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Annalisa PERISSA (.pdf)

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mathématique ni aucune de celles qui sont basée sur le science mathématiques, il<br />

n’est point de certitude”.<br />

Cette approche prend parfois des accents nettement platoniciens et Leonardo ouvre<br />

son livre de peinture avec la déclaration: “Que nul ne me lise dans mes principes s’il<br />

n’est pas mathématicien”.<br />

De même, la rencontre en 1490 a Pavia avec Francesco di Giorgio Martini, qui avait<br />

délimité les modules des édifices et des éléments architectonique par rapport au<br />

proportion du corps humain, avait été très important pour Leonardo.<br />

En 2010 et en 2011 l’Academie de Brera de Milano à organisée deux journeaux<br />

d’étude et aprofondiment sur les études plus importants. Paola Salvi à trouvée un<br />

confront parfait entre la mesure du corps humain employées par Leonardo fixée par<br />

Leon Battista Alberti entre l’exempeda des Tabulae dimensionum hominis dans son<br />

texte De Statua. La comparaison ne laisse aucun dout sur la connaissance direct et<br />

àpprofondi du teste de l’Alberti par Leonardo, qui a utilisé les mêmes misures dans la<br />

realisation du dessins, qui nous pouvons appeler “Homme Albertiano”.<br />

Un autre étude recent de Franca Manenti Valli à souligné l’importance du Euclide<br />

dans la construction geometrique du dessin, qui nous pouvons appeler “Homme<br />

Euclideo”.<br />

L’année prochaine a Urbino il y aura un Congres sur “ Leonardo et Vitruvio”, où<br />

historiens de l’art et architects parlerons sur le dernières hypothèses enterpretatives<br />

sur les livres de l’antiquitée auxquels Leonardo s’inspire pour la construction de<br />

dessin, que nous pouvons appeler correctement “Ėtude de proportion du corps<br />

humain”.<br />

Leonardo connâit la pensée des grands astronomes et des hommes d’études de la<br />

Renaissance. L’Italie avec ses Universités et ses cours munificentes et éclairées,<br />

représente le carrefour où se rencontrent dans la deuxième moitié du quinzième siècle<br />

les grands esprits de l’époque, pour approfondir l’étude de la cosmologie<br />

géocentrique de l’ « Almageste » de Ptolémée sur les manuscrits grecs arrivés en<br />

Italie après la chute de Constantinople en l’an 1453. En particulier, les philosophes et<br />

les astronomes provenant du nord de l’Europe séjournent à Florence, à Padoue, à<br />

Ferrare et, surtout, à Rome, dans le cercle éclairé du cardinale Nicolas de Cue (1401-<br />

1464). A milieu d’eux Georg von Peuerbach (1423-1461) et Johann Muller<br />

Regiomontanus (1436-1476), dont les ouvrages sont présentes parmi les livres de<br />

Leonardo.<br />

L’artist ne s’intéresse pas en revanche au movement du soleil. Son astronomie est<br />

d’ordre optique; ses observations portent essentiellement sur l’apparence du ciel, des<br />

astres et des ètoiles et sur la diffusion de la lumière d’un corps à l’autre ; il<br />

considérait que le sol de la lune ne pouvait pas être lisse, parce qu’il n’émanait pas<br />

une luminosité spherique homogène comme « les boules dorées posées sur la<br />

sommité des édifices hauts ». Il supposait que cette luminosité non uniforme était le<br />

résultat des reflexions multiples des rayons du soleil sur la surface ridée des eaux de<br />

la lune : « la peau, c’est-à-dire la surface de l’eau dont se compose la mère de la<br />

lune…est toujours ridée ou peu ou beaucoup ou plus ou moins » (Codice Arundel,

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