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Mémoires historiques, tome second - Chine ancienne

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Se-ma Ts’ien — <strong>Mémoires</strong> Historiques<br />

Tome II<br />

Yen Che-kou dit : « Ngo signifie voisin ; cela vient de ce que (ce palais) était<br />

proche de Hien-yang. »<br />

Ainsi [] est une expression formée de deux synonymes qui signifient tous deux<br />

« proche, voisin de ». Comme on le verra quelques lignes plus bas, c’est<br />

l’usage populaire qui attribua à la construction élevée par Ts’in Che-hoang-ti le<br />

nom de « palais voisin » (de la capitale).<br />

06.(350) Le pas vaut cinq pieds ; le tchang en vaut dix.<br />

06.(351) Le mot peut signifier « arc de triomphe » (cf. De Groot, The religious<br />

system of China, volume II, p. 769) ; c’est le seul sens qui me paraisse<br />

convenir ici.<br />

06.(352) Cf. note 237.<br />

06.(353) Nous expliquerons ces termes astronomiques dans nos annotations au<br />

chapitre XXVII des <strong>Mémoires</strong> <strong>historiques</strong>. — Le chemin construit par Ts’in Che-<br />

hoang-ti comportait un pont qui traversait la rivière Wei comme les étoiles<br />

Tien-ki traversent la voie lactée. Ce pont s’appelait le Heng-kiao (T’ong kien<br />

kang mou, chap. III, p. 20 v°).<br />

06.(354) Cf. note 349.<br />

06.(355) Le mot est inexplicable et les commentateurs sont muets. Il faut<br />

admettre que, comme cela arrive souvent chez Se-ma Ts’ien, ce mot n’est<br />

qu’une phonétique à laquelle le développement ultérieur de l’écriture chinoise<br />

ajoutera une clef ; ce mot s’écrirait donc aujourd’hui « couler, faire couler ».<br />

06.(356) C’est-à-dire du Se-tch’oan et du Hou-koang<br />

06.(357) Je n’ai trouvé aucun moyen d’identifier cette localité.<br />

06.(358) C’est-à-dire qu’on créa une ville à l’endroit où était préparée la<br />

sépulture de l’Empereur.<br />

06.(359) Cf. note 346.<br />

06.(360) Ce maître Lou a déjà été mentionné en la 32 e année de Ts’in Che-<br />

hoang-ti.<br />

06.(361) La plante tche qui conférait l’immortalité, était un champignon auquel<br />

le P. Cibot donne le nom d’Agaric ramifié (cf. <strong>Mémoires</strong> concernant les Chinois,<br />

<strong>tome</strong> IV, p. 500 ; — Bretschneider, Botanicon sinicum, n° 41 ; — M. Schlegel a<br />

donné dans le T’oung pao, mars 1895, p. 18, une planche représentant ce<br />

champignon).<br />

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