20 Février 1909 - Bibliothèque de Toulouse

ABONNEMENTS:
s nes a me a
Issause et Colonie.. ....... G fr. 105e I 20 fr.
ermites
OS,. j la fr. I 30 tr.
PETITES ANNONCES EN 3' PAGE
51in5mem, ligae 1 Mac
Chaque mue hg. 0 fr. 30
imprimerie 3e la Presse
Tom les actionnaires de la société
L'Im-
',Soierie de /a Presse », rose pries d'assister
Êta première assemblée constitutive qui aura
Lies le 24 février, à 8 heures et demie du
jute, au café Morin,
Copra du jour.- Constitution de la Scciété.
4064564.5554005HititeetillegettostéeNtet, %II
LA FO 1114
Cce1trationCaita1it3
Les économistes n'ont jamais fini
'd'en finir avec la théorie marxiste de
l'évolution de la-société vers des ternies
de propriété et de production de plus
an plus collectives.
. Ils ont beau la ff réfuter s et n aneand
elle renaît sans cesse plus vivante
et plus forte, confirmée qu'elle est
ebaque jour par les phénomènes économiques,
des qu'on se donne la peine
de les constater.
C'est que cette théorie n'est pas
gemme ils le croient, sortie du cerveau
,génial de Marx. Elle f.st. sortie des faits
,que le cerveau de Marx a étudiés, C001.-
donnés classés et groupés dans un taideau
n'ensemble.
La concentration des capitaux qui
tendrait à remettre de plus en plus la
, direction dans un petit nombre de
de mains ? Peuh ! c'est une légende !
Le malheur est que, chaque fois
qu'on regarde, dans sa suite, le développement
d'une nation Moderne, on
est obligé de voir cette concentration
s'accomplir; pour ainsi dire jase à jour,
!sens nos yeux.
: C'est cependant un deapoints qui gêment
le plus lés theorieiens de la bourgeoisie.
Car la tendance a collectiviste
ta qui s'affirme on dépit de tout dans
la soviété actuelle est Puis des principaux
éléments qui' dès maintenant,
.rendent passible l'instauration
dune
société nouvelleaoù la collectivité, maîtresse
de toui l'outillage des moyens
de production, les emploierait librement
à la satisfaction de tous ses besoins.
C'est ce que l'on n'a pas manqué de
décorer le Congres national de Toulouse,
dans un des paragraphes les plus
, importants de 80. résohltiOn SUr tjactiOn
du Parti. .
Aussi estsil bon, pour répOndre eux
,etbjections vaines de Messieurs les économistes,
de leur placer sous te nez les
,preuves nouvelles que l'observation des
'faite nous fournit à Poccasion.
Dans le dernier numéro de la if None
Zeit a, le citoyen A. Colmv, de Zurich,
publiait une étude documentée,
qui
rend sensible le mouvement de concentration
des capitaux en Suisse.
L'exemple que fournit la Suisse est
frappant. Ce n'est pas, en effet, une des
.grandes italiens industrie/les. Elle n'a
!que peu ou point de matières premiéres
et son marché intérieur est des plus
/imités. L'ensemble de cars industrie
constitue doue une sorte d'atelier ois
les matières premières sont introduites
'de l'étranger sous forme de produits
manufacturés. -
Or, on constate. en Suisse tous les
!traits caractéristiques de la curicentra-
!tien dos capitaux
diminution de la.
tpopulatiee agricole au profil des villes;
laereissement du nombre des saleries
'et diminution da nombre des patrons;
FEUILLETON DL' 10 FENR1f,R 1905 71
12S MYSIPIr'
?PIS
ALJM
Hisor 151044310tie
PREMIER!, PARTIS
XXII
L'ARRESTATION
- Morée Mt allez-vous ?.. Vans vous
perdez, midheureux
-Prenez garde, s'écria l'artisee ourieue
en se débattant ; je ferai doux m'jelheurs
au u d'un 1
Etliet'insensé menaça Rodolphe
cri.; ie elonfisep.ere... c'est notre sauveur !
s'é-
Ces mots rappelèrent' More' à 1 -
Me ; il eacha sa figure done t'tes
mm
et, muet, il tomba ses geneuxde
tete.
Rodolphe avec limite. Patience
p tel
te.... m comprends voire fur
Y--
4e votre haine ; ra.!,
TT, to no,-
votre vengeance. ee. %''erene,-r:',
e''''esiede
,pas.., Laissez parler tedre bile., le
tn,rt'-
mamie sont précieux, le magietrat l'attend
id Mut que je sache tout se 1'
kelt-. Continuez, mon
c,iets.
4c!.Ilubre,..1..reentixerthit
sur sen e'Seeheau avec
-te Il est inutile, monsieur, reprit Leu,-
réduction du nombre des établissements
industriels pour une production,
au
contraire, augmentée ;
disparition du
petit producteur indépendant
devant
les sociétés anonymes par actions, détenant
une part de plus on plus grande
tsr total des capitaux du pays,
QuelqUes chiffres sont nécessaires à
l'appui de ces constatations.'
En. 1870, la population agricole
comptait 1.136.905 individus ; en 1900,
elle n'en comptait plus que 1.088.537.
La population urbaine, au contraire.
de 1.344.015 personnes en 1870, avait'
passée en 1900 à 2.036.746.
Ainsi, ce n'est pas seulement relativement
à la population totale augmentée,
c'est encore absolument que la ,population
des campegnes a diminue.
Et si l'on considère, non plus l'ensemble
des habitants des campagnes,
niais la partie d'entre esse gui exerce
une profession agricole, lé resultat est
plus frappant encore. C'est de 123 polir
100 que leur nombre a reculé,. tandis
que les chiffres correspondants augmentaient
; dons l'industrie, de 89,1
p. 100 ; dans le commerce, de 112 p.
100 .; dans les transports, de 253 p.
100.
En 1850, il n'y avait en Suisse que 8
villes dépassant 10,000 habitants : en
1870, il y en avait 12, et en 1900, 19,
,fiont 3 au-dessus de 100,000 s Genève,
1341e et Zurich). Ces douze villes formaient
ensemble, en 1870, les 14,0 p.
100 de la population totale ; ces dixneuf
villes en formaient, en 1900, les
22;4 p. 100.
Parmi les personnes qui e'xeercent
une profession, 29 p. 100 seulement,
n après le recensement du 1 décembre
1960 étaient indépendantes ; plus de
70 p. 100 (depuis les directeurs ci usines
jusqu'au detmiers manuvres)
ren
traient dans la eatégorie des salariés,
et près de 00 p. 100 appartenaient au
pro I é lm iat.
Si l'on conmare ces données h celles
de- 1888, on voit que dans toutes les
prefessimis nisit agricoles, le nombre.
ftes-,travailleurs employés par d'autres
a relativement augmenté.
Voyons un peu, en ce qui concerne le
rapport du nombre des établissements
avee la production de ce que fournit,
par exemple la astatistique de la brasserie.
En 1892, 423 établissements ; production
6211,000 hectolitres de bière
en 1906, 177 établissements ; production
2.392.693 hectolitres. Soit une diminution
de 246 brasseries, tandis eue
la production augmente de 1.472.693
hecto] itres.
L'élude de la broderie mécanique
et des dente/les- (loue des principeles
industries suisses), des filatures, de
la construction des machines', de la fabrication
du chocolat, des ateliers électriques
Mène à des conclusions analogues.
Partout, la grande industrie s'installe
à la place de la petite. Elle mange
les faibles, elle recrute pour le prolétariat
une partie toujours plus forte de
la nation.
Rien que dans l'industrie de /a
chaussure, on compte' en Suisse, 0.530
ouvriers répartis en 61 fabriques (soit
une moyenne de pl. de 100 ouvriers
par établissement.) Et une seule maison,
Bally et Cie, en occupait près de le
tnoitié 1 3204..
Veut-on enfin se rendre compte de
In repartittion des capitaux entre les
sociétés anonymes par action ? Observons
les chiffres de 1901.
Les 2,056 sociétéo. anonymes de
la
se, de vous dire mes tannes, nies priereS,
j'etete anéantie. Enfin après de nouvelles
supplications de ma part, M. Ferrand
consentit à me garder chez 1ni ;
regardai
cela Minime un grand service,
(ont mon sort était affreux. Pendant le
temps qui suivit sur celle mène cruelle
je fus bien malheureuse, bien maltraitée;
quelquefois, seulement, M. Germain, que
te voyais rarement, m'interrogeait avec
bonté au sujet de mes chagrins ; mais la
honte m'empêchait de lui rien avouer.
- Et vous n'amc jamais songé à faire
vos confidences h Germain ?
-- Non, manne., il était ausei dupe
de rhepocrisie de M. Ferrend ;
il le disait
dur, exieeme ; mais il le croyait le
plus honnete homme nie te terre.
Mores. te front appuyé e ses deux bras
croisés Sur son établi, sanglotait et semblait
ne rien entendre. Après un moment
de silence, lutine reprit avec effort et
d'ace vies tremblante
- J av.& entendu dire par la portière
qu'un charlatan demeurait dans la mai-
El elle ne pet achever. R.odulphe se rappels
qu'a. sa première entrovut, avec madame
Pipelet, il avait reçu de imbue en
l'absence de/a portiere, une lettre Minh:
cor gros papier d'une écriture contrefaite
et aile laquelle il mail remarqué les traces
ite quelques larmes.
.-Ide vous lui avez Fiera, malheureuse
enfante. il y a de cela trois jours !
Sur
cette Icare, vous aviez pleuré, votre écriture
ôtait déguisée ?
Louise regardait Rodolphe aime effroi...
- Comment semis-vous, monsieur ?
--Y Rassurez-mue. J'étais seul dans la
Ope de madame Pipelet quand on a ap-
Rédaction-Administration
38, Rue Roquelaine, Toulouse
Hardt - Hérault - Pyrénées-Orientales - deomère - Atmeyrora
Cormième
Canta/ - 1Lat - lLotéet-Giaronus - Imantles - IltantesrPyrénées - FisHasetriaPyrénées
Anale
'Par. - Oersi - Turn-et-ClarOmze - 'rouleuse - Einute-Haronne - Ariège
Suisse réunissaient alors un capital de
prés de deux miliards de francs (1
milliard 881.595.861).
Or, de ce capitale les 26,9 p. 100
étaient détenus par 213 sociétés et 54.5
p. 100 par 55. Les 1.788 autres sociétés
se partageaient le reste (18,6 p. 100)
Ainsi, cent plus de la moitié du capital-actions
qui était entre les moisis
de Moins de 3 p. 100 des sociétés, et les
13,1 p. 100 en exploitaient plus des
quatre cinquièmes.
Un dermer chiffre, pour montrer
combien ce mouvement de concentration
prend, en Suisse, une attire rapide.
En 1902, le capital moyen d'une société
par actions nouvelement fondée
était de 308.900 francs ; en 1907, 11 atteignait
772.700 francs, presque le double.
Voilà comment la concentration des
capitaux est une chimère.
BRACKE.
Man
2-IGEND71
20 Février 1909
« Le poète est le roi des gueux. s Ce
roi de la Bohème que Richepin chanta,
M. Jean Richepin le fut. Il est poète. Il
lut gueux.
Que les Romanichels se réjouissent el
chantent l'Atleluia. Le prince des Rimades'
lord de nerf habillé, bien peigné, bien
frisé, fut reçu hier sous lu glorieuse coupole
des Immortels.
Le bdion dont les
gueux frappent les routes poussiéreuses
Une admirable févr.:ail Mans forntée en
sine épée artistique, remarquable joyau
d'orfèvrerie. El ses compagnons, les Nomades
avaient pris hier la figure maquillée
de princesses élégantes. Des lorgnettes
regardaient le gueux des gueux,
et non plus les donnes étoiles. Il parla.
Quelqu'un lui répondit s Ce ne fut pas le
rossignol, « rame de la forêt », 7,16iô
Monsieur d'aristocratique allure
Maurire
Barrès, député, académicien.
Et ce fut polar ce Nomade arrivé un
régal et un honneur.
Et de voir le chantre des « Blasphèmes
o s'asseoir parmi /es quarante phénomènes
de l'Immortalité,
ce fut pour
tout le monde chic un événement Set.-
tionnel. 111. Darses fut franc et le dit
« Si Miarka, la fille r, l'ourse sur la foire
« de Nancy, m'avait prédit qu'un jour...
« jr voies enteGadrais émettre cos théories
« littéraires, j'aurais été bien intrigué...
quel pourra bien être, me serais-je de-
« viandé le lieu de cette rencontre fatif,
digue? s et M. Barrés prévoyait « une
clairière 4 la brune s, rr un grand port
méditerranéen c, voire même mi porte de
In Seine. s Je n'aurais jamais devine', a-
t-il ajouté, qu'il e'deisseit de l'Académie
fronçais,
El M. narrés railla Jean Richepin, bohème.
Il le railla pour le pardonner et recevoir
l'ancien and de.s humbles dans le
giron des grands.
Nous, nous sac raillerons pas le Robés..
que des magistrats stupides et inintelligents
condamnèrent à la prison, et
privèrent de ms droits civiques, celui qui
refusa le ruban rouge 5. lui offrait le
mini.stre Spedler et, plus lard, le vainistre
Lockroy, tard qui aimait omise tout l'indépendance,
/a liberté, la seule, joie de
«ses strophes ailées et de sa vie de poêler.
« Le poète est le roi des gueux c.
Ce n'est ni le poète, ni le
gueux que
nous raillerons en. Richepin, mais l'acedésnitien
repenti qui est allé soupirer un
mea culpa dans le Temple des brima,
tels et se faire pardonner pur ,11. Barrès
ses journées de
prison, sors arrogante
jeunesse'
ses Blasphèmes, sen entour
pour les Gueux.
JEAN-JACQUES
porté cette lettre, et, par hasard, je rai
mmarquée...
- Eh bien, oui, Monsieur. Dans cette
lettre sans signature, j'écrivais à M. Bras
damanti... J'avais la tête perdue. Je voulais
lui demander ses affreux conseils...
Je sertis de chez mon maitre dans l'intention
de les suivre ; mais au bout d'un
instant, la raison me revint, je compris
quel crime j'allais commettre... Je ne-
Lanius/a. àneaissucha-leà
sf,
:tee naequai ce renma
une arène
Mont les suites ont, causé le dernier
malheur qui m'accable. M. Ferrand me
croyait sortie pour deux heures, tandis
qu'au bout de très peu de temps ('Obis de
retour. En passant deVant la petite porte
du jardin, h men grand étennemeet,
la vis enteouverte ; j'entrai par là, et te
rapportai la clef dans le cabinet de M.
Ferrand, oh on le déposait ordinairement.
Cette pièce précédait sa chambre à coucher,
le lieu le plus retiré de la maison;
c'était là qu'il dolman ses audiences ses
mettes traitant ses affaires courantes dans
le bureau de son étude. Connaissant très
bien /és êtres du logis, après avoir traverse
la salle à manger mn Men
roc, j'entrei sans lumière
dans le sa-
Ion, puis dans le cabinet qui précédait
sa chambre à coucher.
Je fus bût à mop prise d'un étourdissement
douloureux, je selles ipte je perdais
connaissance._ En tombant, je 0015"
lue, machinalement me retenir en saisissent
un minimal suspendu à la cloison,
et dans ma chûte j'entraînai ce seternent,
dont je fus presque entièrement
couverte. Quand je revins à moi, la porte
vitrée de ce cabinet était fermée._ j'entendis
la voix de M. Ferrand... Il parlait
elliQ -crnruies
LES OPINIONS
Relativisme Economique
De l'Action:
M. Cruppi, miniefin du Co.inerce et de
l'Industrie,
reçoit en ce moment tees lm
matins les délégations de tous les mor.erpets
et industrielS qu'intéresse la revision
prochaine du tarif douanier. Lee uns viennent
prier qu'on les protège; les autres réclament
qu'on lm laisse libres. Ils se contredisent,
mais, ils sont d'accord !
C'est qu'en elfet la protection' et le libreéchange,
em deux dates éconorniqum, .
sont plus des dogines absoMs, mais des veillés
cela tives comme toutes les opinions
humaines.
Il fut un temps
pas très lointain - oh
les grands pretre,s de l'économie politique
excommuniaient au nom du protectiomisme
ou du libre-echangisme. Eu dehors de leu.
Egtises, poire de salut I Les nations périssaient
ou prospéraient, dans l'Imagination
de ees pontifes, selon qu'elles élevaient des
entraitles do.nieres ou qu'elles Ms abattaient.
Auguste Comte aurait appelé ce temps
Ia « période théolagique » .de l'économie
politique.
Aujourd'hui, nous en mmmos à la période
positive. C'est-à-dire que nous ne voulons
plus Mgrs te libre-échange et la protection
qu'expérimenta/amont, selon /es besoins des
.penples et les nécessités des Etats.
Telle
industrie peut avoir besoin d'être
protégée, tandis que tel cimmeree peut désirer
la liberté des frontières. La metallur-
Me française, par exemple, ne peut lutter
sans douanes contre
la métallurgie sitemande,
lanchs que les textiles de Emme réclament
la libre entrée du Otos anglais.
L'ineomparable mérite du régime de lir
lire pensée que la République a institué
dans notre pays, c'est d'avoir aboli tous les
systèmes dogmatiques as profit d'un relatieisrne
éelairé par la raison et l'expérience.
C'est de en relativisme que M. Croppi
d'abord, et le Parlement à sa suite devront
consternaient s'inspirer pour résoudre l'immense
problème industriel et coneneeciat
de la France contemporaine tantôt par les
Méthodes du libre-érhange, eartet per celles
de la protection, suivant lm ms et les circonstances
qui ne eannaissent ni l'absolu,
ei einveriable.
Henry BERENGER.
neesss,
ECHOS
OBSEQUES JOYEUSES.
On enterrait ces jour derniers, à Neuville,
au pays de Namur, un célibataire, Julien Gaspard,
dit smsoa ami n, 5 décédé à lidgc de 35
Comme il n'avait jamais la' un ennemi du plaisir,
il a routa que le Mur de reS funérailles
fut teu jour de réjoidsance pour
commune.
A cet effet, il y a il ans, il a relnO entré les
mains tle M. amer amour. inc sannue de leo
francs, argent gui
été Mc/ à te Mu' d'épave.,
La cérémonie fimébre terminée, la jeunesse
ét les hommes mariés., sont t'émis et, précédés
de deux tambour, sis ont circulé Mut l'aérémidi
el trit banne partie de la soirée de café en
café pane mer, à épuiser le don oui leur avait
êté Combinei de malheineux gui alésaient pu faire
de ce tags un bien meilleur ampe.
JEUX DE NELIRASTHENIQUES
La police russe a ouvert une eimuêle sur 1Js
fois et gestes d'un asociation qui vient de se
armer
Saint-Pétersbourg et oui a pour but
de ce divertir par fe chasse as tigre. Voici
nais, son astérie.
Deus membres de Vissociation, us homme et
une femme, tirent au sort 951 doit être lierres
chasseur. Fais,
enfermes to. deux dasa raie
chenil', maire très vaste, le chasseur tire ovef
un riva:ver chargé seer le tigre, gni signale sa
très haut.... La conversation durait depuis
quelque temps sans doute, car voici seulement
ce que j'entendis malgré moi ear
la porte était fermée 1
« - Rien de plus
simple, disait une voix inconnue ; un
drôle, nomme Bras-Roug,e, m'a mis' pour
l'affaire dont je vous parlais tout, à l'heuor,
en rapport avec une famille de pirates
d'eau douce, établie à la pointe d'unepetite
île d'Asnières ; ce sont les plus
grands bandits de la terre 1 le père elle
grand'père ent ete guillotinés, deux Ms
'sont aux galères it perpétuité ; mais i/
reste la mètre. trois garçons et deux thles
tous aussi scélérats les uns que les autres.
On dit que, la nuit pour caler sur les
dehtx rives de la Seine, ils font quelquefois
des descentes en bateau jusqu'à
Bercy. Ce sont des gens à tuer le premier
venu pour un écu ; mais nous n'avons
Pas besoin d'eux, il suffit quels donnent
rhospitalité à votre dame de province.
Les Martial (c'est le n.om de mes pirates),
Passeront à ses yeux fous' une honnête
famille de pêcheurs e j irai de votre part
faire dette ou trois visites à votre jeune
darne ; je
lui ordonnerai sorbiers potions_
et au bote de huit jours elle fera
connaissance avec le cimetière d'Asnièces.
,Dans tes villages les 'décès passent
comme une lettre, h la poste, tandis ou%
Paris en y regarde de trop près. Mais
h. l'ile dbesnières. afin orle j'aie le temps
de Prévenir les Ntartial du rôle qu'ils ont
à jouer ? - Elle arrivera demain ici ;
après-demain ellesera choc eux, reprit
M. Ferrant] et je la préviendrai que te
docteur Vincent ira lui donner ses soins'
de ma part. - Va pour le nom de Vincent,
dit la voix
l'aime autant celui-là
951un autre...
Présence par une elochatte e
argent attachée
autour du cois Si le chasseur n'a pas touché le
tigre aérés avoir 5101 les six
alles, le révolues
est rechargé el les rôles soit entessertis, et cela
jusqu'au premier sang.
AMUSEMENTS.
Il pardi goin reeiaisr Sirotéae s'amusai, à
exécuter des cortai.nnés dont le corps était eu
bais, en es servant d'une guillotine minuscule.
Ce bouseus amateur opérait dane ms café, 45,
rue d',Ingoulénne, à Essonne.
-Pour la somme modique de o fr. to reatimer,
les nombreux consommateurs pouvaient assister
ms exéculiems.
Quand un da pas lm moyens de voir opérer
Orifice en personne, on se rabat sur Sirotent,.
C'est logique.
Le police vient d'interdire ce nouveau jeu.
Youraôoi O De quel Omit frasternon les gens
de lens amusement favori ?
Si eon ne veut pas leur Wei, leur «memnés-mari...nettes,
unes leur avine alors des
condamnés en chair et en os. Qu'an envoie M.
Daiblre0Ee000scs, Id recueillerait la caciques
ovations sympathiguei qui le dédommageront
amplement des sifflets Om nuui, ieex
Te
CHRONIQUE
La Police Russe
C'est avec une surprise douloureuse, moins
Parue qu'Us révèlent des faits inconnus que
parce qu'ils les précisent que nous lisons,
on ce moment, tes
Mémoires » de Balme
publies par « le Malin ». Que do ramions
amères, peignantes suggermt ces tableaux
de la vie administrative de la Russie, et
quees retours sur nous-mêmes, français et
démocrates.
Quel contraste entre la Russie populaire,
consacree par l'imagerie grossière d'il y à
quinze ans, la Rmeie de l'amiral Aventne
et du c Potheau «, et la Ruesie ténébreuse,
anarchice-bureaueratique, que
nous revêtent
ces « Mêmoir. «. Et comme ils doivent
tressaillir -ide clouteoe et de honte involontaire
et imméritée
nos innombrables
amis russes réfugiés maliennes, étudiants
laborieux, qui. dans notre grand Paris,
s'enivrent de toue lm s.ouffles de la liberté
occidentale - bien relatiee cependant, hélas
I - comme ils doivent aVOir le sentiment
poignant de riminemite de louves h accomplir,
lorsque tout à eoupecomme un cachot
dent ta porte s'entiouvre, un rayon de lumière
pénètre leepays d'ombre policière.
Il My a pas de catimini.
de la Patrie
plus l,snsie et phis féconde que telle qui veut
pour le pays qui vous a vu naître, pour la
race s laquelle on appel:Mut.
Première
place dam la recheiThe pour le progrès
moral, suivant la belle formule da socialiste
Pierre Lavroft El, que la Itussie
bureaucratique, aristocratique, diplomatique,
est !Mn de satisfaire oe nolide desiderate.
Partent Pincenmetenee arrogante ;
partout roppresien Peu Mos
qualifies par
ranonysme mécanisme administratif, partout
/a haine de rintelllectualieme, de /a libre
discussion, de la vérité soCia/e. Pays de
moyen-ege, en arrière de tous, même de l'Espagne,
môme de l'Autriche.
Le gouvernes
ment du bar apeurait de plus en plus comme
un organisme de superposition oppressiee,
sans lien avm Pâme natimale russe.
sem mnipitehmsion
morne de sa tradition
historique.
Que la Repuhlique doit apparaître belle â
l'exilé russe t même la République bouegeoiee.
ti.tel regret ce doit etre pour tout
démocrate si.ère de voir que la Gentile de
notre mouvement
démoeratique risque de
flétrir dans l'âme de nos Mûres plus arriérés
tout le prestige du mot Republique.
Car c'est b ceia que nous courens. La République,
issue de l'effort populaire, pomme
un sève réalisé, Ma reemdu â presque
aucune des espérances qu'elle portait, semblait-il,
dam ses flanm. Treille-cinq ans de
politique d'alternmiements, de malententelus
sociaux soigneuse/ne., entretmus, d'équivoques
et. de complots réactionneetes, ot
rien, ou presque rien b mettre dam la balance
d'une appresiation équitable nomme
réforme' tangible et specifiquemmt ou_
vriere. .
Dejà le mécontentement
populaire très
bien aperçu et habilemen erploité par
Faction française s'apprête par une monstrueuse
injure perpétuellement faite au bon
sens ouvrier et dérnaorate, h taire reuattre
de ses cendres l'ideM, royaliste. Vaine tentative
sans dente, mais à laquelle la stérilité
- Quel est ce nouveau mystère de crime
et d'inftimie ? lui dit Rodolphe de
plus en plus surpris.
- Notivea.0 ? non, monsieur ; vous allee
voir qu'il se rattachait à un autre crime
que vo. Connaissez, reprit Louise,
et elle continua s J'entendis le meuvem.ent
des chaiees, l'entretien était terminé.
« -- Je ne vous dernande pas le secret,
dit M. Ferrand 1
vous me tenez
comme je vous tiens. - Ce qui fait que
nous pouvons nous servir et jarnMs
ne nous nuire, répondit la voix. Voyez
mon zèle I j'ai P2ÇU votre lettre hier à
die heures du soir, ce matin je suis chez
vous. Au revoir, complice ; n'oubliez pas
Ille d'Asnières, le pêcheur Martial rois
docteur Vincent.. Orem à ces trois mots
magiques, votre provinciale n'en a pas
pour huit jours. - Attendez, dit M. Fernand,
que j'aille tirer le verrou de précaution
que j'avais mis dans mon cabinet,
et que je voie s'il n'y a personne dans
l'antichambre pour due vous puissiez
sortir tout la .ruelle do jardin, comme
vous y êtes entré.... r M. Ferrand sortit
un nioment, puis il revint, et je l'entendis
enfin
eeloignetc avec la personne dont
j'avais entendu /a voix... Vous devez
comprendre ma terreur, monsieur, pendant
cet entretien, et mon désespoir d'avoir,
malgré moi, surpris un tel secret.
ceux heures après cette conversation,
Madame Séraphin vint me chercher
dans ma chambre, où relais montée tonte
tremblante et plus malade que je ne
rayais été 'jusqu'alors. « Monsieur vous
demande, me dit-elle ;
vous avez plus
de bonheur que vous n'en /fientez ;
descendez. Je suivis madame Séraphin
; /11. Ferrand était dans aon cabieantedl
21Tterteî;
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Réelamm e nits, la ligne
Troènes» page, la ligne,.
Locale 3. page; /a ligne, .
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25e, le
305. er
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151v
sr
de fteuvre républicaine fait un senblant de '
gage de succès.
Laisserons-nous plus longtemps aux
mains des démagogues l'aptitude à l'espérance,
iniamable et confiante, qui fait le
Sima de faine française ?Laisserons-nous se
faner, sens qu'Il ait jamais porté les trent+
promis, l'arbre démoctuLique ?
Ce ne serait pas seulement la faillite du
peuple Dant:aie qui s'accomplirait, mais'
encore la faillite de tous ber espoirs internationaux
inclus dans l'idée Mentent...
Sur le terrain social, il se produit déjà Gellée
chose étrange que les .pays monarchiques -,
Albmagne. Angleterre - neai ont begement
dépasses. Déje, pour les retraites ouvrièrese
pu00 l'impôt sur le eevenu, la Craves suit Ma
autres peuples, elle ne les précède plus. Estoc
ailleurs que chez nous, que nos glorieux'
amis russes devront désormais regarder
pour voir la route à suivre ? 11 nous est pénible
de le penser. Quand mei:ne le proleta-,
riat français, non pus seubnient sonateste,
mais même démocrate, rejete toute romps.'
mission -odieuse. Rien de ce qui touche à
l'idéM de la Russie n'est &Manger à l'idéal
Or la France.
Pqlice russe, poli. française. h des dagréa
divers, c'est ioujeers le heurt cle
l'esprit
d'autorité emitee l'esprit d'émancipation, la
volonté d'assemisstament °antre la volonte
de liberté. Il n'y a qu'un esolution h cette
dualité sociale, e'eett l'instauration d'un régime
universel du socialistne, organisant In
travail affranchissant l'individu.
,
Fernand CORCOS.
ne*,
Leur Presse La Nôtre
Chaque jour nos grands quotidiens nem
servent sous bonus de « faits divers » des
nouvelles pies ou moins sensationnelles,
mais en tout cas rendues attrayantes par
la plume experte d'un rédacteur avisé. Et
ces nouvelles qui ne
présenteraient qu'un
intért bien relatif, si elles n'étaient agrémentées
par un style plus ou moins féérique,
ou dramatique, trouvent auprès du publie le
plus favorable accueil.
Hier, c'était un simple suicide que l'on
nous représente comme un veritable drame
d'amour. Aujourd'hui c'est un accident que
l'on nous convertira en assassinat, h /a
grande joie du lecteur. Demain or sera Phistoise
dd'une idylle présidentielle et on nom
racontera que la mort naturellq de fie «eVsident
ne lut autre qu'un assassinat- sI ce
sera toujours au grand plaisir de ce lettetet.
ivre de sang et de joiu qui n'epromo de
satisfaction que lorsqu'il voit s'entregorger
ser semblables.
De pareilles murs et de tels sentiments
sont le produit d'une presse à tout Mire, la
presse bourgeoise.
Notre presse, à nous - la presse suera,
1151e - la plys modeste et plus siniere; ne
trouvera pas l'accueil entboueleste aupresj
des Moteurs de la presse susnommée ; on en
COTIÇOit les raisons.
Et pourtant si on les conçoit, mm raisons,
on ne peut les admettre et encore moins les
excuser lorsqu'elles nous sont donnees
un certain nombre d'individus. En ces derniers,
j'ai nommé ceux de le clame ouvrière,
car il My apas que les bourgeois qui aiment
à lire la prose romantione e tmensongere
qui s'etate daeu nos grands quotidiens'; te
prolétaire. lui assai, en fait sa pâtée fanante.
Et eomment s'étonner encore de /a lente
Melunosu du proletariat lOrmitron constate
d'aussi ddefectueuses mentalités au sein mime
de ce prolétariat ?
Je disais dore que la presse soetallste,
plus modeste et plus sincère, ne publie. elle,
que les informations qui cnt un intérêt reel.
Veilleurs, elle existe moins pour mis que,
pour mener le bon rommt cru doit soutenir
et affranchir le travameim
Eprise de justire m
lqauté, ln presse
socmliste prend mur oour les faibles et
combe toutes les ittglà,,à, Elle !dtpuone
memonge, et par emettptent les informations
erronées et melpropres. Voilà pour«
quoi elle compte de moins nombreux !erten..
CEVREST.
INSTITUT-in
,N6TrTUTRICES
..sea
La km de ItirnIpment PhaaYe
6 Yr, par an, 45, rue de Chu, Parié
net. En /e voyant, jelrbnsnunai mulprO
mot ; pourtant il aemt l'air moine méchant
que d'imbitude ; il Me regarda
longtemps fixement, Comme s'il ode voulu
lire ais fond de ma pensée. Je baismi les
yeux. « Vous paraisseu tires souffrante ?
me
- Oui, monsieur, lui répondis-je,
très étonnée de ce qu'il ne me tutoyait
pas comme d'habitude. C'est tout
eineple, ajouta-tel, c'est la suite de votre
état et des efforts que vous avez faits
pour le dissimuler ;
mais malgré vos
mensonges, votre mauvaise conduite,
trun ton pluis doux, j'ai pitié de
vous ; dans quelques jours il vous serait
impossible de cacher votes grossesse. Un'
tel événement aux yeux du peldic serait
la honte d'une main, comme la mienne;
de plus, votre famille
serait au désespoir,,.
Jr consenti dans cette Gimone,
tance, à venir ievetee_seCourS; Volts irez
voir votre père autuurrehni ; vous lui annoncerez
que je
envoie deux ou trois
mois à la
campagne peur garder une
Maison que je vines d'acquitte ;
pendant'
"otre absence m lui ferai parvenir voS
rages. Demain, vous quitterez Paris ;
je vous donnerai lise
lettre de recommandation
pour madame Martial, mère
d'une honnête
Re de pécheurs qui
demeure près
d'Asnieres.. Vous aures
soin de dire quo vous venez de province
sans vous expliquer davantage Voue
saurez plus tard le but de cette recommandation.
toute deris vetre inter«. La
mère Martial vous traitera Gamme sua
enfant ; un médecin de ies le
docteur Vincent, ira vous denneeles mima
que néeessite votre position- Vous voyou
combien je suis bon pour vous !
n
JOUP.N L QUOTIDIEN LI PROLETARIAT TnI../ÉI:EzioNE Silm
VICaeAril
4.. p.A.nrs
Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

Samedi 20 Feyder I808
.péotea au. xr)! GIA
CHEZ LES OAMER8
DANS LES posree
Le Syndicat
Proteste
Çontre Lajarrige
Parin, t9 retro,
14011i am,à, publié le n:euvenent. qat St prie
dalautt cher an Ma:feues de, erace Agaz,
entrent au syndieut natiobal nier, laierai« s
og faveur des raels-huite -
On sait qu'un esses grand nombre de travail.
'Mure du sac set tout retirés du uyndent 313,3
agacerie eut L secrétaire général A
la eue
de déroge quel, -eurent mie
demie- à gui
ils reprochent de vouloir terne lei 01,21,22 en
Stout. et sont P9113,19érà rit 331,0i3 SYndielda
dru trevellere guaiaru du Rares
Ce nouveau groupement Pente re Ceet
Wrigo
nem remuer Pin/bleue qu'il a per,
meratait cette agitation
e cdrese aux
jouta:mu te corettnique etaraatra
Au Sujet d'une note parur ce matit. dans
carmins journaux, qui fait
croire à uns t' tac
pratchaint des ...Genre de le disellati. de
In Seiété Au Gaz de Paris. l'Union Syndeate
des travaille/. Casiers do Paris et de lu Seine
et erra. etts Chauffeurs réunis, me en garda
1,(10,1 fee ofmandeu cheuffeure contre lei, mue,
eumeele de
au-perte, gui voudrait :enter un
Mouvement de greva chu les chauffeuro seule-
Ment serrant par avance que cetaa-ci Seraient
e. mite tenteLeé- par 4. tuerie, de antres
...gui. qui somatisait le treuil. Ce couteau
einem. (tauon acibérents) était prevell dc nem
en certaine OMM, dem mois dei tige ls badin
da Gee chercherait prochaieement A efteitar en
meuvernent ehçe les ebedieuze dans le Sut
liment. C'eut pourquoi eue gedare ne par
Vouloir ne Weser prenne au Paie d grener.
Pu p122, I:Union rappelle aux ...dee, la bon.
'erre entente qu'il Y 9u3 taire Id.Luierefee M
Compaguie. dans le but de faire eche.. la greva
Gennevilliers, qui entrehe le remadon des
teilleur. rralileete,
'
leUeion coneidere ete la rée.tte d'un grise
t der 10, caetera ne serait ennuie leee lu eulif
dition gulle soit gehoirale daua tette le cale
gaie d'oliviers.
Le bureau.
Un autre ordre du jOUr a été voté par 20
Syndicat et
la comraisman administrative de la
Bourse du Travel rient le
cria dut est expiré
depuis te 12 février, s'élevant mer, le Procédé
renié par Latiarrige Par. centra. k f."ra
tientement ete ergenimtiens emdicale véri.
biturant otteriares. o
Ce ordre du leur est la ré121,1,10 a2
fait par Lajarrige au conseil municipal aur le
loneteinenent ria f, espars! du 'irevail de Pat
- htous. V{3330,4 ita 3.33, ce toue impartiethé
et neva Vo c. re rra iterace au murera de
len CUiri eesdeee ted ce prodeiregs
te$ Ce..(ziletes (:'ALde.,$-rjacres
, Coupa le Conseil des Prud'hommes
Parie, m févriee
La direction de fa COMPagnit dee elebeeleet
vient de croudre la Outil Mineton d atigner disent
le conseil dee prud'hommee de te -bele,.
ramantes M. Pee (k.. ici,, art -foé
de prendre le sem., de reutituer leurs untior-
, . Mou et de régler la 491.1,i3e recette enta.*
par eue justifier leur attitude, le grévistes allèguent
q. le Poepagnit 5 coneerve, en fluetiraement
de ext.le osées., des .autionuemente
ridant ire Mû et po franc, .. -
La demande de la Compagnie de autos-fiaacm
era basée sur la rupture du courut de Potage
el elle ...me à ce.eait écu grévistes une
httlemnité variant cotre te francs a zoo francs.
. Tous les cbaufienu sont trois cent
eincruante envie. ... ont répondu à le citation
ara sant présentés hie devent le conueil des
pnedflennem de le Seine (section
des métaux
et industrie diverse,. 4.11, rake
leur corporel.,
Leu Zteviste c'étaient donné rendez.e. à
le leude du Trouait
j net de là gente sem/
>Tin vert midi el Cerne Pa ben ordre, sens un
er:
ho grands botdevards jusguit
I, parle Sem-Marna et, par le boulevard Se.
u3p,9,934 Juteec tribunat de
cOn2121er.S.
C0/11. 115 étaient tors en 'uniforme, leur p.-
nge éveillé ta euriosite des parisiens et /os
tnidipettes
cd ,eit rheure du

C AL E
5ur mes LIVSe' de Cetto
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E. 'eeC vougoenl mIracle.
110 10,110001l3, 1411 Iôg3te 1100101 ._io',011 taS
15111 oela010.
Cour d'Assises
1100100cC du ooedeed, 19 105,0,, (lOI
Pro douta de CI. (1, 103110, 00100ellIer ;
aOUr0, 909f. $eUSqieet cl (toesaF0* oenfulli
lv 'o miioiv1111'e -1h11', M, 500,001, ,ubatotal'
de tl000I011iOl' Ioules! I groldar, 31.
(Caumi 001.,
PAIS, USAGE
DE F1,55 5F cor*fpLf CITE
Loûdieltre e
o'olrar,' qo,ho une lieuro, Us
de MM. tee '0000 clan! absent, 0100 041490
légitime. Ce jiiI'd, 91. Dareou, est, par cuite,
sonda 064 b 200 llanOs d'amende,
L'alt0100er est ta
flOuse. loI 000(00* avant
sur te beo t oulolir on altruul. tout pursoontlrO.
II cIl vesi do dira ]U0 les 0009umno(,ons
poouon0100 par tu Cour, depuis I'ouserhore
do o b0o0i0, Ont 0011sIL en ville un 09e!
tel que beuu000p de esoe dissocIent' sur £00
Wsrti050
(l10be, oui sont joigpoo comme de.
pansent Iteqssllèramolt la mesure. 0e 008-
temps, ce 01500, tee muglotouta ne o'étMOflt
51*30109' d'aloi (ello nOnlOr,Lo et, cette edpu'ee-
Sien b 000toanou sembla eura014roser uoso Le'
00614 lOI u,' neo*go Osnlra tel mstuudriee,
alors que lue eelorte015taesta do
o loi dotraient
juger pstee005ttel0001 ut 15(11500, au
cuva, de celte s,o,aei,6, don Cocons p0000110130 u
leUrs 101t0010b',os.
Le icone Blesse Couqese, quI 0030! 613 om.
Flop01, pendant deux 51010, 8es qualIté do eu-
0*001000, 900 le sieur Cabrteo Caret, ziagurse
15 Teoloun,, 01 la cuueai550nee, en ddoee,
lern dornior do jouer Mp110uuu Vives, set-li
de prison lopuir (00014500 loura, tee (sou
euularado,, se to'uueuoeiot aune ecevolor060,
feroatue, le 20 décembre, trbo eoelrariéu de
51v pOUvoir Utile ou Calé, surtout le joui' du
rdvettloe, il, songèrent à se procurer quelqua
ergeol b '0101e d'nu faux e! de l'ooagr
de cc
300. Cvqsuo un 001oveelatot qu'il aoeit
ksuaillt 0000ml0100t, uvr.p 00v p000011, cheR
55v aime' Jeon-Saptinte Dlaooe, rvo d'tlmbu'-,
Use, b Toutounit, 06 quo av Leava,( 1(20(0
pus encore paye, d000do d'ettor ré-taper b
0010,-ri, t, montant de ta lanturu quo d000it
e'etesee d'après lai k 22 (roues euv000,
000e, ce l,ul, Il se rOndo! d'abord au toorrun
de poIlu d'Almaud-Iuraurd. où il otoblil du
*0 propOs nlaio elle 0e 00010,, ue peplonue
iOo',iuer,o de 22 11000e qu'Il 01003 di
Caret, polis il ta pedisvtu
pomme oecte 4ul'lOasas n'avait palot do
timbra, sur les o servat180u On eu dernier
Ovoosse oui mi' or voir lequel t aupova, 0'S
Cotre, le lino uta o Guerus Candt't '. Unu
km ev poe,ese,ou dus 29
cuises, Cng,ao eslbn'l
uoreild'a Volee, quo, 'nov ouroerunt
dc la 0000tduoaosuo, t'ut!noda,2 ev debut'o, ut
les 11mo orbe teuirpèreen,ruo,ubIe
 qualoomv jo,oeu de lb, Cool doesiubea, ta
5000mo paveur (rue, tuteusomeut dt.sol 13101e-
15150 (puisée, C'cqsua ceo*ouvofo' su prvseeière
0*00 1
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sosie, sa l'oas dv 4 lIant,, qu'ti 01 toi ans i'
du nom de,Caret. al qu'il prâsesda 5055110k
5e 43100 barbu,,
Fronçons, opesea Anis
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Coeq,ue u(oIu1i,.pa,gè,. heure, uo'ooeoonu
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li5, 301*0111 TenI*u*e, Olela, 0. *.10ed50l qui 55'
4e almuioc
5* 0e 0550153 Sua,,. tulvoiea oipiOul.
au 1200, 0 ,seeO, 41. 3,,.*00110i5 ao.er* le'
550 dc 51,suUbOt eae.vcll' 'eu' 41
do 1001*003 du 5.01v t, Oveuvuv1*, do l'aenvesv,
0v (30,00e, 006,. Lo' a050,u dv S,vl,O1,5,O5 Li,'
fluo eeloidô 0511,5,100. ,00dll :0 ouo'e*OlOS aiSo,'ao"
01 S,u'oe de sOaueIe*1, e, 1310. U *0,00 '15'
,esolueedvi100Iouas nudo roi,,,
Riyu'0041 4f Ieiusden silOs, lall*Lt 100115,0 Tes.
m 011150v ru0001lion,i ',105O&l dsoo: ra,,'
eu,., *01000e d'olp.....4*4 u's**uuô.oeUl '050101
pool ru busse dois au isuu,uUel. 00'
eieie,aatle-*aml050le1051l5l
Oa100050 VI 50411 10,0, 101 i_000 do 0*0 000000v,
SuplIllI, o,e,suu 5* s011, 035441 9m lx, ose, 00084
p00 0m ius*ne
l,e5 nv(Lt100 do 5, lieu, 0006' (n Clou 5101".
00en5 lb, 840*000,5, 05 llueneauO I, 3mai01 mol
0101,9 laIe, 0005 41,11005*11 et 0010 rohlsuso 0h55
504,051 sso,od,o.0 CO5,0530taea'os055
00000 hIle 51,00000 qoo 1m 't'e'aloeoulee 044040
e,41end,,00O polos Luepuon 05505 niobo caCaos
4, 5l ps'ue,loe *01501, ive, 110 101010041 ,a, e5's I
O (lO5evul Ob,lIrtue, 0,1 ôe 10500e cl tlepm'cl,
50000v do Toblnoee 5,10 bas 4'vo 1000,
Cul 0110 eevdu pu,''hs oeu,mul
eoosell de la
oilto rI do bers ". u,a,iobte o, te 00.00,0 1010,
000oda 00e ounluvo leu noala da, 000es ososll* isae,ss
nloeaeuieea oie. O'slootuIrllI*isll au ta ville,
don,, oiv*tle qu' 61,840 deme,uea se gloue30 sue'
eoele.s,anl le ,010ls0050151 osquE, loups lul*çal
p50 10 01100 onao*dveisu, c',ul.!'lcm
nonces ta'
,'ul,rdel,uud,aoioccl,,
Polio V0000Rl0l.
La f.mm
05urle Imm Ga1:t
LU LIVBUG' IIYSTEhOEIIG
09IIo uueue r000ria,laiuoa tc'elelOI'l, 30*01
,ioeollmeutI que ponuIbto, t'lo*otaila do lo
0,1,1,
dIupiu'a. CoOl. djuparil100 étal! au
POlO! lnnpunieot do code téoébreauu 5(14314,
II o o yttdelsusemes! roparo. E! colIs ,'dnaerooltOu
0,0 beuuoeup pIlle iLvllertaflUO 1500 4
d,aparuloov.
Calte quus!sun du Ivre! intéresse ,u plus
bout p0150 M. le juge ouutruo!aur, tOI, 1(100-
bm'd.
Bien uoio'. li S onlvndu MM, Puullvt, Folle,
51 Couzet au 111101 do t'seerta'rO et do la
d"oeuoumto du 000101, Cou Irais uueoltiaioeu
le la jentio'c ont ahiemé -. 0!
oui' telesUl
ossue sec mouoqooe pUe de nu!e1or '-. ose l'on'
000tv'eo 00010 414 cml d'une laeop !i'bn seroeoiue,
e! irrdproobeble et que, donc 0m
41210e! lu Ivre! nu poaseit es tuuuoae duos
Dune, Si l'en us oeelt ces trois témoins, et
te livret l'étai! 95e 115105 l'aror,e,re tors de
tu déruuveete du coince, sI II onuulta 05 l'a
110usd dans t'armo,,'e, cuida opération u'os(
05 d000 euvs deo,to b la 0020e dx 5o10t-Es'
prIt. Quelqu se I p b mie.
Quel eSt on qoetoo'un? L'ivléresoj, nase
6001e le eoupubte, torve, 1010010cr la peceano.
no qui ,o 900 0! Qui b pu malice lv livret
duels t'uesooil'e i Tulle ml lu aloi-do i,otto
éeiive qu'est 0v arioso do t'uveeuo Lalayetel,
L istetruetiolla SalI mu pua' 400db, tint
ouslu,tL 0(3 saolvel', le eoupsblo, Il l'en leu,
tient uuu ldmaugsagoo d'uujvupd'busi, os *eea
pci'du. Sachons elfm,0000,
05401e, 00 e10ei, 1 queullvos do'o oiollOo.
Puar ployasse jusqu'a l'affile0
il laul ces
free ds,00 la cl*aunl,ee 1 00, tee peetev 4100001
mvétues duo aroilde, iS,otre neeblêmc b r'.
(eudea 01 (30e lI iuoe va o'efforor,' d'ôgtsl,'
ail', itou» en to"eeo 000vctlro le rdvultal.
nos
AU CAHTOLE
DaQs lit Silti900 etl'OloIbFC
Que'Tripatouilk'.t.o4
La uouoiia u deo*s gaoe!tnn
la gannitu CIII.
o,olte, b, Uaeotte ullaloale,
La prp,00érr, bus ta 0000ns10000, btapoen.
al du puesage. "apôtre Plurev 0f bout,., al
lqiauunu.le paur lu
noonsenl. Ello ml loop
neoslude ta uldoe la polioo daeo eue eaote,r.
'Ccc o! dans soc insteunejos l,'dtairs do l'ue
vOuuv o.,IlJpetIOl,
La 0000edo 'o éuluuo,nç sen siège rue
(iu9ar Tael, le 'o Ilaliide 'o, Le eolue000uar
oboOlonpaO 0100e M, 5, 011,11. 10, 0*11 514e 10'
pide daoo leu in005!e,'a(tioee ni doua la
pubtooutioo
des t0080lOnfiltOflIOlS 1130 podrluo_,s&,
bIcot 001 la
teaulelol, 4 l'arro°ede du tonosu
1,L*us
dosa
t Lob 910911E
IL Lsy9us 005 *55130 doeeis 0000150v toues, do
rune. lb '01 3t' u O aoiaôuuum ô'iotlueass*m
s
*oeo,la°°
la d3pie,'ulaal do l'Leolu Vllo4saiIa ouI 55
soulse 039u1011 45,0 lv llelirslous o est t'ésa to'nvu
qumlieu de iuueu, La s000nlls byte us voeu osa
oresoolen, oemu, vu lsovt000i. ôael lu
leise,00.00. Iii,
oae dôit' 00* au, In plelcu, 3, la
Cnl,5u'!ouuuoei000a do t'Obusseoouiun Le 15,050,
551 Oôha'lissssoot obuoui silo peupouitiun ol'aeliut
550e ee010tus eu 055004 assieieot dveu 1*
o,o'
obetou udousu,
Es eée000 u,lionueu, an soie, lu h5sio, a,omv,
ntq000e 00 Couaoi mooiuiouot tea axe-w e*4eaOiau,
du *esu dluomrs ddmambs,,
tuaeo, lia Cluinite aefiolreaie de la ro,oia111
001,0 eppmosd que 1m 000fllleUu do t'adm,.
l'ntratsoei mOolieuVaee bout
t ,vl000luoe do
ltuotqueu 9001 propl'*d(aireu k do qveluuou
cieleeprrururu eadperon,uene le Ueeeee, bien
0050 ne le Silos pac, Oct ucluelonnue au h°'
do ifuotituno InnIdrele p504lO*itlaO'r, lu Issu.
tub du ddptueoiponl de '1100m veter,elu,rr
0'drlrOarOu grounoen, ut oenorreole, di»au
ou
roIs lr.01Sbee, do In OileeIeipu101,'
dol 's
l'id11 In Cunscll uluutelpsf. étobond 051 POU.
jat ddbnitjS,
00 prejeL no, l'a ru*50500sso,qse b uo Joue'
01 01011e O0rdpuree ton rossa, Ile,'u do In ma.
101116 à l'uèvceeei,, de s puo'ga,
O e,' ,00r eut 1105 b tu mollIe '015mo 'e
prdoivail 14 u uoluidn i. (lino lé000e 1110,
oi0008 010 brun! eseenqn,4S 1m I'OO,nR'StOl'n
leurlurlpoqu
d (o 15*ejOriIl, Ncs amis Bleu,.
et Settcor ne toscan pas OeSeoqodu,
laps olheqnll,l ut nulle Offr,irs de preuver
1110' 00101 01011110e O00ylOuea eut lien ev
lents, lue devn meuntares du I,s 10,5,044 mo
i-la 51,1 lIa tulavl bOus OISOn 105010,
Ponnvqoe, o! de lord dreot, 1.1, le Mue'e ut-
Il vntuuluiruv.sy( iloo( dose, OOlilC4001l.
to00e de
o VIlle 'l'uIc,' edonlen al dnvsir,ot
ne dteeetee due 0100eIiune tI'l,
epaso, et 00I
uluitevl 0e cueIllI r'nlalot pèndral u! rmbale,
tntdrele 00111 allern e
Pceeoove ri do 0011 dm11 id
lu Olaies noue,,
t toile rOotulm1n o'doôbslo
51 eestuieeo 111,1-
,eseetune è dbun eeIIlsitloro eev'oildpauit t
OiolOo
1015r,Oi011 001 000lubhso!n,
800*, 110101
oouroeeii leu voulu é!uulet 11*00
l''llepec rerlo,nes ciatpropeetda qui 0e n,'
roue,! remm0053 Ou que l'on cou! enmeinOtre
5! d'oo,a malor1té d'ic,'up40lue 0e 10151
191cc su 0311101110e, 1501510 do qnclqua 0a3iu
lusutte
L !1D OCULI5OTe
tOrts,, le (ieOouol *0011405200*
mono codd
30*5 115611e, ive d,5L000uec o mal,, saal9re le,
aurlonro 15e plUO I"u1oe110, «o no eha000°°
Pdo' quntq,I'se solo le Faire ari'uO.
000*e ii os pool blOC ovo hIer 0050,
00t
15,0 lm oui 00100v di, dm5120,1 1X1 aIl
0011,0
(0001er 05- alun Idusoino' deol t'benoolr 105-
90,0,1010e dolai' dd03 t'vpéi'aO u drl,eatO et
roselluée par fluo lolo loalen pal' leu
P'eIoo,s aticn'te,'
0ev! I'P"r1010 hum, louent,
50e u t oc rupedsooiaeie I adi, ,,U9 lie peta0OI
pav.
l00ne 00011110 ie lelaoolgvi100 de leu,
Us i'aosjoiop ridicule
»s0trdtre Qobre Flic
Il lu 0*901 pue dc Il. t'euna. l0,.ssro'a 01010
loi 015110,. oeloL'reu,
t'eoleoiUl 550 0555110 OrS
,llnlaiBsee ta saiOsrnIé dcl eluo*c de (1 30110'
li loi li s'sm' do OO(5I. 0.1db 4050 l'oldOO
du 10121 aulocOt I
00051110 0152 ,ittOOi
t o,000*a. b
19 Ieuise I51X.
18050e' 51 O'oIoIelal'
Ole000louoe ta lasavieSsoen eovtent,
d'al 1 louovrnsr de noue polar sIC vestale boul
tmu,050010IOre b M. jae-euas000, ,Ospuoloer ô.
lu
000lieo luue,cip000. Ion 1él,sdtaloenu de radnllvlsocutiun
soeur ta bern-té loua 101lurlle ils lait
en41ou(rc oU pOSsorih,(i0010 de 'sertit 00 20 00-
tabon 1111X1, euvu,auu* lu ooueutsè d',Seraalud.
010009 11 pose 1m 0150e Ol I uedvit( qu'd a dé'
plene h ceteo omaoiuo.
L udai001e(relleso esunbnupuln u ltd busu'uvsa
de oa0003ler qune le p01050001 r.h*aegd du ordle
sfdmien S'est aoqulle( 40e, faynlice aube Iluua'
00010 dO 50051001 5* s-00e ne doipaoCr WI seul lIno
busC mulgeé lev dlfDeeIt(s 'ju,! u mueuostreo*,
Un calme ri de lu p000ta'reo,osednlaeOnb docdrn
des ao,,lilasneu do li ,aroe publlqve.
Je Suai polo éguleusmel, noonoislue le euro'
misuulee uoeflr,ol, do 0001040 hIe,, tr000meftm
500 aoiesrts OUI 000 00000vru o .1000500 ('rural.
800 'te t'areédd OUa'viaé, leu !dloaitultons do
t'adalIeOSlv (1050 *ounieiabte
boue le (al ,'O fa
onmurequ'lIo ont eppuoles duusu celto opouulnn
5051,01110 55015e;, meobl000 1' caoeodoeuieo
000eeel, l'uavUeoa000 dc Isa eoo,ulddeailulu
os-
IU13atu;
tdpui I Po°'t
LTolIlItd.
,Sdl000i,
t°Ohal 10100 00110010,0 1
'leutonoao. le ter ltaoiee 0095,
ll'on,000'lruir.
540101 1 I(1010VdStAlJ,
Oto,i,t'ioe Jleeosarco col 11111
de psioc" Ir
proo'oll C te 0000ut0010tea do psj1onuel par la
Velu du oappuci.
go'oe000rOuI000,l'rri'rlluéi
oli000l 1,101113,.
dbolj M Lie',
odecioc do a 000'IalaatoollO il
,dàe dru eln"aoeui. 1! col dve de In le11'
eemo 4es 30oetu
M, Luanol,u
181*5 psucquol dma, 5301001000, ol de 50mo
deah 9G(Utau.vuo*e 510 bOl010? u, 00e oedl,
lOi loue. nu n'Oeun grochuus du *ueu allIst
Puvequol 4100e et el, sonl de ouel ps000ele
00000ioar Liorme 11,10(84-il le, an(0,vedonly 05
10f, Laansns, 'unIs 'l'ieten'eotian te 0e 41n100C
,lei, doson ehoues l'ueo 0*1 btl'il 5h, Liuen'i,s
no pas'lupc pua l'udlodelliau nos M. Liutre
,ilnnouvr p000 la poOso asuaiSipalo .- ce 00
e'evl 11es buoal,
Ou 1,10,, 91' Lauceno o5I'eol'obIne eau l'8ét0
Usel M. Liera, 051 ci hor, lleatn 00 eue, puatqaeo
*e 0011.40
Quoi mil eu 60(5, l'4t'dro 4e 1010 r,l,deeuee
051 adnmeebls 40 0,1000 eollunrt et otilleale, 11
ddi,oieot tr011 d'eapoiO i011irai, 11 045011e l'oms.
chie oIu,10000ulo,
totos te dédions b CoolOrintloo,,,
ou pl000I,
une , dédioos.lo 000 reveodeu*i_,
110
En Vilc
Poqr les Sinistréti d°li1ie
La Soimên de Gala
1.0 -'le, h 0 1000es nI davlli, mu., tien au
chlore du Cul ilote, te aetluer, eegaOliOO' raI le
CeInitd'l'avieaoabo yod' ctttacro 100005e des
ldtoo doonden ou bdndlluo de, slmu(r'én tlallonu.
La Soeléld den L'moerrlu do Culb,oe,aOollo
dtriedo pan 5f. Croed-épiuetlt, Colo d0050iol do'
ruuleur, 40,000-a oie deunièm o'dttieu la
o l'aues u, du Lieto 1100. b lolo 4e., deeott,l
eoc000io, eblinI 00 ni oeeud sno01,
31mo Cloirioo.h'qoilao, M, Soist-Clnno'tce, M,
liuigoisee, tsraI000eao, au Cocironutoies, elle'
111011,10, 0000 b ram, loop leaulo salaue aottelo'
0010 et 10100 i0000notOltuble lutent,
90M, 20000,, dl Ctotdo'Jrao areool, 0000010
luajoor', due ehontevon OnInIip'nee 01 0101v'
uieeolooa, aneort b emno do miljler la 12010
b9'flOOlOtOlbO 4000 115
jeoleaetot,
Cens an n'pal usoqoia'semeflt cl
'I 'alolse OeIlbInool
o*ltelhqoo, .1- lialoey, dis belOolso P1401'
éisusuo, o! Ou 9101000 a. 140, 000, aol .04oOi'
Oouou ullnoloi pour doovee ou pmnernnouo 4
10 soreno 010 001110e boeoolOsue»ln 01 la 1010101
10e 4e 1.1110 51001ère quo 10010 te, 0110010(001
voodeuflt In 000ao,00e 40 tlloa 0e publboabluot
44140,
ConféluencO
'QuOI oc soir namedt, 2h bleoor cuepaot, b
beoreo, qe'aooa lino, (oie 040'ubel',O, te uoo
do 1» oeliol u èunol,u ,
Ou earo,',ir 0000lrsr050
005000000 por lu tao'lreen 10oosllde rrunboniuoa,
100010. 01915» laqoollo li ouinoo'uds bonuuooen
te b
100103 flllueclalte olanue lcO,l,'e-l:,o ho
10000n00000l r(v,tlllolouusllr 00
toISon
Un supp*lt posus.so' rut Id! 00v ell'Olblms du
FouIt, sied qu'oos 005uaoeudet eaulubiulmo elbalabeuloannea
050*01,
Histoire Populaire
e 'îueleeeu
Pmera,uuioe do cour, publIe bo.nneoipoi
le,
01000101 quoi oo*u 11051 asudbmed'ib,o'. usiuodL 20 le
651er, 11 0 haumoa r! 40051e du ,'ûIe, flic f.*Oa,
CIII OiOilil '(01101. - lilouelm000yse rt
Ol000ela000; Teodavlale' et Laseos,, Ler'v:oue
001oOs: 1_onlu te p.hoeeolus 4e dhqo*it'a,ne_'.
040010, sI oélouoe 1 000lnuoo -
d,tuultld Lpbéoadrode, -, Le 211 ls-ed,oc 4000 o
900 lame,
l,entuoee P*lolao. - ,, lion Ca*ruon ,,
pse Ou
000 1001011,0,1,
l°ttr de loarif des Fjodiaots
bol mSsolob des Januboos
Pesie oiutil,,bdeu sue *oeo,I',rusr, 10111001451
15151 voue saW peeeesseu ers lOura-Ui, 00 cl 01
du l'al des JU000dvo *1db oyons l'hauueun
d'iufc'tuu le plolilse 011' Le,, puis eu e'dia',ur lob
5004e, pl*.éd, Cli., 0000 Osuloles,u,
00 pI. 500 d'dlilo',r bail oli5000100obo,ub à
l'on*eéa, ,lu raletm secu,ll délurOns, ir (lOeS
be,oem 2 4 ho'aeuu. d001 la loumèl do '4500411,
*0 0114e 40 euomle. 241 pluco li's CuIolIdm, '3150
a,010leelOase du cr10
4vIs iiz .èsr4iol3i ti ati TorrltprittL'U
Lac e,ûrmntstuu e, oa000tae',lsss lu l'ieliao*'
db
aglsOI"OOnluoOl s,,o atomes 0010. 111001, 00400 al
0505 01 nubaeli, o ai, blo,rn,u do ruoraleln005l de
Oaoqllisosdoeu col,, h,el*3s *4
prlaouaul * lu
Slouleie de luae uu,u,u,abe 55wou 0e OuuS 00000
bsll,o,dool ou
mea quaiS loue 15*0 40000104 l'a'
l.n eSblrebl000 SI
l,lreOvisoasoo e 5plu*0eO0
Pal à 510 fl0000c 0*4015 410 aneolteol rebic
oslo u05*oedr,eI 50 pe$uunnl000sf 1011555,05
eusleol la Inne eueiuiue' une0.syc du 1008
L'*O'Oi db, eS,bOusulOeb, "01' lIene eoneu*l
Inse ou fl,auu.- uuueeu(e lb 40,055*10 0°
500,
lssm uue ,eoèeue eoca.ieuSa, tous tus beeoeu0028
t'evsuflbooevl (r memo ioum 01 duo vodmea hotI'
l'un qu'Os 010001 6111 ioboeu*es pae la 0015*0 515
pUO 1051 sOl,, 00,100.
Iboerplio,b Col 1,1*0 pelle 10e g000dra voIlou ev
la e0000eeb,eo, 0l'4s0 utolvb000 puuo plusi000s
teaou, Arlo cli on. daIms osa Iblo,e005su lolo
l'loneleaea l00100au'eo,
Laa oêsoreietns
ot iosolt000un du I lqfunlocie
oplioclelulol aan elanuev 001, 1020. 10101, (0101,
11110, 00011, 1101, 1101, 1103, 111011 cl tOPI,,'ult'o.
0(1ev atl buaeoo de 000mul000011l du l'eulaoao,
culot 119414e b ao pe000r,ber L lu 5001000 do '1011-
010010 0Il0 de teue 1100,1! (edioidoo,l du
22 au 17 l0014er 10010, dl I 000ces do matIe
'il 'eue,'. tu noC,, salle aeaaxo do te 50111, dl,
cool, '11 '0001111001, 111110e par r 00004 ooratiee
dc le salle sIre 1110 lIeu. 110110 7' 010011e, 11 no
çnrdalmc) 10,0111100 d'un dorumunl imporluat.
eolerl'i'Ioh III loreitau0000 o'sppe.ilelout
n'o beli, 01,15,01 se peosaiL',no*epa1umo,1io
00,0,0 de T,bodoçoau as OOenie 2es lI 01*0 tu?,,
sucs loulou, mouIlla do 15*41
livrol ibobtobituol,
(in Concours
1.10 raloeau,c 10015 IlilulIple - de eeelifro,looaoudlelol
des poid' et 000500es 01,0,0 elluue't 1* Itoudi
1 0011150e lI 'i
lac duooendmo ,l'aduuunnioo soi oauoosls, 'lu-
100,0 lue tep,s'i tirsobeti aO oosusoup.ueobdoa 00*
pelrin s'ciglieo don ,aos,lidut', 10110501 1x0 mdi'
sglbO,*s
ta Iivaooruomm. deecalo( lino adlesueeo
02 ml*oiulno da ai,urssfe,e 01 1, l'o',nol000bole dl'
reelio,s 9e la osyudnu rneevli'oo,li al de' 1,00.
polo,, mao do Oeenclle vu,'lormn colt. ovm le
ter nupto*uboo 0520 301 10100 104,5,00 ileiosvdos
pul'our col upoès culte 11,010 510 poua'ruoret dIco
Us osOIel,lalee do p1e15n'ebuue du uao000on
5501 eSsai e ou 000utlO li 1001 n100qodul lai en
fore ta duulasnds.
lu, teallos500ti dey nrrlleetosrv de, poila 01
r,sersseu moi 0x10 aiesi qu'd vuit
I
nee010utouO, eo, eCer, 1,011 b 1,028 10,
nodllsicalouri di, ptonoèn, 005000. 0,11011 li,
Voo,ttrs,Oeoees de 9,50105.0 'lusse, 5,5100 11.
Odrillouteoro do tmInteSOu ola,ao, 9.228 (e.
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qu'il o ,,rloetr oetlr 1001e cl qu'il poet in
ni ea loI po, ccl d'uelooel 110 100,000
b uns ttuoolohioo,audi-en,
lo,bevol toit droil b 00 0000110 01 luI.
laie, col f000300 à voeporcdt,
4005e
FAITS DIVERS
Le Carnet des Vojé
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lu 110,10 ) ouune,i sa dnnlcito
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ds Lombss. b'
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nlrdi,n0001l. Iolaliuul or nol dndeuooboai'c1
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Oolootao, tj000eodiur, boutcueod d'oblldlcoio,
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- 00,1, 00 bOltn Col eusre000 OlOiOjOi,le aeenod'i,,mmnoi,
oel000e uu roI 11 no 000enloeblalc
000IoOleolta001rre dl, en 11. 10, ueoleio 00 pet'
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boche uéuds'oio leoolouvvo.
O. uA tuittol, bOl hitr,0000 , hompiaonuo.
0. 8 a51,Skil0000eoeu sbuoplon,idO, 5e5(e,
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do la P'bau,odidre, O'oltsuqar du OiIsal,ou l'Ouuo2oS,
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vo moloues, ,*eeo'e,elcuu' ddnoe, oo,100u eu ilu-
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