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Corrigés ● La grammaire par les exercices 3 e 

PARTIE III La phrase 

8 

Observer et réfléchir 

Les types et les formes 

de phrases 

1 a. ordre (2), information (1), question (4), émotion 

(3). 

b. Oui. 

c. Phrase 5 : voix active ; phrase 6 : voix passive ; phrase 7 : 

COD en tête de phrase, repris par le pronom le. 

Apprendre et s'exercer 

2 1. Que faire en cas d’incendie ? (poser une question ; 

type interrogatif) 

2. Que chacun se sente responsable des autres ! (donner 

un ordre, formuler une exhortation ; type injonctif) 

3. Prendre à droite au carrefour. (conseiller ; type injonctif) 

4. Le musée ferme le mardi. (informer ; type déclaratif) 

5. Ne vous êtes-vous pas trompés ? (poser une question ; 

type interrogatif) 

3 1. Qu’est-ce que tu fais ? ou Est-ce que tu révises ta 

leçon ? 

2. À quelle heure les résultats seront-ils affi chés ? (À 

quelle heure seront affi chés les résultats ?) 

3. Comment vous avez trouvé ce fi lm ? (Vous avez trouvé 

ce fi lm comment ?) 

4. Combien ce livre coûte-t-il ? Combien coûte ce livre ? 

4 1. Indignation ; type déclaratif. 

2. Crainte, défense ; type injonctif. 

3. Admiration ; type interrogatif. 

4. Bonheur ; type déclaratif. 

© BORDAS / SEJER, 2008 

5 1. négative, passive. 

2. emphatique, pronominale. 

3. impersonnelle, passive, négative. 

4. pronominale. 

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Cahier d’exercices page 31 

5. impersonnelle, pronominale, négative. 

6. emphatique, impersonnelle. 

6 1. C’est ce modèle qui plaît le mieux aux adolescents. 

(présentatif) / Ce modèle, c’est celui qui plaît le 

mieux aux adolescents. (détachement et présentatif) / Les 

adolescents, c’est ce modèle qui leur plaît le mieux. (détachement 

et présentatif) 

2. Bruno, lui, a déjà fi ni la course. (détachement) / La 

course, Bruno l’a déjà fi nie. (détachement) / Il y a Bruno 

qui a déjà fi ni la course. (présentatif)… 

3. Il y a quelqu’un qui voudrait vous parler. (détachement) 

4. Leurs parents, eux, les emmènent souvent au cinéma. 

(détachement) / Eux, leurs parents les emmènent souvent 

au cinéma. (détachement) / Au cinéma, leurs parents les y 

emmènent souvent. (détachement)… 

7 1. Ne t’avais-je pas averti ? 

2. Est-il indispensable de lire la notice ? 

3. Que des élections soient organisées. 

4. La porte s’ouvre. 

5. Mes conseils, suis-les ! 

6. Tu te laisses infl uencer. 

8 Le pronom moi est mis en relief par détachement en 

fi n de phrase. Ce procédé, propre à la langue orale, rend 

les paroles prononcées plus vivantes et traduit l’insistance 

du personnage.



9 


La construction 

de la phrase 

1 a. b. c. d. La porte de l’hôtel de l’Amiral s’ouvre . // 

Un homme paraît, / [qui continue à parler un instant 

par l’entrebâillement à des gens restés à l’intérieur]. // 

La tempête le happe, / agite les pans de son manteau, / 

soulève son chapeau melon / [qu’il rattrape à temps] 

et / [qu’il maintient sur sa tête tout en marchant]. 

Apprendre et s’exercer 

2 [Le grondement venait des entrailles de la terre.] / 

[Simm se sentit poussé entre les omoplates.] / [La surface 

de la chaussée remuait comme de l’eau.] / Bic perdit 

pied, / glissa vers l’arrière, / disparut ; / le vieil homme ne 

parvenait pas à se maintenir debout. 

3 a. 8 propositions. 

b. (Les phrases simples non verbales sont en gras.) 

Il est quatre heures du matin. Isidore n’est pas encore rentré 

au lycée. Il n’y rentrera pas avant la fi n de la guerre 

sans merci qu’il a déclarée à Lupin. Cela, il se l’est juré tout 

bas, pendant que ses amis l’emportaient en voiture, tout 

défaillant et meurtri. Serment insensé ! Guerre absurde 

et illogique ! 

4 a. b. [J’allai le chercher, un soir de novembre, dans 

les cuisines d’une brasserie du boulevard de la Madeleine / 

où il arrivait de l’élevage d’un garde-chasse alsacien.] / Je 

le nichai d’abord dans la saignée du bras. / [Bien qu’il eût 

déjà trois mois, / il était si petit / qu’il tint dans la poche 

de mon manteau, / où il s’enfouit.] /Dans l’auto, l’odeur 

du cuir et du métal mêlée à la mienne l’agita. / Il ne savait 

plus où donner de la truffe. 

5 a. La calèche quitta la route, / prit un chemin de traverse, 

/ et s’arrêta devant une porte formée de deux piliers 

de briques blanchies, surmontées d’urnes de terre rouge. 

Une claire-voie peinte en vert servait de fermeture. 

Au-dessus de la haie, trois ou quatre énormes fi guiers étalaient 

par masses compactes leurs larges feuilles d’un vert 

métallique avec une vigueur de végétation tout africaine. 

b. La 1re et la 2e sont juxtaposées (séparées par une virgule), 

la 2e et la 3e sont coordonnées par et. 


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6 a. 1. Le vent se lève, les volets claquent, les arbres se 

courbent. 

2. Elle éclate de rire, puis lui tourne le dos. 

3. Le serpent se faufi la, se glissa dans le fourré, attendit 

quelques instants et se jeta sur sa proie. 

b. complexes. 

7 a. b. c. Je ne veux point [qu’un gendre puisse à ma 

fi lle reprocher ses parents], et [qu’elle ait des enfants [qui 

aient honte de m’appeler leur grand’maman] ]. [S’il fallait 

[qu’elle me vînt visiter en équipage de grande dame], 

et [qu’elle manquât par mégarde à saluer quelqu’un du 

quartier]], on ne manquerait pas aussitôt de dire cent 

sottises. Je ne veux point tous ces caquets et je veux un 

homme, en un mot, [qui m’ait obligation de ma fi lle], et 

[à qui je puisse dire] : « Mettez-vous là, mon gendre, et 

dînez avec moi. » 

d. Propositions reliées : 2 subordonnées conjonctives ; 

2 subordonnées conjonctives ; 1 indépendante et 1 principale 

; 2 indépendantes. 

8 1. Vous aurez des responsabilités [quand (dès que) 

vous aurez de l’expérience]. (conjonctive) 

2. On ignore [quelles seront les conséquences de cette 

pollution]. (interrogative indirecte) 

3. Il reste fi dèle aux idées [pour lesquelles il s’est battu]. 

(relative) 

4. N’emmène que ce [dont tu as besoin]. (relative) 

5. Le public boude ce fi lm [parce qu’il est ennuyeux]. 

(conjonctive) 

6. Explique-moi [pourquoi tu es de mauvaise humeur]. 

(interrogative indirecte) 

7. Ouvre les volets [pour que le soleil entre]. (conjonctive) 

9 1. 2 indépendantes juxtaposées + 1 coordonnée. 

2. 1 principale + 1 subordonnée conjonctive. 

3. 1 principale + 2 subordonnées conjonctives coordonnées. 

4. 1 principale + 2 subordonnées interrogatives indirectes 

coordonnées.


PARTIE III 

La phrase 

10 a. b. (Les indépendantes sont soulignées, la principale 

est en gras, les subordonnées sont en italique.) 

Une âcre odeur chimique se répand dans la salle et 

quelqu’un crie, sur les gradins : « Au feu ! » Un énorme 

cri confus s’éleva, comme une tornade, et je m’entendis 

crier, avec les autres, plus fort que les autres, des paroles 

incohérentes : « Sortez ! Sortez donc ! Plus vite ! Poussez ! 

Poussez ! » Je ne saurais dire, aujourd’hui, combien de 

temps je courus et par quelle rue je passai. 

c. Au feu ! Plus vite ! 


9 La construction de la phrase 

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11 a. Elle est formée de 6 indépendantes juxtaposées, 

dont 5 réduites à un verbe. 

b. Elle permet à l’auteur de traduire l’activité intense du 

personnage et la rapidité de ses mouvements.



ENTRAÎNEMENT AU BREVET 4 

Question type : 

Commenter la construction d’une phrase 

S’entraîner 

1 a. La dernière phrase est une phrase non verbale : c’est 

une phrase nominale composée simplement d’un GN. 

b. Par sa concision, cette phrase met en valeur les deux 

noms qui la composent : odeur et, surtout, misère qui 

termine le texte. Elle résume et condense ce que ressent 

le journaliste : une sensation physique (l’odeur), une 

impression dominante (la misère). 

REMARQUE : Même s’ils n’ont pas lu le texte entier, les élèves 

peuvent deviner que l’objectif de l’auteur est de décrire 

l’impression de misère et d’abandon qui règne dans les 

bidonvilles mexicains. 

2 a. La première partie est composée de deux phrases 

nominales dont les noyaux sont air, rocailles. Cette 

construction met en valeur les GN l’air brûlant, les 

rocailles pointues. 

La deuxième partie est formée de trois phrases très brèves, 

réduites à l’essentiel. Les deux premières ne sont pas 


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reliées entre elles. La deuxième et la troisième sont reliées 

par la conjonction Et, inhabituelle en tête de phrase et, 

donc, mise en valeur. 

b. Cette succession de phrases brèves, souvent incomplètes 

traduit le diffi cile cheminement de l’homme et de sa 

monture, mais aussi sa détermination que rien ne viendra 

entamer. Détermination qui trouve sa justifi cation dans 

le dernier mot du texte : vengeance. 

3 a. Et la guerre, vous l’avez faite ? 

Dites, Finiels, c’est la route ou c’est la guerre que vous préférez 

? 

Ces deux phrases de forme emphatique mettent en relief 

le nom guerre dans la première et les noms route et guerre 

dans la deuxième. Ces deux noms correspondent en effet 

aux deux thèmes traités dans le dialogue. 

b. Cette réplique est une réponse à la question précédente. 

Elle ne reprend pas toute la formulation de la question, 

mais se présente sous la forme d’une phrase nominale.


PARTIE III Les fonctions dans la phrase 

10 


1 a. nous / mon grand-père. 

Le sujet 

et le complément d’agent 

b. habitons s’accorde avec nous / a été construite s’accorde 

avec (La) maison. 


2 1. Aucun des amis que j’invite ne se doute de la surprise 

qui l’attend. – 2. Comprends-tu les explications 

que l’on te donne. – 3. Une vitrine, parmi tant d’autres 

de ces rues animées, attire les regards. – 4. Vous, mes 

fi dèles collaborateurs, êtes mon soutien dans les épreuves 

qui m’accablent. 

3 a. 1. Je vais te révéler un secret, chuchota-t-elle. 

(proposition incise) 

2. Dans quel tiroir avez-vous rangé le dossier ? (phrase 

interrogative) 

3. Leur projet n’a pas abouti, sans doute était-il trop 

ambitieux. (après sans doute) 

4. De chaque cheminée, s’élevait de la fumée. (après un 

complément circonstanciel) 

5. Nous étions bien entraînés, aussi avons-nous remporté 

le match. (après aussi) 

6. Les touristes affl ueront dès que reviendra l’été. (subordonnée 

conjonctive temporelle) 

7. Voici la maison où vécut Victor Hugo. (subordonnée 

relative) 

b. Niveau soutenu. 

4 1. Parmi une centaine de candidatures, la sienne a 

été retenue. (pronom possessif) 

2. Une enveloppe contenant une dizaine de photos fut 

déposée sur le bureau. (GN) 


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3. Observer les oiseaux et leur comportement est la passion 

de Pierre. (groupe infi nitif) 

4. Qui vole un œuf vole un bœuf. (subordonnée relative) 

5. Que chacun respecte scrupuleusement les consignes est 

primordial. (subordonnée conjonctive / pronom indéfi ni) 

5 1. Il est prévu trois séances supplémentaires, en raison 

du succès de la pièce. (En raison du succès de la pièce, 

il est prévu trois séances supplémentaires.) 

2. Il ne sert à rien de courir. 

3. Il est impossible que tu le fasses changer d’avis. 

4. Il ne reste plus rien de ce que fut leur maison. 

6 1. Après la tempête, de nombreux coquillages ont été 

rejetés par la mer. – 2. Ce modèle de téléphone portable 

est apprécié de tous les utilisateurs. – 3. Elle réchauffe ses 

mains engourdies par le froid. – 4. Toutes les informations 

ont été vérifi ées par précaution. – 5. Par qui seronsnous 

attendus à la gare ? – 6. Nous sommes déjà passés 

par cette rue. 

7 1. La décision fut approuvée par chacun. 

2. Par qui la nouvelle lui sera-t-elle annoncée ? 

3. Les photos seront sélectionnées par eux et elles seront 

collées par toi. 

4. Non seulement sa compétence, mais aussi sa gentillesse 

ont été appréciées de tous. 

5. La réponse n’est connue ni de lui ni de moi. 

8 a. Sa voix m’attirait. 

b. La tournure passive met l’accent sur la passivité du 

narrateur (j’) qui subit, comme malgré lui, l’attraction de 

cette voix « irréelle, céleste ». 

9 Les passants étaient attirés par sa voix comme si on 

les tirait en avant.



1 a. ces objets inutiles qui encombrent tes tiroirs (GN) / 

tes tiroirs (GN) / qu’ils ne servent à rien (subordonnée 

conjonctive) / à rien (pronom indéfi ni) / y (pronom personnel) 

/ me (pronom personnel) / un peu de rêve (GN). 

b. Non. 


11 


Les compléments 

d’objet 

2 a. (Les COD sont soulignés, les COI sont en gras, les 

COS sont en italique.) 

1. Claire a décidé elle-même de la décoration de sa 

chambre. Elle nous la montrera quand ce sera terminé. – 

2. Les chouettes chassent la nuit car la lumière les éblouit. 

Leur cri s’appelle un ululement. – 3. Romain a triomphé 

avec facilité de toutes les embûches qu’il rencontrait. – 

4. Nous avons dû renoncer à ce projet, pourtant nous 

y tenions beaucoup. – 5. Il nous a présenté sa fi ancée. – 

6. De partout affl uaient les curieux. 

b. la nuit : complément de lieu ; un ululement : attribut 

du sujet ; les curieux : sujet inversé. 

3 J’ai surpris le chat en train de manger mon goûter. 

Il est impossible de croire à cette histoire absurde. (Depuis 

qu’il nous a menti, nous ne croyons plus en lui.) 

Alice a obtenu de ses parents qu’ils l’inscrivent à un stage 

de tennis. 

Parlez-nous de vos projets. 

4 Changer : Vous n’avez pas changé, vous êtes toujours le 

même. / Je vais changer la moquette de ma chambre. / On 

ne peut pas compter sur Louis : il change toujours d’avis. 


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Manquer : Trois élèves manquent aujourd’hui. / Dépêche-toi, 

tu vas manquer ton train. / Je manque d’idées 

pour fi nir cette rédaction. 

5 1. Te souviens-tu de lui ? (COI) 

2. Le professeur les y a habitués. (COD, COS) 

3. Elle les en a informés. (COD, COS) 

4. On l’/en a dissuadé. (COD, COS) 

6 (Les verbes sont soulignés, les COD sont en gras, le COI 

est en italique.) 

J’ai commencé ma vie comme je la fi nirai sans doute : 

au milieu des livres. […] Je ne savais pas encore lire 

que, déjà, je les révérais, ces pierres levées : droites ou 

penchées, serrées comme des briques sur les rayons de la 

bibliothèque ou noblement espacées en allées de menhirs, 

je sentais que la prospérité de notre famille en 

dépendait. 

7 1. Fred nous a confi é son intention de partir à 

l’étranger. 

2. Léa rêve de monter une troupe théâtrale. 

3. On lui a appris que sa candidature avait été retenue. 

8 a. l’asperge, qui a commencé son ascension de taupe, / 

ni la torche de l’iris violet (GN, COD de arrêtera) ; 

son ascension de taupe (GN, COD de a commencé) ; 

l’oiseau, le lézard, l’insecte (GN, COD de entraîne) ; 

qu’ (pronom relatif, COD de a gorgée) ; 

de grain trempé dans l’eau-de-vie (GN, COS de a gorgée). 

b. croît. 

Cahier d’exercices page 40



12 


L’attribut du sujet 

et du complément d’objet direct 

1 a. GN. Il donne une précision sur le sujet. Il lui 

« attribue » une propriété. 

b. Adjectif. Il donne une précision sur le COD. Il lui 

« attribue » une propriété. 


2 (Les attributs du sujet sont soulignés, les sujets sont en 

gras.) 

Un port est un séjour charmant pour une âme fatiguée des 

luttes de la vie. L’ampleur du ciel, l’architecture mobile 

des nuages, les colorations changeantes de la mer, le 

scintillement des phares sont un prisme merveilleusement 

propre à amuser les yeux sans jamais les lasser. 

3 (Les attributs du sujet sont soulignés, les sujets sont en 

gras.) 

1. Amélie a été jugée apte à passer dans la classe supérieure. 

2. Devant le spectacle qui s’offrait aux yeux, chacun 

demeura muet d’admiration. 

3. Évidemment, ceci est une erreur que je regrette, mais 

l’erreur est humaine ! 

4. Douce est la nuit, silencieuse est la forêt, tout semble 

assoupi. 

5. Êtes-vous satisfaits ? Oui, nous le sommes . 

4 1. Le terrain vague est devenu un centre de loisirs. 

– 2. – Nous sommes rentrés couverts de boue de notre 

excursion. – 3. Ce magasin reste ouvert très tard. – 4. Injustement, 

l’âne passe pour un animal stupide. – 5. Laure est 

partie très contente en Bretagne faire un stage de voile. 

– 6. Vous avez l’air exténués. Oui, nous le sommes. 

5 1. Malgré sa notoriété, il est resté un homme simple. 

2. Ton absence m’a paru une éternité. 


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3. Les passagers restaient sur le pont et regardaient s’éloigner 

la côte. 

4. Mon magazine préféré paraît le mardi. 

5. Ils demeurent dans une minuscule maison. 

6. Les hommes naissent et demeurent libres et égaux en 

droit. 

6 1. Ils sont revenus enchantés de leur voyage. (groupe 

participial) 

2. Mon préféré reste celui-ci. (pronom démonstratif) 

3. Le coupable est qui vous savez. (subordonnée relative) 

4. Le plus important est que tu aies confi ance en toi. 

(subordonnée conjonctive) 

5. Sa plus grande satisfaction reste d’avoir été champion 

de France. (groupe infi nitif / GN) 

7 (Les COD sont soulignés, les attributs du COD sont en 

gras.) 

1. La nouvelle a rendu Chloé folle de joie. (La nouvelle 

l’a rendue folle de joie.) 

2. Elle porte les cheveux relevés au-dessus de la tête. 

(Elle les porte relevés au-dessus de la tête.) 

3. Mon père boit son café très sucré. (Mon père le boit 

très sucré.) 

4. Ils ont appelé leur bébé Noé. (Ils l’ont appelé Noé.) 

5. Je tiens Alex, bien qu’on ait tendance à considérer 

ce garçon comme un être farfelu, pour quelqu’un de 

sérieux. (Je le tiens, bien qu’on ait tendance à le considérer 

comme un être farfelu, pour quelqu’un de sérieux.) 

6. Je trouve indispensable que tout le monde assiste à la 

réunion. (Je le trouve indispensable.) 

8 (Les COD sont en gras, les attributs du COD sont soulignés.) 

1. Laisse la porte ouverte pour que le chat puisse sortir. 

2. Le beau temps rend les gens plus optimistes. 

3. J’imaginais ce château plus imposant. 

4. On a jugé le projet irréalisable et trop onéreux.



13 


Les compléments 

circonstanciels 

1 a. Oui. 

Ils précisent dans quelles circonstances le pétrolier fi t 

naufrage et fut mal localisé. 

b. GN, temps / GN, lieu / GN, accompagnement / GN, 

cause / adverbe, manière. 


2 a. Les journées étaient longues et belles, [en ce 

temps-là], [dans le jardin de la villa Aurore]. Il n’y avait 

rien d’autre d’intéressant [dans la ville], ni les rues, ni les 

collines, ni même la mer, qu’on voyait [au loin], [entre les 

arbres et les palmiers]. [L’hiver], le jardin était sombre et 

dégouttant de pluie […]. 

b. Dans le jardin de la villa Aurore, les journées, en ce 

temps-là, étaient longues et belles. 

3 1. Louis s’entraîne régulièrement pour courir le 

marathon. (adverbe / groupe infi nitif) 

2. Je prendrai mes vacances avec eux. (pronom personnel) 

3. Dès que l’émission fut achevée, les coups de fi l 

affl uèrent. (subordonnée conjonctive) 

4. Une nuit, dans les combles de la maison, un incendie 

se déclara. (GN/ GN) 

5. La tempête menaçant, nous nous hâtons de nous 

mettre à l’abri. (subordonnée participiale) 

6. Il travaille en chantant. (gérondif) 

4 (Les compléments circonstanciels sont soulignés, les 

compléments essentiels sont en gras.) 

1. Comme Étienne est fatigué, il ne travaille plus la nuit. 

– 2. La nuit, dans la forêt, on entend parfois des bruits 

étranges qui viennent des buissons. – 3. Sophie est dans 

sa chambre, elle ne veut pas qu’on la dérange quand elle 


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se repose. – 4. Soudain, le héron prit son envol avec de 

grands battements d’ailes et se dirigea vers le lac. 

5 1. Ils se levèrent au point du jour et commencèrent 

l’escalade. (temps) 

2. Elle est émue au point de ne pouvoir dire un mot. 

(conséquence) 

3. Vous irez voir ce fi lm sans moi. (accompagnement) 

4. Malgré notre insistance, il n’a pas voulu se déguiser, 

par crainte du ridicule. (opposition / cause) 

5. Le soir, Charles regarde la télévision sans cesser de grignoter. 

(temps / manière) 

6. La patineuse glisse sur la glace, avec légèreté, à la 

manière d’un cygne gracieux. (lieu / manière / comparaison) 

7. Si je le pouvais, je construirais moi-même ma maison 

avec des matériaux traditionnels. (condition / moyen) 

8. Du fond de l’horizon accouraient des nuages noirs. 

(lieu) 

6 a. [L’été], [à Kehlstein], les jeunes gens ont l’habitude 

de se retrouver [vers six heures du soir], [autour des 

terrains de tennis [s’il fait beau]], [devant le glacier [s’il 

fait chaud]], mais [au bowling [quand il pleut]]. 

b. Puisqu’il pleut, vers la fi n de l’après-midi je me rends 

au bowling. 

(sub. conjonctive, c. circ. de cause / GN, c. circ. de temps) 

ATTENTION ! Le GN au bowling est un complément essentiel 

de lieu : il ne peut être ni déplacé ni supprimé. Il fait 

partie du groupe verbal. 

7 a. Voici quelques semaines (c. circ. de temps) ; entre 

deux averses (c. circ. de temps) ; sur un trottoir de Paris (c. 

circ. de lieu). 

b. Ils indiquent dans quelles circonstances (date, moment, 

lieu) le narrateur a découvert l’oiseau. Ces compléments 

permettent d’imaginer la scène avec plus de précision.


PARTIE III Les subordonnées 

14 


Les différentes catégories 

de subordonnées 

1 a. Quand tu auras lu le livre que je t’ai prêté, tu me 

diras comment tu l’as trouvé. 

b. Qu’est-ce qui tombe ? La nuit Qui rentre ? ils Qui 

laisse ? Fred Qui prend ? son frère. 

Mode des propositions : 2. participe présent – 3. infi nitif. 


2 1. … que vous répondrez rapidement. (COD de 

espérons) 

2. Quand l’hiver approche, … (c. circ. de temps) 

3. … parce qu’elle s’intéresse aux civilisations disparues. 

(c. circ de cause) 

4. … que tous participent au projet. (attribut du sujet 

L’important). 

3 1. Il faut éviter cette région du globe, parce qu’il y 

sévit des épidémies. (c. circ de cause) 

2. Aussitôt qu’il la vit, il tomba amoureux d’elle. (c. circ. 

de temps) 

3. Que les travaux soient fi nis à temps est primordial. 

(sujet de est) 

4. La maison est très humide, si bien qu’elle est devenue 

inhabitable. (c. circ. de conséquence) 

4 1. Pouvez-vous m’expliquer ce que représente ce 

tableau ? 

2. Je ne comprends pas pourquoi il a renoncé à se présenter 

au concours. 

3. Je me demande si Bastien saurait réparer la fuite 

d’eau. 

4. Dites-moi quelle route il faut prendre. 

5 1. On nous a montré comment on fait une frise sur 

un mur. 

2. Je me demande pourquoi Marc a brusquement quitté 

la réunion. 

3. Indiquez-moi où se trouve le secrétariat. 

4. Les enquêteurs ignorent si le coupable a eu des complices. 


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6 1. Comprendre : a. Ils ont compris qu’on obtenait 

plus par la persuasion que par la force. 

b. Ça y est ! J’ai compris comment fonctionne cet appareil. 

2. Savoir : a. Sais-tu que Marie et Alexis ont eu des 

jumeaux ? 

b. Je ne sais pas quelle solution est la meilleure. 

7 1. Je suis satisfaite du nouvel ordinateur avec lequel 

je travaille. 

2. Ce port est celui d’où sont partis de grands navigateurs. 

3. Nous avons réuni des fonds grâce auxquels nous pourrons 

construire un nouveau local. 

4. Il est un fervent admirateur de cette chanteuse dont il 

possède tous les disques. 

8 1. La jeune femme qui sourit sur cette photo est ma 

grand-mère. (sub. relative, c. de l’antécédent jeune femme) 

2. Le coupable est qui vous savez. (sub. relative, attribut 

du sujet Le coupable) 

3. On ignore qui participera à la fi nale. (sub. interrogative 

indirecte, COD de ignore) 

4. Je voudrais une pièce où je travaillerais au calme. (sub. 

relative, c. de l’antécédent pièce) 

5. Dites-moi où je pourrais joindre Alex. (sub. interrogative 

indirecte, COD de Dites) 

9 1. L’alarme s’étant déclenchée, le magasin fut évacué. 

Comme l’alarme s’était déclenchée (c. circ. de cause) 

2. La fête fi nie, chacun rentra chez soi. 

Quand la fête fut fi nie (c. circ. de temps) 

3. (Arrivé en avance est un groupe participial, épithète 

détachée de il) 

4. Sitôt l’été revenu, les plages se remplissent. 

Dès que l’été revient (c. circ. de temps) 

10 1. Nous regardons les cygnes évoluer sur l’eau. – 

2. Entends-tu gronder l’orage ? – 3. Il aimerait fonder 

une association. – 4. Alice recueille des animaux blessés, 

les soigne et les laisse repartir.– 5. On sent tomber la fraîcheur 

du soir. – 6. J’estime avoir fait mon travail. – 7. Je


PARTIE III Les subordonnées 14 Les différentes catégories de subordonnées 

n’ai pas entendu sonner mon réveil. – 8. Lucie a cru reconnaître 

une ancienne camarade. – 9. Nous ne te laisserons 

pas détruire notre bonne entente. – 10. Ils ont décidé de 

retaper un vieux local pour en faire une salle de réunion. 

11 1. Je me demande pourquoi elle transporte ces énormes 

paquets qui paraissent si lourds. (sub. inter. indirecte, 

COD de me demande / sub. relative, c. de l’antécédent 

paquets) 

2. Il faut apporter des sièges afi n que chacun puisse 

s’asseoir. (sub. conjonctive, c. circ. de but) 

3. J’ignore quand viendront les amis dont je t’ai parlé. 

(sub. inter. indirecte, COD de ignore / sub. relative, c. de 

l’antécédent amis) 


PAGE 28 

4. Ma décision étant prise, il importe maintenant que je 

réussisse dans les études que j’ai choisies. (sub. participiale, 

c. circ de temps ou de cause / sub. conjonctive, sujet 

logique de importe / sub. relative, c. de l’antécédent études) 

5. Depuis que nous habitons ici, nous avons vu le quartier 

se transformer. (sub. conjonctive, c. circ. de temps / sub. 

infi nitive, COD de avons vu) 

12 a. une fois que (quand…, dès que…) le repas fut 

terminé, Man alla chercher ses cartes. 

b. Complément circonstanciel de temps. 

c. Subordonnée participiale : le participe terminé a un 

sujet différent de celui du verbe alla.



15 


1 a. La 1 re . 

Les subordonnées conjonctives 

introduites par que 

b. C’est une subordonnée relative, dont le pronom relatif 

que a pour antécédent château. 

c. COD du verbe disent. 


2 1. Les organisateurs espèrent que les conditions 

météorologiques s’amélioreront.– 2. On a exigé du 

constructeur qu’il respecte les consignes de sécurité. 

– 3. Le professeur a obtenu de ses élèves qu’ils soient 

très attentifs à ses explications. – 4. On annonce que 

les négociations reprendront (vont reprendre). – 5. Les 

3 e ont accepté que les 4 e participent au tournoi de 

volley. 

3 1. Le magasin garantit que tout article pourra être 

échangé ou remboursé. 

2. Nous avons beaucoup apprécié que tu viennes nous 

aider spontanément. 

3. Nous sommes fatigués, je suggère donc que nous fassions 

une petite pause. 

4 1. La seule préoccupation de Romain est qu’on ait 

une bonne opinion de lui. (attribut du sujet La seule préoccupation 

de Romain) 

2. Qu’un inconnu remporte le tournoi a surpris tout le 

monde. (sujet de a surpris) 

3. Elle est contente que tu aies pensé à lui téléphoner. (c. 

de l’adjectif contente) 

4. Grâce à ce plan, il est impossible que tu te perdes. (sujet 

logique de est impossible) 

5. J’aimerais que tu te fasses à cette idée : que je ne suis 

plus un enfant ! (COD de aimerais / apposition à idée) 

5 1. Qu’il y ait de l’orage, avant la nuit, ne serait pas 

étonnant. 

2. Il est surprenant que Léa ne vienne pas. 


PAGE 29 


3. L’essentiel est que tu sois en bonne santé. 

4. Nous sommes certains que ce projet sera retenu. 

5. Il insiste sur ce qui lui tient le plus à cœur : qu’on lui 

laisse plus de liberté. 

6 (Les subordonnées relatives sont soulignées. Les subordonnées 

conjonctives sont en gras. Les noms dont elles sont 

compléments sont en italique.) 

1. J’ai acquis la certitude que ce tableau est un faux. – 

2. L’idée que j’étais malheureux ne les a pas effl eurés. 

– 3. Il a eu une idée que nous avons trouvée excellente. 

– 4. Ce fi lm m’a laissé une impression désagréable que je 

ne parviens pas à effacer. – 5. J’ai l’impression que tu te 

laisses manipuler par ce camarade. 

7 1. Lorsqu’ils virent la maison et qu’ils l’eurent visitée, 

ils décidèrent de l’acheter. (temps) 

2. Approche un peu, qu’on te voie mieux. (but) 

3. Si tu viens et que je ne suis pas chez moi, sonne chez les 

voisins. (condition) 

4. Comme il est passionné par les anciennes civilisations 

et qu’il aime voyager, il a décidé de devenir archéologue. 

(cause) 

5. La nuit était tombée si bien que nous avons erré et que 

nous nous sommes perdus. (conséquence) 

8 1. Notre surprise a été que l’accueil soit si chaleureux. 

(attr. du sujet Notre surprise) 

2. Ne voyez-vous pas que cet enfant est fatigué ? (COD 

de voyez) 

3. Elle compte écrire la suite du roman qu’elle vient de 

publier. (sub. relative c. de l’antécédent roman) 

4. Il est improbable que nous réussissions. (sujet logique 

de est improbable) 

5. Je me demande ce qu’il fera (sub. interr. indirecte) 

6. On a l’espoir qu’ils aient survécu à l’inondation. (c. du 

nom espoir) 

7. Ne marche pas trop vite, qu’on puisse te suivre. (c. de 

but)


PARTIE III 

16 

Les subordonnées 


1 a. Dans la phrase 1. 

Phrase simple : 1 / Phrase complexe : 2. 


interrogatives indirectes 

b. Je voudrais savoir où il court si vite. (COD de savoir) 


2 1. Demande-lui ce qu’il fait. Que fait-il ? Demandele-lui. 

2. Des chercheurs étudient comment est apparu le langage. 

Comment le langage est-il apparu ? Des chercheurs 

l’étudient. 

3. On va bientôt savoir quand le satellite sera mis sur 

orbite. Quand le satellite sera-t-il mis sur orbite ? On va 

bientôt le savoir. 

4. Expliquez-nous pourquoi on décore des sapins à Noël. 

Pourquoi décore-t-on des sapins à Noël ? Expliquez-le-nous. 

5. Nous ignorons qui il est, d’où il vient, ce qu’il est venu 

chercher dans notre région et pourquoi il se tait. Qui 

est-il ? D’où vient-il ? Qu’est-il venu chercher dans notre 

région et pourquoi se tait-il ? Nous l’ignorons. 

3 1. Je me demande pourquoi elle tient tant à rentrer 

tôt. 

2. J’ignore comment me sortir d’affaire. 

3. Je me demande ce qu’ils chuchotent entre eux. 

4. J’ignore à quelle conclusion il est parvenu. 

5. Je me demande si je saurai me montrer convaincant. 

6. J’ignore si les récoltes seront bonnes. 

7. Je me demande lequel est le plus utile de tous ces 

modèles (lequel de tous ces modèles est le plus utile). 


PAGE 30 


4 1. Elle m’a demandé quels étaient mes projets de 

vacances. – 2. Il est diffi cile de dire à combien se chiffrent 

les dégâts. – 3. Pendant plus d’une heure, il nous a 

raconté dans les moindres détails comment il avait remporté 

le match. – 4. Je ne sais pas où aller. – 5. Expliquez-moi 

comment utiliser ce logiciel. 

5 1. a. Ils n’ont pas précisé quand ils arriveraient. 

b. sub. interr. indir., COD. c. adverbe interrogatif. 

2. a. La rue où vous habitez est très calme. 

b. sub. relative, c. de l’antécédent rue. c. pronom relatif. 

3. a. Alice fut accueillie par ses amis quand elle arriva à 

la gare. 

b. sub. conjonctive, c. circ. de temps. c. conj. de subordination. 

4. a. Personne n’a deviné qui était l’auteur du canular. 

b. sub. interr. indir., COD. c. pronom interrogatif. 

5. a. Je ne sais pas où j’ai rangé mes clés. 

b. sub. interr. indir., COD. c. adverbe interrogatif. 

6. a. Ils veulent féliciter celui qui a gagné. 

b. sub. relative, c. de l’antécédent celui. c. pronom relatif. 

6 a. j’ignore où je suis, qui je suis, et ce que je fais. (COD 

de ignore). 

Où suis-je ? Qui suis-je ? Que fais-je ? (Qu’est-ce que je 

fais ?) 

b. Je me demande qui ce peut être, ce qu’il est devenu, où 

il est et où il se cache. Comment imaginer ce que je ferai 

pour le retrouver ? J’ignore où courir, où ne pas courir. 

Dites-moi s’il n’est point là, s’il n’est point ici. Je veux 

savoir qui c’est.



17 



circonstancielles 

1 a. Viens à la chorale avec nous, puisque tu chantes 

juste. / Viens à la chorale avec nous. 

b. La cause. 


2 1. a. Sa candidature n’a pas été retenue, parce qu’il 

manquait (manque) d’expérience. 

b. Parce qu’il manquait (manque) d’expérience, sa 

candidature n’a pas été retenue. / Sa candidature, parce 

qu’il manquait (manque) d’expérience, n’a pas été retenue. 

2. a. S’il pleut, nous dresserons une tente pour abriter 

la table. 

b. Nous dresserons une tente pour abriter la table, s’il 

pleut. / Nous dresserons une tente, s’il pleut, pour abriter 

la table. 

3 1. L’orage a provoqué une panne de courant, si bien 

qu’on ne voit plus rien. (conséquence) 

2. Si j’avais du talent, j’écrirais un roman. (condition) 

3. Adressons-nous à l’hôtesse pour qu’elle nous indique 

où nous devons aller. (but) 

4. Pendant qu’elle téléphonait, le repas a brûlé. (temps) 

5. Le chat déguste son poisson avec délicatesse, ainsi que 

le ferait un gourmet. (comparaison) 

6. Quoiqu’il paraisse vétuste, ce fauteuil est confortable. 

(opposition) 

7. Comme j’étais en avance, j’ai fait un tour dans le quartier. 

(cause) 

8. Cet enfant raisonne comme le ferait un adulte. (comparaison) 

4 1. Il n’ose pas faire de bruit, de peur qu’on s’aperçoive 

de sa présence. (but) 


PAGE 31 


2. Ils ont dû dormir dans leur voiture, vu que tous les 

hôtels étaient complets. (cause) 

3. Les enfants faisaient du vacarme en jouant, au point 

que les voisins se sont plaints. (conséquence) 

4. N’oublie pas de venir me voir, au cas où tu passerais 

dans ma rue. (condition) 

5 a. 1. Comme je m’ennuyais, je suis allé au cinéma. 

– 2. Comme on fait son lit on se couche. – 3. Je l’ai rencontrée, 

comme elle allait à son cours de piano. – 4. Elle 

est devenue passionnée d’égyptologie, alors qu’elle faisait 

une croisière sur le Nil. – 5. J’ai eu une mauvaise note à 

mon contrôle alors que je l’avais bien révisé. 

b. Comparaison : 2 ; cause : 1 ; opposition : 5 ; temps : 

3 et 4. 

6 1. Mon texte ayant été relu soigneusement, il ne 

doit plus rester de fautes. (c. circ. de cause) 

2. Les plaidoiries terminées, les jurés délibérèrent. 

(c. circ. de temps) 

3. Les confl its cessant, la vie reprendrait comme avant. 

(c. circ. de condition) 

7 a. Comme Georges ne savait par où commencer, 

elle se mit à l’interroger comme aurait fait un prêtre au 

confessionnal, posant des questions précises qui lui rappelaient 

des détails oubliés, des personnages rencontrés, 

des fi gures seulement aperçues. 

Quand elle l’eut contraint à parler ainsi pendant un 

quart d’heure, elle l’interrompit tout à coup : 

« Maintenant, nous allons commencer. D’abord, 

nous supposons que vous adressez à un ami vos impressions, 

ce qui vous permet de dire un tas de bêtises, de faire 

des remarques de toute espèce, d’être naturel et drôle, si 

nous pouvons. » 

b. Cause / comparaison / temps / condition. 

c. Georges ne sachant pas où commencer, …



1 a. comme s’ils étaient poursuivis : proposition 

subordonnée complément circonstanciel de comparaison 

(comme) et de condition (si). (Comparaison hypothétique.) 

b. Cette proposition subordonnée donne une explication 

possible de la façon dont les trois garçons regardaient de 

droite à gauche. Ils se conduisaient en effet à la manière 

(comme) des personnes poursuivies qui n’ont pas la 

conscience tranquille. Mais ce n’est qu’une hypothèse (si), 

puisqu’on n’a aucune certitude. 

2 a. comme : parce que, étant donné que, vu que… 

b. Il s’agit de propositions subordonnées conjonctives 

compléments circonstanciels de cause de la phrase. 

3 a. la nichée gavée : quand la nichée était gavée…, 

une fois que la nichée était gavée… 


PAGE 32 




Analyser une phrase complexe ou une subordonnée 

b. Il s’agit d’une proposition subordonnée participiale. 

c. Par sa concision et sa légèreté, la subordonnée participiale 

convient mieux à l’évocation du nid de mésanges, 

plein de mouvements et de couleurs. 

4 - Si vous avez jamais passé la nuit à la belle étoile : proposition 

subordonnée conjonctive, complément circonstanciel 

de condition de la phrase. 

– qu’à l’heure où nous dormons, un monde mystérieux 

s’éveille dans la solitude et le silence : proposition subordonnée 

conjonctive, COD du verbe de la principale 

savez. 

– où nous dormons : proposition subordonnée relative, 

complément de l’antécédent heure.


PARTIE III 

18 


1 a. Le 1er / le 2e . 

b. La 1re / la 2e . 


L’expression des rapports logiques 

Exprimer la cause 

et la conséquence 

2 1. À sa mine réjouie, nous avons compris qu’il avait 

réussi. (GN) 

2. J’ai pu surmonter ces épreuves grâce à toi. (pronom 

personnel) 

3. J’ai pris des risques par amitié pour lui. (GN) 

4. Son chien s’est blessé à la patte en marchant sur une 

épine. (groupe gérondif) 

5. Il travaille en siffl otant. (pas de c. circ. de cause) 

6. Des forages sont effectués pour rechercher du pétrole. 

(pas de c. circ. de cause) 

7. Il a eu une contravention pour avoir dépassé la vitesse 

autorisée. (groupe infi nitif) 

3 1. Il prétend qu’il ne peut pas nous aider sous prétexte 

qu’il a du travail, mais en réalité, c’est parce qu’il 

veut regarder un match de foot. – 2. Qu’il sorte, puisqu’il 

y tient tant ! – 3. Comme tu prétends être un cuisinier 

hors pair, tu vas préparer le repas. – 4. Je ne ferai pas de 

ski cet hiver, non que je n’aime pas ce sport, mais je souffre 

du genou. – 5. Vous ne pourrez pas acheter ce livre, vu 

qu’il n’est pas réédité. 

4 1. Les vacances touchant à leur fi n, les routes sont 

encombrées. 

2. Les secours ayant été rapides, le blessé a été sauvé. 

3. Un arbre étant tombé sur la voie, le trafi c a été interrompu. 

5 (Les c. circ. de cause sont soulignés. Les c. circ. de conséquence 

sont en gras.) 

1. Tu es trop jeune pour arrêter tes études. (groupe infi - 

nitif) 


PAGE 33 


2. Malgré la fatigue et grâce à leurs efforts, les alpinistes 

sont parvenus au sommet. (GN) 

3. J’en riais à perdre la respiration. (groupe infi nitif) 

4. Les cours se sont terminés plus tôt, pour la plus grande 

joie des élèves. (GN) 

5. Elle a réussi son contrôle pour l’avoir bien préparé. 

(groupe infi nitif) 

6 1. Inès s’est fait une entorse, si bien qu’elle a arrêté 

le sport. 

2. Le tigre a été si longtemps chassé qu’il est maintenant 

en voie de disparition. 

3. Ce bateau est trop petit pour que nous y entrions 

tous. 

7 1. (cause) : a. La course est annulée car il y a du 

brouillard. 

b. La course est annulée parce qu’il y a du brouillard. 

2. (conséquence) : a. L’armoire est très lourde, donc nous 

ne pouvons pas la déplacer (nous ne pouvons donc pas 

la déplacer). 

b. L’armoire est si lourde que nous ne pouvons pas la 

déplacer. 

8 (La cause est soulignée. La conséquence est en gras.) 

1. Le ciel est couvert si bien que nous ne verrons pas le 

coucher du soleil. (sub. c. de cause) 

2. Elle adore les animaux au point de recueillir les chats 

errants. (groupe infi nitif, c. de conséquence) 

3. Grâce à sa présence d’esprit, le pire a pu être évité. 

(GN, c. de cause) 

4. En te moquant des gens tu te fais des ennemis. (groupe 

gérondif, c. de cause) 

5. Il a été félicité : il a remporté le concours de poésie du 

collège. (2 indépendantes juxtaposées) 

6. L’épreuve a été annulée, en effet il n’y avait pas assez 

d’inscrits. (2 indépendantes coordonnées)


PARTIE III L’expression des rapports logiques 

19 Exprimer le but 


1 a. que l’on cherche à atteindre. b. GN. 

c. …pour que vous guérissiez rapidement. 

d. subjonctif. 


2 a. 1. Nous sommes trop nombreux pour entrer dans 

l’ascenseur. – 2. Un réparateur va venir pour dépanner 

l’ascenseur. – 3. Alex a été félicité pour avoir trouvé la 

bonne réponse. – 4. Je consulte une encyclopédie pour 

trouver la réponse à une question diffi cile. – 5. Chloé a 

acheté un bonzaï pour sa mère. 

b. 1. C. circ. de conséquence. – 3. C. circ. de cause. – 

5. COS de a acheté. 

3 (Les GN c. circ. de but sont soulignés. Les groupes infi - 

nitifs sont en gras.) 

1. Juliette choisit un foulard pour (afi n de) l’offrir à 

Éva. – 2. Les délégués consultent leurs camarades en 

vue du prochain conseil de classe. – 3. Comme il bégaie, 

il n’ose pas parler de peur (de crainte) des moqueries. 

– 4. Afi n de (pour) croître harmonieusement, cette 

plante a besoin de soleil. – 5. Les pompiers ont veillé 

toute la nuit de crainte (de peur) d’une reprise des incendies. 

4 a. 1. Je descends retrouver mes amis. – 2. Je dois 

retrouver mes amis. – 3. On espère délivrer les otages. 

– 4. Cours prévenir les voisins. – 5. Tous les matins, elle 

sort promener son chien. 

b. On les trouve après des verbes de mouvement. 


PAGE 34 

5 1. Chacun fait des efforts pour que la fête soit réussie. 

– 2. On m’a offert un petit meuble afi n que j’y range mes 

collections. – 3. Ils préfèrent renoncer à l’expédition de 

crainte que les conditions météorologiques ne se détériorent. 

6 (Les subordonnées de conséquence sont soulignées. Les 

subordonnées de but sont en gras.) 

a. et b. 1. Nous avons fait de nombreuses photos, afi n 

que (pour que) chacun se souvienne de l’événement. 

2. La halte sous l’arbre fut très agréable, si bien que (de 

sorte que) les randonneurs eurent du mal à se remettre 

en marche. 

3. Romain justifi e sa décision de partir de crainte qu’elle 

ne soit mal interprétée. 

4. Ce fi lm était trop violent, de sorte qu’(si bien qu’)il a 

connu un succès limité. 

5. Enlève ces débris de verre pour que (afi n que) le chien 

ne se blesse pas. 

c. Conséquence : indicatif ; but : subjonctif. 

7 1. Le navigateur cherche un coéquipier qui l’accompagne 

dans son tour du monde. 

2. Je voudrais posséder un animal qui me fasse fête 

quand je rentre du travail. 

3. Le jeune couple a mis une annonce pour trouver une 

personne qui garde leur bébé. 

4. Cécile aimerait pratiquer un sport qui l’assouplisse. 

8 Manon choisit soigneusement un cadeau a. pour 

l’anniversaire de sa sœur. – b. pour l’offrir à Thomas. – 

c. pour qu’il plaise à son destinataire – d. qui fasse plaisir 

à celui à qui elle le destine.



20 


Exprimer l’opposition 

1 a. Il y a une contradiction, une « opposition », entre 

l’ancienneté de la pendulette et son bon état de marche. 

b. mais. 


2 1. Tout le monde est levé et toi tu dors encore ! – 

2. Les brumes se sont dissipées et le soleil est apparu. – 

3. Quand tu seras prêt, viens nous rejoindre. – 4. Quand 

tu hurlerais, je ne céderais pas. – 5. Si tu t’entraînes, tu 

réussiras cette épreuve. – 6. Même si je m’entraîne, je 

ne réussirai pas cette épreuve. – 7. Max ne tient pas en 

place, tandis que son frère jumeau est plutôt apathique. – 

8. L’orage a éclaté tandis que se déroulait le défi lé. – 9. Au 

lieu de manifester sa joie, elle éclata en sanglots. – 10. Tu 

arrives enfi n, mais c’est trop tard. 

3 1. Sans être une championne, Aline joue très bien au 

tennis. (groupe infi nitif) 

2. Tout le monde a été intéressé par la conférence, excepté 

toi. (pronom) 

3. Tout en étant très occupé, Fred trouve le temps de 

jouer du saxo. (groupe gérondif) 

4. En dépit de quelques critiques, le fi lm a connu un très 

vif succès. (GN) 

5. Loin de te blâmer, je t’approuve. (groupe infi nitif) 

4 1. Il est resté ferme dans sa résolution, malgré les 

avis contraires de ses proches. 

2. Léa n’a pas bougé de chez elle, au lieu de rejoindre ses 

amies à la piscine. 

3. En dépit de quelques contretemps, la fête a été très 

réussie. 

4. On peut pratiquer ce sport, même en ayant des problèmes 

de dos. 

5. Tout le monde a été convoqué, sauf moi. 


PAGE 35 


5 1. Quoiqu’elle paraisse limpide, cette eau est polluée. 

– 2. Quoi qu’on fasse pour Marie, elle n’est jamais 

satisfaite. – 3. Ils ont quitté la salle de réunion sans qu’on 

s’en aperçoive. – 4. Quand bien même on me donnerait 

une voiture de sport, je ne me séparerais pas de ma vieille 

2 CV. – 5. Tout brillant qu’il soit, il n’a pas fait un exposé 

convaincant. – 6. L’hirondelle est un oiseau, tandis que la 

chauve-souris est un mammifère. 

6 1. Il y a du soleil, il pleut ! (indépendantes juxtaposées) 

Il pleut bien qu’il y ait du soleil. 

2. Richissime, il a gardé des goûts simples. (adjectif épithète 

détachée) 

Si riche qu’il soit, il a gardé des goûts simples. 

3. Notre planète est en danger, or certains ne s’en préoccupent 

guère. (indépendantes coordonnées) 

Quoique notre planète soit en danger, certains ne s’en 

préoccupent guère. 

4. Bruno, qui est timide, va faire du théâtre. (relative en 

position détachée) 

Tout timide qu’il soit, Bruno va faire du théâtre. 

7 a. Quoique vous soyez belle, et que vos talents ajoutent 

à votre beauté ; quoiqu’on vous loue du soir au 

matin, et que par toutes ces raisons vous soyez en droit de 

n’avoir pas le sens commun, cependant vous avez l’esprit 

très sage et le goût très fi n. 

L’adverbe cependant souligne l’opposition. 

b. Votre esprit n’emprunte jamais ses agréments des traits 

de la médisance ; vous ne dites de mal, ni n’en faites, malgré 

la prodigieuse facilité que vous y auriez. (GN, c. circ. 

d’opposition) 

Vous ne dites de mal, ni n’en faites, bien que vous y auriez 

une prodigieuse facilité. 

8 a. Un rapport d’opposition. 

b. Bien qu’il eût essayé de se remettre à plaisanter, à 

fanfaronner, le cœur n’y était plus.


PARTIE III 

L’expression des rapports logiques 

21 Exprimer la condition 


1 a. À condition que le volcan se réveille. À condition 

qu’il s’entraîne sérieusement. 

b. Phrase 1 : subordonnée conjonctive introduite par si. 

Phrase 2 : GN. 


2 1. Fred réaliserait un rêve s’il devenait pilote d’avion. 

– 2. Sais-tu si Fred pourra devenir pilote ? – 3. En cas 

d’incendie, empruntez la sortie de secours. – 4. Voyageant 

en avion, nous y serions déjà. – 5. Apercevant une 

vipère, elle partit en courant. 

3 1. Il ne pourra pas construire lui-même sa maison, 

sans l’aide d’un architecte. 

2. Le concert aura lieu dans le gymnase du collège en cas 

d’intempéries. 

3. On ne doit pas tenter cette épreuve, à moins d’être 

parfaitement entraîné. 

4. Tu me ferais vraiment plaisir, en passant me voir cet 

été. 

4 1. Si les circonstances l’exigeaient, nous partirions 

immédiatement. – 2. Si la tempête faiblit, l’expédition 

reprendra la route. – 3. Si tu avais prévenu tes parents 

plus tôt, ils t’auraient laissé venir avec nous. – 4. C’est 


PAGE 36 


toujours pareil, si on lui parle de ses taches de rousseur, 

il se fâche. – 5. Si vous allez camper en Corse, je viendrai 

avec vous (je viens avec vous). – 6. Si je partais vivre sur 

une île déserte, je prendrais mon chat avec moi. – 7. Si 

les pompiers n’étaient pas arrivés si vite, toute la maison 

aurait brûlé. 

5 1. Présent, fait non réalisé (irréel du présent). 

2. Avenir, fait possible mais incertain (potentiel). 

3. Avenir, fait probable. 

4. Passé, fait non réalisé (irréel du passé). 

6 1. a. Au cas où le réchauffement se poursuivrait, la 

sécheresse s’accentuerait. 

b. Le réchauffement se poursuivant, la sécheresse 

s’accentuerait. 

2. a. Nous ferions nos achats, à condition que le magasin 

ouvre demain. 

b. Le magasin ouvrant demain, nous ferions nos achats. 

7 1. Si Papa n’avait pas évité le sanglier qui traversait, 

nous aurions eu un accident. 

2. Si l’appartement avait été plus spacieux, il leur aurait 

convenu. 

3. Si elle m’écoute enfi n, elle comprendra. 

4. Si mes amis ne m’avaient pas aidé, je ne serais pas 

venu à bout de mes diffi cultés.




1 a. S’il n’y avait pas le vacarme de la ville, on pourrait 

entendre la plainte qui coule de sa gorge. 

b. Subordonnée conjonctive, complément circonstanciel 

de condition de la phrase. 

2 a. Je ne me souviens plus comment il s’appelait 

(quel était son nom). 

b. Subordonnée interrogative indirecte, COI (ou COD) 

de me souviens. 

REMARQUE : On peut accepter les deux réponses, puisque 

le verbe se souvenir se construit avec un COI, mais qu’il 

est de construction directe quand il est suivi d’une subordonnée. 


3 a. groupe infi nitif. 

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Remplacer un groupe de mots par une subordonnée 

b. Michel Strogoff savait, parce qu’il l’avait éprouvé déjà, 

ce qu’est un orage dans la montagne. 

c. Subordonnée conjonctive, complément circonstanciel 

de cause de la phrase. 

d. La construction choisie par l’auteur est plus légère que 

la subordonnée conjonctive et respecte le rythme de la 

phrase. La conjonction de subordination parce que, en 

s’ajoutant à ce qu’ aurait alourdi la phrase. 

4 a. niveau soutenu. 

b. Bien qu’il pleuve (plût), il n’y avait pas une tache de 

boue sur ses chaussures bien cirées. 

c. Subordonnée conjonctive, complément circonstanciel 

d’opposition de la phrase.




1 La conjonction de coordination et exprime une relation 

de cause et de conséquence entre les deux premières 

propositions et la troisième. 

2 a. La conjonction de coordination mais exprime 

une idée d’opposition entre les deux propositions indépendantes 

qu’elle coordonne. 

b. Bien que, toute la journée, la banquise gronde, j’arrive 

quand même à dormir. 

3 a. (Conjonction de coordination) Elle ne le voit pas 

car elle n’a d’yeux que pour trois ou quatre vaches qui 

divaguent paisiblement dans le pré. 

(Conjonction de subordination) Elle ne le voit pas parce 

qu’elle n’a d’yeux que pour trois ou quatre vaches qui 

divaguent paisiblement dans le pré. 


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Identifier un rapport logique et l’exprimer différemment 

b. Cette phrase exprime une relation de cause (la 2 e proposition) 

et de conséquence (la 1 re proposition). 

4 Elle était si mate et si rugueuse que, pour copier le 

plus de texte possible dessus, il fallait adopter une écriture 

minimaliste. 

(Elle était mate et rugueuse si bien que, pour copier le 

plus de texte possible dessus, il fallait adopter une écriture 

minimaliste.) 

5 Bien que, derrière la vitre à moitié levée, la nuit se 

fasse plus épaisse, je vois encore un lambeau de brouillard 

qui s’accroche aux branches.

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