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Mémoires historiques, tome second - Chine ancienne

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Se-ma Ts’ien — <strong>Mémoires</strong> Historiques<br />

Tome II<br />

06.(388) Le Che ki luen wen en place le point après [] : mais que faut-il faire<br />

alors des deux mots [. . ] ? avec la ponctuation que j’ai adoptée, je considère<br />

ces deux mots comme un nom de lieu ; mais c’est une hypothèse arbitraire,<br />

car on ne trouve mentionnée nulle part la localité de Tsi-ko. En réalité, le texte<br />

me paraît ici corrompu. Voyez la note suivante.<br />

06.(389) Le texte est certainement altéré, car, pour aller de Yun-mong dans le<br />

Hou-pe, à Tan-yang, dans le Kiang-sou, Ts’in Che-hoang-ti n’a pas cessé de<br />

rester fort éloigné de la mer. Tchang Cheou-tsie propose de remplacer [] par<br />

[] : on traduirait alors : il traversa l’îlot de Chou. La localité de Chou<br />

correspond à la sous-préfecture actuelle de Ts’ien-chan, préfecture de Ngan-<br />

k’ing, province de Ngan-hoei : elle se trouve en effet dans un îlot, sur une des<br />

ramifications du Yang-tse en amont de Nan-king ou Kiang-ning.<br />

06.(390) Aujourd’hui, sous-préfecture de Chang-yuen, préfecture de Kiang-<br />

ning, province de Kiang-sou.<br />

06.(391) Aujourd’hui, sous-préfecture de Ts’ien-t’ang, préfecture de Hang-<br />

tcheou, province de Tche-kiang.<br />

06.(392) Cf. <strong>tome</strong> I, note 02.165.<br />

06.(393) L’endroit où Ts’in Che-hoang-ti passa le fleuve correspond à la sous-<br />

préfecture actuelle de Yu-hang, préfecture de Hang-tcheou, province de Tche-<br />

kiang.<br />

06.(394) Cf. <strong>tome</strong> I, note 02.301. C’est sur le Koei-ki qu’était enterré<br />

l’empereur Yu.<br />

06.(395) « Cette inscription se compose de quatre strophes : chaque strophe<br />

compte six vers et chaque vers est formé par trois phrases de quatre mots.<br />

Les deux premières strophes sont construites sur une seule rime qui est donc<br />

commune à douze vers ; il en est de même des deux dernières<br />

strophes.(Journal asiatique, mai-juin 1893, p. 508).<br />

06.(396) Les rimes des deux premières strophes sont dans la dixième<br />

catégorie.<br />

06.(397) Le <strong>second</strong> mariage d’une femme qui a des enfants est condamné<br />

comme une immoralité,<br />

06.(398) Condamnation de l’adultère en termes énergique. — Le Je tche lou,<br />

chap. XIII, p. 1 r°, rapproche de cette phrase une chanson populaire fort<br />

grossière qui nous a été conservée par le Tso tchouan (14 e année du duc<br />

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