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Mémoires historiques, tome second - Chine ancienne

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Se-ma Ts’ien — <strong>Mémoires</strong> Historiques<br />

Tome II<br />

05.(421) Cf. note 402. Le prince Che était un frère cadet du roi de Ts’in, et né<br />

de la même mère que lui ; on l’appelle souvent le prince de Kao-ling ; sur le<br />

prince Li, prince de King-yang, cf. note 394.<br />

05.(422) Tch’eng-yang était une petite principauté qui occupait l’emplacement<br />

de la préfecture <strong>second</strong>aire de Lu, préfecture de I-tcheou, province de Chan-<br />

tong ; ses princes avaient pour nom de famille Ki ; ils avaient pour premier<br />

ancêtre Ki-tsai, frère cadet du roi Ou, de la dynastie Tcheou.<br />

05.(423) Sur les Tcheou orientaux, cf. <strong>tome</strong> I, note 04.497.<br />

05.(424) On a vu plus haut (note 418) que Yuen était le nom qui avait été<br />

donné à la ville de P’ou-fan. Le roi de Ts’in, étant entré en possession de ce<br />

territoire, donna le nom de Yuen aux deux régions de P’ou-fan et de Pi-che (cf.<br />

notes 392 et 346). La phrase de Se-ma Ts’ien, si on l’entendait littéralement,<br />

signifierait au contraire que le roi de Ts’in fit du territoire de Yuen les<br />

territoires de P’ou-fan et P’i-che.<br />

05.(425) Cf. <strong>tome</strong> I, note 04.508.<br />

05.(426) Le Tchou chou ki nien dit (cf. Legge, <strong>Chine</strong>se Classics, vol. III,<br />

prolégomènes, p. 175) qu’en l’an 315 av. J.-C., le roi de Wei changea le nom<br />

de K’iu-yang en celui de Ho-yong. K’iu-yang était à 10 li à l’ouest de la sous-<br />

préfecture de Tsi-yuen, préfecture de Hoai-k’ing, province de Ho-nan. — Yuen,<br />

qui est appelé Sin-yuen était dans le voisinage immédiat de K’iu-yang (cf.<br />

T’ong kien kang mou, 28 e année du roi Nan). Il ne faut donc pas confondre<br />

cette ville avec le territoire de Yuen mentionné plus haut (notes 418 et 424).<br />

05.(427) Je n’ai pu trouver aucun éclaircissement historique à cette phrase.<br />

05.(428) Depuis le vicomte de Wei, qui avait été le premier prince de Song (cf.<br />

<strong>tome</strong> I, p. 245), jusqu’au roi Yen, qui en fut le dernier souverain, il y avait eu<br />

en tout 32 princes successifs. Le Tableau chronologique (<strong>Mémoires</strong> <strong>historiques</strong>,<br />

chap. XV), ainsi que le Kang mou et le Tsi lan, rapportent la destruction de<br />

l’État de Song à l’année 286 av. J.-C.<br />

05.(429) Cf. <strong>tome</strong> I, note 04.445.<br />

05.(430) Cf. <strong>tome</strong> I, note 04.476.<br />

05.(431) Aujourd’hui sous-préfecture de Ngan-i, préfecture <strong>second</strong>aire de Kie,<br />

province de Chān-si.<br />

05.(431) Cf. appendice I, § 2.<br />

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