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21 janvier 1932 - Bibliothèque de Toulouse

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JEUDI <strong>21</strong> JANVIER <strong>1932</strong><br />

Chez les Radicaux<br />

lerrist parle<br />

<strong>de</strong>s RéparatieiE<br />

Paris, <strong>21</strong> <strong>janvier</strong>.<br />

T a comité exécutif du parti républi-<br />

cain radical et radical socialiste se réu-<br />

nit ce soir en séance plénière, sous la<br />

prési<strong>de</strong>nce <strong>de</strong> M. Edouard Herriot, pré-<br />

si<strong>de</strong>nt du parti.<br />

De nombreux parlementaires assis-<br />

taient à cette réunion. . . .<br />

M Herriot a parle <strong>de</strong>s récents événe-<br />

ments <strong>de</strong> la politique Après avoir<br />

adressé quelques paroles d'éloge à M<br />

Sriand et dit pourquoi les radicaux-so-<br />

cialistes n'avaient pas accepté <strong>de</strong> faire<br />

partie du gouvernement, le député du<br />

fthône a poursuivi :<br />

i On connaît notre opinion sur la<br />

...pstion <strong>de</strong>s réparations. Nous ne con-<br />

sidérons p«is celles-ci comme un tribut<br />

A e. guerre, mais comme une réparation<br />

AI notice non <strong>de</strong> vengeance, La plus<br />

Gran<strong>de</strong> partie <strong>de</strong> l'Allemagne parait<br />

J^S. reçu la récente déclaration du<br />

chancelier Bruning comme un mot<br />

^'° r nuelle doit être notre attitu<strong>de</strong> ? Pas<br />

geste <strong>de</strong> violence, repond M. Her-<br />

?ir.t nous <strong>de</strong>vons ovoquer le droit et<br />

ÏTraison Mais M. Herriot se prononce<br />

filtre la condamnation unilatérale du<br />

Entrât librement conclu.<br />

C ° i a prospérité <strong>de</strong> ia France est dé-<br />

mentie par la réalité ; mai»<br />

Mit tenir compte <strong>de</strong>s situa<br />

ta t se montrer généreuse.<br />

TVins la situation où se trouve l'Al-<br />

. " "„ a s ia France ne s'est Jamais re-<br />

l 6 ?ilg a raidir Même si l'Allemagne<br />

trente par certains d« ses cani-<br />

taux nationaux,<br />

Pa. s ies experts nous enseignent qu'elle<br />

retrouvera son équilibre. Nous n'admet,<br />

frons pa? <strong>de</strong>s traitements injustes. Mal-<br />

^ les défis et les insultes nous con-<br />

fiions d'être pour la collaboration<br />

franco-alleman<strong>de</strong>. Notre doctrine veut<br />

préserver les intérêts du pays et ceux<br />

<strong>de</strong> la paix.<br />

MM Bergery, Nogaro et Kayser in-<br />

terviennent ensuite sur la même ques-<br />

tion, puis on adopte l'ordre du jour<br />

EU « V Le Comité exécutif du parti radi-<br />

cal et. radical-socialiste, considérant<br />

que l'organisation <strong>de</strong> la paix a pour<br />

base le respect <strong>de</strong>s engagements con-<br />

tractuels <strong>de</strong>s Etats et l'observation <strong>de</strong>s<br />

principes <strong>de</strong> la justice internationale ;<br />

rappelle que la créance française <strong>de</strong>s<br />

réparations ne saurait être considérée<br />

comme un tribut imposé par la con-<br />

trainte ; qu'elle dérive d'une obliga-<br />

tion contractuelle et qu'elle a été l'ob-<br />

jet d'engagements internationaux li-<br />

brement "consentis ;<br />

« Déclare qu'en conséquence la<br />

France ne peut pas admettre une répu-<br />

diation unilatérale ;<br />

« Que le règlement <strong>de</strong>s <strong>de</strong>ttes <strong>de</strong> peu-<br />

ple à peuple, nécessaire pour le réta-<br />

blissement <strong>de</strong> la prospérité générale,<br />

doit être opéré simultanément par tous<br />

lies états créanciers afin <strong>de</strong> ne pas faire<br />

subir à aucun pays et en particulier<br />

au notre, <strong>de</strong>s charges intolérables ;<br />

< Affirme que la sauvegar<strong>de</strong> <strong>de</strong>s<br />

droits français ne saurait mettre obs-<br />

tacle à l'accord franco-allemand indis-<br />

pensable à l'organisation économique<br />

européenne et a la conservation <strong>de</strong> la<br />

paix *i<br />

Un autre ordre du jour exprime la<br />

méfiance du parti radical-socialiste, à<br />

l'égard du, ministère Laval,<br />

La Déclaration<br />

Ministérielle<br />

et l'impression à l'étranger<br />

<strong>de</strong> ses capi-<br />

la France ne refuse<br />

Les Armements allemands<br />

Le Banquet du Salon<br />

<strong>de</strong> la Machine Agricole<br />

Paris, <strong>21</strong> <strong>janvier</strong>.<br />

M. Aclùllâ Fouîd, ministre <strong>de</strong> f agri-<br />

culture, a présidé, hier soir, le banquet<br />

donné à l'occasion <strong>de</strong> l'ouverture du<br />

11" Salon <strong>de</strong> la Machine Agricole.<br />

Y assistaient <strong>de</strong> nombreuses person-<br />

nalités du mon<strong>de</strong> agricole et du parle-<br />

ment.<br />

M. Fould a prononcé un discours<br />

dans lequel il a exposé les avantages<br />

du développement <strong>de</strong> la motoculture et<br />

l'intérêt qu'y attache le gouvernement.<br />

Faisant allusion à la situation ac-<br />

tuelle <strong>de</strong> l'agriculture, il a préconisé<br />

l'union <strong>de</strong>s agriculteurs, qui sera pour<br />

eux le meilleur moyen <strong>de</strong> s'associer<br />

aux efforts du gouvernement pour or-<br />

ganiser la production agricole.<br />

-ww-<br />

Le Concours d'admission<br />

à l'Ecole Navale en <strong>1932</strong><br />

- Paris, <strong>21</strong> <strong>janvier</strong>,<br />

ein^ • c?£dldats au concours d'admis-<br />

sion a 1 Ecole navale doivent se f.-rre<br />

«SSÎ^Î 1 ler ? u 10 avril > termo <strong>de</strong> ri-<br />

orTnc* à i 3 , pre/^ure du département<br />

à \vn* ?t 1&lt leurs étu<strong>de</strong>s. Les pièces<br />

a produire pour l'inscription sont :<br />

ii'ri<br />

'S^'' 6 naissance du candidat.<br />

Les 3a e?n^ 1913 et , le 31 décembre 1915<br />

et li%i e H/ ell l nés entre ]e 1 er <strong>janvier</strong><br />

refuses 1 !., Clécfimbre 1912 et TJi ont été<br />

risés t\?VA onc ?urs <strong>de</strong> 1931 sont auto-<br />

3° nr S r , é - s f ent ? r au concours <strong>de</strong> <strong>1932</strong> ;<br />

lité hahitîf lflcat /' u maire <strong>de</strong> la local<br />

Soi t<br />

la famiUe constatafit<br />

?afisé^rtnçàfs a ?<br />

0U natu<br />

du^ccalauriaf;' 6 la pr ° mière ^<br />

LES COMMENTAIRES<br />

DE LA PRESSE ALLEMANDE<br />

Berlin. 20 <strong>janvier</strong>.<br />

Toute la presse alleman<strong>de</strong> <strong>de</strong> ce ma-<br />

lin commente longuement la Déclara-<br />

tion gouvernementale à la Chambre<br />

française.<br />

Les journaux sont unanimes, en prin-<br />

cipe, à déplorer la teneur <strong>de</strong> cette dé-<br />

claration qui, dieent-ils, laisserait peu<br />

d'espoir à l'Allemagne d'obtenir <strong>de</strong>s<br />

conférences <strong>de</strong> Lausanne et <strong>de</strong> Genève<br />

une solution définitive <strong>de</strong>s problèmes<br />

<strong>de</strong>s réparations et du désarmement.<br />

D'après la Frankfurter Zcitung, la<br />

déclaration ministérielle <strong>de</strong> M. Laval<br />

peut se résumer ainsi :<br />

« La France ne peut pas renoncer<br />

aux réparations, elle ne peut rien sa-<br />

crifier <strong>de</strong> ses droits sans une réduc-<br />

tion correspondante <strong>de</strong> ses propres<br />

<strong>de</strong>ttes.<br />

« Cette formule, dit ce journal, peut<br />

avoir diverses applications pratiques.<br />

t Le gouvernement français a <strong>de</strong>-<br />

mandé à Washington ce que le gou-<br />

vernement américain penserait d'une<br />

prolongation du moratoire Hoover.<br />

« Il est caractéristique que la France<br />

qui. en juillet <strong>de</strong>rnier, s'opposa <strong>de</strong> tou-<br />

tes ses forces à l'acceptation <strong>de</strong> la pro-<br />

position Hoover, estime maintenant que<br />

cette procédure est la meilleure à em-<br />

ployer dans la question <strong>de</strong>s répara-<br />

tions.<br />

« La France croit pouvoir ainsi<br />

ajourner une discussion, pénible sur un<br />

règlement définitif du problème. »<br />

« La politique du gouvernement fran-<br />

çais, dit la Kolnische Zeitung, popu-<br />

liste, conduira à un chaos plus grand<br />

encore.<br />

« Nous ne pouvons que répéter les<br />

déclarations du chancelier et nous re-<br />

fuser à signer quoi que ce soit que<br />

nous ne pourrions pas exécuter.<br />

« Sinon, nous nous exposerions <strong>de</strong><br />

nouveau au danger <strong>de</strong> voir invoquer<br />

contre nous un accord librement con-<br />

clu. »<br />

Pour le Bœrsen Curier, la déclaration<br />

g o uv e r n e m e n ta 1 e française peut<br />

être interprétée avec beaucoup <strong>de</strong> bon-<br />

ne volonté comme une indication que<br />

le gouvernement français admet la pos-<br />

sibilité d'une solution du problème <strong>de</strong>s<br />

réparations dans un sens peu favora-<br />

ble aux droits <strong>de</strong> la France si cette<br />

solution est <strong>de</strong> nature à mettre fin à<br />

la crise mondiale.<br />

M. Laval ne semble pas exclure cette<br />

possibilité.<br />

La Deutsche AUgemeine Zeitung, na-<br />

tionaliste, estime que ia déclaration<br />

gouvernementale française ne désillu-<br />

sionnera "ue ceux qui se faisaient en-<br />

core <strong>de</strong>s illusions au sujet <strong>de</strong> la poli-<br />

tique <strong>de</strong> la France.<br />

Là Germania estime que la déclara-<br />

tion gouvernementale française est con-<br />

çue en <strong>de</strong>s termes adaptés exactement<br />

aux besoins d'un Parlement dont les<br />

membres sont déjà engagés dans la<br />

lutte électorale.<br />

Toutefois, le journal centriste dé-<br />

clare que M. Laval a prononcé <strong>de</strong>s pa-<br />

roles qui montrent que l'attitu<strong>de</strong> <strong>de</strong> la<br />

France à l'égard <strong>de</strong>s réparations et du<br />

désarmement est intransigeante.<br />

Pour la première fois, affirme le<br />

Lokal Anzeiger, nationaliste, un prési-<br />

<strong>de</strong>nt du Conseil, un ministre <strong>de</strong>s Affai-<br />

res étrangères a reconnu que les tri-<br />

buts sont uniquement là pour empêcher<br />

le peuple allemand <strong>de</strong> développer ses<br />

aptitu<strong>de</strong>s dans un concours pacifique<br />

avec les autres peuples.<br />

c Nous savons, maintenant, qu'il est<br />

inutile et insensé <strong>de</strong> discuter avec le<br />

gouvernement français sur <strong>de</strong>s revendi-<br />

cations fondées, en droit, sur le relève-<br />

ment et au sujet <strong>de</strong> concepts désuets du<br />

même genre ».<br />

L'HOMMAGE DE L'ALLEMAGNE<br />

A M. LEON BLUM<br />

Plusieurs journaux allemands ren-<br />

<strong>de</strong>nt hommage à M. Léon Blum pour<br />

son discours d'hier.<br />

Le Vorwaerts écrit :<br />

« En opposition avec le discours cou-<br />

rageux du chef socialiste français, qui,<br />

une fois <strong>de</strong> plus, s'est offert aux mêmes<br />

injures venant du côté nationaliste que<br />

celles qui sont dirigées contre les chefs<br />

<strong>de</strong> la social-démocratie alleman<strong>de</strong>, la<br />

déclaration ministérielle <strong>de</strong> M. Laval<br />

ne contient rien <strong>de</strong> nouveau ».<br />

Le Vorwaerts approuve la suggestion<br />

<strong>de</strong> M. Blum qui vise à soumettre à une<br />

juridiction internationale le différend<br />

qui divise l'Allemagne et la France au<br />

sujet du montant exact <strong>de</strong>s paiements<br />

<strong>de</strong>s réparations effectuées jusqu'à pré-<br />

sent par l'Allemagne.<br />

LA PRESSE BRITANNIQUE<br />

Londres, 20 <strong>janvier</strong>.<br />

Le Daily Mirror écrit, notamment :<br />

« M. Laval a parlé en termes très ré-<br />

servés, mais il n'y a rien, dans la poli-<br />

tique française déclarée qui ren<strong>de</strong> diffi-<br />

cile, pour notre gouvernement, une col-<br />

laboration avec la France à Lausanne.<br />

Les observations <strong>de</strong> M. Laval résument<br />

une partie du plan suggéré il y a long-<br />

temps par la Gran<strong>de</strong>-Bretagne. Elles<br />

reconnaissent 1' « unité » <strong>de</strong> tout le<br />

problème <strong>de</strong>s <strong>de</strong>ttes et <strong>de</strong>s répara-<br />

tions ».<br />

La Conférence<br />

du Désarmement<br />

Paris, 20 <strong>janvier</strong><br />

La commission <strong>de</strong>s Affaires strangè-<br />

res, réunie sous la prési<strong>de</strong>nce dû M.<br />

<strong>de</strong> Castellane, a entendu <strong>de</strong>s commu-<br />

nications <strong>de</strong> M. le général Bourgeois et<br />

<strong>de</strong> M. Eccard. sénateurs, sur les ar-<br />

mements <strong>de</strong> l'Allemagne.<br />

L'exposé <strong>de</strong> M. le général Bourgeois<br />

tend à démontrer que l'Allemagne pré-<br />

pare une arrqée puissante, contraire-<br />

ment aux dispositions du rraiié oe<br />

Versailles.<br />

Grâce aux sous-officiers formés cha-<br />

que année, en grand nombre et qui quit-<br />

tent la Beichswehr dès qu'ils sont ins-<br />

truits, pour laisser place à <strong>de</strong> nouvel-<br />

les recrues, grâce aux officiers formés<br />

aussi bien dans la Reichswehr que dans<br />

<strong>de</strong>s écoles spéciales interdites par le<br />

traité, l'Allemagne est prête à mettre<br />

sur pied, en cas <strong>de</strong> conflit, une pre-<br />

mière armée <strong>de</strong> choc d'un effectif con-<br />

sidérable maintenu dans un > tat par-<br />

fait d'entraiiiement physique et dont<br />

l'esprit militaire est constamment en-<br />

tretenu par <strong>de</strong> fréquentes réunions <strong>de</strong>s<br />

nouvelles unités et <strong>de</strong>s anciens encres<br />

<strong>de</strong>s régiments dissous. . .<br />

Parallèlement est poursuivie 1 orga-<br />

nisation <strong>de</strong> la gran<strong>de</strong> industrie qui par<br />

sa préparation rationnelle à la surpro-<br />

duction <strong>de</strong>s armements, est capable <strong>de</strong><br />

fournir à l'armée alleman<strong>de</strong>, dans un<br />

délai relativement très court, toutes<br />

les armes, toutes les munitions, dont<br />

elle aura besoin.<br />

M. le général Bourgeois a terminé,<br />

en déclarant que la préparation, à la<br />

guerre était accompagné en Allemagne<br />

d'une propagan<strong>de</strong> très active en faveur<br />

<strong>de</strong> la revanche ; que les enfants dans<br />

les écoles, étaient instruits dans cet<br />

état d'esprit et que certains livres <strong>de</strong><br />

classe étaient même rédigés dans ce<br />

but.<br />

M Eccard a ensuite exposé à la com-<br />

mission, une étu<strong>de</strong> du budget allemand<br />

montrant que les dépenses militaires y<br />

sont disséminées et camouflées et qu'en<br />

réalité, les dépenses véritables sont<br />

bien supérieures à celles qui sont<br />

avouées. Le budget <strong>de</strong> la police, en par-<br />

ticulier, est pour plus <strong>de</strong> moitié con-<br />

sacré à <strong>de</strong>s dépenses purement mili-<br />

taires et le budget <strong>de</strong>s pensions sert en<br />

réalité, pour une grosse part, à payer<br />

la sol<strong>de</strong> <strong>de</strong>s officiers <strong>de</strong> réserve emplo-<br />

yés à <strong>de</strong>s travaux militaires.<br />

Par ailleurs, une propagan<strong>de</strong> alle-<br />

man<strong>de</strong> extrêmement active a persuadé<br />

le mon<strong>de</strong> entier que l'Allemagne est<br />

désarmée et qu'au contraire la France<br />

arme a outrance. Les déclarations <strong>de</strong>s<br />

sénateurs ont provoqué une grosse<br />

émotion au sein <strong>de</strong> la Commission, au<br />

nom <strong>de</strong> laquelle M. <strong>de</strong> Castellane les<br />

a vivement remerciés <strong>de</strong> leur commu-<br />

nication.<br />

MM Franklin-Bouillon, Pierre Cot,<br />

Brocard, Bénazet et Scapini ont posé<br />

différentes questions auxquelles ont<br />

répondu les sénateurs. La Commission<br />

se réunira mercredi prochain pour pro-<br />

cé<strong>de</strong>r à une discussion sur les commu-<br />

nications qui lui ont été faites aujour-<br />

d'hui et arrêter sa ligne (N conduite<br />

avant l'ouverture <strong>de</strong> la Conférence du<br />

désarmement.<br />

Dès <strong>de</strong>main, en séance publique,<br />

dans le débat sur la déclaration minis-<br />

térielle, M. Franklin-Bouillon se pro-<br />

pose <strong>de</strong> faire état <strong>de</strong>s révélations ap-<br />

portées à la Commisison <strong>de</strong>s affaires<br />

étrangères.<br />

M à C ^ !an du oémcUda indi-<br />

Prhicina7ps r,P r - é0,s . ,on : a ) les langues<br />

Sis et ffiSSîîSf? (a , n « lais teu I ou<br />

dat 5 désire on n d) Y?> si le cimdi -<br />

écrite svr ? n sublr Jne épreuve<br />

est la lanaup n h.- arflrnlative . quelle<br />

W(^SL C fe le ; c) les centres<br />

choisi* parmi les vmps et / exanien ornl<br />

Paraphe ci anrl- , L s éTn érées au<br />

choisis sont ^îtrel ^ 111 ^ les centres<br />

Toulon indique-- L? W / ARIS '<br />

BREST'<br />

ïence <strong>de</strong>ux rentré or , dre <strong>de</strong> préfé-<br />

rer étantVnp rïf,géants, le' <strong>de</strong>r-<br />

«om d? i'étahii 1, ces tr01s vil!es ) ; le<br />

lait ses étu<strong>de</strong>s T^A daris le( î uel 11<br />

iaquelip la il trL À 1 Presse exacte à<br />

envoyée en<br />

e nomination <strong>de</strong>vra<br />

brancSJ J Ll as , d adlnission : U la<br />

«ne hnariT,o^ eUe , le candidat se <strong>de</strong>s-<br />

fleùx 'daSs m.pi 1 al „ r) et »' u désire les<br />

5» Pou? li 1 e ! °î d J e <strong>de</strong> préférence ;<br />

^eniiere^bp C ^rt ldats , a 1>air ' soit m<br />

l'acte ri'PT,^ ' S0lt en <strong>de</strong>uxième ligne,<br />

Ornent i-^Ti"! <strong>de</strong> 'P asse r ultérW<br />

*>êr Innés A^ ^éant, dans les fwves<br />

l'air* 3 <strong>de</strong> P el »dant du ministère <strong>de</strong><br />

Le^m^ 1 -?, nS ct visite médicale. -<br />

dément i^, , 10 ^ 8 auront lieu simulta-<br />

2 ; février, 2<strong>21</strong> ;<br />

mars, 220 ; avril, 220 ; mai, 224 . juin, 225;<br />

juillet, 226 ; août, 227 ; septembre, 229 '; o<br />

tobre, 230 ; novembre, 231 ; décembre, 232.<br />

Ventes. 2.400 balles. Tendance soutenue.<br />

New-Orléans, 20 <strong>janvier</strong>.<br />

Ouverture C2" avis). — Mars, 667 à 666 ;<br />

mai, 679 à 681 et 681 : juillet, 696 à 695 • oc-<br />

tobre. 713 à 716.<br />

Clôture. — Disponible : 6.61; <strong>janvier</strong> : 6.61;<br />

mars : 6.69; mai : 6.85 à 6.86; juillet : 7.02-<br />

octobre : Î.20; décembre : 7.38.<br />

MARCHÉ AUX LÉGUMES<br />

Bor<strong>de</strong>aux, 19 <strong>janvier</strong>.<br />

Ail, do 4 à 5 fr. le kilo ; artichauts d'Es-<br />

pagnue, <strong>de</strong> 6 à 12 Ir. ia douzaine ; cham-<br />

pignons <strong>de</strong> Paris, <strong>de</strong> s à 10 fr. ; endives, do<br />

2 â 3 fr. 50. le tout le kilo ; choux-fleurs<br />

<strong>de</strong> Châteaurenard, <strong>de</strong> 10 à 30 fr. ; <strong>de</strong> Per-<br />

pignan, <strong>de</strong> 18 à 20 fr. ; <strong>de</strong> Bretagne, <strong>de</strong><br />

10 à 25 fr. ; choux pommés petits, <strong>de</strong> 8 a<br />

12 fr. ; moyens, <strong>de</strong> 14 a te fr. ; gros, ae<br />

25 à 22 fr.. le tout la douzaine • choux <strong>de</strong><br />

Bruxelles, <strong>de</strong> 2 20 à 2 fr. 80 le kilo - carot-<br />

tes maraîchères, <strong>de</strong> 1 à 3 fr. le pàçuet ;<br />

carottes marai-iieres. <strong>de</strong> 2 à 6 fr. ; céleri<br />

petits 3 à 4 fr. : moyens <strong>de</strong> 8 à 10 fr :<br />

gros, 12 à 14 fr. ; chicorée, <strong>de</strong> 4 à 6 fr.. le<br />

tout la douzaine ; cresson.<strong>de</strong> 12 à 14 fr. ' les<br />

12 paxruets ; épinards <strong>de</strong> 7 à 8 fr. les 12<br />

bottes • escaroUe. <strong>de</strong> 6 à 14 fr. ; haricots<br />

en secs, <strong>de</strong> 1 80 à 2 fr. 50 le kilo' ; laitues<br />

du pays, <strong>de</strong> 3 à 8 fr. ; <strong>de</strong> Perpignan, <strong>de</strong> 3 à<br />

5 fr. ; navets petits <strong>de</strong> 1 à 1 fr. 25 ; moyens<br />

<strong>de</strong> 2 à 3 fr. ; gros, <strong>de</strong> 4 à 6 fr., le tout là<br />

douralne ; oignons, do 1 50 à 1 fr. 75 le<br />

kilfi ; oseille, <strong>de</strong> 4 à 5 fr. les 12 paquets ;<br />

poireaux d'expédition <strong>de</strong> 1 à 4 fr. le pa-<br />

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