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dépenses<br />
Budget d’investissement : 4 925 658,43 €<br />
Acquisitions et travaux (72,4%)<br />
reCettes<br />
Subventions (39,8%)<br />
la construction de maisons individuelles et 2 îlots<br />
pour la construction de logements sociaux) pour<br />
en valoriser l’aménagement et limiter le flux de<br />
circulation.<br />
Coût global : 228 297 €<br />
Coût 2013 : 220 695 €<br />
A noter : 160 000 € de recettes sont comblées par<br />
la participation des aménageurs. Le restant sera<br />
perçu au fur et à mesure des constructions.<br />
Le temps des éLus n’est pAs CeLuI<br />
des pArtICuLIers<br />
Ces crédits nouveaux correspondent essentiellement<br />
à l’achèvement des projets lancés ces dernières<br />
années. “Le temps des élus n’est pas celui des<br />
particuliers. Nous sommes contraints à des procé-<br />
Affectation du<br />
résultat 2012 (17,4%)<br />
Autofinancement<br />
(14,6%)<br />
dures obligatoires comme celles de travailler avec<br />
un architecte, mettre en place des appels d’offres<br />
ou encore suivre les règlementations liées à l’accueil<br />
du public” analyse Pierrick Morineau, adjoint<br />
aux finances. “Un programme simple, se réalise<br />
au mieux sur 3 années” explique Jean-Luc Pirot,<br />
responsable du service finances. “Comptez une<br />
première année où l’on inscrit les budgets, travaille<br />
avec l’architecte, organise les concertations, une<br />
deuxième année où sont lancés les travaux et une<br />
troisième année pour achever le chantier.” Et plus<br />
le projet est important, plus les délais s’allongent,<br />
notamment pour la sortie de terre d’un nouveau<br />
quartier...<br />
une pressIon fIsCALe stAbLe<br />
L’équilibre consiste à tenir compte du contexte<br />
de crise et à ménager le contribuable. Le conseil<br />
municipal a donc voté un taux raisonnable à<br />
1%. “Il faut se donner les capacités de sortir de la<br />
crise sans appauvrir la commune, d’où ce choix de<br />
modérer l’augmentation pour ne pas pénaliser la<br />
ville sur ses investissements futurs” affirme Pierrick<br />
Morineau. “La gestion du budget communal<br />
nous permet donc de poursuivre notre programme<br />
d’investissements sans faire appel à de l’impôt supplémentaire.”<br />
À ce jour, seule la raréfaction des<br />
financements de l’Etat, “qui se réduisent comme<br />
une peau de chagrin” précise Jean-Luc Pirot, pourrait<br />
remettre en cause certains projets.<br />
Rembst du capital<br />
de la dette (12,7%)<br />
Charges diverses<br />
(14,9%)<br />
TLE et FCTVA<br />
(11,7%)<br />
Recettes diverses<br />
(8,2%)<br />
Résultat d’investissement 2012<br />
(4,3%)<br />
Emprunts (3,9%)<br />
Quelques chiffres clés<br />
1 3 500 €<br />
c’est la somme dépensée en moyenne<br />
par jour pour les habitants<br />
5 657 091,86 €<br />
budget de fonctionnement<br />
La section de fonctionnement regroupe l’ensemble<br />
des dépenses et des recettes nécessaires<br />
au fonctionnement courant et récurrent<br />
des services communaux. C’est un peu comme<br />
le budget d’une famille : le salaire des parents<br />
d’un côté et toutes les dépenses quotidiennes<br />
de l’autre (alimentation, santé, impôts, loisirs,<br />
remboursement des crédits...).<br />
4 925 658,43 €<br />
budget d’investissement<br />
La section d’investissement est liée aux projets<br />
de la ville à moyen ou long terme. Elle<br />
concerne des actions, dépenses ou recettes, à<br />
caractère exceptionnel. Pour un foyer, l’investissement<br />
a trait à tout ce qui contribue à accroître<br />
le patrimoine familial (achat d’un bien<br />
immobilier et travaux sur ce bien, acquisition<br />
d’un véhicule, héritage...).<br />
regards - Juillet/Août 2013<br />
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