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CR du 20 mars 2013 - Garges-lès-Gonesse

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EXTRAIT DU REGISTRE DES DELIBERATIONS<br />

COMPTE-RENDU DU CONSEIL MUNICIPAL DU <strong>20</strong> MARS <strong>20</strong>13<br />

L'an deux mille treize, le vingt <strong>mars</strong>, à dix-neuf heures, le conseil municipal de la<br />

commune de <strong>Garges</strong>-<strong>lès</strong>-<strong>Gonesse</strong>, légalement convoqué, s'est assemblé au lieu ordinaire<br />

sous la présidence de Monsieur Maurice LEFEVRE, Maire<br />

Etaient présents : M. Maurice LEFEVRE, Madame Marie-Claude LALLIAUD, Monsieur<br />

Jean PARÉ , M. Gérard BONHOMET, Mme Tutem SAHINDAL-DENIZ, M. Pierre<br />

GALLAND, Melle Yasmina MENANI, M. Pierre MAIZ, M. Daniel LOTAUT, Mme Liliane<br />

GOURMAND, M. Gérard LENAIN, Mme Françoise FAUCHER, Mme Marie-Josée<br />

FILATRIAU, M. Luis LOUREIRO, M. Pierre DUBOIS, Mme Odette TOURDES, Mme<br />

Isabelle MEKEDICHE, Mme Maria MORGADO, Mme Bérard GUNOT, M. Bruno YAKAN,<br />

Mme Gessy VIGILANT, M. Louis FREY, Mme Marie-France BLANCHET, Mme Edelgise<br />

LAPORTE, Mme Georgette MAYER, M. Luis ABRANTES, M. Fabrice LEBEGUE, M. Tahar<br />

BOUZIAD, M. Mohamed KOHILI, M. Rachid BOUHENNA, M. Yvon JACOB, M. Hussein<br />

MOKHTARI, M. Christophe DIEU, Mme Monique BALSTER, M. Jean JULLY, M. Francis<br />

PARNY (arrivé à 19h06), Mme Saudade DOS SANTOS<br />

Etaient représentés :<br />

Mme Marie ALTINDAGOGLU pouvoir à Mme Marie-France BLANCHET<br />

M. Dominique GNASSOUNOU pouvoir à M. Yvon JACOB<br />

Etaient absentes :<br />

Mme Patricia MARIANAYAGAM<br />

Mme Linda LAVOIX<br />

Mme Iman IBRAHIM<br />

Mme Doha KADRI<br />

Monsieur Bruno YAKAN a été désigné comme secrétaire de séance.


Monsieur le Maire : Je propose Monsieur Yakan comme secrétaire de séance. Y-a-t-il des<br />

observations ? Pas de refus. Monsieur Yakan vous êtes secrétaire de séance.<br />

Nous allons passer à l'adoption <strong>du</strong> compte-ren<strong>du</strong> <strong>du</strong> conseil municipal <strong>du</strong> 30 janvier <strong>20</strong>13.<br />

Sachant que nous avons eu un problème d'enregistrement. Ce qui ne sera plus le cas<br />

aujourd'hui puisque ce sera enregistré sur trois supports différents. Néanmoins, on a<br />

demandé à l'ensemble des élus quelles étaient les réponses approximatives qu'ils avaient<br />

pu apporter et on les a incluses dans le compte-ren<strong>du</strong>.<br />

Y-a-t-il des observations ? Pas d'observations ? Qui est contre ? Contre, le groupe<br />

socialiste et société civile, le groupe <strong>Garges</strong> Ensemble, Mme Blanchet, Mme Laporte,<br />

Monsieur Bouziad, Monsieur Lebegue, Madame Mayer, Monsieur Abrantes, Monsieur<br />

Bouhenna et Monsieur Kohili. Merci mes chers collègues.<br />

Point n° 1, c'est Madame Sahindal-Deniz qui rapporte.<br />

OBJET : Convention IFAC - service jeunesse<br />

Vu le code général des collectivités territoriales et notamment son article L.2122-21,<br />

Ouï l'exposé <strong>du</strong> rapporteur, le conseil municipal<br />

- Autorise Monsieur le Maire ou son représentant à signer la convention d’adhésion avec<br />

l'IFAC Val d'Oise.<br />

Monsieur le Maire : Y-a-t-il des observations ? Pas d'observations. On peut passer au<br />

vote, qui est pour cette délibération. À l'unanimité. Merci mes chers collègues.<br />

Notez l'arrivée de Monsieur Parny, s'il vous plait.<br />

Point n° 2, c'est Madame Ménani qui rapporte.<br />

OBJET : Convention de mise à disposition d'un local gratuit<br />

à l'association Charles Péguy - à l'écoute<br />

Vu le code général des collectivités territoriales,<br />

Considérant que cette association est en convention d’appui avec la ville,<br />

Considérant que l’ancien local situé au 47, rue Marcel Bourgogne ne répond plus aux<br />

besoins de cette association,<br />

Ouï l’exposé <strong>du</strong> rapporteur, le conseil municipal, après en avoir délibéré :<br />

Autorise la mise à disposition, à titre gratuit, <strong>du</strong> local situé Place Abbé Herrand à<br />

<strong>Garges</strong>-<strong>lès</strong>-<strong>Gonesse</strong> à l’association Charles Péguy - A l’écoute,<br />

Approuve les termes <strong>du</strong> projet de convention avec l’association Charles Péguy –<br />

A l’écoute,


Autorise Monsieur le Maire ou son représentant à la signer, ainsi que toutes les<br />

pièces s’y rapportant.<br />

Monsieur le Maire : Des observations ? Pas d'observations. On peut passer au vote, qui<br />

est pour cette délibération. À l'unanimité. Merci mes chers collègues.<br />

Point n° 3, c'est toujours Madame Ménani qui rapporte.<br />

OBJET : Lieu d'accueil enfants / parents <strong>du</strong> centre Social Jean Baptiste Corot<br />

Demande d'agrément à la caisse d’allocations familiales (CAF) et<br />

autorisation donnée à Monsieur le Maire de signer la convention<br />

Vu le code général des collectivités territoriales,<br />

Vu la délibération <strong>du</strong> conseil municipal en date <strong>du</strong> 26 septembre <strong>20</strong>12 approuvant le projet<br />

social, dont les principales orientations se tra<strong>du</strong>isent par des actions d'aide et<br />

d'accompagnement des familles et des parents,<br />

Considérant que la caisse d’allocations familiales invite et soutient les centres sociaux à<br />

développer des activités familiales et parentales,<br />

Considérant la nécessité de créer ce lieu d'accueil enfants / parents, permettant ainsi<br />

d'offrir aux familles un espace de parole, de rencontres et d'échanges,<br />

Ouï l’exposé <strong>du</strong> rapporteur, le conseil municipal, après en avoir délibéré<br />

SOLLICITE l'agrément de la caisse d’allocations familiales pour le LAEP <strong>du</strong> centre social<br />

Jean Baptiste Corot,<br />

AUTORISE Monsieur le Maire, à signer la convention d'agrément et de financement à<br />

venir avec la caisse d’allocations familiales<br />

Monsieur le Maire : Des observations ? Pas d'observations. On peut passer au vote, qui<br />

est pour cette délibération. À l'unanimité. Merci mes chers collègues.<br />

Point n° 4, c'est toujours Madame Ménani qui rapporte.<br />

OBJET : Centre social Jean Baptiste Corot<br />

Demande d'adhésion à la Fédération Départementale des Centres Sociaux<br />

<strong>du</strong> Val d'Oise - Autorisation donné le Monsieur le Maire de signer tous les<br />

actes en découlant<br />

Vu le Code général des collectivités territoriales,<br />

Vu les statuts de l'Association « Fédération Départementale des Centres Sociaux et<br />

Socioculturels <strong>du</strong> Val d'Oise »,


Considérant que la Fédération Départementale des Centres Sociaux et Socioculturels <strong>du</strong><br />

Val d’Oise, a pour mission principale de construire et d'animer le réseau départemental<br />

des Centres Sociaux <strong>du</strong> Val d'Oise,<br />

Considérant que le Centre Social Jean Baptiste Corot, en qualité de membre actif à la<br />

Fédération Départementale des Centres Sociaux et Socioculturels <strong>du</strong> Val d'Oise, pourra<br />

bénéficier des nombreuses actions proposées par celle-ci,<br />

Considérant la nécessité pour la structure d'adhérer à la Fédération Départementale des<br />

Centres Sociaux et Socioculturels <strong>du</strong> Val d'Oise »,<br />

Ouï l’exposé <strong>du</strong> rapporteur, le conseil municipal, après en avoir délibéré<br />

APPROUVE l'adhésion <strong>du</strong> centre social Jean Baptiste Jean Baptiste Corot à la<br />

Fédération Départementale des Centres Sociaux et Socioculturels <strong>du</strong> Val d'Oise,<br />

AUTORISE Monsieur Le Maire, ou son représentant, à signer tous les actes en<br />

découlant.<br />

DIT que les crédits nécessaires sont inscrits au budget.<br />

Monsieur le Maire : Pas de questions ? On peut passer au vote qui est pour cette<br />

délibération ? À l’unanimité. Merci mes chers collègues.<br />

Point n° 5, c’est toujours Madame Ménani qui rapporte.<br />

OBJET : Autorisation donnée à Monsieur le Maire de solliciter une subvention<br />

auprès <strong>du</strong> conseil régional d’Ile de France dans le cadre de l'enveloppe « animation<br />

sociale des quartiers - actions contractualisées » pour l'année <strong>20</strong>13<br />

Vu le Code général des collectivités territoriales,<br />

Vu le courrier <strong>du</strong> 13 février <strong>20</strong>13 <strong>du</strong> conseil régional d’Ile de France indiquant la<br />

prolongation <strong>du</strong> dispositif-cadre <strong>CR</strong>71-08 <strong>du</strong> 26 juin <strong>20</strong>08 « Animation sociale des<br />

quartiers – Actions contractualisées »,<br />

Considérant que la ville de <strong>Garges</strong>-<strong>lès</strong>-<strong>Gonesse</strong> comprend des quartiers situés en zone<br />

urbaine sensible et qu'elle est signataire <strong>du</strong> Contrat Urbain de Cohésion Sociale,<br />

Considérant que la ville a bénéficié de ce dispositif depuis <strong>20</strong>08,<br />

Considérant que la ville mènera en <strong>20</strong>13 des actions s’inscrivant dans les thématiques<br />

priorisées par le conseil régional,<br />

Ouï l’exposé <strong>du</strong> rapporteur, le conseil municipal, après en avoir délibéré<br />

AUTORISE Monsieur Le Maire à solliciter auprès <strong>du</strong> conseil régional une subvention au<br />

titre <strong>du</strong> dispositif « Animation sociale des quartiers – Actions contractualisées ».<br />

Monsieur le Maire : Des questions ? Pas de questions. On peut passer au vote. Qui est<br />

pour cette délibération ? À l’unanimité. Merci mes chers collègues.<br />

Point n° 6, c’est toujours Madame Ménani qui rapporte.


OBJET : Autorisation donnée à Monsieur le Maire de solliciter une subvention<br />

auprès <strong>du</strong> conseil régional d’Ile de France dans le cadre de l'enveloppe « animation<br />

sociale des quartiers - actions contractualisées » pour l'année <strong>20</strong>13<br />

Vu le code général des collectivités territoriales,<br />

Vu l’appel à projets <strong>du</strong> conseil régional d’Ile de France « Animation sociale des quartiers :<br />

actions de convivialité »,<br />

Considérant que l’action des centres sociaux municipaux s’inscrit dans des quartiers<br />

relevant de la géographie prioritaire de la politique de la ville,<br />

Considérant que la ville mènera en <strong>20</strong>13, par le biais de ses centres sociaux, des actions<br />

s'inscrivant dans la thématique « actions de convivialité » définie dans le cadre de l’appel<br />

à projets,<br />

Considérant la nécessité de pérenniser les repas de quartiers et les arbres de Noël<br />

permettant d'offrir aux habitants des moments de convivialité et de rencontres,<br />

Ouï l''exposé <strong>du</strong> rapporteur, le conseil municipal, après en avoir délibéré<br />

AUTORISE Monsieur le Maire à solliciter auprès <strong>du</strong> conseil régional d’Ile de France<br />

l’attribution de subventions au titre de l’appel à projet « Animation sociale des quartiers :<br />

actions de convivialité ».<br />

Monsieur le Maire : Des questions ? Pas de questions. On peut passer au vote. Qui est pour cette<br />

délibération ? À l’unanimité. Merci mes chers collègues.<br />

Point n° 7, c’est toujours Madame Ménani qui rapporte.<br />

OBJET : Approbation de la Convention ville-OGIF-APES portant sur des actions de<br />

développement social pour l’année <strong>20</strong>13<br />

Vu le Code général des collectivités territoriales,<br />

Vu le projet de convention portant sur des actions de développement local,<br />

Considérant la volonté de la commune d'accompagner la rénovation urbaine <strong>du</strong> quartier<br />

de Dame Blanche Ouest<br />

Le Conseil Municipal, après en avoir délibéré<br />

Approuve la convention avec l'OGIF et l'APES portant sur des actions de développement<br />

local,<br />

Autorise Monsieur le Maire ou son représentant, à signer la convention et tous les<br />

documents nécessaires à son exécution.<br />

Monsieur le Maire : Des questions ? Pas de questions. On peut passer au vote. Qui est<br />

pour cette délibération ? À l’unanimité. Merci mes chers collègues.<br />

Point n° 8, c’est toujours Madame Ménani qui rapporte.


OBJET : Convention d’appui aux associations Centres é<strong>du</strong>catifs Charles Péquy, Centre<br />

social les Doucettes, Mosaïque, En Marche (<strong>20</strong>12/<strong>20</strong>13/<strong>20</strong>14) -<br />

Avenant n° 1 / <strong>20</strong>13 - Autorisation donnée à Monsieur le Maire de signer les avenants ainsi<br />

que tous les actes en découlant<br />

Vu le Code général des collectivités territoriales,<br />

Vu la délibération <strong>du</strong> Conseil municipal en date <strong>du</strong> 28 <strong>mars</strong> <strong>20</strong>12 autorisant Monsieur le<br />

Maire à signer une convention d'Appui avec les associations Centres é<strong>du</strong>catifs Charles<br />

Péguy, Centre social les Doucettes, Mosaïque et En Marche pour 3 ans (<strong>20</strong>12/<strong>20</strong>13/<strong>20</strong>14),<br />

Considérant que ces associations ont été subventionnées pour l'année <strong>20</strong>12 à hauteur<br />

de :<br />

· Centres é<strong>du</strong>catifs Charles Péguy 5 000 €<br />

· Centre social les Doucettes 32 000 €<br />

· Mosaïque 2 000 €<br />

· En Marche 10 000 €<br />

Considérant les termes de la convention d'appui précisant les modalités selon lesquelles<br />

sont établies les relations entre la ville et l'association concernée :<br />

définition des objectifs de l'association,<br />

précision des axes de travail soutenus par la ville,<br />

dotation financière municipale garantie sur 3 ans,<br />

transmission annuelle par l'association de son rapport d'activité et de son bilan<br />

financier,<br />

· avenant annuel modifiant éventuellement à la hausse ou à la baisse le<br />

montant initialement octroyé,<br />

Considérant que ces associations ont atteint les objectifs des axes de travail définis dans<br />

la convention,<br />

Ouï l’exposé <strong>du</strong> rapporteur, le conseil municipal, après en avoir délibéré<br />

Approuve l'avenant n°1 / <strong>20</strong>13 aux conventions d'appui signées avec les associations<br />

Centres é<strong>du</strong>catifs Charles Péguy, Centre social les Doucettes et Mosaïque,<br />

Décide d'attribuer, dans ce cadre, une subvention aux associations suivantes pour<br />

l 'année<br />

<strong>20</strong>13 :<br />

· Centres é<strong>du</strong>catifs Charles Péguy 5 000 €<br />

· Centre social les Doucettes 32 000 €<br />

· Mosaïque 2 000 €


· En Marche 10 000 €<br />

Autorise Monsieur le Maire, ou son représentant, à signer les avenants n°1 / <strong>20</strong>13 à la<br />

convention d'appui (<strong>20</strong>12/<strong>20</strong>13/<strong>20</strong>14) avec les associations concernées et tout acte en<br />

découlant.<br />

Dit que les crédits nécessaires sont inscrits au budget.<br />

Monsieur le Maire : Des observations ? On peut passer au vote ? Qui est pour cette<br />

délibération ? À l’unanimité. Merci mes chers collègues.<br />

Point n° 9, c’est toujours Madame Ménani qui rapporte.<br />

OBJET : Convention d'appui à l'association A l'Ecoute (<strong>20</strong>11/<strong>20</strong>12/<strong>20</strong>13) -<br />

Avenant n° 2 / <strong>20</strong>13 - Autorisation donnée à Monsieur le Maire de signer l'avenant<br />

ainsi que tous les actes en découlant<br />

Vu le code général des collectivités territoriales,<br />

Vu la délibération <strong>du</strong> conseil municipal en date <strong>du</strong> 30 <strong>mars</strong> <strong>20</strong>11 autorisant Monsieur le<br />

Maire à signer une convention d'appui avec l'association A l'Ecoute pour 3 ans<br />

(<strong>20</strong>11/<strong>20</strong>12/<strong>20</strong>13),<br />

Considérant que cette association a été subventionnée pour l'année <strong>20</strong>12 à hauteur 6 000<br />

€,<br />

Considérant les termes de la convention d'appui précisant les modalités selon lesquelles<br />

sont établies les relations entre la ville et l'association concernée :<br />

définition des objectifs de l'association,<br />

précision des axes de travail soutenus par la ville,<br />

dotation financière municipale garantie sur 3 ans,<br />

transmission annuelle par l'association de son rapport d'activité et de son bilan<br />

financier,<br />

avenant annuel modifiant éventuellement à la hausse ou à la baisse le montant<br />

initialement octroyé.<br />

Considérant que cette association a atteint les objectifs des axes de travail définis dans la<br />

convention,<br />

Ouï l’exposé <strong>du</strong> rapporteur, le conseil municipal, après en avoir délibéré<br />

Approuve l'avenant n°2 / <strong>20</strong>13 à la convention d'appui entre la ville et l'association,<br />

Décide d'attribuer, dans ce cadre, une subvention à l'association suivante pour l 'année<br />

<strong>20</strong>13 :<br />

· A l'écoute - Centres é<strong>du</strong>catifs Charles Péguy : 6 000 €


Autorise Monsieur le Maire, ou son représentant, à signer l'avenant n°2 / <strong>20</strong>13 à la<br />

convention d'appui (<strong>20</strong>11/<strong>20</strong>12/<strong>20</strong>13) avec l'association concernée et tout acte en<br />

découlant.<br />

Dit que les crédits nécessaires sont inscrits au budget.<br />

Monsieur le Maire : Pas d’observations ? Une recon<strong>du</strong>ction. On peut passer au vote, qui<br />

est pour ? À l’unanimité. Merci mes chers collègues.<br />

Point n° 10, c’est toujours Madame Ménani qui rapporte.<br />

OBJET : Intégration dans le dispositif de convention d'appui<br />

de l'association Espoir et création<br />

et autorisation donnée à Monsieur le Maire<br />

de signer la convention ainsi que tous les actes en découlant<br />

Vu le code général des collectivités territoriales,<br />

Vu la délibération <strong>du</strong> Conseil Municipal en date <strong>du</strong> 30 <strong>mars</strong> <strong>20</strong>00 approuvant la création de<br />

conventions d'appui,<br />

Considérant les actions menées par l’association Espoir et création<br />

Considérant le souhait de la ville de <strong>Garges</strong>-<strong>lès</strong>-<strong>Gonesse</strong> de soutenir sur la <strong>du</strong>rée les<br />

actions portées par cette association,<br />

Considérant le projet de convention d'appui établi en conséquence et précisant les<br />

modalités selon lesquelles seront établies les relations entre la ville et l'association<br />

concernée :<br />

· définition des objectifs de l'association,<br />

· précision des axes de travail soutenus par la ville,<br />

· dotation financière municipale garantie sur 3 ans,<br />

· transmission annuelle par l'association de son rapport d'activité et de son<br />

bilan financier,<br />

· avenant annuel modifiant éventuellement à la hausse ou à la baisse le<br />

montant initialement octroyé,<br />

Ouï l’exposé <strong>du</strong> rapporteur, le conseil municipal, après en avoir délibéré<br />

Approuve le projet de « convention d'appui » <strong>20</strong>13/<strong>20</strong>14/<strong>20</strong>15 avec l'association Espoir et<br />

création,<br />

Autorise Monsieur le Maire à signer la convention d'appui avec l'association Espoir et<br />

création et tout acte en découlant<br />

Monsieur le Maire : Des observations ? Pas d’observations, on peut passer au vote. Qui<br />

est pour cette délibération ? À l’unanimité. Merci mes chers collègues.


Point n° 11, c’est toujours Madame Ménani qui rapporte<br />

OBJET : Approbation de la Convention Ville I3F portant sur des actions de<br />

développement social – année <strong>20</strong>13<br />

Vu le projet de convention portant sur des actions de développement local,<br />

Considérant la volonté de la commune d'accompagner la rénovation urbaine des quartiers<br />

des Doucettes, de la Muette et le développement social et urbain de ceux de Dame<br />

Blanche Nord et des Basses Bauves.<br />

Ouï l’exposé <strong>du</strong> rapporteur, le conseil municipal, après en avoir délibéré<br />

APPROUVE la convention avec I3F portant sur des actions de développement local,<br />

AUTORISE Monsieur le Maire, ou son représentant, à signer la convention et tout acte en<br />

découlant.<br />

Monsieur le Maire : C’est une recon<strong>du</strong>ction des autres années. Pas d’observations, on<br />

peut passer au vote ? Qui est pour cette délibération ? À l’unanimité. Merci mes chers<br />

collègues.<br />

Point n° 12, c’est toujours Madame Ménani qui rapporte.<br />

OBJET : Approbation <strong>du</strong> projet social <strong>20</strong>13 à <strong>20</strong>17<br />

<strong>du</strong> centre social et culturel municipal Dulcie September<br />

Vu le Code général des collectivités territoriales,<br />

Vu la convention d'objectifs et de financement de prestation de service « fonction<br />

animation globale et coordination » et « fonction animation collective familles », conclue<br />

avec la caisse d'allocations familiales <strong>du</strong> Val d'Oise,<br />

Vu la délibération <strong>du</strong> conseil municipal en date <strong>du</strong> 25 <strong>mars</strong> <strong>20</strong>10 approuvant le projet<br />

social <strong>du</strong> centre Dulcie September pour la période <strong>20</strong>10 – <strong>20</strong>13,<br />

Considérant l’expiration au 31 <strong>mars</strong> <strong>20</strong>13 <strong>du</strong> projet social <strong>20</strong>10 – <strong>20</strong>13,<br />

Considérant la nécessité de proposer un nouveau projet social s'inscrivant dans la<br />

continuité <strong>du</strong> précédent et développant de nouvelles actions,<br />

Considérant qu'un nouveau document a été élaboré en concertation avec les acteurs <strong>du</strong><br />

quartier, les membres <strong>du</strong> conseil de maison et la caisse d’allocations familiales,<br />

Ouï l'exposé <strong>du</strong> rapporteur, le Conseil Municipal, après avoir délibéré<br />

APPROUVE le nouveau projet social <strong>20</strong>13 – <strong>20</strong>17,<br />

-AUTORISE Monsieur le Maire, ou son représentant légal, à signer les actes découlant de<br />

cette approbation.


Monsieur le Maire : Des questions ? Pas de questions, on peut passer au vote ? Qui est<br />

pour cette délibération ? À l’unanimité. Merci mes chers collègues.<br />

Point n° 13, c’est toujours Madame Ménani qui rapporte.<br />

OBJET : Centres sociaux Dulcie September / Jean Baptiste Corot<br />

Demande d'adhésion à l'association des ludothèques françaises - Autorisation<br />

donnée à Monsieur le Maire de signer tous les actes en découlant<br />

Vu le Code général des collectivités territoriales,<br />

Vu les statuts de l'association des ludothèques françaises,<br />

Considérant que l'association des ludothèques françaises a pour mission principale de<br />

construire et d'animer le réseau départemental des ludothèques <strong>du</strong> Val d'Oise,<br />

Considérant les services proposés aux membres de l’association,<br />

Considérant que les centres sociaux Dulcie September et Jean Baptiste Corot, en<br />

adhérant à l'association des ludothèques Françaises, pourront bénéficier des nombreuses<br />

actions proposées par celle-ci,<br />

Ouï l’exposé <strong>du</strong> rapporteur, le conseil municipal, après en avoir délibéré<br />

APPROUVE l'adhésion des centres sociaux Dulcie September et Jean Baptiste Corot à<br />

l'association des ludothèques Françaises,<br />

AUTORISE Monsieur Le Maire, ou son représentant, à signer tous les actes en<br />

découlant.<br />

DIT que les crédits nécessaires sont inscrits au budget.<br />

Monsieur le Maire : Pas d’observations ? On peut passer au vote, qui est pour cette<br />

délibération ? À l’unanimité. Merci mes chers collègues.<br />

Point n° 14, c'est Madame Tourdes qui rapporte.<br />

OBJET : Nouvelle affectation <strong>du</strong> n° 1 avenue François Mitterrand au périmètre<br />

scolaire <strong>du</strong> groupe Jean de la Fontaine<br />

Vu le Code général des collectivités territoriales,<br />

Vu la loi n° 86-972 <strong>du</strong> 19 août 1986 portant dispositions diverses relatives aux collectivités<br />

locales,<br />

Vu l'article L.2121-30 <strong>du</strong> Code général des collectivités territoriales qui prévoit que la<br />

création et l'implantation des écoles et classes élémentaires et préélémentaires est de la<br />

compétence <strong>du</strong> conseil municipal,


Vu l'article L.212-4 <strong>du</strong> Code de l'é<strong>du</strong>cation qui confie la charge des écoles publiques aux<br />

communes qui est propriétaire des locaux et en assure la construction, la reconstruction,<br />

l'extension,<br />

Considérant la situation géographique proche <strong>du</strong> groupe scolaire Jean de la Fontaine et le<br />

nombre de dérogations issues <strong>du</strong> n° 1 rue François Mitterrand,<br />

Considérant également les places disponibles actuellement dans le groupe Jean de la<br />

Fontaine,<br />

Ouï l'exposé <strong>du</strong> rapporteur, le conseil municipal, après en avoir délibéré<br />

Décide d'affecter le n°1 rue François Mitterrand au secteur <strong>du</strong> groupe scolaire Jean de la<br />

Fontaine,<br />

Précise que cette modification prend effet à compter des inscriptions pour la rentrée<br />

scolaire <strong>20</strong>13/<strong>20</strong>14.<br />

Monsieur le Maire : Monsieur Dieu.<br />

Monsieur Dieu : Merci Monsieur le Maire. Il y a 6 mois à peu près, il y avait eu plusieurs<br />

délibérations de cette nature là sur le changement des affectations des élèves. J’avais cru<br />

comprendre que c’était définitif, mis à part les nouvelles constructions. Donc, là j’entends<br />

bien, c’est pour éviter qu’il y ait de nouveau des demandes de changement d’école. Ça<br />

aurait été peut-être plus simple et plus cohérent de les mettre directement, de les affecter<br />

dans cet établissement scolaire. Et puis, avoir une idée un petit peu des projections sur les<br />

capacités des écoles et c’est la même question pour les délibérations suivantes. Et puis je<br />

profite aussi de cette délibération pour vous interroger, Monsieur le Maire, même si vous<br />

n’êtes pas directement concerné, sur les collèges de la ville. Vous y êtes indirectement,<br />

puisque c’est vous qui conseillez la DASEN, direction académique des services de<br />

l’é<strong>du</strong>cation nationale, sur les groupes scolaires, sur les cartes scolaires en collège. Au<br />

niveau <strong>du</strong> collège Paul Éluard, il y avait eu une trentaine de famille qui avait demandé<br />

justement des dérogations. Les services municipaux s’étaient interrogés sur la carte<br />

scolaire en établissement. Donc, je voulais savoir si vous y avez réfléchi pour cette année<br />

parce que le problème risque d’être exactement le même ?<br />

Monsieur le Maire : Sur ce point, sur la réflexion, je reçois la directrice la semaine<br />

prochaine, je crois. Et je crois, qu’on abordera tous les sujets qui intéressent l’é<strong>du</strong>cation<br />

sur l’ensemble <strong>du</strong> territoire. Mais je ne peux pas vous préciser la démarche telle quelle<br />

sera réalisée, pour l’instant.<br />

Sur les répartitions, c’est vrai que lorsque nous faisons une seule délibértion, c’est mieux,<br />

mais c’est perfectible. Tout est perfectible. Et là, on répond à une demande des habitants.<br />

Et les écoles sur lesquelles les enfants vont être dirigés ont le nombre nécessaire de<br />

classes pour pouvoir les accueillir.<br />

D’autres questions ? On peut passer au vote, qui est pour cette délibération ? Qui est<br />

contre ? Abstention ? Abstentions <strong>du</strong> groupe socialiste et société civile et de <strong>Garges</strong><br />

Ensemble. Merci mes chers collèges.<br />

Point n° 15, c’est toujours Madame Tourdes qui rapporte.


OBJET : Affectation des nouveaux logements <strong>du</strong> programme immobilier Entrée de<br />

Ville Est sur le secteur scolaire <strong>du</strong> groupe Jean Jaurès<br />

Vu le Code général des collectivités territoriales,<br />

Vu la loi n° 86-972 <strong>du</strong> 19 août 1986 portant dispositions diverses relatives aux collectivités<br />

locales,<br />

Vu l'article L.2121-30 <strong>du</strong> Code général des collectivités territoriales qui prévoit que la<br />

création et l'implantation des écoles et classes élémentaires et préélémentaires est de la<br />

compétence <strong>du</strong> conseil municipal,<br />

Vu l'article L.212-4 <strong>du</strong> Code de l'é<strong>du</strong>cation qui confie la charge des écoles publiques aux<br />

communes qui est propriétaire des locaux et en assure la construction, la reconstruction,<br />

l'extension,<br />

Considérant les opérations de construction de nouveaux logements,<br />

Considérant les modifications de voirie intervenues,<br />

Considérant également les places disponibles actuellement dans les écoles élémentaires<br />

et préélémentaires Jean Jaurès,<br />

Ouï l'exposé <strong>du</strong> rapporteur, le conseil municipal, après en avoir délibéré<br />

Décide d'affecter les voies Stéphane Hessel, Ernest Renan et Marguerite Yourcenar et les<br />

logements qui s’y situent au secteur <strong>du</strong> groupe scolaire Jean Jaurès,<br />

Précise que cette modification prend effet à compter des inscriptions pour la rentrée<br />

scolaire <strong>20</strong>13/<strong>20</strong>14.<br />

Monsieur le Maire : Monsieur Dieu.<br />

Monsieur Dieu : Merci Monsieur le Maire. La délibération n’est pas tout à fait la même que<br />

la précédente. Puisque là il s’agit de nouveaux logements. Mme Tourdes indiquait dans la<br />

présentation de la délibération qu’a priori il n’y aurait pas d’évolution sur le nombre<br />

d’élèves dans l’établissement. Sauf que j’ai cru comprendre que le centre scolaire Jean<br />

Jaurès était plus que saturé. Par répercussion, s’il y a de nouveaux entrants, est-ce qu’il y<br />

a d’autres rues qui vont sortir <strong>du</strong> secteur Jean Jaurès et qui seraient éventuellement plus<br />

éloignées ? Et j’en profite, peut-être pour vous redire ce que je vous avais dit il y a<br />

quelques mois, que justement c’est peut-être l’occasion de revoir plus largement le plan<br />

d’ensemble sur la ville. Après, quant à notre vote, il sera le même que précédemment,<br />

puisqu’on a finalement peu d’élément à chaque fois et difficile de vérifier les incidences<br />

réelles sur les écoles.<br />

Monsieur le Maire : Sur le nombre de classes, on est dans la même configuration. Je ne<br />

sais pas si demain ce sera Jean Moulin qui sera sollicité compte-tenu de la proximité. Je<br />

ne peux pas vous répondre maintenant. Mais le nombre de classes et vraiment défini<br />

correctement sans difficulté pour l’instant.


Pas d’autres questions, on peut passer au vote ? Qui est pour cette délibération ?<br />

Contre ? Abstention ? Abstention <strong>du</strong> groupe socialiste et société civile et de <strong>Garges</strong><br />

Ensemble. Merci mes chers collègues.<br />

Point n° 16, c’est toujours Madame Tourdes qui rapporte.<br />

OBJET : Affectation des nouvelles constructions des deux programmes immobiliers<br />

Entrées de Ville Ouest et Nord et <strong>du</strong> programme immobilier Balavoine sur le<br />

secteur <strong>du</strong> groupe scolaire Jean Moulin<br />

Vu le Code général des collectivités territoriales,<br />

Vu la loi n° 86-972 <strong>du</strong> 19 août 1986 portant dispositions diverses relatives aux collectivités<br />

locales,<br />

Vu l'article L.2121-30 <strong>du</strong> Code général des collectivités territoriales qui prévoit que la<br />

création et l'implantation des écoles et classes élémentaires et préélémentaires est de la<br />

compétence <strong>du</strong> conseil municipal,<br />

Vu l'article L.212-4 <strong>du</strong> Code de l'é<strong>du</strong>cation qui confie la charge des écoles publiques aux<br />

communes qui est propriétaire des locaux et en assure la construction, la reconstruction,<br />

l'extension,<br />

Considérant les opérations de construction de nouveaux logements,<br />

Considérant les modifications de voirie intervenues,<br />

Considérant également les places disponibles actuellement dans les écoles élémentaires<br />

et préélémentaires Jean Moulin,<br />

Ouï l'exposé <strong>du</strong> rapporteur, le conseil municipal, après en avoir délibéré<br />

Décide d'affecter les rues Edith Piaf et Daniel Balavoine ainsi que les logements qui s’y<br />

situent au secteur <strong>du</strong> groupe scolaire Jean Moulin,<br />

Décide d’affecter les logements issus <strong>du</strong> programme Infinim « Balavoine » au secteur <strong>du</strong><br />

groupe scolaire Jean Moulin,<br />

Précise que cette modification prend effet à compter des inscriptions pour la rentrée<br />

scolaire <strong>20</strong>13/<strong>20</strong>14.<br />

Monsieur le Maire : Même vote que tout à l’heure ? Abstention <strong>du</strong> groupe socialiste et<br />

société civile et de <strong>Garges</strong> Ensemble. Merci mes chers collègues.<br />

Point n° 17, c’est toujours Madame Tourdes qui rapporte.


OBJET : Versement d'une subvention exceptionnelle au<br />

lycée Simone de Beauvoir pour trois voyages scolaires<br />

Vu le Code général des collectivités territoriales,<br />

Considérant la volonté de la municipalité d'apporter son soutien à cette action de voyage<br />

scolaire favorisant la découverte et l'acquisition de savoir nécessaires à la formation des<br />

collégiens,<br />

Considérant la volonté de la municipalité d'aider et d'encourager la réussite scolaire des<br />

élèves,<br />

Ouï l'exposé <strong>du</strong> rapporteur, le Conseil municipal, après en avoir délibéré<br />

Approuve le versement au lycée Simone de Beauvoir, d'une subvention d'un montant de<br />

1500,00 euros à titre exceptionnel,<br />

Dit que les crédits sont inscrits au budget.<br />

Monsieur le Maire : Pas de questions ? On peut passer au vote, qui est pour cette<br />

délibération ? À l’unanimité. Merci mes chers collègues.<br />

Point n° 18, c’est toujours Madame Tourdes qui rapporte.<br />

OBJET : Versement d'une subvention exceptionnelle au<br />

collège Henri Matisse pour un voyage scolaire<br />

Vu le Code général des collectivités territoriales,<br />

Considérant la volonté de la municipalité d'apporter son soutien à cette action de voyage<br />

scolaire favorisant la découverte et l'acquisition de savoir nécessaires à la formation des<br />

collégiens,<br />

Considérant la volonté de la municipalité d'aider et d'encourager la réussite scolaire des<br />

élèves,<br />

Ouï l'exposé <strong>du</strong> rapporteur, le Conseil municipal, après en avoir délibéré<br />

Approuve le versement au collège Henri Matisse, d'une subvention d'un montant de<br />

1000,00 euros à titre exceptionnel.<br />

Dit que les crédits sont inscrits au budget.<br />

Monsieur le Maire : Des questions ? Pas de questions, on peut passer au vote ? Qui est<br />

pour cette délibération. À l’unanimité. Merci mes chers collègues.<br />

Point n° 19, c’est toujours Madame Tourdes qui rapporte.


OBJET : Versement d'une subvention exceptionnelle au<br />

collège Paul Eluard pour un voyage scolaire<br />

Considérant la volonté de la municipalité d'apporter son soutien à cette action de voyage<br />

scolaire favorisant la découverte et l'acquisition de savoir nécessaires à la formation des<br />

collégiens,<br />

Considérant la volonté de la municipalité d'aider et d'encourager la réussite scolaire des<br />

élèves,<br />

Ouï l'exposé <strong>du</strong> rapporteur, le Conseil municipal, après en avoir délibéré<br />

Approuve le versement au collège Paul Eluard, d'une subvention d'un montant de 1000,00<br />

euros à titre exceptionnel,<br />

Dit que les crédits sont inscrits au budget.<br />

Monsieur le Maire : Pas d’observations ? On peut passer au vote ? Qui est pour cette<br />

délibération ? À l’unanimité. Merci mes chers collègues.<br />

Point n° <strong>20</strong>, c’est Monsieur Galland qui rapporte.<br />

OBJET : Concours de maîtrise d'œuvre - Création de la maison de la santé<br />

et <strong>du</strong> pôle « services à la population » au sein <strong>du</strong> Centre commercial Arc-<br />

En-Ciel à <strong>Garges</strong>-<strong>lès</strong>-<strong>Gonesse</strong> - Précisions sur le versement de primes aux<br />

candidats ayant remis une offre<br />

Vu le Code général des collectivités territoriales,<br />

Vu le Code des marchés publics et plus particulièrement ses articles 22, 24, 70 et 74 ;<br />

Vu la loi n°85/704 <strong>du</strong> 12 juillet 1985 relative à la Maîtrise d'Ouvrage Publique ;<br />

Vu le décret n°93/1269 <strong>du</strong> 29 novembre 1993 relatif aux concours d'architecture et<br />

d'ingénierie organisés par les maîtres d'ouvrage publics ;<br />

Vu la délibération en date <strong>du</strong> 28 <strong>mars</strong> <strong>20</strong>12 intitulée « Concours de maîtrise d’œuvre -<br />

Création de la maison de santé et <strong>du</strong> pôle « services à la population » - Centre<br />

commercial Arc-en-Ciel à <strong>Garges</strong>-<strong>lès</strong>-<strong>Gonesse</strong> - Désignation des membres <strong>du</strong> jury -<br />

Versement de primes aux candidats ayant remis une offre » ;<br />

Considérant que cette délibération a eu pour objet de préciser le montant des primes qui<br />

seront accordées aux candidats qui auront remis un ren<strong>du</strong> niveau Avant Projet Sommaire<br />

pour la création de la maison de la santé et <strong>du</strong> pôle « services à la population » au Centre<br />

commercial Arc en Ciel ;<br />

Considérant qu’une erreur matérielle s’est glissée dans la rédaction de la délibération <strong>du</strong><br />

28 <strong>mars</strong> <strong>20</strong>12 et qu’il faut retenir que le montant des primes qui seront accordées aux<br />

candidats qui auront remis un ren<strong>du</strong> Avant Projet Sommaire pour la création de la maison


de la santé et <strong>du</strong> pôle « service à la population » au Centre commercial Arc en Ciel ne<br />

saurait excéder 25 000,00 euros HT par candidat au lieu de 25 000,00 euros TTC (dans la<br />

limite de 3 candidats) ;<br />

Ouï l'exposé <strong>du</strong> rapporteur, le Conseil municipal<br />

APPROUVE l’indemnisation des candidats qui auront présenté une offre, qui ne saurait<br />

excéder la somme de 25 000,00 € HT par candidat.<br />

DIT que la dépense correspondante sera imputée sur les crédits ouverts au budget pour<br />

cette opération.<br />

Monsieur le Maire : Vous l’aurez compris, c’est une délibération que nous avions déjà<br />

passée et on l’avait mis en HT au lieu de la mettre en TTC.<br />

Des observations ? Pas d’observations ? On peut passer au vote, qui est pour cette<br />

délibération ? Contre ? Abstention ? Abstention <strong>du</strong> groupe socialiste et société civile et <strong>du</strong><br />

groupe <strong>Garges</strong> Ensemble. Merci mes chers collègues.<br />

Point n° 21, c’est toujours Monsieur Galland qui rapporte.<br />

OBJET : Attribution – Appel d’Offres Ouvert<br />

Fourniture et impression d'outils de communication<br />

Vu les articles 33, 57 à 59 et 77 <strong>du</strong> code des marchés publics,<br />

Vu le Code général des collectivités territoriales et notamment son article L.2122-21,<br />

Considérant que suite à un appel d’offres ouvert, la Ville a confié à différents prestataires<br />

la conception et l’impression de ses publications :<br />

- Lot n°1 - marché n°<strong>20</strong>12.031 - Conception et impression de l’hebdomadaire<br />

municipal et son supplément, notifié le 26/03/<strong>20</strong>12 à la SARL CPP, domiciliée 256,<br />

chemin de Valcros à ROGNES (13840), dans les conditions financières suivantes :<br />

o Montant minimum annuel : 90 000,00 € H.T.<br />

o Montant maximum annuel 180 000,00 € H.T.<br />

- Lot n°2 - marché n°<strong>20</strong>12.033 - Conception et impression des plaquettes de<br />

l'espace culturel Lino Ventura et des centres sociaux, notifié le 27/03/<strong>20</strong>12 à la société<br />

RDVA, domiciliée <strong>20</strong>, rue Saint Jacques à MONTMORENCY (95160), dans les<br />

conditions financières suivantes :<br />

o Montant minimum annuel : 10 000,00 € H.T.<br />

o Montant maximum annuel : 25 000,00 € H.T.<br />

- Lot n°3 - marché n°<strong>20</strong>12.032 - Conception et impression des affiches, flyers et<br />

invitations, notifié le 26/03/<strong>20</strong>12 à la SARL CPP, domiciliée 256, chemin de Valcros à<br />

ROGNES (13840), dans les conditions financières suivantes :


o Montant minimum annuel : <strong>20</strong> 000,00 € H.T.<br />

o Montant maximum annuel : 30 000,00 € H.T.<br />

Considérant que ces marchés ont été conclus à bons de commande pour une <strong>du</strong>rée de 1<br />

an, recon<strong>du</strong>ctible 2 fois, par période de 1 an, sans que leur <strong>du</strong>rée maximale ne dépasse 3<br />

ans.<br />

Considérant que les marchés n°<strong>20</strong>12.033 et <strong>20</strong>12.032 n’ont pas été recon<strong>du</strong>its lorsqu’ils<br />

sont arrivés à échéance.<br />

Considérant que pour satisfaire les besoins de la collectivité et favoriser une meilleure<br />

qualité de services ainsi qu’une prise en compte de la démarche environnementale, le<br />

pouvoir adjudicateur a décidé de dissocier les prestations de conception et d’impression.<br />

Considérant que dans ces conditions, une mise en concurrence a été lancée pour<br />

l’attribution <strong>du</strong> marché de fourniture et d’impression d’outils de communication.<br />

Considérant que la consultation porte sur un lot unique.<br />

Considérant que le contrat mis en concurrence est un marché à bons de commande avec<br />

minimum et maximum définis, conformément à l'article 77 <strong>du</strong> code des marchés publics;<br />

Considérant que les prestations faisant l'objet de ce marché seront susceptibles de varier<br />

dans les limites suivantes :<br />

Montant minimum annuel : 50 000,00 € H.T.<br />

Montant maximum annuel: 90 000,00 € H.T.<br />

Considérant que le marché est passé pour une période de 1 an et qu’il est recon<strong>du</strong>ctible 2<br />

fois, par période de 1 an, pour une <strong>du</strong>rée maximale de 3 ans.<br />

Considérant que sur cette base et conformément au décret n°<strong>20</strong>06-975 <strong>du</strong> 1er août <strong>20</strong>06<br />

portant code des marchés publics, et notamment de ses articles 33, 57 à 59 et 77, une<br />

procé<strong>du</strong>re d'appel d'offres ouvert a été lancée.<br />

Considérant qu'un avis d’appel public à la concurrence a fait l’objet d’un envoi au<br />

supplément <strong>du</strong> journal officiel de l’union européenne et au bulletin officiel des annonces de<br />

marchés publics le 31 décembre <strong>20</strong>12 ; que cette annonce a fait l'objet d'une parution sur<br />

le profil acheteur de la commune ; que le dossier de consultation des entreprises a par<br />

ailleurs été mis à la disposition des candidats sur la plateforme de dématérialisation.<br />

Considérant que la date limite de remise des plis était fixée au 11 février <strong>20</strong>13.<br />

Considérant qu’en raison d’une intervention de maintenance, non prévue et de longue<br />

<strong>du</strong>rée, de la plateforme de dématérialisation fournie par la société APCFC et rendant les<br />

services de ce support inaccessibles, le pouvoir adjudicateur n’a pas été en mesure de<br />

déterminer, à la date initialement prévue pour l’ouverture des candidatures, si des plis<br />

dématérialisés avaient été remis par des soumissionnaires.<br />

Considérant que cette opération de maintenance rendait également le service inaccessible<br />

aux entreprises et rendait le dépôt d’une offre dématérialisée impossible.


Considérant que dans ces circonstances, un avis rectificatif a fait l'objet d'un envoi aux<br />

mêmes supports le 14 février <strong>20</strong>13 afin de repousser la date limite de remise des<br />

propositions.<br />

Considérant que la date limite de remise des offres était fixée au 18 février <strong>20</strong>13.<br />

Considérant que lors de sa réunion en date <strong>du</strong> 19 février <strong>20</strong>13, la commission d'appel<br />

d'offres prenait connaissance des candidatures et procédait à leur ouverture;<br />

Considérant que 6 candidats ont déposé une offre avant la date limite mentionnée cidessus<br />

:<br />

- IMPRIMERIE ARTESIENNE (62800)<br />

- SIRA IMPRIMEUR (95150)<br />

- IMPRIMERIE LNI SAS (92635)<br />

- JPA IMPRIMEURS SA (95190)<br />

- SAS LE REVEIL DE LA MARNE (51<strong>20</strong>4)<br />

- SARL CPP (13840)<br />

Considérant que, lors de sa réunion en date <strong>du</strong> 12 <strong>mars</strong> <strong>20</strong>13, la commission d'appel<br />

d'offres a choisi l'offre économiquement la plus avantageuse conformément aux critères<br />

énoncés dans le Règlement de Consultation et a proposé d'attribuer le marché à la société<br />

SAS LE REVEIL DE LA MARNE domicilié 4, rue Henri Dunant à EPERNAY (51<strong>20</strong>4)<br />

suivant le bordereau de prix<br />

Ouï l'exposé <strong>du</strong> rapporteur, le conseil municipal, après en avoir délibéré<br />

- Approuve la procé<strong>du</strong>re d'appel d'offres ouvert<br />

- Autorise Monsieur le Maire ou son représentant à signer le marché attribué à la société<br />

SAS LE REVEIL DE LA MARNE domicilié 4, rue Henri Dunant à EPERNAY (51<strong>20</strong>4)<br />

suivant le bordereau de prix ;<br />

- Autorise Monsieur le Maire ou son représentant à signer le(s) avenant(s) <strong>du</strong> marché dès<br />

lors que l'augmentation in<strong>du</strong>ite par cet ou ces avenant(s) n'excède pas 5% <strong>du</strong> marché<br />

initial,<br />

- Dit que les crédits nécessaires sont inscrits au budget.<br />

Monsieur le Maire : Des observations ? Monsieur Mokhtari.<br />

Monsieur Mokhtari : Vous comprendrez que cette délibération on votera contre. On a<br />

dénoncé lors <strong>du</strong> vote <strong>du</strong> budget l’augmentation de plus de 11% <strong>du</strong> budget de la<br />

communication. Et on voit là, les premières délibérations qui tra<strong>du</strong>isent ces<br />

augmentations. Donc, ne vous étonnez pas qu’on vote contre cette délibération.<br />

Monsieur le Maire : Très bien. Monsieur Parny.


Monsieur Parny : Oui, on votera également contre. On n’est pas dans l’opposition résultant<br />

de l’appel d’offres, ça va s’en dire. Mais pour la même raison que nos collègues, on<br />

considère qu’il y a beaucoup de communication. D’ailleurs, je profite de cette délibération<br />

pour vous poser une question. L’opposition a une tribune régulière dans une publication de<br />

la ville. Mais il me semble que légalement dans toute publication régulière de la ville, nous<br />

devrions avoir un droit d’expression. Donc, je vous demande de regarder les textes pour<br />

voir si nous ne pourrions pas avoir une tribune de libre expression dans <strong>Garges</strong> l’Hebdo<br />

qui maintenant sort de façon très régulière.<br />

Monsieur le Maire : Je ferai regarder ça par mon service juridique.<br />

D’autres observations ? Pas d’autres observations. On peut passer au vote. Qui est pour<br />

la délibération ? Contre ? Contre, le groupe socialiste et société civile, le groupe <strong>Garges</strong><br />

Ensemble, Monsieur Kohili et Monsieur Bouhenna. Abstention ? Abstention, Madame<br />

Blanchet, Madame Laporte, Monsieur Bouziad, Monsieur Lebegue, Monsieur Abrantes et<br />

Madame Mayer. Merci mes chers collègues.<br />

Point n° 22, c’est toujours Monsieur Galland qui rapporte.<br />

OBJET : Attribution – Appel d’Offres Ouvert<br />

Accord-Cadre - Réalisation de travaux de publication assistée par ordinateur (PAO)<br />

Vu les articles 33, 57 à 59 et 76 <strong>du</strong> code des marchés publics,<br />

Vu le Code général des collectivités territoriales et notamment son article L.2122-21,<br />

Considérant que suite à un appel d’offres ouvert, la Ville a confié à différents prestataires<br />

la conception et l’impression de ses publications :<br />

- Lot n°1 - marché n°<strong>20</strong>12.031 - Conception et impression de l’hebdomadaire<br />

municipal et son supplément, notifié le 26/03/<strong>20</strong>12 à la SARL CPP, domiciliée 256,<br />

chemin de Valcros à ROGNES (13840), dans les conditions financières suivantes :<br />

o Montant minimum annuel : 90 000,00 € H.T.<br />

o Montant maximum annuel 180 000,00 € H.T.<br />

- Lot n°2 - marché n°<strong>20</strong>12.033 - Conception et impression des plaquettes de<br />

l'espace culturel Lino Ventura et des centres sociaux, notifié le 27/03/<strong>20</strong>12 à la société<br />

RDVA, domiciliée <strong>20</strong>, rue Saint Jacques à MONTMORENCY (95160), dans les<br />

conditions financières suivantes :<br />

o Montant minimum annuel : 10 000,00 € H.T.<br />

o Montant maximum annuel : 25 000,00 € H.T.<br />

- Lot n°3 - marché n°<strong>20</strong>12.032 - Conception et impression des affiches, flyers et<br />

invitations, notifié le 26/03/<strong>20</strong>12 à la SARL CPP, domiciliée 256, chemin de Valcros à<br />

ROGNES (13840), dans les conditions financières suivantes :<br />

o Montant minimum annuel : <strong>20</strong> 000,00 € H.T.


o Montant maximum annuel : 30 000,00 € H.T.<br />

Considérant que ces marchés ont été conclus à bons de commande pour une <strong>du</strong>rée de 1<br />

an, recon<strong>du</strong>ctible 2 fois, par période de 1 an, sans que leur <strong>du</strong>rée maximale ne dépasse 3<br />

ans.<br />

Considérant que les marchés n°<strong>20</strong>12.033 et <strong>20</strong>12.032 n’ont pas été recon<strong>du</strong>its lorsqu’ils<br />

sont arrivés à échéance.<br />

Considérant que pour satisfaire les besoins de la collectivité et favoriser une meilleure<br />

qualité de services ainsi qu’une prise en compte de la démarche environnementale, le<br />

pouvoir adjudicateur a décidé de dissocier les prestations de conception et d’impression.<br />

Considérant que s’agissant de la réalisation de travaux de publication assistée par<br />

ordinateur, le pouvoir adjudicateur a fait le choix de recourir à un accord-cadre.<br />

Considérant que la consultation porte sur un lot unique.<br />

Considérant que les prestations faisant l'objet de cet accord-cadre seront susceptibles de<br />

varier dans les limites suivantes :<br />

Montant minimum annuel : 45 000,00 € H.T.<br />

Montant maximum annuel: 80 000,00 € H.T.<br />

Considérant que l'accord-cadre est passé pour une période de 1 an et qu’il est<br />

recon<strong>du</strong>ctible 2 fois, par période de 1 an, pour une <strong>du</strong>rée maximale de 3 ans.<br />

Considérant que sur cette base et conformément au décret n°<strong>20</strong>06-975 <strong>du</strong> 1er août <strong>20</strong>06<br />

portant code des marchés publics, et notamment de ses articles 33, 57 à 59 et 76, une<br />

procé<strong>du</strong>re d'appel d'offres ouvert a été lancée.<br />

Considérant qu'un avis d’appel public à la concurrence a fait l’objet d’un envoi au<br />

supplément <strong>du</strong> journal officiel de l’union européenne et au bulletin officiel des annonces de<br />

marchés publics le 31 décembre <strong>20</strong>12 ; que cette annonce a fait l'objet d'une parution sur<br />

le profil acheteur de la commune ; que le dossier de consultation des entreprises a par<br />

ailleurs été mis à la disposition des candidats sur la plateforme de dématérialisation.<br />

Considérant que la date limite de remise des plis était fixée au 11 février <strong>20</strong>13.<br />

Considérant qu’en raison d’une intervention de maintenance, non prévue et de longue<br />

<strong>du</strong>rée, de la plateforme de dématérialisation fournie par la société APCFC et rendant les<br />

services de ce support inaccessibles, le pouvoir adjudicateur n’a pas été en mesure de<br />

déterminer, à la date initialement prévue pour l’ouverture des candidatures, si des plis<br />

dématérialisés avaient été remis par des soumissionnaires.<br />

Considérant que cette opération de maintenance rendait également le service inaccessible<br />

aux entreprises et rendait le dépôt d’une offre dématérialisée impossible.<br />

Considérant que dans ces circonstances, un avis rectificatif a fait l'objet d'un envoi aux<br />

mêmes supports le 14 février <strong>20</strong>13 afin de repousser la date limite de remise des<br />

propositions.<br />

Considérant que la date limite de remise des offres était fixée au 18 février<br />

<strong>20</strong>13.CONSIDERANT que lors de sa réunion en date <strong>du</strong> 19 février <strong>20</strong>13, la commission<br />

d'appel d'offres prenait connaissance des candidatures et procédait à leur ouverture;


Considérant que 6 candidats ont déposé une offre avant la date limite mentionnée cidessus<br />

:<br />

- LE MASURIER – MALEKI (94430)<br />

- AGENCE KHARACTER(952<strong>20</strong>)<br />

- RDVA (95160)<br />

- <strong>CR</strong>EATIV'LINK (75018)<br />

- SARL CPP (13840)<br />

- PATRICK WOLF (75007)<br />

Considérant que la Commission d’appel d’offres a déclaré la proposition de la société<br />

<strong>CR</strong>EATIV’LINK irrégulière dans la mesure où l’offre était incomplète en ce qu’elle ne<br />

comprenait aucun des échantillons exigés par le règlement de la consultation ; que cette<br />

offre a été par conséquent écartée.<br />

Considérant que, lors de sa réunion en date <strong>du</strong> 12 <strong>mars</strong> <strong>20</strong>13, la commission d'appel<br />

d'offres a choisi les offres économiquement les plus avantageuses conformément aux<br />

critères énoncés dans le Règlement de Consultation et a attribué l’accord-cadre aux<br />

soumissionnaires suivants :<br />

- SARL CPP domicilié 256, route de Valcros à ROGNES(13840)<br />

- RDVA domicilié <strong>20</strong> rue Saint Jacques à MONTMORENCY (95160)<br />

- AGENCE KHARACTER domiciliée 44, rue <strong>du</strong> Général de Gaulle à<br />

HERBLAY (952<strong>20</strong>)<br />

Ouï l'exposé <strong>du</strong> rapporteur, le conseil municipal, après en avoir délibéré<br />

- Approuve la procé<strong>du</strong>re d'appel d'offres ouvert<br />

- Autorise Monsieur le Maire ou son représentant à signer l’accord-cadre avec les<br />

soumissionnaires suivants :<br />

- SARL CPP domicilié 256, route de Valcros à ROGNES(13840)<br />

- RDVA domicilié <strong>20</strong> rue Saint Jacques à MONTMORENCY (95160)<br />

- AGENCE KHARACTER domiciliée 44, rue <strong>du</strong> Général de Gaulle à<br />

HERBLAY (952<strong>20</strong>)<br />

- Autorise Monsieur le Maire ou son représentant à signer le(s) avenant(s) de l’accordcadre<br />

dès lors que l'augmentation in<strong>du</strong>ite par cet ou ces avenant(s) n'excède pas 5% de<br />

l’accord-cadre initial,<br />

- Dit que les crédits nécessaires sont inscrits au budget.<br />

Monsieur le Maire : Des observations ? Même vote que tout à l’heure ? À l’identique.<br />

Contre, le groupe socialiste et société civile, le groupe <strong>Garges</strong> Ensemble, Monsieur Kohili<br />

et Monsieur Bouhenna. Abstention ? Abstentions, Madame Blanchet, Madame Laporte,


Monsieur Bouziad, Monsieur Lebegue, Monsieur Abrantes et Madame Mayer. Merci mes<br />

chers collègues.<br />

Point n° 23, il n’y a pas de vote, c’est Monsieur Yakan qui rapporte.<br />

OBJET : Rapport annuel de l'exploitation des marchés<br />

publics d'approvisionnement pour l'année <strong>20</strong>11<br />

Sur proposition <strong>du</strong> Maire et présentation <strong>du</strong> rapport de Monsieur YAKAN, conseiller<br />

municipal délégué :<br />

Vu la loi n°<strong>20</strong>02-276 <strong>du</strong> 27 février <strong>20</strong>02 relative à la démocratie de proximité renforçant le<br />

rôle des commissions consultatives des services publics locaux qui sont compétents pour<br />

l'ensemble des services publics confiés par les collectivités et établissements à un tiers<br />

par convention de délégation de service public ou qu'ils exploitent en régie dotée de<br />

l'autonomie financière ;<br />

Considérant que conformément aux dispositions de l'article L 1411-3 <strong>du</strong> CGCT, le<br />

délégataire pro<strong>du</strong>it chaque année avant le 1er juin à l'autorité délégante un rapport ;<br />

Considérant que l'ensemble des services concernés par cette réglementation a fait l'objet<br />

d'une présentation à la Commission Consultative des Services Publics Locaux qui s'est<br />

réunie le 7/14 janvier <strong>20</strong>13.<br />

Vu le rapport d'activité <strong>du</strong> délégataire annuel établi par la société GERAUD & ASSOCIES<br />

au titre de l'exploitation des marchés publics d'approvisionnement.<br />

Vu l'avis de la commission consultative des services publics locaux en date <strong>du</strong>7/14 janvier<br />

<strong>20</strong>13.<br />

Considérant la présentation faite en commission ;<br />

Après en avoir délibéré,<br />

PREND ACTE de la présentation <strong>du</strong> rapport d'activité <strong>du</strong> délégataire annuel <strong>20</strong>11<br />

d'exploitation des marchés publics d'approvisionnement de la société GERAUD &<br />

ASSOCIES.<br />

Monsieur Kohili : J’ai deux petites notifications à rajouter par rapport à ce qu’on a pu<br />

recevoir. La 1 ère est de voir à l’annexe 4-2, les travaux qui ont été faits. On voit une liste<br />

exhaustive des travaux faits et sur la page d’à côté, on a le montant des travaux, donc à<br />

peu près 288 000 €. Et donc moi ma question aujourd’hui, c’est de voir l’état des travaux<br />

actuels ; quand on se promène dans les marchés, on n’a pas l’impression qu’il y a<br />

quasiment 300 000 € qui ont été investis dedans.<br />

La 2 ème petite chose à rajouter aussi, c’est qu’il y a des erreurs aussi dans la liste des<br />

commerçants. Elle n’est pas à jour. Il y a des commerçants qui ne sont plus là<br />

actuellement.<br />

Monsieur le Maire : On vérifiera. Très bien.


Point n° 24, c’est Monsieur Lenain qui rapporte.<br />

OBJET : Convention relative aux modalités de prise en charge de la gestion des<br />

nouveaux aménagements réalisés dans le cadre de l’opération <strong>du</strong> Tramway T5 sur<br />

les communes de Sarcelles et <strong>Garges</strong>-<strong>lès</strong>-<strong>Gonesse</strong><br />

Vu le Code Général des Collectivités Territoriales et notamment ses articles L.2212.2,<br />

L.2213.1, L.2213.2, L.2213.3 ;<br />

Considérant que les travaux <strong>du</strong> Tramway T5 sont aujourd’hui achevés,<br />

Considérant que la complexité des équipements installés et l’imbrication générale de cette<br />

structure en plein milieu urbain nécessite que soient précisées les modalités de prise en<br />

charge de la gestion et de la maintenance des aménagements par les futurs gestionnaires<br />

et exploitants,<br />

Considérant le projet de convention joint en annexe,<br />

Ouï l'exposé <strong>du</strong> rapporteur, le Conseil municipal, après en avoir délibéré<br />

► AUTORISE Monsieur le Maire à signer la convention relative à la prise en charge de la<br />

gestion des nouveaux aménagements réalisés dans le cadre de l’opération <strong>du</strong> Tramway<br />

T5 sur les communes de Sarcelles et de <strong>Garges</strong>-<strong>lès</strong>-<strong>Gonesse</strong>,<br />

►AUTORISE Monsieur le Maire ou son représentant à effectuer les démarches et signer<br />

tout acte nécessaire à l’exécution de cette décision.<br />

Monsieur le Maire : Des questions ? Monsieur Mokhtari.<br />

Monsieur Mokhtari : Non, ce n’est pas une question, c’est juste une remarque. Dans la<br />

convention, il est mentionné que Monsieur Didier Vaillant, Président que la Communauté<br />

d’Agglomération de Val de France est toujours Maire de Villiers-le-Bel. Je vous rappelle<br />

qu’il a laissé son mandat à son collègue Monsieur Marsac, donc il n’est plus Maire. Donc,<br />

pour éviter les incohérences, il faudrait bien corriger la convention.<br />

Monsieur le Maire : Très bien. On peut passer au vote de cette délibération ? Qui est<br />

pour ? À l’unanimité. Merci mes chers collègues.<br />

Point n° 25, c’est Monsieur Maiz qui rapporte.<br />

OBJET : Subvention à l'association sportive Boxing club de <strong>Garges</strong><br />

Vu le Code général des collectivités territoriales,<br />

Considérant le dossier de demande de subvention déposé par le Boxing Club de <strong>Garges</strong>,<br />

Considérant les critères fixés par la ville quant à l’attribution de subventions aux<br />

associations sportives,


Ouï l’exposé <strong>du</strong> rapporteur, le conseil municipal, après en avoir délibéré<br />

- Décide d'attribuer pour l’année <strong>20</strong>13 une subvention de 4 900 euros au Boxing Club de<br />

<strong>Garges</strong>,<br />

- Dit que les crédits sont inscrits au budget.<br />

Monsieur le Maire : Des observations ? On peut passer au vote ? Qui est pour cette<br />

délibération ? À l’unanimité. Merci mes chers collègues.<br />

Point n° 26, je laisse la parole à Monsieur Maiz.<br />

Avenant n° 1 / <strong>20</strong>13<br />

Autorisation donnée à Monsieur le Maire de signer l’avenant à la convention<br />

Vu le Code général des collectivités territoriales,<br />

Vu la délibération <strong>du</strong> Conseil Municipal en date <strong>du</strong> 28 <strong>mars</strong> <strong>20</strong>12 autorisant Monsieur le<br />

Maire à signer une convention d'Appui avec le Club Multisports de <strong>Garges</strong> pour 3 ans<br />

(<strong>20</strong>12/<strong>20</strong>13/<strong>20</strong>14),<br />

Considérant que les activités de cette association s’inscrivent dans les objectifs de la<br />

politique sportive communale,<br />

Considérant le dossier de demande de subvention déposé par le Club Multisports de<br />

<strong>Garges</strong>,<br />

Considérant les critères d’attribution fixés par la ville et les modalités d’évaluation des<br />

actions inscrites dans la convention d’appui,<br />

Ouï l’exposé <strong>du</strong> rapporteur, le conseil municipal, après en avoir délibéré<br />

Approuve l'avenant n°1 / <strong>20</strong>13 à la convention d’appui passée entre la ville et le Club<br />

Multisports de <strong>Garges</strong>,<br />

Décide d'attribuer pour l’année <strong>20</strong>13 une subvention de 129 700 euros au Club<br />

Multisports de <strong>Garges</strong>,<br />

Autorise Monsieur le Maire, ou son représentant, à signer l’avenant n°1 / <strong>20</strong>13 à la<br />

convention d'appui <strong>20</strong>12 – <strong>20</strong>14 passée entre la ville et le Club Multisports de <strong>Garges</strong>,<br />

Dit que les crédits nécessaires sont inscrits au budget.<br />

Monsieur le Maire : Monsieur Mokhtari.<br />

Monsieur Mokhtari : Cette délibération, on va la voter à contre cœur. On va la voter parce<br />

que vous versez de l’argent au Club Multisports de <strong>Garges</strong>, mais on va la voter à contre<br />

cœur, parce que la subvention, elle baisse de 4 300 € par rapport à l’année dernière.<br />

Donc, ça s’inscrit bien dans ce que vous avez voté dans votre budget, une baisse d’au<br />

moins <strong>20</strong>% aux associations. On ne peut que le regretter, en ces temps difficiles pour les<br />

associations, il aurait été judicieux d’au moins conserver le même niveau de subvention.


Monsieur le Maire : Très bien. Une réponse ? Pas de réponse ?<br />

Monsieur Maiz : Non. Bon on peut en apporter une … Dans le cas présent, la baisse est<br />

de 3,7 %. Elle se fait par le jeu de l’étude <strong>du</strong> dossier et des critères, qui sont attribués en<br />

fonction de tous les éléments qui sont remis par l’association. Comportant ces 8 sections,<br />

on sait que d’une année sur l’autre, dans une association, ou dans un club, il y a des<br />

variations. Il peut y avoir des descentes de niveau. Par exemple, il peut y avoir un<br />

moindre effectif. Et, ce résultat de 109 700 €, ça tra<strong>du</strong>it, l’étude, l’analyse <strong>du</strong> dossier et<br />

son chiffrage selon les critères. Je peux quand même donner quelques éléments.<br />

<strong>20</strong>12 on avait octroyé 134 750 €. Donc ça fait une petite baisse, ce n’est pas mortel.<br />

L’association est saine et belle, elle est proche des 2 000 adhérents. Je sais que les<br />

associations football et natation pourraient aider à franchir les 2 000 adhérents.<br />

L’association a bien respecté tous les engagements de la convention. Je ne les répèterai<br />

pas. En quand on regarde les résultats financiers. je ne vais peut être pas les énumérer ici<br />

… par section et en global, on s’aperçoit que la santé de cette association est correcte. Ils<br />

arrêtent leur bilan à la fin de leur compte pardon, à la fin de l’année sportive, et puis, on<br />

peut lire que tout est positif dans les résultats des sections, et il y en a même une qui frôle<br />

la thésorisation. Je peux donner quelques chiffres, ça donnera une idée à l’assemblée. Le<br />

basket finit avec plus 6 000 euros, le foot avec 19 000 euros en plus, ce sont des chiffres<br />

qui nous ont été donnés, la gym avec 9 000 euros, le hand ball qui est une association<br />

naissante, bon il y a un petit positif de 4 000 euros, l’haltérophilie s’arrange pour être au<br />

ras des pâquerettes, la natation à 14 000 euros d’après leurs chiffres, la plongée 1 000<br />

euros de positif sur le compte de résultat, le tennis 58 000 euros ça pourrait mériter<br />

réflexion, et l’athlétisme 5 000 euros. Si on additionne, tout cela fait une situation positive<br />

de 115 000 euros, c’est pas mauvais, vous mettez ça en regard de la somme qui est<br />

donnée, 129 000 euros, remarquez le rapport.<br />

Monsieur le Maire : Monsieur Parny qui a demandé la parole en premier ?<br />

Monsieur Parny : Oui, je ne suis pas sûr d’avoir compris toutes les explications de<br />

Monsieur Maiz, je suis désolé. Mais en tout les cas nous on ne va pas se faire mal au<br />

cœur. Vous tentez de justifier la baisse de la subvention par le respect des critères, mais<br />

malheureusement on sait bien, c’est vrai à <strong>Garges</strong> et c’est vrai dans d’autres villes et au<br />

niveau régional, les subventions publiques, par rapport aux besoins qui existent dans les<br />

clubs, pour l’ensemble des bénévoles qui animent cette activité, on est vraiment loin <strong>du</strong><br />

compte. Vous auriez pu profiter des résultats que vous dites section par section, et de la<br />

bonne gestion pour donner un coup de pouce, donc vous auriez pu maintenir au moins le<br />

même niveau de subventionnement, donc nous on ne la votera pas, on s’abstiendra et on<br />

s’expliquera auprès des mouvements sportifs.<br />

Monsieur le Maire : Très bien. Monsieur Mokhtari.<br />

Monsieur Mokhtari : Oui. Moi j’ai bien compris les explications de Monsieur Maiz. Donc<br />

c’est bien une sanction, à la bonne santé, à la bonne gestion et aux bons résultats des<br />

clubs sportifs. On ne peut que le regretter. Je veux seulement dire à Monsieur Maiz que si<br />

les sections, dont il a cité les comptes, elles provisionnent, il le sait très bien, c’est parce<br />

qu’elles ont des charges sociales à payer et qu’elles vont payer bien avant la fin de<br />

l’année. Et à la fin de l’année les comptes de résultats, ils seront plus vers le bas que vers<br />

le haut. Mais en même temps, comme le disait mon collègue Monsieur Parny, ça aurait<br />

été l’occasion, de féliciter et de remercier le monde sportif des bons résultats et de sa<br />

bonne santé à <strong>Garges</strong>. Et là, malheureusement, même si ce n’est que 3,<strong>20</strong>%, c’est<br />

symbolique, mais ça représente énormément, pour les associations et c’est regrettable.


Monsieur le Maire : Très bien. D’autres interventions ?<br />

Monsieur Maïz : Le monde sportif a été félicité comme il se doit, en début d’année.<br />

Souvenons-nous, en janvier. Je ne tente rien pour répondre à Monsieur Parny, c’est peutêtre<br />

un roi de la rhétorique, mais ça, ça ne me gêne pas <strong>du</strong> tout. Je n’ai rien tenté, on<br />

travaille sur dossier, on travaille sur dossier avec une commission, avec le service des<br />

sports qui étudie et si nécessaire je confie ce dossier au service financier, s’il y a besoin<br />

d’une analyse plus détaillée. Donc il n’y a pas de tentative ou de ceci de cela.<br />

La ligne elle est de <strong>20</strong>9 000 euros, elle a été recon<strong>du</strong>ite depuis des années. Malgré une<br />

crise économique effroyable. Monsieur le Maire et tous mes collègues étaient d’accord<br />

pour qu’on garde cette ligne pour le sport. On a bataillé mais c’est déjà bien d’avoir pu<br />

faire comme ça. Il y a des villes qui n’ont pas pu faire comme ça, je vous l’ai déjà dit, et<br />

qui ont ramené de la toile, comme on dit dans le sport. Nous, ce n’est pas le cas. Le<br />

moment venu nous saurons faire, pour aider les associations. On les accompagne, je vois<br />

les associations, je les ai vus pas plus tard que hier soir, on a travaillé avant-hier soir<br />

jusqu’à huit heures et demi, neuf heures. On a eu des discussions saines et sereines. Et<br />

si on cherche, il a quelqu’un qui est conseiller municipal à cette table, qui peut témoigner<br />

de cet entretien. Les meilleures méthodes pour arriver à des résultats, si un jour, il faudra<br />

augmenter, bien sur qu’il faudra augmenter, c’est ma volonté d’augmenter l’enveloppe.<br />

Mais on ne va pas non plus le faire inconsidérément, on va orienter et mettre en place le<br />

sport de manière intelligente et selon les moyens de chacun. Merci j’en termine là.<br />

Monsieur le Maire : Madame Ménani.<br />

Madame Ménani : Ce qui est déplorable, c’est que vous avez fait d’un cas une généralité.<br />

Vous avez englobé toutes les associations, et qui plus est, vous avez pris juste une petite<br />

baisse. En revanche quand il y a eu l’intégration de l’association Espoir et création en<br />

convention d’appui, là je n’ai vu aucun applaudissement, ni aucune remarque de votre<br />

part, positive. Alors que là, on aurait pu dire qu’il y avait des bonnes choses qui avaient<br />

été faites. Il faut savoir que nous, en tout cas, concernant toutes nos associations, il n’y a<br />

eu aucune baisse. Et c’est ça qui est déplorable, c’est que vous êtes toujours en train<br />

d’appuyer sur des petites choses, sur une petite baisse. Alors que quand il y a<br />

véritablement des choses qui sont faites ou tout <strong>du</strong> moins, des augmentations de<br />

subventions auprès des associations, ou comme l’association Charles Péguy qui<br />

bénéficie d’un nouveau local, qui a coûté vraiment assez cher à la Mairie, là vous n’en<br />

tenez pas <strong>du</strong> tout compte, et ça, je trouve vraiment cela déplorable.<br />

Monsieur le Maire : Monsieur Mokhtari.<br />

Monsieur Mokhtari : Oui. Madame Ménani, vous dites on ne voit rien. Je vous rappelle<br />

seulement que toutes les subventions qui ont été proposées pour les associations, pour<br />

Charles Péguy, on a voté pour. D’accord ? On n’a pas fait de remarque. Et on pense que<br />

ce qui est fait c’est bien et qu’on pourrait faire même mieux. On n’est jamais satisfait, on<br />

peut toujours faire mieux. On n’appuie pas là sur une petite subvention, le Club<br />

multisports de <strong>Garges</strong>, c’est l’ossature <strong>du</strong> sport dans la ville. Et envoyer un signe avec<br />

une baisse de subvention, on pense que ce n’est pas un bon signe. On a le droit de ne<br />

pas être d’accord avec vous, comme vous avez le droit de ne pas être d’accord avec<br />

nous.<br />

Monsieur le Maire : Très bien. Pas d’autres observations ? On peut passer au vote ? Qui<br />

est pour cette délibération ? Qui est contre ? Abstention ? Alors abstention <strong>du</strong> groupe<br />

Socialiste, société civile et <strong>du</strong> groupe <strong>Garges</strong> ensemble, de Monsieur Kohili et de


Monsieur Bouhenna. Très bien. Pardon, je n’entends pas Monsieur Jacob. Madame<br />

Baster ne prend pas part au vote. Très bien c’est noté.<br />

Point n°27, c’est Monsieur Paré qui rapporte.<br />

OBJET : Mise en place d’un Agenda 21 local -<br />

Engagement de la démarche et demande de financement<br />

Vu la conférence des Nations Unies sur l’Environnement et le Développement, réunie à<br />

Rio de Janeiro <strong>du</strong> 3 au 14 juin 1992,<br />

Vu la déclaration des collectivités locales et territoriales françaises au sommet mondial <strong>du</strong><br />

Développement <strong>du</strong>rable de Johannesburg de septembre <strong>20</strong>02,<br />

Vu le Code général des collectivités territoriales,<br />

Considérant l’intérêt de <strong>Garges</strong>-<strong>lès</strong>-<strong>Gonesse</strong> et ses habitants à poursuivre et générer une<br />

démarche respectueuse de l’environnement, socialement plus équitable et<br />

économiquement innovante,<br />

Ouï l'exposé <strong>du</strong> rapporteur, le Conseil municipal, après en avoir délibéré<br />

► DECIDE d’émettre un avis favorable sur l’engagement d’une démarche Agenda 21 pour<br />

la ville de <strong>Garges</strong>-<strong>lès</strong>-<strong>Gonesse</strong>,<br />

►AUTORISE Monsieur le Maire ou son représentant à solliciter les subventions les plus<br />

larges auprès des différents partenaires financiers et notamment au Conseil Régional d’Ile<br />

de France,<br />

►SOLLICITE l'autorisation <strong>du</strong> Conseil régional pour débuter la démarche avant l'octroi de<br />

la notification de la subvention,<br />

►AUTORISE Monsieur le Maire ou son représentant à effectuer les démarches et signer<br />

tout acte nécessaire à l’exécution de cette décision,<br />

►DIT que les crédits nécessaires à la réalisation de ces travaux sont et seront inscrits au<br />

budget.<br />

Monsieur le Maire : Monsieur Parny.<br />

Monsieur Parny : Oui, d’abord sur la discussion précédente, vous me permettrez de dire à<br />

Monsieur Maiz que je trouve qu’il se défend pas mal en rhétorique. Il n'y a pas de<br />

problème c'est un bien qui peut être partagé, ne vous inquiétez pas. Mais il faut que vous<br />

acceptiez qu’on ne vote pas obligatoirement des diminutions de subventions. Sur cette<br />

délibération, Monsieur le Maire évidemment on est favorable, un agenda 21, j'ai presque<br />

envie de dire, enfin, parce que convenez quand même que mettre en marche cette<br />

démarche aujourd'hui, ce n'est pas forcément très novateur, mais en tout les cas on est<br />

favorable. Il y va de l'intérêt général. Et donc, même si certaines définitions, je les trouve<br />

pour ma part étroites, mais puisque je vais faire une proposition on aura l'occasion d'en<br />

débattre peut-être ailleurs. Étroite ou insuffisante, pas étroite au sens stric, mais je pense<br />

qu’on pourrait élargir un peu la définition de l’agenda 21. Je ne suis pas sûr que


l’attractivité <strong>du</strong> territoire, puisque je vois Monsieur Paré qui dodine de la tête, je précise un<br />

peu … Pas sûr, que l’attractivité <strong>du</strong> territoire soit obligatoirement un critère d’agenda 21.<br />

Bon peu importe.<br />

Monsieur Paré : Ça en fait partie.<br />

Monsieur Parny : Ça peut en faire partie. Ça dépend comment on le définit. En tout les<br />

cas, le sens de mon intervention est la suivante, puisque vous dites, démarche partagée.<br />

Est-ce que vous allez mettre en place un comité de suivi, de cet agenda 21, et est-ce que<br />

vous entendez associer l’opposition à ce comité de suivi ? Pour ma part, évidement, j’y<br />

serais favorable.<br />

Monsieur le Maire : Pour l’instant, nous faisons une mise en place. On a recruté une<br />

personne compétente pour justement travailler sur l’agenda 21. Et lorsque nous aurons<br />

bien avancé, on verra comment on articulera les choses. Je pense qu’il n’y aura pas de<br />

raison a priori, qu'on ne puisse pas inviter l’opposition à travailler sur un projet comme<br />

celui là qui s’installe sur la ville de <strong>Garges</strong>. Je pense que c’est intéressant, et je pense<br />

qu’on aura besoin de l’avis de tous. D’autres observations ? Madame Blanchet.<br />

Madame Blanchet : Oui, merci Monsieur le Maire. Donc nous, nous allons nous abstenir<br />

parce que j’aurais bien voulu quand même avoir une estimation <strong>du</strong> coup. Une petite<br />

évaluation. Voilà c’est tout.<br />

Monsieur le Maire : On est dans l’étude. Le coût, on ne sait pas encore. Bien, on peut<br />

passer au vote ? Qui est pour cette délibération ? Contre ? Abstention ? Donc abstention<br />

de Madame Blanchet, Madame Laporte, Monsieur Bouziad, Monsieur Lebegue, Madame<br />

Mayer, Monsieur Abrantes, Monsieur Bouhenna et Monsieur Kohili. Très bien Merci mes<br />

chers collègues.<br />

Point n°28, c’est Monsieur Bonhomet qui rapporte.<br />

OBJET : « <strong>Garges</strong> demain» - Rénovation Urbaine de Dame-Blanche Ouest –<br />

Prestation d'études pré-opérationnelles de Plan de Sauvegarde de la copropriété<br />

« résidence Fabien » – autorisation donnée au Maire de solliciter les subventions<br />

Vu le Code général des collectivités territoriales,<br />

Vu la convention de rénovation urbaine des quartiers de Dame Blanche Ouest et des<br />

Doucettes signée le 24 Mai <strong>20</strong>06,<br />

Vu la nécessité de poursuivre l'aide à la requalification de la copropriété « résidence<br />

Fabien », eu égard à ses difficultés propres, et à la nécessité de requalifier les<br />

copropriétés <strong>du</strong> quartier de Dame-Blanche Ouest, conformément aux objectifs de la<br />

convention de rénovation urbaine,<br />

Vu la proposition à venir <strong>du</strong> prestataire de l’étude pour un montant prévisionnel de 60 000<br />

€ Hors Taxe (soit 71 760 € TTC), concernant une mission d'études pré-opérationnelles de<br />

Plan de Sauvegarde de 8 mois,<br />

Vu la possibilité de solliciter l'ANRU, le Conseil Régional d'Ile-de-France, le Conseil<br />

Général <strong>du</strong> Val-d'Oise et la Caisse des Dépôts et Consignations pour financer cette<br />

prestation d'études pré-opérationnelles, conformément à la convention de rénovation<br />

urbaine,


Ouï l'exposé <strong>du</strong> rapporteur, le conseil municipal, après en avoir délibéré<br />

► APPROUVE le plan de financement prévisionnel concernant la prestation d'études<br />

pré-opérationnelles sur la copropriété « résidence Fabien », établi sur la base <strong>du</strong><br />

Hors Taxe et joint en annexe<br />

► AUTORISE le Maire ou son représentant à solliciter les subventions les plus<br />

larges auprès des différents financeurs,<br />

► DIT que les crédits sont inscrits au budget.<br />

Monsieur le Maire : Oui, c’est Monsieur Jacob qui veut la parole ? Monsieur Jully.<br />

Monsieur Jully : Oui. Monsieur le Maire, je voudrais faire quelques remarques. J’ai assisté<br />

à cette commission avec Monsieur Bonhomet et j’ai fais, non pas des réserves, on votera<br />

pour, mais j’ai posé quelques questions. On a déjà des rénovations dans <strong>Garges</strong>. On s’est<br />

apperçu souvent que quand les travaux sont finis, on s’aperçoit qu’il y a beaucoup de<br />

malfaçons, parce que, en cours de travaux, il n’y a pas de contrôle de fait. Or, j’ai<br />

demandé à Monsieur Bonhomet, qu'à l’avenir, parce que c’est quand même, non<br />

seulement des fonds qui viennent d’Europe et tout, mais également de la commune, donc<br />

les contribuables Gargeois sont concernés. De la région également, excusez moi. Mais<br />

que les travaux soient controlés en permanance, non pas seulement en fin de travaux.<br />

Parce qu'en fin de travaux, d’abord les entreprises, une fois que les travaux sont terminés,<br />

les entreprises s’en vont et vont travailler ailleurs. S'il y a de la malfaçon, elle est faite, ou<br />

elle n'est pas faite. Or je pense qu’il serait nécessaire que les travaux soient controlés en<br />

permanance, pendant toute la <strong>du</strong>rée des travaux. Parce il y a quand même une garantie<br />

de la commune et c’est anormal que les travaux ne soiet pas controlés en cours de<br />

travaux. Les malfaçons y en a. Si vous allez actuellement aux Vergers, puisque c’est les<br />

premières rénovations qui ont été faites, vous verrez qu’il y a beaucoup de malfaçons.<br />

Notamment, et ça on le constate un peu partout, en ce qui concerne par exemple, les<br />

poses d’électricité, je pense qu’il y a des gens ici qui demeurent dans des appartements<br />

qui ont été rénovés, on se contente de mettre un peu de colle, et quand vous enlevez la<br />

prise de courant tout vient avec. La prise de courant, tout suit. Ça, c’est anormal. C’est de<br />

la malfaçon. Seulement après les gens, on a rénové leurs appartements, on augmente les<br />

loyers, évidemment, parce qu'il y a une augmentation de loyer, mais malheureusement,<br />

les travaux sont faits et c’est terminé. Les entreprises s’en vont. Voilà. Donc, j’ai demandé<br />

à Monsieur Bonhomet, de voir si, je pense que dans la commune, il y a bien un architecte,<br />

il y a bien des responsables des travaux qui suivent les travaux en cours, et qu’on ait des<br />

contrôles permanents.<br />

Monsieur le Maire : On va étudier ça avec les services techniques.<br />

Monsieur Jully : J’ajoute quelque chose, mais qui n’a rien avoir avec la délibération. J’ai<br />

assisté à cette commission, et je me suis étonné d’avoir été convoqué uniquement à une<br />

commission. Alors je sais qu’à la dernière assemblée, on avait laissé entendre qu’on<br />

n’était pas présent. J’ai reçu effectivement de la part de Monsieur Parny, qui avait reçu ma<br />

convocation à une commission, mais a priori, j’étais tout seul et je n’ai pas eu d’autres<br />

commissions. Je pense qu’il y a eu d’autres commissions, puisqu’il y a eu une commission<br />

sportive, je crois. Comment se fait-il que l’on n'est pas été convoqué ?<br />

Monsieur le Maire : C’était le test. Et le test il est négatif.<br />

Monsieur Bonhomet : C’est ce que je voulais dire Monsieur Jully. Je ne vous ai rien caché.<br />

Monsieur le Maire : Le test il est négatif<br />

Monsieur Jully : C’est-à-dire ?


Monsieur le Maire : Je vous disais que les commissions, l’oppisition ne participait jamais<br />

Monsieur Jully : Monsieur le Maire, je regrette l’opposition y participe puisque vous m’avez<br />

envoyé un courrier. Donc elle y participe.<br />

Monsieur le Maire : Non, attendez, Monsieur Jully. Je vous ai dit vous avez participé.<br />

Attendez.<br />

Monsieur Jully : Bon Monsieur le Maire, on ne va pas en faire... On ne va pas épiloguer là<br />

dessus. Vous avez enterré les commissions, dites le franchement. Les commissions sont<br />

enterrées, il n’y aura plus de commissions.<br />

Monsieur le Maire : On a fait un test pour savoir. Vous le savez, le règlement intérieur vous<br />

l’avez, vous le possédez, je vous ai dit que article 9, les commissions, c’était le vice<br />

président ou le président qui décidait de la convoquer ou de ne pas la convoquer. On a fait<br />

un test pour voir ce que ça pouvait donner. Le test il est là. On ne va pas insister. Voilà,<br />

mais vous, et je vous comprends, Monsieur Jully.<br />

Monsieur Jully : Monsieur le Maire, vous avez la majorité. Vous avez la raison, d’accord,<br />

ok. Je laisse la parole à Monsieur Parny qui a aussi, à intervenir sur le sujet. Voilà.<br />

Monsieur Parny : Oui. Monsieur le Maire, convenez quand même que votre réponse, à la<br />

limite n’est... Je ne sais pas comment le dire, elle n’est pas injurieuse, mais enfin pour le<br />

moins elle n’est pas polie à l’égard de Monsieur Jully. Vous lui dites on a fait un test,<br />

l’opposition ne vient pas, donc on supprime les commissions. Mais Monsieur Jully a été<br />

invité. Il vient. Donc ça veut dire, c’est quoi, c’est une discriminination à l’égard de notre<br />

groupe et de Monsieur Jully ?<br />

Monsieur le Maire : Monsieur Parny<br />

Monsieur Parny : Et pour les autres ? Excusez moi. On peut même prendre un autre.<br />

Monsieur Maiz va encore dire que je fais de la rhétorique.<br />

Monsieur le Maire : Monsieur Parny je vais éviter d’être désagréable.<br />

Monsieur Parny : Vous faites un test sur une seule commission ?<br />

Monsieur le Maire : L’année dernière vous avez été convoqué à toutes les commissions.<br />

Monsieur Jully a participé à 2 commissions sur l’ensemble. Alors ne me dites pas que c’est<br />

moi qui fait un procès d’intention. Le procès d’intention c’est vous, l’opposition, qui le<br />

faites. Et si vous étiez présents effectivement aux commissions, je n’aurai eu aucune<br />

raison de supprimer les commissions. Voilà.<br />

Monsieur Parny : Je suis désolé Monsieur le Maire …<br />

Monsieur le Maire : Vous avez la réponse.<br />

Monsieur Parny : Monsieur Jully est présent à chaque fois qu’il est convoqué. Vous le<br />

savez bien. Vous ne le contestez pas.<br />

Monsieur Jully : Monsieur le Maire, je vais citer une personne que vous avez licenciée …<br />

quand Monsieur Pépinot était là, systématiquement, on recevait en temps voulu, toutes les<br />

commissions, on le savait, il y avait un calendrier, depuis que ça a changé ça arrive de<br />

temps en temps.<br />

Monsieur le Maire : Monsieur Pépinot n’a jamais été en responsabilité d’envoyer les<br />

convocations pour les commissions.<br />

Monsieur Jully : Ah bah vous en prenez la responsabilité alors ?<br />

Monsieur le Maire : Ah bah oui. C’est toujours le vice président ou le président de la<br />

commission qui envoie les convocations et qui les signe.


Monsieur Bonhomet : De toue façon moi j’ai été honnête, je l’ai dit à Monsieur Jully.<br />

Monsieur le Maire : Donc là c’est hors sujet. La délibération n °28, qui est pour ? Ah<br />

Monsieur Jacob.<br />

Monsieur Jacob : Oui merci bien Monsieur le Maire. La dernière CAO de lundi, la<br />

convocation, je l’ai reçue lundi matin à 10h00, pour le lundi après midi à 14h00. Moi je<br />

veux bien, il y avait des gens qui étaient absents, mais on ne peut pas accuser les gens<br />

comme ça de ne pas être là non plus. Voilà, moi je veux bien, un coup on reçoit la CAO en<br />

lettre recommandée, un coup c’est voilà je veux dire moi je veux bien. Après moi je n’ai<br />

pas eu de convocation dans aucune commission depuis le début de l’année, je veux dire à<br />

part la CAO, je veux dire.<br />

Monsieur le Maire : Ok. Juste une précision, c’est le délai de la poste faisant foi, c’est un<br />

défaut de distribution ou c’est .... Vous avez raison d’être mécontent. Donc délibération n°<br />

28, on n’a toujours pas voté. Qui est pour cette délibération ? À l’unanimité. Merci mes<br />

chers collègues.<br />

Point n° 29, c’est Monsieur Bonhomet qui rapporte.<br />

OBJET : « Portes de la ville » - Délégation <strong>du</strong> droit de préemption urbain<br />

au profit de la SEM 92<br />

Vu le Code général des collectivités territoriales,<br />

Vu le Code de l’urbanisme, notamment les articles L. 211-1 et suivant, L. 213-3 et R. 213-<br />

1,<br />

Vu les statuts de la Communauté d’Agglomération Val de France,<br />

Vu la délibération <strong>du</strong> Conseil Municipal <strong>du</strong> 27 avril <strong>20</strong>06 approuvant les projets de<br />

rénovation urbaine des quartiers de Dame Blanche Ouest et des Doucettes et autorisant<br />

Monsieur le Maire à signer la convention de ces deux quartiers,<br />

Vu la convention partenariale ANRU de la Dame Blanche Ouest signée le 24 mai <strong>20</strong>06, qui<br />

désigne la Communauté d’Agglomération Val de France comme maître d’ouvrage de<br />

l’opération de restructuration <strong>du</strong> centre commercial des Portes de la Ville,<br />

Vu la délibération <strong>du</strong> Conseil municipal en date <strong>du</strong> 3 avril <strong>20</strong>08 déléguant au Maire le droit<br />

de préemption conformément à l’article L 2122-22 <strong>du</strong> Code Général des collectivités<br />

territoriales,<br />

Vu la délibération <strong>du</strong> Conseil municipal en date <strong>du</strong> 23 juin <strong>20</strong>10 instituant un droit de<br />

préemption renforcé sur certains secteurs compris en zones U et AU <strong>du</strong> Plan Local de<br />

l’Urbanisme en vigueur,<br />

Vu la délibération de la Communauté d'agglomération Val de France approuvant le bilan<br />

de concertation et créant la ZAC des Portes de la Ville en date <strong>du</strong> 13 février <strong>20</strong>12,<br />

Vu la délibération de la Communauté d'agglomération Val de France désignant la SEM 92<br />

comme aménageur de la ZAC des Portes de la Ville en date <strong>du</strong> 13 février <strong>20</strong>12,<br />

Vu le périmètre de l'opération de restructuration <strong>du</strong> centre commercial des Portes de la<br />

Ville situé entre l’avenue <strong>du</strong> Général de Gaulle au Sud, la rue Edgar Degas au Nord, la rue<br />

Léonard de Vinci à l’Est et la rue Toulouse-Lautrec à l’Ouest, délimité suivant le plan<br />

annexé,


Considérant que l’opération de restructuration de ce centre commercial s’inscrit dans le<br />

cadre <strong>du</strong> Projet de Renouvellement Urbain <strong>du</strong> quartier La Dame Blanche Ouest, dont<br />

l’enjeu est la valorisation de toute cette partie <strong>du</strong> territoire,<br />

Considérant que la Communauté d’Agglomération Val de France s’est engagée depuis<br />

plusieurs années dans la restructuration <strong>du</strong> centre commercial des Portes de la Ville à<br />

l’interface des quartiers Dame Blanche Ouest et Nord, à proximité de la gare <strong>du</strong> RER D<br />

<strong>Garges</strong>-Sarcelles,<br />

Considérant que dans le cadre de la concession d’aménagement susvisée, la SEM 92 a,<br />

notamment, pour mission d’acquérir les emprises foncières nécessaires à la réalisation de<br />

ce projet,<br />

Considérant que la commune demeure cependant titulaire <strong>du</strong> droit de préemption urbain<br />

dans le périmètre de l'opération ainsi concédée.<br />

Considérant que le conseil municipal avait par ailleurs décidé de renforcer le droit de<br />

préemption urbain sur certains secteurs des zones U et AU, dont le site des portes de la<br />

Ville, par une délibération susvisée <strong>du</strong> 23 juin <strong>20</strong>10,<br />

Considérant que, par cette même délibération, le Conseil municipal donnait délégation à<br />

Monsieur le Maire pour exercer le droit de préemption urbain,<br />

Vu le plan ci-joint,<br />

Ouï l'exposé <strong>du</strong> rapporteur, le Conseil municipal, après en avoir délibéré<br />

► RAPPORTE dans le périmètre de l'opération de restructuration <strong>du</strong> centre commercial<br />

des Portes de la Ville, délimité suivant le plan annexé, la délibération <strong>du</strong> 3 avril <strong>20</strong>08 en<br />

tant qu'elle a donné délégation à Monsieur le Maire pour exercer le droit de préemption<br />

urbain,<br />

► RAPPORTE dans le périmètre de l'opération de restructuration <strong>du</strong> centre commercial<br />

des Portes de la Ville, délimité suivant le plan annexé la délibération <strong>du</strong> 23 juin <strong>20</strong>10<br />

instituant le droit de préemption urbain renforcé en tant qu'elle a éten<strong>du</strong> la délégation à<br />

Monsieur le Maire pour exercer le droit de préemption urbain renforcé,<br />

► DELEGUE l'exercice <strong>du</strong> droit de préemption urbain - simple et renforcé - dans le<br />

périmètre de l'opération de restructuration <strong>du</strong> centre commercial des Portes de la Ville,<br />

délimité suivant le plan annexé, au profit de la SEM 92, en sa qualité de concessionnaire<br />

de ladite opération.<br />

► DIT que la SEM 92 sera ren<strong>du</strong>e destinataire des déclarations d'intention d'aliéner ainsi<br />

que des avis émis par les services fiscaux concernant les biens situés dans le périmètre<br />

délimité par la présente délibération. Le délégataire sera tenu quant à lui de transmettre à<br />

la commune les éléments d'information à transcrire sur le registre prévu à l'article L. 213-<br />

13 <strong>du</strong> code de l'urbanisme,<br />

► DIT que la présente délibération sera publiée, transmise au représentant de l’Etat et<br />

adressée à la SEM 92<br />

Monsieur le Maire : Des observations ? Monsieur Mokhtari.<br />

Monsieur le Mokhtari : Oui, sur ce dossier, j’ai bien compris le principe. On désigne la SEM<br />

92, moi ce qui me gêne dans ce dossier, c’est que on a l’impression que vous voulez aller<br />

à 300 à l’heure. On a vu qu’en début de semaine le parking <strong>du</strong> centre commercial a été<br />

vidé, fermé, alors qu’on n’a pas vu les pelleteuses arrivées et rien de concret n’est fait. Je<br />

trouve que ce sont des méthodes, un peu particulières. On va bien voir jeudi matin et<br />

dimanche matin, le… Je ne vais pas dire le mot mais je vais quand même le dire, le bordel<br />

qu’il va y avoir dans le quartier parce qu'en temps normal c’est déjà pas facile, mais alors


là avec un parking fermé ça va être compliqué. Donc je trouve que les choses vont trop<br />

vite, on a l’impression que tout est fait pour aller à <strong>20</strong>0 à l’heure : fermer le parking, les<br />

commerçants n’y ont plus accès, les gens ne peuvent plus venir se garer et donc, je sens<br />

que les choses vont dégénérer, sur le droit de préemption vous savez ce qu’on pense,<br />

nous on votera contre cette délibération. Donc voilà.<br />

Monsieur le Maire : Donc clairement, il ne faut pas faire de travaux. D’autres<br />

observations ?<br />

Monsieur Bonhomet : C’est Monsieur Vaillant qui va être content.<br />

Monsieur le Maire : Monsieur Bouhenna.<br />

Monsieur Bouhenna : Merci de me donner la parole, Monsieur le Maire. Donc aujourd’hui,<br />

si vous voulez, il y a les commerçants qui rencontrent beaucoup de problèmes, un peu ce<br />

que le collègue vient de dire par rapport au parking. Il y a des commerçants qui<br />

actuellement encore exercent leurs activités et ne peuvent pas livrer leurs marchandises.<br />

Donc il n’ont pas de solutions, ils sont sur la route. Donc ça crée des embouteillages et<br />

réellement il faudrait apporter énormément de réflexion sur le projet.<br />

Il y a une réunion d’informations qui a été faite avec la SEM 92. Donc j’ai rencontré<br />

personnellement Guillaume de SEM 92, et là actuellement, parce que les commerçants<br />

veulent se créer en loi, en association 1901, ils sont là ce soir pour essayer d’avoir des<br />

réponses, ils sont dans le flou total. Donc c’est quand même le beefsteak de leur famille.<br />

Ils ont, on est pour les travaux, on est pour que ça s’améliore, que les Portes de la Ville<br />

aient un bon décor, une amélioration sur l’architecture, mais là actuellement, il y a une<br />

précipitation. Je dirais ils sont à 400 à l’heure. Donc on est actuellement nous, on se<br />

demande aujourd’hui, réellement si vous ne pouvez pas organiser une seconde réunion<br />

d’information avec plus de communication, avec plus de précisions et plus de détails pour<br />

que les commerçants ne restent pas dans le flou et dans la situation aujourd’hui où ils<br />

rencontrent, où ils sont dans un avenir incertain. Et j’invite tout le monde à regarder sur<br />

You Tube, il y a une vidéo qui a été mise. Donc ça peut vous donner un petit peu,<br />

actuellement, la vraie réalité que les commerçants rencontrent, ils sont dans le flou total.<br />

Je les remercie d’être venus ce soir, mais Monsieur le Maire il faudrait éventuellement qu’il<br />

y est une deuxième réunion d’informations. Je vous remercie.<br />

Monsieur le Maire : Bon on a mis, les turbos c’est ça ? Je pense que c’est ce que vous<br />

voulez dire. Est-ce que vous savez que la première réunion publique avec les<br />

commerçants a eu lieu en <strong>20</strong>07, sur les Portes de la Ville. Bon voilà, on a commencé en<br />

<strong>20</strong>07. Aujourd’hui on est en <strong>20</strong>13 et on commence effectivement les travaux. On ne peut<br />

pas dire qu’on ait mis les turbos quand même. Ou alors, je ne connais rien en mécanique<br />

moi. Bien donc, c’est Monsieur Jacob qui a demandé la parole ? Monsieur Jully.<br />

Monsieur Jully : Oui, je voudrais renouveler, tout à l’heure, j’ai fais une intervention avec<br />

Monsieur Bonhomet, je voudrais également signaler le problème de la rénovation <strong>du</strong><br />

centre que vous allez mettre en place. Je prendrais l’exemple <strong>du</strong> centre Arc en Ciel. Le<br />

centre Arc en Ciel, a été aussi, lui rénové, d’ailleurs à ce sujet j’ai vu une superbe photo, je<br />

ne sais pas ou vous l’avez prise, mais elle est formidable, parce que ça ne reflète pas la<br />

réalité quand même. Quand vous regardez le centre Arc en Ciel qui vient d’être rénové,<br />

qui vient d’être fini, enfin je ne sais pas si il sera fini un jour, on s’aperçoit quand même<br />

que si les travaux avaient été contrôlés en permanence, ce que j’ai dit tout à l’heure, il ne<br />

serait pas dans l’état où il est. Parce que je vous fais remarquer quand même que quand


on a reconstruit, quand on a rénové ce centre, on a travaillé à l’envers. C'est-à-dire qu’on<br />

a commencé par mettre des dalles en partant <strong>du</strong> bord et au fur et à mesure qu’on avançait<br />

les gens ramenait toujours des dalles avec évidement des transpalettes où il y avait 2 ou 3<br />

tonnes dessus et à chaque fois les carreaux fichaient le camp. Alors après une période qui<br />

a <strong>du</strong>ré, qui a quand même <strong>du</strong>re un bout de temps, il y a quelques temps on a fait une<br />

petite marche pour que les gens puissent passer quand même. Je suis intervenu auprès<br />

de Monsieur lLotaut puisque ce jour là, il y a une personne qui est tombée et qu’on a<br />

transportée à l’hôpital puisqu’on avait fait une petite marche. Monsieur Lotaut a fait le<br />

nécessaire pour qu’on fasse ce qu’il fallait. Ce qu’on a fait, et bien maintenant on met <strong>du</strong><br />

ciment, on bouche avec <strong>du</strong> ciment. Ce qui fait qu’on a renoncé à mettre des dalles.<br />

Pendant un moment c’était la grande rigolade, chaque fois que vous passiez dans le<br />

centre, et j’y passe tous les jours, il y avait un type qui était là et qui burinait et qui mettait<br />

des dalles et 2 jours après les dalles étaient cassées. Et maintenant on a mis <strong>du</strong> ciment,<br />

c’est pas très esthétique, et si les gens vont au centre commercial, regardez, vous verrez,<br />

maintenant c’est terminé, on bouche avec <strong>du</strong> ciment. Donc encore une fois, quand vous<br />

allez refaire ce centre, vérifiez les travaux en cours de route, parce que quand tout sera<br />

fait, évidement se sera cassé. Et surtout que les entreprises ne travaillent pas à l’envers.<br />

Parce qu’elles ont travaillé à l’envers.<br />

Monsieur le Maire : Ce sont des aménageurs qui travaillent. C’est confié à un aménageur.<br />

L’aménageur c’est la SEMAVO. Donc c’est la SEMAVO qui est en responsabilité.<br />

Monsieur Jully : Alors vous n’avez aucune responsabilité là dedans. Alors ça va on s’en<br />

lave les mains ?<br />

Monsieur le Maire : Donnons à César ce qui est à César. Et faite la répartition qui doit être<br />

faite. Ne mettez pas en cause la commune sur des travaux qui sont effectués par un<br />

aménageur, qui est demandé par Val de France, ce n’est pas la Mairie.<br />

Monsieur Jully : C’est le territoire communal quand même Monsieur le Maire. Il y a des<br />

gens qui viennent acheter dans ce centre commercial ce sont des Gargeois quand même.<br />

Monsieur le Maire : Que l’on s’en préoccupe, je suis tout à fait d’accord, mais n’accusez<br />

pas la Mairie. C’est ce que je veux vous dire.<br />

Monsieur Jully : Je ne vous accuse pas Monsieur le Maire.<br />

Monsieur le Maire : Mais si.<br />

Monsieur Jully : Je dis simplement que vous devriez contrôler. Vous avez un pré contrôle<br />

quand même, c’est le territoire de <strong>Garges</strong> ! Le Maire à quand même des pouvoirs ! Vous<br />

savez très bien que vous avez des pouvoirs.<br />

Monsieur le Maire : Bien sûr. Et je fais les réunions nécessaires quand je peux.<br />

Monsieur Jully : D’autant plus que vous allez construire un centre de santé dans ce local.<br />

Alors quand même, ne dites pas que vous n’avez pas de pouvoir Monsieur le Maire.<br />

Allons, allons, allons.<br />

Monsieur le Maire : Ça pour <strong>du</strong> coup Monsieur Jully, s’il y a des erreurs j’accepterais que<br />

vous me fassiez des reproches. Parce que ça c’est effectivement la Mairie qui le met en<br />

place. Et c’est la Mairie qui gérera les travaux. Monsieur Mokhtari a demandé la parole.


Monsieur Mokhtari : Oui Monsieur le Maire. On a dit que les premières réunions publiques<br />

ont eu lieu en <strong>20</strong>07. Je vous rappelle seulement que les élus de l’opposition que nous<br />

sommes, nous n’avons jamais été ni informés, ni invités à quelque réunion que ce soit.<br />

Sur le projet la restructuration <strong>du</strong> centre commercial, ou je vous ai interpelé la dernière<br />

fois, vous nous dites on vous pose des questions, vous nous dites ce n’est pas moi c’est la<br />

SEM, c’est pas moi c’est Val de France. Moi je vous dis qu’en tant qu’élu local, on a un<br />

droit à l’information. Ce droit à l’information, nous ne l’avons pas. Et aujourd’hui je pense<br />

sincèrement que de fermer le parking alors qu’il n’y a pas une pelleteuse qui est arrivée,<br />

vous me dites, on commence les travaux. La SEM les commence quand je suis persuadé<br />

que dans 6 mois, il n’y aura pas encore une grue d’arrivée et des travaux de commencés.<br />

On veut ceinturer le centre commercial de façon à ce que le peu de commerces qui<br />

existent périclite et ça c’est pas acceptable, ça c’est pas acceptable. Si les travaux<br />

commençaient demain et que vous fermiez le périmètre pour des questions de sécurité,<br />

c’est tout à fait normal. Mais je pense que les travaux ne vont pas commencer avant un<br />

bail et vous avez délibérément laissé ceinturer le centre de façon à ce que les commerces<br />

périclitent et ça c’est pas acceptable.<br />

Monsieur le Maire : Je vérifierais qu’effectivement la date de départ des travaux soit bien<br />

respectée. Si ce n’est pas respecté, j’interviendrais auprès de la SEM 92, vous pouvez me<br />

faire confiance. C’est Monsieur Bouhenna qui a demandé la parole.<br />

Monsieur Bouhenna : Oui, une dernière question, Monsieur le Maire. La SEM 92 m’a<br />

informé que les travaux ont une <strong>du</strong>rée de 2 ans. Les commerçants pendant 2 ans, qu’est<br />

ce qu’ils vont devenir ? Quel est leur avenir ? Parce qu’ils voudraient éventuellement<br />

revenir ce sont des Gargeois, ils voudraient éventuellement redévelopper une activité.<br />

Donc ce serait bien éventuellement Monsieur le Maire, si éventuellement vous pourriez<br />

leur répondre et leur donner plus d’informations. Je vous en remercie.<br />

Monsieur le Maire : Et bien écoutez, la SEM 92 recevra effectivement les commerçants.<br />

C’est sa mission, c’est à elle de voir avec les commerçants comment articuler les choses.<br />

Ce n’est pas au Maire de <strong>Garges</strong>. Le Maire de <strong>Garges</strong> interviendra éventuellement si les<br />

commerçants demandent à ce qu’il soit présent lors des réunions. Mais c’est une<br />

opération avec un aménageur, c’est à l’aménageur de faire le lien avec les différents<br />

partenaires qui sont sur le terrain. Voilà, d’autres questions ? Monsieur Dieu.<br />

Monsieur Dieu : Oui merci Monsieur le Maire. Mons intervention avec celle de mes<br />

collègues ou effectivement, lors <strong>du</strong> dernier conseil municipal, on vous avait demandé des<br />

éléments d’information, vous aviez répon<strong>du</strong> que vous n’en n’aviez pas, c’était la SEM qui<br />

étudiait le dossier. Aujourd’hui, donc on décide, enfin le conseil municipal va<br />

éventuellement décider de la délégation <strong>du</strong> droit de préemption. On vous demande des<br />

éléments, vous dites que vous ne savez pas toujours, vous venez d’évoquer à l’instant,<br />

une date peut être de démarrage des travaux, alors est ce que vous pourriez nous donner<br />

un…<br />

Monsieur le Maire : Je dis simplement que sur le panneau il doit y avoir des dates. Je<br />

vérifierais si les dates d’exécution apparaissent. Jje vais vérifier et en fonction <strong>du</strong> respect<br />

de ce qui a été noté j’interviendrais. C’est ce que j’ai dit.<br />

Monsieur Dieu : Mais vous avez déjà des éléments j’imagine sur le démarrage des<br />

travaux, enfin quelque chose.


Monsieur le Maire : Je ne vais pas monter la salade. Je vais m’occuper effectivement <strong>du</strong><br />

centre commercial des Portes de la Ville et notamment les travaux sur le parking ? Vous<br />

voyez ce que je veux dire, bon. Faut être un peu sérieux. Monsieur Bouhenna.<br />

Monsieur Bouhenna : Oui une dernière question Monsieur le Maire. Donc SEM 92 a<br />

commencé ses entretiens, hier avec les commerçants et tient un discours tout simple, il<br />

faut partir de la ville. Voilà, cherchez ailleurs. Donc là actuellement Monsieur le Maire, il<br />

faudrait prendre conscience que c’est des familles qui sont dans une situation de péril, et<br />

donc vous avez choisi la SEM 92 avec des appels d’offres, donc je me dis aujourd’hui,<br />

depuis <strong>20</strong>07 jusqu’en <strong>20</strong>13 fin <strong>20</strong>12, il n’y a pas eu de réunion ? Donc là, à l’heure<br />

d’aujourd’hui, on leur tombe dessus, faut comprendre. Je me dis si demain… Voilà, ils ont<br />

de grandes interrogations, il faut faire une réunion en urgence. Merci Monsieur le Maire.<br />

Monsieur le Maire : Donc de façon à ce qu’effectivement, ces personnes puissent<br />

continuer à travailler correctement sans problème, on arrête tous les travaux ? Et on arrête<br />

la rénovation <strong>du</strong> centre commercial les Portes de la Ville ? parce que je n’ai pas de<br />

solution adaptée à la demande de Monsieur Bouhenna. Voilà, vous avez ma réponse.<br />

Maintenant on va passer au vote. Qui est pour cette délibération ? Qui est contre ? Contre,<br />

le groupe <strong>Garges</strong> ensemble, groupe socialiste et société civile, Monsieur Bouhenna et<br />

Monsieur Kohili. Merci mes chers collègues.<br />

Point n° 30, c’est Monsieur Bonhomet qui rapporte.<br />

OBJET : « Portes de la ville » - Désaffectation et déclassement <strong>du</strong><br />

domaine public <strong>du</strong> parking<br />

Vu le Code général des collectivités territoriales,<br />

Vu le Code de l’urbanisme,<br />

Vu la délibération <strong>du</strong> Conseil Municipal <strong>du</strong> 27 avril <strong>20</strong>06 approuvant les projets de<br />

rénovation urbaine des quartiers de Dame Blanche Ouest et des Doucettes et autorisant<br />

Monsieur le Maire à signer la convention de ces deux quartiers,<br />

Vu la convention partenariale ANRU de la Dame Blanche Ouest signée le 24 mai <strong>20</strong>06, qui<br />

désigne la Communauté d’Agglomération Val de France comme maître d’ouvrage de<br />

l’opération de restructuration <strong>du</strong> centre commercial des Portes de la Ville,<br />

Vu la délibération de la Communauté d'agglomération Val de France approuvant le bilan<br />

de concertation et créant la ZAC des Portes de la Ville en date <strong>du</strong> 13 février <strong>20</strong>12,<br />

Vu la délibération de la Communauté d'agglomération Val de France désignant la SEM 92<br />

comme aménageur de la ZAC des Portes de la Ville en date <strong>du</strong> 13 février <strong>20</strong>12,<br />

Vu la convention de subvention en date <strong>du</strong> 22 août <strong>20</strong>12 entre la Communauté<br />

d’Agglomération Val de France, la Ville de <strong>Garges</strong>-<strong>lès</strong>-<strong>Gonesse</strong> et la SEM 92 fixant la<br />

subvention communale sous la forme d’un apport en nature, cet apport s’effectuant par la<br />

cession à titre onéreux pour un euro symbolique <strong>du</strong> parking dit des « Portes de la Ville »,<br />

Considérant que ledit parking a un usage de parking public et intègre donc de ce fait le<br />

domaine public communal,


Considérant la nécessité préalablement à la cession à la SEM 92 des lots de volumes 17<br />

et 19 des parcelles AR 10 et AR 27 constituant l’assiette foncière <strong>du</strong>dit parking, d'en<br />

prononcer la désaffection puis le déclassement <strong>du</strong> domaine public,<br />

Considérant la désaffectation <strong>du</strong> parking dit des Portes de la Ville, dont l’accès est<br />

aujourd’hui condamné,<br />

Considérant le constat de l’huissier de justice mandaté à cet effet sur site en date <strong>du</strong> 19<br />

<strong>mars</strong> <strong>20</strong>13 actant la fermeture <strong>du</strong>dit parking et dont sa désaffectation,<br />

Considérant l'intérêt général de la cession,<br />

Ouï l'exposé <strong>du</strong> rapporteur, le conseil municipal, après en avoir délibéré<br />

► PRONONCE la désaffectation de l’ancien parking public et de son assiette foncière<br />

propriété de la ville, référencé volumes 17 et 19 des parcelles AR 10 et AR 27,<br />

► PRONONCE le déclassement <strong>du</strong> domaine public communal <strong>du</strong>dit parking,<br />

► DIT que l’emprise en question appartient au domaine privé de la commune,<br />

► PRECISE que la présente délibération sera transmise à Monsieur le Sous-Préfet de<br />

l'Arrondissement de Sarcelles.<br />

Monsieur le Maire : Pas d’observations ? On peut passer au vote de la première<br />

délibération. Qui est pour ? Abstention ?<br />

Monsieur Bouhenna : Merci Monsieur le Maire. Donc vous avez indirectement déformé ce<br />

que j’ai dit, par rapport à la délibération précédente. Monsieur le Maire une autre question.<br />

Là actuellement, encore on reparle de SEM 92, les Gargeois pendant 2 ans il va y avoir<br />

des travaux. Est-ce qu’il va y avoir des commerces qui vont permettre de servir les<br />

Gargeois, pour acheter <strong>du</strong> pain, pour acheter les courses de tous les jours, l’alimentation ?<br />

Qu’est ce que vont devenir pendant 2 ans les Gargeois dans le quartier ? Merci Monsieur<br />

le Maire.<br />

Monsieur le Maire : Je ne réponds pas à des questions comme ça. Pas d’autres<br />

questions ? On peut passer au vote ? Qui est pour cette délibération ? Qui est contre ?<br />

Contre le groupe socialiste, société civile, le groupe <strong>Garges</strong> ensemble, Monsieur Abrantes,<br />

Monsieur Bouhenna et Monsieur Kohili. Très bien merci mes chers collègues.<br />

Point n° 31, c’est toujours Monsieur Bonhomet qui rapporte.<br />

OBJET : « Portes de la ville» - Cession des volumes 17 et 19 des parcelles AR 10 et<br />

AR 27 au profit de la SEM 92<br />

Vu le Code général des collectivités territoriales,<br />

Vu le Code de l’urbanisme,


Vu la délibération <strong>du</strong> Conseil Municipal <strong>du</strong> 27 avril <strong>20</strong>06 approuvant les projets de<br />

rénovation urbaine des quartiers de Dame Blanche Ouest et des Doucettes et autorisant<br />

Monsieur le Maire à signer la convention de ces deux quartiers,<br />

Vu la convention partenariale ANRU de la Dame Blanche Ouest signée le 24 mai <strong>20</strong>06, qui<br />

désigne la Communauté d’Agglomération Val de France comme maître d’ouvrage de<br />

l’opération de restructuration <strong>du</strong> centre commercial des Portes de la Ville,<br />

Vu la délibération de la Communauté d'agglomération Val de France approuvant le bilan<br />

de concertation et créant la ZAC des Portes de la Ville en date <strong>du</strong> 13 février <strong>20</strong>12,<br />

Vu la délibération de la Communauté d'Agglomération Val de France désignant la SEM 92<br />

comme aménageur de la ZAC des Portes de la Ville en date <strong>du</strong> 13 février <strong>20</strong>12,<br />

Vu la convention de subvention en date <strong>du</strong> 22 août <strong>20</strong>12 entre la Communauté<br />

d’Agglomération Val de France, la Ville de <strong>Garges</strong>-<strong>lès</strong>-<strong>Gonesse</strong> et la SEM 92 fixant la<br />

subvention communale sous la forme d’un apport en nature. Cet apport s’effectuant par la<br />

cession à titre onéreux pour un euro symbolique <strong>du</strong> parking dit des « Portes de la Ville »,<br />

Vu la délibération <strong>du</strong> Conseil Municipal en date <strong>du</strong> <strong>20</strong> <strong>mars</strong> <strong>20</strong>13 prononçant la<br />

désaffectation et le déclassement <strong>du</strong> domaine public <strong>du</strong>dit parking,<br />

Considérant que le bien, formé des deux lots de volume de la copropriété dite des<br />

« Portes de la Ville » numérotés 17 et 19 d’une surface respective de 528 m² et 685 m² sis<br />

sur les parcelles cadastrées section AR n°10 et 27, appartient au domaine privé de la<br />

commune,<br />

Considérant l’avis des Services <strong>du</strong> Domaine en date <strong>du</strong> 14 juin <strong>20</strong>12,<br />

Considérant l'intérêt général de la cession,<br />

Ouï l'exposé <strong>du</strong> rapporteur, le conseil municipal, après en avoir délibéré<br />

► DECIDE la cession des deux lots de volume de la copropriété dite des « Portes de la<br />

Ville » numérotés 17 et 19 d’une surface respective de 528 m² et 685 m² sis sur les<br />

parcelles cadastrées section AR n°10 et 27à titre onéreux à l’euro symbolique au profit de<br />

la SEM 92,<br />

► DIT que les frais de notaire sont à la charge de la SEM 92,<br />

► AUTORISE Monsieur le Maire ou son représentant à signer tous les actes<br />

correspondant à l'exécution de cette décision,<br />

► PRECISE que la présente délibération sera transmise à Monsieur le Sous-Préfet de<br />

l'Arrondissement de Sarcelles.<br />

Monsieur le Maire : Elle rejoint le point n° 30. Je suppose que c’est le même vote ? Qui est<br />

pour cette délibération ? Qui est contre ? Contre, le groupe socialiste, société civile, le<br />

groupe <strong>Garges</strong> ensemble, Monsieur Abrantes, Monsieur Bouhenna et Monsieur Kohili.<br />

Très bien merci mes chers collègues.<br />

Point n° 32, c’est Monsieur Bonhomet qui rapporte.


OBJET : « <strong>Garges</strong> demain» - Projet de rénovation urbaine <strong>du</strong> quartier des Doucettes<br />

- Démolition d’un pavillon – Parcelle AZ 44<br />

Vu le Code général des collectivités territoriales,<br />

Vu le Code de l’urbanisme,<br />

Considérant l'arrêté préfectoral <strong>du</strong> 2 septembre <strong>20</strong>09 déclarant d'utilité publique les<br />

acquisitions et travaux nécessaires au projet d’aménagement de la ZAC des Doucettes,<br />

Considérant l’ordonnance <strong>du</strong> 16 novembre <strong>20</strong>10 par laquelle, le juge de l’expropriation <strong>du</strong><br />

Tribunal de Grande Instance de Pontoise a déclaré la Ville de <strong>Garges</strong>-<strong>lès</strong>-<strong>Gonesse</strong><br />

propriétaire de la maison d’habitation sise au 95 avenue de la Division Leclerc, édifiée sur<br />

la parcelle cadastrée AZ 44,<br />

Considérant le jugement <strong>du</strong> 16 mai <strong>20</strong>11 et, en appel, <strong>du</strong> 22 mai <strong>20</strong>12 fixant les<br />

indemnités d’expropriation,<br />

Considérant l’acte d’adhésion quittance signé en date <strong>du</strong> 24 janvier <strong>20</strong>13 avec les<br />

consorts Mezrhab,<br />

Considérant que le projet urbain des Doucettes prévoit des projets de constructions<br />

neuves situés sur les ilots Ange Gabriel et Rimbaud,<br />

Vu les plans ci-joints,<br />

Ouï l'exposé <strong>du</strong> rapporteur, le conseil municipal, après en avoir délibéré<br />

► AUTORISE Monsieur le Maire ou son représentant à déposer pour la Commune un<br />

permis de démolir correspondant aux constructions sises sur la parcelle AZ 44..<br />

► MANDATE Monsieur le Maire pour déposer la demande correspondante, et pour signer<br />

tous les actes en découlant.<br />

► DIT que la présente délibération sera transmise au représentant de l’Etat.<br />

Monsieur le Maire : Pas de questions ? On peut passer au vote ? Qui est pour cette<br />

délibération ? A l’unanimité. Merci mes chers collègues.<br />

Point n°33, c’est toujours Monsieur Bonhomet qui rapporte.<br />

OBJET : Désignation des membres représentant la commune de <strong>Garges</strong>-<strong>lès</strong>-<br />

<strong>Gonesse</strong> aux commissions territoriales de l’EPA Plaine de France<br />

Vu le Code général des collectivités territoriales,<br />

Vu la décision <strong>du</strong> Conseil d’Administration Extraordinaire de l’EPA Plaine de France <strong>du</strong> 30<br />

novembre <strong>20</strong>12 de modifier l'article 12 de son règlement intérieur relatif aux commissions<br />

territoriales,


Vu la création de trois commissions territoriales, correspondant aux trois pôles de<br />

développement de la Plaine de France, à savoir la commission « Pôle métropolitain <strong>du</strong><br />

Bourget », la commission « Le Grand Roissy » et la commission « Sud plaine de France »,<br />

Considérant que les membres associés des commissions sont des représentants des<br />

communes ou établissements publics de coopération intercommunale situés en périphérie<br />

<strong>du</strong> pôle de développement qui participent à la commission avec voix consultative,<br />

Considérant la demande de l’EPA Plaine de France à la Ville de <strong>Garges</strong>-<strong>lès</strong>-<strong>Gonesse</strong> de<br />

désigner un représentant de la ville de <strong>Garges</strong>-<strong>lès</strong>-<strong>Gonesse</strong>, membre associé de la<br />

commission « Pôle Métropolitain <strong>du</strong> Bourget » et un représentant de la ville de <strong>Garges</strong>-<strong>lès</strong>-<br />

<strong>Gonesse</strong>, membre associé de la commission « Sud Plaine de France »,<br />

Considérant le caractère stratégique de ces commissions et donc la nécessité pour la Ville<br />

d’y participer activement,<br />

Ouï l'exposé <strong>du</strong> rapporteur, le conseil municipal, après en avoir délibéré<br />

► DESIGNE M. Pierre DUBOIS comme membre associé de la commission « Pôle<br />

Métropolitain <strong>du</strong> Bourget » en tant que représentant de la Ville de <strong>Garges</strong>-<strong>lès</strong>-<strong>Gonesse</strong>,<br />

► DESIGNE madame Isabelle MEKEDICHE comme membre associé de la commission<br />

«Sud Plaine de France » en tant que représentant de la Ville de <strong>Garges</strong>-<strong>lès</strong>-<strong>Gonesse</strong>,<br />

► PRECISE que la présente délibération sera transmise à Monsieur le Sous-Préfet de<br />

l'Arrondissement de Sarcelles.<br />

Monsieur le Maire : Monsieur Kohili.<br />

Monsieur Kohili : Merci Monsieur le Maire. Bien évidement c’est une petite explication de<br />

vote, donc on ne sera pas <strong>du</strong> tout contre Monsieur Dubois pour sa représentation au sein<br />

de la délégation. Et je voulais ajouter par rapport à ça que je tenais à informer que nous<br />

avons décidé avec Monsieur Bouhenna de créer un groupe indépendant qui aura le nom<br />

« fort et fier ». Et même si le règlement intérieur de notre assemblée dispose qu’il faut être<br />

un nombre certain pour créer un groupe, il n’en reste pas moins que nous tenons à être<br />

identifiés en tant que groupe fort et fier. Donc comme ça se sera plus simple vous ne direz<br />

pas tous les prénoms. L’action de notre groupe à pour but d’ouvrir un champ politique aux<br />

horizons de tous les bords, afin d’instaurer une pluralité et réelle démocratie dans notre<br />

ville. Et notre groupe à pour point de départ de notre volonté de créer une dynamique<br />

sincère en direction …<br />

Monsieur le Maire : Vous voudrez bien Monsieur Kohili me faire une demande écrite.<br />

Monsieur Kohili : Bien sûr Monsieur le Maire. Ce sera fait, je vous la donnerai après.<br />

Monsieur le Maire : Voilà<br />

Monsieur Kohili : J’ai demandé la parole au début <strong>du</strong> conseil, et comme ce n’était pas à<br />

l’ordre <strong>du</strong> jour, le Maire n’a pas voulu me l’a donnée, donc je l’ai pris un petit peu de<br />

manière… Et je suis désolé auprès de mes collègues.<br />

Monsieur le Maire : Une demande officielle et je vous répondrais.<br />

Monsieur Kohili : Bien sûr Monsieur le Maire, elle est là, je vous la pose à la fin <strong>du</strong> conseil.<br />

Monsieur le Maire : Cela fait partie <strong>du</strong> règlement intérieur <strong>du</strong> conseil municipal.


Monsieur Kohili : Bien sûr, pas de problème.<br />

Monsieur le Maire : Monsieur Jully a demandé la parole. Non c’est Monsieur Jacob.<br />

Monsieur Jacob : Oui merci. On ne participera pas au vote.<br />

Monsieur le Maire : Très bien. Je vais quand même demander, qui vote pour ? Qui vote …<br />

Donc seul le groupe socialiste et société civile ne prend pas part au vote, c’est ça ? Les<br />

autres votent pour ? Bon je vais reprendre. Donc le Groupe socialiste et société civile ne<br />

prend pas part au vote. Madame Blanchet, Madame Laporte, Monsieur Bouziad, Monsieur<br />

Lebegue, Monsieur Abrantes, Madame Mayer vous vous abstenez, c’est ça ? Monsieur<br />

Kohili et Monsieur Bouhenna s’abstiennent aussi ? Très bien. Merci mes chers collègues.<br />

Point n° 34, c’est Madame Lalliaud qui rapporte<br />

OBJET : Réhabilitation <strong>du</strong> groupe scolaire Jean Jaurès -<br />

demande de financement<br />

Vu le Code général des collectivités territoriales,<br />

Considérant la nécessité de réhabiliter le groupe scolaire Jean Jaurès,<br />

Considérant le coût prévisionnel des travaux s'élevant à 704 432 € HT, soit 842 500.67 €<br />

TTC,<br />

Considérant la possibilité pour la commune de solliciter le Conseil général <strong>du</strong> Val d'Oise<br />

pour le financement de ces travaux,<br />

Ouï l'exposé <strong>du</strong> rapporteur, le conseil municipal, après en avoir délibéré<br />

Approuve la réalisation des travaux de réhabilitation <strong>du</strong> groupe scolaire Jean Jaurès,<br />

Autorise Monsieur le Maire ou son représentant à solliciter les subventions les plus larges<br />

auprès des différents partenaires financiers,<br />

Approuve le plan de financement prévisionnel annexé à la présente délibération,<br />

Autorise Monsieur le Maire ou son représentant à effectuer les démarches et à signer<br />

tous les actes découlant de la présente délibération,<br />

Dit que les crédits nécessaires à la réalisation de ces travaux sont et seront inscrits au<br />

budget.<br />

Monsieur le Maire : Des questions ? Pas de questions, on peut passer au vote ? Qui est<br />

pour cette délibération ? À l’unanimité. Merci mes chers collègues. C’était le dernier point<br />

à l’ordre <strong>du</strong> jour.<br />

Il y a 2 questions orales. Une qui émane de Monsieur Parny et une qui émane <strong>du</strong> groupe<br />

<strong>Garges</strong> ensemble, <strong>du</strong> parti socialiste et société civile, avec le soutien Europe écologie les<br />

verts. Qui commence ? Monsieur Parny.<br />

Monsieur Parny : Oui sur la question d’abord que notre groupe à déposée.


Nous sommes préoccupés par la fin de se qu’on nomme la trêve hivernale concernant<br />

les expulsions locatives. Dans <strong>Garges</strong> l’Hebdo <strong>du</strong> 15 <strong>mars</strong>, vous publiez une sorte de<br />

mini dossier consacré à cette question … En annonçant les assises <strong>du</strong> logement, qui<br />

auront lieu lundi et mardi prochains, mais cet article plutôt rassurant ne correspond pas à<br />

la situation dramatique dans laquelle se trouvent certains foyers. En réalité les familles qui<br />

sont dans des situations précaires se retrouvent très vite, dans une situation difficile dès<br />

lors qu’elles n’ont pu honorer le paiement de leurs quittances, ce sont souvent des foyers<br />

qui ont eu par la passé une condamnation, une condamnation un jugement d’expulsion<br />

évidemment pas une condamnation pénale. Et le problème c’est que même lorsqu’ils ont<br />

rétabli leurs situations, c'est-à-dire payer leurs loyers, l’ensemble de l’arriéré de la dette,<br />

puis payé régulièrement ce loyer, dès lors qu’il y a une nouvelle difficulté, le fait que le<br />

jugement d’expulsion soit valable 25 ans les replonge immédiatement dans une situation<br />

difficile. Et tout s’accélère, les secours et les aides ont également de plus en plus de mal<br />

à être mobilisés. Sans doute que l’ensemble des élus ont vu dans le Parisien de samedi<br />

dernier, je crois, un article indiquant les délais de plus en plus longs qui étaient<br />

nécessaires, par exemple aujourd’hui à la CAF, pour mettre au point des dossiers<br />

concernant le RSA ou le droit à l’APL.<br />

Cette APL est d’ailleurs supprimée dès que les impayés de loyers sont signalés par les<br />

bailleurs. Ce qui augmente la charge à payer pour ses foyers, alors même qu’ils sont en<br />

difficultés. Tout est ensuite conditionné à un plan d’apurement de la dette qui est pourtant<br />

difficile à réaliser car on demande des engagements, souvent sans rapport avec la<br />

situation financière <strong>du</strong> foyer concerné. Et avant même que des prestations sociales aient<br />

pu être versées. Bref le temps manque pour essayer de mettre en place ce plan<br />

d’apurement. Je vous demande donc Monsieur le Maire de faire fonctionner la<br />

commission que aviez acceptée de mettre en place, pour examiner concrètement,<br />

comment aider les familles en situation d’expulsion. L’objectif de cette commission devrait<br />

être d’empêcher toute expulsion de personne de bonne foi. Il me semble en particulier<br />

que le CCAS devrait immédiatement compenser financièrement la suppression de l’APL<br />

pour ses familles, en attendant qu’elle soit rétablie par la CAF. Afin d’éviter le creusement<br />

artificiel de la dette.<br />

Dans <strong>Garges</strong> l’Hebdo, votre adjoint Monsieur Paré, dit que près de 40 000 euros sont<br />

consacrés à l’aide aux loyers. C’est donc possible, d’autant qu’il s’agirait de négocier avec<br />

la CAF cette dépense comme une avance. Dans une telle commission, je pense aussi<br />

que les travailleuses et les travailleurs sociaux <strong>du</strong> CCAS pourraient être les médiateurs<br />

des familles, auprès de la Sous-Préfecture, de la DDAS et de la CAF. Ainsi les Gargeois<br />

bénéficieraient d’un véritable soutien dans leurs difficultés. Il va de soi que je suis prêt à<br />

contribuer avec mon groupe à cette commission, notamment pour le traitement des<br />

dossiers des personnes que je connais pour les avoir reçus dans ma permanence. Je<br />

vous indique que j’ai informé Monsieur le Sous-Préfet de Sarcelles de la proposition que<br />

je faisais ce soir au conseil municipal, de façon à ce qu’il contribue aussi, en quelque<br />

sorte à la mise en place de ce dispositif. Et j’en ai informé également le directeur<br />

départemental <strong>du</strong> groupe immobilier I3F, ainsi que Monsieur Le Petitcorps directeur<br />

départemental de la CAF.<br />

Monsieur le Maire : Très bien. Vous faites référence, effectivement à l’article qui est passé<br />

dans le <strong>Garges</strong> l'Hebdo, et à l’entrefilet que Monsieur Paré a indiqué dans cette revue,<br />

donc je vais demander à Monsieur Paré de faire réponse à votre question orale.<br />

Monsieur Paré : Merci Monsieur le Maire. Monsieur Parny, Je partage évidemment votre<br />

préoccupation quant à la situation des ménages Gargeois qui doivent faire face à des<br />

problèmes de paiement de leurs loyers. Sachez que la mairie met en œuvre de


nombreuses actions pour répondre à ces besoins et aider ces personnes. Ainsi, l’accueil<br />

<strong>du</strong> CCAS, qui reçoit près de 12 000 personnes chaque année, est un premier niveau<br />

d’information pour l’ensemble de la population Gargeoise. En cas d’impayés de loyer,<br />

même à un stade précoce, les usagers y reçoivent une première information, notamment<br />

sur le fait qu’ils ne sont pas seuls, face à leur situation, que des solutions existent et qu’ils<br />

peuvent solliciter pour cela les services sociaux.<br />

Une orientation vers le partenaire adéquat ou la prise de rendez-vous avec un conseiller<br />

social est alors faite. Avant même que les bailleurs nous sollicitent, la mairie joue donc un<br />

rôle central dans la prévention des expulsions. Mais une dette de loyer révèle souvent un<br />

problème plus général de gestion budgétaire. Or, celui-ci est un des principaux axes de<br />

travail <strong>du</strong> CCAS, notamment par le biais de l’ouverture de droits (APL, RSA), de l’examen<br />

des dépenses, de la sollicitation d’aides financières d’organismes extérieurs, d’allocations<br />

d’aides financières, etc. Par le suivi régulier qui est apporté, le conseiller social sert en<br />

outre d’interface avec les bailleurs sociaux, notamment pour la négociation d’un plan<br />

d’apurement, la suspension de la procé<strong>du</strong>re d’expulsion, l’adaptation <strong>du</strong> plan d’apurement<br />

en cas de changement de la situation. Sachez d’ailleurs que les plans d’apurement<br />

proposés par le biais <strong>du</strong> CCAS sont toujours en adéquation avec les ressources<br />

disponibles et n’empiètent pas sur les besoins vitaux des personnes. Si le CCAS verse,<br />

dans le cadre de cet accompagnement, des aides financières pour aider les ménages à<br />

rétablir leur situation, la compensation des APL suspen<strong>du</strong>es n’est ni possible ni<br />

souhaitable. En effet, l’on ne voit pas pourquoi ce principe ne s’appliquerait pas à<br />

l’ensemble des prestations versées par la CAF (RSA, AAH, allocations familiales.), ce qui<br />

supposerait un budget tout bonnement pharaonique au vu de l’importance des<br />

suspensions de droits CAF. La mairie ne peut pallier toutes les défaillances des institutions<br />

en place ni déresponsabiliser les personnes; elle n’en a pas les moyens, et cela ne serait<br />

pas aider les gens <strong>du</strong>rablement. En revanche, les conseillers sociaux s’assurent, le temps<br />

que les prestations soient rétablies, que les besoins vitaux sont assurés, par exemple par<br />

le biais d’une aide alimentaire ou d’une aide au loyer. Le CCAS joue alors à plein son rôle<br />

d’aide facultative, les conseillers sociaux accompagnant les usagers pour le<br />

rétablissement des droits et par là même de leur autonomie, par un rôle de médiateur visà-vis<br />

d’autres institutions.<br />

En plus de ces interventions globales et indivi<strong>du</strong>alisées, la mairie a également mis en<br />

place des procé<strong>du</strong>res spécifiques de prévention des expulsions. 3 commissions d’impayés<br />

de loyers existent donc, avec I3F, Toit et Joie et Logirep. Nous espérons étendre ce<br />

système à d’autres bailleurs. Ces commissions ont pour but : de résorber les impayés par<br />

la mise en place de solutions adaptées, de rechercher l’origine de la dette, de proposer<br />

aux familles un accompagnement social adapté, de coordonner et d’améliorer<br />

l’intervention des différents acteurs. Ces commissions ont lieu tous les deux mois. Dans<br />

les semaines qui les précèdent, sachez que les services municipaux invitent à se<br />

présenter tous les ménages signalés, afin de mettre en place avec eux le suivi social<br />

nécessaire. Malheureusement, certaines situations ne se résolvent pas à ce stade.<br />

Lorsque la préfecture signale à la mairie les ménages menacés d’une expulsion, ceux-ci<br />

sont également invités à se présenter, pour de nouveau trouver des solutions spécifiques.<br />

Pour l'année .<strong>20</strong>12 : sur 424 signalements, tous ont été convoqués par le C.C.A.S.; 157<br />

ménages se sont présentés, soit 37,02% des personnes concernées, En plus de ce suivi<br />

social, la municipalité intervient comme médiateur auprès de l’Etat et des services<br />

contentieux des bailleurs pour plaider les dossiers des ménages. De fait, grâce à<br />

l’ensemble de ces actions, une très grande majorité des ménages peuvent obtenir des<br />

solutions adaptées à leur situation et ainsi éviter l’expulsion. Mais ce résultat n’est possible<br />

que si les ménages eux-mêmes s’engagent et suivent ces solutions. Pour y parvenir, nous


éfléchissons en permanence aux meilleurs moyens d’adapter nos actions et nos<br />

méthodes de travail. Je vous remercie donc de m'avoir permis, par votre question, de<br />

rappeler l'action sociale et la cohésion sociale que Monsieur le Président <strong>du</strong> C.C.A.S. à<br />

savoir Monsieur Maurice LEFEVRE développe pour les Gargeoises et les Gargeois.<br />

Monsieur le Maire : Bien. Monsieur Parny.<br />

Monsieur Parny : Juste un commentaire. D’abord c’est utile d’envoyer les questions à<br />

l’avance, ça permet à votre exécutif de répondre complètement.<br />

Monsieur le Maire : Tout à fait.<br />

Monsieur Parny : Deuxièmement, vous me transmettrez, si vous en êtes d’accord, vous<br />

me transmettrez par écrit, enfin ce sera au compte ren<strong>du</strong> <strong>du</strong> conseil municipal, je pense<br />

que l’enregistrement fonctionne aujourd’hui. Mais si vous pouvez me le transmettre, j’en<br />

serais ravi, ce qui me permettra pour les personnes qui viennent me voir, très peu<br />

nombreuses par rapport au nombre de cas que vous avez indiqué, 424 cas signalés, c’est<br />

énorme, ça confirme toutes mes craintes. Donc cela me permettra de vérifier que tous<br />

vos propos sont bien tenus, je ne vous mets pas en cause personnellement. Mais j’ai en<br />

mémoire, une expulsion qui a eu lieu l’an dernier sur une famille qui était venu me voir,<br />

exactement pour la raison que j’ai indiqué, c’est que cette famille avait rétabli ses<br />

versements en totalité de la quittance de loyer, excepté l’APL. Et comme la CAF n’a pas<br />

rétablie l’APL, la dette à continué de se creuser et la famille a été expulsée. Et vous le<br />

savez très bien, et vous le savez Monsieur le Maire, puisque vous avez accueilli une<br />

délégation dans votre bureau concernant cette famille. Donc ce genre de cas existe.<br />

Encore une fois. Et quand j’en ai parlé avec Monsieur Le Petitcorps, il n’a pas nié qu’il y<br />

avait quelques difficultés. Et encore une fois, si je fais référence à l’article <strong>du</strong> Parisien, qui<br />

indique les longs délais pour régler les dossiers de la CAF, il y a un vrai problème. Donc<br />

je vous remercie de cette réponse. Je prends bonne note.<br />

Il y a juste une chose que vous n’avez pas indiqué, c’est ce que la commission que vous<br />

avez mise en place, qui se réunit tous les 2 mois, mais convenez que là, vu la fin de la<br />

trêve hivernale, il y a une urgence quand même. Surtout si vous avez énormément de<br />

dossiers signalés. Est-ce que vous acceptez d’associer la minorité aussi au travail de<br />

cette commission ? Et notamment les élus qui, comme moi interviennent auprès des<br />

différents organismes sociaux, pour essayer de rétablir ses situations ? Parce qu’encore<br />

une fois, on ne va pas développer le débat ici, je peux d’ailleurs aller vous voir. Je sais<br />

que vous laissez votre porte ouverte, mais il y a des dossiers très compliqués à régler et<br />

je crains pour ses familles là, dans la période qui vient. Donc est ce que vous acceptez de<br />

faire en sorte que nous participions à cette commission.<br />

Monsieur le Maire : Il faut regarder avec…<br />

Monsieur Paré : Parce que c’est avec les bailleurs sociaux. Il peut servir d’intermédiaire,<br />

c’est ce que je voulais dire à Monsieur Parny.<br />

Monsieur le Maire : Je pense que lorsqu’il y a des cas particuliers spécifiques, on peut<br />

effectivement voir avec les dossiers présentés que vous puissiez être présent. Bien, la<br />

question orale des 2 groupes. Qui présente ? Monsieur Parny.<br />

Monsieur Parny : Donc c’est une question présentée par nos 2 groupes ici présents.<br />

Également, le soutien d’Europe écologie les verts, c’est formulé comme ça, puisqu’il ne<br />

constitue pas un groupe dans ce conseil. Donc Monsieur le Maire, vous le savez, puisque<br />

le président de l’association des commerçants <strong>du</strong> centre Arc en Ciel, nous on donné copie<br />

à Yvon Jacob et moi-même, <strong>du</strong> courrier qu’il vous a adressé.


Vous savez donc que l’association des commerçants <strong>du</strong> centre Arc-en-ciel mènera<br />

vendredi matin, une action, certes un peu symbolique, mais importante de fermeture des<br />

commerces de 8h à 10h. Et dans cette période, souhaite être reçue par vous, en<br />

présence de l’EPARECA, qui est la société propriétaire <strong>du</strong> centre Arc-en-ciel aujourd’hui.<br />

Le Président de l’association nous a indiqué d’ailleurs, que dans un contexte personnel, il<br />

avait eu avec un des responsables de l’EPARECA. L’EPARECA semblait favorable à être<br />

présent sur un rendez-vous éventuel. Donc, le premier but, bien sûr, de notre question<br />

orale, c’est profitons de ce conseil qui a lieu deux jours avant leur action. De vous<br />

demander de nous confirmer que cette rencontre aura bien lieu. Que vous recevrez ces<br />

commerçants ou délégation des commerçants, vendredi matin, en présence de<br />

l’EPARECA. Et que vous associez l’ensemble des groupes à cette rencontre puisqu’il<br />

s’agit de l’intérêt général de la ville. Il s’agit <strong>du</strong> devenir <strong>du</strong> centre Arc-en-ciel.<br />

Rapidement, pour les Gargeois et Gargeoises qui sont dans la salle, le fond <strong>du</strong> dossier,<br />

c’est qu’aujourd’hui, bon nombre de commerçants se retrouvent avec de sommes à payer<br />

qui sont très importantes. Qui tiennent pour une part, à des loyers très élevés, si on les<br />

compare à d’autres commerces dans la ville. Certes, dans des conditions financières<br />

différentes, on le sait. Si le Groupe Immobilière 3F loue des locaux, il a d’autres façons de<br />

rentabiliser, en quelque sorte, ces investissements, que un centre commercial qui est<br />

composé que de commerçants. Mais, la réalité, en tout les cas, c’est qu’il y a des loyers<br />

très élevés qui sont parfois trois fois supérieurs à des loyers d’autres commerces dans la<br />

ville. Et en même temps, pour certains de ces commerces, il y a un arriéré, dont on ne<br />

connait pas tout le détail, bien sûr on n’a pas à rentrer dans les comptes de ces<br />

commerces, mais il y a un arriéré qui est réclamé, en même temps et qui crée une<br />

difficulté. Si cette situation ne trouve pas solution, il y a un risque que des commerces se<br />

ferment. Et c’est pour ça, que je disais que c’est l’intérêt général, de nous toutes et nous<br />

tous ici, de réfléchir à comment éviter que des commerces se ferment. Car<br />

malheureusement, il pourrait y avoir un effet domino et au fur et à mesure que des<br />

commerces fermeraient, c’est le centre lui-même qui serait en difficulté.<br />

Nous avons bien conscience qu’il faut réaliser l’équilibre financier <strong>du</strong> centre, sans aucun<br />

doute. Mais les commerçants souhaitent, au moins, la transparence de gestion. C’est-àdire,<br />

souhaitent entendre de l’EPARECA, qu’est ce qu’on leur réclame exactement ? Et<br />

dans le budget <strong>du</strong> centre Arc-en-ciel, qu’elles sont les entrées et les sorties ? Puisque ce<br />

centre commercial a bénéficié de subventionnement public très fort notamment de la<br />

Caisse des dépôts et consignations, de l’ANRU au moment où il y a eu restructuration <strong>du</strong><br />

centre, avant que la propriété soit confiée à l’EPARECA. Et que, il y a une interrogation<br />

pour savoir si une partie de ces investissements ne soit pas répercutée dans les charges<br />

de gestion <strong>du</strong> centre. Cela d’ailleurs ouvrirait une hypothèse de solution. Puisque sans<br />

doute, on pourrait avec l’appui de la Caisse des dépôts et consignations obtenir<br />

certainement le lissage en quelque sorte, de ces remboursements et donc la possibilité<br />

de négocier pour les commerces les plus en difficultés, également, une sorte d’effet<br />

ciseau, leur permettant de faire face à leurs charges. Donc, on voit bien, que c’est un<br />

dossier important. Je vous avais interrogé, je crois il y a trois ou quatre mois, dans un<br />

conseil précédent, sur cette situation. Vous m’aviez renvoyé vers Val de France. Mais<br />

quand j’ai pris contact avec Val de France, on m’a indiqué, bien sûr, que c’est<br />

l’EPARECA, aujourd’hui qui gérait ce centre. Donc, il y a cette opportunité. Nous<br />

souhaitons que vous nous indiquiez ce soir, si vous répondez favorablement à la fois à la<br />

demande de cette association de ces commerçants et à notre demande à nous d’y être<br />

associé ?


Monsieur le Maire : Tout d’abord Messieurs les élus de l’opposition, je me félicite que vous<br />

preniez conscience qu’un travail important a été fourni pour relancer la situation <strong>du</strong> centre.<br />

Là aussi c’est historique. C’est en 1997 que nous avons obtenu que des partenaires<br />

comme l’EPARECA, la C.D.C. autres financeurs s’intéressent à cet équipement<br />

commercial de quartier.<br />

Je pense que vous vous souvenez de l’état de ce centre commercial lorsque nous avons<br />

repris la gestion de la ville, il s’agissait d’une friche commerciale sans même de superette.<br />

Puisque le G <strong>20</strong> qui était là, n’a jamais ouvert. On a vu l’enseigne mais jamais d’ouverture.<br />

Comme vous l’indiquez, l’association des commerçants et notamment le Président et le<br />

Trésorier ont demandé que je les reçoive. Or, et vous le comprendrez, je ne gère pas le<br />

centre et j’ai donc sollicité l’EPARECA qui a accepté d’être présent à cette réunion de<br />

façon à apporter le plus de renseignement possible aux questions posées et je m’en<br />

félicite.<br />

Vous me dites vouloir y participer. Pour ma part, je n’y vois pas d’inconvénient mais je<br />

pense que vous devriez faire votre demande vous-même auprès de l’EPARACA. Ce n’est<br />

pas à moi de le décider, vous le comprendrez.<br />

Sur l’importance <strong>du</strong> coût des loyers, je ne maîtrise pas les bases de calcul utilisées pour<br />

ce faire. Ce que je peux vous dire, c’est que le loyer hors charges aux Doucettes est<br />

compris entre 82 et 172 € le m² par an. Aux portes de la Ville, les loyers sont variables et<br />

se situent au-dessus des <strong>20</strong>0€ le m² par an avec certains loyers allants jusqu’à 325 € le<br />

m2 par an. Les Mouettes est un centre, propriété de la Ville avec des loyers inférieurs, il<br />

est vrai de 30 à 40 %. Mais c’est là, un effort de la Ville. Sur la Muette, c’est dans le cadre<br />

de l’ANRU qui a apporté des subventions substantielles et exceptionnelles pour<br />

réimplanter les commerces qui justifie le taux des loyers à environ 65 € le m² par an.<br />

Soyez assurés que mon souci est bien de pérenniser le bon fonctionnement <strong>du</strong> centre<br />

« Arc en Ciel ». Le travail qui a été fait jusqu’à aujourd’hui, on ne l’a pas fait pour rien.<br />

Enfin et pour conclure, j’ai souhaité que l’implantation de la Maison de santé et <strong>du</strong> Pôle<br />

services à la population se fasse au sein même <strong>du</strong> centre commercial « Arc en ciel ».<br />

C’est une des raisons pour que ce centre soit plus dynamique qu’il ne l’est aujourd’hui et<br />

que les commerçants arrivent à joindre les deux bouts, si l’on peut s’exprimer ainsi. Ce<br />

choix d’implantation de ces services publics au sein d’un centre commercial est novateur.<br />

Il permettra à moyen terme d’augmenter considérablement la fréquentation des<br />

Gargeoises et des Gargeois au sein <strong>du</strong> centre, qui est aussi un des moyens de<br />

pérennisation de l’activité commerciale <strong>du</strong> centre.<br />

C’est là une belle perspective de développement <strong>du</strong> centre commercial « Arc en Ciel ». Je<br />

ne doute pas un seul instant de votre soutien et de votre adhésion sans faille et sans<br />

équivoque à ce projet, dans l’intérêt général <strong>du</strong> centre commercial et de ces commerçants,<br />

mais aussi dans l’intérêt général de notre Ville. Voilà, ce que je peux vous dire. Et la<br />

réunion prévue vendredi matin à 9h est toujours d’actualité.<br />

Monsieur Parny : Juste un mot pour vous dire que nous prenons votre réponse, au positif<br />

puisque vous avez accepté cette rencontre donc c’est une chose tout à fait positive. Je<br />

pense que vous aurez pu prendre l’initiative d’associer les groupes à cette rencontre.<br />

Parce que c’est, encore une fois, de votre autorité. Ce soir, vous avez beaucoup dit que<br />

vous ne régliez pas beaucoup de questions. Je pense que celle là, vous aurez pu la<br />

régler. Mais dès demain, j’appellerai l’EPARECA, en ce qui me concerne.


Monsieur le Maire : Très bien. Je vous remercie de votre présence à tous et vous<br />

souhaite une bonne fin de soirée.<br />

Le conseil municipal prend fin à <strong>20</strong>h57<br />

Le Maire Le secrétaire de séance<br />

Monsieur Maurice LEFEVRE Monsieur Bruno YAKAN

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