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HAÏ EL BADR (BACHEDJARAH) : COLLECTEUR ENDOMMAGÉ Le collecteur identifié par l’appellation Oued Ouchayah a été endommagé au niveau de la localité de Haï El Badr. D’après un membre d’une association locale, cet incident a eu lieu lors de l’intervention d’une entreprise privée engagée dernièrement suite à une convention signée entre l’APC de Bachedjarah et les services de la direction de l’hydraulique. «L’engin a démoli une partie de la paroi du collecteur. Il a aussi cassé des dalles couvrant une bouche située derrière le centre de santé. En outre, les eaux usées qui se déversent dans l’oued, traversant la localité, dégagent des odeurs fétides. Les services concernés sont priés d’assurer les réparations nécessaires afin de préserver la santé des riverains, le risque de MTH n’est plus à écarter », a-t-il indiqué. Il convient de préciser que l’oued précité, qui est l’extension de l’oued El Habki en provenance de Birkhadem, est un canal naturel pour le drainage des eaux pluviales. «En plus de l’opération de curage, les services de l’hydraulique doivent exécuter des ouvrages mettant fin à cette situation déplorable», a conclu le même interlocuteur. Il est utile de préciser qu’en l’absence de plans et de coordination entre le service technique de l’APC et l’entrepreneur, des accidents sémilaires sont devenus légions. L. B. Indice de la qualité de l’air RÉSEAU DE SURVEILLANCE DE LA QUALITÉ DE L’AIR SAMASAFIA ALGER JOURNÉE DU DIMANCHE 9 DÉCEMBRE 2007 10 9 8 7 6 5 4 3 2 1 0 1er Mai Ben Aknoun Bab El Oued Signification des indices 1. Excellent Sans effets 2. Très bon 3. Bon 4. Bon Effets sur sujets sensibles Effets modérés sur la santé Risques élevés sur la santé 5. Moyen 6. Médiocre 7. Très médiocre 8. Mauvais 9. Très mauvais 10. Exécrable Commentaire Les indices de la qualité d’air sont bons sur toutes les zones surveillées de l’agglomération, le polluant responsable des indices est dioxydes d’azote. HORAIRES DES PRIÈRES El Fedjr ........………… ...... 06h17 Dohr ................................ 12h40 El Asr ............................... 15h14 El Maghreb.................... 17h37 El Icha.. ......................... 18h59 L 'établissement Netcom a invité les entreprises et organismes de réalisation privés et publics à procéder au déversement de terre arable à la décharge publique de Oued Smar, toujours opérationnelle. L'opération est gratuite et les concernés peuvent y accéder sans contraintes. Tout produit autre que de la terre arable sera renvoyé, insiste-t-on. «Le processus de fermeture de la décharge», lancé après la visite du ministre de l'Environnement, Rahmani, le 14 février 2006, sur le site, ne semble pas prendre fin. des espaces verts couvrant 30 ha devaient la remplacer comme promis par le ministre «dans 18 mois», mais les prévisions ont été, revues. A part les quelques nuisances enlevées, aucun changement n'est intervenu, et le faible «tournage» de déchets promis n'a pas été réellement respecté. La deuxième tranche, qui verra la fermeture partielle de la décharge, commencera après la fin des études menées par un bureau libanais Liban-consult. L'étude d'impact sur l'environnement ainsi qu'une étude d'impact sur la réhabilitation devaient être réalisées. L'exploitation s’est El Watan - Lundi 10 décembre 2007 - 10 ALGER INFO AMÉNAGEMENT DE LA DÉCHARGE PUBLIQUE DE OUED SMAR INSTANTANÉ Opération terre arable ● La décharge reçoit toujours les déchets ménagers et sa fermeture n’est pas pour bientôt. a fange boueuse charriée le L long des affluents lors des dernières intempéries dans l’Algérois n’a pas manqué de mettre les services de voirie devant le fait accompli. Le dispositif de l’ONA, d’Asrout et de la DTP de la wilaya a été mis en branle pour débarrasser le plancher de la cité du triste décor. Un bourbier que les responsables ont eu l’ingénieuse idée de le transférer ailleurs : la grande bleue. Non seulement, on n’arrive pas à retenir la leçon, mais on pousse la bêtise plus loin. On l’entretient même avec effronterie. Au moment où l’on interdit les décharges anarchiques aux particuliers, les autorités locales donnent un bel exemple en portant un autre coup à l’environnement qui en pâtit déjà par ceux qui ont trouvé l’astuce de faire une autre fois dans le simplisme. A quoi bon se formaliser lorsqu’il n’y a qu’un pas à franchir entre les cours d’eau de Baïnem, Zghra ou Sidi El Kebir et les promontoires de la Corniche et de l’ex-Tir aux pigeons, par-dessus lesquels on balance les déblais ? La bourde a été consommée, et advienne que pourra, doivent se dire ceux qui n’en ont cure des conséquences qui peuvent en résulter de cette La fermeture définitive de la décharge a été maintes fois reportée poursuivie en parallèle avec les travaux de réhabilitation. Mise en service en 1978 après la fermeture de la décharge de Baraki, cette décharge implantée à l'est d'Alger (Oued Smar) est arrivée à saturation. Elle recevait jusqu'à 2500 tonnes par jour de déchets provenant des communes de la capitale, soit plus de 3 millions de tonnes par an. La décharge en fin de vie a commencé à connaître des problèmes et les conditions météorologiques ont poussé à sa fer- M. Tchoubane Crime contre la nature action de «nettoyage» éhontée, rebutante et répréhensible. Les écolos, quant à eux, peuvent bredouiller à l’envi s’ils le veulent, en voyant cette opération qui consiste à déplacer les milliers de tonnes de terre vers les criques et calanques qui jalonnent une partie de notre littoral avant d’être déversés dans la mer. Ils peuvent baragouiner le langage des Verts, si cela leur chante, qui sera inaudible par les portugaises ensablées des gestionnaires de la ville. Ils peuvent interpeller à tue-tête les édiles qui planchent sur un autre canevas que celui de la protection de nos rivages et de notre patrimoine forestier. Ils peuvent se mettre en rogne, si cela résorbe leur colère, avant de montrer du doigt ceux qui enfreignent les lois basiques en matière de préservation de l’environnement. Ils peuvent organiser des journées, ici et là, si cela leur plaît, pour expliquer le forfait commis contre la biomasse marine et les maillons de la chaîne écologique. Mais leur pouvoir réussira-t-il un jour à faire entendre raison les réfractaires ? Ceux-là mêmes qui agissent toute honte bue, contre Dame nature. Non sans tourner le dos à la mer. meture provisoire. Des sites intercommunaux et mêmes interwilayas sont envisagés. Deux CET (centres d’enfouissement techniques) à Sidi Abdellah, un autre à Ouled Chbel, ainsi qu’une station de tri, de compactage et de transfert devaient être réalisés à Bourouba. Les déchets ont été envoyés vers le site de Ouled Fayet dont l'extension est toujours en cours. Trois casiers y sont exploités ; l'un arrivé à saturation est d'une capacité de 86 000 m3 , le deuxième de 36 000 et le dernier d'un million de mètres cubes. Deux autres nouveaux casiers d'une capacité de 125 000 et 500 000 m3 devaient être mis en exploitation. Ils recevront des déchets urbains, mais les déchets industriels feront l'objet d'un schéma directeur. «Avec la multiplication des centres d'enfouissement techniques, la décharge de Oued Smar fera définitivement partie du passé», a-t-on promis à la direction de l’environnement. La recherche d'autres sites alternatifs pour les déchets ménagers sera lancée d'ici à 2009, insiste-ton. Il est à noter que pas moins de 200 décharges sauvages existent dans toute la capitale et créent des problèmes à la population. Nadir Iddir QUARTIER NEZZALI (BARAKI) BIENTÔT LE GAZ DE VILLE lus de 200 foyers bénéficieront prochainement du gaz de ville au quartier P de Nezzali près de Raïs. Dans cette dernière localité, 1500 maisons sont déjà raccordées au réseau de distribution. Les travaux de pose de conduites y ont été lancés durant le premier semestre 2007. Les services techniques de Sonelgaz soulignent que «l’opération effectuée, ces jours-ci, au niveau de Nezzali, sera achevée dans quelques semaines». Quant à l’alimentation des foyers en gaz de ville, les services concernés avancent que «les modalités de livraison d’un projet achevé suivront les démarches administratives requises par la commune.» Cependant, le chef de projet affirme : «La distribution du gaz de ville ne dépassera pas l’hiver 2008.»Rappelons que le programme du développement local de la région de Baraki comprend 10 opérations d’alimentation en gaz de ville au profit de plus de 8000 habitants des localités périphériques. E.Yazid 1re RENCONTRE DÉBAT AVEC LES JEUNES l’amphithéâtre de Bordj El Kiffan A (Alger) a été organisée une rencontre entre les jeunes et directeurs centraux de l’exécutif de wilaya. Ce dernier rendez-vous organisé par la DJSL a regroupé les jeunes issus des 17 communes d’Alger-Est. Cette occasion a été un espace d’expression et d’écoute des jeunes d’exprimer leurs problèmes quotidiens et permanents. Le chômage, le logement, le filet social, l’emploi, l’immigration clandestine etc. Les jeunes ont abordé aussi le sujet des élections : «Ils ont besoin de nous pour faire la sensibilisation lors de la campagne électorale, mais dès qu’ils sont élus, on ne les voit plus, il faudra attendre la fin du mandat (5 ans) pour les revoir sur le terrain...» PHOTO : H. M. SALIM Un jeune a soulevé qu’il est inconcevable qu’un pays aussi riche que l’Algérie avec uniquement 30 millions d’habitants, qui est l’équivalent d’une commune en république de Chine se retrouve avec tous ces maux sociaux. II est temps que les parties concernées trouvent des solutions durables et non temporaires avec une réelle prise en charge. Les participants ont demandé de transmettre fidèlement leurs doléances aux décideurs dans l’espoir d’améliorer leur situation avec du concret. Pour conclure, les prochaines rencontres sont prévues avec les jeunes des communes d’Alger-Centre puis ceux d’Alger-Ouest pour faire par la suite la synthèse de toute la wilaya d’Alger. N. M.
L e quatrième congrès de renouvellement de l’union locale UGTA d’Arzew, qui s’est tenu mercredi dernier, placé sous le signe de «Solidarité, unité et continuité», a été marqué par la présence du N°2 de la centrale syndicale, Salah Djenouhat, chargé de l’organique, des SG des unions de wilaya d’Oran, de Chlef, de Mascara et de Sidi Bel Abbès ainsi que du SG de la puissante FNTPGC. Hadj Mustapha, SG de l’UT, et les membres du bureau de la commission exécutive ont été reconduits par les congressistes. Outre la présence de 140 conseils syndicaux, de délégués et de syndicats d’entreprises, de nombreux PDG de la plateforme pétrochimique d’Arzew étaient présents. Après lecture du bilan moral et d’activités de l’union locale d’Arzew des quatre dernières années, on relèvera l’institu- tion, une première du genre au niveau national, d’une caisse de solidarité pour soutenir les travailleurs en période de conflit. Cette action de solidarité a été mise en El Watan - Lundi 10 décembre 2007 - 10 ORAN INFO UGTA/ARZEW 4 ème congrès de renouvellement de l’Union locale L ● Hadj Mustapha, SG de l’UT, et les membres du bureau de la commission exécutive ont été reconduits par les congressistes ●Outre la présence de 140 conseils syndicaux, de délégués et de syndicats d’entreprises, de nombreux PDG de la plateforme pétrochimique d’Arzew étaient présents. a fête de l'Aïd El Adha s'annonce d'ores et déjà difficile pour la grande majorité des pères de famille aux revenus limités, eu égard à la flambée des prix des bêtes destinées au sacrifice en hommage au prophète Ibrahim. Certains petits éleveurs des environs d’Oran, tout comme les maquignons approchés aux abords des abattoirs, nous ont tenu des propos qui nous semblaient choisis pour nous préparer psychologiquement à une envolée des prix. En effet, certains d’entre eux ont commencé par évoquer la hausse des prix des aliments de bétail, mais aussi qu’ils se sentent dans l’obligation de revoir leur marge bénéficiaire à la hausse pour faire face, disent-ils, à l’augmentation du coût de la vie. «Mais, il y en a qui exagèrent, mon frère. Pour certains, c’est l’occasion ou jamais de Regroupement syndical es habitats de la cité des 1 180 logements de Haï El Ottma- L nia (ex-Maraval) s’insurgent contre le détournement, à des fins de constructions individuelles, note-t-ils dans une correspondance adressée aux autorités, d’un espace devant être aménagé en aire de détente. Dans la même correspondance, ils disent avoir été surpris de voir, du jour au lendemain, la présence d’engins des travaux publics qui se sont mis à creuser pour effectuer des travaux de terrassement et entamer la construction de maisons individuelles au titre d’une coopérative immobilière. Dan leur pétition, ces habitants s’étonnent des conditions et des moyens par lesquels ces opérateurs ont AÏD EL ADHA œuvre pour soutenir, en novembre 2005, les travailleurs de SAFIR qui avaient entamé une grève de 62 jours. Il est à noter par ailleurs que le bilan lu en plénière fait état d’une progression de 15% des adhésions des travailleurs, notamment avec la création de nouveaux conseils syndicaux, à savoir celui des marins pêcheurs, inexistant auparavant, du CFPA, de la protection civile d’Arzew et de Gdyel, des entreprises ETTERKIB et ENAC et la redynamisation de ceux du centre des techniques spatiales d’Arzew et de l’APC de Hassi Mefsoukh. Dans le volet règlement des litiges et conflits de travail, il est fait état que 80% des 300 dossiers introduits devant l’inspection de travail pour réconciliation et 250 devant la chambre sociale ont été trai- tés à la faveur des travailleurs. Proposée, une caisse alimentée par les cotisations des cadres syndicaux, servira à venir en aide exclusivement aux travailleurs en difficulté financière lors d’une grève. S. B. Le prix du bélier en question faire de gros bénéfices». «Aïd El Kébir qui coïncide avec les départs à la Mecque fait obligatoirement augmenter la demande…» Il faut croire que de manière générale, les consommateurs ne pourraient s’attendre qu’à une augmentation à l’approche de chaque événement où la demande devient importante et l’acquisition un impératif. Des bouchers affirment que les prix ont commencé à grimper depuis l’apparition des premières précipitations. Ce qui, pour eux, ne justifierait pas le prétexte de l’augmentation du pris des aliments de bétail. On nous affirme que certains revendeurs occasionnels ont commencé à investir le marché des ovins et le mouton proposé à 15 000 DA il y a seulement quelques semaines, ils l’ont taxé, sans état d’âme, à 17 500 ou 18 000 HAÏ EL OTTMANIA Des habitants s’insurgent contre la construction sur un espace de «détente» PHOTO :D. R. DA. Soit entre 2 000 et 2 500 DA de différence. Mais, certains maquignons se veulent toutefois rassurants. Ils estiment que la réduction significative des fuites vers les pays voisins a permis la reproduction du cheptel de manière importante, faisant que l’offre sera conséquente. D’autant que les éleveurs, nous dit-on, ont autant besoin de vendre que les consommateurs d’acheter. Une situation qui permet d’espérer que le prix du bélier, même s’il ne sera pas celui de l’année dernière, ne connaîtra pas d’augmentation spectaculaire, comme on pourrait s’y attendre. Quoi qu’il en soit, la loi de l’offre et de la demande ne pourrait jouer qu’en faveur des marchands de bétail, en raison de la demande massive en une période aussi courte que précise. A.Yacine réussi à obtenir les autorisations de travaux. L’on saura que cet espace situé entre la cité et la double voie, qui s’étale sur une superficie de 1 600 mètres carrés, est protégé par l’arrête communal du 15 Mars 1998, portant interdiction de l’utilisation des espaces verts et leur préservation. Dans cet arrêté, il est mentionné dans l’article 2 que les servitudes relevant du domaine public ne devront en aucune manière et sous quelque forme que se soit changer de destination, ni de faire l’objet d’une quelconque appropriation. Les habitants sollicitent donc le premier responsable de la wilaya pour ordonner l’arrêt des travaux. T. K. CITÉ USTO UNE BEUVERIE TOURNE AU DRAME L e tribunal criminel s’est penché, hier, sur une affaire d’homicide volontaire dont la genèse remonte à la soirée du 18 janvier dernier, aux environs de 20 heures, et a eu pour théâtre la cité USTO. Selon les faits consignés dans l’arrêt de renvoi, une violente altercation, qui a opposé deux compagnons de beuverie, serait à l’origine du meurtre. Selon les déclarations des témoins à décharge, qui étaient présents sur les lieux du drame, la victime, F.A., aurait tenté d’attenter à la pudeur de l’accusé, D.M. Ce dernier l’aurait vainement repoussé mais son entê- Animé d’une tement a suscité sa violente réac- folie meurtrière, tion. Animé d’une folie meurtrière, l’inculpé a tiré l’inculpé a tiré un coutelas et s’est acharné sur son antagoniste en lui un coutelas et a portant 21 coups sur différentes porté 21 coups parties du corps (selon le rapport de sur différentes l’expertise médicale), avant de parties du corps. prendre la poudre d’escampette. La victime a succombé à ses blessures sur les lieux, bien avant l’arrivée des secours. Le mis en cause a été localisé et appréhendé par les gendarmes après une brève cavale. Hier à la barre, le prévenu a réitéré ses déclarations formulées lors des différentes étapes de l’enquête judiciaire, en invoquant le fait que la victime aurait tenté d’abuser de sa personne. Le représentant du ministère public a mis en exergue l’acharnement du prévenu, qui a poignardé une vingtaine de fois son antagoniste, avant de requérir la réclusion criminelle à perpétuité. L’avocat de la défense a plaidé la légitime défense et a demandé le bénéfice de larges circonstances atténuantes. A l’issue des délibérations le tribunal criminel a condamné l’accusé à une peine de 15 ans de réclusion. Rachid Boutlélis INSTALLATION DE L’APC D’ORAN COUP DE THÉÂTRE CHEZ LE FLN L ’ex-président de l’APC d’Oran, M. Nourredine Boukhatem, qui était fortement pressenti à la reconduction après la victoire de son parti (FLN) lors des dernières élections communales, n’a pas acquis les voix nécessaires pour l’occupation du poste de P/APC lors du vote qui s’est déroulé, hier, au siège de l’Hôtel de Ville, en présence du wali et de ses proches collaborateurs. C’est M. Sadek Benkadda qui a été élu président de l’APC d’Oran, avec huit voix contre cinq. Né en 1948 à Oran, le nouveau maire d’Oran est docteur en sociologie politique, professeur d’université et chercheur en histoire au CRASSC. Avant le déroulement du scrutin auquel ont participé les 13 membres de la liste FLN, gagnante lors des dernières élections communales, le wali d’Oran avait ouvert la cérémonie d’installation par une intervention dans laquelle il a indiqué que la ville d’Oran peut espérer un avenir radieux, au vu des programmes qui lui ont été alloués, notamment dans le domaine de l’habitat. Mais cet avenir est tributaire des hommes, élus comme «fonctionnaires» et qui doivent travailler sans relâche pour être à la mesure de la confiance placée en eux, que ce soit par le peuple ou par l’Etat. Dans le même sillage, le chef de l’exécutif de la wilaya a rappelé qu’Oran est devenue une ville fragile, du fait de la vétusté de ses quartiers. Les dernières pluies diluviennes qui se sont abattues sur elle ont montré que des centaines de bâtiments ont besoin d’une réfection urgente. «Une ville n’est dite belle que lorsqu’elle est propre le jour et bien illuminée le soir», conclut-il. A. Belkedrouci Dernière info 1,49 kilogramme de kif saisi à Hassi Bounif Le 7 décembre 2007, agissant sur renseignements, les gendarmes relevant de la section de recherche du groupement de la wilaya d’Oran ont arrêté M.F., âgé de 40 ans. Par la suite, munis d’un mandat de perquisition, ils se sont rendus dans son domicile situé dans la nouvelle cité de la commune de Hassi Bounif et y trouveront 1,490 kilogramme de kif traité. L’enquête se poursuit et le mis en cause sera présenté devant la justice pour détention et commercialisation de stupéfiants. M. B.
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