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egards - Juillet/Août 2013<br />
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actualités<br />
<strong>Machecoul</strong> a son “manager” de ville<br />
Derrière cette appellation, il faut y voir la mise en place d’une stratégie de développement du commerce<br />
local. Céline Gautier vient d’être recrutée pour assurer cette mission.<br />
Une centenaire à <strong>Machecoul</strong><br />
Couturière de formation, elle arrive de Nantes<br />
à 18 ans et s’installe alors chez une tante<br />
qui tenait le café “de la place” (actuellement “le<br />
Coëlho”). Elle y rencontre Eugène Redois, un jeune<br />
forgeron qui deviendra son mari et le fondateur<br />
des cycles Gitane avec M. Brunelière. La famille<br />
logeait dans une petite maison en briques, rue<br />
de la gare, puis plus tard, dans une maison plus<br />
grande, toujours dans le même quartier, à l’angle<br />
des rues de la gare et Pasteur. Un de ses fils, Joël<br />
Redois, revient sur le long et honorable parcours<br />
de cette femme active et dynamique. “Pendant la<br />
guerre, elle était chargée par la Poste de porter les<br />
Connaissant bien le fonctionnement des collectivités<br />
territoriales (elle a assuré plusieurs<br />
remplacements de cadres en mairie au pied levé),<br />
elle se voit attribuer deux priorités. Premièrement,<br />
soutenir l’union des commerçants machecoulais<br />
dans leur démarche d’animation et d’attraction<br />
commerciale. En parallèle, coordonner les actions<br />
de développement du centre ville en relation avec<br />
les élus et l’association. Des missions qui, dans un<br />
premier temps, requièrent la création d’un répertoire<br />
des commerces, l’analyse des attentes, des<br />
successions et de l’évolution des structures...<br />
Installée provisoirement en mairie, les acteurs<br />
économiques locaux peuvent rencontrer Céline<br />
Gautier sur rendez-vous au 02 40 02 35 50<br />
cgautier@machecoul.fr<br />
Paulette Redois, née Launais, le 26 mai 1913, vient de fêter... ses cent ans entourée de ses quatre<br />
enfants, douze petits et arrière-petits-enfants.<br />
télégrammes et sillonnait toute la commune pour<br />
accomplir cette mission. Une fois, pour la remplacer,<br />
j’ai moi-même porté un télégramme à la<br />
mairie, qui n’était autre que la déclaration officielle<br />
annonçant la fin de la guerre” se remémore-t-il.<br />
“Elle est entrée à la maison de retraite il y a 9 ans,<br />
et s’y plaît bien. Aussi loin que je me souvienne, jamais<br />
je ne l’ai vue malade, même pas un rhume !<br />
Passionnée par le jardinage, elle était très active et<br />
dévouée (elle s’est longtemps occupée de son mari<br />
devenu handicapé) et s’intéresse beaucoup aux<br />
autres.” Peut-être ici, quelques secrets de cette<br />
belle longévité ?<br />
La PFIL se déplace<br />
C’est dans un bureau situé au rez-de-chaussée<br />
du bâtiment de la communauté de communes que<br />
la PLateforme d’Initiative Locale est installée depuis<br />
peu. Cette association créée en 2003 par les<br />
acteurs économiques du territoire a pour but de<br />
favoriser la création ou la reprise d’entreprise artisanale,<br />
commerciale ou de services. Elle apporte<br />
son soutien par l’octroi d’une aide financière (prêt<br />
sans intérêt) au porteur de projet, complétée par<br />
un accompagnement sous forme de parrainage.<br />
Grace aux conseils avisés de ses professionnels,<br />
plusieurs commerces se sont lancés au cours de<br />
ces derniers mois. Quelques exemples concrets :<br />
“le pêcheur du Pays de Retz”, “la balade des couleurs”,<br />
“ma grande cuisine” et “l’armurerie du<br />
Pays de Retz”.<br />
Pierrick Mariot, Yves Avril, Patrick Guihal<br />
et Hélène Charrier au service<br />
des porteurs de projets<br />
Accueil des porteurs de projets tous les jeudis de<br />
8h30 à 12h30 et de 13h30 à 17h30 et sur rendezvous<br />
au 06 73 47 86 67. Communauté de communes<br />
: 02 40 02 32 62.<br />
Un local pour les licenciés<br />
de Cycleurope<br />
Suite à la reprise de l’entreprise Cycleurope par<br />
“la Manufacture française de cycles”, 29 salariés<br />
ont été licenciés. Pour les aider dans leurs<br />
démarches de recherche d’emploi, la mairie a mis<br />
à leur disposition un local, situé à côté du CLIC<br />
Pass’âges, dans les bâtiments de l’ancien hôpital.<br />
Ordinateurs, accès internet et téléphone sont<br />
ainsi à leur disposition.