Briancl revient sur l'eau, - Bibliothèque de Toulouse

'IXIEME ANNEE. ,N,1392
'ÀDNIINISTIMTION .
Or RÉDACTION
I 38, Rileitoquelaine
T011hOLLSE
TÉISP:usOIsaur 043
noregnsersaffs
10 lc'lOdv
ano,s
5-fr.
Étranger 91r. lofe. 36 h.
ghgrale
91-611c
possigle ?
tes--érvértements qua se sent succéd3
en ces derniers temps, Cl qui ont me-
nacé l'Europe d'une conflagraton ef-
froyable, ont posé celte question vitale
:-,pour les peuples r une guerre gén6rale
possd,re ? Celte quest.ion est
'faulamt, plus pressante que tout conflit
éclaterart aujourd'hui entre deux
es puissances aurail chance de
versai i,er stir-1 e-ehair op. Aussi
emps go, la France, la RuSeie et
leterre seront associées dans une
combinaisons qui se partag-mt
'sein, ema.gne , telenc-
rie et Iltalie dans l'autre, le péril
externe r la veux dire qu'aucune
arm,e ne se pourra localiser. Et
tuols Seteaffelairee, neutres de par-
msventions internationales ou de
leur volonté, qui essayeront de se
aire à. l'extension dg champ de
Se, y miteuse englobés inagt4 eux.
Suisse, ni la Belgique, ni. la 1101-
rti le Danemark, ne conserve-
longtemps le bénéfice de cette
'ri' .générale a Sailli surgir
tiers depuis cinq ans t en
de l'anmexion de la Bosnie-
le par le cabinet {le Vienne ;1
.au lendemain de renvoi de
annière allemande e Panther
; en 1912, par mite des arme-
austro-hongrois. Or par -trois
,elle a été kartée. Ce triple puée:,
l)ermet de dire que les forces rom-
'tee de guerre sont au ntoins ('go-
béa Europe, aux forces cr..,atrices
.
Je .voudrais montrer ici pour-
andine abstraction faite de la
te croissa.rtte qu'inspire aux pieu-
ta la résistance du prol,tariat,
nues de -maintien do la paix on,
mires dire, les chances d'excht-
d'une guerre européenne, teuti,it
augmenter avec rapidilf, !
.fant, lourd d'abord, faire étal &-
Ments"Suivante t
etad>os conterspraines dita
',vaut itaiiiiiment par :car nombre
iles de l'époque immédiatement 'es
Mre. Les campagnes de la Révolu-
s et de PErupire n'ont jamais ttupt,li
tocs elTectils réunis plus de
n 500.000 hommes sous les drapeaux,
aujourd'hui la France, V.Allemagne,
gleterre, la Russie, l'Autriche-
rie, l'Italie, menuvrernient dé
e fit millions de soldate: il faudrait
ars prevoir Ventrée en ligue des ar
belge hollandaise, sitissi-, dertei-
balkaniques, qui fournirttient un
t d, 2 oniaions et dom'.
grands et petits Etats d.,pen-
iment plus qu'il y a un
de compter par centaines
comme P. y a C00.1. nne,
ffektes lent par milltards. Pour
.ê
ours iltest.ins normaux ol
ww, les six gouveracmtmts qui st,
nt entre lai Tripl; Entente el
e Alliance doivent se procurer
enfleurent 87 millions.
L'agriculture recule .partoni ,-
l'industrie. La plupart des ipiandi
pour se nourrir, Ont, besoin d,s,
es alimentaires venues du d?Imr:.
L'hulasirie, dans chaque orne, ro-
t des matières premières imper-
:de l'extérieur. La France achète
millions de tonnes de houille sur-
ent; ,l'-.11gleterre serait para.-
si les cotons des régions Irapi-
lei.fdisatent défaut
Le commerce s'e4 colossalement
(mué: Qtertd SU compare le total
(suhariges des six grands Etats en
1 milliards au :total du nit-
rate en 1850, nul est eupéfait de la
'terne e.
6' Les Services de transport ont réa-
6 dé fabuleux progrès.
L'action du capitalisme s'est in-
ternationalisée à l'extrtme. Craque
PsD1P:o eparpiLtle ses placements sur la
surface do globe, et chaque gouverne-
raoat faiit appel à l'épargne unlvereelle,
saisi ces "propositions, du-ne va-
rersonnue, nouaient de se P.
';',(Rnorer pour appnécier le degré de
d'une gnerre générale. Et
qui en découlent
.,.ation d'un pareil -conflit
la proclamation do la
, sur des espaces énor-
-divité cesserait r 50, 60
humais seraient frai,-
Les gouvernements, au-
Hr 1.es echiées inub
..ntitigent quintuple, sex-
-, de malheureux qui ne
;,, s'employer.
.qu'une telle guerre
-rait 224 millions par
seuls frais d'entretien,
1 de Munitions Comment
,,ret-itls face b
,pared-
alors surtiml qua le rells
eipeds flerhireit edi
'l'es peuples étant lbroys
aucun emprunt ne
,ténuric d'argent
,11
-'-aient
-:chirait une ruine
répara possédante ,verrait
se ,,,,, machines ; elle s'aurait
plus d'ouvriers pour les mouvoir ; elle
n'aurait plus de matières -premières
surtout à mettre en uvre. Plus de mé-
tiers lattants ! Plus de .feusx Milan-nés !
que de milliards perdus !
0) Que de milliards encore sacrifiés
dans l'arrêt du commerce Lnternaltia-
uni ! Abolissez par /a pensée les échan-
ges des six 'grandes puissances miro-
Péennes, te tralié mondial tombe prel-
epte il néant.
F) Que de milliards sacrifiés pour
les transports ! Lee derrelins de fer DO
vaticineraient plus que ale soldats. Los
paquebots s inunobillseraient In fond
des baies.
li) Enfin tonte, ouverture d'offensive
sèmerait la panique ù la fois dans
les marchés financiers, dont les 11n4A',
tels oorst inextriosblernent liés. Les
coupons de ronde se seraient plus
tpayt,s. Les actians inclustriciiles
baient au quart, au dixiémo de leur va-
leur norninede.' Paris. dit 'ler an (3 oc-
tobre, a ale tomber de 4 milli,ords Le
cours globe des titres qui s'éollangeitt
a sa 13ourse.
ilet 011is1O du grand capitalisme se
doublerait dune formidable rar.:fac-
tien du cràlit, de,io étranglenocnot
petit catin-serre el de la petite indus-
trie, si bien -quo la masse dit prialdirie
cheariant par force, loue les
mente d'iule crise sociale seraient ras-
semblés' à la finis dans imites les capi-
tales.
C'est lorsqu'on envisage Mutes ces
donn.ées qu'on garde moeilme espoir
dans le maintien de la paix. Le prolé-
.tarial S1Q17Hdhos de phis eu plus ;:nergi-
quement- aux aventures eanglaroLes,
mois Ica Etats et les eitt,ses poeS,,daito-
-tes n'ignureul
mills y ;otieraient
Item . fortune, ',lir sttobil11;t Itur vie.
PAUL LOUIS.
ÉCHOS
DL' VOLT:11RK.
età. à .erirs,a
Fe-14,y y
Passé d'une Lare,. steep-
le endente, de ece arrivée, que
sue ocrer, 0e était do puer n, serein. Muss
ea lieu segri Iseecites.
-1.:Lostos ssoluse de Mirage Mi rependit en
riant
veules. pas ementiller
Doit Qui.
Moro Il jsremit -les auberges pour des elel-
mita ;
sous pics. Ps dralese,e over des
irtabernee.
Jeu
FAISONS BIEN LES CHOSES'.
Ou a -dit Peu des Moses, drus queleassomes.
l'abers sem aimables, sur la Fres:Arnim de M.
tee s Liseoê sen eglengenes. ses ;sem.
Or:tee. ses omettes a eeet On Is liensO
barbe, son sentie, sa table et ga cave, et, anise
-ea à pin on en a fait un peree.sife If-gents:-
, gui avis esteront rerr de cornez. mes g
...galères de ittligoire.
Cd:Mme sei n'a ;ms dee goûta gereptiesur. n'a
mg !et revoie eus lui mem Dortinipe flonesial
Part ismfigement en cerne /1.rs do g,gtemate J sr
'rein faire bien ics dieses. C'est Meei, mue aq-
vrani le g Pressa Agace:és e, guet a dorez. û
egrerssmre ustienale de narres, de prendee
eet set limée de roulement dem:ni offrir à demie
ver, g mi feeder.ru propre lgste des Frasil>.
LL-^
XIA riEYsors.
- . .
N
EilEADA.LE. Ge sougue date, le pain
riureeru d per; le « bas e Demis » fera son
Lire esai ege.t faire tisser
DDT lia, d d,. unie.
rai Serai Pm leur, Ls grassmu nouveauté onnei.
resa en Sas do son, berme us iners.or.meres.
asekerme de la die,
dg Ugine varies :taré.-
..telt toutes sers essaima., ceigne, par
vrt pigea depies..t sa eusre mie somp-
tueuses cosibuns ; unir ibismnsurs en renia nos SCS
rraed..attes, are a6n:o do papilleie de toutes
mentes ete.
Men, pour qu'au voie ers ornements, no sas
0-il r,e's falloir raccourci, les jupes
LE COIN DES SIEURS.
Chez ibeirlogoi
Je coudrais mu bon scat ecoille.matiu Je
Pasz ee
us-ares
Alois, noletei
rêvée h mers
TRIBUNE LIBRE
MAR cl SoGiarlsffig
Ali nen ! par menple, bien loin
et ihten mie se:merlu, r
e mer-plions de
Ch. de Verbisier
ici leppints do la Re-
ligion el du reinette., Je lo déclare tout
d'abord je n'appartiens ni d hi franc-nue
eonnerie, ni h aucun, groupement de libre-
peneoe. Socialiete révolutionnaire je suie
prolondeni.t irréligieux parce que je con-
sidère la Religion comme eyant été un obs-
tacle rie tous temps au Progrès, 'parce qu'elle,
au me parait Stre suons useu de supersti-
tions et d'erreurs oui itébuia des milliers
devinées ont rues,. révolution doge lieuse.
ru, Soies ne me fasse ont-le inutile: ,,ni.
plus ou moins suhtffee entre la Religion d;
le hW...ie., Fun est. lu consecten. el,
Foutre. Le croyant, finit toujours corme.,
ment on non nt selon ms eireonetanees psi
tomber, da. /a pire des intolérauces,
Relierai erOo ce que Ti.. appelle la fu-
reur eaeree, ln fanatismo qui sous le faux
priffeete 'd'honorer Dieu, de le venger, i
sacrifie ars prochain qui n d'autres
sur Dieu et sur let muitro de L'honorer. let
comme irai Diderot ia Relie/ en.empéche
les hommes de voir parce qui,ite leur dé-
fend de regarder r.
De Veneieier prétend quo lorsque les tes-
veilleurs se seront rendus mallr0e der
moyens do production et dbfroluarige, ils
la
Lie se.
de. tirage. r
en Dieu. Je sie émet, '
replies, une critiqu,
Dieu, iii exposer la fie.
religion, Ce serait trop heig;
eurems occasion d'y
so. tour. le proveehe suivant
répond do revenir. » Examin,1:
de la religion nous répond de sono
Depuis que nomme primitif viva,
tee grottes à l'état eau, -nlour,'
tes fainesdie pouvant. ..me
ms des phenoneents qe
frayaient, les attribre
mystérieusee semaine
orOyances sent
nunc ai modifiant se,
de chaque peuple. Ont
veloppement du bornn,u,, !
dieux geinte-nés, lem conflits ont
eté mu sourees ! Siias cone, -ir..
atreees qui au nom du Seigneee
ont mis ,aux prises des roi Itirru do généra-
inne, des milite,nse de rombettente, que con-
clun'u des crimes', des earriagea dont le ser-
i... religieux et le, mysticisme intolé-
rant ensanglantèrent Plumumibé ? Oui, de-
vqns-toeus attendre done de
D'ail-
lettre Io Religion est-elle intliepSliseiÀO
bonite.m'. L'édueStillne la Science, ho Saison,
/Moeres de ne XOlerite n'agfesen,elleg 'per
suffisamment mtr nous au point do mur>
transformer en hommes 'nouveaux. N'enroue
vent-1-il pas une loir intime le savant qui
arrache in la Nature un de se, secrets, Par-
than quoi réu.i b point son ouvrage, le
meiteeiri qui a triomphe du mat, et samns
avoir ea foi ! Non, nie dira le rray'ant, ce
dest pas le vrai bonheur, le bonheur ab.-
lu catit ms/maitre et aimer autant qu'il cet
on oses de tonnait., d'aimer, en un mot
rest te cloi ou la possesion de Dieu anil-
ine; que sont les richesses d'ici-iras, rien.
Supportons avec réeignation les Mis.,
lys privations de notre passage dema cette
vallée ,de larmes TaliS1110 ,a rikompeuse
éternelle nous attend dans rau-deià, -- A
c.!:a je réponds que le bonheur eonsisle
dune la plue grande somme do jouiesanees,
doue In large, le plein, l'absolu épanouisse-
mit do l'individu; qu'au °entrain. de Jileus
qui ore:petit le mépris des jouissance,
terrestres noue voulons, slet1S, ers profiter
» Le ibut le plus noble de l'esprit humain »
dit Haeckel, et par conséquent le bonheur
nulle targe -savoir, le pleine -développe-
ment de la conseiente et de l'énergie ires
rale qui en resale, o Grenstis-tel tOi-Ine-
nie I C'était déjà i.e cri des pbilos,phes
de l'antiquité ;dore meil, cherchaient à en-
noblir elemune. Connais-toi toi-mente »
Cee-i. semai ce cum repele foute la doctrine
és,:olt.11...i011. non .-eule.np.t...à iieamaa
'isole, niais it I. humanile tonasetrtterdn'ffie-
sure »qua chaque lemlneese easneialterniendb
nui.... motte .mailitsenee une fo.,
tefle nouveib pour salnélier, 'merde-
neuf. De meme la eimple notion de sa vé-
ritable origine et de se place réelle dame la
nature poussera l'humanité dans la ',SIC
progree moral et scientifique. La simple re-
ligion naturelle Dreo sur. une connaissan-
ce iparfaite de Sa nature et de n'ir inepoi-
sablé tr&or de révélation, imprimera 'dans
l'avenir rI l'évolution humaine un cachot de
noblesre que les 'dogmes religieue des di-
sert> peule!as étaient incapables de lui don-
ner; car cas dogmes reposent sur une foi
aveugle ürr debecurs myeteres- et en reste
latierm mythOlogiqueg formulées par des
caste, meendoinvos u.
De Verbiziee dit h propos de la mort
De la part du mese:m01 chrétien nul ie-
ret de quille, eette (erre pour are Vls
nieilleuTC, swir. quelles folle pi-Mention an
bonheur peut bina avoir le socialiste
perdant r un der s:ens quand il s'a de roi-
...co,s que doms lu remelation de in irai.
cens ! e lie Verbizier admetedone Vexe-eche,
den Parodie et.., d'un kinftr, of sont mi-
veyes les bons et lire m.:ottani. eelon, la vo-
lonté ole Dieu. Mais si Dieu oxiete il fele
aveu. oprii est atteint de Mehmet., intim
'mités. Sourd et aveugle, it n'entend pas im
prions de eeux qui deux ha détresse
rent conune Lee malhoureu.e viriiuo"e ils
Titaniee, et il ne soit letts ceux qui, ee-
cables per LE misere baisent. sa-ns cesse
images, Impitoyable ci cruel, il laisse eau:.
merles sur celte 'terre les crinus et 1,
guerres les plus abOminables dont les vic-
times sont toujours des innocents. On no,
lu dit infiniment Ires, pourquoi, dès lors I i-
re-t-il chaque j.r du neart des millier,
de créature>, qui abandonné. In EtneS-nai,M,
sont exposées aux tourmente éterneb. Er-
relirs et auperstitio. I La Science neon en-
seigne que l'Univers esi régi par des fore,,,
duit TIOuu
cornaiegone que quoique,-
tme, done noue connalteons neaucoup
rosai cela sans croire à une Divinité quel-
conque. .
parodie ! Enfer I Félicite et peines tien'.
selles, Fictions tout cela ! Ne négligeons
pas les jouissances terrestres; elles sont au
eooisa réelles et palpables: un «ions vas1
mieux que deux tu amas e. Ltbre à chacun
de orale°, libre à chacun de ne voir le
maximum da bonheur quo dans des récom-
penses ...es, mais que l'on ne nous pari,
pas d'un meriage entre la Religion et f.
Socialisme Cela ne peut pas fora pence que
il s a antinomie absolue,
gi le Socialisme a pour règle% tolérane,
au point de vue de conscience, il ne peu'
,mpendant pas s'unir -te ta Religion; ce £4,
rai.t. contre nature. La Religion impliqu.
l'idée (17,11fOritO dan, Oen ce que'Ne a deer
solu. Le Socialisme veut la supprimer
;out au moins ln réduire à une simple ex
eroesion librement consentie par tous. Le
Retigion est l'ennemi irrédneteffe de la ree
mn et de la jUiIICO humaine. Le Sociafistr.
au centrai], proclame régévution d» b Rai
eue et de Ca Science.
e Nous ne pouvons pas, dit Bakounine
'mus ne devons pas faire la moindre cote
...ion ni au Dieu de la tlelniegie, ni
mlui de la metaphydque. Car den, cet ad
patte rossai -quo, qui eninmene; m nue dir
A devra eatelement finir sper dire 2. et
Eit ailarte Dieu doit sans faire de Pué
tees litimions, renoncer 'bravement i ea
`écrié et a son humanité.
Si Dieu eet
"homme est esciave; or /montmer prit
loit etre libre; donc Didu n'existe par. .r.
léfie qui que ce soit
sortir inc ce cora!,
at maintenant qu'on
h
Ou-on lais0,0 doue ia stigien à ceux qui
:mile. mais qu'on nus ,
nous socialistes, O nous résolutionrniree, di
no. allier avec elle. El pour terminer, .1
lie pue ln mal peint me je suis d'acceed
sues Venbizier c'ese lonsquei dem.rb
Une les sections serai:srou prennent Foui'
':00 sur 15 queetion religieuse, de suis sils
mie tee... irlar::1, Re' mem av.
a pu., ». stie ja
ai de ésnoin b mie paroi. siliance.
Docteur Joseph lents
a a erdain e
Au CONGRES DE VERSAILLEs. LE PRO-
UES DES « PADRONES ». LES
POLICIERS RUSSES
.01. Peines. a triomphe aie.m::i nt au Con-
grès de Vesaiff,,-, do se bobo, él. Pare,
te dernier, malgre >a rob...calai forluno it
mordu la pi:1...i', porlemoniairce
qu'M avait généreuse:béni i.bligée tint vole
,aur lui I 1:,1-ce à dire que M. Poincare a
bissel sur in put 010 parce 'toril avait
plus rienvetgure que le sénateur des Pyre-
' liées-Orientai, I Détrompez-sous ! Certes
Point:aie esi us homme éloquent et dis-
:luge, de plus il rot académicien. Mais
avant son aseeneion à la magielrature
nreme, it était eur-Prut un actif avortai d'uni-
foires. 11 gagnait ail palaie Le modique sem-
me dr 0151.000. francs par an en plairkint le
mauvaise eause de puissant. société, Il-
nannièree et. ai. lionert -eines quipour-
raient s'étonner de eentlieueiagne qui a ao-
oucilti à droite ia proclamation du résultat
il suffira de dire que Mission. lie
Royalistes dr.-aient quelque reconnarssanee
à m. Puineare. Co dernier datait mi effet de-
puis qlrokillei annkS, Pavoisai de la Compa-
gnie .dp seied-cobain dont le marquis de
Vogue, Lu duo 01orternart et te Dente de
gémir ...Lat les grande maitre, Ces ISOS-
Siernite ent, °remise trust du verre, de L'a-
cide suplusique ri des engrais chimique:,
gigue di, France 'ver.. annule' --
doms Par caisse -la bagateilo de 21
m on,. Corn.° VOIS.3 le Voyez c'est l'impie
de la Prim ayent revetu une dorme mode,
ne Or il v u Muet a, test mistoerates gni
administrent ente richissime société- fail-
lirent Pte poursuivis comme accapareurs;
c'est alme chargSrent l'actuel prési-
dent de la Republiqué de la -défense de lems
Dailleui,, NI. Poincaré, s'il pose& la
sympathie des fine/mime .monarchistes n'en
posAir pas moins celle des nuanciers ré-
-pubticains et cola s'explique quand on sait
la fougue avec laquelle M. Poincaré a défen,
du le mois derniers devant la commission
des Affear,-s étrangères les intérêts de la
banque ottoman, Les financier:1 qui diri-
gent cette banque sont mallems des th.livis
de fer ee Salonique. de -Smyrne et de Da-
ma, en outre ils eecupent La plate pré-
pondérante dans Ire Conseils d'administra-
tifm de la Banque de Freines et des ehemins
de fer français et ainsi on comprend il.
devant Poincaré, cet Macina Oslo Finance,
le limes Pams, male., sa généroeihe et von
papier g Job,, ait éti balaye con:moue fetu
die paille par le atteindre vent,
'
Les o padrones s espagnols à l'exception
de deux, les plie compromis d'effleure ont
convent Ce9 »les demi ces rai 000teS01,i011-
uses.;Slosree'seekesees incidents de procéda-
k,Ana et.4 rtrisrly6
huitaine, li est cernes toutefois que ces
triges trafiqueurs de t'enfance seront eé.vê-
roment condamnée et ..,re justice. Mais
cette justice sera incomple,e. A raté des pré
venus, sur le banc d'inf.mie, il y mua une
lace vide. Co sera celle que devrait occu-
per, si l'équité était dg co monde, M. Le-
gras, chesidier de la Légion d'honneur, pré-
sident du syudieat des verriers de Franue
et proprietaiee de la verrerie de Salnl-De-
nig. Les, tribunaux édictent des peines aussi
severeg pour lies reeeLeurs que pour les
cambrioleurs, or en ce qui eoneerne M. Le-
grar on semble ignorer quo les padrones
n'auraient pas pu . livrer à leur repu-
grante heimerve, s'as n'avaient pas trouvé
un °grime peur occuper dans eon bagne les
!mille denacinée des viedles merluai cepa-
mime, de Burgas ou de Santander. 11.5 vian-
de à feu, c'est monsieur Legras qui lexploi-
tait et Ire .p.adrones n'éteient que des ag,ents
passif, Mats 'Si, Legras e. un trop puis-
,nnt personnage tenir tomber soue Le coup
près l'Eleeption
L'Opinion de la Presse
'h ii. s,. it011eiasto
fut fatt d M. bian. ,iar peuls/ion
nne, yeuse., ey fueent rEiPer-
eurent proneneées par lo nouveau more- dent
.niss; ri auseellOus avons dit guelte paroles
lei,
et combien de beige.,
/1 een interes.ant de reproduire les pria-
epaux extraits des articles quo lut pr.se
omettre ei Ildleiction
Là PRESSE SOCIALISTE
Il noex triait tout. dut' ord Opublier les
'gr., do notre éminent James, publiées
bine I' « Humanité »,
L'unité de notre action, La sfiseto de coS
kinisione ont happé hior tous les partis. Au
mimens, SI, le président itu. Congrès procla-
mait les résultats 71Mlnitifs, ceux du sieund
sure Os SeSULin, les applaudissements no.-
. des renservateux., des MOsiéréS, d'une
mrLo des repu.kaaiee ont relue lo nem du
aroquims, hl. Poincaré. Lu nom de M. Pan»,
qmolques avplandisternents ilispors46
!en rustieaUX troub16, hem,
oup mon. par In dEfaite que par M sen-
Mitent d'une bataillo mal engagée. Mais
10007171
.presidert lIt mention de o 70 vois.
'et le geins. socialiste, qui s'étaien1 pur-
"es sur M sitayen
tfummt des
minearoLo. enthousiastes. Pelais d
et de fierté d'un, Parti gué a téjà mat I..-
.es et glorieuse histoire, inais qui a la jou-
ir...a& La pensée et 71e raution qui suit,
lens ha minutes décisives, sulorderimr à
édéal commun les mesquines dissidences ou
ékeistm combinaisons e 'r iv a So-
...le' Sive la Commune! s Leorl mess',
uétice sociale meMait dame la haute salle
if colonne,: de marbre. Da. Paprésen.11,
&Le deo eiteyen Vaireint. il me tilt
I e Paris lu ut. 00
parant° niff, elny
eui, et la vraici
economique,
dispose la
eion par tous les mOyul;
ouvrière.
minorité,
esnor . son iodés
ue et
.,..m' %lis R£GioriAtts
lir
-bW1verso" caRnisen,c.A.TAI,
Gesse, nieenvs, LOZÈRE,
ezzÉsÉes-Oxlesseeles,
iii LOTLET-DADONNE,
res,Lor,nuarrocaretuahs,
,ei DOES,TARTDET-DAD,OENE,
DASSES-PEDENEES
III mi AUDE, ARIlk.E.,
TARN, DALEEE- GARONNE,
TOULOUSE
til ut
dag,
_
d
etI.e jugea.. garderont b'on
ir de honte, de peur d'etc abousser
b MOT. toua -ai feerig ea capitan,
s deaa-foem,,, sent un Peu I, cou-
sine dET grands seigneura de La bourgeoi-
sie et véritablement pour faine plaisir aux
Iprobia, hé ne pouvant pas flétrir un mem-
bre de leur famine.
Feu Stolypine, le ministre de lemolas
qui il y a quenelles mois fut envoyé chez
Plutus e coups de revolver, n eld parait-il
une des innoulbreblee victimes de la police
ruest En effet les quatre grands chefs de
cette 'honnête organisation vont 010e défénés
devant les tribunaux moscovites. Ne sont
accuss dmoir préparé l'attentat et d'avoir
armé le bras du pseem-révolutionnaire qui
abattit Stolypine et voue pouvez etre .c-
Osiers que lev charges relevéee toner° COS
singuliers défenseues de la Société sont en-
tremet.. gramm. Corrunent, s'il n'en erten
pas nitri, oserait-on poutesuivre fun direc-
teur, de la malfaisante bureaucratie ru.e?
tirs .bureaucrates dans l'empire des ftare
disposnnt de la vie et de la liberté de tous
'ou citoyens et pour s'attaquer h. cette for-
midutei pdiseance il faut avoir peur coi
tout. les .chances de vaincre.
IHAVAIRIDAGES
Pauvres Turcs
Ces pattvre, rats ont aussi Une bien mati-
ra., presse. L'ambassade de Bulgarie a
tomber use pluie icor sur nos f000000.
L'Humanité, La Bataille Syneraimee et le Midi
Sobbilivm, etidercliteret exceptes, tu bout de
compte, ce sont les conmierçants et tes ouvriers
français qui ont trlingué et restent Gros-Jean
comme dermite
Le tirage des grands quotidiens continue
monter
Le Petit Parleien et Le Petit Idiot de M. Per-
ret poursidvest leur ascension. Ils montant-,
On montent_ pendant qu'autour d'eux s'anion-
eche. les désastres.
(pie voulezavous que fassent ces braves raves?
Ils n'ont plus le sou, Ils ont été tachonemee
rotés par les Jeunes-Tures g., sous re Inusgur
libérateur, se sont emplis les poches et Ifietestin
jusqu'a Creter dindigediOn
Soyez ...sert qu'Us céderont Andrinople et
que Constantinople o durcir pisse si Oct avait 00é
le désir de Ferdinand.
Et avec ça, Monsieur P
Amer ça e Voies l'emprunt bulgare unIes inia
Iole. lt lund bien panser tes plaies dîme victoire
douteuse, ehérenent achetée.
Mais tes gogu trançeis sou
qc bon M. ThssodorOft, ministre des femmes
bulgares, Me annoncer par les gazettes es pré-
sente proelarbie o Paris.
On sait ce que cette visite nous prépMe d'a-
gréable surprt,e.
Les guichets reittredit Lyonnais, si largement
ouverts eue emprunteurs d gros intéret et si
chiche pour le commerce français ingit a p.,
',use,s de defendre et da PrOtégev, taud
d exporter une foi, encore les économies de M.
Gogo vers des destinées bien périlleuses,
dprer dveir satisfait la soif insatiable de L'ogre
moscovite, aidé ainsi pur son or O Vatranglement
du MOUVeniele tibémteur russe, voici celle non
moins grande des Louveteaux slaves O étancher.
Si les inférais du Las de laine sant mie fois
encore compromis dam cette mauvaise ope'.
hou, DAUS penvons, rend au noies sious réjouir,
puisque les admintstrateurs de i'Matilissemeine
nommé immigrant dans cette opération une ré-
munération prturiêTe. 5e, ItalMa, que la Mille de
Paris, dans sa eGeltdett ',dive, désigne, d cheque
emprunt, peur ta publicité de Popération, trou-
cors si le moyen use recommencer le coup de le
Cause d'Epargne de Pea et

çl
-MrlètEletver ' '
s usa/ den ministres
Pletad. en effet, te
asenismit Js
IlanSONS
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MF:
-8ISSION
1
nt en
lu Pa-
. rois !
0E01
1..110.o I
car je
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à Plu, BQ
du 2Oriat,
s'in
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cite
contmler un 'sr
me ;
Le Cesrld,...,aijSuediesisone
lu Jurien,
tEr sic erpreli ii
/
Oum le suris-
; du golem-
, e. mes-
,. choisis !
,rment. Voir:
muons nOus,
r
/4-318. LES APAISER LA LUTTE SOCIALE
'` -sel. a a a =or . loup et à LA QUEST/ON D'ORIENT 'L' d"'"e4" e ''''ble' ''''re'' de r''''''" ? GRIME OU Su----
La Grève des puissances en a-rIvée a Sennes El e a.. ra-
ta,*
- . FIleurs 5 '
De a o., ie , r: de particulier ramier
.
de gr.s, sa el, i rition /lliurnulignuia ez.zueo---»rg%.,?.-tel...,r-r-1 allueohou - ,,, ,..---
Latm
AllY8811 081 leu
QUE DE FLEURS!
IL PESTE AVOCA's
-
5"...7%.1:
iptc deà
'oit' vous 0E L'ON el-REr 'l ' '6/11$EENNE dj'
Briand a
PIAN, sr ,t
M. Peins
,111
Li-
- deuac. trun
Tr .anns it PEP-,
Le Vaincu
CE QU'IL DIT
En d. nos mer...à a rendu lunule h M.
Panas, après le Congres do Versailles. Viau
rend t qu 1! fait do mite entrevue.
M. Pains était à table lorsque nous nous
présenta.en b sa demeure do t'avenue tiensu-Mariai.
As/se la bonne gram qui charme
tant relis qui l'appreehent, Il n hésite pas
a interrompre' ton rimas do famill. pour
recevoir te reporter indiscret.
Els hien P monsieur le ministre, la bataille
est perdu,
est gagnée, au contraire I repsin-
Mais le -sourire avait déjà corrigé ra viva.ciel
de la réplique. -
M. Paros continua :
Non, ne parlons pas petitigne.. Je suis
si pou no e herphe ptolitimie 8 ! Je niai taira.
nu el,anilattiOn. te rideau est titillai
MM bien, quittant; la scène et Controns
Cam nOte. Si VOus saviez le sentiment que
l'éprouve ! Je crains de le nommer, car
mut toujours-se défier de eon. arnote-prupu.
Et cependant., non, ce que je/ ressens
est simple et deux comme du bonheur.
Vues pariez comme tan stoïcien, monsieur
le ministre.
Nias je ne recherchais rien. Je m'ai eu
norme déception à Vaincre,
.,enr cool M. Panas ajoute, stuc une ferniet6 Sou-
, a .4ins..ast la daine dans la vois a dans la regard
' Je ne reeherchaie rire, mais je ne me
sh réfleehir suis jamais dérobé/ lorsque lion parti m'a
: doit rendre demandé de suriner mon repos. Avant-hier
"cm. c'était au ministère de ingrioulture; laies',
:
ii'." part, quo M. c'était à un poste plus haut. Tai accepté
r les chefs des sans faux orgueil e/, none fausse humilité,
mis,» ri. ii /mirs franchement, dignement, je crois, l'honneur
qui m'était tait. La taupière qu'on
,
tarojefait ainsi sur moi no m'avait. pas
Mloui. Puisque le rayon a tourné, je rentré
dans Cou ire sans regret,
-- Vous allez prendre du repos I
mi. Qui. Ems éprouve Io besoin et Sr.-
steeg porte dans ma retrait° une autre satisfac-
- yzew ion que colle-ci, qui Cet On IMU. égoïste
a. M janvier. j'emporte la mtisfaetion de pavot, à mon
Stsie.g am avis perdu l'estime de personne. Je n'ai
des mn ii
' én du c..: 1
-
ni mecententé mes colis ni donne une raisou
de reépris fi mes adversaims. Enfin, lu
nars sons ritneime, coma. Ou disait autre-
Mis., eu remerciant les dious.
CEUX QUI NE VOTERONT PAS
o ii I . Briand pc
bourdonne
1: In
5Is011 mes. S'Il of,
od,
,I. Panne,: oc au quai d s
Paris, 1$ janvilms
Lei ms' e nier ont /trop dlimpertence
Eau'.,
Belle
ilauT
our, il y
mcmgres pris
Les Artisans à h Amputation
S'AGITENT ET RECLALLENE
Ge /6 a eu lieu, h nu-mienne Faculté
de u,/. , prrnaMre séance du congrès
popumirc fières et mères
min:hm/uses de Frissee. Les dix
au nombre de 250 environ,
Ers du 500.0Sb ligueurs.
prisident fondateur,
orgs qui est ele
/laids de se/titans
.Ms pouvoirs pu-
lai
de /..
do'
I Ar
ir
../// É tuer un
ovront
//rmints.
mi mère de 1, :Mus Rome,
oterry, nui "8 apptau-
... tigur
1'cor
mmi
I net.
thes 411
OU Cocu-
! 22
.
'I
lm criainich
matm.
1 Ma,
atim,
smille 1'
net, à - :ce Sc
La Grève de LezIgnan
Do neva corresponde. partionicr e
FIN DE LA Ciitt1V11
do
11.2,1. FA TURQUIE !
dos greviries. Dean Eeantentinople, la janvie15
mours camarades on O. Li réponse de la Porto à la note dos
su te g...1tion dans i, pus, e iiro /rouan-dao ilem,do oui. amb'siaocr,
Spray un eus unau. dyan., roequic.
nia convenu Rue eettei seance am
dans la même journée, à huit heurs',
Dansa petto mamelle réunion, s
Rance a expose la situation el
rasserriblee ma une démarche avait
auprès dos déléguée patronaux desat .."
Soie de puis. Les dèldigues patronaux ont
renouante Lu prOrnecS0 de respecter leurs
engage/musts pris et ont, d'a:prés le seceétaine,
promis de Mise appel au hou sons d'un
grand nombre do profs:é/aires rêtraistaires,
gare d'après lui se trouvent réduits à Elle..e
actuelle au nombre de I ou 4 au Maximuni.
PillSieUrS emnrirades ont démontré à la tribune
le Fiasco crmlet qui en rel8ulternit, si
la grève partieàle était Vreér. D'autres ont
mie on doute tes déclaration,/ faites par le
...Je:taire. Malgré es, avis judicieux, te Bureau
n'est Pbstand à mettre aus voix la grève
partielle. Devant une gaffe monumentale
faite par le seeriatair..à la lin de la dieu,
sign. un grand nnnibre geéviFtos. cuti:pal-
salle de réunion. Le .1 Oi0 liéu Mim
lieu er,re violeeu tunitilto. En vain li, résultat
Iriseras. 217: votants, Ni, Pour ta grève
partielle, 79; coutre, l3; bulletins blancs.
2. En conséquence la grève partielle est adop
tee. La grès. erg/ en que., prus,on, car
flon135:n 11101:1 ...011, ouvriors reprendront
leur travail. LaniNBRTINET.
La Grève des Forasses de Coursas
r, rader corre,,ndant perticeer
53e Journée
LA GREVE SE COMPLIQUE
D'UN LOCIVeit TA DES HOMMES
poulieterra
18 j 'er.
n'out e.t. Men on, , nos le
le
.le aux
revolant
continu
ele,
refusé de fane ,
lem. Ir leurs
romrnen Pad'er,
paras dan pan
;malgré que Poen
r dito,
Notre belle Marine
Es.. I :MED Ou ELLr
On se wlarie
On se Mar':e!
, 18 a.
pi
,
/ à tai mise en vi-
..l.flant 1m ferrealités
m"yen du mariage a
divorces a eu lieu 30
Sommes et de 24 b 30
Le divorce est plus
ongeea pour lesquaià
--+ in, ladres. au ro de SM. et mil Minute d,
Ils veulent tous la Paix
AUSSI BIEN LES COMMERÇANTS
PRUSSIENS,..
13crils ta Jamie,
Mos la Manco tenue 110j.Ird11110 par le
'nue ab, osairharnd
dc l'emprunt de l'Ebt do
oiouris M. rie DornhoM, pnaddent de la dor.
prussienne do cornmeme maritime, a reat
d.claantion suisante concernant la simabon
pottiquo.
Alors ciron que la Turquie répondrait re un
rems a la nate des puanances, eo ne serait pas
encore une nuano rhum croire d des cm/4.ml..
entre les grandes puissances ouropdennes.
QUE LE DESPOTE BUSSE
Otr Aefort apprend de Gonsla
raceralon du jour do l'an, tc
.de mine ri lambasmdoue do Taro
pacha, qui jadis Clan tres an
de lui.
. st eonteusI lui 41,e Prievernmati
Tc/
st 'loti-, La Tri»-
, que lo
.i.vorce in
le du
LES Of/BRAMONS Pd11./TAIRES
Un Combat naval
baba,
. min on-
Les tisses prOé
On sonde de Ois:,
sign/ ers green ou .
port de Perga.
Les hablin
Duse sur fi,
reodution
selcure do
en 1,"
, ir
. ranis
r '
s'an'ar
'
rep , s
Le brans oinerel du carnage ,/,
in
d il
scos
ia brion
811e Tes
LES oamns SONT PRESSES
LorxtreS, 18 1irivier.
Les del/if/alioen balkaniques ont appris Iner la
remise de la .dote dry puissances à lu Porto avec
une satisfaetiou non depuis..
Eues sant rats désireuses. dans Cintre' de la 2" t JOU .
paix des Balkans, quo la Porto rettu'do es t'épousa
le amine paMiLde, car elle se verrait autre-
Chez les Chaudronniers
ment forcée d'intervenir .directement elle-mente
en remettant. a. /a délégation Lureon une man Lu BoileimaSers 1,001.00, qui groupe 60
qui le pourrait guere mat.' quo la tonne d'un
ouvriers a di 1' par 2.610 voix ten-
ultimatum accordant un délai très COM,. t, 2.1:82, do c.ser son affilMtion au Parti
Lcs alliés soustraient annedroment Miter evan fermier national. On ne sonnait pas en-
demande.
mia s renon, de cette démission.
Es considerent quo foule .politique dilmoire
qui ajourner:an :a réponse au-den du ALLEXAGNE
milieu de la soriaino prochaine. n pourrait
guère revît& SUU la forme dus ultimatum ac-
La Justice pour Enfants
cordant on delai très court.
Itsichstam ost saisi par te gouterne-
Les alles ventrale:ut sinceremmi, éviter ceito mou, impmial dm, proiei de loi Otatilis-
demande.
sain nec juridiction pana,o spéciale pour
14 considèrent, que /quie polirms
la reponse turanie au-dola il',ajournerait du eitiSsu
de la semaine pmeheine, de pourrait guére être
acceptée ni par l'opinion petilleple de leur pays,
ru, lcur, yousernements si par eus-aïe:rues.
LA CRISE IN TEro rare E TURQUE
Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés
oce
m "-mani .
.os
des
doS
s'Inn/ose boa,
1000 pins quo, daim le cours d, Jannée dernieie
plus de 40.000 enfant, ont comparu
des eut 1,, tribunaux répressifs.
_
RUSSIE
Le fameux provocateur russe Ana'
espion autrichien
LL sc, , Werlable-
Manus
a., Amr(
Jaune pendant
un do ses amis
11010,
1
3
A L'ETRANGER
ANGLETERRE
u MONT Sali'
Chez les ;îoaleuiz.ers
1.3r,de,
Ce Pauvre Roohette
TOUJOURS CONDAMNE /
MAIS CE QU'IL S -40QUE
Steel/1Z ee'D tir ibfpegs
ordre
do, r:
1/aninerue. ,
' rida.
É
Io
n I addqualL
d
m.
51.
rt,
Ln cl Télégranuno
T0111011., Iii jarn ira.
ric heures, un terner.anrneat
d'Incendie, que Ion croit provoqué
par ua court-circuit, a Relaté dans I hôtel
du // Télégramme e, rue Constanante.
La salle de rédaction ainsi que voIle 4s
télégraphe ont été presque completement
&Onnes par ;le feu,
s pompiers accourus ant riCain h Oitrowerire
rwritouent. le foyer, et vers 18
Imulos et dinue, ils étaient presquo conte
pRdoment. maitre do rince/Mie,
Tout se borne 4 des degats pairement 111.Y.
téricis.
Un Escroc
nudasectIl butier.
,0113iit, sen
SPORTS
CYCLISE
La COLI.: DL -1X00,10
cÉdint. du 6vorl
Peler, In parte.
ét !raie hemos ,0 aems dons"
,LaiS 2.12 out
'Meta..10, comc
oommts 50 10,3 orge.
Bridas
1. heures du a . . der
on Tt couverts par se,,'
I, ci re, danse:nen; des
2 AU LIU D OS
mea Murs que M.
1,-nre, nt.
,111011.
La Rente des Travailleurs
TOMBES D'EN SIXIEFIF ETAGE
Pari.S. 1$ janviers
pye soue 110 la nanure d'un éstataue,c,
dom aubiers zingueurs. [scie Perrerc ,
hen, On cone, demeurant 80. rue Lods
it Jean Gatte.paiLic. Pi ms dunieds,i .6,
n'as, qua Cravaillaient, vins deus :murs /.
le toit d'us trammeate rn0 François-Miros snit
tombée du sixième Mage dans la rue- /Is sont
mort, pendant leur transport
TOMBES DE 12 METRES
Ailt, le Imunne,
int après-midi. deus ouvriers maçon, Albert
Arubéreue, la ana, et Signalas Vlgsdrc. 37 ains
travaillaient ou, fours à chaux de Banni.
sont Pana,ie dise hauteur do 12 madras. Tue
deus ont CM reloves dans un glua pingsitos
Mansiarlas à Glossaire.
Leur mi, ince,.
,epOid lundi
a Samos
hauteur
'
o
,
,-
885
^k8
Ely
; Pros dy,
:4008
s etlans

CHRONIQUE LOCALE
L'ART A TOULOUSE
Le MilSge
des Augustins
VIVANT ET COMPLET. -
up CATALOGUE
FOURQUOI IL FAUT CONNAITRE LE
[A[SEE. - CE QU'IL FUT. - CE QU'IL
Çà:M. - CE QU'IL CONTIENT.
municipale de la ,i.le
Ladattinistratitaa
si T.touse vient de faire éditer im ma,
Ogive des collections de sculpture et d'épigraphie
do Mme, la Augustin".
Catie émut , due aux patientes recherte
Ove M. Baahou. tmasitreateur du mufle
pe r came.. sec et aride «ru
rome dans en genne de travaux, ,M11nt
rédiges comme un simple Inventaire.
Présente avec une méthode remarquable
le classement, avec une documenta-
*ou Mmul tome et précise qui touche, pour
ue objet, â l'histoire autant qu'a 'art,
catalogue synthétique
forme un ouvrage
eadeesse ions et qui intéressera paralièrement
au plus haut degré, en les
nt dans Murs recherches, tous rem qui
III à. fouiller f lat,teire du Midi de la
TailleiffecatalagUe
eet.tiépesse pour la ven. au
, dos Augustins, rue Alsace-Leeraine
francs.)
-Le Musée des Augustins vaut certes plon
id mieux que ce bulletin
Massique, de bi-
.b/iograpbie et. puisque l'édition de la promiel'
partie de son catalogue, ni iran silo
tison rumines allé voile Inc pou"
Stupre:and00 ellverses que don-.
..kidtet SOnu
mât l'évocation du passé ri la contempla-
Qmg, de Fart dans toutes ees manifestations
MiSlete. L'ART ET LE PEUPLE
Colmate i itt un CleasiqUe n Earl 5005
pas un domaine, ferme pour le réunie. 110vvoler.
ania, de ln nature, qui muleve avec
em Mitan.: parfaite le voile des caillaissanas,
et y trouve un charme inexprimable,
est im artiste conteancieux a.
Parmi mus qui aiment le travail. il Y a
dm ouvrier, qui Omit de vrais artzstes tandis
qu'il y a beaucoup d'artistes qui ne
Mut pas oléum de bons ouvriers,
n'Emme le peuple, l'enuvre d'art t.st par
sen iettigiee dune prodigieuse mais limpide
complultel ; il y a dans lin tableau toute
nue Meiéta, le milieu. la 'race, le moment
et l'histoire tout entière. C'est un des charmes
vie l'étude de Fourme d'art de la troll-
, ver Binai ouverte à toutou los curiosité,.
r'tlate il n'est Ras de réflexion qui ue puisse
eo rattacher a elle, ra la considérant somtroe
t'illustration documentaire de tais-
ve Loramion veut. lire l'histoire du peU
elkt. dune maniere pésit ive. il faut &ID.
r les monuments gut ernImIliszent nos
itas 01 11111' coûtèremt au peuple travailleur
ant de peines êt de souffres... Lat Pott,
penseur, il ify à ni complaisance, ei
Mensonges 1100101105. parce que l'art a 414
Eue des plie grands tnesaire de eivilisatiou
et. _que .0... moyens do
furent
tuteura pntaprês dans le morde par 10
peuple ouvre., couran5 sans eeem N'ers de
nouveaux chantiers, dans une éternelle lute
l'81. pour la vie.
Ce peuple a imprimé à ses ouvres sa
atpensée, ses aspirations, Ses muent ions, et
t'est pour cela quo pour aolre lougre
galion, pour apprend. noire propre Inscrite,
nous devons mieux cennaitre notre
limée tles Augustins. o
C'est. velte hie-tome documentai. rote je
grésenterai demain aux toI' lj0 4 e
'
Les Métiers à Teni/otzse
Lesndres. pertes sont do. des plus sérieuses
!nais couvertes par une assurance.
L'alarme a eté donnée, par M. Bayer, typographe.
,qui sa trouvan à l'atelier en ce
morne-ni, ct constata une ehatleur inaccoult.
U:eles dlgentinv Ivrée dans cotte pieo'll au-écroua de laqueile
su trouvait le foyer de Pinceivelle.
Les pompiers do la .serne centrale ae
LATELIER DES ARTS DU BOIS. DINI- sonl, rapidement transportés sur ka lieux
77ATIVE DE LA MUNICIPALITZ SOCIA- sons hie mairev de leur capitaine M. Sali-
LISTE DE 1099. - UNE BELLE ET GENE- tacr. Apres' itim grande heure de travail, h.
8EUSE IDEE VOUEZ A L 1NSUCCES.
it Mait ...sct'rt et tout. danger avait.
QU'IL FAUT FAIRE,
dasuare.
11 u'a pas a, eoesible d'établir I. eau-
001 du sinistre, qui, crans., est ein à un
In et.. le- e
'e court-Giraud des eolche électriques pin-
«, sant eni effet 5 imr fan. hauteur Axent.
'MO- Meg an-dusim de la fenil,. incendie..
.19,tts.
c.
ve qui s'est da el
4; lai
.GIAL_LS_TvE:
tits Arts
pneleamat aies,
l'adanuistration no se
cette réformette qu'est
t t-mps o et qui ne Mit
q, ija,:ica d eut.ret cota
déja école prcRromeut dite.
Et malheur rosi eini mi lem+ ,nteneire
tue d'autres atelier, vont etre erde, sue te
undele d, cclui-là.
Nous conteurs emperher de 101:1. farers
toute genviaalisation des emmure. Que
"on so trompe, soit. Que fi on ramilvere, halte!
L'adminislraliou rnunielpalo veut, cemme
c'est son devoir g:appliquer a encourager les
efforts laits te sue de remédier à ta crise
do l'apprentissage ou plaide à la crise des
métiers. Car enfin, il faut te dire, enseigner
nu mener. n'est pas tout. Il faut qu'A 0.0risse
son homme. Qui pourcait affirMer 110.
dam Ilitat actuel de nes industries, il en
soit ainsi?
On affectionne partieuMètemeul ics munie,
de l'EDO ou. des graadsé administrations.
Pourquoi? Pane que l'ouvre. dindustris
a des salaires irmittimels, un ton
cail trop instable el au bout une vieilles,
que °sème ta loi actuelle Mn retraites ne
niai pas à l'abri du thesoin. ii y a tout. une
'besogne a tulle dansce tees,
NOue disons.' que la orlse 1101v main-il muvo,,
vient en grande partie de la crisc des
métiers. En effet, minsideirems, le problème
soue un duire
Faire des ouvriers am:amplis pour unc
productiou médiocre dans des industrie, aujaurd'hut
mutilées inir les aPPRicationo salle
nutum, et une prévoyance d'un machinisme
de phis en plue Rrfectionne. c'est pmart.
con tempe gasuiller le, draie. ehts coal cibaubles
et tromper la troll. 10e ouvriare.
De rette noies tout às momie eu eM. cestauleab:e
1 Le ptiblis qui. par un absence
&bon goût Matâtts la production de la
mer:Rte; les rads d'industrie que l'appas de
bénéfices immédiate à réatime fait suivie
corisommateur au bru de le guider; les potscens
publies qu' 0l d'encourager les ertette
M., chembeure Sss cotuteurs, réservent
Murs commandes et leac uplilil sou
cations au rassaio é...minoens 13 am si mi.
Vatià centre quo: il MM réagir.
Noue 1, savons c'est lut et . ...
51,5 miilerss differeni, s .Pri as sm.
cet emernble d'efforts reprMenfânt lai:ré.
et les compéleners
'
Que nes aml0 de badin:ni:Cation 111001cipale
11 songent.
B. DORIA,
Secrétaire du Sambas, dés Ouvrier
u r Métaux.
Le Feu au « Télégramme »
fer maties umerli, vers o heures el demie,
un incendie vert déclare mes l'hôtel
du journal r Le Télégramme ,,, engio rites
COnelantine et dia CaMt. L9 feu 0 Pris.
nous...eau' eletrxième étage, du enta de la
este- Conelniitineet Q liant-tare de I' irerneek
111e, dans. leS /ode= affectés .au elépée den
collectiono, à une heure qu'il est 'eiregice
impossible de determimer.'Séteudant peu. à
p., u lu fois par la charpente Cl. par les
planchers, le brasier a gagné au deuxième
Otage une pièce voisine et un vestibule, au
Premier étage un second local affecté aux
collections et au service télégraphique. En
outre, il a été né...ain', de détruite dans
la ronde salle de la rédaction, plusiouro
boiseries faine. Perie8, itrunte8-11.) 41l.'
quittent d'aire inoendiées à leur tour et de
ramager le désastre. Gefle salle et le yestibuie
du premier étage ont eté Lunules
lem mobilter est à peu prée hors d'usage
les plafonds cl, hé paOing-glaats se sont ef-
I o
Le àifelce rEoldre élan usiné par une
' tt Ittforte eacediatie d'agents plu. sous les or-
,,,,tvces tires du eommissanc de police du cinquib-
' morale me arcondissrsoent M. Doué.
Le piquet d'Incendie du 83e d'infanterie
"2 des art, do Iteis en prêtait punsi son connotim.
Resiareprel sur ke lieUs, lm citoyens
Mer Rieux, de Toulouse, 11e' 111111', adjoint
mlfe au maire, et SI. Bose, eemmissaire central;
'mare de mem-
, orporistions
le, c'est-à-dire flierde
r mur l'emeignement
qu'au pneus
oate le journal
Chez les Pêcheurs à à Ligne
r. saints,. g., tale dis yacht 00 Iii iigne
Il ,'rominon. s'en hiner muait' dernier,
manie hiscullei des Lait., rue de Rémusat,
une assistance norubliemie, 51. Jouira,
.11, se pmdigua courte dl/Maude et 1100'
tadiscours dés ecuae qui fut Ires ap-
isea vile on rmue la bonne gestMu de l'ana

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