOat d'une révolution 'poliste-1ms, 

auo,e à reste impradenee criminelle, Bismarck 

eut à aa merci toute la .1ms:tendance mie mo- 

narques, diplomates et ministres du quel.Allsmand 

avalent entretenue avee le gomme:us-st fcmmais 

lee épities éplorées, les révélations, les aveux e 

le...aéra:mes,. ovaleufl êté écrites dons la seer- 

tude du silence. 

Désormais, Bismarck put tueuse. les -cours e 

Mameelleries de publier les secrets qui -les an 

Mie.- déshonorées sus yeux du people slemand 

ES comma oey pauvree oses, selon la renonamée 

qu'il, avait . 'aimés, se faire, le croyalont 

à tout, une tells promesse suffi:. 

SSt épis.le eomplète celui de la .dépéle4 d'Ems 

N ^ ^ y ^ ^ ^ ^ ^ 

Voir en Quatrième page noire BON-1 

PRIME servant a l'achat d'un très in-1 

, térermnt (murage de grande utilité pour 

lona. 

LE LEPINAT 

, 

Notre confrère r Intraneigeaut 

M. Léon Bailbv, in da don SOandale ré- 

cent qui a deuleur,...nent retenti desr 

I,, usilirua orisstc5ulu,..a, croit doseur pré- 

ciser certain, Mils, et 5 écrit 

Lu question est beaucoup moim simple et 

particulière ilion te prétend, 

fi s'agit lei de t'in.. hautement défendable 

d'une femme, d'une mare daine Früneel.. 

devant sen foyer détruit ne réclame pito rien 

que ses enfants. On pré.i'd la diffamer et la 

réduire me lui enlevant se, ni» On veut que, 

do procès qu'elle est obligé., do faire, elle mrle 

diminuée. perdue de coningvalion, et privée de 

Ifeinic des siens. 

lbintre cette tombe, qui hier se croyait seule 

et ,Tns défense, une meute est lignée. Et font 

est no» en uvre pour qu'elle ne puisse même 

se déhndre. L'abominable campagne mi'as 

mime mese elle se couvre du pultexte de la 

raisnn d'Ela!, de leseret super/me de la Pa- 

trie. 

En ce qui nous concerne, nous tenons à 

dénarer que ho. -ne somme, disp.és 

aieepter auenne consigne. immole aucun 

nue detdre. Nous te sereines doutant plus 

que, si noi renseignements sont omets, et 

avant. de Faifirmer nous vouions les eontrô- 

ter encore, h scandale d'ordre privé, se 

eempliquerait d'un Qandale d'ordre admi- 

nistratif, oit mens verrions apparaitre. une 

fois de plus, le dangereux eb grotesque indi- 

vidu qui est emore -préfet de polime. 

Il sembie se eonlienter que celui-el, sans 

mandat, irrégulièrement, illégalement, se- 

lon se, procédés habituel,, aurait exerej 

mir la mêle de famille intéressée une pres- 

sion inqualifiable gai, si les faits sont 

exacts. constitue un eibus. de pouvoir hon- 

teux et, intolérable. 

Faux plaignant, vielence,, agents provo- 

eateurs, ehantage. intimidation et. menaces 

mus condition, subornation de /émoi., ar- 

restations arbifrairee, lel, sont, purtout et 

MUjOurs, les it moyens de droit, » de riMine 

Le 

du Suez. 

Lépinac est un aboininable système po- 

lieier auquel il importe de mettre fin. 

On dit qu'il y a. In ha Chambre, une majo- 

rité /Colin Mai ne. 

(Du c Rapp. u), 

NOUVELLES LETTRES 

L'Affaire Ricordeau 

f.e citoyen Laube o Bataille .55i,le- 

551555i. lu répOnse 

Citoyen ...éta,. 

je regrette sa. vivement d'être obligé, au- 

>moite ennOre,1.1. vous adremer 11150 rec- 

tification. 

Ayant d'une façon halite ec contrairement 

nmexeerfsgrntesatspr,,uleoilc000ielm nom 

de Rime-dein. pour vous excuser. vous pré- 

tendez maintenant raimposer une interven- 

tion précipitée qui risquerait encore de ne 

pas donner lu pleine !amide, qu'on doit en 

attendre. 

' Si ne dépend, .pas de moi s.1 

Sen fixer r moment...Malgré mm cffel.M, je 

n'ai pu en effet, porter la question à la tri 

hune Jans des ...minions qui rue garantis- 

ient que le &lut ne pourra pas etre étouffé. 

Soyez sen, inquiétude la discussion aura 

lieu le plus rapidenmni possible, et le ei- 

toyen Ilieurdeau pourra, au lit'. de s'en 

pondra à moi, dam tics bennes injurieux, ne 

déletouiller avez celui-là mémo qui l'omise, 

cause. Cela, je mus le promet,. 

Iv VeUX ajouter eees la do reste le but 

principal de 'site lettre que jr ne eaurais 

non plu vom permettre do dire que j'ai- dé- 

claré « ne 'plus vouloir prendre l'avis des Or- 

ganisations ouvrières. » 

Je n'ai jamais efrit ni insinué eela 

vimiu dire m ;ne pro une que vuus, 5. 13ataillo 

Sy-ndiceiste gai 11,-Ies pas une organisa- 

tion syndicale, qui n'a. pas un journal fon- 

dé par des camarades di qui les organisations 

auraient donné mandat régulier dam ce but, 

y0113 n'Ut,. aucune qualité après la faute 

commise, pour me donner des conseils. 

Vo.er malez pas au nom des organisa- 

tions syndical.. On le voit bien par certains 

de vas rédacteurs qui ne sont .ei ouvriers. ni 

syndiquês, et qm ont cependant miles à 

l'affaire qui nous occupe. 

dee organimtions syndicales ne sen dom 

pa, en muse et comme élu ouvrier, je gaâ 

demi avec silles les tappoil, nécessair 

pour leur nre utile dans toute la mesure- 

/nes forees et en accord avec mon Parti. 

E petit dem y avoir-aie:une Ciquivoq., 

ei je ne comprends p0 que vous ayez emaye 

d'en faire eilrgir une. 

LAUCHE, 

Député (le Parle, 

reactre part, IIMmdensi adresse une nou- 

velle lettre à Mc. Bafaitle Syndicaliste », 

dont nous enrayons M passage suivant 

quand j'ai lu vl.sS Dotele SyndMaliMe, du 

jeudi le murant, la monstrueuse seensation que 

vens portiez contre moi, je n'eus qu'une hâte 

selle de venir TOUS demander compte d'une telle 

pi:Mica:ion et de savoir sa, quel vous vous ap- 

p...xepour in'intliger une Mlle Ilatiismos 

Arrivé Paris, nt êthe tenu de ise dissimuler 

par support h mes condamnations fi treize: amis 

de prison et eine ans d'interdiction de -séjour, je 

fis appeler quelques-uns de làs commades pour 

vonic Moddiaterynt nie enjoindre: une fais t.s 

odunls on reconnut qu'il était Imposai:Ce de se 

rendre au siège du Syndicat des terrassier, à la 

Botose du Travail, en rais. du danger que je 

mimai, uvale a T.,tre arrêté, ou el. one jamais 

il fallait eonserver ma liberté po. :ne défendre 

de l'infamie qui m'étau ;eines, 

Suit la , it l'ois cri gicorde. 

deue redaefiurs de la na aille Syne- 

ceiste , 

RicOrdeou termine 

Je n'ai pas 'tri la meule mie je n'an en 

rien failli 0. l'imanear. 

C'est noms qui devez mué dee faits 

ourains, ame des preuves irréfutables, jo suis 

le traits,: 1., MOUCHARD q:te vos aver livré 

vinaielo ninsise. si. sass so faites pas cela, 

:d'y., persister dans 'votre cm., vdias,sla 

infamie, ka /Mes rhangerunt Pncensé deviendra 

atematenr, m Osae promets qu'il y ana une 

sanction à votre edruinelle emlnite h l'égard d'an 

salarié dont tu. 1, arlme est d'avoir fi. mn 

inedesto devoir. mas cpesulatiou soas 

compromiasion lausim une t'épilerai et sans pol. 

tromperie !levet 'sa Mame Ou cap:de 

PTEk,kilS-ORIEATALES, 

AVEYRON, TORES.. CÀNTAL, 

LOT-ET-GARONNE, 

GERT,LOT,nAU.s.PYIeLd., 

BASSES-PITOINÉES, 

NDES, TARN.ET.TKRONIST, 

sone, auràcs, 

TARIT. ITAUTE-OAROS.E., 

TOULOUSE 

ètelifflOI xoeemuz i9t1 

1-e4 lrION3 etounIALEs 

(ma 

111 

Toulouse, 21 novembre. 

Les emnéles se poursuivent, les lettres 

pleuveld, 11,3 renseignements affluent 

alleutlatti gimeu pumae porter un ja- 

ement définitif et o., curdemmo'n lt révé- 

ler teria les flessuus que cheque »UME° mulla 

apporte. 

Comment le Général s'enrichit 

A l'appui de ce que nous avancions 

sur les -spéculations du général Tootee per- 

lant, mn Ira terrains etriesins, le cerces- 

pondant. marie:tin do .5 Action » envoie it 

notre eonfrère !es précision, suivantei : 

5. En officier, contemporain da général 

Tuatiie, et qui mutes ne lui est p. 005" 

ille, dorme sur sa Aniline lei reimeigur. 

ments suiva.nts 

55 Cone fer-tune, me dit-il, qui est aujour- 

d'hui cinq six millinns », commenea 

en Tuniiie, du temps où M. Maltée y ôtait 

sinople capitaine. Il fit :Il ers, avec un certain 

Gansasse., son associé, duo opératiieun très 

fructueuses sur des terrains de da Régence 

qui ne vendaient slers in s'il qlriX... 

dc Depuis hors, c'est-a-dire il v u tieux 

trois ana étant chef du eabiniii du général 

Picquart alors ministre de le guerre, 1-1 

céda il d'administration an la -guerre la 

jouisse]ssm d'une partie de cnq terrains où 

fut installe le ointe de Servières, à la char- 

ge pour l'Ela!, de le lais.t propriétaire des 

construetione qsso auraient ete élevées sur 

son terrain A l'expiration du bail. Le jour 

où i1 prerkira an, ie génétml aura encore 

fait la une excellente opération, ear le 

camp de Servi.. a pris, depuis le début 

de sns dame vraie ville 

mititaire. 

Gomment se Mi141 que le général 'l'aulne 

qui comprenait si hieu alois tee specular 

liens sur les terrains de ne pays de protec- 

torat. fane grief aujourd'hui, comme on 

Pallium. à certains !fonctionnaires de 

dulie, dans Lat niaromin. des epéi.ations 

semblables et de penser qu'ils y secondent 

notre politique tout en seevant leurs inté- 

rêts? 

Ou appmnd. d'autre part, qu'un banquier 

de Lyon. M. Boucher Se Farems, est venu il 

y a quelque tempe à Oudjila pute y négo- 

cier une très importante affaire de terrains. 

Gr, ce M. Boucher de 1A11,..o ft pour ai- 

surie dans cette affaire, M. Datimrt. linn- 

qUigr, /01, DM Beau.. à Paris, qui est 

le propw, aendre- dc iit'Ne"géia/tni Toute, 

Id. DeVeleleor 50(0(4, fusa gille opération 

mira. coeteldre auX Bffer43.5, de la région 

et Ins ragent 'pus favorisée, faudrait-il man- 

iaque le gênerai Touli, en beau-père trop 

passionne, ait épousé la quenelle de son 

gendre nIque e tuoit le une des raisms qui 

l'on! /poussé aux nofics durit et. Destailleur 

et ses suliaboraleurs ont titi I. victimes? 

PL Destadileur se défend 

000 KGEMENIF SINI LE GENERAL 

Noue me. donné Lier une analyse fidèle 

et la eenefreion du report, de Id. Dotiall- 

leur, C. il s'effeAo de démontre° la rive-- 

lité. entre 1m deux éléments ciciis ft 

dangereuse pour s bonne adminis- 

tration du pave 

Partout, dit-il, on se heurtait aux idées 

et priacipos l'Administration directe 

des offieiers et agents dei Affaii.es insu- 

gènes d'Algérie » qui ne pouvaient admet- 

tre que COnlMe Une utopie l' 5. Admin. 

tratien indirecte qui Se rée,IlMe en un 

5. contrôle utile et permanent Sur l'O.:, (tires 

5n in-dite:am loyaux. » 

I! ressortha rie toutes les phases de 

que la certainement, réside l'ori- 

gine des dissentiments ter .plus importants 

des deux autorités. 

La création de cet organisme ieutile 

et, nuieib. sis Haut-Corninimariat réaiame 

5. pour une satiefaMion toute personnelle 

5. et ne répondant. à aucun besoin et au- 

.c cime utmemité fit que corbstituer 

Un rouage prmfreteni de complications, 

permettant l'oeganisition de la rénette-am 

ehez les agents des Affaires indigènes pos- 

sible avec un homme habile, souple et Ude:- 

figent. de danger apparaissait grave et mal- 

faisant entre les -mains d'un homme brutal 

et ignorant don nécessités pstisiqssot. écono- 

miques et administratives de la région. » 

Ainsi parle M. Destailleur. On voit 

ne Ménage puu leS termes SeVeree il l'adresse 

de son ennemi, 

LE JUDE55F2571' D'EN AMI 1)11 OEN-MAL 

Le rapport de M. D.tailleur ayant. êté 

setunie à un ami do général Toutée, 

a déolare 

5- M. Dmtailleur rapporté qu'a son arri- 

vés à Ondes sa situation Catit ingrat°. Na- 

tue...ment puisqu'il n'avait rien h y faire 

et ne faisait que contrecarrer notre action 

nationale us profit du malte00, tete sous 

prétexte qu'il était d'accord avec la lésa- 

Lion de Tanger. 

Detailleur dit encore qu'en novem- 

bre Per une violente campagne de presse 

éclata contre les décisions du gouvernrat, 

en môme lempe que se produisait l'affaire 

des Bani-Snammt Nous disons, no., que ee 

no fut pas une campagne de pi.., mais 

que me fut rinsurreetion généra. des Beni- 

Seamen qui néressida /a mobilisation de 

14,000 hommee et qui fut entièrement due 

l'initiative de M. Deneilleur pmeant 

quatre moi, où il exerça une autorieé ré- 

.= gutiere. 

u Aussi, quand on entend .M. Destailleur 

me!er da t'organisation régulière dos servi- 

ee,, administratifs on ue peut s'empêcher de 

sourire. Le mot ri régulier » .t as comble 

dafts la bouche d'an foneriennaire qui était 

simultanémen1 le redite.ou de son budget, 

le mrceliteur, l'ordonnateur, le payeur et 

le liquidateur 01 qui dissimulait sa moi- 

tie de son actif. » 

Les Temps e lui-même se fâche 

D'autre port, le 5 Temps si, qui vient de 

se livrer à une fait.dtn sur le scandale qui 

nous o.upe, eonclut ainsi dans sen numéro 

tL Parr Eai FINIR 

ir 11 serait temps Ten finir aveu ces riva- 

lités de particularismes hostiles, noms ces 

anissirahjes queux:11es de bureaux et,/ j'agents 

suberimnes. Il nies temps d'envisager la 

question do haut, duno d011 ensemble es du 

seul point do vue des ntéres français. 

NoUS osons eutoumehai un maguidque 

domaine, cool.re et sans sol.ose je con- 

tinuité, xlane l'Afrique du nord, -de Tunis à 

Casablanca 

AIIODS-00., de nos prapres mai., creu- 

set des ilsiursot deveszeneue paa su 

COnts'ailo enviso.ner que sous Eee cliver.% 

modal i tés, prote,. or ai tunisien, ie.1 n'Ai- 

érie, pister nos du Marue, il doit cons- 

tituer un bise dent fa prosperite dem, 

lePPe M'oc !a plus large liberté et da. eue 

Praves factices? 

cc N'avons-nous pas réatimi theIti un, tuile 

unité dams notre Inde-Chine, Omit 41/11, 

Semaine, parties, colons emeincliinoise, 

pretederat earnfrfilen,asuasp" Ilote f, 

d'Annam et sill Toi 'in Y soiec s.ual 

des gaffes politiques différents? 

55 ilam pour ente Unité de Mo... 

loppoment économique Joui la logique d'. 

pose, il faut que les atiruiuten.tbste: rem. 

Liv. OIe uoe pomessitins d'Afrique du 5i 

se dé:punissent des pantinialmaisinee bandes 

dom elle sout unpuile'n, 

LA ItIithOEtu NELFFESAIKE 

o E IMit que nus raprésentant, au 31-arde 

notaamient se guérissent On cette phobie do 

l'Algerie gui les a jusqu'iet 41cuninfe, peut- 

Dre à leur osa. Il faut qu'ils e'essoal ut de/essor 

comme à plaisir unte eloison étame/. elm 

Ire le Murum et la grande colonie qui est, 

ne d'oublie. donc .jamais, notre prennesre 

rais. délie dune l'Afrique du no., la 

ha.ee de notre puissance et !e réservoir de 

nos elements d'action. Il fout qu'ils nediti- 

pliem le poinls de reniant au lieu de les 

restreindre. Il faut mets mettent en pre- 

mière ligne cette jonetion av. Fm. par 

Taza mit s'impose st aulnaie de Me/elle on 

a crée Sso enrage d'obstatles imagmaires. 

Malheureuse:met, un mal point e vire, 

désirable entre mua nalional usant S0111, 

est bien d/fil/Mer.us 5ée35sa55e tant qu'il 

n'y aura pas un miaulé:ne central assurant 

l'unité de direalien ni de vo.. 

.1. umanilinMonhinotee n'a 

lieu r que parce que out5.0 sa. pw,.s,ion4 

dExtrème-Orimit, rodeortineet au seul mi- 

nistère des nolonim ta musas nerti-sfelealm. 

mule eonception admissible popi. 1 - 

Sie soucient aven tent che l'is 

ferai, ne pourra réaliser que 

causai .forme. saris une outre eiso 

rennitue solidement Porganisme supérieur 

d'une autorité inclimistable, deuae sheds/lite 

assurée, amio, Sert p.r mettra ii, 

aux guerres dm Magauu pnei. 

panier Ses si thésoe algestethae 

marocaines », Doue TALI3,:, 

l'innée aux homme» d'action prits à se osée' 

Cette gamde uvre, st que Weini,-pen". 

couiagar armure lm l 

neetteSwemenaskp,a, 

e lavailitée lafineaes auxquelr. ils fient 

testé de m hetuder. » 

A/TONTIMMETITS 

3 mois 0 mole / 

fligsibrg ri'lgornall 

euur, .1é. f L rue LE siArEaSTAIN 

PerCIO SaE VOLLII 

Aubin. 21 novembre. 

Tragique et Cm... ust l'histoire du rnala 

bs"'"ola sscoMak d '140.".C., près d'Autun, de ce 

vleuà sornear de cloches, ,vénfoeble et méthodique, 

gai ent 3e tort, pentêtre, de trop prêter d'urgent 

T9T eurê et Me trop explitioeuen. lui dira oà il 

cachait ses remlelems économies. Il renias, elea, 

que junr, sonner I' n Angeins o et les glas dans 

In vieille eglit_e. On soir, guetté abus l'oxbre, il 

sueromba. nu pied de l'elle/. sous leu coups de 

m.arreme d'on furenni. 

ON AINIF,TE LE CURE 

Des les premiérm ê0L.,1111.1itiSlE9, enT établi 

5. le visidiard avait ito usseaund O csup de 

Muon. 

Le cure aida da pOii20 dans yes ImsuaisaFess, 

lus mapcnas portèrem sur na secrune'OriCat. 

domeelque de La cure. Coatioi se désondit 

uu beau javequent un, alibi ,101/1.1 1, 

dérratstration daquel il faàmit appel m, téln,e- 

geewe d'un de esi sanie, Leroux, o.' 

eerviee 

interfoot, déisme. lm Mis, 

puis 6.s par mener que le erime as. 

pétré par le eur6 es suc domestique et qu'T 

tait ...té Iaissdn,e de faire ho guet, entraisé 

por sas munerede dons ne maumot d'ivresse. 

11 4osnu des deuils pajcis mar ln Aima dant le 

nuet.apens fat préparé, mais ià n'en lee donner 

son la façon dure fut soumis 'Tesessaar, etaat 

resté M parte de I église peut teassaillor les-en- 

virons 

Voici onelsmes pae-,ages 41a sa déclaration faite 

A M. Fesier..mnitecane sle : 

à Avant, dit-il, de me poster puas la guet, ses 

O heures et demie, ts soin «ma Ossa J'Oesel aras 

Grill.. Tout était prêt pons le meortre. Préu do 

clocher, avait éti eisvée une barricade do chaises 

men une corde tend., ses de faire trébucher 

le :consens au .3 Oû il .Tait vouhl mener lo 

eleche pour ameuter la population, lin gourTan 

gisait près de l'autoL sllelels,u rue Ait qu'l 

osait rien à craindre, puisqm c'était le curé 

axait combiné le soupa. 

Lomme Grillàt rmln.t. de eonp fair, il n'axait 

,s de bâton à la unau. Issus dit que le nurfi se 

chargerait de faire le nécessaire. En effet, peu 

spes, j'entendis sonner 1' « Anges. rs Le p., 

va Dessert.as était mot. Qui done eut- soneé 

la cloche, ai oe (Id le erré, afin que per- 

set. ne s'étonnât de se point entendre la seume- 

ris quotidienne 4... e 

Comr, eanalusion à nes réseé.Lati.s, 3f. Fusier 

fit arrêter M. Lam., le curé, 501 se sera luter- 

regé que demain, ainsi que Gr... 

LES enAzue.,,s 

Perso.e, jusqu'ici, n'est à uMme de confirmer, 

ni d'infirmer les acauseiss. de ',mus, sas.? ma- 

tnrellemme les deux intéressés, Grillot et le curé. 

qui protesta,as da test. leurs forees da /sur lune- 

N'A.:mokas le juge d'instructioa a inculpé en 

dernier 015 décerné l'arrlu cent, eue 

pares que, uutre les 55500 de laree,, et eee aeen, 

rationn qui lui >,/seeeeee empreiute de In emelleu, 

re boume foi, certaines eir/onsie.aeas eunelltuent 

des presumptimm ce:rieuses de leur culpabilité. 

Pour Osons', c'est d'cliord mie le soir du t;11iMP, 

qui fut, eroit.ons commis de cinq boums 0 cinq 

heures et demie, celui, prit suis de venir vers 

cinq heures et demie 1351.17, 41.11 tee d,s village, d'y 

converser longuement avec les clients, prolungesur 

cniun' s ,n séjour plus on'à Poulinai, pour we 

créer. sembled.il an alibi. Er en orle, le 

première fois qu'il fût inerapà, invoqua cet °Albi 

et depuis nbr eeseel de l'invoquer a tout propos 

Le juge d'instinctien Soir do. /e antei du curé 

do se crior cet alibi ose mMecupation qui lai 

paroi, suspecte 

C'eat ensuite ana attirude le lundi outil, lors 

de le dia:ouverte du crin. Awle par les eaf.le 

,atéehisme. qui les moreicre viten, emlarre, 

IL I...» eadtre dm. 1 Milite, ait se p. se 

Les Beautés du Capitalisme 

Los Scandales administratifs 

.A.fricru.e 

La Cuisine continue 

Le général Tentée spéculait eMmyablement 21L Desiailleurs 

dénonce les intrigues militaires -- Les conclusions du »Temps» 

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés


011ROE!1Qll hAhE 

£N VLL 

Le Coqueucot 

SVC'OION 01 000IX-OA000ctOiE 

Une. F1,Lo Pop. I,,'0 

.5e, 'c, 

doa,'n,ln ... -s b ero, au coi,, 

juiruil' aux tlu,lilo'aOV. 

Oimuueliu 2'. d.,rorbeo. -- 00 2 h' uue, do 

pr10.-a,.d,,,Jilb d' la,uriitt' (Ioule, ueC. 

peaux cou 'ev, a,uL e con. 

0001 clou arl,010o de 10,0 IItd. 

1, 

sOie, 15 9 huuruu, étend bal do te.,,,ii0. 

I_notaiRe de eunlstl.,, e corpuuliuu; drunda 

.n minuit. iu'o,'nllou. 

I_aMi 1015 déuroibre. - A ovO,, d,seo',ee 

- Le, bClulu de 'u tumbula omit eut 

unolu au t'aid Roux, Ou pion de 000. 10. 

La, lolo calMit cnpo"i u part, du di. 

manu30 1 drtreirhie. uu calé licou,, o Licols. 

Onu, 2'],'. 

Anaqcialion Amicale 

»uxOzaaIooe 1,Onen do l'Ouate Pr000oige £00é. 

e'zenro Lent, Burtuo.ut 

é" 1 t,,V'o',e',', ut prit" 

e: aux culcquru u,,u'c,oeu,le PicOte 

0lndeiou fui au000u lieu aajou,'d'liai litre' 

èeil,, Infect, heurta, 

fl050de'a-nnau à ia mu,ouua IL', ,,cuue, 10e 

Association Symphonique 

't,ount fia, me,uiodi, ., qouba le art» et 

n,e do' f apode-mut,. ou I_10099' foou le, 

buRdoelo gnon 'ej de ;.btnne,eI_,o,u ey,nphu- 

°,°'pe.raO1OaOe : L'Oaunrtac., de Caeielau 

mie sonluxon. Balleodo ut P01000302 de umax 

teoape, .01101,. .00. Carton, anu'o,opapené pur 

Mille do,4u., Le, dél,r,oau menuet puise iii,- 

4,0.0001, 15 :0000,, nIe 0010x0'. Lia Veillée de 

l'qaier tta,'d,e,i u, !a ,ér,,,00te do i',al,iiel 

fr,00lu, .10 rdIOIn.c ninu001 d'Orplobe oie (Sarl, 

Roliiete, M. Borne, lep rélude do Mupootlo 

iEd Meula, doux pdouou na foimie ca000iqae. 

mIn 119. Dalooi,. p.00e pioiio. houblon 01 010- 

oeIIr, per 25ko Caeruae ut MM, brouille 

10 Balu000,t,o. 

20mo, pAne leetnm000 vo 'ome, conter!, te 

eeeillui, de I'Au'lénmem.u, de 010. R,'eeL 

I,, Iunatioo rr onoerte ,1,' 9 15 10 Paxon,, 

,0'c enqeooi010l'oa du p0io do, idoutu, 

Le Belle Chunaon 

,s OSA0001eR DE BElt520000 

Oqimo cappolunu 9 00e Imbu..que c'ont 

oOJoerd'hai jaoi'ne,di, à 0000 lirU,t0 do 001e, 

ui'1u Ooil déuéol,a.!. rao de 010u,a,al, Il. quo 

R. 310eua,el l'aur,,eu, p0000'oOt'ae ta 14o.1IL 

lauilo'a 000 gra0 0009ér000u, OVO ha v,e 

et oeuvre obanaonuidre do Béran mi'. 

la C,mlOe'oai.oire d0 le BOP,, (1 nonne, tu 

toto,,' d nrpnrn'O!e secs douter sac' La, 

o4on0eVlniH0 01 ROnvBumtempo 

III,, d cuite" . ce 'ennbo.,,i,elot, no p001ec 

r,n,ot'irilii u 

but, ,ïooieée 0fr. 55. 

Musique du Charnhre 

N, .,. ,uppeiouu e ne. le 'loure que la 00- 

(1,1 Tuu!Oou00110 du ,or000000 de ul,ambeO 

it,le,lrru 10 pur'hairondon'e ipee,n,ére de 

lelbonr,nn,moll, demain 2'ndi. b 4051er ,ien. 

10,1 de "pe'èn.m.d,, S'a note de u0000etu .1. 

O,,upe' I, c,'e Ou000.'P010l000. avae le g,',. 

licou. COlI0000' de 0h10. T'earonia Borne 00 

Houri Ce,nbaon, prufeoseor ou Cu,iuorvatulee. 

lu .prugounuoo:den amIbe du Mozart 

Ce'.,',0. Ouoben ot 000000x0!. 

Faculté de Droit 

61, 30,0,01, tno,,in000 ,, ulien,lza ru 

lIn doebarai tao, oc,' de., nalle, d la BoucilI 

do Deuil, jeudi p,'oa:ouia 23 dc no a.aio, à 

quaI_eu. 0000e,a du ooir, nue In n,uet tatouaI: 

Lu Rdprnr dci Bampoaea-Penipier, 

A l'Abattoir 

9x0,10, d'aui,00un elosilun dl, 11 au 0800- 

%mbr" 

lot! 

001 hais, 60 ouel,eo, 303 001050 101,00,0. 

"lIne.. .1011 formOl. OIS ugrenicu Il cbOv"ee, 

3 ohnor0000, 001 pore,. 01 chevaux. mu- 

101, l'ale,'. 

Société de Préparation Militaire 

O,',,,oai,oiedNeaCrv,tu,,n'e.:oo,te: 

Les noue, de la Suod:u do l'répuv,tiuu Mfldoioo 

de la Bauteic'iieoouoe us' cun0000'O 'e O',eumb'n 

o, doo,u 2i p'uOoièoea oga0000, plua un n'u s,,' 

W go.. ,0,, deecardi foc, i0000lPl:o,. 

0e, adbaeiono. cOpaun anode pion ano,hoou000, 

mOl roux romPis,, .0100,,, loue ce, u,,., la béer' 

l'q'ç'e,urtt de ounlo 00,0e iatetor10t ,, ri 't net 

connu qne le naabm 0e ne, lerou.uléo uupur.nra 

do 0000lonap. o,' 1h10, 'en 10 e.ao0idnuo eu'.' 0x0 

coeconu, 0e lIt'. 

Les noue,, roue l'aoude oeulelou 1010.1102, 0000 

C00gailo, iu.beéquo 00 Olimeirur do. ,uiee 

O! le Cepil'oun Cuit,,, du 10x0 01530i001 d'en 

'Lumu1ne!e 

ii. l, 'l'éliceio,lre_Oifajnr 000'g, 

,0Llo5'f01'inml,r oid, r,a'u, Pager, du 10x0 

Pi, , 0000 i0 iluotoraurlo tonuO'b000,e, dc; 

000e, 05 I05upc. uc'11ec000l000,u d'iuia,!niiO. 

l'aO'onaurique XII. loi 110,ito ,uulo (1,7,, t,, 

dx 1100 et 00,10e, du 00 olpi00000 0',4,ul,ée, 

90 obI Sairi'O,'rO,e do 'lnnofeueno,eiO dc 

O00,aneit,0oo u, Jolor0o ni ou cul ,nppoid le, 

dutitOm 0010.ndm. 

hid,auoo,no moral. ni ni,iqae , M. 'e doctro 

taro,, adjoir! cc ou.' de Tnulocoo; Ml ,t..', 

é 'Brui. pelmu000 manIoc,,, rio- 

aSem, du,.le,r 00 égala, linate,,0t u laeie régi' 

.0081 d"oiuml,rOO 

1,001,0,,. ri,,',c'npe. 9,0,1001, M. 'u 

u'in,v Lc agI.. 0.40,14 .1, 9,110,, d 'bogibe; 

qp000. o1ileairo , 70. 10 flee?euoei Pr,ud'bru,a,O, 

101u8, (Oélaunr d'i,ior",' 

0°i'oOeOptiO. - 01. 10 liou000000 0!ooue'. O" 

u00 rduimeot ,t'inf,nrenin et Leoro' 

'oqeihoino 00. o loulc,oul 00,10f, Ou 00. 

"oloot d'orteIl,' 

'î'Oitame do0o0i0 MaL 10e udfadnuta Do' 

'00, lu lic et 0k,re,u,c, du 80, uci3O00!i 

'lobleh'0 

I.e ooamére,nrs ,oroui enlIes ,ur l'u'i,l'nete 

'05e, COpiteoor 01,081, 00 00 eOgi,oOeO u or. 

"'rio la do'alnete, pen M. Cuureu,tuu. obi' 

o000i do FroId do lu Wu,lG.ir0O' 

(clair pi.. 1071, 1m 

Sain eg,me'at C';, loto'1, 00 IrgrrO. 

.0.0 Coite 'a' 1,0 ,,c,,rOtO, ,lu 

.,,gioontodinf,ialnrent1d00O0000! 

meS. ,e,o,,e'e,re nibe ,,a 10 l'écu' 

pour ornée 100010 ui0000 00 

00e la gp,n000Oiq,e. 

6. 05 a,u,a,u0 na,curl.,u 

Cd 'uoeeol,re, à S b. ci demie do .00. 

l'au,oieouu Puuuiid do, 110210', 

:,,,r,ui,'.. ul.,,,lcu'''i' 

'4 rÇ'itocut d'tudau,oaO, 500' 

rtonvnmeet de la Papulatia 

00 doun,u,. O, urr,,oe,o,ul U, f, pup,o :uir, :4e 

c000fldmeenI000I dc,,, In Olaale.00010 , du!'o00 

h:, ,PCoiiiini o'i,,naleo' obis anode, 1010 rt lull. 

(il 00 de ha p,pulabo,t, IIZ.00u hcb,ia,lc. 

A.,,0o Ioo. - Mae!afeu ldOr,i, 0411 

i30a,je, 004, 00010000, 030; V,l1011000000, 

'PrIaI , l,50u. 

Ilmoremo , "00005, lI Saiol'Oaadeu,, u; 'In 

1,0,0, 02' VilloIra000, I. Total ut 

'loitenucou : 'dormi, 100; 0o101-000deun, 

;,uuOl sl,inoeaod,e, .0010, 0101.1 l u 

ouclo : SiUeuL 000, Ua,oL-0100400' 000' 

fou.,, 0,008 %,hl000anela ii, Tut,': 

11,1,0 1010. - ?dari000u' Or,m, 

n,ou,ieoo, 000; Tnuin,,sc. 00e; SIlice 

Cobol, l,aeg, 

0!000000' haVe, S; ou,n..00uu,ue 00 Tn,duu- 

em, or; Vrl'ulooi,oO, I. Tt'tof,O'u 

N'e,s'anoc. 'Muet 1,01: d,uinl-Ooud;uu, 106; 

ToxIne.', 1,011, Vil!, i000cIio 14e Total : 3,610. 

Déciu:,Oiorel, 120; 000c.00udvl rio' Pou- 

futur, 1,051; 900elo000hr, 1015. 01,1,1, 1,101, 

Caisse d'Epargno de l'oulouse 

OpS,,i,on, du lIr' rI r,reumtuc 1011 

V,,r,cnig,,L, 10,006 fr000,; eemu000ouui(otr, 

lm,i,lo 0: Il; oa'cituc U 'O,ubuoroem, o, 

1,910 00,11, 

1,0, buccaux o,,! u,Vrrt., itou 'eu 

f0r8n,de0kIn,ouec,, boue it,,,c,.l,';u- 

liceS 000 flue 103 pcoe colit. 

Conseil Guerre 

0,010 ,uidofu, JcutcoEol,I,,,,, L... du 01e é,. 

1 Fro:ioaio .1... du lOi' , loto 11.., do 

10, onmpora'o,roj donaol 1, (20,0001 de sou'. 

,'e n000 l'in'r,lpot,00 de ,Ora000, et oalrapcn 

e000o, 

à trots ne,, de 

qui on 0010e oeoala du I. appue.soo 00. 

potunir aveu eau 000lo'aa, ce nuit u,Iligoe ail 

'FAT5 VZ5 

10tP01100 D'LebI1,t 

elle, ,au'. 'ou l,coron, ri. .\lphooe, orpinor 

000,0,0 405 lOir 0,mnros000. 3, ou Iaor'ude o le 

ouai000 rom Chu 000diOlaIn 000.00,1 000050 

am no:l000 u;OglaI'u, !iirrqobl,nolear do aum000 

3, icOoaa du 0601001e umO rompu. Peu d'aoc;. 

0001 do re,'mmaar. 

1110e mir, i,., houec,. lIait' 'lauc 00901, 

demru'uoieae dc, 00,441,0,, lob,- passait ouu 

do in liépobto,un une, u,,o jui'darterc oIloIOo d 

01,00,1, InO,qu'o,n i.ioç l'liOIeO'Oiga, l'radno de ,a. 

000,00 S'oct rompit Pou d'an11dnnt do pue0000e. 

01001)0e-AV CONTeS C0AOOETIE 

Rio,,. sou, mid,. non onlbuno 1n01 produite roc 

do la Odpnbl.qan, cotee on,. 204, ,ott, eiiaaoouo do 

ale aloot,: do tous u000000. coUdOIe poi 50. 

600000 0,01,0, o,, nor,'uo do M. 0" 0000000, et 

lu 0,0e,,,, rnOiobeu tOi 0,10001 IcI_aloI do ta 010m 

d'o Caf.iralc u da,ul.Cf'proeit, oendo,Ir pue In 

.n0000,i 1,00000e, Cv otrru,',oOi 0m ueroi000 

naoloecoola, il o oxqa de, axian u 0 ptia,'oouir 

o,nn!uuauio, plouc 06.00e, 01 n 004 u'.nn.laoid 

000 cI_cour 10,00,00 u Olé 'aluns, au aoacu clIc 

lai,ltre Or la 00010m u bIo d010ne&, 

lCo000P080TtON 51,01101 

lier 001e, 00e, 2 h. au, M, Odraplo,i, Ou,lbsu,d, 

mnrponMe. 080 de OS or,,, du pantOne u 'Pou. 

nana', o aloI prie d'al n todispaoiotnu aaluIO Ituét 

!tOa000,aa ni 0,1 Inmbé 00e 00 t. 

n a COI ic.ionpoi'r u h'lidiel-Diro, 00 fi C 010 

0500, duu'ponro. 

040ijui,', ioo bi,.eau de, Opaum, ou l,,ton. 

nuu do 00], O!on.uhr eont000et 41.000 oO!rIeI 

i'age'i de patine Onimou ul,e,Oiu do 010x0,10, 

o? no 000mr'nletoiool 00010 Mmoo.uotl000o 

iObodro. un Maure, Il, ce con à mal, aontonaal 

o, pue1000nnaio cl 0,0000 aopiva; h 10400410- 

trulou der Oromlho, 01 Trom.naO'n, 00 pa;'aplurr 

ru no psilunl lluohd ua000eaol du 00,00 01 do 10 

naa,que; u 0M,, Pouah, noir 'Lanoeirr. la. us 

etO,Oul,o1,iO enntr,au', in, petilu uoi,mr 1 u 

.01, cLouant, oser do no.', en O,'ieulh,0 ru, Saint'. 

0000.1,,. uoo ehesallere no or; a Mur VII- 

la,,, rualo do 'noIr, I, ,ia purlam000a,o ,ua,o. 

00e, Un? ,nuddUe et no cota do bu,, do 9001e, 

au baorua do poi:o.0 do 2e 00000dL'SOnuOrt, p!500 

9000e. 51, 0,0. u1cdc. 

PART! &:ic 

A9001m1,&E 000iOihi.ILL 

ta 0,01000 Tui0005ai100 0e t'c000a naaloli 05 

Onnu,ob0'a b O b,a000 do moie, an 0,10 000oojn, 

noua 10 prl,uderu' du ila000r,d, .11,0e,,.,, i.un,'d, 

drdvt du je',.' - .0dh .00,; i,todiilc'al:u,,, 

o,, efolrinrot Oodi'ai, 

tee ruo:urodcu Ocrons inudl 01 00,0110 DO,,,. 

none C00,nO', aaaarnroe', le 00010010 10 colLe', 

Vs n0000lolrm 000000 oppuriar le. u;nd,i,_ 

002x00 p000000m par tour uaotoo. 

ib000nt Oued, - .v00000bldo 000doaiO dx eu, - 

luo iladl 'OS oannrr,000 ,, O 0,0080 dIt eu,,, 

u 

Marin,, mon de On 000medu 

acte' du jour. - hohetin,,; 100,0 te; d,r- 

e,,in,ne du rugtria,or; Lue,, 

0,0080 SaaOi.Pbe000, - Lou ,i,n050rr do uuu 

o. onol pOlIs do on r00drrbla .00,00 mOnuuohl, 

qu, uuru ,moa le jredr 23 ouuua,d à O bcarrn 1,; 

o,,,', ,.aliu du bai' 0,15,01,00!, 00,00 SI-Pion. 10 

00dm do tour. - Ve,nrl000tai 10,01,0, 100' 

pnrl000em. 

0r0!apo Oai,,l-.danat et leior000..qo,ui,uo-P,a. 

rtiarr,0e. - 10041 24 000rai,h u O hen,'nn o noIr, 

eéan,on do uns 00, ooroaeadm aa maté Biauqui, 

con do la CoIanrhnOe. 

Ordre do tsar. - 00050000ufa; 0090, 911,1' 

uue,0l,uie 't d,noneeoot car ha minu000pCtoo- 

lino Or l'a,r I do rO 3000.0 gundral; te peujel 

noi,th'Orru; i,uor,,ns 0,x0000, 

00. 0 '-' 'In l':rapnelooue ut ;,ed,e d'; b 'oc 

roUa In, 0a,nmOadu. 0000000 ci 000000000001 poils 

o'dao pranordo. 

(e CoqnelOeal ttoulinn loordt. - 1.0 0.0(00 

leurS do Lirpiell000 or ',e nu pruO,I do ha 

110m ut, 0010 dol tauubu danu :0 ,al!e du Gom- 

roc,', v_nt' nazi,. ne an li 010000,30, le d'eu. 

on! Or' pro."a,n, b 1 5800m vi demie u000eel 

0' ru,:' u o ,,nii.'eo émoud fr01. 

SYNDICATS 

uui u9,. ui 0'11,'lflfl, 

'reu, Ion d,;,-,a,,c', ou, u': ocos, il: ,,i'o 

l,uou,ioràl, :l.0c,cu ,lo, ccv: heu ue,uv,,:ul. 

u000r 80 00000x1 n rh'uro,, 

Ordre do jour, - n Oubli, un nmro,,rO Oredeci 

dolu000ronuar'uu'h;,u:,auolu,noc'uosuu 

09e lu umoetu do 10 oIe; do t'ordooh,oOioe uru 

0,01:0,. OeOlre in, l'.,,Oo oral,, 

uiurudar'cri:emel-'l lot, '001V., 

Corualsoausakfueb 

01100i,TIOL 01 c.l,u'irOu,L. - C, e-i'. Or 

p,omi0uo 000ricmolu(no roproo 0,r '.1/e.'. 

u','0 , ,,éuo;,0u,,e C,. Meeoel,n,'o sue' lu c I' 

0000' do Miurr Con', ,I Cul'eu,oI, do 1CM. 04101. 

lori, LaId, 0,ata.lr l'un,o, Alb,u, 

.youd!, 010,00,:. oh h d'oie bon paienuiro hcedu' 

550.91000 fo.OpllIiliiTU - Ca ou', b 6 b. 

Or,', qu.,ilo lu -r,ou 00,000 d, t ru clou Cucul, 

et Cir. Cl, cuun,ea.ono per 90 O'b,OroOoo. 

bu,9, 00.020 ,oatSfa l'otoou;ro n'o. tee l'lO,- 

dm0,, 01, TriSoc,' Derlam paelo1a u,, 10 .'u001 

do Oo,iun, 0,0,,,,., on,cole 

10.11.000011 P000 V)otfI0000. - Cr0010. 

. ,0 ..iu, 0, ,0O' 10 ,00.000i u0 01.0 9L;i'O;ho 

0.11'. :10.10 oS raluno,OliOti000 p,oadrual 00 d, 

ouoocl0I0,ha 51, 12.0000 £apao la e'oc,o 

1011.00 l'io,aoeoae su000a as ïiOI4 1,09'., m lait 

0030500 edo n'enlie 10a,,.ho 

P001150000 PAn 'lulTrlLvfilCe, - vo 0e, 

o 01.0 000',. poeSiluoni I,' (lu,'! l'c,i:l!r'iOu 

,'u,Oe'ntcy utuu nt,; tu gigrdot 

'li, 

1'0"O'oi'00i '10110 TOl,u cl 'eueOOl, d:"S' 

O'lUnu'ti, k' ptoOgOmio du PontOn,!; 'u do'rulO 

gl,r.o,an 01,00,00; A0o,, enooqas xl le, oO,rl'?a' 

:00', .00,, 10 CI000lir, dec. la j0,eaa oao0010,lu 

rou,ua.,il.,Meo000,oa, 

.00 premirr jaur Ils 4 .'aoaoso,b 

.i3O'CILLO.THu,OTO1,. - Ce ,,ie, à O bOaOtr 

Otto, o c,oé,uuluorulliict;u. Pingeaa,uo do lotIt 

cr00001 nrO,o, eu,o,,,oauod sua 0,0,111,1, 400000' 

0e do paxoc, S bric cot:pto ta plus .gm0a'010 dm1 

001050,. IiOo,,obOl 00 41aal, 

(10(0,1500 0,02100. - TotO 0040 apo,.So;0 0mo 

Ou,td ou buli L C',cuuo so rloeohooS. ir VO.ig0 

duc, hou Glu', du 10 lieu Ball,,jou'. L"u haIt 1000 

Ooloop000cil L, 0,uruuuuo Oo 1000, or,., 

C0eun0Lu Lo.O'ANOTOe - Aui,,nd'lo'i, 'I_001 

000uoO 00 eruuoan,0e. 110l,in!c :, O b, ouo,oée à 

O b o doue. 'ix,,. (ou g,Oodo Od,tu,os. roue;. 

pal,0 ,rc,oui,tjoecuu,eo. 

.5.MEeICI]o COl00000.9PH. - 7',,Oi I. 

un t,. Ou. bouda tI di'ou,,uhr', ,,oui;,,(cn 10 I'. .10 

rI 1 0. ul L' 110,0,0e dv 00020, ata O élan 1 

L, 01,0041 P', ueo,utuo deu,ua tuaS; P0000111 .0 

0m, 10 p00100 . uom:qo,, ehe., '1'. 

Messieurs0, 

L0 OCIÉTS 

AMICALES 

L 1,:Jo,i3O,tila000, - ,u',p,.: e' o 

anotand0,, 000000 du 000000n s.,, 0000,' cOron 

do ion 000biltoéa la '00000e I'io,OépeouuoL 

pio,n;r d'.ctucmre',ot,u o0.001e ipto o 00E 

50.0' da,,.,rfe le In n_lOI, ,'ï,.'r !ell.,e,o, 

,oea hioa I, 00ulaoulre 0,0000 u,or,sttO I_00000 

012,000 daun Ir,'al,m du 0,001", do l'Europu. 

0,2040?'I. Sairl-.qoloLnu do T. 

0 

aej0 

12,0010000 ,O 

i . 

doc na ublaOo,r 7un houe ,uaor,r lm,,r ploinor fa- 

cor', lu geao'n d'r,a.' aImable uuoinqtoU. 

sua' 0,tl,lle, T'umtorto.non. Iunsm'o,l ,n.0 p,'- 

1er qolqam, 0,11000 60eiubIOu. qol ,000,t' 0e 4m 

la,sr;i,ett Cl l'oUblI 4' lnuoo fatifin100 qnobd'et,' 

MUSICALES 

r.re,o,000e_1,ew'o, - (r ,,, I' a,urueodi 15 1 1,0,0. 

OuO, repd,iIi"o d'er,sraOol' oc,, 'o Tnaluaeoiou 

00 0010 le,tu,a. - P;'uoor,':,'.'uu.,L,, 

L,n Tnmdr,oamuee, - I..' ,,,'evdi 000,,. 

ne,ulr'o .p.'':'l Oilvr.,i.i, dc I 01,,iO'- 

(14,x10, - Pre,Ouor urgen,". 

ETAT CIVIL TOULOUSE 

POsAnCiaTI050 50 szoethsac 

lIa au Ounc'o,le, 1311 

2,900 0,anual, ,00000,,r aU flic doOI]I'n,l ho 

'TOaion.Ood .10,00 00 Cu,aia do B4O00ud o, '.. 

Gr,o,1eo T..0I.00' 

mb, Peun,, efl.,1000, rue bluldea,i,' dl, ni 

.',n'eintleo Mogue, iirovdc000, cou 00go,, i. 

EN AC310TANT 

4110 MAQ,400Nu Od000400I e'AMOuRd.S' 

MENT, I toluoe 9;,lo'...aqo, ,nm eouuno'.er 

se mu,.. 40 p, tOc 01x0,,'. au000 5m lanr'dLF 

0,0100.01.100, nraioluol r'. reblddr,. uopaas 

Iae'n,e,ogslo do sooiurrso m000lora 

Oc ul ,, cceuli, 1011 

tuer Catarudur,, (Pou,,. oIS ,1 ii le ,ur 

4e, Outre. la. 

Marin Oatube,'t, 0,0,0 10100,d, 06 alla, von 0.0. 

an,, cas iaano.nad_'t_ 

nodal Zopco,ell, 00 0,. '00 0 ,,b sel,,' 4. 

M00IOICP'odoI. 'rosa l,uo:oOuo, eS cor. ,rnt Male 

14110x0, , 

csornsetn nlloallns. Isloobie, b, Eu t 

LES MEUBLES 

Ion pins 000noogona, Im luit col ,nnnot0100ble, 

e, 000,vosnao 

TPL OEE 

ALEOZAO, roc OOrntoeo.Rnoh0000u, 18. 011 

des 0000005050 du b,nl,vued do Olronbaurq, 

I_R, angle 11e la ,cm Omifort.20euh,roua;gol 

VISITEZ TOUS 

Le TEMPLE MODEFjN 

50E 000FIPIT-0500VIIIAL'. 00, 

01 000LEVAOO SE D'COOOBOL'RIO, 20 

1001m do 10 rom fl,iodoct.000hocoau 

LISE ne, QOATO!1120E P1000 

Vidanges Madrcn,32, Seul, do Slreobeurg 

ollill IOtÀJ1ll 

* ns Vendsura.n 

linon do una 000druro qun dnu,0011t bai,, 

910100,0e loue, oohnteue, én ,oute, 0000 0100 

p(lmo 

u LE 3nEDEEIN DCI P00500000 

0501, nO aurpricro 10000150 

L'ART VET0000I00106 

nau priée do oc 0,a0.e no d'adro,OOe loure 

nnmmnodou u l'Adcui,ioOrOt,00_DgOéSOio du 

s 001d,,ilui loue boa 000 000dit0000 e000p- 

tiaunollon pour ta ruoouv, do 000 4000 nolu. 

H A UTEGA RO1 E 

n.o80051. 

L.00ITC,hOlbKu, lut. u 'u. lu0al.Gflt- 

muoupc;niduOu pu.,;,. ;r:;Oaf:0001 

r .ic;:.' r,Or000Iaut b 

lu Glou,,bi5. cl euO'OuOlLnl.000,0,i Oclu:100i', 

cul & lui,, or, 00e,;:',, dc o 

ru à oc j09l' ouIo,leO;t loi er;oo.;:iI l'eaiprooi. 

00,1.10 400 ;'IVO:i,i,'tO'.tI dru' ]ovlr,,el su 1:,, 

,unie00000, h 00 lOc,,,,rr,,:ou,, dc 11,0, ,,u' rulo 

101110e 0500 In r, C. ',lutl de t'El_nlll'urlOaOl 

Tl,ro,a1 eO d. tu,:,,' '''aI' au cou 1,410 10 

5U,s,,i 11,0:0,, 0 Oit 0'.' 1,0. bOl,, 

S 'r;, elle 00101,. duuuu'o.,o' 

Ludhuuru,'. ,aal,o-uu,,x us l,'v 000 oi ide 

lundI 01000000 àoueu,ouc .,,ee 10000 font' 

540 1n00:1.pub OU mm: Or cou, p;Vuliaoo. 

3. hi' 

ARGE POLI- 

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11000 deutr du,o ob,5000 do. 

1,0501. MoOlOv dv'. ois" 

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::,,',:,i.',,,i ho ,lrhiilae,i, 

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0, .50l0,te:,pp tome le pecotiur lai col O!. 0'' 

d'oc.' 'E"lr'O', "nI": ,renrnr b Ol-Psul de SSlral 

qu:a.zaoonva0iaoep 100 

1.0 Ot I',, uI cof,a 1010, Il000,Oaa AnepI,. iOul1' 

:11001 mIerI.r,orue o Ofil,kPanI'Iu.Ju.oai 01140 

u ts11 00 00001, do 12 p. 000. 

LLYSLÀJSST. 

jruma5° 1 

l'bio 0,11, aup000 40100e oleoIeoee 000000101. .0 

On, 00e. P000qa',I 0.001 p00 es but,," do 

dl, :11,0 - cela loue ,ui it,mpaon,blo - le du. 

0000f 000, taler oeaOl dc 10000,5010, 0100,1000 

00 do ta' deOhe de IneOpe 

U. P. doloOnnire 0,15 dc'lo aoid mu mn 1.1.0051 

d'r:,o odono, En 0,00, de ;'Oeàii, dm CaII,,a';,,'' 

floP ralnetl1 ries, u eairr, nI, 00010 00 .5. 1'. 1mo 

lair' e I,'. 00,10 00,1501. Lu u.11tno 000 ,'uO.VOlK 

C',!S,i,,Ije. lut, ap ifs- en. ronclo,;rr,, 001010e. 

u,, 10,0 ',tl 100,00,01 u Or,,, ojuoourro car .40- 

sultane, l'el,-d"palé 000ltoOo 010e oalem pari, 

çSlrOIé b,',',, ouai,l lui. ou Ion, 90 vusln. lI 001 

b,e,eitel,d,, qor Ors nr,aood, Ors 01i0'nirr, r, 111- 

uu'd,au. l,,,,o'.O loue 'xurooer, uonl dos iOda. 

XV t,, 0.1-d Ou ao 005 eus, dorS Ions le, 

001 duo, 0m 00 pae100 f 

i'uevm Illim de_n feipeun, et do SS'anStu e'OIUPI. 

e.:! fin :010,' 040,x1 on,,r ldouu .. ur,',voec lev- 

I 

u,, 

e201ss15 tohu 

(,(.,0 

ohoelabano '. ne froment pua ae15or 

CothoaOu prol-lb en die, 0x0001 40,50 

''trots Ou 000, 001d000oOii d':Ol!',litn que 

le," ":0(000 0010000, lu drenrt,,e et h', bIen. 

tIaOl,oable lon.,,rinto. eomblr s,oao.' quo t;,0s Sa. 

mg,iomu oItl'u,oI aU .70,00 . pOI,qur roue xiI.' 

ocr oulr. '50.1!. il lu s'Iupeolm 0,1,0 01 ilLi 

t:, 400,0111. vi polo' Oie,. loyal, il 0001 0100010 

Son,,... o'toOtOO,lOoI, 1000001e ioan do 10,00, 

2000 ea00000r Cu000l,u. fa ou',. cc tu,'mIsoor 

II taler une 00004000e. 0,ojonroû',n . 00,0,80. 

o!al:5lO . folbea 'u ou 100010x0, Obus le dénnou,. 

000e ulmmo e-au aloIs 481,800 . la, Pépt000 

00.0, 1 mollona,'vooeoeoi ponT Calhoulm 01 nuise 

d 001cr' 000010. il 1000040001 0001empe I En no 

d»OoI,iq,OOI. Il . 10,0: bur,,l,o',e'o'oa,',,,, 

00000 plus O" rue,'., roue nono un101a,000'r'eu 

,SDAOI8S O'SUZRPiSREI!EITS 

001101,1,0 du 01 1000ioba'o 1012 lb loeUn001 

1', 010100 b000mule,qui. o;'dUol,coa,.it,'uo 

di lu 04cr: 105,1. 0) ff'.,uulcc .00:10 t,tl 

O 'lO'r 10020.su u Iliee ' 1, 10 rl-' 

100000001 111 drgedr 2110 u!, 10 do mol ; 

Id drg,ns 0. 

POln,,o;s dli,ni 1 b 11 mlfou-, On r.ol 

V, ,'ugi3O4 I;àtb,,,. ID do Sol , OoOoec', . 

9huyrun d'Iiioe . b 2 mètren do oni 

OOdu'OoduD;oOol,.fiOdooeI :Ddoprc-oI. 

Olmn,r,a 40 jour t ii 1 mètres do .00 1 

I drgée, 8; 0 u, 00 dx 1:l : I 0000.1, 

90es. l,",nr,nodloio,00 1 07 11100 1 00!. 

21010 49mo I 00001, Onée oboodani,, 

delnoiiron géodralo. - Roo,m prrmnio,rO 

p .1 te. i oc' i'Oluevpu ; ec,,lmc dc Io'n.péIo 

o'c"trrd de, b'ape..aao .'ee.c lu Rn,uie. 

Tn,r e penhublo r 0'ae,uliio. Tcinp010 do 

'0"cd400r,l p000eo'.i 000. ulluiudlo ,uo, p00 

10 

-. CA2CAUONMM. 

'i'L000ltE,i 100010.0. - piorI-ih, Ia,aru;, 000 

rad,caox 0 o Voici seoir 'biser ri du, aux 

P;loero'o gnon'. dc,iI I'apuhnnio o Oclouho 

hit pinu In,,,,.' 010e bOr Oaaboarpo. lu lsgro 

00e lace leu nI le bnO0 001000, pOlo 

Soi. n0000 prose ont I_rO, lobe. con' lu,,. 

rI000j; ra eAu, 5000m, do.- unn,0, de pi.roprr. 

Mat0 rpo'ao,d un ;rddobil I, I 0000.Ouu '00 ruas 

iqi devioeo, 001011e. mieèeeu, 000 c0000 gten. 

100 01 0005500. 

Puuvtoor. e.. u,, 01100,0 (000e lIe', tour ubac 

lrrmoq,ét00000stoluObullroopheCuol,Oo.y 

100cc inra000e'eiOt. le,, r,,iu,ls 'air,, habillés 

0'. 0000; obI, b loue colo rirhc,on 54,1010.1, 

1000lontu, dopai, la 0000 j0000'Ou eoOee, 

Ccpendest, cc 1001 0000-là go, 015081001 

000lrir po'undee an mai,, fa 0*000 do, déubot, 

rotes, Co o.' ruer 'bu o;imoo qui de:naiu ap- 

p000s0000l r',mporlu qaeigounoeoelnun!, 

tabou dc oOla000, quo l'on d'eu, uaorn no 

esreu,a 00 000, eer000l ci bon vmml,emo o'rpur 

du iodieoiismo 00000rs'ubOOl n unpeon50000o 

p.00 'ce-ui dos 1000pLu et nI_511e, leu m000ren 

40e cl g000rr000000t promdro pour oaeu000r 

00 ico oor000ln al 00000,,o doo os- 

eee000 raodiolbo,, Ou 1000 nomme le uoup pour 

miuun 1mo lenmprr' A Corcar,Oau, 101,01, o, 

10,0. lO' 010'aiOleSOm, 

1,0, Dépoohe o vood, ail laonnu, 01.0140 400 

les pual000 cueamlhxus loi cn0000snl 90,0- 

101000 o. tOUE 000 501000 d'OS '0001 1410110 

mol ',, Elle o, 5500e ainsi gnOn 0000,1001. 105 

0111 ce;. 00 008,100 pr.o lu leu 10 oct,o 000.11, 

0L ad°0 110 m 

00 

Vluui leu ubV,b,oe,,. 01 e OhoDo pou nue 

serait feolul rI ,umloal mmml 00e00, 1111 

0000ncutne don fiiulqi000, do Spigand. aux- 

: 

r,roo"e cl 000900m.... n 

vOyAGOIJIl ouCin nIioLEn' - P,,olo'oorbai 

o48 00emO conner le nommé 8000iu Cngus,d. la' 

'il dc bolmelop'Ooi Leu, pOrlO indeao',to,lia p,. 

100e 0m 080000e do Ors 

HOMOS 

o17000)t'CO CIVII.00 - 44ued ,o',e, 15 3 h. 

ou' tu Sea am ,bd'ouuo purno.,O 0,00.0 On 01' 

boy,.o Joue C5;ffrr, 900e du' ono,u uatoaoada fleuri 

01111cc, saeoobaiineddmot 11e le 500rino ,Ooia- 

goond o,,obre de p000000 au doux. a,Otool 

noeuh s000,upag000 le dédsoo à os du,uiIe, 40 

,uoo,u Le 001e 00000006095 prooéd( des donpmauo 

Ouor,uprdnLibe04'osaImcNiDieu.O0i011anO0, 

oC o étoUpe oud.nag'on000b,00 do t'Oi,b&l,. 

.lo o;ae,;000 I, ou0000,OO .500001 MoreI. pro- 

oieu0ug,ourd,0brc.peoo0ou,c1lsmélo11 

Ou duuunO o, r ,1st1 Osuolo eueiupbO 050 10h' 

elevc000 anmre Péuctuole, 

1:,caoohoo du tigebe, tua' 

,1pulUuOO ,l niio but dré roilgiasnel 1000loienO 

ddtuii Ont1 10 0000èoO, p000 duaiaaOor ou,, doute 

ou r coomr,uunhur,'on, .00001 pue bobtnudo do 

et.rp000ie loi do,uoerc, ,ol0000n 0e 0800m, 0000 

r000i ,oruO lmu000, outre Or, Di, 0100 00o 00' 

,,000uoouo. 00x0 00,00 00000.0000 dru,, 00000 ai. 

000dn,0 0000 sore oou.ura bon '000m On noIr, 

000,00, ml. 

lu,oad,000ou,blo 'cocon Pou 01,,;r,mU' 

no'lu 4, 0000000000, 

3. 0. 

1.18. 

1,00 nLC(Tie'iO OEN,bTOOI.ILLr, - b.,uu,. 

IltOt' dc lu Dépocha codes Su,edul.R"i;ul, I! 

lt daon la 000,Ilu do '000 600 10000,0 qu', 

maPOi'Oil 4 I'001o'clou dus OI1lll 00 110,0, 1±0 00.' 

le'alru 5000,1 gOlu, por mpieliucs ,a.U.,..rous dr 

505 rnluupa'o p0 plt000l.t os bloc e,.,,uicO, 

OC Coa'.rls,ombev, à fa acalllob00000 atolL e. 

.'uool5 000aoo du pa"oot:'i e20u?E'rula' 

polI-CoorSl oouu, fou flot ' 

'qU'or 

F0000beCordoi,. ' 

ddorror,r, 

00 p o, ,uo 

1 p' t. , 'tope.,:. 'r 01.. . r1 r000,.00,eu. 

'lOp":O,Olfru, 

51011,10 e,, 400:':, 00,0000! 

f,,m'onul",' Ico ,Oldlu. 0' ' 00r00000 

"I,0,rnu,1ot'e à I ' 

ruouc ''1,1" 0 f00- 

p 900I,d0000,n o qsr p'r_i,.!,-, o' '0:1 POC 

"no p100 t tO,,l I', 00040 4 'V',,: ,lru,l ;irb,' ci In 

a,,uor, umouil bon, ,c or I' uo.:,,,c. 

110,1 egol., Il, be,ir'O do OOc'rll ,.r b 

u ' h 01 qUO la 0001000 00 f0,1 pr'Itll,,i,.,u' I 

COCHAI!. 

LA (5010111E 11511 P055000000.. b.'c 001,1,1., 

basbleu ont pu 00000000e. la o,acdo Il cru- 

0100. pan ho debve do tribu,iub do la bu'l;l.' 

dejnain. à biOmaon. atoll pci, 'tv o0 100! ie. 

En rhci. d,uo ,,wli olou ru uu;l'ucotflro quI 

uu,'.aie,,l di, dite, tenues 10000 00,10 b ubu, 'u 

100:0,' 0,',, In;,;, lIe. om'000icut puu'uuor i, hou, 

l"dej"Ooo do' po,o. L' ,iiol,ier ,'e elîl dl li!, 

dtO.ui,. ' o '0,000 u. Or. d000 ,applo'Ssl,. .1'1:1 

ut, h,btSo,,1 la 00004150, b,'illuioof pu, sur 

;,bo,'t,e I .5 qaxi oernmni doer l'u ouppICs,eln 

0!, CO 001/ 11,10 dc 1011cr ïOl01001011o. l,,li cru o. 

ledIt I!. 1100 10'oo1 (lar 11001,11 il lv Iundl'oil, 

11101' lb 0e Pl'OaOOu,iI 000010 90 cIa birillu do 

P cdv ororr ru juolirisheu qui o debuo,gooI 

I,0,,e 0efl cf o On reV,t',il,t'Ot uan5 at'u;l pu 

Obie,lie jn-1,ue. 

Lion pml:, du cr11,' uu' '0v. d'tin ,,000uaa 

georr ml doc, sac,-guuc. 01. bu Pouvueuac 

'Pool .1011 no '100110 geèoe:I,'on,opplé;o,ln 

It I -q h 111 oloil 

btl.itu nul:, qur?aI,ua1 le O" nibau, 00, 10 

Jugo dc po,o. loumv rdposrd,'m cl '01mo per,dan0 

5 lu pemve vl-dvoue. Orig',,nab'd 100,0,,., 1" 

0050rl Ia,.n,è,rr ro 00010 de ''o,, pouuute 

di''oéli,,nm.ei,'o., oh book.out Ospcévn 01 uOfl 

y,:'o ,,aarado Tardion lImaI. on effet. 

fn':'luoOiViduO'Onilelr'blosuI de uo,pin polieo 

pl0.0i0du1r Oil b 1,0110v lialrtlot, r 0001' e r I, 1. 

lé, mn reperce à'aru i,,uubco. e , 'Lu 00000e 

l,cieer do SoinIo.Luu'i,' acoit Pull pvopeneo à 

la 000;,. ,:,Ilemo. de 1040000, 0.000e mOdem, 

oiIé'I'aooiriunee.rnbnoite. 10 rorenon do doux 

000,:un quatre r,rdi100r pan en I 

Tao'dien devait oèpomdr.c doc, tOOlruoru. 

lion de joppOm injo,".moo,e I Il onurt, poma,l.,i, 

1,001,05 s Oigr.rtini, d'lmadelua - 't obor 05 

brave Otrér'i;,or. doebbar'c d'Eiaéac nI d'uoi 'u- 

000010dm, Polio0 e du,, ff;eidmr do j000ivo 

?iirlre1 aIim V1,00,s, Axrioh, r4do_ior ou 

,,bcï do o. Midi e'u,o'auI_o .,dral 01mo, aol. 

tee In 0000eadm Toediau. 

SI. t J.opo uroe'eit l'audleaoa oiodo. ploie 1 

dittoen u,100elo b'sodiouoo du olaqubo pohito 

PI peO000sa un vioniadna do o,,odoul000ion,, 

0,0'' 00 Oppeba l'affaire Tu,dioo. 0000mo:, 

0401000 1 00. I,' Jopu 55,0080000. 15 bevoro,. 

d',,o io,, du,,ounruun. loi la,,ro ortIe bouno 

bla500 l ,' Plaise, le tetbomul 'ne pr:,t 95v ii 

'00011,0 i, bluilatlr,, '. 0010e uo,000ead,' Au' 

o laie,,, pue di,neloo 1110 etltr l'aor, 

ian aIIitIO,lu. 0f oOO'oOO. oIt, rodu bI dli quo dol- 

p000 b'neduiu bol do (mdc. ,li,r.rl,'uette,, oc,. 

,,,li'obuone du 11,, "Ut'. le maire oie 

I'adtcia as autre de 0h00. 'es min r,oeotoe 

ureuU V501?n1° mulojo1000 bbiu.,, 

pont Xita, 0000 00,u,lio'n ,a,,do. VOun 0050, 

dcuro larlouo. El 000. le ac,en. o,,e 10 lei 

voua promet dc 'cuimlilom, le Tollsesoal, 01. o 

otailo, de Oiseau no ,ou .odjoio,i sont h l'ao- 

1:0,:,,'. 'one 50 p000000'15aiur l'a loi, l'oc, 

dell, b'olpbiqoor. Voa, no olxuoen Ocl000u' 10 

justice 000s mus lu 4,000,00e Il. hO 00000 

prounu 91000 1. uôId ds 'con «. 011 o dé,",,, 

cour lut e,, 0e 00,0 don oouelnni0000 qui gla- 

000nc5 la bi'aoe ropréomulaol du la joeUue, 

net, qoo 0, l'eoopèelt4,eO,Ot o.uu de o 01fr lu 

10.. 00e lI dii : n Eu 8,010 lu 01100 liûuioie 

dl,,ujtixnoamee. je r,.000;, 1050110e b aor 

pc.,rhaiOO Su,tienom o 0101 pallil. 

Le pubien romI0000la vine,ao,n 00100 4110- 

Indu 70! .Iailicoeo va oInt ,lel,','ée b boo,jo,. 

0090 uap4otaaro, 'Ç 00(110 p0o1ieuo tort ua'uto 

150go lit',Ooog 005 lelboIrol 4» 414001 u» 000e 

penu &ao 00 poesEltuof", db (ob0I er.làioeasi 

00,10,1 04=01 010 nons la, t .00,4,00,. 11,0 

Ie,,lu qt PeO',ictla,l, 1.0 'ri lUI 00 100.0.11 OlrO 

la eei,o±, i,,ouq000 était do, Ilion 

Oqto'ioa,ur putrsltiv 00.10 350 txaslprouux_ 

000109f OoIodan,::olroo,n do tonspIe poiler. 

Pou, d0000u d'oib;uéo'u dico Ojao. dc I oolu 

dos p00000nea ,..uopéteateo, are uoodnnono- 

btu,iO paouOaimSt 0000 oui,s,dendeu ç0u0,l0u,'., 

on,010,',ten po:s,. quo pnuoe050'no p00 00 IiI- 

houaI ,00000Ptol, 

Pardieu p,0000il anuni, 1.00r a.l'Oio dol on 

pan cm pr,000lor à taadlnimo do mord, peu- 

ohalll puinqn'hrioe 0000 voulut par .101 1mO' 

do, jodler si qu" ler0000l 1i0010. 

uu?nvslonr y90ae p000000e par un tribu. 

M'ai. Turdlea ou rou ddlooeoam .00001 o 

I'uodmnnoo do mardi p,mnb000. 0100 10.1 pan 

si,uo,S'rciluouso o;'iop,ndalhtu qui eioent 

Eh04,e, 0,4,1,.,; nI Ci,. ulleol,on I Lo dat,, 

0e uomm0000. iiI 00 p'oro p00 Roi. 

si*xxxxxXXXb,c 

IIRtIIR HIIR 

Ulea Plomovolto Sdfutro Stoimehail 

Lo porqooc de 0000 u 014 cho.l dc lairo o,, 

l.ldOOil 00 001.1 dO 0,010 uuu%nilo' 0102.00 5101e. 

110,1 1101 oC puadtoietl en Sriocqou, il 15 oulub,c 

0I, .011 qu'OiO eieloo 000,oer(b,1 Oravrlboir, IL 

.l000m000, tub trnuné 0,u':Ida;mu ou 000mb,, h 

r,,O'l, 01 ',,uO.a fo,tmv. ri '00000 do cnllo.oi 

001 0506 .001105 enmm, 0es 5020001 do e, mI_nId' 

Or, IL .00100000,1 p01040010 OUO 0,100 'o to11ur, li 

' 000110 liOoee 00.0 0 f05,00 01 ueibo-ui. au 

,ouro dl 000 1250.06 dIse O0',l .iib0. rusuaIiO j 

d,000uOn 007,10,, nno Oar0000000,eO'um do 40, .1 

Oc,oené o,, leora qol , psed'ou,peolo 00 100go 

d'ioM000005u 10150. Le m,giu0011 00,1 pou Ibut' 

gus do r'0m0 1.500 0000000llO, fous ua 00mo mm 

e.,Ir, dola dteou,, do bon,io avoO,loen. Cool 0014,01 

to,1 '40101 ds la somm!,u,ancag000b'ueuoope,' 

par M. bIson, le loge dm01050000 d OrnaS. 

lIeue. la ,00inom'oaje 6001.0, que .500,c ,hgurU- 

0000 110 00000.1.0e à dioreuc, ,upnauo otqa'rIlr 

oc lolo 1,0004, d000d do srot,Lrcocuu,lo. Elle 

n'a 1001110 Oherrhi 

l'iublueOcee 00 a0100n ma' 

,iOrr ,t 01,000 1005 du drame, ea, rble 1,0,0.0 

PIOn cocu.' o,baIioI o,cu 'o Olbu000 051011 le 

moo do ouI deeu,or. 

mb pv000.sibnr u 000 ,pleoe au dumiullo '10 lu 

.0e uo.tr ooquol, o 

en P.îlairen No,'aoojooO 

10e, 

ut 

oloen 

401 

u O' 

lue., 

uuiln du O.r,;1 dl PrluOWbOO fraaqo00 la 11sf' 

19,000 de 10 0,000,. quI ,,Tt 0ogno 51 

o 000000io 0onclle, si 05, O,gamu000000 s'nlWmebt 

10100 lord 00 00101 du 0050_su,, .000010,0e. 

Lm lou,um,,0,'lrOl 0.10,1 4 fmrr o0500l;0 100 

uutu mooriror. I 0 001,1. 00 q'u',ul dod I. 

.,ua,o,,,lro ,,'lO.,iot,l pus edn,ti. 

On ,' pro ,oao,nmo',quro,uol dOO,Ou000 401 

l'dl,lOguCllblll 1',' so,Oms,O 10e cc qu, 1,00000 

O'eh 'iv, uxos 1' 0-0000000.a,al Orail uxu;r IbIrqo 

1001 .'. ,Iwponu'e,tltbO O011000i0000'OlC aOpSO0H 

dus O:luilOtllra.. 

ii 'Eooeioid0000noot Poo,tesotalr* 

l'or,,. SI aoo000boa. 

lui , bru 9,oOda, '0.000 du peojOt de M. 

410g 00e I naee,goco,out poot000Iso00 1 10 

P00501 u_nom 100 adclmomeuls ,ilcldo'é, 01 1000 

ocu'o, gan;sor ot IthIen 4r 1,5 0eS. rOnmbolo, quI, 

o'dtan1 pua poucoun du cmetiûru1 1a1deI 

,ei3O00reo ml05110reluioo. dgurmralest 5E lus 

lielru dmr.000m OlouOple oonéo par 00 dèrerno 

Sen,', ri d,:u,.'o,'tO.c 001x1,'. 

lb ,.ugl,bo toto! ,ou,ii Ion jcouoo 500 01 

aune. 1111,0 à0dr "Or '000 du 00000. opprou- 

lix do l'i,,duninio, rml,!nnéo de omu,m000o au 

coj 0 

50 111 l 00,00e 

hOO.rcu de la jouooloo dru oou,'o 00'alOOuiaa' 

oolu'leguOt,l!, rpdoialoment b loue 101000005, 

Il 1'apf 00 00 010f d'élaài,e uoto,. i'OcOlP 

et lu 000000e ,,Ot OOoOiporrnOot polI_ho tas 

pal u,, e,'rte d ult!ipotimn ooIllgue, mamt,00- 

doo,t, 00x0 ho Ixtu,lm dtu m,nl0000 do 1,00,00' 

lion pobliqnc 0l,,0 polie de la jenoclua 1100' 

(1000 ilaeoba'u l'à, do 10 0,10. 

Go pcojet oemlo'eI" "Opo,lduol quotqaul 000 

o'opliOalS tIPI' 011 O,elOmnca ujopuilaol' 

Au Smjet du Congs 

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F:ai,uO t0 10 OOIgtqlo an euj,5 du Ceogo. 

Lu Fe4qt0001tatlem nealaBé. 

P0010, 05 0000ohom. 

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,:ndu,a nra100leoo 0000m do mu 0,1000 oui'.,,,. 

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00 le fluaI 4e 100000100 11.00,00 01eS. 1maI c' : ' 

0e l,oabl, et la diuouodi' oeia pool d'oaa 1 

do0eà200lrouno;b&oupmIounanomu5eseu, 

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Ifa000 Cou l'uuctmuou iépoiabure e! md ,tro 

nu,lba.00.5 co'.aai;àlsooa,oueeioo do 

Lien Pdlleura de TraicsH 

Sucer,, al auee,000uo', 

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500 dIront uorr,o,l'o,, a500 la osoabniala0o do lu 

galle do, OIrd 'o.,,,O,.,S 00100 001e 0,, 100101e 

leI,' poo,000rl do P L. 11. 0.000010 0 10 0000 

05,10001 010', 000v d,o lob. le tIr ,Oe luxe 

III, nu000i dl P.',,. 1100f «,Ssald b 1. 40cr 'tu 

600500cc Uil V01000 llOjcolloOt 00 doof la ta000 

raIls Igno,'Co. Lr r0000,i In 100,0 dl 1,151 rtoO'Otia 

à '000500e lIc Oui,,,, 1, 1001, 61l .0,0,00 colo o 

b bouma .020,0 00 7000 de dipocur;' 10 5000 

VO 00e lu 1001000 Moul000aabOm,.u, 

.5 Su0 0e',' 00 0 500e. Oo 1ra51 buiuoa, 00011e 

000100 1000000e, loI 5000 do lIcou 0 peomoehe 

au 0,'alu de 1000 do poaerr, 00,08 10 :01 0e 00- 

oril n, mord,,, la' 01.100 00,-0011 eO 000 doSeur, 

Le III 500000 sugegd 500 la nouba do 00000 15 

Lanulso, la uslls dol 000pp,o oc e,oe roopogu, 

d000 10,11j01,0 du SaInI.bllarli,,.da-To,'ioe. 'II 

00411 à an ,un,0000 610 canOt duoO,', 'o 05 

puiol O, la Ilgom, leu' '01m 5000 0 000u pro, de 

dui0000a do pbuo00010n cool..,,. On'O'OOoItOl dc 'u 

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bOum P0100000 pour 000me10'e 050 molfatetoga 

09 P00000 10 t0110 

1111001 VOLELSI .5101,100 

lé',',. 0h 000C,,110, e. 

110 00001cc do 10 ,ReOOd du R'olleol.'bril. b 

peuoddr h i'auoeu',uriu,, do 9,00 100.00:,, 'oc,,:- 

i-01 do soi. 0000uola 0000 Ire gOot S',mu.Oaoo. 

d;uea dO LpoO. 

.10 dnou000 du obnt do la I000d,t .1. P 0- 

10000000', 'no Olar!b0101, à 0,100, 1 dc.o O 

oOtla quo 001m'a 00011 0.000010 euUlr 0' 001100, 

on 000llieiuou' uoo eeulu',.-,e de ndllo' boson 

0081020 vulfe, 

Lei bAC SIIC 

.'otuomeo. 21 00,00,1,0, 

Cl mali,,. 0!, 1,0.1er, 000000 00 OhiOlIlu, dc 10, 

'09000, 00 1501005 00 5000000 000ldimoo, a 5000. 

00 cor le 1010. da 10 'l'.o, dano 100 1000t,nhe:'- 

900,11 600 Ot.letu de i'i pore 4e 00,0. 01,0±0 (o 

dp00100un;dn 01,1', Ito Oluillu Cllorl000po'm.. lb 

s reppeeoo looaoaaclOrf de (l0eo, quI u 0,01111 

II rouble i,upua.ubIe qur 00 000 010 pu 00mo 

1000 d'un 1,00 ,IiuOb aine la d:ocv000 0e io]o1. 

O Os000rt 10 (0100 000 000 1,10 '.11,! dOc_n bu 

d'rooOian du 00 I', 0 

110010 sooc ,uid.uiuu qa' la 

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:'btcruLQtlte d0,,c 101 baogOc 

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:00011r011u,,e,'braou, 11au,ilyuouubque 

1,1011, 4c trIa. 0,0 ,;aio,t daoo la oom0050,a 

qco 9' ,l'cpap0 :5e 510,t'l'codo rdl000mmilt 

liIor 1,010110 0100,1:11 0m ,00,I'0O.'. 0001 004 

r 0510', 0000. ,,d,.e'il.s cl u,xe 00, oadoru,e 

0m cl, v,c100i dol', 10 0opO ,amm0000lr, 

80opuI1o:lsr a0l0Ice.L40 

'0m,. loi ,,'Lio," duo', uooblatrle ag0000iols 

'1 RU!, li' lu 'ail I'0il ,r'le ,ull000abfes 

Lia N,bou,Iottafl Chinais. 

.10 

.00I100'IljOns O tib'oaj'iiOl. 


. reena 

, 

Olul.,%`5.919e. 1911 lle 

LU ROI OR LA LIGUE 

.9eu1 MAIZALLN 

. Nos Lieue Ofti ers, ^sereine, ove, 

la suriezi(c. aurahee mi, à euusiarer 

UU merle Idem, ou en remord e !rois 

becs le rareasiene cuis erri :ver terme 

eClui-ei n'était autre rptirn ediMesent 

eMx cheveu,: roux, -- petit, fluet et grec:one, 

- qui paraissait pinter non sans 

iSttkullile lourd mousquet q ii enait 

do se :aire délivrer. 

Sarpegoy t mon 'tune (mite. tee- 

l'un die officiers. vans els: dure 

riceit comme un Gréses mn, fa:, fi c! 

Oliiière des ltberalfiéi de Son ? 

Moi:Maur, ',parie Meilen:ire( tenter- 

. pelié, je rue lI,O0t,IC Urbain e! le 

ut, Ukatlitult. col Sorbe:mi pine 

cathelique, iesecir r' tiraiiM 

SQ los listes de Pteeon e! fmveM admirateur 

dru talents de 'M. de !Tocante_ J 

ne méprise pas - tant sem foot 

o.inerosités de ce magmeque tgneur... 

jameis joué. je ne suis no. 

gourmand, je ne bois que de !eau, rI.(r 

p'si pas de maiteessee Voeu comprenez 

quo jr n'ai pas besoin d'argent.. 

nana]s'inn 'istanitle ena >miens qui n'on, 

+IP tréW cite MM. Colreene Lias. Mesure 

e'eelosie, 'mu jnlerioeuluur, 

fortuite gaillard 

Lu Seeoud officier baurn les épaules en 

Flitei1,lt t 

.-.1 fortune, car il ne 

Pa.. 

coupait rien des plris grands bonheurs de 

vie, qui sont dé remuer des dés dans 

111i cornet, de découper un chapon gras, 

tte iletolleher MU' Use pdfflf,ille et de 

chiffonner rine belle fille. 

Ensuite, 1,,,tut trais hommes qui s'avançaient 

avc,r force courbettes 

- Çiet qrie 11011S or,il CC trio de méhantés 

figures ? Ln job brelan d'erseeux 

'de proie surtout, avec,,' linge 

lache de ''inc su amis de sa tête de voulut/no 

Et son compagnon, après assit' toisé Ira 

nouveaux arrivants. 

que elierchez-vous par ici, 

trends ? Ce ne soont pas des armes, je 

suppose... Vous en Oies caparaçonnés de 

pied 0/1 cap comme si sotie parliez pour 

la délivrait. du Saint-Sepulere un pour 

la comméré du Monomotapa 

Lee (rois hommes se confondirent en 

lliil 

- Nlessmeneurs, déclara le premier, 

nous smaree, ventis pour toucher la petite'gratification- 

- Oui, appuya /e second, les deux 

:cas. allouOs à chaque nouvelle recrue de 

1 

Et le troisième, avec entphase 

-- iii nous lei méritons mieux que qui 

que ce son en monde, car nous sommes 

d'anciens soldats... 

Puis, alternativement : 

-- Nous nons serre., 

- En Flandre,. 

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Émises par décision de l'Assemblée générale da 22 Avril 1911, 

Publiée ru Bedielin Annexe du « Journal Officiel o du nia Mai Mil neuf' cent crase, 

Remboursables en 20 ans, à partir du Juillet 1915 

Le coupon d'iiUérêt col payable chaque année, le Juillet. 

Les Souscriptions sont reçues, 501115 frais, tous les jours 

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1 

et de Vessie 

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11'n.Fratteo, I E. Gravelle 

Tandis que l'agent deseendail, uu autre 

estivait au quatrième étage en,,merent 

e'était eclui mn( le chef de la survie aval( 

rprodeetion isianitte aas ,,,nes eus qui; &tort 

na.' or araire erra MM. Calsaan Lite, addenir 

s 

or fui Esser 

QUELLES RSOUSS LSUR A PAL. 

P1.1 I.A./TOM It04 Empli, (int 7 envoyé au dehors pour rechercher les traut, 

de la femme inconnue. 

---lii, bien -! lui demando anxienserrad 

le ntogislial, avez-vous découvert quel- 

La Mèche d'Or que ? 

1..1110:111 s'avança et dil d'un ton ,i0VOUX: 

Par Pierre SALES 

-- Je croi, que oui, monsieur /e chef de 

/a Sûreté. 

Et il enleva, de dessous sa pélerine, un 

gant de lemme, ett enntintrant 

Smee Mie stupéfait. It saveit bien qu'il 

:rite en oncle en Amérique ; Mais il 

- Vinet la chose. D'abord, j'ai cce 

avèr; tent d'années qu'on .1favait reçu 

je ne retrouverais rien, à cause de celle 

morue nouvelle de 

foule qui encombre Ionie la rue de /Io- 

!.... 

tétride la Sûreté reprit 

En supposant que la femme ait 

bsissé tomber quelque chose là, il serait 

.(rearD'de tiren des conséquences Io-, 

de cette lettre, il est néressaire 

imposisble de remettre la mate uieresue ; 

.eres mortaisions la teneur exuele 

cae aurait entraîné._ Mais je :mis alle 

ai Ttarnent 

plus loin, à 00 endroit iple la foule tre 

perd pas rouvrir, à cense du pansage de, 

Verre allez vous rendre immédiate- 

, Stanislas Fourmi. t. nOlnis 

free:, l'endroit même oit 

- et, entre les deux 

rcc d'Antin numéro 22. Volts 'lui ex- 

On a déjà pié- 

; TersTez brièvement de quoi il s'agit et 

. 

.no'il était LOUP 

sues lui direr qu'il est du plus grmiti 

fui peet-etre 

i, 'Cl pour la justice, de emumere, saine Int, 11011re t Je i'ai appel)- 

larder, les formeS de ce teslamehe 

doue il'pouvait se deraugee cl venir ici ciré ( F re t lu . 

: qu'il était 

sur rna 

n lé__ (' 

meule nous renseigner. Inondant que mus main._ Vfp 

ternir/loris cet to première euquete, je lui 

. F.I1 

elettlit 

mi serais tri, reconnaissant. C'est (MO déirrégulière, 

mai, en officier mi- 

huri 10s- USsisnistériel 

lie refusera cet/Unciné/P pes 

p,i4er Sel aide à la loi. Altee et rkéoe nez. 

il 

-eus 

éqf 

arsnerts 

0Yranraincs 

et anglets° 

NORVEAUTBS 

mealMsats 

A 

eeee-+ 

gne 0222 os nixe 

du 95ll1,XP'ex., 

,rai nom Geai., 

, 

- Bref, couclinrent-ils à l'unisson, nous 

sommes... 

- N'o.us etes d'épouvantables bandits 1 

intemompit une voix !Minante. 

1 ',Act sinx "lait velte Ati Balafré, qui, 

ayant descendu les degrés du perron, s'était 

arrêté pour écouter - entartré do 

Saint-Paul, de Mayneville et de Pergame 

- à quelques pas du groupe formé par 

lie deux officiers ct les trois matandrens. 

Le due s'avança vivement vers ceux-re 

- Monsieur de Guise ! s'exclamerenl- 

- Ain ! voua m'avez reconnu ? reprit 

ce dernier. Moi aussi. Voue êtes donc 

toujours de ce monde ? Têteb/eu je vous 

croyais pendus_ 

-- Pas encore, monseigneur ! hasarda 

Violet. 

-- Silence, veillaque I Commende le 

dur t je parle de vous, mais je ne vous 

I arle pas... 

Puis. avec mépris éerasant 

Vois êtes des soldate, dites-vous ?... 

Par saint Epvre et par saint Geogoulf, 

eeci est (Bene impudence rare Dee 

faulllesiarrels et des coupe-bourses qui 

déshonorent /a pierre en la faiza-nt 

- Bravo 1 s'écria Pergame. 

Puis immune le due le regardait 

-- (Sue Votre Alhcese m'exenise, pou, 

so:eit le Lorrain ; mai, c'est mie j'ei 

an ces /Mil, emploi, 1 l'oeuvre.... Oui, pas 

plus lard que l'avant-dernière nuit, dans 

d'un bon bourgeois de mes 

*AIX biCabOntiliCS, Wigan. gamin 11 

Fournissears des Ministères 

riels Guerre, ciels Marine, des Colonies 

Natales traitant mer amie pat les SAUX ru BRIAll 1 

Maladies de rouons, du foie, de l'intestin, 

,,,, s d, ni vessie, le paludisme chronique, le diabète, las 

consaleacenees, l'anémie. 

(bagua, ( /Ateblisacireain i: oucurt 

.i.tottete l'akrnazée 

FEMMES 

qui SOUFFREZ 

e Maladies intérieures, Métrite. Fibréme. Hé- 

Moreaele, dattes de cruches, Ovarites, Tumeurs, 

Pertes blanclaos, etc. 

REPRENEZ COURAGE 

0. il exista un rernedo incomparable,iqui a sauvé 

des miliiers de Malheureuses condamnées à muterlyre 

perpétuel, ail.remade «o nie et Melle, qui sous 

uncelra sûrement, sans poisons ni opérations, c'est la 

FEMMES qui SOUFFREZ, auriez-0009 essayé 

/out les traitemento sans résultat, que sous nover pae 

le men dc desesperer, et vous devez, sans phis tarder, 

nt c une cure oses la JOUVENCE! 

de l'Abbé uourt'n. 

LaJOUVEPICE 

c'est te salut dela Femme 

FEIMES qui SOUFFREZ de Règles I 

irrogulidres, accompagnées dc doulems 

dans te ventre et les reins; de iftgraere,, 

liane d'Estomac, de Constipation, Vernes, Etourdisreneas, 

Vence, Reasorroider, etc. 

Vous qui craignez la Congestion, les Chaleurs, 

Vapeurs et tdeous les ac.ndents do RETOUR D'ÂGE, 

Cules usage 1.1 

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adresse Isharmeeie Sag, DUMMER, o Rome, 

c11:ree urcroie conustenua. gratin: . 

sûrement lu vielitne, puisqu'el° o déposû 

un de les ga.Ms sur /e buffet auprès de 

la Mire de M. bourmord. Remarquez que 

c'est le gant de la main droite ;nIa mail 

conserve sa main gauche gantée. Dam 

la lutte, du san.g est tombé sur cette main; 

et, ligie fois dehors, la fermne, s'apereevaut 

que son gant était taché, l'aura je,. 

Voilé un détail netteemnt 

Il retourna les gants el anostvta 

avaieut été achetés au Printemps. 

C'est déjà quelque clio.se, 

Mais il nous faudrait d'autres digails sur 

la toilette de cette femme, puisque M. 

Serge Morain de nous en donner, lui qui 

i'a vue ! 

Malgré la perfidie de 'elle phrase. Serge 

entt le eourage de répondre 

lie puis vous drunter qu'un détail, 

Monsieur, mais vous le donner bien serenient 

t nette femme portait une robe de 

soie. J'ai parfaitement distingué le troufront 

de la soie. 

11' était 'heureux de révéler rets indice. 

Thérèse n'avait pas de robe de sots, Le 

magistrat dit (1. l'agent 

-- N'oyons ! c'est vous qui, Mieux que 

pollVe2 nous renseigmT. Rassemblez 

bien vos souvenir,- 

L'agent mn ne geste, d'hésitation 

délai/ de le rohe de soie, par 

exempte '--il frappé ? 

, 

, n, la 

' -en, 

I 

L'agi o 

-Th 

.1ehlt, puis dit graventerd : 

- Monsieur, il m'est irnposicoirlre. 

Cette femme allait 

veler sur la ter- 

a- - ' titan 

cel : écu qui nous a mis 

..it passé 1001 notai 

A cluir Gest 

a eteestà.e.41,e,:def b,;1' 

en comble.- 

MiSérables, poutla le Am: entre -eu 

dents, ce n'est done pas as-ez d'égorger 

le, enfants._ 

Le, traie ellen apms protestèrent 

- - Monseigneur, tenus n'avons fait au- 

0/711 mut à lennbeente créature._ 

-- Ge n'est pas nous qui, av ons eu l'idée 

de lui faire passer le goût du lait de sa 

nourrice.... 

-- C'est la mère qui nous avait donné 

l'ordre de l'en debarrasser.... 

-- Assez ! intima le Balafs1 : ne me 

parles pas de cette femme._ Elle est plus 

coupable que vous._ Mais peut-être la 

pensée du crime ne lui serait-elle point 

ventre, si elle été certaine de rencontrer 

FOUS sa main. l'instrument nécessaire 

pour le commettre_ 

il conclut avec un peste impérieux 

- Maintenant, tournez-mei les I elens 

allez vous faire pendre ailleurs ! 

Ceci ne faisait point l'affaire de nos 

trois Brbies. Ils imistèneet à qui mieue 

mieux 

- Cependant.- 

- Votre _ 

- Comment, s'écria lo due, rens et,, 

(mettre ici ?.... Mayneville, appelez mon 

préveq et les sergents !... E tqu'on me 

comlpise pieds et poings liés, ce gibier de 

potenee au rtethâtelel, d'où jr prendrai 

soin qu'il ne sorte que pour la Grève ou 

Montfaucon ! 

Les trois smeriparfis n'en entendirerd 

pas davantage. Ils detaNirent à toute,' ions- 

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rire de leur prêtepitattn CleeTelue. 

Moili, d.éclarest-il, trots pers dont 

chacun est sûr r/e finir da. la peau, d'un 

fier scélérat, si on ne l'écorche p. tout 

vivant. 

Ensuite, à ses compagnons 

Allons, messieurs, on nous attend 

an Cimetière des Innocent,. 

Tons quatre pénétrèrent dans le cur 

de la ville par le Pont-ana-IL:houx, lengerem 

l'enclos du Temple, traversèrent le 

carré Saint-Marfin, tournèrent la nie flux 

Ours et descendirent vers Saint-Delaeh, 

par la rue Saint-Denis. 

Châlone et Goei remontaient, au 

contraire, vers la contrescarpe Saint-Antoine, 

Leur déconvenue et leur frayeur étaient 

pou,sées à ce point que, quelque exercée 

que fut leur oreille à saisir tous les bruits 

de la nuit, ils n'entendirent pas un pas 

se glisser derrière enta dent l'ombre. Ce. 

pas PIM celai de l'adolescent - X ia pesante 

arquebuse - qui avait refuse de 

prendre les mieux écus du Balafré. 

A un moment, - et danz un endroit 

SOMbro, cela doleseent s'arréda 

- Hé, /Mitas t appeht-t-il, pas si vite, 

stil voue plait : ce neest pas la Bastille. 

.que nous aveits affaire. 

Les fityards ,se retournèrent. 

- eneensba t peersuivit le ielthe homme. 

je ne suis ni le prévôt ni un sergent 

dp M. de Guise.... Venez done à moi sms 

défiance.... Nous sommes d'anciennes connaissances, 

et vous y avez len à gagner. 

Le, trois forbans se consultèrent du regard. 

Celui qui les interpellait était seul. 

Il n'uait pas l'air hien,edoutable, Aussi. 

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HISTOIRE 

8. La République de 1898 (G. Re. 

nard). 

10. Le Second Empire (Albert 

Teomase 

le La Guerre 

Veto Commis. (l. Jaurés et L. Dm 

breniN). 

12 La craissecie RépnbEquelaRn 

Labusquière et J. James). 

14. Histoire anecdotique ei Durait 

(A. Thomas& 

IO, La Coraorune do Pans CSN/ 

Marx), 

10. Histoire du Socialisme français 

(Paul Louis). 

17. Mea:deus d'un cocenun.ra 

CT. allemane). 

CONGRES 

Compte rendu du Congres, 

telle Wagram ereembre 1849). 

105. Cimente rendu du l;Ong,ès 

C0E...S'a (septembre 19021. 

107, senpie souda du Congrès de 

Reims. (septembre 1333). 

109. Compte rendu els Congres 

des Mus mvalcipetto (Janvier AMIN 

11). Compte rendu nu Congres de 

Saild-Amand (septembre 1900). 

Compte rendu du Orne Con. 

crée ciatecat de la jeolOrerton sec/este. 

Cange rendes du atone Cens 

ors nudtanot de in ConpÉration or. 

autiste. 

225. Compite rendu du lame Cm' 

rte national de la Goaseration sanettste. 

/76. Compte rende du Une Congrès 

mittenat de la CkepératiOn so. 

Mariste. 

rentons "°N"WeleOLITIQUES 

L'iegragitsege (Pierre Brie.). 

202. Etat facilites et morale de 

classe (Mlles Guesde). 

2.0.3. Misère de la peemopeto 

(Karl M.ren. 

SM. Psesai sue la crocreete (Te. 

bmelesh). 

205. Le Capital de Karl Marz (Ga. 

Deville). 

200, Le Produit intégrai du Erse 

rait (A. Monge). 

Brochure explicative 

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iin.Friinai,if. Gwite-Sciatique tr.Franeo,1f. Gastrites 

bien pos,a.ble qu'etc eût une robe de soie, 

mais je n'en .is rien. 

pu- un chapeau 

Je lien riais rien. Elle avait peut-être 

un ebapeau sues sa .m0/11.1110 ; mois te ne 

l'ai pas distingué. r 

- Alors, elle avait une mantille sur la 

tète - Je crois bien que oui. 

- Qu'on rue fasse venir le concierge ! 

Le coneierge fut appelé, mile magietrat 

lui demanda 

Avez-vous remarqué ce que cette 

femme avait mir la tète ? 

e..F vous bar OuI, moneieur, quelque 

chose de noir, (pli la ebchait entièrement, 

pUiSqUe je n'ai mente pas vu la couleur 

de ses cheveux. 

- Une mantille ? 

-- Me fini non ; enee m'a plutôt fait 

l'effet d'un fichu de lame._ Bref, je ne 

puis rien dire de certain à ce sujet. C'éteit 

noir, voilà tout I 

- Bon. lietirez-vellS. 

En ce moment, tin agent demanda, du 

palier 

- Voici le médecin I Faut-il faire en_ 

irer ? 

dons m'oc impatience. 

Mais naturellement ; nous Patten- 

Le médeein, aprês avoir salué feoide- 

Ment tous ce sgen.s, se pencha sur le cadere, 

en disent 

- Que me veut-on ?-.. Cet homme est 

Le magistrat déclare sollennellernent 

e- En attendant t'autopsie, qtti aura lieu 

ht la Merdant nous avons besoin de vos 

icongUlations, pour savoir immédiatement 

rentemot rot horotiiii cst mort, 

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés 

- Cela me semble trop clair r trois 

Mesures dans la poitrine..., et ime d'elles 

da. la région du mem_ 

- Fortes aune ce eoutean, nest-re pas ? 

demanda le chef de la Sûreté5 en présentant 

le couteau de chasse. 

- Mon bon monsieur, répliqua le docteur 

tranquillement, vous avez des médecins 

jitdicipires qui établiront si (fest 

avec ce couteau ou avec un autre que ce 

malheureux a été frappé. Moi, je ne fais 

pas de médecine légale ; et je me contenterai 

de vous dire qu'il y a une blessure, 

une solide Idessure,'même à la place 

du soeur._ Voilà tout. 

En même temps, il se baissait et remuait 

le cadavre pour bien l'étendre sur 

le dos, afin d'ouvrir ses vertement,. 

- Pensez-vous que ces blessures aient 

pu être fret. par une femme ? 

Le médecin déclara en 'haussant los 

épaules 

- Vous me posez une question à laquiele 

il m'est impossible de répondre. 

Il y a trois blessures-. Voilà tent ce que 

je peux vous dire._ 

Tout en parlant, il aeriit disposé lo eu. 

datte, les bras un peu écartés du corps, 

mutin, on es place dans les amphithéâtres. 

On vit ares la nnsin droite qui 

que-là était restée cachée en des... Le 

médecin relevait le bras droit, pour chercher 

s'il n'y avait aucune trace de blessure. 

Le poing était femne. 

- Tiens 1-11 quelque chose dans la 

main, s'ecrio 1., Téter,. 

Et il seet r ; mais il ne put 

pu. I netded( des ormets posa une 

feus les assis- 

se &eider ent-ile à se sal,lliOC1171,11. 

U119.ib lentement, l'ne11 au guet,. la a, 

tonsurons, terne. Pole qund a ils l'on 

miné 

- L'Espagnole t 

- Dune Cruz ! 

- Madame la coT,' 

A ce triple cri, 

Voue voui 

repartit 

l'adule-estl'écolier Urbain Lui an, I 

lueur que le hases' ,000 

cour de l'hôtel lor,re 

Ms y êtes présent. hult 4 I., 

- Ah ! Tous y Mie, .... 

- Derrière les deux officiesr 

vons vorts étiez adresses dès 

Je m'y étais faufilé en vous vic 

lier._ Car comprenez mn, 

un certain inférât à ne pas etre e 

par le maitre de la maison .. 

Et vous avec entendu.... 

- Toutes les vérité, dont il 

re dermer de vous smaler ?.. Man 

oui ; je n'en ai pas perdu 

Son Afieese ne vous a pas m 

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"Dépôts : 

(4 Maure). 

SOCIALES-i, 

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comporê par une équ, 

d'ouvriers iyqu,,d 

Composé sur meeldnes Imorypes TieacEmiliZZ 

linp. de la Presse, 38, nie Requelaine, Toula, 

L'AdeassietrateunGereed DesAge 

A l'occasion du nouveau feuilleton 

Prime Exceptionnelle 

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sistant en nn inagnillque volum .e 

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go Le. Médecin 

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Tel est le litre d'on lelèresseal 

vamt de faire peaitre volume out 

leur professeur usereerei 

directeur de etEuvre tanuntaire, 

:1822, membre de plusieurs Seeiétès ea'teaott 

t ,; 

Ce xuionmu donne O 

Cime porlur en ui5.tO0rI10 de 

iv portêe de Ions el que t'ex/Minera 

l'auteur a lem à faire connalli sQUA 

p'irôl'etteire."'ice"-r/Zaresiiip'rPéc'etiieneren"' 

rivée do médecin, et quelques.). 

recettes qne 

resumé 

ele hem est int iltièle de toi/tenta 

s dé. 

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n'etrteior e rn u' 'e: se's'e n 

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L'ISLE-JOUPDAIN, pharmacie Mageteau 

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uses 015.1, Faro, I w 7:i Fr jico., f. Eczémas -Dartres 

Ion!- virent. de chaque CM: de le 01050 

les boums dune mèche de cheveux.. 

- Vol Ur qui Va singul ièrenient 

aider ! o'écria le chef de la (des-le 

jMe cruelle. 

Serge lit comme tous /es .is an 

regarda cette mèche de chmeux, den.,f 

reconnut bien vite la couleur dorée- tee" 

le mèche unit Olé arraehée par se0 

dans la lutte saprerne. 

Et il chancela quand le magistral lw 

posa cette question 

- Monsieur Serge Murai°, prince 

vous me dire quelle est la coi leur 

cheveux de mademoiselle Therase 

IV 

UN BEL HEBITAGE 

Serge restait imebile, les yens fl 

cette mèche d'or, ne sachant que 

dre, 

- Vous nous avez déclaré 

mie. mademoiselle Garannier, contre. 

le magistrat. eJ mes dom bien ecci,i'e 

que vous devez avoir quelques ehezett 

elle. Entre amoureux, c'est le premier c. 

de'n qu'on se fassi,. 

En même temps, le chef de la ûree 

s'upprieliaii, de Serge cl, teariquillema". 

mettait la main sur sa chaîne d mai., irrne 

instinctivement lu jeune homme vote 

le reprrusser, l'empécher nie saioir 

daillen ; 05 55 deux agents lui P(It', 

les bras, tandis que le magistrat disse_ 

- Allons, je parie qu'il y dei 

VOUX de mademoiselle G:Tamier dans 

médaillon. 

- 

(A suiencl.

La Cuisine continue - Bibliothèque de Toulouse

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