r........gar - Bibliothèque de Toulouse - Mairie de Toulouse

Afift(Ze. - N. 4-612
tüMi4!....Tar104 & P.Étutirfle
ct agi. nue Fic,citmelmon,-
TOULOUSE
irj Laci-ir
esSesxstss sous rfturS aut Mureaux des joutted
â limeuse et chez tous COS CAertielled60.11
ileumiàro .: 15 ceriume3
Cr, gouvernement anarchique qui s'éclaire
pendant trois mois dans Paris aux
.iueuTs de l'incendie et qui a les mains
tâehées du sang populaire, voilà le souvenir
légendaire qu'a laissé chez bien
des gens la Commune de 1871. Une
bande de brigands se dressant, animée
par les appétits les plus bas, contre la
patrie agonisante, au risque de faire le
jeu et la joie de l'ennemi vainqueur, telle
est la sotte image qui hante encore
l'esprit d'un nombre incalculable de petits
bourgenis de notre pays. Rien de
plus injuste. Rien de plus faux.
De complot contre la patrie, il n'y en
a pas eu. Le Camité central de la garcie
nationale n'a pas préparé l'insurrection
du 18 mars. C'est Thiers, par sen
agression maladroite et inopinée conne
'Montmartre, qui l'a provoquée. :A
la répiessicn de -Thiers, une foule anonyme
a répondu par l'insurrection et
les soldats chaigéis de réprimer, par la
défection. Le Ccrnité central intervient
alors el son premier souci est de cois
tituer une assemblée régulière, de faire
élire le conseil municipal de la Commune
de Paris. L'appel aux électeurs
est rédigé de concert avec les maires
et adjoints de la ville, il est signé par
ces mêmes maires et ces mêmes adjoints.
Parmi ces maires, il en était un
qui s'est fait, je crois, depuis icrs, une
haute réputation cl homme d'ordre g
c'était le nsaire du 18e, M. Georges Clemenceau
Ise 26 mars, 90 conseillers municipaux
sont élus. Ce Conseil municipal vote une
motion déclarant que la garcie nationale
et le Comité central ont bien mérité de la
« Patrie » et de la République. Peu après,
commence une lutte. sanglante entre Farmée
pcpulaire de la Commune et l'armée
régulière de M. Thiers. Les Versaillais
vont de succès en succès. La Commune
est vaincue à Châtillon, à Caurbevoie,
Neuilly, Le 21 mai,' les troupes de Versailles
entrent dans Paris, par la porte ce
Saint-Cloud. Un à un, les arrondissernents
tombent entre les mains de M.
Thiers. Depuis lengtemps déjà, les Versaillais
ont donné l'exemple et pris
tiative des fusillades. Le massacre cies
otages n'a été qu'une p'àle réplique à
l'odieuse répressinn exercée par les trou
pes régulières. RépresSlon qui, dans la
fameuse semaine de mai prit des alba
res d'extermination. Ceux, qui allumèrent
dans Paris d'inoubliables incendies ne
furent vraiment pas des incendiaires
RAJEUNISSONS .ES CADRES f
M. Ponsotdot raufre jour, avec son esprit
I'dninel,d'embarras où se trouve le g000erninnerd
Pour procéder d'un coup à la suppression de
;0 000 fonctionnaires,
rAt' OU JOUR
Un certain nombre de,déptités, dans une té-
tente proposition de résolution, ont constaté que,
/e décret qui devait, dans le mois suivant
la loi de finances, mentionner la répartition
'des suppressions à opérer, n'a pas encore été
potnulgé au bout de deux mois et demi.
P'ePosent, pour meure ftn à cet atermoie
ntent, de mettre la retraite d'office tout foncteonnaire
civil comptant 30 ons de SCrViCe et tige
de 63 ans.
' Celte mesure ne serait pas si mauvaise: car
itios greades
otu administrations sont encombrées. sur'
a.';' 3c>ntei de la hiérarchie, de fonctionnaires
, "c3 gui se
Citent tout a cramponnent » el quil,eirePe.
Peu avancement. Place
jeunes e
"I'"" an
X
CONVERS/CM/ TARDIVE
Hkies, le champion américain bien connu
»dans le monde aborna va, nous dit un écho
américain, se faire Pasteur
Sa défait?. après son dernier combat (arec Jack
J)hortson, t'aurait rendu neurasthénique.
ii Dégoûté,
:se doute,du « coup do Poing "
maintenant d'atnener par la douceur et la
t"té des âmes a Dieu.
bixe mène-1, tout acondition d'en soriir-
X
:''elldte sort
be'cole de ex-lieutenané Is es:£
it allait Russie hélail an food-
Ic donner bon adressc
ne Put retenir au chauffeur, quand
ce cri
41'04, Mort came.
XL'autemédon ..., n'était ri'en moins que le
ancien colonel de Prince
que do mourir de fa garde du
faim, était devenu tsar. quifeur
de
taxi. Le, s (toux chauf-
omir.aletneat
officiers s'en fueenf
dures un .pcnt dîner
illornmensie
4E, c; ce 643;441 le rcsesUrant de
CiSOMPagne:e9e1fa
.,
'nzeta QUOTIDIEN SOCIALISTE RÉGIONAL
1922
ce ne furent que de pauvres victimes affolées;
exaspérées, traquées, à qui les
Versaillais triomphants mirent les torches
criminelles dans les maints. Les innombrables
barricades ne furent pas un
moyen d'attaque, elles ne -furent qu'un
pauvre instrument de défense centre, la
sauvagerie des soldats officiels. Et les ruines
qui couvrirent Paais, c'est le prix
dont il plut à M. Thiers de payer l'ordre
bourgeois enfin rétabli.
Je n'ai pas voulu, en ces quelques hgnes,
esquisser l'histoire de la Comnen
ne. Une chose demeure, incontestable.
La Commune fut la révolte spontanée
d'un prolétariat que l'on avait mené à
la défaite, à travers des jours de misère.
Ce fut un magnifique effcrt du peuple
pour faire régner la justice et créer
République. Après le 28 niai, la justice
disparaît et la République n'existe plus
que de nom. Cinquante-un ans après le,
Cammune, nous continuons à n'avcir que
le nom de la République et la caricaisure
de la justice. Et pcurtant l'opportunisme
est venu et a duré et aujourd'hui le Bloc
national &mine: : nous vivons plus que
jamais à l'ombre mesquine que pn jette
la silhouette étriquée de M Thieis.
Reverions-nous barrica es
surgir dans Paris incendié ? Qui le sai .
Il faudra bien pourtant que sonne l'heure
inévitable des transfcrmations profendes.
Mais la classe ouvrière, s'appuyant sur
un frent unique, ne laissera plus à une
foule de 18 mars, mêlée de femmes et
d'enfants, le soin de faire éclater l'insurrection.
Les événements actuels pre :vent
qu'il est d'autres moyens plus afficaces
d'avertir les privilégiés. Il n'est plus be.,
soin désormais de barricades ni d'effusion
de sang. Ou le capital rendra au
travail l'hommage qui lui est dû, ou le
travail se refusera au capital. La Révclution
qui viendra sera d'aiitant plus Luefonde
taldelle sera plus pacificatte. Le
rouge drapeau qui connut la défaite en
.1871 flattera un jour, triomphant, sur Paris
reconquis par son peuple et il fletter'a
d'autant mieuxasadil ne sera alourdi par
aueune goutte de sang !
ELLEN PREVOT.
Demain
Heriei Si.zA.IFtE
Maire de Castres
Le sabre sons ie jou du soupillon
Paris, 18 mars. -- On nous demandé l'insertion
de la lettre suivante, adressée par
le Conseil de l'ordre du Grand-Orient au
ministre de la guerre:
« Monsieur le ministre,
Le Conseil de l'Ordre du Griindettilimt
Je France a reçu cominunication d'une
décision (du .31 janvier 19t2) gni a paru
à l'Ecole des enfants de trerpe des Andelys
et qui est ainsi libellée: -
Service solennel pour le souverain
pontife Benoit XV. '» Le chef de bataillon
commandant l'école a reçu de M. le cure
des Andelys l'invitation ci-après:
« Monsieur le commandant,
J'ai l'honneur de vous inviter, ainsi
que MM. les officiers et professeurs .de
l'école, a assister au service solennel qui
sera célébré vendredi prochain, à 10
heures, pour le repos de Pâme de Sa
eainteté le pape Benoît X'V.
Veuillez agréer, monsieur le comman-
« dant, l'hommage de mes sentiments dis-
(C tingués. ... Signé: Oursel. »
Le chef de bataillon a répondu qu'il se
rendrait personnellement û ce service, accompagné
de MM. les officiers et professeurs
qui voudront bien Se joindre à lut
Rendez-vous à l'église Notre-Daine (in,
tériettr), le vendredi 3 février, à 9 h. 55.
Le Conseil de l'Ordre nous a donné
mission de vous faire connaitre ce fait,
qui est en contradiction absolue avec la
Prescription contenue dans vos circulaires
ou dans celles de vos .prédecesseurs. Le
Conseil a décidé, en outre, de publier cette
protestation clans la presse.
_
Coneeil Mi Cabinet
r........gar
On croit être sur la bonne piste de l'assassin du
i)rocureur de Castres. Il s'agirait d'un crime passionnel.
Paris. 18 mars. ... Les ministres et soussecrétaires
d'Etat se sont réunis ce matin
en conseil de cabinet, au ministère des affaires
étrangères sous la présidence .de M.
Poincaré.
LeS inenibees du gouvernement one pro.l.
Cédé à l'expédition dès affaires . courritn-
_
test
:gen royio
Depuis trais jours, on nous parle, ici,
--- et ers excellents termes d'ailleurs
de la Commune de Paris dont on cernmétrerait
hier le cinquante et unième anniversaire.
On en iire des leçons. On en commente
les événements. Fart bien. L'histoire
doit servir à cela. Elle est, elle doit être,
Une source d'enseignernnts, et tenir FMI
d' expérience .
Mais n'y a-t-il pas, en ce moment même,
loin, tr'às loin de France, un événement
semblable par de nombreux points,
tàla Cernmune de Paris ?
Cet événement, ou plutôt cette série
'd'événements rapides et tragiques!
comme ceux de 1871 3e déroule au
Transvaal.
Nas lecteurs, la France enikre, en
connaissent les péripéties, que la presse
rapporte quotidiennement depuis hait
jours. '
i.e grave révolution 'déclanchée avec
une soudaineté imprévue a obtenu tout
d'abord quelque succès. Mais les pouvoirs
publics n'ant pas eu de difficultés
à la muscler et à la détruire dans le sang
curec l'armée, n
C'est donc l'armée, qui, avant-hier,
comme en 1919, comme en 1871, comme
toujours, comme partout, a c5touffel la ré-,
volte au 'Transvaal.
_L'armée, force essentielle 'du joug tapitali..:tee
moyen suprême de domination
et de destruction; l'arrrae force essentielle
de 'régression et de réaction ;
l'arrnéea Cté l'instrument nécesaaire de
toutes les ridations victorieuses ou de
toutes les répressions.
Rien dans l'hidesire sccialle ne s'est
eiroduit sans le secours de l'armée; et il
n'est pas conc.eVable qu'un mouvemrait
soicial se puisse dérouler sans elle, ou
réussir contre elle.
Et hier, encore, M. 'André Lefevre,
pour .defendre le- service de deux ans
ri ci t il pas osé dire qu'il fallait scnger
ou' rôle de l'armée à l'intérieur., en eas
de Crise sociale, autant qu'et -son nlie
contre l'Allemagne ?
Tant est vrai qu'en ces temps 'd'inconsistance
générale où lotit branle cf
s'ébranle, Où l'énergie d'une poignc're
braves pourrait transformer cri' révolwion
ne simple rebellion, rios réacteurs n'espèrent
plus qu'en .la puissan.ç_e coercitive
de l'armée.
Sans doute la néces,rité 'de la suppression
de l'armée paraîtra la conclusion
logique de pareilles considérations.
Est-elle si logique que cela ? Ne faudrait-il
pas examiner au préalable si l'armée
ne scie pet: aussi indispensable au
succès de la prochaine révolution
l'a été à la destruction des réariplutions
ré.centes ?
Quoiqu'il en soit, 'et s'il est admis oe'il
vaut encore mieux s..uppritnet l'armée,
purement et simplement, n'apparaî-il pus
qu'il importe, en, attendant sa disparition,
et pendant qu'elle existe, se l'approprier,
le conquérir, la garder, afin qu'elle soit
avec nous le jour où l'on aura la malencontreuse
idée de la cenvier à l'action.
Or, si vous vouiez l'armée, ne tergiversez
pas, ne discutez Paz sur le meilleur moyen
; il n'y en a qu'un : fi' Ayez log cadres
». Et comme il nous est presque
possible d'avair les officiers généraux
(des hommes comm.e Gérard, Porcin, Sarcla,
constituent des exceptions d'autant
plUZ rarcs qu'elles sont plus retentissantes),
Celions du moins d'avcir les cadres
subalternes.
Nous le Azouvans. *.;.4 cette condition
seule l'armée sera notre collaboratrice et
les plans fratricides de MM. Lefèvre,
Daadet et cm/scats se retourneront centre
ettx et contre leurs amis : lez prefileurs.
Léon HUDELLE.
L'Australie songe l'avenir
Le comité australien en faveur de la crétion
cl un million de fermes (Million Farms CamPaign
Crennittee of Australia) a adressé au gouverneroent
fédéral, un projet, approuvé par le premier
ministre des Eats fédérés. Ce projet a pour but
le défrichement d'une superficie de 10 millions*
;l'acres dans la Nouvelle-Galles du Sud. de 2 milliens
dans l'Etat do Victoria et de 3 millions
tlens l'Australie méridionale.
Ce projet mettra l'Australie ii même d'augmenter.
en vingt ou vingt-cinq ans, d'un million le
eoenbre de producteurs de matières premières
éiablis sur son sol : cultivateurs, propriétaires de
ladres, éleveurs de bétail, maraîchers. etc.
Trois moyens sont prévus pour favoriser l'établisement
des colons
a; La construction par le gouvernement fédémi
et les gouvernements locaux de villages et de
ehermins de fer;
b) Le développement des entreprises de colo-
m:.csalt:L"'addettioenxisdteanmteést;hodes d'agriculture me-de/ars
de maniêre à rendre les fermes capables de
nourrir un grand nombre d'agriculteurs.
La construction de chemins de Fez rendra ac-
9nsr.Me, des ter/es que leur éloignement laisse
en friche; par conséquent, des milliers d'émi-
&nantis trouveront un moyen de gagner leur vie et
,chtaneuns. pourront dès maintenant être occupés
mis divers travaux ci-deisus mentionnés.
-ne,..*a*sr.reusegetarieire*se.er.,..asee.e,oeea,e,
Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés
fELÉPUME 0.44
ta ItapaciU eapitallste
et la famine
Le Perlement des Eats.Unis avait récemment
..eté un crédit de 20 millions de dollars pour
venir en aide aux populations affamées en Russie.
Il était entendu que cette somme serait consacrée
à l'achat de -blé, fort abondant en Amérique,
et qu'on expédierait, via les ports de la Baltique,
auxerégions menacées. Lors du vote du crédit,
on avait stipulé que seules les navires américains
seroient utilisés pour le transport.
Nous lisons dans le « New-York Call » que
les armateurs ont vu dans la publication du vote
une occasion pour majorer leurs frets. La «
Relief Administration » a constaté que les
frets pour les ports de la Baltique ont monté de
6 dollars 80 par tonne à 8 dollars 50 et 8 dollars
75 par tonne.
Le chef du ravitaillement Herbert Hoover se
setaic par conséquent abouché avec le « Shipping
Board » afin d'effectuer le transport par dés navires.
du gouvernement et d'empêcher ainsi qu'un
montant considérable qu'on peut évaluer entre
.5C0.000 et 2.000.000 de dollars n'affluent dans
les coffres des armateurs au lieu d'être mis au
prefit dès affamés.
Sur-le-champ, le sénateur Borah a fait des dénurches
au Sénat afin de procéder à une enquête
sur les agissements des armateurs.
Une jeune fille [Hessen Américain
à eensoleil et est arrêtée
i --
Une tragi'die vient de
t'r la ch runique W4,-- oiseC, 1 Mil
amérleain, figé de 50 arts, avait enlevé que
jeurin fi I 1 e de 18 ans Olga Lelta ièce de
l'artiste lyrique 'Esilier Lekain, ci s'était
réfugié à Beausoleil :1-otee elle, Le père _de
la jeune fille ayant retrenyé le ravieSeur,
tira trois coups ele eavolver sur lui sans
:l'atteindre, et fut arrêté.
Me Olga Lekatin, s'étant procuré un revolver,
tira ix Son telle sur son séducteur
qui fut atteint à la .figura et, eut la bouche
travers-Ce. '
Le blessé a été transporté à l'hôpital de
Monaco et la jeune fille déférée au parquet
de Nice.
Les paiements des réparations
Paris, 18 mars. Saisie officiellement
par hes gouvernements ntillés meinorandum
du chancelier allemand sur un projet
de réforme financière avec garanties appropriées
au problème de paiements es i espèce
et en nature pour 1922, la Commission des
répara tiorrs a commas-1c é hier main 1 'é t ude
du problème. La décision sera prise leidi-proehain.
Tout porte à -croire que dès ce
jour une décision pourra intervenir. Il semble
certein qu'iseesmoratedre provisoire sera
accordée- et qu'el état de paiements pour
1922 sera fixé.
Sont précisées, d'autre part, la réforma
nnancière et les garanties qui devront être
appliquées, à fournir à bref délai sous peine
de. retour à l'état des palements du 5
mai .1921 (2 milliards 'de marks or par an
payables par trimestee et 2( our cent de
montant des exportations alternandes).
meurtrier du Procureur de Castres
Paris, 18 mars. On télégraphie de Cas-
I tes « -Matin » :
Alors. que jusqu'ici les magistrats .et la
pellice après avoir envisagé toutes les' suppositions
estimaient que te meurtre de M.
Caubet, procureur do Castres ne pouvait
être que l'acte d'un individu qui, voulait se
venger, voici que l'enquête s'engage vers
une voie notivelle. L'hypothèse que le meut'
Ire pourrait être un crime passionnel est
de nouveau revenue.. Depuis le suicide tragique
de Mme veuve Caubet, les langues se
sont déliées .
Un témoignage recueilli' par la brigade
mobile de Toulouse désigne l'assassin.
jeune homme n'habitant pas Castres, mais
en relations avec une personne de cette vil-.
le. inspecteurs de la police de Toulouse
poursuivent cette nouvelle piste dans la
région de Béziers,
tu Me de paix qui n'aime pas son préfet
Toulon, 18 mars, Pour la seconde fois
le préfet du Var succombe dans la lutte
qu'il a entreprise contre les directeurs des
cinémas de Toulon. Les directeurs poursuiiis
sont acquittés:
Atlendu que malgré qu'il puisse -apparaître
dans l'esprit des gens de bon sens
qu'empêcher à Toulon la reproduction de_
films sur lesquels on a déjà perçu une taxe
et qui sont assortis du visa dur contrôle,
léseeliel vaut tille autorisation de pouvoir i
être répresente epr tout le territoire irait- I
Dimanche 19 Mies VM
ÉDITIONS
1P3rrénées et Lngus3d 4)0
urn cet Aveyron
TOulauree et Environ»
ABONNEMENTS
g nes
Prince re. Celoaien, 12 fr. 24 tt. 46 ta.
letranger .. 14 fr. 27 fr. 54 1%,
L'OUVRE DU BLOC IVITIONAL
Pour 21 francs, le percepteur va faire vendre le mobilier
d'un ouvrier salarié parisien.
Est-ce qu'on fait vendre le mobilier des millionnaires
qui n'ont pas encore payé leurs bénéfices de guerre ?
ers line Goalition ffineatique
eu Italie
Nous possédons maintenant quelques précisions
sur l'accord intervenu entre les organisations des
partis socialiste et pispulaire dans la province italienne
de Crémonie.
Il s'agit d'une alliance entre la réaction fasciste
qui menace la liberté syndicale et la posîteion iéeofornique
et morale de la clases ouvrère.
L'accord signé déclare que les fascistes erne,
chent par leurs actes de violence l'exercice des
mandats publics, et que les autorités gouvernementales
n accordent pas une protection efficace
aex droits civiques. Cette défaillance de l'autorité
poli que a rendu nécessaire une action commune
des organisations syndicales des différentes tendances.
L'accord est signé par lei représentants des
syndicats oocialistes et catholiques et les partis
eoc,aliste et perpula re de la province de Crémone.
On affirme cependant que l'accord a obtenu le
consentement préalable de là C. G. T. italienne,
de sorte qu'.. peut être considéré comme le premier
pas vece une entente générale entre les partis
socialiste ut populaire.
Le secrétaire de la C. G. T. vient enfin de déclarer
que la Centrale syndicale italienne est
préne à rétablir le front unique avec les syndicats
catholiqeus pour défendre le suffrage universel et
les autres libertés ouvriêres contre les attaques des
fascistes.
It y a lieu d'ajouter que le récent discours cte
Nitti est interprété clans les milieux politiques
certern l'annonCe du retpur prothain de l'ancien
nremier ministre démocratique au Pouvoir sur la
'une- d'une coalition gouvernementale entre den'--craies,
populaires et -socialistes.
tes Serbes Fnut appel a id relite [Mente
Belgrade, 18 mars.: De source digne
de foi, on déclare que le gouvernement de
Belgrade vient de faire -des démarches auprès
des gouvernements de 'Prague et de
Bucarest en demandant l'intervention de
la Petite-Entente dans l'affaire de Fiume
et de Péxécution du traité de Bapailo.
On déclare que le gouvernement Vongo-Slave
coneidére comme absolument nécessaire
pour les bonnes relations entre la
Yougo-Slavie et l'Italie, que /l'affaire de
Fiume et la mise en exécution de Rapallo
soient liquidées avant la Conférence de
Gênes.
Les anciens prisonniers de guerre
vont âtre remboursés
En échange des sommes qu'ils avaient été
contraints de dépos.er. darse !les caisses des
camps, les prisonniers de guerre rapatriés
avaient reen des autorités allemandes au
-moment de leur rapatriement, des monnaies
des valeurs et des 'titres de toutes fOrtnes
et de toutes esaiseats..
Un décret vient d'autoriser le renebo u rse-
Tuent de .ces valeurs aux intéressés par le
service général: des Prisonniers de geerre
au taux suivant
Mark /
Couronnes -0 40
Levae :0 35
Leis 045
Lires - 0 70
Livres turques 10 »
Dinars 0 25
Roubles 0 5i)
Kopecks 0 00à
-Pour être remboursées au taux nominal,
los valeurs au port-eue (tickets, .timbres,
bons et billets de camps, timbres de ohéqu'es-,
devront avoir été .déclarés avant le
ler août 1919.
Les valeurs et titres. nominatifs (reeti-s,
quittances, carnets c% comptes), rcvôtrie
d'un cachet et d'une gnature, s'ont acceptés
dans justification, sous réserve que
leur libellé leur don-ne le caractère d'une
reconnaissance de- dette..
Les listes nominatives de reconnaissawe
du gouvernement allemand sent acceptées
sa-us justification spéciale.
Les A. P. G, habitant la SA-Ouest peuvent
s'adresser pour tous ronscigwmenta
au stière de l'Association des Prisonn'ties de
guerre, 84, rue Fonstauelège, qui se charge.
de la transmission.
lin colonel coodamne a 110 ans
detra blics
GrMoble, 18 Conseil tic guet.:
re de Grenoble a eu hier à connaître un
çais, consiitue une Lhesure particulière-1 cas rare d'un colonel acmé d'outrages
ment troublant: il n'eh reste pas moins envers un supérieur.
que la légalité d'une pareilie mesure a été I _Il s'agit du colonel Damien atitant coin'
consacrée par Cour de Cassation, mandé le 4e régiment d'infanterie.
qu'elie doit done être considérée comme 11-n été condamné par défaut 4 10. ans
régulière :et pin. suite ubligatoiee. te de travaux publics., -

La ournéc padnnrc
Le Scaais co1o'daux
f a Sea LIII ff est flnC
l'autre des séances de la semaine, e est
aUssi, comtate l'ancien ministre de l'agriculture,
grâce à 'autoité des pésidrts
«le sections : MM. Viala, Chaunet, iernand
David et d'Anthouarci auxquels il
açesse des félicitations chakuienses.
La semaine nationalc du vin. n fait appiXrîtme
up e sclutiograve dcnt ptiraint
tt o.0 tard toutes les branches de la productron
du cCTirocrce en gcs cu en déta':i
et toutes les industries annexes, si des
aiTtrOErat19ns r'étaient obtenm:es d'ici
pni D cù la nécesst d'une cooronation
et d'une irtensifkr.tion chr effoms
en faveuo des vins dc Franec. Ce serait
un erreur crue de s'en tenir tics iniLajvCs
kcales
L0 congrès s'en est préoccupé en s'en
,eniettant aU dcsicns des crganisatio*&
profesionnelle. -L'ceuvre est mirgente,
on ne doit pas attencye la p?e:;-
'ien d'une crise phis aigue, on ne pcairrait
alors préndre que des ITaeures aiti
ficielles. d'une portée relative et t 6nm.
7xir&ure.
M. J-H. Picard Irmont-re, ci achevnt
,i confiance des- congresistcs dans le
u'vernei»ent, auqmeJ ks oemi de la sni*ine
sercnt sorni5 et e» remeicie le
nnistre dr Commerce dii témnøignage
ti. tezt qu il a dirnne aux traaw ce la
rniaifl' (al ÇS fa%su-t suivie. p cler: i2spc)aox
et en verarmt I;-rr
préside)' la réace je cl6ue
L'Ernpirnit force au Ricbsta
cette sittratkttr proviseire ne peut durer
si I'Cn veut eviter l'effcnchcment
plet du mark.
u On nors ircrris à Cannec un acomcisselvej,t.
No 'sciZrcns que cette qustira
acre tg3c'e prochaiteny1ent; les inics
(1S finnc5 zlliés ont envsag à
Pr7(_çs )'\'ttP d'un graiiç1 emprunt
irerriatk.nal d - iuerationg pour renc.r
lqfdes une tamtie d obligations de &épa
er dc. I Allenagne.
-( L0 go1ve?.nn1:fl alknrand exani-.
nema cette- idfe ,.
\l_ ITèris's.tcrjnjne en ivitarit le Reichs
tag appcmrver ks prcejs fiscaux et à
r-ter ;u ai-dr' -au gomrverrienien pouria
r5I2yi,n buts q&iIsé propose dat
t:J
li Ni k !t.US t)JNJÀNT
C'est lu -r-. OU jaunis t1'iit11(' L('iI
retiré deJ)uis très peu de temps pour se
consacrer la omposition de livres de magie,
de magie blanche hku entendu.
Pris - semaine nationale dt vii Berlin. Le Reichstag n commneic
s:est tïn)inéo aujoind' hui 1 Institut hier la discussion du projet de Ici autoxi-
scir,tifkiue ci'hygine alimentairc par la sant l'emprunt forcé et portant approba- l.Esta3e va 4ifleî ses Liff)Es
lecture ctim rapport gmnéraI de M. Pupey.. tian des quatre projets ci'irup6ts ï
tat, une aliccuton de M. J.-H. Ricàrd et veaux.
Madrid, 18 mars. M. Gasse, ancien nririis-
mita discouis d( M. Dicr, mnstre du M. Hermes, ministre des finances ire dr I'Àgrtcuhure, s
toramrce .
piend la paTOie au milieu des cris ironi-
M. Dior a apporté 1 etmoigrmgc de tcut ques de l'extrême-gauche : ( Mnistïe iu
Yintéxt que.. prend le gouverneument n Champagne à 3 ruarks la bouteille. ))
fiCS rnarfestations aussi f&condes que Qiianc k tun-icite s'est apais, M. FI05-
ce.Ilelm. II a assuré les congresistes uc
l'appui ccristant cu'ils Ucuverment dans
rues déclare que le peuple allemand pporte
autant d'imp6ts que lecontribuable
t&.us Ica cmganisTus qui dépendent du mnitie
ci'i ccnrcrce, soit en France, cit
ae n'importe quel pays et qu. après le
à l'étranger et une aide constante en
vote du prser,t projet il ne pcuxrait être
vue de lutter pour la ccnseivation la
ireposé ci!avantage.
ÏUlri5C. (t5 dbomr.chs extémieuTs. (( Je me propose de soumettre, dit-il.
En teminant, le rainistTe a féhcit& les sous peu la Chambre un projet de lei
organisatïs de la semaine du vin, pour COnpIet sur l'cniprur fcrceï qui cotu-
avoir ppcïm, non pas seulement (les prendra en rX3êU'ei tCTripn un projet de Ici
iitiquea, vaines, mais tout un progT.am- prévoyant la possibilit6 de I emissa. n
1ne d'action.
d'un emprunt libre m c6té de I emprunt
forcé:. ))
ALLOCUTION DE M. RIOARE M. Hermes expose tsuite son puint
M. J.l-l. Ricard retrace la physiono de vue au sujet des oïffrents irnp&s nzu-
nue de In semaine qLi a té très vivante veaux, en pnrticuiier sur l'irnp& sur le
et n donné lieu des dbatstrès iristruc- chiffre d'affairer, l'inip6t sur la consointifs
. Les études foitenient dotumentees ruation et su le charbon; il sarle ensuite
erpces par lea iappoteUrs c'unc h.au- de la nécessité cite meaures propes à encompétence
ont abouti. après oscudiguei l't;mi&:iofl du papier-monnaie et
si6n$ (auxquelles ck ncrnireux déhgués s'élève contre le- peint de vue r6gnant à
quJifks ônt participé) des c.anclu3icns l'tranger, d'aprs lecuel, d&lare-t-il,
précises, et pratiques.
I'Allernagnô fait tcu son possible poum
Même ur les points ies plus dIicats déprécier rcn argent dans le but dè ne
les pties en caase sont prvenues a es pas subvenir à ses engagements.
accords qui attertent du: grand effort iat
r;r ica congressistes pour l.tahlissement (( La sede am-licration possible. dit k
d'ententes durables entre les corpctcms: ninistie, ne peut venir que du dehcs,
intrse.s au d&eloppement de la con- C est-à-cire qm1.'on doit enfin ProportionsCmiflatiGfl
de nos vins.
ner les preîtaticns de l'Allemagne a sa
si tel esprit a pu régner d'un bout capacité de paiement. o
Le rrLinistre trouve que l'Allemagne e
jusqu à présent effeetu de5 prestatinas
très considrahlcs, strtout si on prend
en considraticn les pertes ck territoires
et rIe richesses naturelles que I'Aliemne
a subies de par k traité de paix.
I dérJare ensujje :
«- LC ferres désir e l'Allemagne ce
rubvenjr ses obligations et de mettre Je
1 orcre cTans ses flances est rendu parh-
Culiacrrent cifficile par suite de la dpr
catjori dmr mark.
(( L0 paiements dcadsjmes Le 31 nillions
de rrarks ont ét effectutÇs r
liircnen )tS-Çi'à p&ent -, cependunt,
dcsé et soutenu t ta
Chambre ixne propositkn tendint ce que te
ar:f douane-r actaellsrneflt fl vigeur soi-t mcdif
ciaiis un rens- faveraisl.i à }'agricutare. Cette
j.oportion poriC la sigratare de dépotés repréenant
toutes les iégOn, grieoles, sans dstincte
de parti.
Le nouveau tarif. dit M. Casset, est martel
.pcar l'agrieultur, il hart que les partes de l'ex.
ac.nients seeeasfs. 11 faut que cela cesse, il faut
ausil dans ce mime bit e l'imporaiion des
:nsturmeuts et des m.atires nceseaises l'agrieriture
sait possible. Les in-térêts de lanrieulture
cn ét de plus en plus ngL5gs par les ouverpcitaton
.gicoie restent ouvetes, -mais il faut
que le eoverncmeflt actuel conlprcnne I' immense
tperance de l'agriculture et agisse en censéqierice.
L maiste des finances, M. Bergamin, réantet
ii M. CassCt a d&laré
Le gebernensent est en train de préparer un
.piojet de lc qii a d'ailiers été légué par le
eaainat pécédeni e d'après lequel on pourra
rrbisser la deu,ièinc colenrie du tarif pour certa:fl3
artiles.
Notre dssen est donc, d'une pst, d favenitsr
l'intért natioaal, et, d'autre part, de us léser
nutilemeiit aacun intérêt lég'tinie des produc-
-
tcus étrangers.
Le gouveinesacul ieeonaai-t pr coasquent le
i:-ien fondé'- de i-a pkpar, ainon de presque touteS
les zevenchcations des producteurs de céréales.
Nous ne sa-mes apposés ii aucun ritérét agrtcole
Ai é- aoeu-k inér&t irrdustriel Nous vordons veiller
éae-inen-t au bien dc tous.
L' Algarade um*ise
LE CÙ L' ErER4ENf iTALIEN DISPOSE DE
Ft»k ES SUb--IgANTES POUR AGIR
EFFICACEMENT -
- -
B&gad. .S'man. - On msmde tt Bekr au
Le.nai ' Trbuna r qu'un cours de la semaine
(ut iume 1:0 couver-n cotinePt de
troupes i-td,eimaa ccrmposée de- 120G carabinets,
3 betteier dz-r5ilerie téère, t batailicri- d'nfant.
re et t n-cati-on- de cavalese.
lY5 ç.rs } y a actuelameri-t 2.000 soldats
Opatn rét- is s rn&e F tusue.
La « 1 b.na » dclaxe qu'avec des farces aussi
i-ispnsIan(e lkale rasai-t p4, déi; dispersez le,
facstes c-t 5ta blu e gauvernement légl de
F: urne.
iIéi"ctlié t-ir 'Vins
12 CFS, C I? m- --- e0 des vins : Vis
rçges : d 7 8 de-ré,. gte- 7G è 8 francs; de
: 9 den&, de 80 i 90 francs d 9 t
d5 Y 10ff- haacs
Vin sosés : f0 francs le (JCnTé.
Vins blaace (Bourret et Picpel) : 10 iranc
A 10 [r. 50 le deeyé.
-
I.'btaltse nu, p- s cle le récaTmant, tees frais
-
en sus.
Les lots à enèvenient rapide se traitent c-Je Z
3 francs au-cteeous de es cor.
Cours tes alcosds : trois- de vi,i, 86 dejrés,
0(i fiance; -e-ca-de-ve 4e vn de t3éze5, 5Z degrés.
325 base,; ti- ie-i, e mare, 86 lgrég,
dc475 485- fras&; eûu.d.vie de marc, 52 dcp-"
* de 275 285 frases -
l..'hectoldre au, pri5 chez le bouitie-ur, t6u
lr.is en sus.
La Vk spor1e
1dehes eisifs
i'et plus d'en IIit.. . .Jngez-cn
I r chef « AntoiD, bien (jue se
Un cépu1é les dévoile. - M. Sarrau! lc nie.
. IlonIn)aLi en réafité :flléOdore tjn peu
maius de 1G airs tfl. six fOIS (on(tJmflé
L .t (P(I( J ) h. 5 sous l (iflC ccrlaiiis abus mue paraissaient à vo-
l)E1r vol.,.
Six COinpai'ses: trois ayant pOUL' fOfl(i
cr1cc ((' :i
grettcr- mii Toge, VoUs iniagnez-vous que de « faire cinés '>, ufi chfrgé ' d'e-
1vdre 1ti jour appelle la disCUMiøfl de j'ai janmis trouvé l'aduiinistration coloniale calmer " les I)Oi-tcnrOnnaic's (les itlènagè-
Fiitc'peIitjcin (le M. J3oisncuf, sur es 1)arfaitc? Cc itie le n'aduiets pas. cc SOOt res qui font leur inavehé, un autre inveSti
an(1a1es coIoniux.
certaines afflrwations fausses portées cou-
\r. BOJSNEIJF s'attache sui'but faiLe tre la France i l'aide de docunients étran
de la inisison de cambrioler les tiroirs des
petites boutiques & l'heure du cléjcuo-r
-
t proeé (YtlIl_ cevtdin noini» e (le tonc- gers.
Io&iflal;es et ii CL'iti(iLC la 1aÇ(I1 (tûfl L ils M 13.OJSNEUF' produit ensuite d'autres
dtfl14 istraient les biens allemanu. lai»iers p'omtmont que 4es indigènes seraient
A un ccrtailT iuouxent iiIIlcrL)c1Jatieu sol_unis par l'administi'atiou au travail for-
soutve un viojent tuinutte cii dtclaiant ré sur les exploitations concédées £t M.
(lue cJuqtic jutir la Vran et Irhie ati iaspar.
cO14nks.
TIEI*'!'FION, ]'extr?me gauche. - C'cst
De très 'ifs collogties sengagcnL enlie l'esclavage!
M. Léon l)audet et plusieurs dêputc's. M. DAUl)1T, ii l'trêinc droite. L'o-
M A1bet SÉBBAUT, mlitislre incriminé, bligation au travail, c'est S'iifll)feflieflt l'ap-
J'J)Ofl(I i I'iflferl)e!laECUL sUr les trois chefs PlicOtion (l'ttll décrét (le Moscou (Rires.)
tt'ccttsatien priflciL)øux ù sawOr:
BO-ISN.EUF, - M, l)usser, tutre adini-
Les scandales de la 1iquiclition de nistratetir séqueste, refusait d'accorder ii
b4tns enneniis séquestrés aux CoiGnies, fl(- M, Gaspni'in le contrat de travail en quesnnicnt
:lLL Voo
tion. M. \Voepliïcl,, commissaire de la Ré-
L'impunité systéinaUque garantie au I)u-blique exigei sa signature en lui mon-
:il)u.s, UUX injUtiCts et aux crhnes conttrant (Oflirne venu (le l'administration des
mis ix cO'onies, au iréiudce des iiidi colonies, un certain ordre de signer.
gènes; M. Albert SARRAUT. - J'ai ouvem' mine
L'immixtion 1)ermafleflte (le l'nutorité enquête pour savoir si le soi-disant ordre
ndimnistrativc chuis le fonctionnement de montré L M. Pusser n'était pas un laux
la justice aux colonies.
(Mouvements.)
M; AlherL SAR[AUT. Dire cela, c'est BOISNEUF. -- Le fait est certain. (cx-
mentir .
clamations) et M. Dusser le sut après coup
S'appuyer sui des nfflrimitiois étran- Tourmenté I)O cetet affaire, il s'est suicitl&es
côntre la France, supposer que ce dé
affirmations Toivent être exactes parce
itfcJlcs ;ont anglaises, cest une indigni- M. Albert SARJ3.AUT. --- Une afl'aire (Ion t
la justice est saisie ne me regarde.
té. (Applaudisements réiétés)
La justice est souveraine.
M. BOlSNEUF. Le &kcuments ont ité M )3OISNEUF demande, comme Yen s'y
'igtilés i)r la Ligue des Droits de l'ibm- attendait bien, que la commission ties eumlonies
recoive des pouvoirs d'enquête pour
:i Allwt SAB:RAU'f. -- La. Ligue des faire la lumière sur tout cc qu'il n dit.
})ritsd e l'1ionmne n'a pas à se substituer
fl1( organe. S réuIiers gouvernement M. d'JRIART D'ETCIIEPARE, président
Ijota. enquêter sur ce (lui se passe en ter- (le la conunission des colonies. il mue parait
urgent de déclarer d'abord que la coin
.
tiloh.e français.
M Ferdinand BUISSON. président de la mission des colonies s'est déjà entretenno
i.igtt4 des Droits k l'Homme. - La Ligue avec M. Albert Sarraut tic certains points
n'entend jamais se substituer aux organes
signalés par M. Boisueuf. C'est le rôle de
rrguiiers dç l'ahninisfration. Elle signale la couiniission des colonies de niettie tout
ce lui 1)araît être (les abus.
cela au point.
M. Albert SARRAUT. - C'est au minis M. BOISNEUF réclame qu'une nouvelle
Ire responsable ie les abus doivent être séance exceptionnelle soit tenue dans l'a-
in:(ks d'abord (Vives marques d'appropt'ès-niidi pour .que M. Albert Sarraut puisse
bation.)
lui répôndre.
M. hOTSNEUF. Vous-même, monsieur
M. Marcel LIABERT appuie la demande de
le ministre des colonies, vous aviez, il y n la séance pour laprès-midi.
.tttktnes ouis, au cours d'un entretien M. Alhert SAiI1AUT prie la Chambre
personnel que vous m'aviez accordé dans de décider une séance exceptionnelle Janv4ig
cabinet recônnu la êracité (le mes (li après midi.
yciandions.
La sénnee exceptionnelle de innii après-
M. Albert SAbIRAUT. Jai reeonnu sur mliji est aussit votée à mairfs levées et
le vu de rappo-t émanés de mes services la Chamhi'e se separe t midi un quart.
et,
L1)L(Lm,( Smdi ' I I m, dVe W ,iiet
Telji est la ' l)aiid » ui ecu plein
centi Ie Marseiiile e'est-ù-dirc' ut co
(le l Canuehi&i'e, opérait in1puOémnin(nt de
1)ttis des mois et (fUi S'CSt lait cueillir
1iiçr.
-
UN PROCES FAMEUX A PAIUS
Ta troisième Chmnibre du tribtini! or
Paris n jugé cet après-mhti le vioeès intenté
par M. Charles Le Bargy contre MM.
ileriz et Coquein.
Le 5 août 111, M. Chai-les Le J3argy, alors
(lu'il était encore sociétaire de la Conédie
française qu'il devait quitter quelques mois
plus tard, signait avec M-M. liens et Cot1uelin,
directeurs dc la « porte Saint-
Martin )) un engagement de cinq ans, à
dater dc la saison i912-1913 avec des appointeinents
de 10 pour cent sur les recettes,
plus 15 ou M) pour cent (le bénécifles
nets, avec un minimum gai'anti dc tO.OttO
francs par an-
En 1912-1913, i%i. Charles Le )3argy tou
dia 154).00 francs; en 1t313-191-1, il tonrimait
(Wm.51t$ fr. 30.
i\l. Charles Le i3arr y réclaimiait la tioisinhe
chamble le reliquat, soit $3.481 fr 70
et la reddition des compte pour la saison
Ï912-1913.
Apiès plaidories dc Mes Creysbcl et Aubépin,
la troisième ehairmli'e clmi tribunal
vient de condamner MM. ilerti et Corjuelin
à payer à M. le Le J3argy Ic reliquat des
sommes due soit 83.481 fr 0 et a coinlais
M. Doyen expert, jour examiner les
-
comptes.
LA MORT DU IXYEN I)ES MAGICIENS
AMEIIICAINS
Le doyen des magiciens américains vient
de mourir à Pâge de 73-ans. C'est M. flarry
Kellar, connu en Amérique sous le nom de
« Keli-lar le Grand s.
M. Keliar étai-1. considéré comme un des
prestidigitateurs (les plus habiles de son
CtluI)S. En 1807, 11 avait travailli en con'pagaie
des célèbres frères Davenpert, ses
-
Nos prnolic. - La vérité sur le Siade Toulousain
Pour conclure, je vois l'U. S,
Uie JLwe sesaIiunneIIe i-nis i'en4)i-tet' d'un ou donc -Sais
::i la itorift. do t , -
itt: L'UN ()IT A-i5E'%RAiTltE LES COQS I pimis sfcia1e1u1ent de -ses 1ine :rr
-
DE CES POULES
t mais il -faudra rifeNè u y 111f,tl
sauce », cai lU. S. Dacquoj
tout
La jouincie d'aujoua'd'liui promot dôtre pc-bis sur son terrain tic
pa-iticulireni,nt inLi'e-ssante. En effet, son
programme prscnto les noms de six qui- l-eS.
05 encotr invaincu-es qui sont : lU. S.
Porignanake, l'Aviron l3ayortrrais, l li'. C, tes Bayonnais
Lobrdais, le Bia-rsRz Olympique; le Stade
; Tûul-ûusain -(t le itaeing Club d-o Frante.
J(m detauli-es4quipcs qtfz (omplèirit lu
lislo tirønt iino fortune moins brillante
car l'A. S I3iterrois fut vaincue par le Stado
Toulr.yittai-not I-e ïlanng et ru. S. Ditequoi:se
succomba dsvart le J-i. C. Lomirda
cf l'Aviron Bayou-nais.
Les quatre rersaoatrc-s de la jourtiô sett
orrtotn-n6es de la façon-- s-sivanLo
Poule A. .-- A Lorrdm Aviron Rayonnas
coutre I?, O. Lourdais. A. Dax, U. S. Perpt-
- .
guanaiso conitrai U. S Dacquoise.
Po-ul B. A Biarrit-s, A, Er. 13i-terrouia
eQo-tre Biari'tz Olymoipique. A Paris. Stato
Pomrousain contre li-acing Olub de Franec.
le Stade Tôu-tousaiu à Paris
Le Stade TouÀounain 'a jou à Colom-
12es sa partie décisive. Vainqueur il a de
grandes obances d'ôtre finaliste; battu, tout
-
est: fin-i pourlui.
FaTiisomis un ieti rapidement }'autops-ie cr
:ux équipes.
Et d'abord, ce-ho -du Stade Touloiiaia je
prie les ohauvirtis - qui chaque diminic-lie
paient aux t-agè-res de-s Pcvnt-s'-Jumaux
pour- uoir « gagner n le club doyen, de ne
pas line fs ligues ci-dessous; il attraperaicut
- la fièvre quart-e;, quatat- aux autras
que n'avettge ps un parti pris (vitlont, et
(ltYutt lopluion seule m'i-ruportte, qu'ils veuil-..
irai; bien croire qb j'cris cte(t article sans
-artiaki-té et san-a parti pris aucun, parce
q:no je b poisse.)
Don-e, à mon avis, le quinze du St-ad
Touibsusain est 1myfn d'avoir' la puits-an-ce
qu'il prsess sur le papier. La ligue d'avants
es-t l-e- point failsie du quinze. Cern-pcste
da noms- eélèb--r e : Ports, Larri-eu- Lu..
bin, Pu-ech, notamment, le pack manque de
sites-s-e, d'acIro:ia do mains et igito-ro le
dribbling.
Les huit for'ards ont le grave défaut de
fameux médIums spi-rites dont les super- ne. pas o i'oplier sur tenus, de n-e coicheries
extrênienient habiles ont été depuis Iaboier ni à la défense, ni: à l'attaque de
tcurs lignes arrières et iorsfmi-lS Ont 10- ha-L
révélées au public.
Il o quelques anntes à peine, Kellar le 14)t1., do jo-or unéqunsermt pouv eux et a-
-
Grand s'était associé avec deux prestidimai-s pour -leurr lignes -arriires.
gitateurs japoliais avec lesquels ii fit le ti la tissa .- f)a'rt lit hnta joua cOiSt te-
tour du monde. H était très connu (Jans
les principals villes VAnsériqUC et s'était
à Loure
Si Lourdes ballait lAvioe.
L -
'grand favGri- de s-a poutn, miits
oct export? Nous ne le
:
fermu do jeu entra Dayo -t et Ltirç
el toute difiéitnt Lourdes J011( beu4
a-reo- se-s avants, assez peu a- -----cuart-s.
Bayoiuie joue .iiitaji OVt :- - -
:
au aviic les autres Ct il . Ue)tq IIJU
vite En- mdneL1ant -cle Lourde3 ait - (Iti
coI-tain avantage ers . nielms_'ot-t -r
ro'rtes, ses tro1s-c1uart p asos
( expériense 0t de cûlittanec )o eu
- tout -o profit désirable. - -
- E% coimiino il aura affaire à. un aisacimiraisle--niens
apte à. pr1}ter de toutt
fautes, -là eicrouspse- t-i-on (les Loumlai -
ser-t -d'autant plus aocrue.
J'estime quo inalgr la vud-eu- d- -
avant-s et la so]ido dé'fnt do s0 Oq-:
Lourdes rie pourrai résLtr ju-sqn'aé btiL
aux antn réputés d'un qin
l'offensive rie lm premire raina-te im la dr- -
nière.
Doi-tc l'Aviron Bavonnap gagnera, seule..
m-en-t j-o (5titC - ts'ii devra payer son
un peu Iua e-inr oucr bau- n
posent.
Les Biterrois Barrujz
Le :t3iaii1z Olympique parait cievait I',
S, Biterroiso en pmttne d-c favori. -(j la
ias oubliô en ctfiet, qtre te-s ilierroli li1ett
rnnteh i-tu-1 avec le ttaoi-ng qui di-manehit
dlrnier triompha (lIa- Biterrois sur tsar
t er-rain . -
II n'y n aucune raison pou-r que l pags
ilu ohanmuion rie la - C)te Beisque, avec Fe
Lau-rtat, Âgogu4o, i3eub. Adam -no titane
-pas le coup deva-rrtcolui do son adversaire
t_lui et-t en ce inonsent. na j-ou Surentraîné.
Au demeurant, le précédent de Cairassonrors-t
là -pour-justifier c-et-kl prétentioni.
k égIitô- eu a-mtante, le sticcès doit alter
au tesini ayant les meiMemires lige-es arrières.
Elles se -tro;uvent sans auemin d-itnte
oh-eç le-Biarritz Olympiquo-. Cst dsnso-on
-
fawii-r de-ce des'nior quo je eonalai-n r:
mm o-u eleuit ossais, d'autant plus qu - -
Biarrots joueront avee la eonoieuss que
S'is ganont, leurs chons resteront muéses
d-ans- là poule B, tandis que leurt itti-
_4 t-sure-- -, 015(1)101 t (t t il tu
: --
- uq'its oisf. déjà perdi tout espoir d-
dmis la finale- du championnat.
Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés
tfl(tUt la - touche, asors bie la- m-êIé; cliC
connait do-ne le jeu d'avants proprement dit
tisais manque -de souplesse, do Viilleisse t d(
cohésion dans -le jois lu-i-rnônso.
Derrire -ce pack opère 13 tandem Stru-xiano-Galau;-
Struxiano n'a plus la -mObsljt-
et la vitesse- cl-es anns pré-edrient-os; il
sest vi-s-ibéernerit alourdi. il c-t apparu aluri
vis-à-vis de Darsano et Pnma-rède.. Copen
t!a-I)t c'est encore u-n do ires mcsi11nrs
joueurs - ce peste. (i-a-Iau a-se-i brfllatn en
attaque et trnsiir d-an-s sa dôfnse au-piid.
iria-aque cependant -ik puisa-nc-e sur 11-tomme.
Au total un bon tancte-m dtrnt le défaut
'riucipaJ. est surtout de trop jouer du coup
-e pied en touche, au lieu dtnlimcnte-r iargernent
sacavaterie, à tout propos et naèule
lient do propos.
La ligne de trois-quarts Dourisae, Nougat
Boron, Jaur-rgu-y, est -des plus redotstablS
et aul-e la Iigfie catalane peut. lui étre comparée.
UI-t t-réa léger défaut peut-être; parfois
des rn&adreme-s de mains d-e-s deux dentres,
parfois une hésitation de Dournac pou'e pli'
quer -s-on adva. rsaire, Mai-s im c&té -de cela,
don attaque ikrl-guia-ntes, -en &-nu, -des
trouées magniIique, bref un travail effi-
COCO don-t le seul chf-a-ut est do n'être pas
-outùnu par les av-an-k . Tusqu'à ce jour, jama,i-s
ta ligslo n'a pu être - convenablomnnt
aiimexxtese. Là est 1-e vicé profon nu Stade
Toulomssain ; impuissance m utilirer sa bri
lanto ligne -do trois quarts.
A l'su'rière, que In S--mmcte -emploie L:i -rouy
' 't_î Clu'o, deux hommes 'ont : n (1
poasder Ioui an-c-tenue fcri'-me.
1e 1tacin-g présentera un ex-c-oilct art-i-
Te, UflO très- ho-nue ligno de troisuart- , un
-tandem -ct demis sup(rieurs, et surtout tne
formhtals1-o ligne d'ave-uts. -
'fouie l-a iu.2-s.tion est Rt. Si b Stade
te coup en ava-ut, il gagiiera I\-iais voulezt(yij:5
t-0010 ma p-e-ns-&', j'ai qu'il ne
S-oit bomiosa1 dans ce dparteineut, car la
conhrni-stion stadnt-e n'a p-as roi.- site pied
-10 mouleur pack -pOttihie.
3'ai. peur dois drib-biings des puissaats
avants 'li.i Ilacing, j'ai pi(-Yltr quo 5mo ne
puisse eu n-o- vou-tIje ot-vri r -senti -do to1)
près par les Benens Piquotsio1 et enlie-
NoilI, et que rro,s trois-quarts, une fois 1e
-
fili5 piafW--nt d'inpatic-noc.
Le match tul I'erai s-i liion sou afLa;:
Oi, en c-herchant Io match nui -on -se fait
-
bat-t-r'.
- j'avoue quo j'attendrai dimanche soir le
s-;d-tat aver l)eau-cou-p d'impati-ene t-t pas
mal d'ap-prhonsion (je Connais béa nomhe
de re-ulou-ains qui sont eornni ..asoit . Es-
(rnns C-jcfllnnt rocs frères, qunrio fots
te Islns- l'exploi t (tua Tuur(guv, dun I3OI(iij
-ou (-t'tin De--e 1:(, d-Ofl-I1P1a la viioio
I1es sang et or â Dax
Ce -sera fort probaherneut fe plus j:tli
match de la journée. 1)ax a eitOPC sa
chance; il put-e-spitr -av-o-le un i1lger avan
lige en niêko -et en t-ounhe. Ma!s 1J..
;andieap par vitesse du pa3k-c'ttalltn et
surtout jai 0011t3 (les t-iois-quarts bien. quo
ct brudt courre aeSrUini, d3 noutroau ble
oh, ne jouerait pas. - - - -
C'est urt-out le factou: vi-terse qui avatiteera
Perin-an; par lui il a. gagni prrttftw
t-oies ses matches. Nous a- oti auSsi UIIU
aulne. ligne qui est fournie iar los matelum
Baesuo-Perpgnan et Bayonrie-l)ax
Et-te est nettrne-ut à l'avatstagc de- PerFign.aa
LE- MATCH ANGLETERRE-ECOSSE
Twickeehsm, i& mass. Voici le rérdiat la
mi-temps, du match de football rugby Angleteiie'
-
E,-ose
E(osse 5 points; Aatle-terre. O
Ea ke iisie 1s
h PS
i-oc des
Que M. Grelot, le ,sienmdsie.r de la
Fortes qui découvrit h-er, dsns rs cave le cadi
vre d une femme. sot rassuré : aucun
n e sans doute été commis dais le local tU-
-
ai loué.
D'npré-s le, empretrtes digitales
qu'il avait re
kvces, le service aflthe4parnétriu u pu preCiSS5.
hier l'identité du cadavre retrouvé
c'est cels'
Gallon, née 5
dne fille, Marie Franese LSs et COfl
26 aoét 1870 à Coaou-t (Cittes-du-Noi'd),
connue dans te quart!er de Grenelle pOur SØn
ccrduite. Elle avait ét condamnée 46 fos pou1
Lycose ci outrages aux- geols.
fottt semble prouver qu'elIê na pas 5O
sinée, niais que la isosi et due à des ci-rcCfl-
-
tunece paiement sceileln4eleS..
-e cadaWe- de ls ll}t L'a Con u té--talli_
cr le l-a -Merue
:
MsneI--s is rii S
-r,
-
C-
S'il est incontestable que le Stade -T-ou- jØfl5, IF mais. Le nemblu ds
Ionisai-ri aura trois-quarts une -lère suior.it
et un -net -avantage en demi-s, cernir)nt
vont comporter les avants Ton-
}Oj:Saitt5, en face du li'uit raeiugm-an, 00151pos-é
de nuperbes gaillards, rude-s, jouant
st(r et menant de vigoureux dribblLngs?
tient
eufle5
e
vce
qu( !erOat cenaquées' re5&5
S
t-Vail oIimataise s'titève,
/a'-ru a- iO; rhdl,papo-ti, 78 s g0ras.
70; a a .en, 2-4; aTi-rnsro a 1/8. -
I _.s e-reriuere -' equ5pe - sera ceflvO5-uee . P° 01ve0
menS. Les jeunes filles travailJc10it dais
alelies.
en
t&ts li citj I18
Londre-s - On mande de johanneshdre
I_e comité exéctttlf des syndicuts 2
décidé d P°
,éer it un vote pour la e.'prise- du tlSVSïl.
Veniie. Aucune conr1ati0fl
- Qf&1 la-
paivenue a Vienne de fa nouvCllC d'W'
urat voté un
quelle le Sénat amé-ricata
cdit de 50000000 de 4ollurs VCfl1I
OU
ade à î Auttiehe.
j J5OLl
- C -- -
,arrebruck. Le personnel techitiaur '
CD
veau- COUrrir de ta 5asre s'est mis
ai'jtc de la baisse du mark, a diiect
cidé de Sédurire le traiteiflent du perso1°'
j,yàit en franca.-
F-lemboura. -- Hier n commencé
lin COi,gYéS dc sCiCflCC dcnire- De
pSI
allcmaiîds et étranCers y preI0t
duc
n
- -
. aVa
Gencve - Le Ter septembre l90' °
iiiliste, Tatii-g' 11cr.
aiié à ln1ertak511IflC
nu-i tua un ienller Païjolen M. Charles °
ministre rUSSe
9U'CllÇ avait pri,5 pour un
légiatur Cdndmnée, .n 1907. 5 qeatrO
elie
rée#usiea et 20 ans de bierisSeifl' a
teTuée ensuite (Issue vo
sede d1imnus
ter. où llv.ie-t de ie-
Cours
Lendres, 48.54 50; Rein 56 518; NeW'0
uiel'
: 3fj32; Htk 4l; si* 290
PO4 50: Ce0ève .215,50:

jjroijiqt1e de Toutoise
je rgfle U on btanc
CeL révénement inattendu !. .. Le bi-
,Janc rgfleï désormais sur nos
ton oztvOiCra aux conirnOOitS dc la
rues Ct k
crcUJat) .
VGilà bien Ufl acceSS01C cui rnanquut
. ncs braVa sergots. . . Le bâton blanc,
a maniee de btcn de maréchal (k
0,ile en mc), c est bien un ernblet
la toute puisaflCe de nos agent
'pied i jusquici assistaient en specta
a impassibl parce qu impuissants,
t encornbrem5 de la rue. Désormsis,
floflt Ufl raion do. plus dvoir
i
i'ci1 :gare cejui qui n obtempérea
geste imperatif du bâton et qui,
as aU
0obstànt la défense de1'autorit pour
suivra sa icute Il n y coupera pas
d'une amende.
C'est vraiment une innovation tis
utile, mais cependant moins urgente
qu'Ofl ne JUt le cLrnre. Nous ne somnies
ljs et le bâton blanc naura pa
pas
50uVCfl1 partout IlOccason de svr.
Orsint s est cru ob1ig& de réaJier
f.
1intenant la refrrne et, être réaliste,
die aurait pu I etre iliis . t&, ça au.rit
M. Audubert d ecrasr un cycise
évité
et JtCS les comphcations de I aventure.
Automobilistes, attention aux
nts dc la Chariots à bras, eez
voUe 1T' droite, soyez tirés et nj
îOUSS .«
SflCfl k bâton blanc vous
appdlleTa a I crdre. -
La fête des EudnIs
La Cavalcade
Tous les coiuiiiei'çait tontes les Sociétés
qui désireraient faire Un cher pour la ca
valcade 1u 20 ius sont priés (l'en avertiÉ'
le présideat de VA(. Etueliants avant
le CU(li 23 mars. '
D'autre part, les Etudiants désirant faire
uarte d'Im groupe cheval sont prits (le
jnscrh'e . au plus tôt au sigc (le l'Assoeiaflon,
81, boalevartl Carnot.
- Hier soir la traditionnelle retraite aux
flambeal.u( a ouvert la décade s fêtes iie
diarité de Mi-CaPême, organisée par J ('mité.
des fêtes de l'Associations énéral des
Etudiants, tou,onrs sOUveUse de secourir i
rnalheiweux et de redonner à la Cité rose
son caractère d'autrefois.
L'A.G, remercie toutes le Sociétés de gym
astiu (l11i ont bien ' oulu lut prte km
(oneours et ehisscr pai- suite l'éclat de
cette retrcite.
Cet après-midi sur - les allées A-iphons-
PeyrM, otivertme -officielle tIU Vegilone. Ce
soir au'< Jacobins, première redoute aux con
leurs iibres Orchestre symphonique ; jasband,
buffet.
Stu' les allées Alphonse-Peiat, Véglione.
[lltire s'cîîoiuIî -- £s iaidcoLs
l-lier soir, t 18 heures, la moitié dc la toiturc
clii côté opposé à- la chaussée,, de l'imtaciible
portant le numéro 28 des allées
Uiarles-de-Fitte, s'est effiidrée sur le 1er
étage. -
Le rez-de-chaussée de cet inimeuMe sert
Véeurie pour le compte du propriétaire, M.
Jauber, iiégociant en chevaux et le 1er
ttate est OCC'U1)é par l famille Guériii composée
du l)'e de la mère et de deux enaflts-tn
bas age.
4u moment où l'accidetit s'est prohiit M.
Guerin était absent; la femme et les deux
enfants étajejit sur le devant tic ia maison
qui ne souffrit par de laccident. Ces trois
Personnes -.eii furciit ituitIe pour la peur.
- }ri Conséquences, les dég'ts soat fûrt
heureusemeit purement matériel . -
- Infntioide
No qu'une eiuie 1111e d'une
V111aifle d'anflées, nommée J)., iomesi'-
(De chez tj négociant en couronne s- »iotuwe$:
Q notre ville accoucha danclestifleinent
d'Un(. fille int hie Elle l'( -
traligla m)m((l;ûtement,
Le fait parvint à la connjssaace du Parquet
s'- émut et -se transporta stJr
ls IIew. La mère dénaturée a été transportee
à la Maternité. EUe aurait fait (les
aseux, L'autopsie (le la petite victime a etc
hier par le (locteur Sorel.
''('d#ettio des LOcataces la II ('-Gfle
on
ri0 4riflserer :
' jir,
joui aaux
to on I ana O 0v P UI 1 tili
le titp0 «
e
ppt aux loeataJr49 ')
la Ficlérahgn dU Sul-Ou--
e)
i) LC
1 Jni&i1 CfIlral, Franc'. avP'
C1ty , Mi cal.
t ' £ederatjo0 l0fl11e, 5 d5 localare, de In Jlau
raltaeJielUe di Lanuedoe, à 'rtu
à i'u0 eoaI4diral'e 4FS
à
bta1res
anc d4 Colon, 1oifl
sA -\Lflr la ad)ovflt5P0Puatj(fl
touloiSiine et ru
, .
n'a auoua lkn av3
!r 9anist10
au
Utsli de laueile doit 1)arl
COyen Mi1lral.
rat) icataire k' la I-Eau
ç+I'onhi , COiflhi tUuio CÉUdré.'
crucatlsr de
eu
et des 'oliies
a'a d4fciilre l'inieel (l s
re
" fl.s (fl dehors do f Out pl t Pd it qu
(bflkic des
anT1 rlq dimaiieh t nar, r :t -
ux Floiau tu'idia u #
5g
j 1tT'-ti, à Clix IIC(fl'(», t)Ti4.j$4,
r})tQl) £J M. le }"aai ii .
'k
1Ortat, \kimteneur.rl.
)rL hp1, pYonti. a log do -l. tle
'. 11lJiI . ;Salj11., !lortl Iha jjj 'mePciem ut.
''JsiM'euj', r4pon(ra au
. Pefldaire.
1;t0 'a6af, :up lioa dans l gfand
0*
i1tt,l, et d.3 C'neue
aas eai
PROJET DE VACHACALCADi
!'t71j carrnc dsparat un /.cu tous 1C3 jours
st pour la j,lus grande joie de nos cscholicrs ta
',1,-Carrnc rric. Il me ouvicnt que l'on dc
gric 9l4 les 5tcs dcs Etdiax-s jurent parUclremetU
ar1isUqncs of que, n,ême pour clore
k cçcic des éfudçs se joua, sur le plateau des
orits, or, rcCtxc locale, duc la plume spritue!!,?
C alcrlc de notre confrrc' te docleur Dut'!,.
icço.cl opèrc rfluntennt do,,s la 5euille dc la rue
dt! Canal, le purc. Donc. Oh Rabelois ! h'aura
fja une seconde ,diiion. l'esprit rabelaisien n
foui pas d0 mise au « Téligrornme s et ensuiie
la place rcCier.! aux jeunes con encore pourvus
dv leurs litres; ces dcrnicrs je sua,rcrai quel.
qLzes idCS pour les < charricr » , travers la Villei'cse.
le jeudi de Midi.Carême.
Premier char. - La balcon de « Runéo e
J cette » 5rapp par la nouvelle Laxc municipale
cl traaspo,1& cet-s le nouveau Tlj,r du Coptole
ou3ours en projet.
second char. - Une dépukilion d'éludiants se
rendant ou Shat pour demander Li la Prtsidénce
eue la PrcÇecIarc vecilic bien permcUrc aux caîêsre.;at,ranLs
rieux d'ctwrir la nuit durant comme
dons lcs outres vlFe.
7'roisime char. - Les Puce7k's an voyage
iconne trArc ii cheval, accompagna à'u cortège
hisforiqac et pnihi3torique, comprenant le A nclou
repentants, l'abbé Soury et sa jouvence, etc.,
etc., trsversanl sa bonne ill de Tauloose-ta-
5,intu pour se rendre sur la socle de Ta place
Ma;abia.
çhiatrième char ... Les , cochons d p.njanfs
s/.,eçateurs des théiitres et c(nsjmas, le cou caru-
!C:ne d'une jolie faveur rose, conduits comme
daas un fauteuil vers l'abttojr municipal oi il
ranI saign a blanc par les percepteurs ds nonelks
taxes coin,nunatas sur les pecfac1e.
Cinquinie char. La ubiture de l'adjoint la
locomotion, tranfornue en corbillard automobile
et piloie pa le sympathique Audubert, avec
devise : «Nous ,jcrascms l'c,bsloc!e avant de
le boire r.
j, passe et des meilleurs; vous, messieurs
lei tud(onts, de cornp!étcr ct embryon dv Ce-.
cehede avec auta,t d'humour caustique qu'il
. Vous sera poisible de le faire.
STOP.
Tlié,ti'e du Capitole
Puur laponrlre a iidésir maintes foi5 xpvfmé
pr -les ami-s du Théâtre d Capi-
I:(je, i'Admin-istt,atioa muni-cipae expose,
aujouod'liui cbi-manrhe, après-midi, dans la
allo Ilenri-Ma-rtin, au Capitole, les pria-
!ipaux plans du- noiveau tlâtre acl-u-tle_
i-tint en co-istriictin.
Mort 5Uspee(e
- A
-la suite d-u dès de Miïa C&urrea
Jea-nne.-Marie, 1gé.e de 47 aii. repasseuse,
{kn1uraat,. nm- Cliampêre, 3, M. le docteur
do lïtat civi, chargé & eons4aiter le dits,
ayaant iefusé te 1)erflttk d'in humer, le
parquet s'est teaii-sporté au dotucihe de ta
lMu-iita hii' soir vers 1G h. 30,po-ur pro.
eésdcs à une enjuête-e-t a ordnn le trasfort
clu eorps à la Faculté de M-Adecin-e aux
frus d'autopsie.
L'autopsie pratiquée PCI le docteur S-orel
a 3:'tvlé qu'il -S'agissait d'un-e mort na.ttsrele.
. roi tic bijoux
Une t-!Lquto est ou-verte au e arrondissoment
ie.lativ& au vol de divers bijoux et
du numéraire, i.e tu4, d'une valeur de 3.009
fraqi-r.s envicon, commis a-u do.. miei-l- et au
i)1éiudisC-e des époux Bernadet., demeurai t
I)oulevaTd Miehelet, 8.
- -
-
. 'l:-e;
LAJV
,y 7ROUVE TOU/
&:. corn :a
sa;gts à Mar
ChaPIIiF blis sty'es
Jitrh, Btc.,
irne grtuds 26, Rue ?lerly
Prés Siint -
La eye.ti'51c irascible
Uiie afoI!naLi-on ost ouverte au er ar-
1'O)1diH!i1CI1( cotitu la uomm-te Tapie Nar
uerite-Rou ---géh do 31- ans,- euvriére (l'atelie.r,
daiieurati:t avec ses porcnt: rsi-e
p uI-Wit I laqu va!l pem LIC CC rn-.
tin, vers :tt) h 80, au hall (lu Bureau central
des postes, une bicy-ckt.te la main ut au
uotneut ofi elle dtatt. invitée t sotir. ave-e
sa mao.hiio, do t tabl-is*me-nt par un
ceni requit. cet effet, s'y es-i refu-se,
niordanl; cruell-e-rnen.t ce dernier -au pictit
doigt (1a la- niain droite. L'inculpée a été.
onrhiit:e -ave-n beaucoitp de diL'1ieJ1té au
noinmissa-rbat, de -poliee du 1er
- ineut. La nnim,éo Tapie ne jouissant po
de la pléii-tude dc ses 1anult-s- nie-nla's.
-t-6, après interrogatoire, ce-mise à sa famille.
]'aniée chJJnii?!.-c elle- rut jri e}l obsr-
-va tion à la e)iniq!lc d-es -niala'cli-e- iientncs,
pour de violences cxer-céès ans- motifs,-rt
Alsace-Loirahi', !lr la pers(Ynne d'ui
ét'dant
rflM r trous svuz
rNs r'
Cbambv's a eouChCv. Salles CL mangee
'' t,sr MeUIBur sv'cu q-i'aWur
L3 h; cisve ouier, m4s1ique
sALo,a TOILETPES. SIECE
PUJOL, 21, rue du Musée, Toulouso
T_ol au lnajasiri
Uiellquèti3 -est ouverte au Iv arieiidis.
-s-cm-c-n L relative au vol d'uji liracei't mon
f;Tre, d't.ne so-mmd de 501)t fTii1C3 et d'u
collier 'ri perhs fantaisiI3 COifl!uiS avant-
1liir soir lai!e l: \-taasins Au api-loc, a
préjutiee do duusd cni:p-loyes (le ce mi3geFo
et du- na-gasin 1Uj-l)1Vflie.
1;gaon 'rbnde
n 17O.
LJIE A tIREAux:
mÇ2.4kçe -
'I.
27 Rue Lafiyelte
1'OtJLOVSJ
RU
4 Rrbcks'
f du LLid
- ------
- fl.,
}HÀic L4ine l)01 llOuses,
rt'cy o et co.4ulfleS grund lai.
I,,!a coli5 niode. Luatij e . .
B as Cotofl maille iu-finc'.ar
(l'usage. Lundi . .
l- Ppanc marocaja poureoafenUon
k s}tU largeur, halle q- nali',
-unje
;- 14)05 coloyI. -
LUfl(ii
.
p, droite ci-go laine garnie tnoiif
IJ brodé et houtons aoir. Ton tp.-
- nouvolls.
Valeur 59 fr.
j-.',/j ,
La Grande 'I'ornhoja 9Eatnite
-
Une maison pou&' un Liane et le !efmcnd:Jle
pour le choix- d-u quart-1er -
Le xnoy+eii adopté ar le Comité d'Action
Toulousaine, aooici Comité des Fôtos., d'a.voir
rUcours -àl'c%pinioa fub4ique poui le
choir du quaili-ei. où sera construite - la
màincn modèlt p?fficipal lot de sa gransto
tonTbola gratuite, passion-no tout le nm)de
e-n ville. -
Tie Comité n donc -vu juste et il sjen r-
jouit. -
La majorité acquise en -faveur d-o tl eu
tel quartior lb:era seule son choix qui- sera
osu-i-to porté à la nonnaissaben de tous.
On trouve pariout ds brilets à un fi'ctn.
Le flal inal,jtj au PaL' - (frs Arts
D(aaii- Je nor-orc sans ceu selmnoconcurren'ts
pour le concours de travestt-saemen-ls,
le Comité d'Actori Teu-iousaino 'le
5i!dUX Z-de faire grariJ, selon soii principe.
vient de eoininandne de nou\elles bannièrC
(mcoi'o pluS belles :qU uieltles qu'il poss --
-dait déjh et cl-o rtomlxceux. autres a-ec.es-oi-
-ce-s sic entilIlon . -
La iivra-i-so-n d-e toute.s eus jolies- hoss
-ne pouvant être eff-et-ud pour la date an.non-ée
-d-u 22 mars, f- ores est a-u- Oomi-t-é do
-reporter sen bal masCillé au jeudi 30 nair.
Ce qui est difftré e. i. loin Vtre por.- -
du. On le - 't'a. -
-
9 1)
OU-VERTU 11E
e notre nouveau £YOfl
V Ê T E M F N F S
PRETS i*
A. COHN
73, Jue ,4Jsace, .- TOULOUSE
1ie-ore les écU,ww's (le bicyclettes
lj_,l_e enquête e-st ouxe'te au e arrondissornent,
relative- au vo!- d ' uni bicyclette,
(iOflhinis au préjudice do M-. VeJaapue Louis
- do - 42 ans, ngoc-iaii-t, de.iiieui'a-ni rue
(.t1 l'Etoile. 6.
oI.tic poules
Une inforniatioi-i e. et euveile au 7e cerreliss-einiit
conLDa a nomin M-aiilo Pau
lîn-e. gée du2-1 ane, se disaTLtrnarehaitde du
ii-1e-rrriC- ambulante-, demeurant ru-c 'l'vave1si!:u@
de Bourassol, t,. pour vol de deux
poules, commis hie dans le courant de
laprn-vnl'd+, au doinoi-ne do la Cépière,
Lai'denne, ait jré'udiee do M. Edouard Buolii,
linmie-r -i cette aduesac.
L'fucul-pe a 4ttl- prise sur le fait et a
par le piaigaanl lui-rndme. La nomint_i
Maille étant fière dnn efan-t CII bAs
age, a été laiss6a en Jileî't5 provisoire.
Vol dun vélo
Hier soir, vers 19 h. 311, une bkycletle
a été' soustraite ù M. Dès, rue Saiit-Etien-ne
20. négociant en cycles.
Une enquête est ouverte.
- Collision
Avant-hie-r soir, vers 1 l. 30, une ot1j--
&on s est produito place du Pont-Nuf, eu-
Ire la moltri-ee -d-u tramscay n. 2 t nue
\011t111 dit feuii aière o atte"u dia
- elim-aun'r, oiuio-its par le soii.taf; Mazet
J lançmi du 23 igiment daitilleuie
C'e t la inotrit o ui chou, t 1a "eue u
uiCl(' tri la fo iii L .0 noencot ' u laiteHrge
t" a- i -nf l't pi u rnir .,
, dana- la etic PCyi'eiiéics . -
j
Il n'y li pa e n ti'CCUlilCll ni' perso-nues;
ton-t s'est boriii à 4l.C4i
#* AcetCZ vos Me&bies
« A L'tI]VIC OCCASION"
108 et -110, C,-ar.d'nee raint-ÀidIa!, -ze.
Salles A- manger Clamhres tous sly1e8
- Acajou et Lvo,ic, C;tionrier
\leobles Jivers vendus moiiii v&li;c
('eaptaut ; ?$(-G,ffle I-O 0/0
Courrier fltiquc
CONFE1ENCE SUR LOPERETTE
.lsudi nroc-he 2:3 fl,rs, les muiue-e littéares
serc-flt c1&tues par une s-'ae fe gala
Au programme : s Le eomta de Lueiborg s
i-tee une co»R'rcnee (le M. E-H. Cu-itard ahLvst-pakegaphe,
sur les ognea rie l'p&eite.
('elle cc,aEsrece sea accompagné dauJi-t-ona
d'u-vres anciennes, avec 1e cone-ous d'éiive's
laura(a du Conservatoe.
Eue est es5urc gros
LE ROB DES ANIS Reroutai licita
.
AÏ1HRJ ï, 97SF
oNT!rrtri . i2, A'er,&e - - 'POLt5
Emefl e Ccctrs
Brevet (te Spéctatilé du C. P. S. M.
Les jeunes 8'1iS reçus an c-ortdlea-t i.le
préparation au sorviOe nuitltaire sut en-1X1)-
4at,s au breet ôi scra!ité- Armes lllOfltises-
«, sont j.j1yj,,5 à 8Y présonber- lcv-ant
la GommisSiOfl Spe-1a}O s4'pxanwn - qui sié.
gera le din]an-cho I-9 mars, à 8 luu-ees précises.
flasemb1omeu1t cbe.s candidats devant Ic
caSerne du 23e l-t. L 4L, J.onuevJ Laero-
s
-
n
Ii
s . . c: . c:;:-. .i....
Ses Vins eu bouteilles, Rhums, Chanipagne
Ouvre un Déj)ôt : -1øi, Grande Rui St-MiIï1
Livre à domicile. - Ptend les Commandes.
TÉLÊPtIONE: 12-51
i: Autres Dépôts ouvriront hcessaniri,n..
,,s-__---- .c.;----L-
13. rue 4lsace-Lorraine
SRln3ile t1 écarne Sensationnelle
en Parfumerie
Apercu ,le quelques Prix
Eeau d Coo 60 deqeé
iiC u\. I 12 1iLe er,v. t'&1it. CIiiia
6.95 4,95 1.26
ibrt Cxta vieille To degrés 4ra)ti5
lire e,,virou ,iI21tt. 10. t 1- lit
'13.95 7.g 4.S5 2.45
lRlLLANTlNE I et 2 corps, 1 flacon r
O h. 95 ; suprreere : I h. 25.
SAVON BATH SOA-P. le gros pain de
150 grammes r O h. 65.
Quaitit dautres arc!-es vendus , des
prix dérisoitc.
A notre rayon.. produits des grandes
e:,,
let ,!e "ïode-ies, festous e! eneede,,
varesv -,'eJ!$ 4,95 te snèl-re,saer-ifi
.ltWz,S (i 1 . 05 1,' nèrrd .
marques : Houbigant, Cc.ly, Sau, Orsay.
Celle.
Il ne sera pas vendu plus de 10 mMres
t chaque cle-nt, afin q-n-e toute notre
aimable client!e puisse profiter ds sacriljce.s
que flOUS DO-US impoons. Voir notre
grand assortiment dàr-Ucles de méneve en
tout ge n-se.
Au renrier étage. : ch&x considérable
de li-neUe, bonneterie soie et coton.
A tout acheteur diivr-ibutkn de petits
savons et ex-traita pour mouchoir,.
Lcden-Club. ._ Voivi la liste des nwnrc
agnants de la souscription qui a &, tisée le
ers dans les salcnr du Grarut Hôtel et Tivol-
a 64 121 875 884 272 750 392 9 9
654- 477 34-4 128 693 75 428 251 23 586
9l 337 382 505 286 539 343 583 163 453
$0f) 99 834 171 4G 798 689 !
Lei lots de'vront être saurés a café And-rau,
pese du C-aitole, tous ici ion-x,. de 6 i ? heure3.
e-rqfivau 6 avril inclus. Passé ce di-, les l-ois
ivoon retiras restent- acquis b la Sociéte.
Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés
art Dazir Rciame
Les Amis des Minimes. --- Les inemires de
.Ctte Soci.té, ainsi (ne cl, nouveatnr voulant ea
' !nir5 pa5tie, sont- priés de se rendre li la s&utioll
; e: aura Ii-eu le .cenedi 18 coni-ant, , 21 heure,,
- grand café de lAvenue, 13, avenue des Mini-mes.
j tQ) DtPOTD!CM[
Cl,tHace du C.spitcio
Place eqelroi et g,,3 aesTz,rne,,,
Gi.d c -(/Ofl.
-.aa.4 'w
A-,-5 Cs-./
Vie SprHve
T. O. E. C.
L'équipe 3 du Toec, cbawpion des Pyré-
IléOS quj, après sa brillante victoire sur
l'Aviron bayonnais est classée pour disputer
In demi-finale du championnat de Frair- -
ce, rencontrera aujourd'hui fi. 14 h. 30. sur
le terrain (lu Pare (les Sports l'excellent
.!U.iflZe tin Français-Sport, un sérieux coinpi'titeut'
R) championnat dc France de 5e
série. - -
\Tqili certes deux beaux teanus en pré-
sence et une jolie partie en perspective en
v-0e des futures compétitions.
Une onLpétence sporlh-'e diriard les
ébats et fera aux joueurs des critiques sur
les différentes phases du jeu.
Entrée généi'alc: 1 franc.
Stade Toulousain
.t,joir(l'lnii, i 15 heures, sur le terrain
ilhonneur (lu- Stade Toulousain sera- sifflé
h coup (l'envoi de la rencontre qui mettra
aux prises les réserves du Stade Toulousain
et l'éciWpc première (lu Stade Casteluiaudirien,
champion tin Languedoc de 2e
s(i.ie, l3elle rencontre en 1)erspective étant
(ionn( la valeur des équipes en présence.
En lever de ri(leim, à il heures, match
tl'nssoei-alion entre le onze 1)rcmier du Stade
et- l'équipe correspondante du Stade Olym
Egalenient ù 13 heures, sur le terrain
d'entrainement, le Stade 3 niatchera l'équi
pe- I de l'intime Sportive Toulousaine et
l'équipe 6 celle du l3lisCa-Cltil).
Eu finale du ehampioiinat des Pyrénces
dè 4e série- (équipe 2) le Levriers-Sports
rencontrera le P.C. Tonlouain. Coup den
roi: 13 heires.
Prix des places. populaires I franc; entrée
rlmérale 2 francs; enceinte tribunes 5 francs
Traversée de Toulouse sur Patins ie ?nulettcs
Dimanche 19 mars, à 15 heures sera tionnée
par le champion cycliste Caralp du Velocc-Clnb
Toulousain le départ dc la di-
\ xiinne traversée de Tonlouse sur patins à
roulettes organisée par la Ligue d-es P-
1,crlecs. Cette épreuve unique en Frace
titi! S rempoi'tCr l'an tjei-nie1 11H suce-ès mespere
semble cette alméC encore enlever le
suffrage des plus sceptiques.
Plus tié 40 concurrenls s'aligneront au
départ et couvriront les O Idlomètres aucidentés
du parcoul's sous le- contrôle du
Moto-Club Toulousain., La ville, outre l'an
torisation (IU'eIlC n accôrdé, n offert u
StlpcIi3e fflédbille imitée dans ce sens par
la Presse e-t les COntinerçiIntS de la ville.
L'arrivée se fera sur la piste tic Croix-
Daurade et nombreux seront ceux ijt-ii vOt
tiront acclamer les gagnants d'tmc épruve
aussi irtttie.
COURDNLS MORTUAU{E
A L'Pd%IOfll'ELII, n de fl4mut .
- EN AS DE DES
Avow tO4ItCa ne!Ce9
5' GèCLNCt df,!Ct:n6fl
AUX PÙMPES FUNÈBRES EWE*1ES
Qit; .'occuen
.AUx 6AN$ W(JS LL ktT
NéÂtrs .&
NMAS
BUEZ PA JE
ZOO-1KCIiS
1l)u tC
lçUée des ZèpyrS
o personnes dc troupe
35 chevaux dressés
3:io animaux toutes espes
llt IIihI1iO nt pant
THEATRE DES- VARIEItS. -- Aujourd'hui
d.n,anehe en m-stra-iie, à 2 heures, et e
à 8 -h. 30, le triornphal succès de l..kpoilo de
-Pe'-r.- : s Le Comte de Luxembor-g »»,
eono-iso de Franz Leha-r, monte avec
l&1oi et un soin particulier, avec la concours de
Mii.. Harsy Arbeli, Azna, Mihaii, ; Mncs liéllne
G&rard -et jane Lacoste. Au pesner acte.
Grarde Bataille de Serpextins ; au deuxibme acte,
G-rand Ballet Russe, dansé par Mile Florine Natti.
LES NOUVEAUTES. - Aujourd'hui-, h 2 h. 30
et S S h. 30, en matinée et e-n- soirée, deux eréserdatiofls
de la ravissante s èvue du Concert
Mayol s.
COSMOGRAPH. - Aujou-rdhui, b S h. 45,
't Lu Coupe et la Lie s, avec Pauline Fréderiek.
Matinée it 2 h-. 30 et 4 h. 30.
GAUM-ONT PALACE. - Tous les scrs, t
s t' : S Parisette , grand cissé-roman de
L. Laku-iiLde I les pisode : Mno8la), interpré
paf Sàndrn M -i-lovarioff (Mlie Boldy se fera entendie
datia s iAve Maria s, d-e Gounod; s La
V-vante Ep-i-rsgie », le film mystrieex s, d'après
k se-mais de .1- J. Renaud.
Aujou-rdhui metinées à 2 heures et ? 4 It. 15.
ARNAUD-BERNARD CINF.MA. - Aujour-
4.131v-i dimanche, 2 h. 30 et 8 h. 45, < Le SouSne
d-es Dieux ) ) , drame en quatre partic, rter-
Vété par Sessue Heyakawa ; s Les Trois Mousquetai-reS
S (2e épsode Les Meusqueua-re- de
M de Tuivilcille). -
Ajourdhu dimanrhe, bal. Entrée rue Aber.
4.
SAINT-CYPRIEN CINEMA. - AujouTd'hu
dmanche, malée de 2 6 heutes soirre
B I,. 45. - -
GAND-ROND C1NEMA .-- -- Au ,rd'hui, ma-
tinéc, à I h. 45 4 h. 15; soio-rée, It 8 h. 45
. La Belle Dame sans merci s-, dr.; s les
Fizr.cés de Tatoche s, comique ; « Mt.hies Sando
s, qtiatribme ésode.
- MAIRIE
DE TOULOUSE
Déclaïatic-ns de dcs, Couve-i, fun-brc
Le Miaire cie la ville de Tc-uk-use à
l'honneur de rappeler à ses administrés
afin de les mette-e en garde contre des evreuts
iegrettables que les déclaration de
décès rie peuvent être reçues que nans
les bureaux de I'Etat civil à la mime,confovmiément
au'x articles 77 et 7& elu.
Cc'de Civil et du décret cu 15 avril 1919.
Il rappelle. en outre, qu'aux termes
de larticle 97, § 4, ae la loi nrunicipaledu
5 avilit 1864,- VAuvité municipale
rgIe ii le 1nOd-I de transpo--T t des -ersonnes
dtkéd&s, le-s inhun'cations et ebumatioTta
u, et tren conséquence eue
n scule le droit de f:xer les heures
cû-nvds funbres,
S'acmress-er, pc-tIr ta-us renseignements
ccmceirnant les c-rnvois funèbres au 5esvice
Municipal ries Pc-inpes funèbres. 34
nie Paugnnminières (Téléphone 1 1 .40j,qtii
se diarge de tc-utes démarches auprès
c;es Ministres 1es eive'r cultes.
-E-- -. a ess-.
GALERIES de L'ÈPARGNE
Fiic A1saice-LQrriiirIie -
-- - -- _ ---- -- --------- ---- ------------------------------------------------ ------------ 6!
6
RÈCLAME DES LUNDI 20 ET MARDI 21 MARS 1922
NATTES o çHINE
995 695
Qualité supérieure o' .Ja cquard, tJiSllOSjtiOfls a-ruées
i3< 180
l-8O.X2O-
Le NaLte
La Nnte
- I49S
29.00 6.95
A tont aclietur delO francs il eera offert
Un-e Siiperbe Gra'v'ure d'Art tLa Lettre)
--=

L'incartade des Gras
:AU SUJET DU VAPEUR ITALIEN « AFRICA »
Rome, 18 mars. - Au sujet du nouvel incident
provoqué par la saisie du vapeur italien « Africa
» par les aulotités grecques, M. Shanzer a
t que le gouvernement tia''en insisterait énerdactuement
pour quc ce navire soit relâche.
LES PROTESTATIONS DU GOUVERNEMENT
ITALIEN
Londrs, 18 mars. - Le « Dally Mail » annonce
'qu'une escorte italienne est partie pOur le Me*
afin d'appuyer la protestation du gouvernement
,*talien contre la capture rabitraire du navire itae
ben « Abbazia » par les forces grecques.
LES HOTES DE GÊNES
QUI PRESIDERA
Londers. 18 mars. - Une note émanant de
smace bien autorisée annonce que la conférence
Gênes sera présidée par le nouveau premier
iminIstre italien.
il sera accompagné des ministres des affaires
ét,angères, des finances et du commerce.
L'assemblée commencera par nornmer un certa.;o
nombre de commissaires qui soumettront le
:apport à une rakférence plénière.
LE CI-L4NCELL/ER. ALLEMAND N'IRA PAS
Berlin, le mars. - e « Journal de huit heures
du soir » croit savoir que le chancelier NVirth
ne ce rendra pas à Gênes.
Le. chef de la délégation sera probablement
docteur Ratheneau.
Les- paiements de -l'Allemagne
Paris. La commission des réparations
pommuniqtte officiellement la note suivante:
Conformément â la décision de la commission
des réparations prise à Cannes le
13_ janVier de MI l'et'. l'Alletnitgee vient d'ef-
1
-mie? tre=iim.,..nue-c4strinuesevzvesis.
-19070.
Chaussettes ecn°14.4'wel'iti"e,
teintes triode.
La Pr ïe.
Le
FRE
mr.,wfflet.,,,,-es -,-.tztes) Réclame des Lundi 20 et Mardi 21 Mars
xocrustrosr.
CE$ Pli/X
\, SOX`f VALABLES
1,)t E
It)11;, .:-2if I,E111,'X f
0 I"-1-44 A 1[511-'141_4S
Un lot de Chaussures
défailts de fabrication, sowts'su
de leur valeur.
En vente ait 1" étage
Balmoral ei POur DEnflY.ca" hommes. noir
29. »
RichertAft chevreau glacé et box noir
s'" pour dame, talon 29
bottier ou anglais
vmini pour dame talon te-
" Ler ou Louis xv.
La paire 35 et. »
2 65
eoton noir maille Itfl,ii+ demi-flue
Ba,. ° semelles renforcées. La vaiie.:.,
Le môme maille fine en -noir, blatte,
,iiir .n kgeW.Le egiee
fi 1 Mousseline /1101,C8riSO, talons, polit-
Bas us et -semelles -; dbufbles, toutes ..,r on
rt lances. Lit paire 4.0u
Bas f,il mousseline mercerdse diminue F.euelles
rft,aree'éée.S en fier.
La paire
BuQ so:c etillitée et semelle fil, recommandé,
TOte
La poire
9.95
ri.,,,,,m,,,airriCiea!ite liure laine blanche
Sait ti Manches.
L ( hertilbe
Chaus sette C°1:('" m "i°111'6e article d'usa.
ge teies mode.
60
La
j),Î e"
Chaussettes
are
e,otori., tatoits:POintes et se-
-Jettes donbies temtes 7c,
inode. patfr eLIU
73 FEUILLETON OU «MIDI I
neffleillbe.
Ou Le Petit Parisien
rat Paul EIEVAL
Le neveu don Sanche, dont les longues
dents claquaient, posa sur sa table,
sans mot dire, deux ou trois bonnes peignées
de quadruples..; l'oncle en fit autant.
.r .-114enri les regardait avec étonne-,
ment. H h Ifit l'Oncle en remuant le
tas rgé Yuevrenti griiyis
' Places :25 Ir.; iloubleritecrt 24 rit(a
':'''-` 37 fr.
145
nt por dame en
Tailleli- trèS 1.14t lie gabii'Liatinci pure lai;
me toutes n uances s.oeetate Pour
cuti [ri ce) ,itoruble su te fa`i 1 is e eut
(kniS j atelier, 1.1_'\:Id
n 250. »
Eguttô r ,a bouteilles galvanise, rond
,'trame 1iériS5011' 150 places,.
85 fr. : 100 places, 42 ife.
paltiera louteilleS, ler- galv it, i , :-.- \
'fret poignée Pois 8 pli'ic ' 775 (' 't
6 pl,use--, 5.45. ' ' '
eneneelneenteea.a.anne.a.e...................,....................
Sur demande, envoi franco du Catalogue, d'Eté
Castelsarrasin: Prats,
Or, vous sentez, interrompit-il, un Gencha,
qui reçcit un soufflet mort et sang
net-ce pas mon neveu don Sanche ? il
faut du fer pour venger cette injure
L'oncle Miguel ayant ainsi parlé, regardait
Henri et cligna de l'oeil d'un air
bonhomme et terrible à la fois.
II n'y a que certains Espagnols pur
réunir Croquemitaine à Sancho Pança.
« Vous ne m'avez pas ,encore appris
ce que vous voulez de moi, dit Henri.
Deux eu trois fois ses yeux s'étaient
-tournés malgré lui vers l'or étalé sur l'a
table. Nous étions si pauvres
- Eh bien ! eh bien I fit l'oncle Miguel,
cela se devine; que diable I N'estce
pas, mon neveu don Sanche ? Les
Cre.ncha n'ont jamais reçu de soufflet.
C'est la première fois que cela se voit
dans l'histoire. Les Crencha sont des
!ions voyez-vous, seigneur cavalier I et
spécialement mon neveu don Sanche
Il fit une pause après ce mais.
e La figure de mon ami Fleuri s'éclaira
tandis que son regard glissait de nou
veau sur le tas de quadruples pistoles.
-Je crois comprendre, dit-il, et je
SUIS prêt à vcus servir.
« la bonne heure I s'écria l'Oncle
chah Miguel, par' saintejacqrtes I voilà tri
digne cavalier.
Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés
kt;
tille vette seneralc
dns les ions italiens
Reme, 18 mars. - A la suite de la grève dée'erée
par les dockers du port de Naples, le syndicat
italien des organisations des ports a examiné
la question d'une grève de solidarité dans tous
les ports où il compte des adhérents, ce qui rendrait
effectivement générale la grève proclamée
par La Fédération italienne des travailleurs des
ports.
Pourvois rejetés
Paris, - La Chambre criminelle de la
Cour de cassation a rejeté le pourvoi en cassation
de Jean Soubille, condamné à mort
par la Cour d'assise de la Seine le 13 février
1922 pour l'assassinat du porteur aux
halles. Dufrement.
La Chambre criminelle de la Cour de casration
a également rejeté le pourvoi de Fernanti
Lagadec et de sa mère la veuve Lagadee
condamnés le 18 février 1922 par la
Cour d'assise de l'ile-et-VilMne, pour avoir
assassiné près de Romagnes lenr père et Mai.
Une Ville glisse
Washington. - Les habitants de Céé.lar
Falls sont très alarmés parce que leur ville
bâtie sur une colline s'est mise à glisser
vers tin lac voisin.
Si ce glissement qui atteint déjà inze
pieds continue, ils seront cbligés d'abandonner
leurs fcyers.
Toutes les parties de la ville se meuvent
en même temps dans la même direction
et à la même vitesse. C'est peurquoi,
à part quelques vitres brisées, il
n:y a pas eu encore de ei'égâts.
[TABfltM
SI VOUS VOULEZ BIEN mANGEII
Aigu au CHAPON FIN
Place du Capitole, 20. - Toulouse
Chambres confortables depuis I h. 50
Service 'à la Carie. - Prix modérés
Hôtel remis à neuf
« Le neveu don Sanche, perdant
fcloengt
flegme, se fretta les mains d'un air tont
je savais bien que nous allions
nous entendre I poursuivit l'oncle ; t'on
Ramon ne pouvait pas nous tromper. Le
faquin se nomme don Ramiro Nunez To..
nactilla, du hameau de San Jcsé. 11 est
petit, barbu, les épaules hautes.
- Je n'ai pas besoin de savoir tout
cela, interrompit Henri.
- Si fait, si fait Diable ! il ne faudrait
pas commettre d'erreur I L'an dernier,
j'allai chez le dentiste c:e. Fontarabie,
n'est-ce pas, mon neven don Sanche?
et- je lui donnai un &Ilion pour
qu il m'enlevat une. dent dont je souffrais
dans le fend de la bouche. Le draie gai'.
da ma double pistole et m'arracha une
Cent saine au lien de la mauvalse que
j'avais.
je voyais le front d'Henri' se ennbrd.
nir et ses sourcils se rapprocher. L'oncle
don Miguel ne prenait point garde.
ve(Ulo-ns Nqouues la abyeosnclineeQ'sliol utaa-itt-eil, milûeIrte/ment
et comme il faut. N'est-ce pas jtste
? Don Ramiro est roux de cheveux et
porte toujours un 'feutre gris à plumes
eotitrit:es;, eiv3altIsstertaattibs ere,- t cr, s T'fve;irss.M.ae put
ms. entre San litiné et onteeveaux.
"
Fin d'une grève
Johannesburg. - Les sytuficats des
lieurs, des mécaniciens et edes
tramway ont décidé de eillp!oyé
cesser la
Les milles
vont donc reouvrir
ment .
iremédiate,
services d'électricité et
reprendre.
tratuways vont
Les difficultes de l Angleterre
LE SUCCESSEUR
LSFUeRviDccErntMe .peNell0eNsTAnocretu
Londres.
rné necrétaire d'Etat pour les Indes.
CONDAMNATION DE GANDHI
Ahmecl
Gandhi' l'agitateur in.
dieu, a été condamné à six ans de e-tism
caram,sre -- L'autobus qui fait le str.
vice Villefranche-Caraman, a écrasé fi,
forgercn de Trébons.
Le' malheureux était ceseendu de sa
voitote pcur maîtriser S cheval. Et,t
affligé de surdité il ne s'était pas rendu
compte du danger et s'est placé SOusi.,
roue du lourd véhicule qui l'a ttei
coup.
13agnères-Ce-Bigerre. - Vendredi szir,
vers 19 heures, l'automobile du directeur
de l'usine de Soues, à Tarbes, a écesi.,
à l'entrée du village "de, Pouzac, 4 de-.
rnoiselle Catherine Tisnés, âgee, de 45
ans environ, de cette ocnennine, qui, en
voulant garer ses' vaches se trouvant Stir
la route fut prise en écharpe par l'auto
et traînée sur une longueur de vingt rnè.
tres.
OS MALADIES relu n'un
MINIINIMIeMiee.unffle
Accidents morte%
LelsoNs
ucustums
CONSERVES
,iesstestniiisestsassens
ZobeOliS netirkriiiielP3 abonda,Pour
vos bûtes, semez Daikons géants du Japon, navets monstrueux peo.int 2i Idittt
trois mois, en culture dérobée. - Ecriro 11. de NOTER, Eeole AULNAY-s!.
BOIS (Seine-et-Oise).
Toux, Rhume, Catarrhe, Uronchite chronique, hahma
Grippe, Crachements persistants. Phtisie, .à toua Is§
degrés sont rapidement soulagéset guéris par Vomplei
irop Aotiphymque i Pm&
PrIxclu tacon : 5 fr. (irnpôl compris). - Par colis postai : G tr.
TOULOUsE - Pharissacie Da.i,te,u7c - 9,
Cachou pectoral LA S. - La boite : 0 fr. SCI
ouseitsialssisr,wriasortamostmesifrivitisuiteweesezlierseanive.
Propriétaires de Voitures (00.13AD
255 fritue-,. VOUS recevrez FRANCO votre gare,.ereballage saigné,
UN RADIATEUR FORD garai MEllF et d'OR".
VUS ni duors,' cmi esim, tYt'Elln il acheter au Radiateur /nul' du RZOILIM
-
-stordessiewcremisieguialviarel,imesiiibrize.szorwerwiermerm.
Errire Etablissernent PONTVIANNE. quartier Ford. Coup de Verneuil (Nilitrrei. Expediti.11 eant,e paiyiwt 3 d,:t
-onazgriciatermusteareiemisecettinensffliFet.soosesenimmtos.
FIE 11P!'t,& lEN Telt:
QU'IN CAILLEM1E FERRONTNER1E
FouRNi-rupE3 N ous-rp: LLE5
rélégraMrne..-577.-jk.phorie
CAUBA IfiFE»,5 Ir 0 ti 0 IR.) 1-59
misiniaossecossetatimiriseyeeiteiifflorttetranottoratovizeingoriersemi.orr.
-271 Chemin La Pu; a e (angle rue Beeteille l'aubeueq3enneî,?;
nINSTITUT sÉnoTriÉalPreT3
' Laborames st Chrnets tiroiere
Elfeetr012y,'Se, Sérums et Varea
Oavertîo 10à. à 5 a,,iiscg
, St 911e st' %l5snce - Inite"
meetenamoseeesenemalsemeemonaromeninemasenegementeoageon...
LO Gérant: DApecAu.
DUÈDE,D3 PROMPTE, DISCRÈTE, RADIUM, M'IOLE
MALADIES SECRETES
retes InilZZ. lU SEIZE/S.
Onde; Aynord, Carcassonne; Druast-ttoque, &gon: Dinuolsa, afflua»: cete.,, : Progrès, bergorac: Taueeez;:zoic.ibié, Gan"-
vcil.:hoo,((uua,(( sns......:_gvniceA.,c)
ssasniojecuZnichs' aretsrsingeoteqn,mi:;, jillclieci:s'urs.,Piant
dru au seigneur den
Nan salle 0:le cGrn
uagleseiict:°i:etaid)ttr.L2\e'pl-c:p1.1:r;
Sanche à tenir 5:0
immnécaP:eie-6rtmeroesea.SsiosaomilntmazieTesrlitanoicudsradectne:tipsir:eé:teLuti;:rie2oît:tusel.ieg2ace1.,s,
un saint. Michei, e
etcmini deeaz ni sàt :: l' ;INiiiee elzri:?gedee:teeace. t
;i'tel:tise:elin5TidPer. Penceoeit isundt5nr;&14::::81% ure. eeeue.,°:
et éle venger t
don Sanche.
Le« frHeiecinrsiounreirei
tenièetitreesfce,iie:.
é(Ipuo;ny'aiint tp:isne.
primait un dédain si profond nue 1,.°1),.`rs
et le neveu échangèrent un ?ne' --:
du doigt les cleiovt
harrassé, Flenri m.o.ntra
e°.ltlei.urteirP'slie:3p°nociccilkieeéset.taiiHeentennesrvuiellrel'aletnsadrbletinlie.erSnesantinti5tc.:1
rnain vets la porte. L.G !ide et k fi t
1)95 e
p:iaesrsqiirentt. eevant lui le chapeall
l'e9ce'
descenceeet
l'éthrun: rceouàrbgétea.trls
Ileee
« Ce jour-là, nou3 raangeitme§ ., ede.1
a
i'mettre dans nos assiettes' de, 1;4'is pin sec. 1->ienc D
f
t
. . avait rien aPete FjA
weev-