23 novembre 1927 - Bibliothèque de Toulouse

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MERCREDI 23 NOVEMBRE M. Poinearé. w Vous êleg capable do publier dus insertions pareilles a seule tin de venir les lire lOJi » l'ar 40» voix contre J3i». la demande de suppression, est copôussée et le chu. pure tl crt adopté Au chapiur» 41, dont les crédits sont Consacres à la rémunération MB sa vauis qui travaillent au perfectionna, meut technique de la manne. M. ciiuu. mi > ootien' un rélôvemem de 100.000 tr, Au chapitre 4S t Constructions nava- les par l'industrie). M. Marty, patriote imprévu s'étonne que des commander rev citant a l'industrie française soient donnw» car préférence à des maisons élr ailles Divers amendements communistes «ont repoussés, et l'on aborde enfin le Chapitra 6s et dernier. .M. Cornavin lit "fi long manifeste qui s'adw-se unx mftlgjQtg et constitue tm véritable nr>pel A i révolte l e pré- sident veuf lui retirer la parole ci l'invite a quitter la tribune, soutenu par les appur.id is
-MERCREDI NOVEMBRE se Banquet ^Oaion îes Intérêts économiques l'û un paris, 23 novembre. on son. congres annuel. intérêts économiques a. or- ?n Vnquet qui a eu lieu nier "~ nfft neuies, salie wagram, •T'a vl r, ence oie M. i.rnest minet, Sl»'P'^ c I LUiion et de M. A. de Îe0 résident de la confedèra- lier». fj,.,pes commerciaux et in- (M» France. ieis a» convives étaient présents iz£ 0 ,VIÏ«P salle pavoisée aux cou- •iro" !U ' lion I - -1'''"-If u ne centaine' de parlemen ttrou , oe'-ol, président du conseil ! rie Paris. Le rrocquer, Léon icip néiens ministres; Louis Du- ird, a nr ésident de la commission I »*?c ir«tions; Baiic-r, sénateur, et ii Bé? ir euses personnalités représen- tes grands groupements economi- I* aU asert, S M- Ernest Bilïiet a pro- Notre Amliassadeu i la LES DESéOUS D'UNE NOMINATION Paris, 23 novembre. L'avancement rapide de M de Lurue Caron de Beaumarchais — tel est son nom officiel — surprend un peu les personnes de la carrière . Le nouvel ambassadeur n'est minis- ire plénipotentiaire que depuis six ans et il y a beaucoup moins de temps encore qu'il est ministre de lro classe On reconnaît toutefois que c'est une valeur et. de plus, assez fortement teinte d esprit national, qualité méritoire dans U*' 1 oiiales, convives appartenant un Ouai d'Orsay où triomphe l'esprit li- les régions et parmi lesquels | locarnien. On se demande même car il v a des dessous a ce •oiicé un LE DISCOURS oE fit. ERNEST BILLIET Paris, 23 novembre, nrs du banquet de l'Union des *ttf économiques qui o eu lieu «Thalle Wagram, .M. Ernest Bu- If orononcé un discours. Après SA Vmercié de leur présence tes %f0 S; par.oiïifcntairee. les hommes I :i ' a ui sont autour de lui, M. Er- liet a dit : T V «ou- accusera d'être venus vous ' , a l'ombre du mur d'argent con s'est, onse l'élan du 11 mm présence • votre' présence ici démontre que ' o( redoutez pas oes caioumies, *î((hies ou recte. - passionner le débat, on peu. \ians pdre d'un mot . u tre ei a droite, je me uemaii ,*o quo te-s partis avancés au- m soutenu leur politique, à moiiir 11 ne soit avec des tonus secrets, «les élections de 1028 le recons l-'it o* provoquent son retour au Ht-oir nous verrons se renouveler I mêmes paniquas. » il Ernest Billiet s'est prononcé pour k élections en faveur d une union na- Ëal& élargie, j a fait te procès du communisme, .pour nous, a-t-il dit, c'est une ques y as polie?. Daas notre désir de remettre la piton à l'endroit, a peurcuivi l'ora tt nous proclamons une fois de piu.- j'fécondité de la liberté économique ii tau', encourager tes initiatives ci de- topper les qualité'- de notre race, si ."a veut doubler heureusement le cap la crise économique. 11 y a un pro 'me social ; mais, pour le résoudre, devoir eët d'écarter les surenchères, b Patronat n'est pas hostile au mieux. I : et à la dignité des travailleurs, Huais au. désordre dans le travail. „ M, Ernest Billiet a terminé ainsi : Au gouvernement de dire s'il veut •.tiquer au pays son devoir ; au suf- fc£ universel de montrer qu'il eet à hauteur' des événements. » te nomination comme bien on s en doute, si ce n'est pas en raison de cette qualité, laquelle est pour M friand et ses conseillers un défaut grave, que M de Beaumarchais est in- vité à quitter la direction politique du Quai d'Orsay, qu'il occupait depuis un an à peine. Il reçoit, i! est vrai, un avancement magnifique, mais on l'envoie à un poste des plus difficiles et où l'on prévoit peut-être que. précisément en raison de son caractère, de sa valeur et de son esprit national, il se cassera tes reins Le nouvel ambassadeur est un spécia- liste des questions marocaines. Il s'est distingué par sa souplesse et par sa fermeté au cours des négociations avec 1 Espagne Avant de revenir au Quai d'Orsay, il avait été ministre à Vienne où il s'était, également distingué. Mais il ne connaît pas le poste de Rome, lacune grave parmi tes ambas sadeurs actuels. Il n'y en a que deux qui connaissent ce poste et te personnel politique italien, nous tes avons cités • ce sont MM. de Billy et M Laroche. Bien entendu, ce n'est ni l'un ni l'au- tre . qu'on a choisi. Ce qui fait croire à beaucoup de personnes qu'on a voulu se débarrasser de M. de Beaumarchais c'est que personne encore n'est désigné pour le remplacer aux affaires politi- ques : on se souvient qu'après le départ de M. Laroche. M. Berthelot avait décidé de supprimer cette direction On l'a fait revenir sur cette décision et. moins d'un an après, te nouveau directeur, qui travaillait fort bien et de façon a éclipser te secrétaire général, reçoit un avancement aussi rapide qu'inattendu Certains disent -crue te successeur de M de Beaumarchais serait M. Conty. ambassadeur au Brésil, qui a longue ment résidé a 1 administration centrale et qui connaît particulièrement les habi turtes de M. Berthelot. C'est une façon de dire que M, de Beaumarchais ne connaissait pas ses habitudos ou tes heurtait, et de conflr ruer ainsi les explications que l'on vient de lire. L'AGRÉMENT DU GOUVERNEMENT ITALIEN Paris, 23 novembre. M. Brianci a accepté hier matin la démission de M. René Besnard.' Il a reçu hier soir l'agrément du gouvernement italien fi la nomination de M. de Beaumarchais comme ambassadeur, de France à Borne. La nomination de M. de Beaumar- chais sera signée au conseil des ministres de samedi. la Crise Belge LE NOUVEAU CASINET Bruxelles, -o novembre. Les démocrates chrétiens ayant, 0" cours d'une réunion tenue l'après- midi d'hier, déeicte à l'unanimité de participer au nouveau gouvernement, le futur cabinet serait constitué de la manière suivante : Premier ministre et ministre des Colonies. : M. Jaspar (catliolique). Ministre des Affaires étrangères : M. Paul Hymans (libéral). Ministre do la Défense nationale : M. de Brocqueville (catholique), Ministre des Sciences et des Arts : M. v'auhier (libéral). Ministre de la Justice Emile Janson (libéral). Ministre des Finances : M. Houtart (catholique). Ministre des Chemins de fer Lippens (libéral). Ministre des Travaux publics Paels (catholique). Ministre de l'Industrie et du Tra- vail : M. Hevman (démocrate chré- tien). Ministre de l'Intérieur : M. Carnsy démocrate chrétien). Les arrêtés royaux paraîtraient au- jourd'hui au « Moniteur », pour autant que l'entente soit définitive avec les dômocrate-s chrétiens. Ceux-ci deman- dent, en effet, que la olution de ia question militaire intervienne au plus tôt. Ils insistent pour que la Commission M. Paul- M M la GhaiatoB de ta mixte (parlementaires compétents < officiers supérieurs de l'armée), qt les Convocations des Réservistes Pariî. 22 novembre. U Commission de tannée a examiné * après midi les diffôrtnts rapports fèséstéB par les commissaires sur ia Wï dont se sont effectuées tes con- atioas de réservistes. Elle s'est Wwâèmant attachée a la situation '«rtlUle'faite aux réservâtes, aux 'al- itions à servir à leurs familles et S résultats de l'inst- tiction donnée- 3conclusions des différents rapports -put soumis au minisUo t':e la Guerre 'jte celui-ci puisse procéder aux •Éiiieàtions qui s'imposent. Un Dip f ©mate tae sa femme et se suicide ii,. Paris, 22 novembre, ^domestique de M. Haiold Frebst, K? consul de Suède à Paris, âgé rarh"i Set demeurant avec sa femme, Nil h 1 eutrant dans la chamore tesdé^ dê ses maîtres, hier matin, «ouvrit gisant inanimés sur le lit. Mgr Leynaud rend visite à M. Bordes Paris, 22 novembre. Dès la nouvelle de la nomination de M. Hordes comme gouverneur gênerai de l'Algérie, Mgr Leynaua, archevêque d'Alger, a adresse ses félicitations au chef de la colonie. Dimanche malin, accompagné de Mgr t'hiènard, évêque de Constantine, il s'est rendu auprès de M. Bordes pour lui dire sa joie de voir réaliser le voeu de tous tes Algériens. L'Archevêque a déclaré qu il ne manquerait pas de dire à tout le diocèse combien il se réjouis- sait de cette nomination et de féliciter le gouvernement d'Union nationale d'avoir placé à la tète de la colonie un administrateur aussi éminent. M. te gouverneur général Bordes a été très touché de cette démarche et a remercia l'archevêque d'Alger et l'évô- que ne Constantine de leur délicate at- tention. et supérieurs de l'armée), qui seraient chargés de l'étude de la que tion, ne soit pas une Commission des t-inée à entrer, mais qu'au contraire, elle donne une solution rapide du pro- blème militaire. La droite démocratique est partisan des sir mois en principe, mais elle désire que la couver*ure soit assurée et que la formation des cadres le soit également Elle demande, en Outre, que l'on examine la question du recrutement régional Les conditions que les libéraux met- tent à leur participation au nouveau cabine*, seraient tes suivantes : On ne soulèverait aucune question linguistique ou d'ordre confessionnel et un programme srouvernemental serait nettement établi d'après les jour- naux. I/e programme- qui serait celui du nouveau cabinet comprendrait ; 1° Examen de la question militaire dans un délai très court-, avec renvoi à la Commission mixte, envisagé par M. de Brocqueville. , 2° PoUtictue d'économie. 3° Equilibre du budget. 4° Réduction et simplification de l'impôt. 5° Exécution des grands travaux. Le 25 : moyens, •> ft 3 M ; gros, ,i ft r. fr,, le tout la botté ; tomate», ! à 2 N le KUO. G&Smfô ta Douleur — Diminuez i'EnKufv * N'hésitez pas! Procurez-vous une bouteille de Liniment Sioan MAIN- TENANT. Appliquez-vous-en un petit peu, très légèrement (ne fric- tionnez pas) , il pénètre de lui-même, ' enlève l'inflammation, déconges- tionne les tissus, réduit l'enflure et calme la douleur de suite. 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Au 2° acte, Danse Poioptsiennes, Jeudi en matinée â u h. 15 : Tartule, avec Mme Béatrix Dusanne, et M. Jacques Fenoux, sociétaires de la Comédie-Française. En soirée, â 20 h. 30 : La Tosca et Taglloïiè chez Musette. Vendredi, en soirée de gala, â 20 heures : L" Prince Igor. Samedi en matinée â 16 n. 30 : Recitai José iturbi. En soirée, à 20 b. 30 : Werther et Taglioni chez Mmette. Dimancho, en matinée, â 14 heures 7 Le Prince. Igor. En soirée, à 20 h. 15 : Thaïs. Lundi 28, â ,00 h. 33 : récita! do chant donné avec lo concours de Mme Nina Koehitz. M. Joukovitch, M Ix;or,off, des 50 artistes des chœurs do l'Opéra Russe sous la direction de M. O, Slaviansky d'Agrcneff Mardi 29 novembre, dernière du Prince DAME BERANGERE par Henry BISTER LA HUTTÏÈRE par Alice Pujo Chaque volume, broché. S,GO relie. , 12. » Collection Fitmilia > X'IDEAL DE L'ONCLE CAILLOU -' par CIIAMPOL < A L'HEURE PRESENTE, IL jj N'V A PLUS DE Oir-J-C;t£,MCE «« ENTRE LE RADICALISME ET LE • SOCI. ISME, ET, COMME IL N'Y EN A PAS ENTRE LE SOCIA- LISME ET LE COMMUNISME, ON VOIT OU NOUS ALLONS. » w (Le Journal des Oébats) || Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés
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