27 janvier 1928 - Bibliothèque de Toulouse

3T
ANNÉE - N° 12.730
ABONNEMEN i S
8 mois < mois 1 an
France et Colonies 22 1. 43 f . 82 f .
Etranger 30 f. 70 t. I40f.
POISON SOCIALISTE
juf Bedouce a déclaré mardi, à | c'est bien le tour des propriétaires, 90.521 en 1924 à 145.532 en 1925 et
Chambre, que « pendant la pensent aujourd'hui les rentiers à 176.744 en 1926. Les indemnités
la
Aire on n'a pas fait payer assez ! viennois.
de chômage, qui atteignaient cent
îrmpô'ts ». Et sans doute peut-on Avis aux propriétaires français millions pour le mois de juin 1925
d'immeubles urbains ou ruraux, et qui ont fortement augmenté de-
procher aux majorités parlementas
radicales-socialistes du temps
L guerre de s'être trop préoccuwU
de ménager l'arrière, afin de
Mire, de « tenir », alors
[ U i permettre de « tenir
mie l'arrière tenait fort bien et ne
négligeait pas de s'enrichir à l'oc-
C& ll£d's l'excès de la fiscalité tel
'a été amené à le pratiquer
ou
yi Poincaré, l'excès allant trop
souvent jusqu'à l'expropriation par
l'impôt, c'est proprement la réali-
sation de la pensée socialiste, qui
hante le cerveau de M. Bedouce
et de ses pareils. Or, un tel sys-
tème va exactement à rencontre de
ce qui constitue, d'après Prou-
dhon, ainsi que le rappelait
M. François Poncet, la meilleure
définition de la politique : « La
politique, c'est la science de la
production. » Ainsi, malgré les pré-
tentions des chefs socialistes, leur
doctrine se présente-t-elle comme
essentiellement antiscientifique.
M. René Johannet remarquait
ces jours-ci, dans le Gaulois, que
« la fiscalité, en France, n'est pas
fiscale ; elle est démocratique, _ dé- gens de maison.
magogique, socialiste, communiste,
et cela explique tout ».
Or, nous n'avons encore rien vu ;
nous n'en sommes qu'au gouver-
nement des républicains sociali-
sants ou manœuvrés par les socia-
listes ; pour imaginer ce qui nous
menace sous le règne de l'Interna-
tionale, il faut examiner ce qui se
passe quand le socialisme règne
ten maître. On n'a pas oublié, par
exemple, l'enquête qu'est allé faire,
l'été dernier, à Vienne, M. C.-J.
IGignoux, pour, le compte de la
'Journée Industrielle. Là, les mé-
faits du socialisme s'étalent dans
toute leur beauté. Car si, F Autriche
a un gouvernement chrétien so-
cial, Vienne, énorme capitale d'un
pays minuscule qu'elle domine
économiquement, est aux mains de
l'Internationale socialiste.
joie.
Et celle ci s'en donne à cœur-
C'est l'expropriation des proprié-
taires organisée par le jeu des lois
sur les loyers d'abord, par celui
de la fiscalité et des réparations
obligatoires ensuite ; le D r Breit-
H'er,- notabilité du gouvernement
socialiste viennois, n'a pas hésité
à reconnaître publiquement que
l'objectif essentiel de son parti était
l'expropriation progressive du ca-
pital privé par l'usage excessif
d'une fiscalité massive établie pour
soutenir des entreprises munici-
pales et grâce à laquelle l'adminis-
tration exige des contribuables les
plus fortes contributions qu'ils
aient jamais connues dans les mo
rnents de plus grande détresse pu
blique.
En vertu de ce système, on peut
voir à Vienne tel bel immeuble,
comportant vingt-deux apparte-
ments de cinq pièces sur la rue,
avec magasins au rez-de-chaussée,
dont les loyers rapportent au pro-
. priétaire un revenu semestriel cor-
respondant à 12 de nos francs-pa-
pier.
Comme les impôts augmentent
a « fur et à mesure que le revenu
diminue, le propriétaire cherche
a se débarrasser d'un capital qui
est devenu une charge ; mais per-
sonne ne se soucie de prendre —
en la payant, du reste — une aussi
lourde succession. Un seul acqué-
reur se présente : la Ville, qui tend
à devenir ainsi à bon compte l'uni-
9p Propriétaire des immeubles
v iennois. Inutile de dire que dès
c I u e la propriété est devenue mu-
ttieipale, celle-ci reprend ses droits
et le locataire est taxé au prix fort.
Le propriétaire est-il obstiné ?
S'il ne se décide pas à vendre, la
v 'be lui impose des réparations
Qu'il ne peut naturellement pas
Payer ; ia Ville finance la répara-
»on moyennant, hypothèque sur
1 unmeuble ; après deux ou trois
réparations, l'hypothèque dépasse
* e Prix marchand de l'immeuble ;
Propriétaire n'a plus qu'à met-
\ Tè la clef sous la porte et à céder
la Place à la Ville.
^e'a se fait progressivement,
Sans révolution ; les socialistes
Jouent avec habileté des petits
^S'orsmes, rjeg petites haines, des
Petites lâchetés des classes possédantes
Les rentiers ont été depuis
long
la
des
'emps ruinés par la chute de
c °uronne, sous l'œil indifférent
Propriétaires d'immeubles
d'usines ou de maisons commer-
ciales ou industrielles, qui accep-
teraient d'un cœur léger de voir
consommer la ruine des porteurs
de 3 % par une stabilisation sans
ménagements.
Car les industriels et commer-
çants viennois ne sont pas mieux
traités que les propriétaires ; les
ouvriers non plus, du reste, par
voie de conséquence.
La ville de Vienne a organisé
Jlcâi&ioja de Toulouse
Organe Régional île Redressement National, cle Défense Religieuse et de Progrès Social"
DIRECTION : 25. Rue Roquelaine, TOULOUSE - Téléphone : 2-1 2, Chèque Postal; 4.936
puis, sont à la charge des patrons
et des ouvriers qui travaillent et
s'incorporent eux aussi, comme de
juste, dans le prix des marchan-
dises.
Deuxième conséquence : L'Autri-
che produit moins et plus cher
que n'importe quel autre pays.
Vienne se voit détrônée par Mu-
nich comme ville de transit entre
les produits des pays méridionaux
et l'Allemagne ; l'Autriche entière
tout un système de surtaxes pour I est en état de sous-production cons
les divers impôts d'Etat qui frap
pent le commerce et l'industrie ;
la surtaxe pour l'impôt sur les So-
ciétés, par exemple, atteint 30 %.
L'impôt sur les automobiles est
die l'ordre de 5.400 francs par an
pour une voiture de 10 chevaux.
Quant à l'impôt sur les domesti-
ques, un chauffeur d'automobile
paie 2.340 francs s'il est le troi-
sième domestique de la maison,
5.220 francs s'il est le quatrième ;
conséquence : les statistiques vien-
noises du chômage enregistrent
plus de 20.000 chômeurs parmi les
Enfin, par suite de l'application
des lois sociales et de divers règle-
ments, l'industriel et le commer-
çant doivent verser à diverses cais-
ses jusqu'à 33 % du montant des
salaires de leur personnel.
Conséquence immédiate Z Le
nombre des sans-travail pour l'en-
semble de l'Autriche est passé de
mm®
tante par rapport aux territoires
compris en 1913 dans ses frontières
actuelles.
La Politique, disait Proudhon,
c'est la science de la production.
Une telle politique ne peut être
ni socialiste ni socialisante ; et
M. Marcel Chaminade est fondé
à conclure ainsi une de ses récen-
tes études du Figaro sur la politi-
que financière française :
« Un organisme auquel s'incor-
pore sournoisement une dose de
plus en plus massive de poison
socialiste n'est pas en voie de réta-
blissement ; il peut ne pas succom-
ber à une crise foudroyante et
même reprendre des apparences
d'équilibre ; à échéance plus ou
moins longue, il est cependant con-
damné à mourir de consomption. »
Si nous voulons éviter cette mort
peu reluisante, il faut à tout prix
éliminer le poison socialiste.
fission GlJûZE,
FRANCE-WARATAHS
UN WARATAH VA S'EMPARER DU BALLON APRÈS UNE REMISE EN JEU
(TCide worla Photos.)
Au Jour le Jour
LES CURÉS SE DÉFENDENT
H y a quelques mois, le Droit du Peuple
publiait un article contenant, à l'adresse
des prêtres catholiques, des officiers et
des magistratSj les plus grossières calomnies.
Ni le Parquet ni le Gouvernement n'intervinrent
pour défendre les officiers et
les magistrats outragés. Mais le Syndicat
ecclésiastique de l'Isère assigna le journal
diffamateur et l'auteur de l'article.
Après bien des atermoiements, l'affaire
vint devant le Tribunal correctionnel de
Grenoble, qui rendit son jugement à l'audience
du 8 juin. Le jugement, en des
considérants sévères, déclara l'auteur de
l'article, un sieur Gillot, et le gérant du
journal, M. Barbare, atteints et convaincus
du délit de diffamation. En conséquence,
il les condamna chacun à 50 francs
d'amende et à verser solidairement la
somme de 500 francs au Syndicat ecclésiastique,
à titre de dommages-intérêts.
Le jugement fut publié dans trois journaux
de la région, au choix des demandeurs.
Il le fut également dans le Droit
du Peuple, à la même place que l'article
diffamatoire.
En son audience du 17 novembre, le
Tribunal d'Angers a rendu son jugement
dans le procès intenté en diffamation au
gérant du journal le Réveil par vingt-trois
vicaires des paroisses de la ville d'Angers.
Le Tribunal condamne le gérant à
200 francs d'amende, à 200 francs de
dommages-intérêts à chacun des vicaires,
à l'insertion du jugement dans les journaux
d'Angers, à trois insertions de ce
jugement dans la première page et dernière
colonne du Réveil démocratique: condamne,
en .outre, le gérant du journal aux
frais et dépens du procès. .
— Le journal communiste l Exploité, de
Reims poursuivi en diffamation par les
chanoines Goulet, de Civet, et Rome, de
Reims a été condamné dans la personne
de son gérant, M. Gauthier, à deux mois
de prison, 1 000 francs d'amende et
20.000 francs de dommages intérêts, par
le Tribunal correctionnel de Reims.
— Dans une autre action intentée par
M. l'abbé Schmitt, d'Arcis-le-Ponsart, M
Gauthier a été condamné à six mois
de prison, 2.000 francs d'amende et
10.000 francs de dommages-intérêts.
Bureaux de Publicité à PARIS, 13, Boulevard des Italiens
Ironies iL l'Histoire
LE GRAND TOURNOI
i une
LEHENTAIRE
iBttïa-HI lin
pime
inceriitaHB ?
Vert la fin de sa vie, le grand Carnot,
un peu désabusé, faisant un
retour sur les événements de 1789 et
sur la suite, disait : « Au fond des
révolutions, il y a une affaire d'impôts.
» Car la Révolution française
consista essentiellement dans une
insurrection contre le fisc, ce qui se
termina, du reste, par la banqueroute
des assignats, mais aussi par
la suppression de tout impôt personnel.
Et l'impôt personnel aura été
rétabli, cent et quelques années plus
tard, au nom des principes démocratiques,
la taille exécrée ayant été
baptisée impôt sur le revenu, de même
que la maltôte, mille fois maudite
au moyen-âge, est devenue la
taxe sur le chiffre d'affaires.
Mais revenons à ce qui intéresse
le moment. Ce qui importe à tout le
monde, au commerçant, à l'industriel,
au cultivateur, au salarié, au
rentier, c'est de savoir dans quelle
sorte de monnaie on comptera demain,
sur quelle base chacun peut
organiser son budget et sa vie. Impossible
de rien entreprendre, impossible
de faire aucun projet, impossible,
par exemple, de construire
une maison — d'où la crise du logement
— si l'on ne sait pas ce que le
franc vaudra dans un an ou dans
six mois.
Il y a des personnes qui craignent
que le franc soit revalorisé, ce qui
jetterait par terre, une industrie ou
un commerce établis depuis quatorze
mois sur un certain cours du franc.
Il y en a d'autres qui craignent que
le franc soit stabilisé à son cours actuel,
ce qui leur enlèverait l'espoir
d une revalorisation ultérieure. Mais
plus grand peut-être est le nombre
dés Français qut désirent surtout
échapper à l'incertitude et savoir une
bonn? foi:' ce que vaut et ce que vaudra
d'une manière permanente l'unité
monétaire dans laquelle la loi nous
oblige à compter. On dit quelquefois
lue les stabilisateurs sont impatients
L% raison de leur impatience,
c'est qu'il est, en effet, impatientant,
pour quiconque ne vit pas au jour le
jour, pour, quiconque a des plans

conversion de leur taux d'intérêt en
l ac hetant en Bourse ceux de nos titres
u Etat dont, les cours sont les plus bas
En terminant, l'orateur tient à remer-
cier le gouvernement d'avoir rendu la
confiance au pays. Mais il lui reste
encore une grande œuvre à accomplir
La France, courageuse et laborieuse
veut la sécurité et la paix dans tous les
domaines.
INTERPELLATION DE M. PIETRI
M. Plétri succède à M. Barety.
M. Pietri. — On s'étonne dans le
monde que nous n'ayons pas encore
réglé le statut de notre monnaie.
Nos hésitations s'expliquent par des
motifs de moralité dont nul ne peut
méconnaître la légitimité, car ils sont
dignes d'attention- et de respect. (Ap-
plaudissements).
La France achète par des surcharges
fiscales écrasantes le droit d'affirmer
qu'elle est allée à la limite de ses sa-
crifices. Mais la limite paraît atteinte;
les guerres d'une certaine ampleur se
paient toujours par une dépréciation
de la monnaie et une revalorisation
totale n'est plus envisagée par per-
sonne.
Tout le monde reconatl qu'il faut en
arriver à la stabilisation. Mais à quel
taux : ce taux doit être circonscrit en-
tre la limite des possibilités budgétai-
res et celle où elle deviendra une
bonne affaire.
Une revalorisation au-delà de 125
amènerait des charges insupportables
pour les contribuables, car chaque gain
de cinq points sur la livre représente-
rait une surcharge fiscale d'un mil-
liard environ.
Une revalorisation plus poussée amè-
nerait donc un arrêt dans le fonction-
nement de la machine publique et dans
l'économie générale du pays.
M. le président, du conseil a eu le
courage de résister à la poussée de la
revalorisation et il faut l'en féliciter.
L'Italie, il est vrai, semble avoir
réussi une stabilisation presque au des-
sous du facteur 4. Mais cet exemple
démontre d'abord que la dictature elle-
anème se brise contre les chimères, et
ensuite que les conditions économiques
de ce noys ne sont pas comparables
aux nôtres
Donc le cours de 125 constitue pour
nous le maximum de probité possible
et permet une réadaptation du coût de
la vie.
Quant aux conditions techniques né-
cessaires pour que la stabilisation soit
pratiquement possible et durable, elles
se trouvent remplies ou très près de
l'être.
1! importe avant tout d'avoir la cer-
titude que rien n'ébranlera la Etabli!-.
, sation. et ii semble nue nous possédons
dès maintenant cette assurance sans
avoir recours ni au prélèvement sur le
capital, ni à la consolidation de la
dette.
11 en est de même et à plus forte
raison de la consolidation forcée des
Jxms de la Défense nationale. Aujour-
dhui. à quoi correspondrait cette opé-
ration ? Le seul point qui puisse être
discuté, c'est la politique d'amortisse-
ment suivie par le gouvernement. C'est
toujours, certes, une excellente mesure
d'amortir, mais il ne faut pas faire de
l'amortissement massif une pièce maî-
tresse du système.
Les rentiers comprennent que l'effort
de revalorisation ne pourrait se pour-
suivre saris une réduction de leurs cou-
jpaas. et ils se contenteraient aujour-
d'hui d'allocations compensatrices aux
porteurs réels d'avant-guerre.
Que le gouvernement consacre donc
définitivement une réforme qu'il a
poursuivie depuis un an. L'autorité de
M. Poincaré. et le caractère d'union na-
tionale du gouvernement sont des fac-
teurs considérables de succès.
Vous êtes, Monsieur le Président du
Conseil, à tin moment décisif de ce
pays. Vous en avez connus de plus
angoissants. Les grandes responsabili-
tés sont vos compagnes ; prenez celle-là
pour que le redressement de notre pays
se fasse au-dessus de la rutmeur des
partis comme s'est faite la victoire de
ses armées. » (Vifs applaudissements.)
SÉNAT
La séance est cm£K îf fcïào
sous la présidence de M Domner' 8 3 °'
LES COMMISSIONS GÉNÉRALES
^Lprési'? om Proclame les noms des
membres des commissions générales.
LES CAUTIONNEMENTS
DES OUVRIERS ET EMPLOYÉS
Le Sénat adopte le projet de loi dis-
pensant les ouvriers et employés de
lournir des titres au porteur en garan-
tie de, leurs cautionnements.
LES DROITS DE DOUANE
Le Sénat adopte la proposition de
résolution de M. Joseph Faure et d'un
grand nombre de ses collègues ten-
dant an relèvement des droits de doua-
ne sur les produits agricoles pour les
mettre en harmonie avec les tarifs
douaniers appliqués aux produits in-
dustriels.
LA POLITIQUE COLONIALE
Le président fait connaître que
M. Lemêry demande à interpeller le
gouvernement sur sa politique colo-
niale.
La. date de la discussion sera fixée
ultérieurement.
Prochaine séance mardi. 15 heures.
La séance est. levée- à 16 heures.
La Répression
mm
s par en
EUS
ier
Paris, 26 janvier.
M. Queuiîle, ministre de l'Agricultu-
re, a reçu une délégation des
grandes Associations viticoles qui
iui a été présenté par M. Surraui, pré-
sident du groupe viticole du Sénat et
M. Barthe, président du groupe viticoie
de la Chambre des députés.
M. Barthe s'est fait l'interpréta de la
délégation pour indiquer combien une
récente lettre adressée par le ministre
de l'Agriculture à un représentant du
Centre, avait fait naître des inquiétudes
parmi les représentants des grandes
Associations viticoles.
Les lois sur les fraudes sont intangi
bles et la viticulture française élève
une énergique protestation contre tout
ce qui pourrait en diminuer leurs heu-
reux effets. ....
M. Barthe est d'avis d'accorder au
commerce et à la production toutes
les garanties que réclame une équita-
ble justice mais il indique au ministre
les effets pernicieux qui découleraient
de mesures qui rendraient difficile
l'application des textes votés par le
Parlement. La répression des fraudes
doit être appliquée partout et les me su,
r es q ui tendent à rejeter de la consom-
mation les produits falsifiés et éviter le
sucrage clandestin, doivent être stric-
tement appliquée.
M. Barthe demande qu'il soit sursis à
toute initiative tant que la commission
interministérielle de la viticulture n'a
pas été saisie de la question et donné
son avis. .
M. Queuiîle a répondu qu'il. tenait
d'abord à calmer toutes les inquiétu-
des et dissiper toutes les équivoques.
Les lois seront appliquées strictement
et il ne prendra ai"- , • décision sans
que les représentants la viticulture
aient fait connaître j w- opinion. Il a
indiqué ensuite aw :t solidarité des
viticulteurs de toutes i^s régions était
parfaite; Les représentants des vins de
consommation courante ont tenus à ve-
nir demander -que l'organisation de la
fraude sur les vins d'appellation d'ori-
gine soit solidement organisée.
M. Queuiîle compte régler la question
dans un temps très court.
INTERVENTION DE M. DUBOIS
'Après une brève suspension dé
Séance M. Louis Dubois monte à la tri-
bune.
M. L. Dubois. — Deux questions s'im-
posent dans ce débat : celle des répara-
tions allemandes et - celle des dettes in-
teralliées qui ne sont assurément pas
des dettes commerciales ordinaires.
Je bornerai mes observations à la pre-
mière de ces questions. Quelle est la
nature des réparations allemandes t On
paraît parfois ou l'ignorer ou l'avoir
oublié; on en est encore au plan Dawes.
aboutissement de la longue période
d'agitation qui la précédé; mais, quels
sont exactement nos droits et les obli-
gations de l'Allemagne ? Quelle est la
signification précise du traité ? Quels
seraient, si l'on modifiait le montant
de la dette allemande ou les pourcen-
tages des alliés, les droits de la
France T
Il importe de le préciser. Le moi ré-
parations a été prononcé pour la pre-
mière fois dans les 7« et S" conditions
du président Wilson.
Le texte de ces conditions prévoyait
expressément que les régions envahies
devraient être, non seulement .évacués,
mais restaurées.
Cette stipulation passa par la suite
Sans la convention de l'armistice, puis
précisée et développée dans le traité de
Versailles
Après l'intervention de M. Louis Du-
bois, la suite de la discussion est ren-
voyée à demain après-midi.
Prochaine séance, demain matin.
Séance levée à 18 h. 55..
Nouvelles Express
Du 86 Janvier.
. 'Après de longs débats, la Cham-
bre Chilienne a adopté le bill interdi-
sant l'octroi de concessions pétrolières
aux compagnie! étrangères.
Les .Souverains
afghans
AU SOLDAT INCONNU
Paris, 26 janvier.
Le roi d'Afghanistan, accompagné
de la Reine, des- princes et -princesses,
et des dignitaires de lu suite, est allé
ce matin déposer une couronne sur la
tombe du Soldat Inconnu.
A ITh. 20, le- général Gouraud arrive,
puis M. Painlevé, qu'accompagne le
général de Carence, puis M. de Fou-
quières. A 11 h. 30 précises, le roi êt la
reine descendent de voiture.
Le roi dépose soir la tombe sacrée
une magnifique couronne d'arums, d*
violettes de Parme blanches et d'orchi-
dées. Puis, le roi. après avoir . salué la
dalie sacrée, passe en revue la garde
d'honneur. A VERSAILLES
Après la cérémonie à l'Arc de Triorn-
pho les souverains . afghans sont par-
tis directement pour Versailles, où .ils
sont arrivés à 12 h: 30.
A leur descente d'automobile, ils fu-
rent reçus par 'MM. Herriot ; Bonefoy-
Sibourg. préfet de Seine-et-Olse ; Paul
Léon, directeur des Beaux-Arts ; Lecoz,
maire de Versailles.
M, de Fouquières conduit ensuite le
roi et la reine dans un salon spéciale-
ment aménagé près de la galerie basse
du Musée, où a lieu, le repas.
Un grand nombre de personnalités
officielles assistent au déjeuner.
Pendant le repas, , lep grandes eaux
ont io-ué.
Ensuite, le roi et la reine ont traver-
sé diverses galeries et les grands ap-
partements.
Après quoi ils reprirent te jcnemin de
la capitale-.
UN DON GENEREUX
Paris, 26 janvier
Le roi d'Afghanistan a fait don aux
pauvres de Paris d'une somme de mille
livres sterling (124.000 fr.)
M. Gustave Hervé, directeur du
journal la Victoire, a fondé en no-
vembre dernier un nouveau parti
politique : ie parti socialiste natio-
nal. Son succès, jusqu'ici, n'a pas
été bien grand auprès des masses
ouvrières parisiennes qu'il veut
évangéliser. 11 faut d'ailleurs ajou-
ter que les anciens amis de
M. Hervé, ceux du temps où il était
farouche anarchiste révolutionnaire
et directeur de la Guerre Sociale,
cherchent par tous les moyens à
l'empêcher de parler dans les fau-
bourgs. Et ils ont réussi. Du moins
pour le moment.
Malgré tout, le « camarade »
Hervé reçoit des adhésions. Plu-
sieurs militants ouvriers, syndicalis-
tes ou socialistes, se rangent à ses
côtés. M. Pierre Dumas, que nous
avons successivement connu anar-
chiste, syndicaliste, royaliste d'Ac-
tion française, puis fasciste, a pla-
qué M. Georges Valois pour M. Her-
vé. Mais c'est une recrue sur laquelle
il est difficile de compter beaucoup.
Ne désespérons pas, en effet, de voir
dans six mois ou un an M. Dumas
quitter M. Hervé pour aller s'em-
baucher chez M. Y... ou chez M, Z...
Parmi les nouveaux adhérents du
socialisme national, dont la Victoire
publie les lettres, il y a un certain
M. Lucien Bourniche, ouvrier, con-
seiller municipal de Boulogne-Bil-
lancourt. Il faisait partie du parti
socialiste-communiste de cette ville.
Le maire, M. Morizet, qui était le
leader de ce parti à Boulogne, a été
élu sénateur de la Seine, grâce aux
socialistes, Pour payer sa dette de
reconnaissance à la S. F. I. 0., il
n'a rien trouvé de mieux que de
faire adhérer en bloc son groupe
socialiste-communiste au parti de
M. Blum. Ces marchandages élec-
toraux n'ont pas été du goût de
M. Bourniche; qui, révolté, écrit à.
M. Hervé :
> 7 50
Non, placés ; Cordoue, Caisse-Dorée,
Calusëus, Chariot II, C. T L., Co-
quette III, Coloquinte, Ctrcus,, Clair
de LtilJe V, amélia III.
Cadi (Prophète-Sfax II), entraîné par
Pastic,
A NICE
Nice, 26 janvier.
PRIX DES LAURIERS
8,000 francs, 3.000 mètres,
1. SAINT-CYR (Ecurie de Bi- G 10 «0
vaud), au Cte de Rivaud. P 7»
2. Herrnoye, à M. J. Van
Stalle. p 7 50
3. Floriroel, ail Cte de Périgny.
Non placés ; Laventa. Bayard-XUl.
Saint-Cyr, par Beppo et Sweet-Cyra,
est entraîné par L. Robert.
PRIX DES DEUX GOLFES
15.000 francs, 3.500 mètres.
1. Edziray. G 52 «
à M. Ch. Count p 18 »s
2. Fulgurant, à M. J. Fossattl. P 10 50
3. LA FALDETTA, à M. Gugenheim.
Non placés : Beirout, L'Adoré, Cut-
glass. Sirab.
Edziray. par Lord-Burgoyne et C,-dU-
Midi, est entraîné par H- Count,
PRIX GEORGES BALTAZZI
40.000 francs, 2.800 mètres.
1. Potïtari. , G 43 50
au Cte d'Estournel p 9 50
2. Sucrier, à M. A. Deleau. P 7 ».
3. Walkyrie-II à M A. Veil
Picard P 10 50
UN GRAND RAID
Beyrouth, 28 janvier
Le major britannique M. C. Caiiura*
accompagné de deux mécaniciens, est
arrivé à Beyrouth après avoir fait le
trajet depuis Calcutta en automobile.
Le maior M. C. Callum était parti en
juin de Pékin et. utilisant tour à tour
la route, le chemin d;e fer et le bateau,
d était arrivé à Calcutta en p*
l'Indochine ou l'excellence '
l'a frappé.
. ssaut par
xcellence des routes
Le MYSTÈRE de 1 '«0RMDZ
Grand Roman d'Aventures
a* Par
1ERE PARJIB
XV
UR BEAU XOYACW
r ceiul-cI, quelque* Jour* 8.iiparS i *KBt,
avait fait escale à Naples, et, dès l'entrée
de la baie, Juliette, penchée sur un des
bureaux du hall, rédigeait sa dépêche à
Pierre.
Elle en sécha l'écriture eur 1$ buvard
intérieur et, avisant le maître d'hôtel :
— On peut me faire partir cette dépê-
che? demanda-t-elle.
•— On peut, mies Monteillfi. Je val» la
remettre au commissaire.
Baring, allongé dans un fauteuil, com-
prit, sinon la langue dont s'étaient servis
la jeune fille et le steward, qui lui était
étrangère» du moias tem.*W&*' '
SAMY
Quand ils furent partie, il ouvrit ie
sous-main et en déchira la feuille de bu-
yard impressionnée.
Lorsque le paqnebot, après avoir mouillé
dans le port eut reçu la libre pratique,
il régla son passage au bureau du corn-
rnissaire, fit descendre sa malle dans une
embarcation et, abandonnant sa protégée,
débarqua sur le quai, où il héla un fiacre
qui le transporta à la gare.
Et, quand f« Ormuz » lâcha le lende-
main matin son coffre pour reprendre la
mer, Baring était à Vintimille, à quatre
heures de chemin de fer de Toulon, de-
vançant de plusieurs jours le bateau de
1' « Orient Line »,
En route, il n'avait eu qu'à appliquer
à l'envers, sur la vitre de son compar-
timent, la feuille de buvard pour y lire
par transparence le télégramme que Ju-
liette adressait à Paris à M. Pierre Mon-
Éelll», avocat, 24A rjjfi d'AUerax ; « Serop§
cà Toulon, jeudi, trois heures. Viens. Em-
brasse. Juliette. »
Et Pierre, bien qu'un peu en retard,
arriva et retrouva Juliette, un instant
perdue,
XVI
L'EKLEVEMENT
Dans là hâte qu'il avait de ne point
manquer l'arrivée de l'« Ormuz » ou du
moins le débarquement de ses passagers,
car, d'après l'horaire le bateau devait
être déjà en rade, Pierre fut heureux de
se débarrasser de sa valise entre les mains
du commissionnaire qui, à la gare de
Toulon, lui offrait ses services.
Il n'avait rien de précieux dans sa mal-
lette, ni argent, ni bijoux, et n'éprouvait
pas la crainte qu'on pût lui dérober quel-
que chose.
Avec son bngnge, il chargea donc son
porteur, en lui donnant son nom avec sa
carte, de lui désigner un hôtel et d'y re-
tenir' des chambres pour lui, sans remar-
quer le sourire qu'avait esquissé à ce mo-
ment son cicérone d'occasion.
Ce dernier, tandis que Pierre gagnait
rapidement le port, sa rendit au Grand
Hôtel, déposa sur le bureau la carte du
voyageur pour lequel il réclama deux
excellentes, chambres.
On lui en donna les numéros, mais il
demanda à y apporter lui-même le bagage
de son client, ayant à en retirer pour ce
dernier quelques objets dont il avait un
urgent besoin.
Un garçon l'accompagna, lui ouvrir deux
chambres voisines, et se retira, le laissant
déposer la valise dont il était porteur,
Dès qu'il fut seul, le commissionnaire
sortit de sa poche un trousseau de petites
clés qu'il essaya tour à tour dans la ser-
rure de la mallette. L'une d'elles l'ouvrit
et, avec précaution, l'indiscret porteur en
fouilla le contenu.
Dans une enveloppe se trouvaient une
lettre, une dépêche et une photographie,
celle que Juliette avait adressée à son
cousin. Il lut la lettre, la remit en place,
puis prenant dans sa poche une autre
photographie, la substitua à la première
qu'il glissa dans sa veste avec le télé-
gramme.
Ayant ensuite refermé la valise, il tira
à lui la porte de la chambre en s'en allant
et quitta l'hôtel,
Lui, aussi, comme Pierre, il sa dirigea
vers le port, mais monta dans le bateau
qui fait le service de Saint-Mandrier par
Manteau et Tamaris.
Il descendit à cette dernière etatlon, et
prenant la route du bord de l'eau, refit
sur terre la moitié du trajet qu'il avait
fait sur le bateau gatre Manteau «t Ta-
maris
AUTOMOBILISTES !
MOTOCYCLISTES !
L'édition 1928 du « Guida Mécano i
vient de paraître. Cette sixième édition
donne ia liste mise à jour des marque*
de motocyclettes, voitures de tourisme,
véhicules industriels, moteurs avèo
leurs caractéristiques et prix et de nom-
breux, renseignements utiles aux auto- -
mobuistes et rootoevelistes -Ce que tout
automobiliste doit savoir, le Code de ia
Route, la Recherche des Pannes, etc.,
etc.,, •
Cet ouvrage est du plus haut intérêé
pour tous les acheteurs, qui- y trouv»»
ront tous les détails de ia. construction,
automobile et des industries qui s'y rat.
tachent.
Prix : 8 francs. Franco : 9 franc».
Etranger : 10 francs, (il n'est pas fait
d envoi contre remboursement) Méca-
no, 19, boulevard Pereire, 19, paris (17*)*
Olympiades Universitaires
Cortin-d'Ampezzo, 26 janvier.
Aux Olympiades universitaires, trwîf
nations ont pris part au concours d9
skating de vitesse sur cinq cents
mètres.
1. Kauser (Hongrois), en 50" 2/5 ;
2. Herdel (Hongrois), en 50" 4/10 ;
3 Jacobsen Sigwald (Norvégien). Les
quatrième et sixième sont Baroni et
Trovatie (Italiens).
En hockey, la Pologne bat l'Autriche
par 6 à zéro.
Parvenu en face d'un chemin qui mon-
tait vers la colline entre deux murs, il
s'y engagea et atteignit ]a barrière d'une
petite maison cachée dans un fouillis de
pins, de palmiers rabougris et d'euca-
lyptus.
Il y entra. Dans une salle basse, moitié
salon, moitié salle à manger, un homme
et une femme l'attendaient, assis près
d'une table sur laquelle reposaient un ap-
pareil cinématographique de prise de
vues, son support et quelques boîtes en
fer-blanc contenant sang doute des rou-
leaux filmés ou non.
— Eh bien ? demanda la femme.
— Voiià., répondit l'arrivant, en jetant
sur la table la photographie qu'il avait
soustraite de la valise de Pierre.
— Oui, fit-elle, c'est bien moi. Jo
rconnais comme dans un miroir.
— Eq effet, dit le jeune homme qui lui
tenait compagnie, et on peut vous en faire
compliment car vous êtes son aînée.
— De six ans, répliqua l'arrivant,
— Pourquoi mo le rnppelle-tu ? reprit
la femme, puisque je ne les porte pas,
— C'est afin que tu te dise, dans le
rôle que tu vas jouer, que tu dois avoir
six ans de moins.
— Bah 1 fit-elle, je les ai sur ma photo-
graphie et je le défie bien de distinguer
mes yeux des siens. Elle a ceux de la 1
1 famille. Quant à la taille, aux gestes, i- '
m y
la voix, il ne l'a jamais entendue et ne
m'a point vue en chair et en os. Il me
verra.
— Tenez, dit le faux commissionnaire,
en remettant à son compagnon le télé-
gramme également pris dans la valise du
voyageur, voici l'original de la dépêche
dont nous avons le texte. Cela vous ser-
vira, avec le portrait que j'ai rapporté de
Perth, à lui inspirer confiance. Mainte-
nant qu'il fait encore du soleil, allons
filmer l'arrivée de l'« Ormuz » dont, si
je na me trompe, j'entends la sirène.
Il échangea rapidement sa veste de
commissionnaire contre un veston plus
propre, remplaça sa casquette par un
foutre mou et prenant son appareil ainsi
que son support, il précéda le jeune hom-
me et la jeune fille sur la route, d'où, en
effet, on voyait l'énorme paquebot s'avam
cer au delà des grandes jetées de la rade.
Depuis plusieurs jours déjà, les habi-
tants des villas d'alentour et les pêcheurs
de moules de la rive avaient vu se dérou-
ler dans la rade de Man;eau un scénario
que tournait du haut du ponton l'opera-
teur. Ils n'y comprenaient pns grand-cho-
se, sinon, peut-être, qu'on simulait uï
sauvetage.
(À suivre'
Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

Dernière Heure
is Dubois poursuit :
n L°ulS mission fies réparations de-
Mi a CO» nl Entant de la dette aile-
lit f*er Je t è ïer mai 1921 et étab li
^ ^ Uiemenis. Elle accomplit
«fét»1 de
en wute indépendance mais
^anfSfse montrant récalci-
Bf^Alle^off imission signala ses
rV- lantsP èt les Gouvernements
a prendre les sanctions
K- S2£? Au reste, à l'instigation
Svena^; ^sauces alliées, '*«
5f certaine 5 Meurent ri dée
S?acun le ^eY"que furent notamment
$Ut à cet °?ir références de sau-
les
de fixer
ernff montant de leur créance et
r'est
(onsac re t eS jp"Hythe. .
pemo «*j£ t la Comraission desjrepa,
les conférenc
Je ne rappellerai
nission des repa
en 1920. Non seu
pas coin instituée e:
ra»onf » I Vnianda à chaque puis
enient - fSL^têe des mémoires détail
sancs 1». ie .\,e communiqua ses mérnoi
,4= mais e»?., .
intéressée
-«le et»—
t délégation allemande qui
res à,, H» multiples observations.
jij*i?5iLavoir mûrement étudie to
avoir
ApreS monfs elle consacra 23 sea
«ESutEn de la délégation al
us
3 séan-
lë-
A L'ACADÉMIE FRANÇAISE NOS HOTES
ces à 1 au f* lul en manifesta sa grau-
J"andevnHn après une longue et mi-
?t
A CANNES
Aujourd'hui, courses a Cannes.
Partants et montes probables :
PKIX DES HELIOTROPES
Ausone (H. Haes), Berthelange (Belmon-
do), Dernier-Né (Contassot). Feugeroux (jo)-
nerl, Roi-d'Argot (N'taudot). Ramutcho
{Gaudlnetl, Norhiuo (Bâtes). Glnetto IRos.
zlo), La Venta IMullot).
Partant douteux : Plquepoule (Théry).
PRIX D'AURIBEAU
Fllterdla (Darexy), Ballygunge (Delpecti).
Rêve-Etollé (Courret), Satnt-.Vabor (de
Sainte-Marie), Urodonal (Réthore), Urraca
(Merlat), Patifinder (de Vaulchter). Relne-
du-Bal (Rlgon), Nelly (de Saint-Quentin),
Gorgerette (de Vulpian).
COURSE DE HAIES
DE 5 ANS ET AU-DESSUS
Téodolinda (Fruhinholtz), Hannibal (Jol-
ner), Kllfare (Gaudlnet), Vide-Poches (Bare),
Scrivano (Romain), Darktiger (Roszlo)!
Entre-Chats (Bagnlard), Richwein (Luc).
PRIX DES BANQUES
Le Pallet (Kaley), Prétendant (Tondu^,
Altonso (Bagniard), Ccarabée (Fruhinholtz)
Gargaris (Amiel), Hasard (Gaudinet), ::ola
(Contassot), Lubie (Pecket), Bostock (Niau-
dot).
PRIX DE SAINTE-MARGUERITE
Clovls '(Amiel), Belualre (R. Haes), L'In-
trépide (Gaudinet), Colas-Légend (Hamel).
La Roselière (Roszlo), Baliverne (Torsln),
Partant douteux : Scarront (Lovlro).
Pronostics
Paris.Sport. — Ausonne, Berthelange —
Rêve-Etoilé, Saint-Nabor — Téodolinda,
Hannibal — Le Pallet, Prétendant — Co-
las-Legende, La-Rosellicre.
Le Jockey. — Ausone. Baliverne — Nelly,
Pathflnder — Blaireau, Téodolinda — ilo-
naldcsctii. Epamlnondas — Montmajour,
La-Roselière.
La Veine. — Saint-Cyr, Ausone — Vul-
cain-X et Saint-N'abor — Epaimondas, Teo-
dolinad —- Sizain, Prétendant — îoek, La-
Roselière.
par 10 points (2 essais, 2 buts) à 3 (un
but sur coup franc).
'' A l'issu* du match de sélection, la
commission scolaire a formé comme
suit l'équipe qui représentera l'Acadé-
mie de Toulouse dans les prochains
rencontres :
Lamolle (Lycée Toulouse)
Samatan (Lycée), Sorila (Collèpre Pa-
miers). J. Dupuy (Collège Saint-
Girons), Artbeau (Lycée Toulouse)
Demis : Rouch (Ecole Normale Tou-
louse), (m.) Saunier (Lycée)
3» ligne : Olive (Lycée T.). Parquet
(E. N. Montauban), Bouyssou (Lycée T.)
Vidal (Lycée T.). Bataille (Ecole
Normale Toulouse)
Peytavit (Lycée Toulouse), Fabre
(Lycée T.i Harter (Lycée 7.).
Remplaçants : Tournède (Lycée), VI-
latte (Lycée T.). Biboulet (Lycée T.),
Grau (Lycée T.), Ambert (Toulouse),
Gil (E. Normaie Toulouse).
SUr on. „
ft"? rr e. nous
'sse le compte de ce
Dour
qu un
[ue la
coûté, et qu'on parte de
sort Dai UfÇft r les réclamations qui nous
ïouvinc ssoes: et les de1tes «ne nous
,"-ms acquitter.
«iit-e-au débat est renvoyé.
QUESTION ORALE
Anrie - - - - -
1 Fal'i^ WÇsWon de M. Tasso à
MlstriZS?' 'nimstre du travail, sur
^Ke £i,
ries . indemnités de chô-
la séan-
«e àl8h ' £ séance vendredi matin et
La Croix de Guerre
aux Ecoles d'Agriculture
J» Conirr?,- , Paris. 27 octobre.
S s'est tin , ^ s in ^nieurs agricoles,
dé ' en nrl„, hler ' M - Painlevé a pr>
^ise de ,I S r' ce d0 M- Oueuillo. à la
°n- Wontno?!- 0 -"•-'''culture de Gri-
"'ontpelher et Rennes.
es
Amis des Missions
UNIVERSITÉ DES JÉSUITES
AU JAPON
(l^? 5 mission
T °k'o, 26 janvier.
v?iSn nalres da Ja Compagnie
6^ ns reqn? m eilt Qe déposer les 800 000
le l*Erni p0ur l'érection en unrver-
|*nt. c ' col e supérieure qu'ils y di-
hiT Srarl L 8 '' désonnais assimi-
t „ _ tat - ce qui favorisera
magnifique de cet établis-
L'Arrestation
de M. do
Mont-de-Marsan. 26 jauvier.
Comme nous le relatons d'autre part,
M. Joseph Delest, gérant de I Action
Française, a été arrête à Samadet
(Landes), chez son oncle, M. l'abbé
Lux.
M. Vallat, préfet des Landes, a noti-
fié à M. Deiest l'arrêt de condamna-
tion de ia Cour d'assises de la Seine.
MM. Bec et Salrnon. commissaires
spéciaux, ont procédé à l'arrestation
de l'intéressé, qui a été transféré à la
prison de Mont-de-Marsan.
COMMENT ELLF S'EST OPÉRÉE
Mont-de-Mârsan, °T janvier.
L'arrestation' de M. Delest s'est effec-
tuée sans incUent M. Delest n'a pas
nié son identité. Il a simplement pro-
testé contre son arrestation, sa peine
étant expirée II a dit qu'on 1 avait
laissé partir et qu'il ne s'est pas évadé. I ïï'V^tVo u
C'était la deuxième fois qu'il venait el " e ;,, .
voir sa mère et depuis longtemps la
police surveillait les alentours.
Il a été transféré à Mont-de-Marsan
en taxi et écroué à la prison de cette
ville où il a été placé sous le régime
politique.
DÉCLARATIONS DE M. PUJO
Paris, 27 janvier.
C'est sans émotion que M. Maurice
Pujo, rédacteur en cliaf de l'Action
Française a appris par un coup de té-
léphone l'arrestation de M. Joseph De-
lest, gérant du journal, et il nous a dit
pourquoi it n'était ni ému, ni étonné.
« Bien entendu, nous déclara-t-il,
nous savions que notre ami et colla-
borateur était en France, car c'est nous
qui il y a une quinzaine de jours, lui
avons ouvert la voie du retour. Nous
n'ignorions donc pas que son arresta-
tion était possible, voire probable car
Delest ne se cachait pas.
— Pourquoi est-il rentré ?
— Il y a une quinzaine, Delest avait
appris que sa mère qui habite Sama-
det. était gravement malade. Obéissant
à son affection. Delest adressa à Maur-
ros une lettre dans laquelle il lui di-
sait son intention de se rendre au che-
vet de sa chère malade. Nous ne pû-
mes faire d'objections. Nous prîmes
certaines précautions et. il y a quel-
ques jours, je serrai les mains de notre
ami pas loin pas loin du tout de Pa-
ris, i
M. Pujo ajouta :
« Nous allons poser une question de
droit, qui existe pour Daudet comme
pour Delest.
« Xo s amis ont été libérés, sans que
leuif volonf. y soit pour rien, par une
levée d'écrou'que Daudet et Delest sont
en droit de trouver régulière. Ne pou-
vons-nous pn ; estimer que le temps de
prison a couru ? -
Excellence Ton That Han, régent de
l'Empire d'Annam.
Au grade dv. commandeur : MM. La-
patud. lieutenant gouverneur de la
Cote-d'Iyqire. ; Lenard. conseiller à la
Cour de cassation ; Picanon, inspec-
teur général ; S. A. B. le prince Suiha-
rot. fils de S M. Norodom. ancien roi
du Cambodge : Ton That Tram, prési-
dent du Conseil de la famille royale
d'Annam
Au grade d'officier : M. Muraz. mé-
dsein major de lie classe des troupes
coloniales en A. O. F.
Sent nommés au grade de chevalier :
Mgr Genoud. évèque de la Guadeloupe;
MM. Collier de La Marlière, ingénieur;
'> Coutouly. administrateur de lre cl.;
Mgr Crouzéi vicaire apostolique du
Sud de Madagascar ; M. Depierre, prê-
tre des Missions ; Mme Pascal, en reli-
gion Mère Ursule, supérieure de la
Cornmunautj, de Mana et de la Lépro-
serie de l'Acarouany • M. Sarda. con-
ducteur de travaux du service techni-
que des postes et télégraphes à Mada-
gascar.
MINISTERE
DE L'INSTRUCTION PUBLIQUE
La promotion complémentaire de la
Légion d'honneur du ministère de
l'Instruction Publique paraîtra vrai-
semblablement dimanche au journal
« Officiel ». Elle comprendra, notam-
ment, une cravate de commandeur
attribuée au dessinateur J. Forain.
Parmi les chevaliers, citons M. Humai-
ne, inspecteur de renseignements tech-
nique et Beulet, président de délégation
cantonale.
MINISTERE DE L'INTERIEUR
Sont nommés chevaliers : Alix Ma-
rius, journaliste à Paris : docteur Mar-
guerite, ancien maire de Castelculier
(Lot-et-Garonne).
La morte de! générale Petittj dî Ro-
reto, — Cherasco. — Domènica avevaiio
luqgo i funerali solenni del générale
Petitti di Roreto, spirato in età di 72
anni, al suo ritorno da Pinerol dove
aveva trascorso aicuni giorni presso la
sua figliola. Tutta la città aveva es-
posto la bandiera a lutto. Per ogni
classe di cittadini era la perdita deir
amico piu caro. del consigliere piu di-
do. del benefattore più generoso.
Da lunghi anni consigliere comunale.
membre apprezato délie Amministra-
zioni di tutte le Opère locali. segretario
politico del ascio. présidente, délia
Commissione provinciale dei monu-
menti, studioso di Storia. e di memorie
oiemontest. il compianto générale go-
deva la plu grande stima e veiierazione
non solo dei suoi concittadini. ma di
moite aitre personalità piemontesi e
iialiane
.Era grande ufficiale Mauriziano e
délia Corona d'Italia. e decorato dell'
brdine di Malta, délia Croce di giierra,
ecc.
Il pro'olema délie case gopoîari. —
Borna —- Si intende daré allé classe"
popolare etise a buen mercato. dnndo
cosi modo ail' industria edilizia. E' da
questo dup'.ice aspetto che debbono ri-
guardarsi i provvedimenti per le case
f.opolari conformemente alla realta
délie famiglie popolari che sono di so-
lito con numerosi bambi.
Cil agnelli dei sacri pallii. — Borna.
— Secondo l'antica consuetudine. il
Papa ha ricevuto la presentazione de-
gli agnelli. colla luna dei quali verrano
confezionati i pallii. I due agnelli sono
stati trasportati alla presenza del Papa,
che dopo averli benedetti, li ha acca-
rezzati Dopo la benedizione i due ani-
mali sono stati consegnati ail' uditbre
di Bota.. il quale li ha a sua volta con-
segnati al décano di sala. che. a mezzo
di un' automobile del Vatlcano, li ha
trasportati al Monastero di Santa Ce-
cilia. in Trastevere. le cui religioso
hanno il compito di alievarli sino alla
orossima Pasqua. — LUIGI.
.On.
troS^'fmaie ia « ' >;,ll ' cs . 27 anvier.
ls ianv « "^Pnr'tion, depuis mer-
V AnCs € h -. , ,! M - Htibor Delang,
U»îi t Dela„ b ' habitant Viroflay.
Hfj'^ritic" nt 1,0 à 000 fr.:
fûts usagés. 22-5 à 400 fr.. !e toct suivant
qualité et poids, fûts pris en magasin.
Wagons-réservoirs. — Location : pour, vin
rouge, blanc et alcool. 2 a 2 fr. 50. le tout
à l'hecto voyage, suivant lie et contenance. -
. , Narbonne, 26 janvier.
Cours sans changement, affaires calmes.
Vins rouges récolte 1927 de 7°5 â. ir, de
145 h 200 fr.: Minen-ois 10°, 185.fr.; Cor-
bières 11 à. 12", 200 à 220 fr, le tout l'hecto
nu, pris chez récoltant, frais -en. sus.
Alcools. — Trois-six vin 86° 1925, 1225 à
1240 fr.; trois-six marc 86°. 1125 fr. ; eau-
de-vîe marc. 52°, 1115 fr.. lé tout les cent
degrés par hecto nu, pris chez bouilleur,
frais en sus.
RUGBY
MATCH SCOLAIRE
s'est disputé, au Parc des
Hier
Sports, on match mettant aux prises
la violette de Toulouse et une équipe
sélectionnée parmi les meilleurs joueurs
de i'Académie. en vue de la formation
de l'équipe qui représentera l'Acadé-
mie dans les prochaines rencontres in-
terscolaires. ,
La Violette a finalement disposé de
l'équipe de Sélection par le score im-
pressionnant de 43 à 8.
En matcli de championnat, 1 Ecole
Berlhelot a battu 1 Ecole de Commerce
MARCHÉ DES CÉRÉALES
Paris, 26 janvier.
Blés. — Base de liquidation, 155; courant,
154 25; février, mars-avril et 4 de mars, '.55.
Farines. -- Base de liquidation, 2C9-. cou-
rant, 197. nominal; février, 188. nominal;
mars-avril, 196, nominal; 4 de mars, 202,
nominal.
Avoines noires. — Base de liquidation,
1(W 50; courant, 106 50; février, mars-avril
et 4 de mars, 107 50.
Diverses. — Base de liquidation, courant,
février, mars-avril et 4 de mars, 106 50.
Seigles. — Base de liquidation, 129; cou-
rant, février, mars-avril et 4 de mars, 129,
nominal.
MARCHE OES SUCRES
Paris. 26 janvier.
Ouverture. — Courant; 234 50 à 234; pro-
chain, 234 50 à 234; mars, 235 a 235 50; 3 de
février, -'35; S de mars, 286.50 a 237; 3
d'avril. 238 50 à 239. Tendance faible.
Clôture. — Courant, 233 50 à 234, pro-
chain, 233 50; mars, 234 50-, mars, 234 50; 3
de février. 234 50; 3 (ie mars, 236; 3 d'avril
238 a 237 50. Tendance faible.
Cote officielle : 234.
MARCHÉ AUX BESTIAUX
Paris, 2 janvier.
Bosufs. — Amenés, 1621; invendus, 120;
1" qualité, net, 830; vif 490, — 2", net, 660;
vif, 370; — 3*,' net, 520; vif, 265. .
Vaches. — Amenées, S10; invendues, 40;
t" qualité net, 830; vif, 490; — 3°, net, 610;
Vif, 342; — 3*,' net, 490; Vif, 250.
Taureaux. — Amenés. 277; invendus, 15;
1" qualité, net, 640; vif. 384; _ 2', net. 590;
Vif, 330; — 3\ net. 520; Vif, 260.
Veaux. — Amenés, 1555; invendus, 18; 1"
qualité, net, 1430; vif, 858; — 2°, net, 1210;
vif, 714; — 3°, net. 950; vif, 532.
Moutons. — Amenés, 8049; invendus, 400;
1" qualité, net, 1560; vif, 765; — 2% net,
1160; vif, 546; — 3°, net, 910; vif, 400.
Porcs. — Amenés, 2020; invendus, néant;
V qualité, net, 1100; vif. 770; — 2", net, 1028 ;
vif, 720; — 3°, net, 758; vif, 530.
Observations, — Vente calme, cours sans
changement sur toutes espèces, sauf mou-
tons en légère hausse.
Bordeaux, 26 janvier.
Bœufs. — En réserve à l'abattoir, 213 ;
amenés, 92 : vendus, 66 ; invendus, 26. Ire
qualité,' 42 Oà 460 ; 2° 380 à 420 ; 3", 340 à
380 ; prix extrêmes, 200 à 500.
Vaches. — En réserve à l'abattoir. 20 ;
amenées, x7 ; vendues, 1S ; invendues, 2.
Pas de prix.
Veaux. — En réserve à l'abattoir, 08 ;
amenés, 34 ; vendus, 34 De 600 J 720 fr.
Agneaux. — Amenés, 159 ; vendus, 159.
De 50 à 130 fr. pièce.
MARCHÉ OU HAVRE
Le Havre, 26 Janvier.
Cotons. — Tendance soutenue; ventes, 3.400
balles; janvier-février, 606; mars, 609; avril,
004; mal, 606; juin, 602; juillet, 599; août,
594; septembre, 590; octobre, 582; novembre,
579; décembre. 580.
Cafés. — Tendance calme; ventes, 250 sacs;
jai vier, 509 25; février, 507 25; mars, 493 25;
avril, 483; mai, 477 25; juin 475 25; Juillet,
46,8 25; août, 464 50 ; septembre, 458 50; oc-
tobre, 455 25; novembre, 452 25; décembre,
447 50.
Laines. — Tendance soutenue; Janvier-fé-
vrier. 1860; mars, 1830; avril, 1SO0; mat-Juin-
juillot, 1780; le reste. Incoté.
PRODUITS RÉSINEUX
Londres, 26. janvier. -
Térébenthine. — Facile. Disponible,
41 1/4 : février-avril, 41 1/2 ; mai-juin,
42 ; juillet-décembre, 43 1/2.
Résine. — Ferme Américaine : mar-.
que B. 20 •' F.G. '20 1/2; H.. 20 3/4 ;
N. 23 1/2 ; W. 25,3/4. Française : F.G.,
20 .; W., 23.
Savannah, 26 janvier.
Térébenthine : 54 1/4.
Résine : F., 7,85 ; W.G., 9,60 ; W.,
10,50. .
BlSOUlt
Une lAtlon. un nstrftgm .

VENDREDI 27 JANVIER 1928
Ea& température
DU 20 JANVIER 1828
Une nouvelle dépression venant du
noid-uiiesi de l'Europe, descend du
continent : Lu preeslon aunospin-riaue
baisse rapidement dans nos réBiôhs •
elle est de plus de lu mil. depù&W
tr,,»;Zï n ï' po bord au Sud - est tenu à
tourner à l'Ouest. Le ciel va devenir
turef
aVe ° haUSse de la
fcrun^ux' 0USe ' t6mpS bËW ' lé e èremen t
Pression barométrique, à midi, 770
..Température a midi 10°. '
minimum —2°.
minima 11».
Vent à midi ; Sud-Est faible.
36 li 52 1 LeVCr ' 1 ht 15 ; coucner .
Lune : Premier quartier, le 29.
Probabilités : Temps nuageux à cou-
yert. Quelques pluies.
BULLETIN AGRICOLE
DE LA TOUR EIFFEL
Pour la journée du 27 janvier
Massif central et région Sud-Ouest. —
ilemps médiocre, ciel nuageux se cou-
vrant avec pluie et averses suivie»
d eelaircies; vents du Sud-Ouest à Ouest
de 4 a 7 mètres ; même température,
minima moins 3 et plus 2.
Région du Sud. — Beau temps nua-
geux avec éclircies ; vent du secteur
Nord de 4 à 7 mètres j'môme tempéra-
ture, minima, 3.
PROBABILITÉ GÉNÉRALE
Vents du Sud-Est faibles à modérés-
nuageux et couvert ; quelques pluies :
doux ; minima 1 à zéro.
TOULOUSE
»»»»»»
A ISIOS ABONNES
Grand Théâtre de Berdeaus
Ce soir, à 20 heures, Mlle Vava Yakow-
leva, dans La Travlata, avec le ténor Ba-
Huls, M. Manzonl, M. Romette, Mlle Fa-
bry, M. Richard, M. Cosson. M. Delmas.
Samedi, à 16 h. 30, unique audition des
célèbres chanteurs nègres The Fisk Jubilee
Singers.
A 20 h. 15, soirée à moitié prix à toutes
les places Ilérodiade. avec le ténor Caze-
3iave, Mile empers, M. Rougenet, Mlle Phi-
lipp's, M. Bernasconi, M. Manzoni M. Del-
mas, M. Viardot, Mlle Simonpietri.
Grand ballet dansé par Mlles Lucia Pe-
Incchi, Teyeheney.
Dimanche, en matinée, à 14 heures, pour
les adieux de Mlle Vava Yakowléva, La
Traviata, avec MM. Banuls, Manzonl," Re-
mette, Mlle Fabry.
. Le ballet du Cid.
lin soirée, à 20 h. 15, Le Chevalier à la
Bose.
Lundi, à 20 h. 30, représentation extraor-
dinaire au profit do l'Œuvre de l'Adoption:
Création à Bordeaux du grand succès de
l'année au théâtre Michel à Paris -, Les Va-
cances de Vâques. comédie en trois actes,
de M. Romain Coolus. avec Mlle Paulette
Tentant dans le rflle de « Claude » qu'elle a
créé a Paris ; Mlle Serge Vania, Mlle Jane
Marcyl ; M. Henry Prestat ; M. Legendre.
En raison des frais considérables qu en
traîne la récupération des abonnements
par la poste, nous prions instamment nos
abonnés de vouloir bien, DANS LES
15 JOURS QUI PRÉCÈDENT LA FIN
DE LEUR ABONNEMENT, nous en faire
parvenir le montant par chèque postal à
notre compte N° 4936-Toulouse.
de ce chèque qui pourront Être retenus
sur le montant de l'abonnement.
A partir du I E ' lévrier, nous ne ferons
présenter des mandats qu'à ceux de nos
abonnés dont nous n'aurons pas reçu le
renouvellement par chèque postal. CES
MANDATS SERONT MAJORÉS DE
1 fr. 65 POUR FRAIS DE RECOUVRE-
L'Fî-nr^.. „„„J % t . L. MEN T è* "r°nt envoyés 5 jours après la
fc *P'«« Prend à sa charge les frais fin de l'abonnement.
 JCmNBP
DU 27 JANVIER 1928
Saint du jour St Jean Chrysostôme.
l'èle à souhaiter .- St Charlemagne.
10 heures, Grand Hôtel, soirée
de l'Institut de Chimie.
*-* 17 heures : A l'institut Catholi.
que, conférence de M.- l'abbé Guesdon:
« Les Communautés musulmanes ».
«s-* 21 heures : Au Capitole, réunion
du Cohseit municipal.
Une décision regrettable
LA « DISSOLUTION » DU CENTRE
DE PREPARATION DES ARMES
A CHEVAL
et de ftbxpress»
MARIAGES
i Mardi 24 janvier a été célébré, en
l'église de Saint-Amans (Tara), le ma-
riage du docteur Valéry Aubertot, mé-
decin à Royat, avec Mlle Marie-Rose
! !Aussillons.
L'abbé Bruyère, chapelain de la fa-
mille Aussillons, a béni le mariage et
«dressé aux époux une délicate allocu-
tion, rappelant avec émotion les liens
d'affection et de dévouement qui le
rattachaient depuis si longtemps à la
ttamille de là jeune mariée.
Le service d'honneur était assuré par
Mlles Bruvère et Marie-Louise Donat
accompagnées par MM. Coucoureux,
député de l'Aveyron. Henry Fayolle,
agent de change, et Paul Bruyère.
Après la cérémonie religieuse. Mme
Aussillons a reçu dans sa bellle rési-
dence de Saint-Amans Val Thoré les
invités des deux familles. Aux très
nombreuses félicitations et témoigna-
ges de svmnathie reçus par les jeunes
'époux et leur famille, nous joignons
très sincèrement les nôtres.
'EUIEIS ET
RÉDACTEURS-STÉNOGRAPHES
AU GOUVERNEMENT GÉNÉRAL
Un concours pour le recrutement de
% rédacteurs-sténographes stagiaires
au Gouvernement Général sera ouvert,
le lundi 2.' avril 1928. à Alger.
Les candidats devront justifier qu Us
sont français âgés de plus de 20 ans
et de moins de 35 ans (cette limite
étant reculée d'une durée égale à celle
des services militaires ou administra-
tifs ouvrant des droits à la retraite,
sans que cependant le maximum de
40 ans puisse être dépasse) ; qu ils ont
satisfait aux obligations militaires et
qu'ils possèdent le diplôme de bache-
lier de l'enseignement secondaire.
Les candidates doivent - être françai-
ses possède le diplôme de bachelier
de 'l'enseignement secondaire et être
â«ées de plus de 20 ans et de moins
de '35 an, (cette limite d'âge étant re-
culée d'une durée égaie â celle des ser-
vices administratifs ouvrant des droits
à la retraite sans que cependant le
maximum de 40 ans puisse être de-
P Les' demandes d'admission, au con
cour, devront parvenir au Secrétariat
Général du Gouvernement Général a,,
moins un mois avant la date fixée
pour les épreuves.
HODVELLKJPOSTALÏS
OUVERTURE AU SERVICE POSTAL
DE LA LIGNE AÉRIENNE DU
CONGO 3ELGE
Boma-Elïsabethville via Léopoldville
La ligne aérienne Borna-Elisabeth-
vilît via Léopoldville sera ouverte au
service, postal à partir du 31 janvier
^^correspondances à transmettre
par ceue nouvelle voie devront être
revêtues par les expéditeurs de 1 etl-
ouefte spéciale - Par Avion » et de la
mention « Par avion de Borna à Léo-
et Elisabethville ». Elles se-
?ônt, V en outre;'pa'ssibles d'une surtaxe
rériènne fixée uniformément à. 1 lt. 80
par 20' grammes ou fraction de 20 g-im-
TCPS d'excédent.
t 'emploi de l'avion assure aux cor-
respondances sur les moyens prdmal-
r % U a l 48 a n n emes pour Léopoldvllle-, 4 A
r, iôurs pour le district de Kwanga et
L district du lac Léopolrfll, sauf Bo o.
bo et Lukoleln-. 10 à 15 jours pour les
Stettictâ de Ki,sai et Sankuru : ,
lis correspondances-avion ordinat
Js >u recommandées sont au départ
de France, acheminas « via Ativ^'s »
nar les t -quebots de la Cie belge mari-
Ce du' Congo belge Ml «WJ^g
coïncidence a Borna avec le .ser\"l e
'aré^èu dont il s'agit. UI UNW di-
vers ont Heu tous les lft ]
s v en ,^^l I !
renseigner dans les bureaux de pos-
te en "T qui concerne les dates exactes
de départ»
Les parents des jeunes gens inscrits
au centre de préparation des armes à
cheval de Toulouse viennent de recevoir
une circulaire les informant de la dis-
solution c'est-à-dire de la disparition
radicale soudaine, de ce groupement
d'instruction militaire.
Le même document indique quelques
motifs de cette suppression qui nous
apparaissent assez obscurs et, tout au
moins très discutables.
Le centre disparaît, est-il dit : d'abord,
parce que certaine circulaire réglemen-
tant les conditions d'admission et d'âge
des candidats en rendaient le fonction-
nement difficile; ensuite, parce que l'on
a constaté l'extrême fatigue lit des
chevaux d'artillerie, mis à la disposi-
tion des jeunes gens du groupe de pré-
paration, et que le nombre de ces mon-
tures a été réduit jusqu'à rendre im-
possible toute éducation hippique sé-
rieuse et. enfin, (je prie qu'on note ,
bien cette dernière observation) en rai- \
son des difficultés incessantes entravant
le bon fonctionnement du centre.
De toutes les raisons qui .viennent
d'être ainsi exposées, m'est avis que le
moins qu'on puisse dire, c'est que la
meilleure ne vaut rien du tout et qu'il
en est, même, de tout à fait inadmissi-
bles-
Lorsque la réduction du temps de ser-
vice militaire a été envisagé, en effet,
et tout dernièrement encore, lorsque le
nouveau statut de l'armée française a
été exposé et discuté au Parlement, i!
a été dit, redit et même rabâché — que
le service d'un an n'était acceptable
ju'à la condition de soumettre toute la
jeunesse française à une préparation
intensive de l'effort qu'elle aurait à
fournir vendant son passage sous les
drapeaux.
Point n'est besoin, il me semble, d'in-
sister beaucoup sur l'importance de
cette remarque.
Il va sans dire que notre armée ne
peut conserver la force de cohésion,
d'aptitude manœuvrière et guerrière,
avec l'adoption du . service d'un an,
qu'à la condition que le troupier ou le
jeune cavalier, ou l'artilleur, arrive à
moitié dégrossi à son corps, au jour
de son incorporation, afin que le dres-
sage des recrues soit fait en quelques
semaines et que l'on puisse passer,
dans le plus bref délai, à l'assouplis-
sement, au perfectionnement partieu-
l Lier à chaque arme.
Et ce qui est déjà vrai en ce qui re-
garde le simple soldat, le devient bien
davantage encore si nous considérons
le cas de l'officier de réserve qui, pen-
dant son année de présence sous les
drapeaux, doit, non seulement se fami-
liariser avec son métier de soldat, mais
devenir capable de l'inculquer à au-
trui, ce qui ne peut se faire sans ac-
quérir une certaine maîtrise.
Comment pourvoir à tout cela si les
centres de préparations militaires, non
seulement ne fonctionnent pas avec
tout le sérieux désirable, mais vien-
nent à disparaître, comme celui dont
nous nous occupons
Or, il s'agit, en l'espèce, d'un orga-
nisme de préparation aux armes de la
cavalerie et de l'artillerie, c'est-à-dire
où l'apprentissage du cheval — appren-
tissage peu commode, on peut m'en
croire — joue le rôle prépondérant. Cet
apprentissage, où le pratiquer, sinon
dans les régiments d'artillerie ou de
cavalerie qui peuvent prêter des mon-
tures aux apprentis cavaliers ?
Que cette facilité vienne à manquer
et c'est tout l'édifice du service d'un
an qui s'écroule : c'est l'impossibilité
absolue, pour l'artillerie et la cavale-
rie française, d'assurer leur recrute-
ment dans les conditions voulues, exi-
gées par la nouvelle loi militaire.
On le voit, l'affaire est d'importance.
Da telle importance, que nous ne
pouvons, répétons-le encore, admettre
les très mauvaises raisons que l'on
nous donne de la dissolution du centre
de préparation des armes à cheval de
Toulouse
Que les circulaires ministérielles qui
réglementent l'âge et les conditions
d'admission de la jeunesse française à
ces sortes de cours préparatoires au
service à cheval, n'aient, pas toute
l'élasticité, la souplesse désirables,
c'est déjà surprenant ,
Mais qu'on essaye de soutenir que
l'on ne peut, dans les divers corps
montés, céder aux instructeurs volon-
taires de la jeunesse les chevaux né-
cessaires à l'instruction, c'est encore
plus raide.
Mais lue ces mêmes instructeurs
puissent se plaindre qu'au lieu d'en-
courager leurs efforts on' leur a mis.
dans les roues, tons les bâtons possi-
bles, ceci passe l'imagination et reste
tout' à feit inrdmissible.
La fatigue ries chevaux ! Eh ! ils en
vovaiem bien d autres, les pauvres
« bourrins »-. an temps d'avant-sme.r-
re, ii l'époque des écoles de régiment
et' des grandes manœuvres ! Auprès
des efforts que l'on exigeait d'eux,
alors que sont les quatre ou six heu-
res de simple manège ou de très netit
travail à l'extérieur qu'on leur impo-
sait pour la préparation militaire .
Tous les anciens cavaliers ou artil-
leurs en lèverr-nt les épaules.
N'empêche qu'on avait, même djans
ces conditions, obtenu de , très heu-
reux résultats. Les Toulousains ont pu
les apprécier, dans les quelques occa-
sions où le centre de préparation des
armes A cheval de Toulouse a présenté
en public ses élèves, au cours de ce*,
doux ou trois dernières années.
On a vu, en effet, dans '"es exhibi-
tions do ieunes cavaliers pleins n en-
train, d'allant et fort énergiques qui
donnaient bien rinmrossinn nie dans
les rangs d'un escadron ou d'une bat-
terie 11s pourraient tout de suite fni»e
1res bonne figure.
F.t tout cela est na' terre, abandon-
né désnrr-anis.'' nnr suite d'en ne sait
trop quels mauvais esprit et, mau-
vais vouloir !
C'est tout bonnement fantastique I
Quon y songe ! C'est tout simple-
ment 1 avenir de l'armée française que
l'on, met en jeu de la sorte.
Car, ou bien la préparation militaire
doit fonctionner dans toute son am-
pleur et sa perfection, ou bien cette
armée ne sera plhs, suivant, l'expres-
sion d'un homme particulièrement
averti. « «.«que le mensonge d'une force
inexistante ».
Et l'on aura bien les hommes dont
les noms seront alignés sur les con-
trôles des divers régiments, mais de
vrais soldats, et surtout de bons com-
battants... poçnt. — L. de F.
Conseil municipal
Le- conseil jmunicipal se réunira en
séance oificielle aujourd'hui vendredi
27 janvier, à 21 heures, dans le lieu
habituel de ses réunions.
Ordre du jour :
Avenant au traité de rétrocession du
12 août 1902 (réseau urbain de tram-
ways et omnibus) : a) Convention :
b) Cahier des charges tramways ; c)
Cahier des charges omnibus.
Mode, par Zéollde ; Lettre de Mlle Ga-
brielle de Clurfout. par M. Henri de la
Martinlère ; le Coin du Liseur, par M
Paul M.utignon • Au Capitale, pur M.
Henry Uerroueh : portrait de Raque!
Meller. la grande vedette du cinéma et
du music-hall • Poésies de Mme Rose
Delpech et Edouard Portai ; Une belle
exposition a Toulouse, par M. Jean de
Loiseul ; Féminisme grammatical ; les
Mondanités , (naissances fiançailles,
mariages, Noéls, soirées bal de 'l'Ami-
cale des anciens élèves de l'Ecole Su-
périeure de Commerce. de la Paix So-
ciale, etc.. réceptions, notes noires, etc.)
Amour d'automne, par Mlle Marie-
Louise Taste Mes heures perdues, par
l'Ermite du Vieux-Raisins ; la Musi-
que, par M. Germa de Rault ; les Res-
sources thermales du Sud-Ouest : la Vie
mondaine à Pau. Biarritz. Luchon Bé-
ziers. Auch, Perpignan, etc...
Devant le très vif succès obtenu par
son numéro de Noël, la direction de
« la Vie Elégante et Touristique » se
propose de faire paraître un fascicule
de grand luxe à l'occasion des fêtes
rte Pâmies. Le numéro de février pa-
raîtra le 15 et le 20 du moi? prochain.
Abonnement»: : \% fr. par an.
Bureaux : 12, square Saint-Georges
Toulouse.
mm Mm
Le Prix du Pain
Le préfet de la Haute-Garonne a pris
l'arrêté suivant :
Le prix-limite, qui ne pourra être dé-
passé dans la commune de Toulouse
pour la vente au détail du pain de
consommation courante, sera fixé com-
me suit, à partir du 1« février 1923 :
Les pains du poids de 2 kilos seront
vendus 2 fr. 05 le kilo :
Les pains du poids de 900 grammes
s^Tont vendus 2 fr. 05 pièce ;
Les pains du poids de 725 grammes
seiont vendus 1 fr. 65 pièce ;
Les pains du poids de 425 grammes
seront vendus 0 fr. 95 pièce ;
Les pains du poids de 90 grammes
ssïont vendus 0 fr. 25 pièce.
Révision
des Listes électorales
Le maire de Toulouse a l'honneur de
rappeler à ses administrés que le bu-
reau des élections, a la mairie, est ou-
vert tous les jours, en permanence, de
8 h. 1 à 18 a. jusqu'au 4 février in-
clus, dernier délai pour recevoir les
demandes d'inscriptions nouvelles, les
demandes de radiations et autres rec-
tifications à apporter à la liste élec-
torale.
Lea électeurs ayant changé d'adresse
sont instamment priés de faire connaî-
tre leur nouveau domicile, afin d'éviter
les réclamations qui se produisent au
moment de l'envoi des cartes électo-
rales.
Les Palmes académiques
Le 21 janvier, M. l'archiprêtre de
Saint-Etienne, assisté de M l'abbé Mar-
quiez présidait une véritable fête de
famille à son école chrétienne de la
rue Bida, 15 où professeurs et élèves
applaudissaient à la remise solennelle
des palmes académiques décernées à
l'honorable directeur. M. Littré, dont
nous célébrions fin juillet le cinquan-
tenaire d'enseignement dans les écoles
chrétiennes
Cette distinction officielle du minis-
tère de l'instruction publique voisinera
désormais avec la médaille d'argent
décernée par Mgr Germain, archevêque
de Toulouse, comme pour sanctionner
fe double 'caractère d'enseignement
chrétien et d'enseignement public qui
est tout à l'honneur du clergé parois-
sial et du personnel enseignant.
Les honneurs rendus à M. Littré, le
nouvel officier d'académie, sont en mê-
me temps un hommage au clergé pa-
roissial qui soutien le directeur de son
dévouement inlassable, et nous som-
mes heureux de dire ici au distingué
directeur M. Littré : « Ad multos an-
nos ! »
Croix-Rouge Française
Le mercredi 1er février, à 21 heures,
l'Association des Dames françaises don-
nera, au profit de son Dispensaire-Ecole,
son grand bal annuel, dans les salons
du-Ouartier Général, sous la présidence
d'honneur de Mme Second.
Un des meilleurs orchestres de la
ville conduira ce bal qui, nous l'espé-
rons sera un des plus animés de la
saison Un buffet magnifiquement pour-
vu, sera mis à la disposition des in-
vités.
Nombreux, nous n'en doutons pas, se-
ront ceux qui tout en passant une ex-
cellente soirée, auront à cœur de contri-
buer à cette œuvre d'une si haute utilité
sociale.
On trouvera des cartes d'entrée :
Au Dispensaire. 1 ter. rue du Péri-
gord; chez Mmes Jacquemin 3. rue Bo-
miguières-. Michel. 12. boulevard de
Strasbourg- Lavedan. 33 rue des Lois;
aux Ciseaux d'Argent, rue Alsace-Lor-
raine; à la Marquise de Sévigné. rue
Alsace-Lorraine; à la pâtisserie Heinz-
Tester. rue Lafayette: à la Librairie des
Six Sœurs, place Saint-Etienne; à la Li-
brairie Privât, me des Arts: à la Librai-
rie Richard, rue Lafayette.
Prix : 12 francs.
POUR SE PRÉSERER DU FROID
Jeudi soir, vers 9 heures. M Pierre
Crachet, âge de 23 ans, chauffeur de
taxi, demeurant 112, rue des Récollets,
a porté plainte contre inconnu pour
vol d'une pelisse d'une valeur de 209 fr.
commis sur le siège de sa voiture.
Ce manteau aurait été dérobé un
opart d'heure avant, en face le garage
Sarraute, rue des 3-Jouirnées, où M.
Crachet s'était rendu, laissant sa voi-
ture en stationnement devant la porte.
M. Picou, commissaire de permanen-
ce, a ouvert une enquête et avisé le
service de la sûreté.
POUR LE PARQUET
Après un interrogatoire serré le B
21 heures, réunion. Causeries diverses -,
études de circuits routiers pour la saison
d'été; adhésions nouvelles. Présence indis-
pensable.
Ex-Toulousains. — Assemblée générale c»
soir, au siège, à 21 heures. Discussion très
Importante; affaire d'honneur.
tor Dupont : M. Xhoffray
comique jouera le rôle du roi
Mise en scène de M. Azéma. Chœurs
orchestre sous la direction de M
Location ouverte.
« Passionnément n
Le prochain cyile des tournées . Baret se,,
formé de Passionnément, do M. Ana^
Messager, le maitre incontesté de la ni»
sique légère. """
A L'ORPHELINAIT
DE LA GRANDE-ALLÉE
Nous pouvons aujourd'hui préciser
chain, à la Grande-Allée, par les Etudiants
catholiques, sera constitué par l'union»
reprise de. la revue « A tira d'ailes ,
M. le Marquis et do Mme la Marquis,
s'a».
A L'INSTRUCTION
Le Crime de Msntgiscard
L'inhumation de la ) etite victime a
été faite au cimetière de Terre-Cabade.
Aucun incident ne s'est produit.
M. Boubes, juge d'instruction, n'r>
pas encore poursuivi l'enquête, car Me
Deyres, avocat de l'inculpé a été Obligé
de s'absenter.
Vraisemblablement l'instruction : ra
ouverte officiellement samedi 28 cou-
rant.
De nombreuses commissions rogatoi-
res ont été lancées. Le résultat de ses
enquêtes pourrait provoquer certaine-
faits nouveaux.
P. de Rayssac a été mis au droU
commun et il n'a été permis à personne
de s'entretenir avec lui.
ALI M ENTAT! ON
Tél 24-34 W T< 24-34
TOULOUSE
Succursale : 62, Rue de Metz
ours B
PLUS DE MANTEAU
Pendant l'absence, de M. Gaston Ca-
zeneuve, âgé de 42 ans, fabricant de
peignes, habitant 23, rue Jonquières, un
individu s'est, introduit dans son ma-
gasin et s'est, emparé d'une gabardine
qui se trouvait suspendue à un porte-
manteau. Une enquête est ouverte au
5J arrondissement de police.
ABSENCE MISE A PROFIT
Sur plainte de Mme Jeanne Bordes,
demeurant chemin Lasbruges, aux
Trois-Cocus, une enquête est ouverte
au commissariat du 3° arrondissement
pour vol d'un complet veston, d'une
paire de souliers et de quatre mou-
choirs commis au domicile de la plai-
gnante dans le courant de la journée
du 24 courant,
COLLISION
Une collision s'est produite, mercredi
matin, vers 11 h. 30, rue Riquet, à l'an-
gle de la rue Caraman, entre une au-
tomobile conduite par M. René An-
drieux, demeurant rue de Languedoc,
S9, et une auto conduite par M. Henry,
domicilié à Carcassonne. Tout s'est
borné à des dégâts matériels de part
et d'autre.
PLUS DE BICYCLETTE
Une enquête est ouverte pour vol
d'une bicyclette commis au préjudice
de M. Edmond Landin, âgé de 21 ans,
employé aux Ferronneries du Midi, de-
meurant boulevard d'Artillerie, 4;
LE TORTILLARD
RENVERSE UNE AUTO
Mercredi soir, vers 5 h. 30, M. André
Pelegry, demeurant à St-Simon, pas-
sait à Lardenne avec son auto, dans
laquelle avait pris place Mme Pelegry.
Arrivé au croisement du chemia, Sa-
llgné et de la route de Lombez. il a
été pris en écharpe par le train mixte
de la Compagnie du Sud-Ouest, venant
de Tournefeûille. Sous la violence du
choc, la voiture a été renversée dans
le fossé et a subi quelques dégâts ma-
tériels. .
Quant à M. et Mme Pelegry, ils sont
sortis fort heureusement indemnes de
cet accident. Une enquête est, ouverte
au commissariat du 7e arrondissement.
NOS VINS DE TABLE
EN LITRES
». n Miner vois extra m s
/in Rouge L« mre 2.1
n Supérieur
fin Bouge
n Premières Côtes n ..
flll Ri» Le litre è. »
2.61
Via Roiip Côtes Supér.
Le litre Isii
il" n Villaudric Vieux n nn H
VliîRSyp Le litre ùM\
n«.,M„ Bordeaux Vieux
Vin Rouge i.e utre
Vin Qtvinp Bor T dea 1 ux Su P ér -
fin SfOUyS Le Utre »
Un projet de Voyage
en Afrique du Nord
Le Comité Afrique du Nord-Midi étu-
die en ce moment les possibilités d'or-
ganiser au cours du printemps, un
-voyage présentant un caractère à la
fois économique et touristique, dans
les provinces d'Alger, d'Oran et dans
le Maroc Oriental.
Les Compagnies de transport ferro-
viaires et maritimes, ont déjà consenti
d'Importantes réductions sur leurs prix
habituels. , ,
Les groupements, les industriels, les
commerçants, les agriculteurs et les
touristes que ce projet pourrait, intéres-
ser, sont invités à se mettre en rapport
avec le Comité. (Permanence au Syn-
dicat d'initiative, Capitole, Toulouse).
Cette prise de contact ne saurait
comporter d'engagement ferme ; ni
pour le Comité, ni pour ses correspon-
dants, le vovnge projelé étant subor-
donné au chiffre des adhésions reçues.
La Presse Périodique
LA VIE ÉLÉGANTE ET TOURISTIQUE
Revue littéraire mondaine, artistique
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CHEZ LES TOULOUSAINS
DE TOULOUSE
Vendredi 27 janvier, à 20 h. 45, M.
Gabriel Marty, avocat à la Cour d'Ap-
pel, fera , chez les Toulousains ue
Toulouse, 6, rue Saint-Jean, près les
Carmes, une conférence sur « Etienne
Cabet et le procès des communistes à
Toulouse en 1843 ».
On entre sans carte.
LUNDIS LITTERAIRES
Lundi, à 17 h. 15, dans le grand am-
phithéâtre de l'ancienne Faculté des |
lettres, aura lieu la huitième conférence J
des Lundis littéraires. M. Picavet. pro- '
fesseur à la Faculté des lettres, parlera
sur le sujet suivant : « Paris sous
Louis XV »
Au cours de cette conférence des pro- ,
jections auront lieu.
Location comme d'usage à la Librai-
rie Richard, rue Lafayette.
HISTOIRE POPULAIRE DE TOULOUSE
Programme du cours public munici-
pal qui aura lieu ce soir vendredi, à
8 heures, à l'ancienne Faculté des
Sciences, rue Lakanal. 1 :
Partie chronologique] — Cours élé-
mentaire : « Successeurs de Clovi s dans
le Midi. Barolus et Didier Vascdns de-
vant Toulouse. Caribert. Boggls et Ber-
trand, ducs héréditaires ».
Cours supérieur ; « Evénements tou-
lousains vers la fin du règne de Fran-
çois 11 »
Actualité éphéméride. — A 8 h. 30
précises, causerie par M J -L. Lagurde
secrétaire générai de l'Ecole des Beauxl
Arts : < L'œuvre humoristique mo-
derne du chansonnier audois Léonce-
Noël Dujol (Les Bramardises) ».
A L'INSTITUT CATHOLIQUE
Aujourd'hui vendredi, à 17 heures,
salle Desprez. conférence nar M. l'abbé
Guesdon, curé de Saint-Joseph, à Tou-
louse : Les Communautés musulmanes.
Cours sociaux du dimanche
Dimanche 29 janvier, le cours de la
chaire Ozanam, de l'enseignement éco-
nomique et social de l'Institut catholi-
que de Toulouse, sera fait par le doc-
teur Lucien Roques et aura pour sujet •
« La santé sociale et la médecine ».
Cette conférence sur une matière aussi
délicate et aussi importante attirera,
nous n'en doutons pas, un très nom-
breux public à l'Institut catholique di-
manche soir à 17 heures. Nous r£ppe-
lcns que l'entrée de ces cours du di-
manche est entièrement libre.
Lt conférence publioue et con'; adictOjre
de l'abbé Dssgranges
Nous pouvons dès à présent annoncer
le sujet, que réminent orateur qu'est
l'abbé Desgranprs traitera le 10 février
prochain, à la salle des Jacobins. It
parlera du danger social de l'Ecolë
unique. Cette question a été souv .vt
traitée à Toulouse, même en conférence
contradictoire, mais depuis, les événe-
n onts ont marché. L'Ecole unique est
en train de se faire par décrets succes-
sifs. Le sujet est donc d'une brûlante
actualité et attirera à la salle des Jaco-
bins une foule eonsidê^ble. Nous indi-
querons prochainement les jours et ; -u-
res où il sera possible de retenir son
billet à l'avance.
m mm
En RECLAME pour cette SEMAINE ]
Premières Cûîes n nn
Le litre C.Qli
Au lieu de 3.in !
j ' Côtes Supér.
lanC Le litre
Au lieu de 3.45 j
Bordeaux 1/2 douxf
d'oi-geix. cette revue, dor.: le succès
nonce comme triomphal au Jardin Roy^
sera donnée . dimanche, en matinée 4. g
Grande-Allée avec les mêmes décors et fog
mêmes interprètes qu'en soirée.
Notre aimable compatriote, le vicomte
Henri d'Orgeix, l'un des premiers tond»,
teurs de l'Association des Etudiants catho.
liques et son ami toujours prévenant, doa-
nera le plus grand éclat à la deuxlèra»
mise en scène de la revue.
Nul doute que l'attrait n'en soit extr*.
mement vif et ne provoque le même em.
pressement que la -ique représentatioa
de ce soir au Jardin Royal.
On trouve des cartes pour cette unique
matinée au bureau de la Presse catholi.
que, 27, rue de Metz; aux Beaux-Livres,
2, rue d'Alsace; -& la papeterie des Six.
Sœurs, place Caint-Etienne ; et chei ]g
Etudiants catholiques, 37, rue de Meti.
LES FILMS DE LA SEMAINE
« La Vestale du Gange »
Le Sélect-Cinéma présente cette semait»
une jolie production « Star Film •. ce
film, d'après le roman de J.. Germain et
Guôrinon, a été réalisé par André Hugoj;
il est surtout remarquable par sa mise ea
scène et de magnifiques décors dnis à flo-
queleux. Quant à l'interprétation, elle
réunit un bon lot d'artistes, tels que Résina
Thomas, Georges Melchior, Camille Bert,
Bernard Goetze, etc..
Grâce a « La Vestale du Gange », noui
pénétrons les mystères de cette vie indoue,
si curieuse et surtout si luxueuse. Slgnalort»
que certaines seènes sont du plus joli effet,
le tout accompagné par un orchestre de
ChOtX. :>*
Regrettons simplement que certaines pa»
ties en couleurs soient d'un ,. terne tel
qu'elles déparent même cette tproductiohi
en résumé, c'est un film qui mérite d êtrt
vti par tous les amateurs de superprodu*
tions. — P. B.
3.19 | MUSIC-HALLS et CINÉMAS
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NOUVEAUTES. — En soirée, h
8 h. 40 la super revue New- lork Paris. U
faut voir ses décors, ses çostufljes, set ve-
dettes, son niidérie), ses girls.
G AU MONT-PALACE. — A 3 h. et a
9 heures, Les Ailes Rouges i Les dems
Frank Hom ; Geo Tristal.^ténrïïino.
ROYAL. — A trois heures, et à neuf
heures, La Glu ; Méfiez-vpus des veuves.
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Ville de Cirque ; Le Roi de l'air.
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à neuf heures, Le Rmlct, grand film hors
série, interprété par Walter Mac Grail,
May Alltson, etc.; Faux Fauves, comédie
comique ; AH Portugal, ddcuméhtàire.
APOLLO. - A3 heures et à 9 heures*
La Vestale du Gange.
SÉLECT-PAT HÉ. — En soirée, i
9 heures, La vestale du- Gange.-
f, Tripeiï i 1;Ê\ ËË,
$r%Tts et Préparation Militaire
Cercle Duployen des sténos-dactylogra-
phes. — Nous rappelons aux aUhfei-eutes an
cercle Duployen que le cours d'anglais
aura lieu dimanche matin -29 courant, f.
10 heures, et le cours de droit donné par
leur président, M" Pelletigue, avocat à la
Cour d'appel, à 11 heures.
Les nouvelles inscription^ sont reçues le
mercredi et le vendredi, de 1 heure #.
2 heures, chez Mme Barthes-Pabacampi,
17, rue Sainte-Ursule, et le dimanche ma-
tin au siège des cours, Institution Saint-
Cyr, rue du May.
L'Avenir du Prolétariat. — Les membres
cotisants, inscrits au 2' Comité, sont invités
à se rendre à la réunion qui aura lieu
dimanche 29 janvier, a 9 heures du matin,
petite salle de la Faculté, 17, rue de Ré-
musat, pour y effectuer le versement des
cotisations année 192S -, être porteur du
livret. Les membres retraitables du 1" jan-
vier 1928 sont invités a y remettre leur
certiûcat de vie. Faites des adhésions i
Orchestre des Amateurs Toulousains. —
Tous les dimanches, à 10 heures du matin,
répétition, 56, chemin du Busca.
Les musiciens qui désirent en faire partie
sont priés de s'y présenter au plus tôt. 1
Nouveau programme à l'étude.
Les Enfants de l'Aude. — Pour intensifier 1
son action régionaliste, l'Association des !
Enfants de l'Aude a le devoir d'inviter tous
ses adhérents et leurs familles à assiste' '
à la causerie que fera son compatriote,
J.-L. Lagarde, de Llmoux (Aude), secré-
taire général de l'Ecole des Beaux-Arts de
Toulouse au cours public d'histoire popu-
laire, rue Lakanal, près du Lycée, dans
l'amphithéâtre de l'ancienne Faculté des
Sciences.
Il parlera de l'œuvre humoristique mo-
derne du chansonnier audois Léonce-Noël
Dujol (Les Bramardises).
Cette causerie est fixée au vendredi
27 janvier, à 20 H. 30.
Trouvailles. — Réclamer : à M. Barthe,
à Castanet. un médaillon; â M. Delrteu.
chemin de la Cadène, ù Lalande, une rou»
auto: à de Lonquevergne, rue Palaprat, 6:
une broche: à Mme Pradler. COte-Pavée, T.
un bracelet : aux ateliers Salnt-Eloi, rue
Frizac. 33, un pare-choc -, au garde-cham-
pôtre Do, à Saint Martln-du-Touch, une
pèlerine imperraéjlhle; aux épaves, un pa-
quet effets, un portefeuille.
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CAPITOL!
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Championnat dos Pyrénées . Saint-Girons-
T. O. E. C. — L'équipe (lu Sporting-Club
Saint-Glronnals, qui viendra dimanche ren-
contrer le T. O. E. c. en match comptant
pour le championnat des Pyrénées, compte
dans ses rangs des Jouours connus ot
appréciés.
Cahuc, quoique n'étant plus dans la
forme d'antan, est resté un beau joueur qui
entraine l'équipe. Tougue, Limousy, Tapie,
etc., formés par lui, constituent l'ossassure
du groupement que les Mazaniétains ont
été à même d'apprécier dimanche.
En demis, Tader-André Dupuy forment
un tandem très homogène. André Dupuy
est connu des sportifs toulousains devant
THEATRE DES VARIETES
Direction G. POGEL
VENDREDI 27 JANVIER
3» et, dernière représentation
de l'i'i "
%5
par la Tournée BARET
ORCHESTRE
Lorgnon ouverte [
DEMAIN : Le Cfeur etja Main.
THEATRE DU CAPITOLE
Samedi. — A 20 h. 30, La Vie ae Bohè
me, avec Mmes Lia Nicoll, Laplace, MM.
Saldou, I). (Urard, Arnal, Mouchez, Albony
Le spectacle sera terminé par le grand
ballet dp trouvère, dansé par Mlles Davin.
Langlois. Delshon et les dames du ballet.
Dimanche. — En matinée, h deux heu-
res, (ils monda, avec Mmes Martha Mayo,
LE ROY#U
Matinée à 15 h. — Soirée à 21
GRANDE SEMAINE DE GALA
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LA GLU
d'après l'œuvre immortelle de Jèan
Richepin de l'Académie' Français 6 -
Interprété par ,
Germaine Rouer François Rozet
Juliette Boyer André Marnaï
Janine Lequcsne Hènri Maillaru
et André DubosC
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la délicieuse artiste
LAURA LA PLANTE
dans une charmante comédie
MÉFIEZ-VCUS DES VEUVES 1
Les Actualiles du monde enti« r
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VENDREDI 'Ci JAW IER tttte
121e économique er
Ecijcs de la Production
j^^jSÏS NOS CObONîES
ALGÉRIE
lt BUDGET DE L'ALGÉRIE POUR 1928
TI« décret vient de régler le budget
j t'4hrérie pour 1928. Ce budget est
* Jtè en dépenses a la somme de un
^niiard 28.2W.458 francs, et en recettes
?Ti s lme de 1 militari 18.378.623 Ir.
t« budget annexe des P. T. T. algé-
Jf.„„ es t fixé en recettes et en dé-pen-
S s 1 la somme de 1.55.076.541 fr.
TA budget annexe du Jardin d'Essai
AU Hamma à Alger, et des stations ex-
périmentales en dépendant, est fixé,
Eôn* 1928 en recettes et en dépenses,
J la somme de 968.000 francs.
D'autre part, un autre décret règle
i P budget des Territoires du Sud de
l'Ahrérie pour 1928. Le budget est ar-
rêté en repenses à la somme de 20
millions 214.090 fr. et en recettes à
20 243 «64 fr. I.e même décret fixe le
maximum des centimes ordinaires et.
extraordinaires à appliquer dans ces
territoires pendant l\*ercice 1928. Au
total, le budget civil de l'Algérie, Nord
et Sud, pour 1928, atteint 1 milliard
204 millions 459.089 francs Pu dépenses
et 1 milliard 204 millions 667.033 fr. en
recettes.
SYRIE
POUR AMELIORER
LA RAGE CHEVALINE
Le service des Haras libanais, qui
s'occupe de l'amélioration de la race
chevaline, a assuré l'année dernière
le croisement de 700 jrments. Encou-
ragé par l'excellent résultat do cette
opération, le ministre de l'Agriculture
a envoyé un© Commission d'experts à
Damas avec la mission d'acheter un
nombre de chevaux de race arabe les-
quels seront employés à la reproduc-
tion. Le ministre projette en outre, pa-
raît-il, de généraliser cette mesure aux
autres bêtes de somme, et de dévesop-
pcr en particulier l'élevage des mou-
tons et des boeufs, dont il assurerait la
sélection.
Une cause de chômage
dans l'Industrie Hôtelière
UH PEU PARTOUT
ROUMANIE
LA SITUATION ÉCONOMIQUE
Le journal officieux Viitorui écrit :
Les hommes sérieux et réalistes qui
connaissent bien la Roumanie savent
eue la situation financière s'y est sen-
siblement amélici'ée et que cette conso-
lidation est due uniquement à la poli-
tique de M. Vintila Br Uano. Dans les
années qui suivirent la guerre, il se
produisit un giand mouvement d'af-
faires, rendait particulièrement,
-rospère l'économie privée. En revan-
che l'inflation qui provoquait cette
prospérité factice, menait l'Etat à la
faillite et à la ruine.
M. Vintila Bratiano eut la volonté
«t le courage de redresser la situation.
U arrêta l'inflation, et remit peu à peu
fes finances de l'Etat sous une admi-
nistration normale, en ne dépensant pas
plus que ses revenus, et en payant ré-
gulièrement ses dettes.
Par contre-coup, l'économie privée en
souffrit, comme cela arriva dans tous
les pays, pendant cette période de con-
valescence qui suivit la crise moné-
'taire.
Il s'agit maintenant (Je franchir aus-
si cette phase, et d'assainir à son tour
l'économie privée, dont lés souffrances
ne peuvent plus durer. La stabilisation
monétaire, qui ne peut être rendue dé-
finitive qu'avec le coi.cours des gran-
(' 3 banques étrangères, doit soulager
notre marché, car elle permettra l'a-
flux des capitaux et la reprise des af-
faires. En luttant d" toutes ses forces
pour empêcher le concours que l'é-
tranger est disposé â nous donner, le
parti national naysan ne nuit donc pas
seulement à ses adversaires politiques,
mais surtout à chaque habitant de la
Roumanie, en particulier, qui souf-
fre de la crise et a hâte d'en voir la
fin. Pour in parti qui prétend s'ap-
puyer sur les « masses » c'est une at-
titude étrange que de lutter contre les
intérêts immédiats de ces mêmes
masses.
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AVIS DE DÉCÈS
Le Président, et les Membres du Con.
seil d'Administration de la Société les
Enfants de l'Hérault ont la douleur de
vous faire part du décès de
Monsieur Barthélémy GRIBAUDOT
De Cette
et vous prient d'assister à son convoi
funèbre qui aura lieu le samedi 28 jan-
vier 1928 à 10 heures.
On se réunira à la maison mortuaire,
25 rue Sainte-Thérèse.
La proportion des étrangers em-
ployés par l'industrie hôtelière fran-
çaise est considérable. Une enquête
du Service central de la main-d'œu-
vre étrangère le démontre avec chil-
fres à l'appui.
Cette enquête qui a porté dans
45 villes eur 1.033 hôtels employant
dans leur ensemble 34.000 personnes,
a démontié qu'à : Nantes, il n'y
avait que 1,54 % de main-d'œuvre
étrangère, chiffres minima ; Paris,
13 %. chiffres moyens ; Marseille et
Toulouse, 25 et 29 %.
Mêmes pourcentages pour les pla-
ges de la Manche ; les Alpes attei-
gnent le record avec 60,6 % à An-
necy ; sur la Côte d'Azur, la propor-
tion varie entre 30 % et 56 % à
Menton.
Et on est étonné que mémo dans
le Massif Central, pays fournisseur
de main-d'œuvre hôtelière, la pro-
portion ait pu dépasser 45 %.
Vichy et Châtelguyon battent le
record avec 54 % et 63 %.
Ces chiffres sont bien plus impres-
sionnants encore si on suit l'enquête
en détail : on constate alors la pro-
portion énorme d'étrangers dans les
emplois supérieurs, par conséquent
les plus rémunérateurs.
Cette situation a souvent été dé-
noncée, mais on fait valoir, en ré-
ponse, que le personnel étranger fait
preuve d'aptitudes professionnelles [
supérieures.
Cependant, la cuisine française a
su mériter quelques éloges, et dans
nos provinces il est encore des cui-
siniers français dont les prépara-
tions culinaires sont justement ap-
préciées.
Au point de vue service, on a pu
souvent remarquer le style du per-
sonnel français. Très certainement
on peut trouver des gens actifs, pro-
pres, prévenante, ayant une science
professionnelle en dehors des Suis-
ses, des Allemands ou des Juifs.
Mais cette question de la main-
d'œuvre étrangère dépasse peut-être
le domaine professionnel. Elle a pré-
occupé, croyons-nous, pour des mo-
tifs d'ordre différent.
Certains faits de l'année 19J4 ne
sont-ils pas une indication ?
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REDUCTIONS VALABLES
ÉTAT CIVIL-de TOULOUSF
Publicetions (je mariage du 25 Janvier 1828
Joseph Duffert, retraité, Isle-en-Dodon, et
Emilie Ducassé, cuisinière, rue Alsace, 17.
Miguel Matarin, monteur, boulevard Mar-
quette, 38. et Carolina Boj, tailleuse, bou-
levard Marquette, 38.
Scliemerber Jules, dessinateur, Chaton, et
Elise Louplac, sténo. Chatou.
Madame Jean CAZAENTF." ; Mon-
sieur le docteur Jean CAZAENTBE -,
Madame Prosper BLAJA, née Margue-
rite MATJQDTE ; Mesdemoiselles Ma-
deleine, Luce et Anne-Marie CAZAEN-
TRE ; Madame Jeanne LAPOBTE. en
religion sœur Marie-Elisabeth, à Aix-
la-Chapelle ; Monsieur Joseph CANTA-
LOUP, percepteur en retraite ; Mes-
demoiselles Jeanne et Marie CANTA-
LOUP ; Monsieur Emile CANTALOUP,
font part à leurs amis et connaissan-
ces de la perte cruelle qu'ils viennent
d'éprouver en la personne de
Madame Magdeiaine LAPORTE
Veuve de
Monsieur le docteur Jules MAUQU16
leur mère, belle-mère, grand-mère,
sœur et tante, décédée à Saint-Ciar
(Gers), le 22 janvier, munie des sacre-
ments de l'Église, Priez pour Elle !
Mmm et fivls lt liai
Madame Louis ËBELOT, née UAS-
SIEH ; Monsieur Louis EBELOT, avo-
cat, ancien conseiller général : Made-
moiselle Pauline DASSIER. : Vicomte et
Vicomtesse de SCORBIAC et leurs en.
fants ; Mademoiselle Simonne EBE-
LOT ; les familles BALEARES et TUR-
RULL. remercient sincèrement tes per-
sonnes qui leur ont témoigné l* l *r sym-
pathie a l'occasion du décès de
Madame Veuve Louis DASSIER
Née mis SALLARÊS y PLA
Le Bfirvlpe de neuvaiiiie a été célébré
dans la plus stricte intimité.
Pompes Funfibres Municipales.
3k. rue Pargamlnlères. — Téléphone 11-10
Le projet de loi instituant le mono-
pole de l'alcool industriel est soumis
au Parlement. Déjà, la Chambre des
députés l'a adopté ; le Sénat devra se
prononcer à son sujet.
Bien que nous soyons opposés au
principe des monopoles, nous croyons
utile de donner ici quelques indications
sur le proiet que propose la commis-
sion des finances du Sénat.
Ce projet repose sur les points sui-
vants :
1° Séparation absolue de l'alcool de
bouche et de l'alcool industriel, quand
la production vitioole est suffisante, et
alimentation de la bouche par l alcool
industriel en cas contraire, le marche
potable d'exportation lui restant ouvert
en tous temps. — 2° Substitution de la
désignation « Office , au terme de « Mo-
nopole » employé par la Chambre des
députés, désignant non plus une ad-
ministration d'Etat à budget annexe,
mais un organisme autonome composé
des intéressés et fixant les prix. A cette
dernière formule, le gouvernement s'est
opposé, la commission des finances du
Sénat a cherché une conciliation tou-
chant la nature juridique de l'Office
et les pouvoirs de son conseil d'admi-
nistration.
L'Office aurait la personnalité civile
et l'autonomie financière, mais non
budgétaire ; il serait sous le contrôle
d'une commission spéciale et son direc.
teuir serait nommé par le ministre des
finances. Le conseil d'administration
da l'Office délibère sur toutes questions,
niais ses décisions sont approuvées ou
annulées par le ministre. L équilibre fi-
nancier, enfin, est établi au moyen de
surtaxes sur -les alcools de bouche, co-
loniaux «t étrangers, et les genièvres ;
on y ajoute la surtaxe sur les vinai-
gres Importés établie en 1921. une sir-
iaxe sur les solutions alcooliques des
vinaigres, une surtaxe do 50 francs
par hectolitre sur les genièvres et a
l'importation des rhums et tafias, une
surtaxe de 1 franc par hectolitre de
vin et une surtaxe de 0 fr. 50 par bec
tolitre de cidre, décidées à Béziers et
appliquées eu 1S23.
(Suite)
Pour la détermination du bénéfice net
imposable, la loi autorise la déduction de
toutes les dépenses effectuées en vue de
l'entreprise, à titre de frais généraux obli-
gatoires. La condition exigée est que la
dépense ait déjà été engagée et portée en
écritures dans l'exercice commercial qui
vient d'être clos, même si elle n'a pas en-
core été effectivement payée.
Les principaux frais à déduire sont :
les dépenses d'entretien du matériel et du
mobilier, les frais de bureau, papeterie et
correspondance, frais de publicité, cour-
tages et commissions, frais de banque et
pourboires, salaires des employés et auxi-
liaires divers, assurances contre l'incen-
die, contre les accidents et risques divers,
les frais de chauffage et d'éclairage des
locaux occupés en vue de l'exploitation.
Les impôts dont la loi admet la déduc-
tion sont ceux qui ont été payés dans le
ccurant de l'exercice commercial au titre
professionnel, et par là il faut entendre
tous les impôts et taxes assimilées payés
par voie de rôles nominatifs au profit de
l'Etat, des départements, communes et
établissements publics ou associations au-
torisées : impôt sur les bénéfices com-
merciaux, licences, octrois, chiffre d'af-
faires, patentes, taxes locales. La seule
justification à fournir est l'indication du
numéro du rôle ou la représentation de
| la feuille d'avertissement.
Une difficulté se présente pour les im
meubles occupés par l'exploitation et il
faut distinguer suivant que le commerçant
ou l'industriel en est propriétaire ou seule-
ment locataire. S'il en est propriétaire, le
capital investi dans ces immeubles est en-
gagé dans l'affaire et une part du béné-
fice total doit en représenter l'intérêt; or,
tout immeuble est taxé à l'impôt foncier
sur un revenu forfaitaire qui en représen-
te la vaieur locative; le redevable a le
droit de déduire du bénéfice de son entre-
prise, non l'impôt foncier, mais la valeur
locative forfaitaire qui a servi à calculer
cet impôt; toutes les charges d'entretien
des immeubles demeureront comprises
dans les frais généraux de l'entreprise
pour être déduites au même titre; s'il en
est seulement locataire, la seule déduc-
tion admise, puisque l'impôt foncier reste
â la charge du propriétaire, est le mon-
tant du loyer auquel on ajoute toutes las
charges, même les prestations en nature,
que le locataire est tenu, par contrat de
bail, soit à fournir au propriétairet soit à
payer à sa place.
La loi admet la déduction des intérêts
des dettes, pourvu- qu'il s'agisse ae capi-
taux prêtés par des tiers sous une forme
quelconque en permettant la preuve; mais
les intérêts des capitaux qv : le commer
çant ou l'industriel a personnellement en.
gagés, ne constituent pas un droit fiscal,
une charge à déduire du bénéfice imposa-
ble .De même, on peut déduire tous les
salaires réellement alloués à "toute per-
sonne qui prête son concours au chef
d'entreprise et pour laquelle une imposi-
tion distincte est demandée; c'est ainsi
qu'un commerçant peut déduire les ap-
pointements qu'il attribue à son fils, tan-
dis qu'il ne pourra pas déduire le traite-
ment qu'il peut s'allouer à titre personnel,
en représentation de son salaire.
Les appointements versés à la femme ne
peuvent pas être déduits; mais, au con-
traire, si une femme séparée de biens em-
ploie, dans une entreprise dont elle est le
seul chef responsable, son mari, comme
directeur ou employé non responsable so-
lidairement, le traitement qu'elle peut al-
louer à celui-ci en rémunération de son
concours est considéré comme une charge
de l'entrenrise et déductible à ce titre. —
C. FRANK. (4 suivre.)
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H est certes indispensable que le gou-
vernement, fasse preuve d'énergie con-
tre les menées autonomistes et qu'il se
tasse rsspecter. La dissolution du Con-
seil municipal d'Haguenau, qui reiu-
&ait d'arhorer le drapeau tricolore, fait
partie de mesures d'ordre par où se
«tanifeste l'autorité nécessaire. t.
Mais si l'on veut dissiper le malaise
alsacien, il faut aussi renoncer aux dé-
^lotls hâtives, à l'application préci-
pitée de protendues réformes qui heur-
tent bas usages anciens et les tradi-
tions d'une région très attachée a ses
coutumes. Nous avons souvent signalé
f8* maladresses commises en ce qui con-
cerne les affaires religieuses et les éco-
les. Nous tenons à indiquer tout de
suite, et nous aurons occasion d'y re-
venir, l'erreur où les pouvoirs publics
sont tombés au »"

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that, saxophone; Symphonie n° i, première
partie (Beethoven); Méditation, L'Invitation
au voyage; air de Lahmé; Le Déluge ! Saint.
Saëns); Symphonie n" i. deuxième partie
(EBeetfiOTôn); Première Mosaïque sur Rossinl
Cravan); Mélodrame (Piccolino); fantaisie
aur Lahmé, solo de violoncelle; Caprice hon-
grois.
A 15 h. 40. — Introduction de Faust (Gou-
»od); Faust, orchestre; La Chanson gothi-
que de La Damnation (Berlioz)).
A 20 h. 30. — Concert : Pelléas et Méll-
tande.
F. L. (2.653 mètres)
A 19 h. 30. — Concert : Air du Rossignol
(Rameau); Iphigênie, « Adieu à Achille 4;
Nanetle, chanson du xvln' siècle; Prière;
Mlarha la poussière, cantique (Beethoven);
Sur la Plage; L'Absence (Berlioz); Les Etoi-
les d'Or-, Extase-, Maman chante avec nous;
Srois mélodies,- (H. Busser); vers sur un
Uî&UTO.
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!A 14 heures. — Petite Suite (Debussy);
9)ansc rustique; Gismonda, « O Printemps »;
'Ballet A'Bamlet.
A 21 heures. — Ouverture de Guillaume
Sell; Sérénade en si bémol; Gavotte et Mil-
-:*elte (Bach); Le Coucou. Symphonie ina-
chevée; Rêverie (Sctoumann) ; .Cargo (Haen-
iBel); Menuet (Valensin) ; Danse n" 5; Ber-
ceuse d'Ame; Chanson des Noisettes; Des
lAiles, ariette.
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langueur d'onde . sas m. w
PROGRAMME DU 27 JANVIER
' ta h. 15, — Romance (Fatirê).
{ 32 h. 30. — Ma y lou (Lymon).
j 18 h. 45. — Concert :
| I. La. Pie voleuse, ouverture (G. Rossinl};
ST Prélude et llnale (A. Honegger); 3. Wln-
lèrstumr, valse (,T. Facile); i. Nuages (A.
-Georges); 5. Lohengrin, fantaisie (R. Wa-
itrer); 6. Serenata (Moszkowskl) ; 7. Fantai-
sie en forme de danse (Aymé Kirnc); 8.
'Portrait (C. Chaminade); 9. Romance sans
paroles m.' k (F. Mendelssohn); 10. Les Clo-
iches de Corneville, fantaisie (Planquetle) ;
$1.. Gavotte (B. Godard); 12. Danse maca-
t-Saëns); 13. Pitres napolitains
14. That's why i lot;e you,
Donaldson).
Retransmission de l'émission
ln allttle spanlh town.
— Mireille, ouverture_ premiè-
bre (C. Saint
(V. d'indy);
ïox-trott fW
14 h. 15. —
Radio-Agen.
17 h. 20. — Causerie automobile de Om-
nia.
17 h. 30.
20 heures,
re partie.
20 h. 30 — « Le quart d'heure du paysan»,
communiqués officiels de la direction des
Services agricoles de la Haute-Garonne.
20 h. 45. — Concert de gala. Première
partie (musique marocaine) : Le Simoun;
Sur les bords de l'Oued; La Nuit sur le
désert; Le Vol des ibis; Le Retour du Pro-
phète; La Cavale indomptée; La Carava-
ne; La Fantasia; Le Turban vert; Sur les
Dunes de sable; Allah l
Causerie par M. Dumas, rédacteur à
l'Illustration, envoyé spécial au Maroc.
Deuxième partie : Les Joyeuses Commè-
res de Windsor (Nicolaï); Les patineurs
(Waldteufeld); Estudiantina (Waldteuleld).
Troisième partie : Ofrot trago (Irlàrte);
Paginas de amor (Ricà.di): Normina (Ar-
mani); Bago bolgrano (Ayeta).
SAMEDI 28 JANVIER
10 h. 15. — La Jolie fille de Perth.
12 h. 30. — Villanelle (Flégier).
12 h. 45. — Concert :
1. My Ducky, lox-trott (L. Deltour); 2. La
Boudeuse (H. Maréchal); 3. Chanson d'au-
trefois (Gaultier de Valierey); 4. El prtsion-
ncro, tango (E. Delflno); 5. La Jolie Parfu-
meuse, fantaisie (J. Offenbach); 6. Pensée
musicale (F. Fourdraln); 7. Rigaudon (L.
Ganne); s. Le Saxo enragé, charleston (F.
Le- Rey) ; 9. Souvenir de Versailles (René Mi-
chaux); 10. Le Trouvère, fantaisie (G. Verdi);
U. Le Sang viennois, valse (J. Strauss); 12.
Mazurka (J. Guinaud); 13. Novelette (A.
Raynal); 14. SarUgosse, one step (G. De-
taille).
14 h. 15. — Retransmission do l'émission
Radio-Agen. Cours commerciaux et agri-
coles.
17 h. 30. — Nabucco, -« Va pansiere
suH'ali » (Verdi).
20 heures. — Mireille, ouverture, deuxième
partie.
Conférence donnée par l'Union des Gran-
des Associations françaises poiar l'Essor na-
tional. 96, boulevard Raspail, à Paris :
« Lo Comité national du commerce exté-
rieur de la France. »
20 h. 45. — Concert de gala offert par la
Dépêche de Toulouse :
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sakoff); 2. La Danse slave (Kreisler); 3. La
Berceuse de Jocelyn (Godard); 4. La Prière
d'un? Vierge (Badarwka), b. La Prière exau-
cée (Badarwka).
Deuxième partie. — 1. Chantecler (Ed-
mond Rostand); 2. La Chasse (Wertheren) ;
3. Le tour du monde en huit minutes (X...).
Troisième partie. — 1. Sigurd, ouverture
(Reyer) r a), 6) i c), d); « Au nom du roi
'Gunther »; « Odin, dieu faroucihe ».
Quatrième partie. — Tangos : 1. Braslle-
rita ; 2. Florecita; 3. ingratitude; i, Rlntln-
in; 5. Vibraclones; 6. Salterona.
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21 heures. — Retransmission du program-
me de la Station de Marseille ou Paris
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De 15 à 17 heures. — Diffusion d'un cours
public donné à l'Institut catholique de
Toulouse.
A 17 h. 15. — Retransmission du Concert
Pasdeloup, théâtre Mogador, Paris.
20 h. 30. — La « Revue de la Semaine »,
par M. Louis Lespine.
2! heures. — Retransmission du pro-
gramme de la Station Marseille P. T. T. ou
de Paris Ecole Supérieure des P. T. T.
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17 heures. — Conférence, par « Massa-
lia »; causerie théâtrale : le début de
l'année, par M. Emile de Viroull.
17 h. 30. — Informations, par Wilheb.
20 h. 30. — Cours de langue anglaise.
21 heures. — Concert classique.
SAMEDI 28 JANVIER
A 17 h. 15. — Depuis le théâtre Mogador,
diffusion du concert sympAonique Pasde-
loup.
A 21 heures. — Concert.
Entre les deux parties du concert, confé-
rence sur les Eclaireurs de France : « Edu-
cation physique, morale et sociale de l'Ado-
lescence. »
Un traiîemenl nouveau
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fin parvenu à fixer l'OZONE, gaz qui,
comme chacun sait, possède des pro-
priétés antibacillaires très marquées et
donne de merveilleux résultats dans le
traitement des maladies d'origine mi-
crobiennes et en particulier de la TU-
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trouve en pharmacie cette préparation
à base d'OZONE fixé, se présente sous
la forme d'un élixir agréable à prendre
et peut être considérée comme le plus
puissant régénérateur connu A ce jour.
Cet Elexir . MAZELLINE » agit très
efficacement. Tous les cas du prernipr
degré sont arrêtés. Il en est de même
d'un très grand nombre de cas du
second degré. Tous les cas du troisiè
me sont très améliorés.
En général, trois à quatre flacons
suffisent poui amener une amélioration
considérable, souvent la guérison. De
nombreux malades ont été guéris par
un seul flacon.
Il ne faudrait pas croire que la
MAZELI.INE se recommande seulement
aux tuberculeux. Tous les débilités,
anémiques, neurasthéniques, bronchiti-
ques, tous ceux enfin qui ont besoin
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contre mandat de 50 francs. Notice
gratuite sur simple demande.
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13 h. à 33 h. 45. — Diffusion du concert
donné à l'Auditorium Bermond.
13 h. 30 et 20 h. 30. — Informations.
20 h. 45. — Concert Organisé par la com-
mission artistique de l'A. R. . A. et Offert
par l'Association Radiophonique de la Côte
d'Argent. L'orchestre symphonique joue :
Don Juant ouverture (Mozart); Lohen-
grin, fantaisie (Wagner); Prélude, oCrtège
et air de danse (Debussy); Martha, ouver-
ture (Flotow); Solo de violon, par M. Pier-
re Iralde, du Conservatoire de Paris, pro-
fesseur au lycée de Bordeaux; Jlfarclié aux
Flambeau (Meyerbeer).,
En intermède : Mme Ader, cantatrice;
M. Larroque, basse chantante
SAMEDI 28 JANVIER
A 13 h. 30 et à 20 h. 80. — Informations.
A 20 h. 45. — Retransmission du pro-
gramme diffusé par l'Ecole Supérieure des
P. T. T. à Paris.
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Téléphone : 8-20
La Torpille
Le transport du courrier postal, mal.-,
gré les progrès qu'on a réalisés au
point de vue de la vitesse, est encore
trop lent.
Tout dernièrement, on annonçait que
dans un avenir prochain huit jours se-
raient suffisants pour expédier une
lettre à Euenos-Ayres et recevoir la ré-
ponse. Aujourd'hui on parle du trans-
port des correspondances de Paris A
Marseille (863 km.) en une heure qua-
rante minutes.
Une étude de MM. Hirschausr et Ta-
lon, présentée à l'Académie des Scien-
ces, envisage la possibilité du trans-
port des correspondances à raison de
525 km. à l'heure, au moyen d'un vé-
hicule-bolide, affectant la forme d'une
torpille sous-marine, roulant sur une
I voie aérienne.
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L'année dernière, à la suite d'un re-
froidissement, je fus pris de rhuma-
tismes dans les épaules, le moindre
mouvement m'occasionnait de violen-
tes douleurs, la nuit j'étais réveillé a
chaque instant. Les divers médica-
ments n'avaient eu aucun effet.
Lisant mon journal, je vis que le
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était souverain dans tous les cas de
rhumatismes, je commençai aussitôt
ma cure et la guérison radicale ne se
fit pas longtemps attendre. J'ai été
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— 1903 518
— 1913 117 50
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103 50
154 50
314 50
84 75
97 50
260 .
48 ..
L'45 ..
548 ..
447 ..
174 ..
80 25
45 1 50
452 ..
39 . .
72 25
133 50
42 75
Steaua France.. . 461
Tubacs Oient... 132
Taganrog....... 127
Tangaoyika .... 495
Terrés Bouges.. . 1163
lharsis 406 .,
Transvaal 335 5<
Tubes Sosnowice 304 ..
Tubize privilégié. 1136 •'•
COURS DES CHANGES
XVIII
mVN BATEAU QUI VA AU-DEVANT DE
>IA JUSTICE, ET D'UN PAQUEBOT QUI
LA RENCONTRE
; Commenti rejoindre Paris ? Par les
iSables ? Mais l'éveil pouvait y être donné
i