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DOSSIER DE PRESSE<br />

Pour fêter <strong>le</strong> Printemps et lui r<strong>en</strong>dre hommage….


DOSSIER DE PRESSE<br />

FOIRE INTERNATIONALE DES ANTIQUAIRES<br />

HIPPODROME DE LONGCHAMP – PARIS XVI°<br />

Pour fêter <strong>le</strong> Printemps et lui r<strong>en</strong>dre hommage, Caroline Margeridon et son équipe ont <strong>le</strong> plaisir <strong>de</strong> vous annoncer<br />

<strong>le</strong>s dates <strong>de</strong> la 41 ème Foire Internationa<strong>le</strong> <strong>de</strong>s Antiquaires, qui accueil<strong>le</strong>ra cette année près <strong>de</strong> 200 exposants, sur <strong>le</strong>s<br />

pelouses <strong>de</strong> l’hippodrome <strong>de</strong> Longchamp du 14 au 24 mars prochain. En créant <strong>de</strong>ux espaces PRESTIGE ET<br />

ANTIQUAIRE, ce nouveau concept nous permet <strong>de</strong> prés<strong>en</strong>ter aux visiteurs un panel <strong>de</strong> marchandises <strong>de</strong> toutes<br />

époques et pour toutes <strong>le</strong>s bourses. Sous un chapiteau chauffé <strong>de</strong> 6000 m2, avec ces Antiquaires sé<strong>le</strong>ctionnés parmi <strong>le</strong>s<br />

meil<strong>le</strong>urs <strong>de</strong> la profession, tant pour la qualité <strong>de</strong> <strong>le</strong>ur marchandise que par la mise <strong>en</strong> scène <strong>de</strong> <strong>le</strong>ur stand. La Foire<br />

Internationa<strong>le</strong> <strong>de</strong>s Antiquaires bénéficie du cadre calme et spacieux <strong>de</strong> l’hippodrome <strong>de</strong> Longchamp, el<strong>le</strong> permet ainsi<br />

aux visiteurs une prom<strong>en</strong>a<strong>de</strong> <strong>en</strong>richissante dans une atmosphère <strong>de</strong> dét<strong>en</strong>te, s’écartant <strong>de</strong> l’agitation du c<strong>en</strong>tre vil<strong>le</strong>. Pour<br />

toutes ces raisons, la FIA est <strong>de</strong>v<strong>en</strong>ue <strong>le</strong> r<strong>en</strong><strong>de</strong>z-vous incontournab<strong>le</strong> <strong>de</strong> la cli<strong>en</strong>tè<strong>le</strong> amateur d’art et une référ<strong>en</strong>ce du<br />

mon<strong>de</strong> <strong>de</strong> l’Antiquité.<br />

UN PEU D’HISTOIRE SUR L’HIPPODROME DE LONGCHAMP :<br />

Les premières courses sont organisées par la Société d'Encouragem<strong>en</strong>t, créée <strong>le</strong> 11 novembre 1833, au Champs-<strong>de</strong>-Mars.<br />

Sous la pression du Duc <strong>de</strong> Morny, <strong>le</strong> Bois <strong>de</strong> Boulogne (domaine royal <strong>de</strong>v<strong>en</strong>u propriété <strong>de</strong> la Vil<strong>le</strong> <strong>de</strong> Paris), est choisi<br />

<strong>en</strong> 1853 pour implanter un hippodrome. Un décret impérial d'août 1854 officialise <strong>le</strong> choix du site : la Plaine <strong>de</strong><br />

Longchamp. Le 23 mai 1856, la vil<strong>le</strong> <strong>le</strong> concè<strong>de</strong> à la Société d'Encouragem<strong>en</strong>t.<br />

L'hippodrome est inauguré <strong>en</strong> avril 1857 par Napoléon III.<br />

THÈME DE LA FOIRE INTERNATIONALE DES ANTIQUAIRES :<br />

« F<strong>le</strong>urs et Jardins » L’art floral au travers <strong>le</strong>s Arts.<br />

Que serait <strong>de</strong>v<strong>en</strong>u l’Art sans l’inépuisab<strong>le</strong> source d’inspiration qu’offre <strong>le</strong> mon<strong>de</strong> végétal et quel<br />

regard porterait-on aujourd’hui sur la nature, sans <strong>le</strong>s artistes qui sur<strong>en</strong>t tant la mettre <strong>en</strong> va<strong>le</strong>ur par<br />

<strong>le</strong>urs œuvres ? La nature est indisp<strong>en</strong>sab<strong>le</strong> à la création artistique. Beaucoup d’artistes s’<strong>en</strong><br />

inspir<strong>en</strong>t, d’autres lui vou<strong>en</strong>t un véritab<strong>le</strong> culte et tous t<strong>en</strong>tèr<strong>en</strong>t <strong>de</strong> se l’approprier et <strong>de</strong> la<br />

réinterpréter <strong>en</strong> lui attribuant <strong>le</strong>urs propres visions.<br />

EXPERTISES GRATUITES :<br />

Non seu<strong>le</strong>m<strong>en</strong>t <strong>le</strong>s Experts assist<strong>en</strong>t et conseil<strong>le</strong>nt <strong>le</strong>s amateurs d’art pour tout achat fait sur la Foire mais <strong>en</strong> plus, ils<br />

expertis<strong>en</strong>t vos objets personnels et tout cela gracieusem<strong>en</strong>t.<br />

CE QU’IL FAUT SAVOIR :<br />

Ouverture du v<strong>en</strong>dredi 14 au lundi 24 mars, tous <strong>le</strong>s jours <strong>de</strong> 11h. à 19h. Nocturne jeudi 15 novembre jusqu’à 22h.,<br />

vestiaire, restaurant, salon <strong>de</strong> thé, catalogue offert, prix d’<strong>en</strong>trée 7!, gratuit pour <strong>le</strong>s moins <strong>de</strong> 16 ans.<br />

Hippodrome <strong>de</strong> Longchamp : Route <strong>de</strong>s Tribunes-Bois <strong>de</strong> Boulogne 75116 PARIS.<br />

Tél <strong>de</strong> la FIA : 01 44 88 52 60<br />

Métro : ligne 10, Porte d'Auteuil, puis navette jusqu'à l'hippodrome <strong>le</strong>s dimanches et<br />

jours fériés ainsi que <strong>le</strong> 17 avril, <strong>le</strong> 8 mai, <strong>le</strong> 14 juil<strong>le</strong>t et <strong>le</strong> samedi 30 septembre. Bus :<br />

244 Maillot - Suresnes, arrêt "Carrefour <strong>de</strong> Longchamp" - 244N Auteuil - Suresnes,<br />

arrêt "Carrefour <strong>de</strong> Longchamp". Voiture : De Paris et du bou<strong>le</strong>vard Périphérique :<br />

Porte Maillot et Allée <strong>de</strong> Longchamp - Porte <strong>de</strong> Passy et Route <strong>de</strong> l'Hippodrome. Des<br />

quais et Pont <strong>de</strong> Neuilly - Pont <strong>de</strong> St-Cloud : pr<strong>en</strong>dre l'Allée du Bord <strong>de</strong> l'Eau.<br />

Navettes : Service gratuit <strong>de</strong> navettes <strong>de</strong>puis la Porte d'Auteuil toutes <strong>le</strong>s 20mn.<br />

Parking gratuit : Sur <strong>le</strong>s pelouses <strong>de</strong> l'hippodrome, <strong>en</strong>trée au carrefour <strong>de</strong>s routes <strong>de</strong> l'Hippodrome et <strong>de</strong> Sèvres, à<br />

Neuilly.<br />

CONTACT PRESSE :<br />

Daniel Le Moal est à votre disposition pour vous <strong>en</strong>voyer <strong>de</strong>s visuels et <strong>de</strong>s cartes d’invitation :<br />

Tél : 01 40 39 90 75 Port : 06 09 11 15 07 e.mail : daniel.<strong>le</strong>moal@orange.fr<br />

www.cmo-antiques.com


THÈME DE LA FOIRE INTERNATIONALE DES ANTIQUAIRES :<br />

« F<strong>le</strong>urs et Jardins » L’art floral au travers <strong>le</strong>s Arts.<br />

Chaque saison que nous vivons, est une s<strong>en</strong>sation particulière au fond <strong>de</strong> chaque personne d'une saison à<br />

une autre nos émotions chang<strong>en</strong>t doucem<strong>en</strong>t et profondém<strong>en</strong>t. L'automne représ<strong>en</strong>te un peu la tristesse.<br />

A son tour l'hiver nous abandonne par force <strong>en</strong> p<strong>le</strong>urant sans cesse <strong>de</strong> la neige pour laisser sa place <strong>en</strong>fin<br />

au printemps, <strong>le</strong> printemps est un symbo<strong>le</strong> <strong>de</strong> joie et <strong>de</strong> bonheur absolu. L'été est une saison <strong>de</strong> liberté. Après l'été l'automne et<br />

après l'automne l'hiver et après l'hiver <strong>le</strong> printemps… l'histoire n'est jamais finie, mais nous nous arrêterons<br />

au PRINTEMPS !<br />

"Malgré l'homme lui même , <strong>le</strong>s f<strong>le</strong>urs s'épanouiss<strong>en</strong>t et l'oiseau chante la nature repr<strong>en</strong>d toujours ses<br />

droits." Camil<strong>le</strong> Flammarion - L'Astronomie Populaire (1880)<br />

Les Antiquaires <strong>de</strong> la FIA ont eux aussi souhaité r<strong>en</strong>dre hommage à la beauté et la subtilité <strong>de</strong>s êtres végétaux <strong>en</strong> sé<strong>le</strong>ctionnant <strong>de</strong>s<br />

œuvres autour <strong>de</strong> l’art floral, mais avant tout :<br />

Le mobilier :<br />

Qu’est ce que la marqueterie ? Processus <strong>de</strong> création d'un décor <strong>de</strong> marqueterie :<br />

Le <strong>de</strong>ssin sur papier du décor est d'abord reproduit <strong>en</strong> plusieurs exemplaires, puis chacun <strong>de</strong>s<br />

détails <strong>de</strong> la composition est découpé dans <strong>le</strong> papier : péta<strong>le</strong>s <strong>de</strong> f<strong>le</strong>urs, tiges, lobes <strong>de</strong> feuil<strong>le</strong>s,<br />

petit retour <strong>de</strong> péta<strong>le</strong> <strong>de</strong> rose, grain <strong>de</strong> raisin ..... Chaque morceau <strong>de</strong> papier représ<strong>en</strong>tant un<br />

détail est alors collé sur la feuil<strong>le</strong> <strong>de</strong> bois <strong>de</strong> placage, choisie selon la cou<strong>le</strong>ur et la texture du<br />

sujet. Vi<strong>en</strong>t alors la découpe <strong>de</strong> chaque détail du décor, réalisée à la main par <strong>le</strong> marqueteur à<br />

l'ai<strong>de</strong> d'une scie à lame très fine, appelée bocfil, ou à la machine à découper. Le relief du sujet<br />

<strong>en</strong> marqueterie est obt<strong>en</strong>u <strong>en</strong> ombrant <strong>le</strong>s pièces qui <strong>le</strong> constitu<strong>en</strong>t. On parvi<strong>en</strong>t à ce résultat<br />

par un léger brûlage du bois à l'<strong>en</strong>droit voulu, <strong>en</strong> <strong>le</strong> trempant dans du sab<strong>le</strong> chaud. Sur <strong>le</strong>s<br />

images ci-<strong>de</strong>ssus, on voit l'ombrage <strong>de</strong>s péta<strong>le</strong>s d'une f<strong>le</strong>ur. La phase fina<strong>le</strong> consiste à réaliser la<br />

marqueterie par assemblage du “puzz<strong>le</strong>” constitué par <strong>le</strong>s pièces précé<strong>de</strong>mm<strong>en</strong>t découpées et<br />

ombrées, puis collage sur un panneau <strong>de</strong> bois massif.<br />

Quelques grands noms !<br />

CANABAS (Joseph GENGENBACH) (1712-1797), Me 1766 CANABAS Joseph, Ebéniste français, reçu maître <strong>en</strong><br />

1766, spécialisé dans la production <strong>de</strong> meub<strong>le</strong>s Louis XVI <strong>en</strong> placage d'acajou satiné ou <strong>de</strong> fines marqueteries.<br />

LACROIX (Roger VANDERCRUSE dit) (1728-1799). Ebéniste dont l'une <strong>de</strong>s sœurs épousa successivem<strong>en</strong>t Jean-François<br />

Oeb<strong>en</strong> puis <strong>le</strong> célèbre Ries<strong>en</strong>er. Roger Lacroix, dont l'estampil<strong>le</strong> se composait <strong>de</strong>s <strong>le</strong>ttres RVLC, créa <strong>de</strong>s meub<strong>le</strong>s d'excel<strong>le</strong>nte<br />

qualité, marquetés <strong>de</strong> f<strong>le</strong>urs ou <strong>de</strong> motifs géométriques.<br />

RIESENER Jean-H<strong>en</strong>ri (1734-1806). Le plus grand ébéniste <strong>de</strong> tous <strong>le</strong>s temps aux yeux <strong>de</strong>s spécialistes. Né <strong>en</strong> Al<strong>le</strong>magne, il<br />

collabora avec Oeb<strong>en</strong> avant d'être reçu maître <strong>en</strong> 1768. Fournisseur <strong>de</strong> la Cour, ébéniste <strong>de</strong> la Reine (1776), il créa <strong>de</strong> nombreux<br />

modè<strong>le</strong>s plus somptueux <strong>le</strong>s uns que <strong>le</strong>s autres, décorés <strong>de</strong> bronzes, <strong>de</strong> plaques <strong>de</strong> porcelaine, <strong>de</strong> panneaux <strong>de</strong> laque ou <strong>de</strong><br />

marqueteries aux compositions riches et équilibrées. Ce fut pour Marie-Antoinette que Ries<strong>en</strong>er créa ses œuvres <strong>le</strong>s plus<br />

harmonieuses ou <strong>le</strong>s plus audacieuses.<br />

ROENTGEN David (1743-1809). Ebéniste mécanici<strong>en</strong> al<strong>le</strong>mand qui travailla notamm<strong>en</strong>t pour Louis XVI et Marie-Antoinette et<br />

d'autres cours europé<strong>en</strong>nes. Il se spécialisa dans <strong>le</strong>s meub<strong>le</strong>s à mécanisme et <strong>le</strong>s productions luxueuses<br />

marquetées <strong>de</strong> f<strong>le</strong>urs.<br />

TILLIARD. Famil<strong>le</strong> <strong>de</strong> m<strong>en</strong>uisiers <strong>en</strong> sièges qui exerça au XVIII sièc<strong>le</strong>, fournisseurs <strong>de</strong> la Couronne.<br />

GUIMARD Hector (1867-1942). Architecte et décorateur représ<strong>en</strong>tatif <strong>de</strong> la pério<strong>de</strong> " Art Nouveau<br />

" est surtout passé à la postérité par la réalisation <strong>de</strong>s bouches <strong>de</strong> métro parisi<strong>en</strong>nes. Mais on lui doit<br />

aussi dans <strong>le</strong> XVIème arrondissem<strong>en</strong>t la construction du Castel Béranger, rue La Fontaine, l'éco<strong>le</strong> du<br />

Sacré-Coeur et, à Lil<strong>le</strong>, la maison Coilliot. Ennemi <strong>de</strong> la ligne droite et <strong>de</strong>s ang<strong>le</strong>s droits, Hector Guimard s'inspire <strong>le</strong> plus souv<strong>en</strong>t <strong>de</strong><br />

motifs végétaux dont il reproduit l'exubérance.<br />

LE CORBUSIER (Char<strong>le</strong>s-Edouard Jeanneret dit) 1887-1965, architecte, urbaniste, peintre et écrivain, est né à La Chaux-<strong>de</strong>-<br />

Fonds et mort à Roquebrune-Cap-Martin. Tête <strong>de</strong> fi<strong>le</strong> avec Emi<strong>le</strong> Gallé du mouvem<strong>en</strong>t " Art Nouveau ",<br />

il sut évoluer et s'intégrer aux formes " Art Déco ".


THÈME DE LA FOIRE INTERNATIONALE DES ANTIQUAIRES : (suite)<br />

« F<strong>le</strong>urs et Jardins » L’art floral au travers <strong>le</strong>s Arts.<br />

Les Antiquaires <strong>de</strong> la FIA ont eux aussi souhaité r<strong>en</strong>dre hommage à la beauté et la subtilité <strong>de</strong>s êtres<br />

végétaux <strong>en</strong> sé<strong>le</strong>ctionnant <strong>de</strong>s œuvres autour <strong>de</strong> l’art floral, mais avant tout :<br />

Que serait notre quotidi<strong>en</strong> sans f<strong>le</strong>urs pour l'embellir ? D'un accès faci<strong>le</strong> et d'une beauté sans pareil<strong>le</strong>, el<strong>le</strong>s<br />

ont toujours été <strong>de</strong> surcroît un motif favori <strong>de</strong>s peintres.<br />

La peinture : La Peinture est la Matière dominante utilisée par <strong>le</strong>s Peintres et qui met <strong>en</strong> œuvre différ<strong>en</strong>ts matériaux (pigm<strong>en</strong>ts<br />

<strong>en</strong> poudre, gouache, hui<strong>le</strong> …)Le 1er février 1648, <strong>le</strong> peintre Char<strong>le</strong>s Le Brun, alors âgé <strong>de</strong> vingt-neuf ans, donne la première<br />

confér<strong>en</strong>ce publique <strong>de</strong> la nouvel<strong>le</strong> Académie, <strong>de</strong>vant un large auditoire d'artistes et d'amateurs d'art. En 1667, la hiérarchie <strong>de</strong>s<br />

g<strong>en</strong>res considère la peinture d'histoire comme <strong>le</strong> "grand g<strong>en</strong>re". Pr<strong>en</strong>n<strong>en</strong>t place dans la peinture d'histoire <strong>le</strong>s tab<strong>le</strong>aux à sujets<br />

religieux, mythologiques ou historiques qui doiv<strong>en</strong>t être porteurs d'un message moral. Vi<strong>en</strong>n<strong>en</strong>t <strong>en</strong>suite, <strong>en</strong> va<strong>le</strong>ur décroissante : <strong>le</strong>s<br />

scènes <strong>de</strong> la vie quotidi<strong>en</strong>ne (dites "scènes <strong>de</strong> g<strong>en</strong>re"), <strong>le</strong>s portraits, puis <strong>le</strong> paysage et <strong>en</strong>fin la nature morte. A cette hiérarchie <strong>de</strong>s<br />

g<strong>en</strong>res correspond une hiérarchie <strong>de</strong>s <strong>format</strong>s : grand <strong>format</strong> pour la peinture d'histoire, petit <strong>format</strong> pour la nature morte. Imiter<br />

<strong>le</strong>s anci<strong>en</strong>s, imiter la nature : C'est par l'imitation <strong>de</strong>s anci<strong>en</strong>s que passe, toujours pour Ingres, l'imitation <strong>de</strong> la nature : "Il faut copier<br />

la nature toujours et appr<strong>en</strong>dre à bi<strong>en</strong> la voir. C'est pour cela qu'il est nécessaire d'étudier <strong>le</strong>s antiques et <strong>le</strong>s maîtres, non pour <strong>le</strong>s<br />

imiter, mais, <strong>en</strong>core une fois, pour appr<strong>en</strong>dre à voir. (...) Vous appr<strong>en</strong>drez <strong>de</strong>s antiques à voir la nature parce qu'ils sont eux-mêmes<br />

la nature : aussi il faut vivre d'eux, il faut <strong>en</strong> manger".<br />

Quelques grands noms !<br />

Pieter Bruegel "l'anci<strong>en</strong>" est l'un <strong>de</strong>s plus grands peintres flamand du 16ième sièc<strong>le</strong>. On l'appel<strong>le</strong> l'anci<strong>en</strong> pour<br />

<strong>le</strong> distinguer <strong>de</strong> ses <strong>de</strong>ux fils, peintres eux-aussi. Dans ses peintures gran<strong>de</strong>ur nature <strong>de</strong> f<strong>le</strong>urs, tel<strong>le</strong>s que "F<strong>le</strong>urs<br />

dans un vase b<strong>le</strong>u" (musée,Vi<strong>en</strong>ne <strong>de</strong> Kunsthistorisches), Jan. I a créé un ag<strong>en</strong>cem<strong>en</strong>t <strong>en</strong>cyclopédique <strong>de</strong>s<br />

nombreuses f<strong>le</strong>urs qu'il a étudiées. Dans ses peintures allégoriques et religieuses,<br />

tel<strong>le</strong>s que "Paradise" (c.1620; Mauritshuis, la Haye), il a <strong>de</strong> temps <strong>en</strong> temps<br />

collaboré avec Peter Paul Rub<strong>en</strong>s et avec d'autres peintres.<br />

Vinc<strong>en</strong>t Van Gogh, c'est seu<strong>le</strong>m<strong>en</strong>t <strong>en</strong> août 1880 à l'âge <strong>de</strong> 27 ans, que Vinc<strong>en</strong>t<br />

décida <strong>de</strong> <strong>de</strong>v<strong>en</strong>ir peintre. Lorsque Van Gogh arrive à Paris <strong>en</strong> 1886, <strong>le</strong>s<br />

Impressionnistes ti<strong>en</strong>n<strong>en</strong>t <strong>le</strong>ur <strong>de</strong>rnière exposition et comm<strong>en</strong>c<strong>en</strong>t <strong>en</strong>fin à être acceptés. Van Gogh allait<br />

explorer ces nouvel<strong>le</strong>s voies dans une série <strong>de</strong> natures mortes, tel<strong>le</strong>s "Roses trémières dans une cruche",<br />

"Vase avec zinnias et autres f<strong>le</strong>urs" (1886), puis "Fritillaires couronne impéria<strong>le</strong> dans un vase <strong>en</strong> cuivre",<br />

et pour la première fois "Quatre f<strong>le</strong>urs <strong>de</strong> tournesol fanées" (1887).<br />

Le verre :<br />

Avant l'introduction du soufflage, on utilisait <strong>le</strong>s techniques <strong>de</strong> moulage. Un noyau était fabriqué <strong>en</strong> argi<strong>le</strong> à partir <strong>de</strong> sab<strong>le</strong>, <strong>de</strong> boue<br />

et <strong>de</strong> déchets organiques puis fixé au bout d'une tige métallique et mo<strong>de</strong>lé selon la forme intérieure <strong>de</strong> l'objet à réaliser<br />

Verre émaillé : L'émail est une matière vitreuse colorée à base d'oxy<strong>de</strong>s métalliques et <strong>de</strong> fondants vitrifiab<strong>le</strong>s. Cette technique <strong>de</strong><br />

décoration connue dès l'Antiquité s'est notamm<strong>en</strong>t développée avec <strong>le</strong> verre islamique dès <strong>le</strong> VIIIe sièc<strong>le</strong>. El<strong>le</strong> s'illustre alors dans<br />

<strong>de</strong>s pièces raffinées à décor <strong>de</strong> f<strong>le</strong>urs, d'arabesques et <strong>de</strong> motifs géométriques, disposés <strong>en</strong> registres, où la<br />

calligraphie pr<strong>en</strong>d une place majeure. On y voit aussi <strong>le</strong> motif <strong>de</strong> l'arbre <strong>de</strong> vie, <strong>en</strong>cadré <strong>de</strong> figures d'animaux<br />

stylisés.<br />

Verre taillé : La tail<strong>le</strong> du verre est un procédé <strong>de</strong> décoration qui se pratique sur du verre très dur, ce qui<br />

explique <strong>en</strong> partie <strong>le</strong> succès <strong>de</strong> ce mo<strong>de</strong> <strong>de</strong> décoration au XVIIIe sièc<strong>le</strong> <strong>en</strong> Bohême et <strong>en</strong> Silésie. La tail<strong>le</strong><br />

s'exécutait à froid contre <strong>de</strong>s meu<strong>le</strong>s vertica<strong>le</strong>s actionnées au pied jusqu'au début du XIXe sièc<strong>le</strong>, où on<br />

comm<strong>en</strong>ce à utiliser la machine. Verre gravé : La gravure est une technique <strong>de</strong> décoration connue dès<br />

l'Antiquité <strong>en</strong> Egypte et à Rome. C'est une décoration qui s'applique sur <strong>le</strong> verre à froid par <strong>en</strong>lèvem<strong>en</strong>t <strong>de</strong><br />

matière. El<strong>le</strong> a été beaucoup utilisée du XVIe au XIXe sièc<strong>le</strong> <strong>en</strong> Europe.<br />

Quelques grands noms !<br />

Emi<strong>le</strong> Gallé est né <strong>le</strong> 4 Mai 1846 à Nancy. Il est issu d'une famil<strong>le</strong> <strong>de</strong> commerçant <strong>de</strong> faï<strong>en</strong>cerie et <strong>de</strong> cristal<br />

Auguste Daum 1853-1908 né à Bitche, décédé à Nancy, qui suivait une <strong>format</strong>ion <strong>de</strong> juriste se voit obligé <strong>de</strong> pr<strong>en</strong>dre la tête <strong>de</strong><br />

l’<strong>en</strong>treprise familia<strong>le</strong>, après qu'el<strong>le</strong> eut été rachetée pour être sauvée <strong>de</strong> la faillite. La cristal<strong>le</strong>rie existe toujours et sa production est<br />

internationa<strong>le</strong>m<strong>en</strong>t connue.<br />

Char<strong>le</strong>s Schnei<strong>de</strong>r "Char<strong>de</strong>r", (1881-1953) est un artiste verrier <strong>de</strong> l’Art Déco. La marque <strong>de</strong> distribution "Char<strong>de</strong>r<br />

Le verre Français" était la plus importante verrerie d'Art d'Europe <strong>de</strong>s années 1920-1930.


THÈME DE LA FOIRE INTERNATIONALE DES ANTIQUAIRES : (suite)<br />

« F<strong>le</strong>urs et Jardins » L’art floral au travers <strong>le</strong>s Arts.<br />

Les Antiquaires <strong>de</strong> la FIA ont eux aussi souhaité r<strong>en</strong>dre hommage à la beauté et la subtilité <strong>de</strong>s êtres<br />

végétaux <strong>en</strong> sé<strong>le</strong>ctionnant <strong>de</strong>s œuvres autour <strong>de</strong> l’art floral, mais avant tout :<br />

Le bijoux : Bijoux, pierres précieuses, orfèvrerie, l'histoire dans <strong>le</strong> temps<br />

Les femmes indi<strong>en</strong>nes portai<strong>en</strong>t <strong>de</strong> toute antiquité <strong>de</strong>s parures <strong>de</strong> bijoux <strong>en</strong> or et ivoire, richem<strong>en</strong>t incrustées <strong>de</strong> per<strong>le</strong>s. El<strong>le</strong>s<br />

ornai<strong>en</strong>t <strong>le</strong>urs cheveux <strong>de</strong> f<strong>le</strong>urs et <strong>le</strong>s <strong>en</strong>tremêlai<strong>en</strong>t <strong>de</strong> rangs <strong>de</strong> per<strong>le</strong>s, dont el<strong>le</strong>s parai<strong>en</strong>t aussi <strong>le</strong>ur cou et <strong>le</strong>urs oreil<strong>le</strong>s.<br />

La tradition prét<strong>en</strong>d que déjà Abraham appréciait <strong>le</strong>s per<strong>le</strong>s. Il <strong>en</strong> aurait orné <strong>le</strong> lobu<strong>le</strong> <strong>de</strong>s oreil<strong>le</strong>s d'Agar. Le résultat ne se fit pas<br />

att<strong>en</strong>dre : la jalouse Sarah eut tôt fait <strong>de</strong> chasser dans <strong>le</strong> désert la séduisante esclave. Au pays <strong>de</strong><br />

Chanaan, Salomon, <strong>le</strong> sage souverain <strong>de</strong> l'anci<strong>en</strong> royaume d'Israël, <strong>le</strong> roi <strong>de</strong>s rois et <strong>le</strong> roi <strong>de</strong>s magici<strong>en</strong>s,<br />

considérait la per<strong>le</strong> comme <strong>le</strong> symbo<strong>le</strong> <strong>de</strong> la pureté. D'admirab<strong>le</strong>s per<strong>le</strong>s ornai<strong>en</strong>t <strong>le</strong> front du plus sage<br />

<strong>de</strong>s rois et celui <strong>de</strong> la reine <strong>de</strong> Saba.<br />

L'histoire du bijou et <strong>de</strong> l'orfèvrerie, va se confondre tout naturel<strong>le</strong>m<strong>en</strong>t avec l'histoire <strong>de</strong> la découverte<br />

<strong>de</strong> l'or et el<strong>le</strong> va être aussi être liée au mo<strong>de</strong> <strong>de</strong> vie <strong>de</strong>s g<strong>en</strong>s, qui vont passer à un mom<strong>en</strong>t <strong>de</strong> la vie <strong>de</strong><br />

noma<strong>de</strong> à la vie sé<strong>de</strong>ntaire, <strong>le</strong>s populations vont alors s'établir <strong>le</strong> long <strong>de</strong>s f<strong>le</strong>uves, sur <strong>le</strong>s sols alluviaux,<br />

qui vont être propres au développem<strong>en</strong>t <strong>de</strong> l'agriculture. Les suméri<strong>en</strong>s développèr<strong>en</strong>t l'orfèvrerie qui<br />

<strong>de</strong>vint <strong>de</strong> suite très florissante. C'est <strong>en</strong> fait, par la suite, <strong>le</strong>s Assyri<strong>en</strong>s et <strong>le</strong>s Babyloni<strong>en</strong>s et <strong>en</strong>suite <strong>le</strong>s<br />

Irani<strong>en</strong>s, qui continuèr<strong>en</strong>t à développer l'orfèvrerie vers l'ori<strong>en</strong>t, jusqu'à la Chine, et <strong>en</strong>suite vers<br />

l'Occi<strong>de</strong>nt, jusqu'aux Balkans. La tail<strong>le</strong> <strong>de</strong>s pierres précieuses, pour <strong>le</strong>s bijoux comm<strong>en</strong>cera mil<strong>le</strong> ans<br />

après. La joail<strong>le</strong>rie se propagera alors vers l'In<strong>de</strong> et vers l'Egypte. Dans <strong>le</strong> pays <strong>de</strong>s Pharaons, avec la 12°<br />

dynastie, la joail<strong>le</strong>rie atteindra son apogée car <strong>le</strong>s égypti<strong>en</strong>s avai<strong>en</strong>t atteint un grand niveau d'habi<strong>le</strong>té, du 18° au 19° sièc<strong>le</strong> avant J.C.,<br />

<strong>le</strong>s bijoux connaîtront un grand développem<strong>en</strong>t <strong>en</strong> Crête et à Mycène. C'est à la fin du 4° sièc<strong>le</strong> avant J.C, que <strong>le</strong>s premières pierres<br />

semi-précieuses, feront <strong>le</strong>ur apparition <strong>en</strong> Grèce. La civilisation romaine <strong>en</strong> sera l'héritière.<br />

Quelques grands noms !<br />

Chaumet : Sa lég<strong>en</strong><strong>de</strong> comm<strong>en</strong>ce sous l’Empire, avec Napoléon. Et se poursuit, p<strong>en</strong>dant <strong>de</strong>ux sièc<strong>le</strong>s, dans <strong>le</strong> faste <strong>de</strong>s cours<br />

europé<strong>en</strong>nes. Rue Saint-Honoré, à Paris, vers l’an 1800 : un attelage apparemm<strong>en</strong>t emballé déva<strong>le</strong> <strong>le</strong> pavé. Un jeune joaillier passait<br />

par là. N’écoutant que son courage, il saisit la bri<strong>de</strong> du cheval et parvi<strong>en</strong>t à <strong>le</strong> maîtriser. Dans l’attelage... Bonaparte, alors premier<br />

consul. L’histoire pourrait s’arrêter là. Mais, sacré empereur, Napoléon, qui a <strong>de</strong> la reconnaissance, saura récomp<strong>en</strong>ser celui qui l’a<br />

sauvé. Il fait <strong>de</strong> Marie-Eti<strong>en</strong>ne Nitot <strong>le</strong> fournisseur <strong>de</strong> la cour la plus étincelante d’Europe. La lég<strong>en</strong><strong>de</strong> Chaumet est née. A bri<strong>de</strong><br />

abattue.<br />

Van C<strong>le</strong>ef & Arpels : Date <strong>de</strong> création 1906. L’histoire débute comme finiss<strong>en</strong>t <strong>le</strong>s contes <strong>de</strong> fées, par un brillant<br />

mariage, celui d’Estel<strong>le</strong> Arpels et d’Alfred Van C<strong>le</strong>ef. La première est la fil<strong>le</strong> d’un négociant <strong>en</strong> pierres et la sœur<br />

d’experts <strong>en</strong> gemmologie, <strong>le</strong> second est <strong>le</strong> fils d’un diamantaire originaire d’Amsterdam. Nous sommes <strong>en</strong> 1896 et <strong>le</strong><br />

ton est donné, l’av<strong>en</strong>ture sera placée sous <strong>le</strong> signe <strong>de</strong> la fidélité, <strong>de</strong> la féminité, du glamour et <strong>de</strong> l’excel<strong>le</strong>nce.<br />

Aujourd’hui, l’esprit <strong>de</strong> la famil<strong>le</strong> est intact : créativité et savoir-faire joaillier font l’âme <strong>de</strong> la Maison comme <strong>en</strong> témoign<strong>en</strong>t<br />

l’inv<strong>en</strong>tion <strong>de</strong> la technique du serti mystérieux ou <strong>en</strong>core la maîtrise <strong>de</strong> l’art ludique <strong>de</strong> la métamorphose.<br />

La porcelaine et la céramique : Qu'est-ce qu'une céramique ?<br />

Le travail <strong>de</strong> la céramique fait partie <strong>de</strong>s arts du feu, tout comme <strong>le</strong> travail du verre et du cristal, ou <strong>en</strong>core l'orfèvrerie. La céramique<br />

ou poterie consiste à transformer par <strong>le</strong> mo<strong>de</strong>lage, <strong>le</strong> façonnage ou <strong>le</strong> moulage, puis par la cuisson au four, la terre sous forme <strong>de</strong><br />

pâte <strong>en</strong> objets soli<strong>de</strong>s, généra<strong>le</strong>m<strong>en</strong>t <strong>de</strong>stinés à la tab<strong>le</strong> et à la décoration, ou <strong>en</strong> carrelages et élém<strong>en</strong>ts sanitaires. La terre cuite, <strong>le</strong><br />

grès, la faï<strong>en</strong>ce et la porcelaine sont <strong>de</strong>s céramiques.<br />

L'histoire <strong>de</strong> la porcelaine comm<strong>en</strong>ce <strong>en</strong> Chine, aux <strong>en</strong>virons du VII e sièc<strong>le</strong> après JC. Le<br />

kaolin, une argi<strong>le</strong> d'une gran<strong>de</strong> pureté et d'une blancheur exceptionnel<strong>le</strong>, est découverte<br />

sur <strong>le</strong>s monts Kao-Ling. C'est ce matériau qui donnera à la porcelaine toutes ses qualités :<br />

dureté, translucidité, sonorité et blancheur éclatante. En dépit <strong>de</strong> la découverte du kaolin,<br />

<strong>le</strong> XVIIIe sièc<strong>le</strong>, préfère <strong>en</strong>core la porcelaine t<strong>en</strong>dre. Cette matière luxueuse, réservée à<br />

une élite, est mise <strong>en</strong> difficulté par la perte <strong>de</strong>s protecteurs, et surtout <strong>de</strong>s cli<strong>en</strong>ts. La<br />

porcelaine dure, qui va la remplacer, fera figure <strong>de</strong> conquête révolutionnaire.<br />

Le responsab<strong>le</strong> <strong>de</strong> ce bou<strong>le</strong>versem<strong>en</strong>t sort tout droit <strong>de</strong> l'Anci<strong>en</strong> Régime. Le chevalier<br />

A<strong>le</strong>xandre Brongniart vi<strong>en</strong>t <strong>de</strong> l'Eco<strong>le</strong> C<strong>en</strong>tra<strong>le</strong>, <strong>en</strong> 1800, <strong>le</strong> Premier Consul déci<strong>de</strong> <strong>de</strong> <strong>le</strong><br />

nommer directeur <strong>de</strong> la Manufacture <strong>de</strong> Sèvres. Si Napoléon l'introduit à Sèvres, c'est<br />

Louis-Philippe qui <strong>le</strong> fait comman<strong>de</strong>ur <strong>de</strong> la Légion d'Honneur, car Brongniart, immuab<strong>le</strong><br />

sous tous <strong>le</strong>s régimes, va assumer ses fonction p<strong>en</strong>dant près d'un <strong>de</strong>mi-sièc<strong>le</strong>. Il met au point l'analyse systématique <strong>de</strong>s pâtes<br />

céramiques, et, sur ses vieux jours, écrit un magistral Traité <strong>de</strong>s Arts céramiques, vraie Bib<strong>le</strong> <strong>en</strong> la matière. Tout cela ne saurait suffire<br />

pour lui mériter son surnom <strong>de</strong> "père <strong>de</strong> la porcelaine" ! Sitôt arrivé à Sèvres, Brongniart pr<strong>en</strong>d une décision énergique : cesser <strong>de</strong><br />

fabriquer <strong>de</strong> la porcelaine t<strong>en</strong>dre, trop coûteuse. Le reste <strong>de</strong> la France a vraim<strong>en</strong>t passé <strong>le</strong> flambeau aux grands c<strong>en</strong>tres industriels.<br />

Bayeux se survit, <strong>de</strong>v<strong>en</strong>u la propriété <strong>de</strong> Mor<strong>le</strong>nt, mais on n'y fait plus que <strong>de</strong>s accessoires é<strong>le</strong>ctriques; et Saint-Amand est retombé<br />

au tout v<strong>en</strong>ant. Après c<strong>en</strong>t ans <strong>de</strong> ténacité, une vil<strong>le</strong> a fait <strong>de</strong> son nom <strong>le</strong> synonyme <strong>de</strong> porcelaine française,<br />

Limoges...


Les Antiquaires vous att<strong>en</strong><strong>de</strong>nt à <strong>de</strong>ux minutes <strong>de</strong> la Porte d’Auteuil, 200 Antiquaires sur <strong>le</strong>s<br />

pelouses <strong>de</strong> l’Hippodrome <strong>de</strong> Longchamp pour vous faire découvrir <strong>le</strong>urs nouvel<strong>le</strong>s trouvail<strong>le</strong>s et<br />

vous faire partager <strong>le</strong>ur passion. Un grand confort pour <strong>le</strong> visiteur puisqu’il lui suffira <strong>de</strong> stationner<br />

gratuitem<strong>en</strong>t à l’intérieur <strong>de</strong> l’hippodrome au pied du salon. Professionnels, col<strong>le</strong>ctionneurs mais aussi<br />

néophytes et amateurs se r<strong>en</strong>contreront et s’<strong>en</strong>ivreront <strong>de</strong> plaisir, <strong>en</strong> découvrant <strong>le</strong>s nouvel<strong>le</strong>s<br />

t<strong>en</strong>dances du marché <strong>de</strong> l’Art que représ<strong>en</strong>te cette nouvel<strong>le</strong> édition, espace consacré aux Arts, où l’imaginaire <strong>de</strong>vi<strong>en</strong>t réalité .<br />

La diversité constitue un <strong>de</strong>s atouts du salon. Les multip<strong>le</strong>s œuvres d’art prés<strong>en</strong>tées travers<strong>en</strong>t toutes <strong>le</strong>s époques : <strong>de</strong>s arts primitifs,<br />

du mobilier XVIIIème à l’art contemporain. Un panel <strong>de</strong> marchandises exceptionnel<strong>le</strong>s : <strong>de</strong> la nappe <strong>en</strong> <strong>de</strong>ntel<strong>le</strong> brodée <strong>de</strong> f<strong>le</strong>urs<br />

<strong>en</strong> passant par la tapisserie du XVIIIème, du mobilier <strong>de</strong> la r<strong>en</strong>aissance au mobilier <strong>en</strong> bois précieux <strong>de</strong>s années 30, du bijoux<br />

anci<strong>en</strong>s XIXème au bijoux signés par <strong>le</strong>s plus grands joailliers <strong>de</strong>s années 25, <strong>de</strong> la tasse <strong>en</strong> porcelaine à la soupières <strong>en</strong> faï<strong>en</strong>ce <strong>de</strong><br />

Rou<strong>en</strong>, du mobilier Asiatique au masque Africain, <strong>de</strong> la sculpture <strong>en</strong> bronze, terre cuite, marbre jusqu’à cel<strong>le</strong> <strong>en</strong> cristal, <strong>de</strong> quoi<br />

s’émerveil<strong>le</strong>r durant toute une après-midi.<br />

ARCHEOLOGIE et ARTS PRIMITIFS<br />

ART D’ASIE, AFRIQUE, OCEANIE<br />

Annie MINET & Luc MERENDA : Arts<br />

primitifs, Arts d’Asie Art du Jardin Japoponais<br />

Époque <strong>de</strong>s KOFUNS 310-552 Dès l’an<br />

300, on assiste aux prémices <strong>de</strong>s jardins<br />

japonais <strong>en</strong>g<strong>en</strong>drées par l’arrivée d’une<br />

nouvel<strong>le</strong> vague d'immigrants v<strong>en</strong>us <strong>de</strong> Corée.<br />

Le jardin dans l'esprit <strong>de</strong>s Japonais anci<strong>en</strong>s,<br />

annonce la personnalité et <strong>le</strong> rang <strong>de</strong> la<br />

famil<strong>le</strong>, par sa tail<strong>le</strong>, par ses aménagem<strong>en</strong>ts,<br />

par son <strong>en</strong>treti<strong>en</strong> et par son sty<strong>le</strong>. Chaque<br />

époque majeure <strong>de</strong> l'histoire du Japon marque<br />

<strong>de</strong>s changem<strong>en</strong>ts radicaux dans<br />

l'aménagem<strong>en</strong>t du jardin, <strong>en</strong> raison <strong>de</strong> mo<strong>de</strong>s,<br />

cultures et états d'esprit. Si nous pr<strong>en</strong>ons<br />

l'exemp<strong>le</strong> du jardin ZEN il est complètem<strong>en</strong>t dénué <strong>de</strong> végétation, seul la pierre, et <strong>le</strong> sab<strong>le</strong> compos<strong>en</strong>t <strong>le</strong> paysage. Tandis que <strong>le</strong>s<br />

jardins plus mo<strong>de</strong>rnes sont <strong>de</strong>s jardins d'ombre composés <strong>de</strong> végétaux persistants et caduques, <strong>de</strong> roches <strong>de</strong> granite, <strong>de</strong> petits<br />

ruisseaux ou pièces d'eau. Le but recherché est d'imiter au maximum la nature <strong>en</strong> cachant tout l'aspect <strong>de</strong> l'<strong>en</strong>treti<strong>en</strong> par la main <strong>de</strong><br />

l'homme, <strong>le</strong>s différ<strong>en</strong>ces apparaiss<strong>en</strong>t <strong>en</strong>tre temp<strong>le</strong>s, maisons particulières, salons <strong>de</strong> thé, châteaux. Je ne me s<strong>en</strong>s pas suffisamm<strong>en</strong>t<br />

capab<strong>le</strong> <strong>de</strong> vous <strong>en</strong> dire plus au niveau culturel, quelqu'un <strong>le</strong> fera sans doute mieux que moi. Mais <strong>le</strong> shintoïsme n’est pas seu<strong>le</strong>m<strong>en</strong>t<br />

une religion, il est aussi et surtout un mo<strong>de</strong> <strong>de</strong> vie élaborant un co<strong>de</strong> <strong>de</strong> bonne conduite <strong>en</strong>tre l’Homme et la Nature.<br />

Ga<strong>le</strong>rie Catier : Peinture d’art d’Asie contemporaine<br />

ART NOUVEAU , ART DECO, MOBILIER ANNEES 1940-50, TAPIS, TAPISSERIES<br />

ART CONTEMPORAIN<br />

GALALITHE : Meub<strong>le</strong>s et objets Art Déco<br />

Importante jardinière 1930 <strong>en</strong> marbre rose, <strong>en</strong>tourage <strong>de</strong> vitrines chromées. Panneau peint du<br />

décorateur, (décorateur du casino <strong>de</strong> Deauvil<strong>le</strong>)<br />

Loïc VALLEE : Meub<strong>le</strong>s et objets Art Déco<br />

A<strong>le</strong>xandre GUILLEMIN : Tapis et Tapisseries.Tapisserie d’Aubusson « Ester <strong>de</strong>vant Assuerus » <strong>de</strong><br />

la première partie du XVIIIème .<br />

Jonhatan MARCHAL : Tapis et objets d’Extrême Ori<strong>en</strong>t<br />

BIJOUX, ARGENTERIE, OBJETS DE COLLECTION, DENTELLES<br />

ANTIC JEWELS – Claudine LALANNE : Bijoux anci<strong>en</strong>s<br />

Saphir cachemire <strong>de</strong> 8,55 carats, certificat H.R.D, épaulé <strong>de</strong> 3 carats <strong>de</strong> brillants certifié F (extra blanc plus)<br />

Bernard BOUISSET : Bijoux anci<strong>en</strong>s et bijoux signés<br />

Bague <strong>en</strong> platine d ‘époque Art Déco, important diamant c<strong>en</strong>tral, <strong>en</strong>tourage <strong>de</strong> rubis calibrés.<br />

Andrée CORDEAU : Bijoux anci<strong>en</strong>s et objets <strong>de</strong> col<strong>le</strong>ction du XVIIIème et XIXème sièc<strong>le</strong>s<br />

Nico<strong>le</strong> DENTELLES – Nico<strong>le</strong> GUERRE : D<strong>en</strong>tel<strong>le</strong>s et objets <strong>de</strong> charme<br />

Soierie et passem<strong>en</strong>teries <strong>de</strong> la fin du XIXème, couvre lit <strong>de</strong> la fin du XIXème sièc<strong>le</strong>, Chine.<br />

Patricia GOYET : Bijoux anci<strong>en</strong>s<br />

Francine JOAILLERIE : Bijoux anci<strong>en</strong>s et signés.Bague <strong>en</strong> or gris, sertie au c<strong>en</strong>tre d’un saphir <strong>de</strong> « Ceylan » tail<strong>le</strong> émerau<strong>de</strong> <strong>de</strong><br />

8,16 carats, épaulé <strong>de</strong> 2 diamants tail<strong>le</strong>1/2 lune <strong>de</strong> 2,86 carats.


CERAMIQUES – FAIENCES – PORCELAINES -<br />

BRONZES – SCULPTURES<br />

M.H. LEMAITRE d’ESTEVE <strong>de</strong> BOSCH : Faï<strong>en</strong>ces <strong>de</strong> Rou<strong>en</strong> XVIIIème - Bois<br />

doré Meub<strong>le</strong>s XVIIIème<br />

Rare lit Itali<strong>en</strong> fin XVIII ème <strong>en</strong> bois sculpté doré et arg<strong>en</strong>té, orné d’une guirlan<strong>de</strong> <strong>de</strong> rose sculptée. Paire<br />

d’<strong>en</strong>coignures Véniti<strong>en</strong>ne laquées à l’imitation <strong>de</strong> marbre et rehaussé d’or. Plateau <strong>en</strong> faï<strong>en</strong>ce <strong>de</strong> Savonne du<br />

XVIIIe à décor mythologique <strong>en</strong> camaïeux <strong>de</strong> b<strong>le</strong>u.<br />

Ronan LELANDAIS - LA METAIRE : Porcelaines du XVIIIème au XXème<br />

Exceptionnel<strong>le</strong> CAFETIERE et son couverc<strong>le</strong>, <strong>en</strong> porcelaine <strong>de</strong> DAGOTY - Rue <strong>de</strong> Chevreuse à PARIS<br />

MICALLEF Jean-Louis : Sculptures et objets <strong>de</strong> curiosités du XVIème au XXème. C<strong>en</strong>taure <strong>de</strong> JIVKO (né<br />

<strong>en</strong> 1963) hauteur: 41,8 cm, largeur : 38,9 cm. Pièce unique numérotée 1/1, signée "Jivko". Bronze fondu <strong>en</strong> 2007<br />

Nicolas PLESCOFF : Sculptures du XIXème & XXème. Armand PETERSEN (Bâ<strong>le</strong>, 1891 – Nog<strong>en</strong>t-sur-Marne, 1969) "La<br />

Loutre" 1968 Bronze, fonte Clém<strong>en</strong>ti, E.A. IV/IV Hauteur : 38 cm<br />

Laur<strong>en</strong>ce BONNEL : Bronze – Sculpteur<br />

NOS RESTAURATEURS D’ART<br />

Paul ARMSTRONG : Restaurateur <strong>de</strong> meub<strong>le</strong> anci<strong>en</strong> & marqueterie Boul<strong>le</strong><br />

Monsieur MARTIN : Restaurateur <strong>en</strong> tapisserie<br />

Corinne DALLIER : Restauratrice <strong>de</strong> tab<strong>le</strong>aux<br />

NOTRE LIBRAIRE<br />

Norma FIANY : Arte Libreria<br />

Vous propose une gran<strong>de</strong> sé<strong>le</strong>ction <strong>de</strong> livres d’art et sur la technique <strong>de</strong> l’art.<br />

MOBILIER XVIe, XVIIe, XVIIIe, XIXe<br />

David ALLOUCH-LEMAN : Mobilier et objets d'art du XVIIIe & XIXe.Paire <strong>de</strong> candélabre <strong>en</strong> bronze doré<br />

Emmanuel AZAIS : Mobilier et objets XVIIIe et XIXe<br />

Eric BONNETON : Mobilier XVIIIe et XIXe<br />

Paire <strong>de</strong> bergère <strong>en</strong> hêtre d’époque XVIIIe , Louis XVI, estampillé Leduc.<br />

David BRAUER : Mobilier du XVIIIe et début XIXe<br />

Jacques BRIAU : Mobilier XVIIIe et XIXe<br />

Régulateur <strong>de</strong> parquet Rég<strong>en</strong>ce. Echappem<strong>en</strong>t au chevalier <strong>de</strong> Béthume, signé dans un cartouche :<br />

Leblanc à Paris, XVIIIe<br />

LA BINARDIERE : Antiquités Françaises XVIIIe et XIXe<br />

Commo<strong>de</strong> <strong>en</strong> noyer du midi <strong>de</strong> la France, galbé toutes faces, époque XVIIIe<br />

Jean –François & Caroline COULET – Ga<strong>le</strong>rie <strong>de</strong>s Clévos : Mobilier XVIIIe, tab<strong>le</strong>aux<br />

Secrétaire rectangulaire <strong>en</strong> placage <strong>de</strong> bois indigène et ronce, attribué à Jean-François Hache, première<br />

moitié du XVIIIe s., une bureau plat <strong>en</strong> plaquage d’amarante à décor <strong>de</strong> f<strong>le</strong>urs <strong>en</strong> marqueterie <strong>de</strong> bois<br />

indigène, estampil<strong>le</strong> <strong>de</strong> François RUBENSTUCK.<br />

Pierre CHEVALIER : Mobilier du XVIIIe<br />

Marc DUPUY : Mobilier du XVIIIe<br />

Philippe DUBOIS : Mobilier XVIIIe et XIXe<br />

Commo<strong>de</strong> jardinière <strong>en</strong> acajou d’époque XVIIIe, Louis XVI, tab<strong>le</strong> à ban<strong>de</strong>au <strong>en</strong> acajou <strong>de</strong> Cuba, époque Directoire.<br />

DUMARTIN Père & Fils : Mobi<strong>le</strong>r et objets d’art du XVIIe et XVIIIe<br />

Cabinet et son piètem<strong>en</strong>t <strong>en</strong> bois teinté noir, ébène et écail<strong>le</strong> rouge – Anvers circa 1650-1670.<br />

Bénédicte <strong>de</strong> LAFAURIE : Mobilier, tab<strong>le</strong>aux et objets du XVIIIe et XIXe.<br />

Didier LAVAL : Mobilier du XVIIIe et objets d’art.<br />

Ludovic LE FLOCH : Mobilier XVIIIe et XIXe<br />

Guéridon premier Empire, plateau et tab<strong>le</strong>tte <strong>en</strong> marbre <strong>de</strong> turquin.<br />

Jean-Char<strong>le</strong>s LAPORTE : Mobilier du XVIIIe au XXe, tab<strong>le</strong>aux.<br />

Jean-Clau<strong>de</strong> LEPREVOST : Mobilier XVIIIe et XIXe.<br />

Flor<strong>en</strong>ce MARTIN : Haute époque Mobilier et objets d’art <strong>de</strong>s XVIIe et XVIIIe sièc<strong>le</strong>s .<br />

Paire d’élém<strong>en</strong>ts décoratifs <strong>en</strong> noyer doré prov<strong>en</strong>ant d’une galère marseillaise d’époque Louis XIV –<br />

Haut : 88cm, Larg : 72cm<br />

Colas MARTIN : Mobilier XVIIe et XVIIIe.<br />

Philippe MORAND : Mobilier et objets d’art du XVIIIe<br />

Bureau cylindre <strong>en</strong> acajou moucheté du XVIIIe. Louis XVI.


MOBILIER XVIe, XVIIe, XVIIIe, XIXe (suite)<br />

Christophe VIVIER : Mobilier et objets d’art XVIIIe et XIXe<br />

Secrétaire <strong>en</strong> marqueterie <strong>de</strong> f<strong>le</strong>urs et attributs <strong>de</strong> musique, <strong>de</strong>ssus marbre brèche<br />

d’A<strong>le</strong>p, estampillée Birck<strong>le</strong>, reçu maître <strong>le</strong> 30 juil<strong>le</strong>t 1764.<br />

Cartel <strong>en</strong> bronze et ciselé doré Louis XVIe, époque XVIIIe.<br />

Blaise WALLER : Mobilier français XVIIIe, tab<strong>le</strong>aux<br />

Bureau cylindre formant commo<strong>de</strong> <strong>en</strong> marqueterie <strong>de</strong> f<strong>le</strong>urs, insectes et oiseaux. Intérieur à gradins marqueté<br />

<strong>de</strong> f<strong>le</strong>urs, XVIIIe.<br />

Jean-Philippe CHALEM La Cré<strong>de</strong>nce : Décoration et objets insolites du XVIIIe et XIXe sièc<strong>le</strong>s<br />

Terre cuite <strong>de</strong> GOSSIN Frères <strong>de</strong> la 2 ème moitié du XIXe sièc<strong>le</strong> – Haut : 1m<br />

Jean-Clau<strong>de</strong> FIGUIER : Mobilier et objets d’art XVIIIe & XIXe<br />

LIVRES ANCIENS, ESTAMPES, CARTOGRAPHIE<br />

Patrick SEROUGE : Estampes, livres anci<strong>en</strong>s, gravures, cartographie du XVIIe au XXe<br />

Col<strong>le</strong>ction <strong>de</strong> livres sur la chasse, Pto<strong>le</strong>ny Claudio laur<strong>en</strong>t Fries Michael Servetus, 50 cartes du mon<strong>de</strong>, gravées sur bois – Lyon 1535.<br />

BLANCHET-PELLETIER : Estampes, gravures anci<strong>en</strong>nes<br />

TABLEAUX ANCIENS, TABLEAUX XIXème & XXème<br />

Flor<strong>en</strong>ce <strong>de</strong> VOLDERE : Peinture flaman<strong>de</strong> et hollandaise<br />

LEGENDE DE L'IMAGE,Karel BESCHEY-1706- Anvers –1776<br />

signé <strong>en</strong> bas à droite.L’Hiver, paysage avec patineurs.Hui<strong>le</strong> sur panneau, 29 x 38,5<br />

cm.D’une paire avec L’Été, l’orée du village<br />

Ga<strong>le</strong>rie HELLSTROM : Tab<strong>le</strong>aux XIXe et XXe<br />

Hui<strong>le</strong> sur toi<strong>le</strong> « <strong>le</strong> bouquet <strong>de</strong> f<strong>le</strong>urs » 1932, <strong>de</strong> Char<strong>le</strong>s Kvapil<br />

(1884-1957)<br />

Ga<strong>le</strong>rie HOEBANX -Au singe Vio<strong>le</strong>t : Tab<strong>le</strong>aux XIXe<br />

Xavier GOYET : Peinture flaman<strong>de</strong><br />

Ga<strong>le</strong>rie IBRE : Tab<strong>le</strong>aux XIXe et Xxe<br />

Aquarel<strong>le</strong> et lavis sur <strong>de</strong>ssin à l’<strong>en</strong>cre et à la mine <strong>de</strong> plomb, « Etu<strong>de</strong> <strong>de</strong> chevaux et cavaliers » d’Eugène Delacroix ( 1798-1863)<br />

Jean-Dominque LOT – Visages d’autrefois : Peintures XIXe & XXe, Portraits<br />

Clau<strong>de</strong> MAILLARD : Tab<strong>le</strong>aux XIXe et mo<strong>de</strong>rnes<br />

Dominique VAUDOYER : Tab<strong>le</strong>aux XIXe


CARTE D’IDENTITE DU SALON<br />

Date : Du v<strong>en</strong>dredi 14 au lundi 24 mars 2008<br />

Lieu : Hippodrome <strong>de</strong> Longchamp, 6 000 m2<br />

Sous structure chauffée<br />

Nombre d’exposants : 200<br />

Nombre <strong>de</strong> visiteurs : 20 000<br />

Experts : Daniel Franchi – Mobilier XVIII°<br />

Héléne Jactel – Bijoux – Pierres précieuses<br />

Horaires : Tous <strong>le</strong>s jours <strong>de</strong> 11h à 19h<br />

Nocturne <strong>le</strong> jeudi 20 mars (jour du printemps) jusqu’à<br />

22h.<br />

Inauguration : Jeudi 13 mars <strong>de</strong> 20h à 23h sur invitation<br />

Thème <strong>de</strong> la F.I.A<br />

Pour fêter <strong>le</strong> Printemps et lui<br />

r<strong>en</strong>dre hommage.<br />

« F<strong>le</strong>urs et Jardins » L’art floral au travers <strong>le</strong>s Arts.Que<br />

serait <strong>de</strong>v<strong>en</strong>u l’Art sans l’inépuisab<strong>le</strong> source<br />

d’inspiration qu’offre <strong>le</strong> mon<strong>de</strong> végétal et quel regard<br />

porterait-on aujourd’hui sur la nature, sans <strong>le</strong>s artistes<br />

qui sur<strong>en</strong>t tant la mettre <strong>en</strong> va<strong>le</strong>ur par <strong>le</strong>urs œuvres ?<br />

Accès : Métro : Porte d’Auteuil, ligne 10<br />

Navette gratuite toutes <strong>le</strong>s 20 minutes sortie métro<br />

Porte d’Auteuil.<br />

Bus 244 porte Maillot arrêt carrefour <strong>de</strong> Longchamp.<br />

Parking sur l’hippodrome au pied du Salon<br />

Prix d’<strong>en</strong>trée : 7 !<br />

Gratuit pour <strong>le</strong>s moins <strong>de</strong> 16 ans<br />

Catalogue offert à chaque visiteur<br />

Confort <strong>de</strong>s visiteurs : Parking gratuit, Vestiaire, Restaurant, Salon <strong>de</strong> thé<br />

Expertises gratuites<br />

Organisation : C.M.O. – Caroline Margeridon<br />

2, rue <strong>de</strong> Turin 75008 Paris<br />

Tél : 01 44 88 52 60 – Fax : 01 44 88 52 61<br />

E-mail : caroline@c-m-o.fr<br />

Site : www.cmo-antiques.com<br />

Téléphone du Salon : 01 44 88 52 60<br />

Relation <strong>presse</strong> : DLM Communication – Daniel Le Moal<br />

Tél : 01 40 39 90 75 Port : 06 09 11 15 07<br />

E-mail : daniel.<strong>le</strong>moal@wanadoo.fr

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