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Mémoires historiques, tome second - Chine ancienne

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Se-ma Ts’ien — <strong>Mémoires</strong> Historiques<br />

Tome II<br />

06.(409) Aujourd’hui, sous-préfecture de P’ing-yuen, préfecture de Tsi-nan,<br />

province de Chan-tong.<br />

06.(410) On se rappelle que Fou-sou, fils aîné de l’empereur, avait été envoyé<br />

en disgrâce auprès du général Mong-t’ien qui construisait alors la Grande<br />

Muraille. Cf. p. 182.<br />

06.(411) D’après le tableau chronologique que j’ai dressé (Toung pao, vol. VII,<br />

p. 23), le premier jour du septième mois de la 37 e année de Ts’in Che-hoang-ti<br />

aurait été le jour ping-tse, qui est le 13 e du cycle et qui correspond au 22<br />

juillet 210. Le jour ping-yn, troisième du cycle, a donc pu se trouver compris<br />

dans ce mois. Il est très probable que l’indication du jour est ici erronée, car<br />

elle ne se laisse pas concilier avec le fait que le quatrième jour du dixième<br />

mois de cette même année avait été le jour koei-tch’eou, cinquantième du<br />

cycle. Cf. note 386.<br />

06.(412) Cf. <strong>tome</strong> I, note 03.206.<br />

06.(413) Le commentaire du T’ong kien tsi lan (chap. XI, p. 10 r°) explique de<br />

la manière suivante l’expression [] : c’était une voiture de repos ; elle avait<br />

des fenêtres ; en les fermant, on avait chaud : en les ouvrant, on avait frais.<br />

06.(414) Proprement : leur faire l’énumération de leurs crimes. Nous<br />

trouverons fréquemment le mot [] dans ce sens de « énumérer » les fautes et<br />

par suite les « reprocher ».<br />

06.(415) <strong>Mémoires</strong> <strong>historiques</strong>, chap. LXXXVII ; cf. aussi chap. LXXXVIII.<br />

06.(416) Tsing-hing, dit Siu Koang, se trouvait dans le Tch’ang-chan ; or le<br />

Tch’ang-chan paraît être la chaîne de montagnes qui se trouve sur le territoire<br />

de la préfecture de Tcheng-ting, dans le Tche-li (cf. <strong>tome</strong> I, note 02.223). —<br />

Quant à Kieou-yuen, quoique les commentateurs ne disent rien à sujet, ce<br />

terme me paraît fort embarrassant ; en effet, la commanderie de Kieou-yuen<br />

était au nord et en dehors de la grande boucle du Hoang-ho ; elle était donc<br />

fort en dehors du chemin direct du Tche-li à Hien-yang ; je propose de corriger<br />

le texte et de lire T’ai-yuen : la commanderie de T’ai-yuen, dans le Chān-si, se<br />

trouvait exactement sur la route que dut suivre le convoi.<br />

06.(417) La position du mot [] indique qu’il faut traduire « par char », c’est-à-<br />

dire dans chaque char de l’escorte, et non pas dans le char de l’empereur,<br />

comme on l’a dit quelquefois. Il serait d’ailleurs assez bizarre que l’empereur<br />

étant supposé vivant, on mit sur son char du poisson salé qui sentait fort<br />

mauvais.<br />

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