& TàT U JUR - Bibliothèque de Toulouse

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- - 

texte 

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____ 

- - 

- 

en 

S 1880. 

- 

environ 

S 

itl. 

- 

S tle 

- 

Le 

effe(,- 

- 

cYRANO 

. 

4 

Les ccmmerçts déiriobilisés ont kurs 

Lïenfles. Elles e présentent sous onne 

de la loi du 27 décernbe 1920 (J. O. du 

28 décembre, 2 pages, 2L588 et suivan 

tesL Cette loi met fin au moratoTiun2. Elle 

a été votée sans grande discussion. pir 

. ln dc ces rnati bnnieux de fin décetra 

bre, où la Chanbre s'est évertuée t 1iqui 

der sans bruit toutes affaires urgentes. 

II fallait. cri eet. finir une fojs poui 

toutes avec le rnoratcriuni, car Fart. 4 de 

la loi du 23 octobre 19i9, relative t k 

. cessation cc hostilités ne permettait plus 

Voilà donc le principe posé. Il est clair, 

il ne prête à aucune confusion. Celui qui 

au cours de sa mobilisaticn. aura fermé 

sa boutique ou son magasin, ne devra pas 

payer ies intér&s du jour de l'échéance 

au 23 octobre 19l9. Mais il sera redevable 

des intérêts dLI 24 octobre 1919 au jeur 

où interviendra ic règlement sur le-prin- 

de proreger les échance par voie de rk cipal. 

cict au cklà du 3 décembre 1920; et hâtivement 

pris nar le tenips. le Parlement continuer l'exploitation de son fonds par 

Celui, au ntraire. qui aurr' pu faire 

a sanctonn par s9fl vote les disDositioïs sa femme, scs eïfants eu une tierce personne, 

devra les intérêts durant sa mobi- 

- ITesquu1es que nous exposons ci-dessous 

ns leurs grandrs liznes 

lisMion. 

: La loi coprend dux sections princj- L'art. 12 apporte, touteÇoi. une iégre 

' 

I4t Annc. No 4.188 

MIlISTBATÎON & 

OACTIO 

3o et 38 Rue Hoquektin 

TOULOUSE 

p u B L I'C I T É 

L1:m.s smurcus BmreadiJcut* -_ù--- 

(r J 

- 

Le NUflé*O : I 5 Cetin 

!tttF}c;;E 0.43 

QUOTI D N $OCA LISTE RG ON A L 

043 

-------.---. 

S 

Un grand paquo vean c perir cor,s des intérêt5 &chus.. » "i ' 

c beîs sur _ - 

!' 't, 1'l' 

I 

tN;llllOS d8 CO1IIIII rcalls t1!llollhiI8e8 « 

L88 

- n ----------------- - - ---- - 

' - 

pales. La première s'applique au rège- atténuation à la règle ci-clerrus 

ment du principal: la seconde vise le , . 

I 

règlernet des iitét'&s. ArL. i. es aebiteurs e pouvnt 

( bcnehcier de la caure d cxempticn 

10 REGLEME[VT DU PRINCIPAL 

(( Le crancie ou le porteur d'une va- 

' (( leur négocibte devra dans 1es 3 riois 

(C qui suiventLadate à laquelle piend lin 

. . . (( -la clenière . prorogation, c'est-à-dir 

« swant le 31 nws prochain, nctifier 

__( dhiteur, pa lettre recommandée, avec 

-. (( accus6 dc réception, qu'il est en poses- 

(( SiOl de l'effet. Cette foErnalié n'aura 

(' pa b'soin 4tt'e remplie si le tifé 

.(( déjà &é avi depuis larruistice. 

'(C (Art. 2.) 

- . 

(( Dans le mois qui suivra l'envoi de la 

( jettre recommandée, le débiteur fera 

.(( connaftre au porteur de la valeur négo- 

(c ciable ou au créancier, pci' lettre re 

r; 

comn',andte, avec accus& de réception, 

«_ ;te échéances auxquelles il s'engage à 

; : i. payer par fractions les s&nsmes dont 

" il est redevabte. Cet &heionnement ne 

devra pas dépasser 5 années. Un dixi 

Ic mc nu moins de la cktte principale de- 

H vra &re p.yé annuellement pendent Irs 

(( qate piemires anncs. 

(( Le d(bitu sevra faire connaître en 

(( mrie temps sil est disposé à payer 1e3 

:" intérêts tek qu'ils résultent de la le . 

« et dans la ngative, préciser jes moti 

(( détaillés de son refus et présenter st 

(( proporitions. 

« Si le débiteur ne remplit pa ks for- 

(C malités ci-dessus spécifiées dans le dlai 

(( fixt, il sera rcdevable du principal et 

( 

dCS intérêLs, payabes annudemen 

( par cinquièmes. (Art. 3.) 

u A partir du 31 mars prochain, la det- 

(( te portera jntéït i taux d'esc3mpte 

« dc la Banque de Fiance, majoré de 

(C 

l %. (Art. 6.) 

(( D8 la prOiniigation de la loi, le 

« créancier ou le porteur est tenu, s le 

( débiteur lui en fait l'offre par lettre 

(, recommandée, avec accusé de récep- 

1 

tion, cVnccepter le principal de l'effet. 

4 ou de la cr4sce . A dhut de és,&rve 

I,,porteur et le Créancier seront suppo- 

. « ssavor at n encon oes tntcrets. 

(( (Art. 8. 

«Pendant la période dc eoq années. 

_(. accordées -par -la lo aux debteurs pour 

(( se libérer, ceux-ci ne pourront etre de- 

« clarés en faillite, à raison des sommes 

(( impayées par l'application des dérrets 

_(( muatoires. Dans tous les cas, es d'bit( 

tCUï ruront la faculté de ïéclarrer le 

(( bénéfice du règkment - transactormel 

! (loi du 2 juillet 9!9, ait. 9.i 

2' REGLEME(VT DES fNTErET 

u Art. 10. Le montant en sera cal- 

'( culé. ur la période du ler oCit 19!4 

(( au 23 octobre 1919, au taux mxnmm 

(( de 5 % L'an, à "exclusion de tcutc ca- 

( 

pitalisation, redevance. comusicr ou 

(( 

courtage. Si un taux inférieur à 5 % a 

(( &é convenu, usera appli.Posttt( 

rieurement au 23 octor 9l9, les dis. 

(( positions pr;'ues à l'èrt. q du drcret du 

29 août 1914, recevront an.pice tion. » 

Il semLle donc que l'intérêt doit 

te 

alculé s1iva-nt la formule du ct;! de 

1 intérêt simple. Mais il semLk églemer.t 

que le- calcul cn'ïendra-derr piodes: 

l ° De la date de ' héanc au 23- ocrebre 

1919, à raison de -5 %; 2 Du 24 oc 

tobre 1919 u jour cu intt,encli le e- 

'ernent sur le pancipal, suivaT:t ci5 

pOsitions du décret du 29 août l94. 

« Art. I I . Les îiitért muatoes dU3 

_4 pour pour tt'mtes ou fournjtureg de 

e itiarchanclises entre coirïr.eç at ne 

pourront etre re9lamées a té o 

(( débiteurs beneficiant de a j)Ï&CfltC Ici 

; pour la période cw s est&ouéc entr. 

(C ladated'échMjcc etie 29oe'olsçe 1919 

' à moins que i'cn n'étahlisge qu crec 

,(Ç tement, ou inrlirecteanent au CC'Ul'S de 

çtt pério1e, ils ot continué l'exerci- 

AHanim -. - L'art. 15 prévoit qué « les constatations clémob- ilisés. 

3 --- - 

-- ---- 

( 

(t ce de leur profession, se sont livrés à 

» un aUtre commerce, une autre indust- 

( tic ou -autre prof'ession quelconque r& 

(( munérée. » 

( prévue à l'article prcdent et ceux 

(( qui cont redevables d'intéts conven- 

(( tionnels pour tous cnrntes courants et 

« a\'ancesprévuer à l'eut. 3 du décr:t du 

( 29 aoit 19(4, pourront Qbtenir remise 

'(r de toul ou-partiC dec intér&s dus, s'ils 

(( établissent que du fait de leur mobili- 

" sation -ou par suite des circonstances 

(' dues à- l'invasion ou à la guetTe, ils 

_(' ne pourront n'acquitter de tout ou par- 

. o- tie des intér&tc échus du 1er août 1914 

au 23 octobre 1919, qu'en abaissant la 

« la valeur de leurs capital actuel au- 

(( dessous de la valeur de leur capital 

" d'avant-guer. » 

Donc, le débiteur qui ne rentre pas 

dans k cas d'exemption prévu par I art. 

I I doit faire la preuve, s'il ne veut pas 

payer - les intérêts moratoires, que ce 

paiement abaisse la valeur de son capi- 

Lcs dux bal-U-5 sJs du Con;r d. Tours 

drcsscn cu pays ocidisc dcs manifetc. 

Cc!uZ dc 1'onr per!i cisc cxchiriccrncif 

$circ apparUc ! co,ti,ui» dc s poUique. Il 

rcprcnd, &ans if rk;i changcr, ks 5ornuies dc 

I'Unitd socialisie. f! rcppdllc ics plus rigdcs ; 

n cn z?ilrodiut pas de ncnivc1i.', li r.por.d ais 

ar aVcncc ( CCUX q'J cs3cycrzicfl de fairc croïr 

ouc, ds comtisiea, c jcri srciclie 

va perchcr à droUc. Tours. lcs pius moI&.; 

parmi nos am. V;cr,c cf Pou! Bonconr-, cnlrc 

.it'trcs. o'if Çûit cef -.gord 1c d&larafiorts fc 

plus jorrneUcs : jl, nIcndcnt ne pas s.pc.rer leur 

acion dc Cc)iC du parti. 

Sur ic Rto!ui.v' ru.cc, le m.mijcstc scciUsfc 

-ct d'une rernrrquat4c ndUch. fl répond une fois 

de plus L l'argunsrt qui 'i 

lc edcrs.ii,cs dc l'allison la 11!' 

cole cccflrne le-3 eprctn:s Oc l -volu#ior. ru&-e. 

Ccquc les aoro1iirs on! repou Totrs, c'es! 

k - direclion mocoviar- lis n'onL j,a, pour cela. 

c(mdai la flvcluLion Tusse. J)eain, coiu'ne 

!er, ils dernrndcron: qu'on la iai&e se d.vdop. 

per iibrmcn. jorcc que ics ooirc de Russis 

c sont pas ncs affaires, - 

Le meni5cic comn!unBlc es tir beau norceeu 

dc litirciurc rccduicnreirc, )4as c'ect pr.cismeril 

parce que la !ihretere g lieu d'ectiorz 

p?aiiquc qu'i! rc-us inspire peu de con Çance. 

L' soctahsrnc re s'impose jas rar surprise: 

l'exemple russe ic prouVe. Ce n'eL pas une docé,ne 

de pure.des/ruciion, maLs l,icn une cnlrc. 

( -.:50 ordonr.e et p&knic d'orgaisatic:i consiruclk)c. 

Le mtzr.i5eslc comrnnoisfe, dar,s une 

f)ltra,e Oà se - rcconoaît l'exp&icace mi!iairc du 

l,cutc.iant VoillanfCouLuricr, invitc ses adhrei3 

priparer le-s parallèles dc dpart » de la R- 

voIu!on sociale Les sociaflsfcs, en coaei1iar.t 

oux ravailleu,c dc .s'orger.iscr dans le parti, dons 

les syndcais e' dans le, cooprofivcs. prcporcnt 

iUS szremcn les IranforrnaLions ncessai.'e.s que 

par des rr.ouccments rrflchis ci ooenturrs. 

En&c les deux rnhodcs, le brû!aria jraoçois 

choisira. Mois gare eux cxpricncs f E!!es pour- 

»Cfli coiiier cher. 

Adhésions Fancie Par2i 

Le Pepulai;c, orecne du parti sociaiste (S. F: 

1- 0.) eçoi dc touo la Francc ur. cnonne coursic? 

Lu r.pporient adhésions orrneUes ou 

['-rU 50c01131C C IC ÇeiicianZ de son aL!itudc. 

n nous ct impossible de tout pub1ir. - 

'- o1c deux - telegrammes 'que notre camarade 

Paut Faute vient de recevcir 

- - 

Avcc vous dc o:zic me 5ai ocidise. Scnii. 

mnznts respeciucux c' Longuc. i1tcnd d'urgemcc 

dreiv8 fi,uica Teurs. .-.. sss, conci1ier 

gnéra1 de IaCurrze. » - - 

« Adresse odhdsion cf signe manifeslc. - 

C-uussy, dput.i de -Seine-etMane 

D'autre r,aiL k eityCn !-tari Sellier. comsle' 

eral de la Seae a spcntan&uiont apportri - 

ea adhésion, 

Ypic; ieitre dsru I eourer de ce maa ; 

; 

w p .,' 

/ ,'- AEONNEMENTS 

« relatives au règlement des intérêts mo- 

(( rnifls nar unE' eomriission arbitrale ' 

mca G l* ' 

Fra7w et Cooie. i (r. 24 fr. 45 (e. 

Elranger. i4 fr. 27 (r. 54 ( 

U ratoires où ccnvcntionrds seront cia- (Voir I'arlzcle tic tête) 

r 

( cOfliperécr de . : - 

U 

appel des décisions de la commission 

(( arbitrnle devant une commission arbi- 

(( traie d'appel, fonctionnant au siège de 

(( chaque' Cciir d'appel. u - 

' 

(' 

T(l1e.5- cnt les lignes principales de la 

loi du 27 déctmbre 1920. mettant fin au 

moratorium ds valeurs commerciales. 

Ces dispositions ne manqu-ront pas de 

rurprendï-e péniblement les commerçants 

démobilisés. Elle5 ne sont ni généreusns - 

- 

ni habiles. 

EU-es, sauvegarde-nt surtout les intérêtS 

des porteurs (en i'occurence les grands 

&àbiissaments 1e crédit- et là Banque de 

t I .ce) On iecenmut bien la I ure de 

l\-l. - François Marsal, - ministre des banqtcr, 

plutt que Înimistre des .aances, 

et du Ilob natiônal, gardien vigilant des 

intéréts des nouveaux iéhes et-do -la 

- 

puissante oligarchie financière. 

Eal1jt-iI encore. ajouter au ,mécntenfelflent 

pmvcqué par les dernières mesures 

fiscales? S c'est i k but que poursuivent 

nos gouveinants. ils réussissent 

adniïablement. Mais qui sème l vent, 

risqUe dc récolter in tempête. 

E. Il. 

çays. 

J 

,,' - 

V1ars!i1e, 3-l22O. 

Mais c' $t la cnar qu 

li1 

ecoivre le feu sans 

t Carncr&lcs. - 

f'reinclre, 

5est pas un parL 

- d ïc-vani ia sciiort v&tu pc»' ics r1s»n dc ' . - 

ga P-bacon- . - 

t T .-SI.,-- O . (n .. 

f,c crur.e cs consomffle. que Les com-srcocs 

tongue, Faute. etc.. cc. conicni. nous sommes 

nombreux derrière eux. 

Les 1nvaides » aux nvaIides 

intrcep.té par la e Wii-eless Press. u ci 

cux M'-ifes'es 

- 

Peur que Vive le s Populaire s. recevez me 

noui-ant que. Krassine lait rappc1u à i\lu-- 

On réorganise l'institution na-tioule 

modctic obole dc tO 5rcncs. 

es ln'.'a- 

-- jo,eh CSYOL, 

cuti. Ce radiot(1égratnine -ailes6 ii -la--tI 

i;dr- 

- 

sC;r&»rc acljo!ot de la F'dir.ion soia1iste S. 

gi(tioit russe clou-itiait simplement une rpo n- 

Dtsormais, elle hospitalisera les iivalides, anc'cr:s 

et nouvem'ux, et elle hébergera les mutilés a (fiiei{iie ternfrs par Krassine tI'êire autu- 

1. . I. O.- des Buches-cjuRh6». 

- se inalIiutet'pr(ri-ée li une (lenlande I alto. il y. 

qui tiendront t Paris pour recevoir des appareils i-is6 ù se rer1re li I\-l-seou potu expliquei 

L'actvit des Commiste 

peur chercher un mploi, ou pour &occuper de Siitu gouvernement de vive voix 1(5 aclu 

lu liquidation de. leur pension. 

ntgc'eiatioui' e 1t diffleuls d'uit al-i t 

Paris, 3 janvier. - Le cornit direcreur de la Quand les diverses disposjtj-n5 envisagées serzmt 

arrêtées. 2-30 2i0 places pourront être dis- 

---S-- - - 

sc,ioa française de - l' lnternaioIÀs le comniuniste 

- 

Il 

. 

LI 

:_vÏ d'iau 

MORT DE i SE1IlET:t&E 

ES TRIllES UMON FEMININES 

LtmdFe.. On anionce la nioit, 

,io 

d3 Mrne Mary Ma Arthur, secié- 

Iirt Ie la Li,j des Tradu's . Unions Îm- 

}mcs et (le la 1'&lratiou nationale fIes ouvIiors. 

. 

Mariée en 1911 M. W.-C. Anderson, alOF$ 

Iflesideut du coniiI excutii: du Laijour 

Pary, inor; il y a quelques années, la d- 

ftinle taiL très estiiïe. Elle jouissait d'une 

grande antorit da lc milieux otLvrier 

l'on avait coutume de l'appeler par son nom 

'le jeune fulIo 

Aux leetirnis lgis1atjve do Ifl8, eUe fe 

onfidate du La1our ParLy et ohtint 7.u' 

voix. 

LES BOLCHEVIKS FUMENT 

)Joseou. - fagriques de tabac do t- 

rogiad ont oduj au mois da.où deriiir 

p1iis de 20Q millions ie cigaittes ; le rno! 

iivaut, la pioduction s'est &evç ù 5O m!1- 

Ltons. 

QUELLE EST CETTE BECOUVERTE 2 

New-York 3 janvier. - Mine Aexis Car- 

3e1, qui vientd'airiver Franco, dit quo 1 

iOi'teur Cairel annoncera sous i)CU (JU'I! 

Vient do Ïairo uno deouveto oavrant tic 

noiive1le peIpeetives i la sciencu nidi- 

4ale. 

. 

Le docteur Carrel est en relations avec 

lInstitut Rockefoller des recherches, à New- 

York. 

LES RELITIONS ItUSSO-tMEBICALNES 

Washington, 3 janvier. - La repric 1ts 

ie1ation commerciales aven la liussie, que 

la leyé do eotaines g1ernentations semi)lalt 

autorjse en pr]iie!pe ae heurte i 

ouVelIs duItcult par suite du refus du 

Ouve1jeme1t d'autoiiser 1'enLr(o aux EtaI- 

1Juisde l'or ruge. On annonce., en effet quo 

a Trsorerje ne £ea duc uno distinction en- 

Ire l'or lussi) duvoy; direetement (10 IIUSSIC 

et ceIii provenant &To rsexpdit.ious raiteS 

par les soins tie hanque$ tiraugrea ; l'or 

provenant de Itusse devra avoir un oertiilat 

d'ôrigne. ... 

ihri les milieux eemPerci,, i' 1 tice OU 

tin gouverileinent ert l'objet vives eriques. 

' 

UNE 1CTOflU DES KEMALISTES 

Sniyrne, 3 jarrvie:r. --. Des 'troupes kemcliSi;cs 

ont battu t Piriepc une force de SOd 

hommes qui s'taienit révoltés à l4onea con- 

Ire le gouvernement d'Angora. Les pertes 

des deux cÔt sont Ioiides. 

E JIEGIME DES SOVIETS A BAKOU 

Lundres, 3 jcnvîr. - On mande tic Conslantinople 

au ' J)}aUy Express » qne le i- 

gime so\'iétiquo a 4tS proclam à Batoum. 

L\E L\SLRRFCI1ON LIL IB 

: EN C1tLIEE 

Genève, 3 janvicr.- Le journal holeheviste 

Reveirnzin Zapadie » a-ïmonce quui: 

m:,u rtion titre ccaU. en CrirnY' 

I f" Tittre en1e!1t chl)1 dr ommin 

cations avec les trcupès dc Makhno opérant 

j II, le ou crneni nt si Ek t 1joaw t 

au noi1 de la Tauri'ie. 

FAUX BILLEtS DE BANUE AN6LiUS 

LUfl(iIeS. - iel3oaï 0f Tiadu ifieten gar- 

41e aujourd'hui, par uno note, les theinbres 

tLe ComnIerce maiit.irno anglaises contre (10 

S!fliS iL Bakou. Plusieurs do ces jijilets 

auraient êt6 doniis cri paiement déjà dans 

(IOS J)OItS de la Mer Noire et du Lovant. 

COMMERCE ANGLAIS AVEC LETBAN(ER 

Lofldrus. - Dans i'après-lnili dc lundi, 

ministre anglais tia Conimerco a OU pinsieUrs 

entretiens aven divers reprsentan;s 

ds banqu es et financiers. Le ministre a t1i 

tué conjointement aveu cu les rnodilicalions 

à apporter pour les transactions conimerciales 

avec 1'tranger. 

Le conseit des ninktics britannique s'°eeupera 

ga1eineii cette semaine de la m- 

nie question. 

LES :WLATIONS ERMANO-SERBES 

Belgrade. - Sur l'initiative dc plusien s 

groupemeiits comnielciatix et financiers, une 

chambre de commerce germano-yougo-slaVe 

vient d'être crtio h Berlin. 

Une autre chàni1ii sera également créte 

Munich incessamment. 

Ces organismes ont pour but. de raffermir 

105 relations commerciales entre a'AUerngne 

et la Serbie. 

D'autres chambres dø commerce seront 

eié,s dans les centres allemands indus- 

Iriels importants et notaiïunent à Leipzig. 

LES CIIOMEUIIS AMEULCAiNS 

Lon:dre, 8 janver. - Le doyen de 1'E- 

'ISC Saint-Maxx New-York n fait servir 

300 repas des chôme.ur.s et leur a permis 

k' iaser la nuitdans I'Eglise. 

LES FAUX MONYLURS 

Lornires, 3 jnvier. - Un lAih5gramine de 

Now-York annonce 1'arre&ation à Providenco 

de doux a,neieflSageIItS tie police SUT 

Jesquels on a trouvd une grande quant it 

de faux billuls cehanque et le rnatrieI ndceSairo 

à leur imprcson 

L'ITALIE ET L'AlLEMAGNE 

Zu.nicù, 3 janvier. -- Au cours dun intnrview 

aceordi au correapondant du « Ber 

mer '.Pageblatt n, M. Uiolliti a dee]ar que 

l'Italie ferait tout son posible peur le teivenieftt 

dO l'Allemagne. Sur une question 

truc lui pma le joaurnaliSte oonceiant les 

relations entec les deux pays; l picisident 

du Coarseil italien dclare qu'il n'y avait 

t&rcun mal entèndu entre 1'Alleniagfle et 

rltalie, t elIe-ri enre1eiiait les 

meiFlenrs scentituents à l'égard le l'Ailemagne. 

UN VOL IMPORTANT 

Zuiieh, 3 janvier. - On n voi dans une 

1i'uique ù Erlwngr itn tube ci utenant 

jour UU miilicsn (le radiiin. Une forte r- 

eOfliP'fls° et oroxoise h la personne qui 

pourra retrDUVer le voleur. 

Cours des Chan9es 

Loidîes, 60 5Z MadE, 223; Rome. 58 50; 

New-York, Il 07; Ceuve, 2I 50; Rruxeiles, 

. 

1Ø5; Bu1in. 23 25;. Hoflde; 532 50; Viei 

3 70; Sèdc. 242 75 No 

t!i nua trmiernnt 

dc crre i Aai 

Psrs, 3 jivier. - uiant 1S 1(C(t(Vl 

I( tat ' ume t siei de la Li u -huu e 

apl'IUaiUc dç Paris, nu nouveau lrentbl- 

;niit de lOi)6:C serait produit eh AlbaIi±a. 

La ville d'EiJjassa aurait iIt coiiplte1ne1tt 

rastie ; ou coiiliierai ju.SqI1'L prsent '12 ti1(S 

et 300 b1s:s 1O.00) sciaient sans 

abri. 

Dans le Tarri 

LA CRISE DU CHOM1GE 

AIbi. - Léévation de la frrnp&ature et l 

minque de commandes industrielie a fait aug 

menter la quantité de charbon ctrait des mines 

d'Albi. de Cagnac et de Carmux. On redouta 

s' la jtatjo se prolonge l'obligation de mettre 

à pied de nombreux mineurs. 

LE TELEPHONE ET LA NEIGE 

Castres. *- La citoyen maire Sznire, maire de 

la ville d0 Caates. au nom de Ii municipalité et 

de la populaton vient dadrasse au Secréaire 

dEtat auz P. T. T. une letim pour protester 

ccntre la lenteur clos trr\aux qui Sont effactiés 

pour proc&ler a la rrinstalIatjo1 des lins té1t 

phoniques brises t la suite da la tcmptc de 

neIge du 29 novembre. En effet, à 1heure actuel- 

Je la majorik des abonnés d0 cette ville sont 

toujours privés dc. communjcatins. 

Un grand naufrage 

Madrid. - On mande de Santc-Vedra: 

L grand trariscrtlantiqué Sainte-Isabelle 

o fiait aotijruge sur la c3tc de I'Allanii. 

que. 

Sur les 200 personnes qui sc trouvnicnt 

a bord, 40 seulement ont p u1re sauecs. 

Le reste aurait pari. 

Vo d'un mI1ion dc marcks 

Paris. - Le s inspecteurs dc la police judcitdro 

viennent de rneltte en ifat d'arieslalian 

un iiouin Atidré Aulirestin qui, on 

produisant do fatisses facture-s et de fousses 

lettres do voiluic, se fit donner par un 

changeur tic la rue dc Trévise un chèque de 

tin million do mai'ks. 

Aubrestita avait J)iI obtenir celte sornmc 

cil disant (lii'il devait fairo d.'i1nporlanis 

aclias dans le territoire de itt Sarto poitr 

n16 inipoTtanto maison industrielle de Cernnl-i'errand. 

: 

Les forces de 'arrne rcug 

CoPenliague. - lin officier supérieur 

russe do l'ancienne r'ne do \\Trengel qui 

vient d'arriver à Goponbague rcoiit.e quo 

bolcheviks (lui eoreliaLt.retit contre 

\Vrai]gel itaint au fln!fll)rC dc 25O0OO. 

\VNI'ngel ne disposait ue de50.000 liOlitmes 

ctettoti.po régu1ir.e. 

On croyait (lU0 le tsarspmL rIes forces 

bolche t te au ron cii 'iut t I u 

\Viangel prendaiit jti.quau Ïrinterilps. il 

lut; elTctui5 en Oint1 ?iiIaiUC. 

L t]II 10 bOl hti ctit e iiomi' 

tir était d'une tare ustcsso. 

L'Mrnagne a peur de désarmer 

Loncires. - D'après h Daily Ncws, !e gouverflamant 

alemand n'oscrait pas prendr5e de niesuses 

en vue d'imposer ic iicencicmcnt dts gardes 

d'habitants, crcignant de faire clater la courroux 

des othcirs r&ctionnsircs qui sont à la 

tête de ces o!ganisations militaircs 

u Le désarmement de ces for:es clandestines, 

ajoute le journal anglais est une nécesrit 

impérieuse 

pour ic maintien de la paix en Europe. 

Les Ncws suggOrent ux Alliés de prêter 

la mai!, au gouvernement aIhmand afln rie briccl 

la r,sistance des groupes militaristes et d'aider 

ainsi le désarmement rapide. 

u, pu de ou 

Un peu partotd 

UN EiERA!LLEMENT 

Chanabery, 3 janviee.r - Ua train de 

ma'rchanctises n d6raill près de la gare de 

Contron. Le chauffeur et le mécanicien ont 

tStÔ blessés. 

DEUX ABflL(ATIONS 

Parj, 3 janvier. 1i ;' en tare de l'est 

M. Vespert, conirnissaic" spécia', a mis a 

main sur deux flcli\'i1US auteuis des vols 

commis près ne Bourg L'un ces inclividus 

nomni1 Deldvy est originaire do Li_ 

inoges et gd de 26 anS. c'est un uéserteur. 

L'autre, un noimné L.?gr( 1. est originaire 

de Mailloy (Haute-Sa Ces individus 

avaient CII leur possèc1Ofl huit magneto 

d'une valeur do 7.000 nos. i.eçrel citait 

en outre porteur d'un ico1ver chargé. 

CONSE(L des MtNISTRIr'S D'AUURD'irnL 

Paris. - Le conseil J. mini3tres qui s 

réunira cet. après-midi à lElySe s'occupela 

de l'ex.ainen du prijet prévoyant l'organisation 

de l France en régions admiiristrativoS. 

-4t-' 

gLr 

ee' P V 

5,s' wl ii"L.- 

Bien (]UC paiaissant avec quelques jours dc 

retard la numéro dc NoISI des Hommes du Jour 

n'en cbtiendïa pas moins un succès retentissant. 

Les nièjileurs dsinateurs R. Guérin, MontaniCr 

Beur de Champs, Jean : 

Magdeleine. Depaquit. 

La NoO. André Foy. de Franckell. Claudot. 

Marcolo. Luc-Cyl. 

Les écrivains les plus combattifs : Paul Reh-ux. 

André Gybal, Victor Bocnans Aiidré 

Dahi. Fanny Clar. Alfred Varelis, Ccrrold. Heur 

Crassin. Constant-Louis Muller. Gabriel Reuilkid. 

Fernand Morelle, J.-H. Remiitour. 

ont collaboré à ce numéro de 32 pages que les 

lecteurs pourront se procurer dans tous les kiosques. 

chez tous les libraires, dans toutes les bihiiothèques 

des gares et du rnetro. 

Prix 1 fr 50. Abonnement t,'ur 12 numéros, 

ç ç Adresser li cdflCe à l'odminis- 

Toct du P.raia, 17. rue Grange- 

Parie (9)- 

Nisèrs scicnifqEc 

I 

at î 

ET 500 FR1NCS PAR MOIS £-OUR il T TER 

CONTRE LA PESTL 

on ne dira jrrniais assez la ptié infinie dos 

laboratoires de France. 

Voici le lahoratoirc de la maladie n' 9, de 

la peste. Aussit6t voue vous inaaiuez. oou coinbattre 

S Paris ce « mal qui répand la terreur », 

une formidable officine organi.ée et doUi selon 

les derniers perfectionnements de la scien triodarne: 

Déchantez : ce laboratoire est inetalV dn u 

ancien poste de racouts au noyas - vous svoz, 

sur les berges dc la Seine, ces hatisses aandcs 

comme un lavabo de restaurant ? 

Çest cet s établissement s que vient de 

sitar M Raux, accompagné de M. Liard, son 

secrétaire général, et des dectrurs i)ubol et 

[krdas. . 

Le docteur Violle, qui dirige le lehoraoira 

en fit tes honneurs. 

II leur montra, sur une table, ui unique microspoce 

c-t une diazine dinstru:naits de cflsrrc- 

'tion ---- 

bstouris. t!rcttes dniodés - cor une 

autre table l'ancienne tab! o lon fasait 

faire au onyés de la respiratiori artificidie - 

dans des petits bocaux de verre, s les animau 

malarias de la peste s , ou, du moine. snsunrétels 

: une demi-douzaine de rats blancs ou bruns, 

au museau rosa, aux j)etits yeux nora brillstg 

et ronds comme une goutte d'encre. 

Art rez-do-caussée. la dcuxdme et ciernièro p- 

ce de l'établissement : coritre les murs-, des 

rats vivants. dans des cages s serbis; sur 

table,- au centre, des rats dissqué. 

LE ROLE DU LABOPA TOIRE VIOLL2 

Le docteur Viollo explique son r8Ie 

- Ce laboratoire fonctionne depuis i55 proere 

jours de eptcm!ro. Actuellernere, la peste 

est O l'état iatni. Mab il ne faut pas se 

muter qu'un nveil de pidmi cet i craindt 

rous le printemps. Si nous scnrrncs orgrrius6s ur 

rerveil ne saie pas grave, 

( Chaciuc jour, trous prélevons dans uri aricodiesernent 

différent, cent rats. Cs cent iota 

rrnt tués ici et ezaminéS. Ceux qui nous pari.q 

sont susoecta font l'objet cl'espSriences piur apjrrofendies. 

s Si des- épiz0otie5, chez ces ooimaux. ou dec 

épeimies humaines venaient O prendre de giaa 

c'es I' OPO tion. C est ici qua osaient ok t' s 

tous les exameno mkroscopiqurrs indlpcn5able 

eux diaanortics. Or. nous n'avons qu'uts luicrosceps, 

nous &cmuies un peu à i'Proit, nos crdit-r... 

--c Ceris, rpartit ?r1. Raux, il faudrait troever 

un autre local..... . 

- je n'en ccnflais point d. vacant, dictrr 

orétaire général. . 

- L plu Simple est d'agrandir ce btirnot 

en y ajoutant uao construction, ea bois, Lit in 

desteur Bordes. 

On parut adopter. en piincip-.. cette iIu. 

LA GRAfDE M!SER&.. 

--.- ?lei les crédits Sont irisiitticanis. &t O erra 

ur le decterir Dubief.. . .. 

- Et c't malheureusernent,. le cas de tooC 

les labçratniss soupira le docteur Violl0 : 

pourctuoi ils so1d. cri cc ,nomcnf. dserl.- 

3ar ic 

irrdiants et les nnldccins euxrnine,. 

-- A combien s'dèvent vos crdit ? derrr'mda 

quClqUufl au docteur Violie ? 

---- Cinq cents f-rancs pas mois en tout et perrr 

tout. 

-- Quelle misrre t Et vos appomntementc parsonnais 

? 

,- Quatre mille francs nos an, murm'u-3 

on-voix iO doteur Vielle. 

- (rratrrr mille ftrnc5 pour tenir ce pcea 

si absorbant, si dangereuir, si utile . I Vos aide-c. 

ce six ou sept rudian;a que je vois 1t, conibreri 

sont-ils payés pour vous consacrer leur tenrps 

- 1l ne sont pas payés. 

----- C'est effranyrint, conclut in dccteur Bordas. 

Ii faut. pour que lcc labc.atciree de Fscucr Cri j- 

vent péniblement s 'Vivoter, quils emploient le 

systèiu; D. 

Peraonn ne . répondit. On d!ait au pied du 

mur de l'impuissance. Et je repensais ii la paide 

de Mmc Curie. l'autre jour : s Nous vivons 

ri'rrxpddients. s 

LrAUIi1aW1 

va s'ichir 

Paris. 3 janvier. - L!rt1iansigeani -pubue 

la note suivante : 

Nous croyors snvor qu a la suite d une 

convereation avcrc. un personnage des pins 

autorisés, qu'en haut lieu on n drs à 

présent la certitude que l'Allemagne va 

c&der sur la question du désarmement. 

Le gouvernement du Reich sait à quoi 

s'en tenir et les AJ-Iiés sent décidés i agir 

d'une façon unsmime et positive. 

on croit que Berlin iépondra incessamment 

aux Alliés en leur demandant du 

temps pnur désarmer comme ils veulent, 

ou bien l'Allemagne va demander de 

désarmer par petits paquets ou encore 

elle offrira de liquider la situation en 

Prusse orientale avant la situation de la 

Bavire. En tous cas, il y aura une preuve 

de bonne volonté ce qui permettra de 

ne pas prendre de mesure extrême e 

notamment de ne pas occper le bassin 

de la Ruhr. C'est pour cc motif que la 

conférence des chefs de gouvernement 

presse moins. L'accord est d'ailleurs tcujours 

absolu entre Paris, Bruxelles et 

Londres. 

Il serait préférable de se reunir que!- 

ques jours plus tard avec la réponse ailemande 

entre ies mains. 

Ce la permettrait également d'ailleurs, 

aii Conseil suprême d'aborder la question 

d'Orient et nous pouvons affitmer que, 

en ce qui concerne cette question, e 

président du Conseil est des plus optimistes. 

U continue Ii croire que l'esprit 

de paix est désormais de mise et il agit 

en conséquence. 

Lcs mafflfe3tations 

Berlin 

Berlin. - Des manifestations rev&ant 

un caractère important ont eu Iu dans 

la journée d'hier, la suite de protestations 

d'indépendants et de la dioite contre 

les théories communistes. Les adhérents 

ce parti se sont- rencontrés dans 

plusieurs bagarres. Il y a eu des échauffourées; 

In police a du intervenir pour 

I 

r(.tahlir l'ordre, et phisieurs arrestations 

T- - . 

I Ont été oérée3. - 

Lc:s CUSC tIRS CC1II3 

j 

te c1rniïs de fer.. 

L8 LocoMoJIl7;-' ....02V2' PLUS 

DE iIECt.VI(4ir?V I' J'I'UL-l!IUJ 

u enregistralit dans ses COl1).UnCS l'aCCidei1t; 

quotidi.u, L'e OEuvre s'inquiétsit, il y 

ri tiielquc tenmps, tic la iitJji iir aCluolle 

}es Conipagliies lie fasaicnt point coitduiie 

les nisehines jar des ineaflicicU. 

Îttitliait acroir si ccst stir un avis tic 

\L. le ainistre des jtcnsl;tts ou par la d:- 

cis_ton des Coinpagjiies qu'on a.: çi.. J)aflltlijPS u 

I'eml)iOi . des locomotives. jujiel-triez qu'eu 

torino dc eliejuiti de l'c i', I es nuicliines n'ont 

iUS dc mécaniciens titulaires. 

Vous souvejiez-vrnis1 dans' e La bête LUmaliin 

u. tic ce mécanicien qui atiive ît Si 

illeit possétier sa inachitic qu'elle est sous sL 

yoiont_Ij comme une litMe dociale ? Ii latin', 

ii la connaît dans ses moindres caprices, li 

l'aec'slèro; et1t dompte, .11 la fQrCO et la- soi 

ffiet. Eh bien, c'en est fini de ce romantiU1C. 

A chaque noTveau voyage désormais, i 

machiie change (1(1 maître, le riiécbiiiC.i-elI 

change dc locomoliVe. Depuis que cc légiflie 

communiste est appiq1ié sur TOS réseaux, les 

iésiillats sont des ,lus ietna--qu-tI'cs. 

i(, parlons ptS dO ee qu'il advient (105 

'agert t' s ; mais eonsiditous 1 grande pitié 

i_i ;eit4ri.el. Pensez--vms qu'Uui brave teéiOflO 

oc est i:siiotis:tble do sa 

1)tit' -ir OU U heures va S'iflllUiéiCr d'tiir) 

piSiC qui s'ouvre, (lune inanett (lu-i j9tt0 

Ui dun Lb1ii1tcu1 (1(11 110 iUttt t1 t, lb il 

- emez-Vous qu'il va perdre oxt terups 

asth[uer, è giaisser, it panser la mac _110-) 

qu'il tiait passer à U aultd ? Que ie carRaisd 

se débrouille I - 

CJiatuC it1éeaniiefl appli(jUant le i-diti-ie 

piOgla!II1flO dt5brouillard, ll j1'cst point ha- 

50111 d'avotr remplaot 1111 liaulteur pclt(Ia1tt 

-n gI3Ve . pa' deviner puurriuoi tant rie trie- 

Chifles avaréCs cj1traijient les voyageurs e 

Lif nrte. .. 

--- pUIS 50115 le vernis réglementaire cxi- 

,é prr. M Le Trocquol' et citri maquille a 

riaehiii'a inconicue, conetecut vou!ez-Ou:; 

t1CVifl' 

1,'i.Ut 111Ca'1 1bii3H i1ffle S0iutpUCtiX 

)oUt' oit l monstre souffre et vers quelles 

iitureS. II le conduit I 

Lejoil qest (???) 

d'un Cons 

municipal 

. - Le. conseil mtmicipal de 

Poitiers, entièremcrit réactionnaire, vient 

de prendre la dtcision dans sa dernière 

sé;utce de supprimer à la Boise du Travail 

l'allocation de 1 .500 francs, si la 

Bourse du Travail dcmeuïait affiliée à lr 

C. G. T. 

errè 

e aile la Franca 

eproche à FAiernagne 

Pe-ir. - La. note rcn:ire le 31 décemeu 

gouvernement nl!emarid pas 

arcade de France à Berlin, ccrttient dans 

détail les indications suivantes 

I . La commission de contrôle n'a reçu 

iu'unc fm.ble partie des armes li'rérr aux 

autorités tillemandes par suite du détarincu-'.-. 

eut dc la poulation C1VIIC. 

Le ccrnmineaire eus le dérarmement 

'a pas encore fejt connaître la date de 

la imisr des armes des gardes civiques. 

Pour celles du Ncrd et du Centt'e de l'Aikmagne, 

le gûuvernennt allemand acmbic 

prévoir la date du kr mars. Pour la 

l3ayière et la Prusse orientale, il se rcfuse 

à les riésai-mer. 

Le déaàrmenicnt de la pc-lice de sûreté 

n'est pas terminé. 

La police dc sûreté n'a pas été dissoute. 

Les gardcs.civiques maintenus en 

Prusse orientale et cri B?cvière &ont en rap- 

Polis étic-its avec la reichswehr. 

La Idgisktion allemande n'a pas été 

mise suffisamment en harmcnie avec kir 

dispositions militaires du truité de paix. 

Le gouvernement allGmand se refuse 

1 livrer ie superflu du matériel d'artil1erie 

de Knisbei'g et de Kustin. 

Le gouvernement allemand continue 

à entretenir malgré la réduction non encoi-e 

contrôlée de la reichwehr à 100.000 

hcmmes des offices de liquidation- contraires 

aux dispositions du traité. 

Une résistance systématique est opposée 

à l'exécution des clauses relatives 

matériel d'aviation. 

-i 

Le gouvernement allemand déclare seu 

lernent que des faits matériels l'ont cmpêché 

de remplir ses engagements, mais 

il n agi en toute loyauté et il pense que 

les gouvernements alliés k ieconnaîtron 

A la cummision admiis1rative 

de la C. G.T. 

Panis. - La uosmnies-ion adininistraUvo 

de -la C.O.T. s'est réunie le 30 décembre au 

Soir.- 

Dans cette- réunion oie- a déeid-t tic convoqu-e-i 

le (t)ffflhtt 

le 15 et le -1G lévrier, 

L-as 

lois se rétuinirotit la iei1le et 

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés 

natioral confédéral iou' 

çbs Unions Liartementa- 

éPOseroitt. les 

statuts des Unions loeale. 

Ijeux mot-ions- ont dté adopte par la 

COJfltiiiSSiOfl adminisbmtjve de la C.G,'t'. 

Fsi faveur it la pensée hautaine, 

Cette moioii rrotestt contre la cCjse 

teaveisée aet-udlemeitt -par la Jibrahjc et 

par toutes les ind'ustri tin papier ; ]i110 

fait reiriainjuei' qne -l-es édiutcateurs du jstu-. 

j)Ie On1, littijés dans 1:iirs moyens d'wc-. 

ti-on, louis iiattunjonLs menaQa- ut- dé leu-i' 

fa-i ro toto-le-mon (défaut. 

Pour 1)101-ester' coutre le terrcrri*ime 

instauré par le gouvernement hongrois. 

La C.G,'P. pinte-ste contre la cun4amnatio-ii 

tknrt ont tILtS victimes les cominirnjstes 

hoiigi'ods et dntand-e au gouvernement 

franqais dinteivenja ltq,uu jour exé-cu- 

(bu n'ait lieu, ..- 

: 

a tave 

p_S 1)E (ltUVE A 

Driiticerquc J janv-iet-, -- Le syndicat de 

geirs det tiret' dc J)a-ulrerttrl) ri éid int'o, 

téIégt'a-pliiqttt»ntsL qi-e-s atri-sxact;ii 

sionrtc i leur ierriu'd revendication. 

serait 

La 

grève (IUi devatt se déeltv'er 4sn cette eol)orati(YrI 

tfatas Je eas ei SetS dCsi(ltjri'lt(a se-. 

t'aient l't:iijet dr'uile lin e a 

été viue - 

LE GENERL NWEijj ati Er1S-jJNis 

1ao'js, 3 jiUl-vier. .- :F,e géu:-énrl Nivelle, 

ane-ren coiiiinandn-nt ('R eltef lU Farmée 

£tan iie 1 cLé ii Vuyt en }itt55y offlcit'li 

aux Etats-Ums u ii est OCIltellsment. Il 

reçu porto-ut 'ocn&iI le jdu 

UN TtMPONN!dENT 

t;lialoiis-sui'--atene, ---- Jin gare de Saint- 

?riiii I1-( e-Cita j e L uni de Clialons le 

St-ll.artiii n ité iaiupound itici' soir icai- un 

-leeomitive. j:icux voyageurs o-ni diIl bicss 

kgat n itt t le s suit rmlc(lra1tt 

ENCORE UN- AUTRE 

LiIl-i', 3 janvi - Pex Suite tIU mauvais 

fonetiesine-mcn, dc I'muiilage, le train 

2253 allaat de bille i Dun,kerque a 4éraitFé 

- au in-o-ment Ot il. entrai en gare 

d'Haebreirek, Un vagon.4i deuxième c1a-. 

se sest renversé sue la voie....Les voyagoulU 

tient (lite eb orituaroni it)a gtaite , 

LA CLUSE DU CUOMAGE. 

a nI-Etienne J jani - T t5iC dit 

liôntago séiViit dans- 'trs1iust.rio qu ruban 

11 t)o(ju( ' pa 't t t 11 1 d o s n.andi 

iSOO env neT -stri':,ai-hi: ii-i11 la fcçon ou n 

belle ehûnt-en.. Ce1-t'eeiee est attribuée 

t la grève de l'nehe{cn .mst4vée elle-ruén:i 

ii-ne i'élévalicri (tes '.IT.JX. 

KEEL'USINEA t3Z 

GRANJE BAISSE DE PRiX 

L'Usine livre, librement, sans boni n 

artes -cL par ciilatitités quelconques, ce 

combustible au prix dc 27Irane-sla tonna 

sur carreau Usine. . 

Eik-. peuL (igalemnflt livrer r domici1i 

frais de camnhionage en sus cu prix cidessus, 

p-ai' 5 sacs et pue.. 

Les commandes sont i'eçuc5, 1, rue du 

Périg 'arci, ou l'Usine Wrz, ot peuvent 

être renhisea tous les agents de la Comba 

gnio qui ont accès- auprès des abonnés. - 

s et contreordres 

Mistre des Finances 

Parj. .- L'article 72, .tsosième alinéa de la 

loi du 2i.jisin .920 esempte an plincipe de l'iutp. 

sur le chiffre d'affaires les oDésations de van. 

es, de courtages eu de commissions qui portant 

sur des objets et des marchandises exportées, 

cous résérve en ce qui concerne l'imp6t de 10 

jcour cent des esception qui seront déterminées 

pa des décrets prévus O l'article 64 dc la méute 

.101,. 

Cette r5serve qui n'existait pas dans le projet 

du gouvernement ét procède de l'initiative par 

1emestairc aett traduite par l'iriertion dans k 

décret du 26 juin 1920 d'un tabloart C énumérant 

les objets ou marchandises dont l'exportation ne 

bénélicie pru d l'exception générale la taxe 

(in 10 pour cent itt qui ne comprend d'ailleurs 

que les- trois articles suivants s Robes et manteaux. 

ouvrages de modes, dentelles et plumes. 

L'expérience n démontré qu'il y a ls une entrave 

au commerce d'exportation ; un décret vient 

de supprimer ma articles et marchandises figu. 

ont au tableau C. 

La situatn 

Fume 

Rcme, - Les ucuvellec de Fiumc continuenl 

1 être peu stembreuses et douteuses. 

Ceniain5 journaux italiens annoncent q'te 

deuxième bataillon fiumain n refusé d'aller ers 

liane et est resté dans la ville en esvice de police 

en même ternic3 que la garde nationale. 

on déclare également que duz pelotons de 

bciers auraient refusé d'a1le en campagne et 

sien ne démontre d'autre part que ma tentatives 

de révolte O l'intérieuz de la cité aient été étouffées 

dans sang cornne osi l'avait annoncé à 

tort. . 

on a arrêtd seulement les persorrnes suspectes. 

Les bruits ma p1us divei avaient coutu sur le 

dépars de Annunzio, d'apr les uns il était parti 

en avion, d'aprèsc.Tautr il nas-tait pour la France, 

La vérité est que le poète est toujours O Fiume 

et il a démuré qu'il y restera jusquâ ce que 

les engagements pris dans l'accord signé entra 

le général Ferrarjo et les reprémer.larite de la ville. 

de Fiume seront exécutés. 

Arrivêe te.M. Saint à Tuis 

Tunie. -- M Locien Saint, le nouveau zésident 

énéra1 et arrivé hier après-rnid , Tunis. Il a 

débarqué t la Gouleite et s'est tendu aussitêt 

la Maïsa, Les réceptions officielles auront Jieu le 

6 janvier. 

La spéculation 

sur les Vins espagnIs 

Moflte1lier. - Dans laffaic de péduation 

sur les vins epagiiols la Cour -d'Appel 

tIc Montpellier a rcMu flndi api'ès-iuiidi. 

l'aiirtt sttivan't : 

n- Let; trois lib; M.it.javillc seront relaxés ci 

les £omlusion+i d l'atiminitratian des DoUa. 

Il_es rejetées comme tardives. 

«- M, Mitjaville pre, trantitaire t Cerbère, 

et M. hiainonit Matas, négocaI)l li Boroy. o1(t 

condamnés chacun à b mois de 1)i'iSOIi aVC' 

sursis et -1.0.000 fraai d'amende. 

« - r. flosine, juge de paix suppléant 

Arelès-eiii'Ee et pég$cinT r Cûl.liotire, 1h 

le. çeiutLanri UQ) taII U'Tiïti1de »

. 

. 

Pa,é 

-: 

- 

Àin5 

prgduir 

s 4 -S' 

OOuE DE. TOULO 

. 

Le chûmS k 

cl cosonimc 

La com1fliSi0fl extramUfliCPaIe du 

Lyavail onsidéri quelle devait tout 

ncUC oeuvrc pour cyitcr le hcncic 

4t gérLéïal OU parbel du ptrsonnei Ouvrier. 

- , 

Elle a concidre encore C!UC (lU travai 

dcvait ti'C piocure aux chorrcurs ct elle 

a examlfle les dtvctravaux cl utWte publique 

qui peuvent etre mis a cxecutlori 

immédiatement. 

Tout cela CSL une invtahon a laction. 

11 faut que les réalisations interviennent 

et sans tarde-r. 

Une chose s'impose : la confection cics 

effets qui occupera nombre d ouvneres. 

Mais podiire, travàlllcr, pour stocker 

Pas du tout 

Le travail acc&mpli devra etre lance 

dans la circulation des pioduits. La production 

faite devra etre consommee. 

Cette production» qui en assurera I execution? 

Les coopératives de confection, avec 

contrôle de la municipalité et de la Boute 

du Travail. 

Seraient ainsi occupes des ouvriers 

coupeurs, tailleurs, des ouvrières culottires 

et giIetières. 

Les débouchés pour les v&ernents confectiorinés 

se trouveraient pour une part 

dans tous les établissements hospitaliers 

ou administrations diverses tels que : hopitaux, 

hospices, asiles oc vieïllards, asiles 

d'aliénés, bureaux cic bienfaisance, 

caisse des ecoles, prisons. 

Les crédits dnt usent ces organisations 

devraient être affectés des achats qui 

ne seraient pas seulement des renouvel- 

.ements de fournitures usagées. Il y a 

des manques qui ne doivent pius exister. 

Et encore, dans la situation présente 

de mire, d'absence de salaires, il est 

urgent de répandre, de donner, partout 

oi lon peut répandre, partout où I on 

doit distribuer. 

Nous avons cité a caisse des écoles! 

Q Ui osera soutenir que yios enfants du 

peuple, nos garçns et filles des quartiers 

misérables, des faubourgs, sont suffisarnment 

pourvus en vêtements et sous-vatement? 

Q Ui osera dire qu'il n'y a pas des enfants, 

de nombreux enfants, qui ne se 

rendent pas à l'école faute d'être décemment 

v&us! 

D'un c&é, manque de travail, d'un autie 

côté, manque d'objets indispensables 

dans des milieux sociaux pour lesquels il 

est irnpoible d'acheter et qui s nourrissent 

peine. 

Il faut produire et donner. Et produire 

avec des rcmrres d'argent que la rnuncipalité 

se doit de trouver par des désaffectations 

de crédits prévus, d'abord 

pour des travaux utiles sans doute, mais 

sans urgence aucune et qui n'apportent 

aucune atténuation suffisante au chômage 

et i la misère. 

Car il faut lier ces deux situations et 

faire que le chômage serve la misère qui 

règne et n'a jamais attendu ie chômage 

pour durer. 

Autre chose à prévoir pour les débouchés 

du vêtement, du sous-vterncnt et 

de la chaussure. Chaque travailleur, femme 

et homme, subirait, suivant sa vo- 

Ionté, une réduction tégère sur son sa- 

1ahe journalier et cette t.éductich Pul 

vaudrait de recevoir à prix de revient, 

soit un costume, soit des sous-vêtements, 

sOit des chaussures pour lui et ra farrille. 

foutes les questions méritent d'&re 

dévdoppées et c'est en les développant 

le plus pocaible, qu on peut arriver à les 

Solutionner heureusement. 

La question du chôlLage doit être dévdoppée 

jusqu'à apporter rerede i !a 

diminution de ia consommatkn. La 

confection assurée par la coopérations 

sous le contrôle des pouvoirs publics et 

de la Bourse du Travail, jettera sur le 

marché des produits nets de tous bénélices. 

A ceux qui pourront dire que l'on n'achtera 

pas quand ffime, nous iépliquons 

que l'expérichce s'impose, car il 

faut voirclair exactement dans cette crise, 

savoir où est la vérité, s'il est bien 

Vrai que lei inductriels et les commerçants 

ne peuvent absolument rien faire dans 

la voie des sacrifices des intérêts particuliers 

a 1 intérêt général. 

En un autre article, nous examinerons 

d autres points de vue. 

MARTY-ROLLAN, 

Secrétaire de l'U. D. de la Hte-Gr,e. 

PeUte preuve d'un grand gâchis 

Les Toulousains ont pu lire dans les 

journaux quotidiens et même dans le 

Midj (qui a bien rigolé en la publiant) 

une note de la Mairie, annonçant une 

interruption dix service des eaux dans 

le quartier RoquelaineMatabi5 dans la 

Journée du lundi 3 janvier, pour cause 

de réparations. 

Or, dans la joumée de lundi 3 janvier, 

C'et--djre hier, leai n culé dans le 

dit quartier plus abondamment que les 

jours précédents! 

C'était fatal, du reste. Puisque la muflicipalite 

annonce quelque chose, il f ailait 

bien s'attendre à constater le contraire. 

En lamatière, il y avait eu erreur sur 

la date des réparations, lesquelles ont été 

effectuées le 3! décembre, c'est--djre 

la veille du jour ç la Mairie rédigeait le 

papiei pour I'annOncer. - 

, Ainsi les habitants de ce quartier ont 

eté privés d'eau sans avertissement. lia 

Cfi Ont eu lorsqu'on les a avisés qu'ils 

n'en auraient pas. 

Et les travaux ont été xcutér' sans 

que la Mairie le sache, et avant la date 

qu'elle avait fixée. 

Ceci et un ieccid. Ce rie sont pas ics 

travaux du grand théâtre qui marcheront 

al'&si vite! 

Mais on voit par. l quel beau chis 

rgnc dans cette turne rnumcipale 

Pcut-attc couriez-vour, en pensant que 

la Mairie a voulu simplement jouer un 

tc.ir spiiitul cii Tiiidi qui se trouve dans 

ce quaitier, et lui faire remplir inutilement 

toutes ses casseroles la veille'. 

Si elle n'avait pas eu d'autre but, nous 

applaudirions à la malice de cs messieurs, 

bien qu'elle n'ait pas réussi, puisque- 

nous savions que la distribution ne 

serait pas interrompue. 

Malheureusement, il y a des consé- 

quences plus graves. II y n dans c 

quartier Une importante maison qui ne 

peut travailler sans eau. Aussia-t-elje fait 

savoir tson personnel, ds que l'avis a 

etepubhe, que lundi on ch6merit, puisqu 

il n'y aurait pas d'eau! 

Et voiI le résultat d'une gabegie sans 

exemple. 

f 

1$.. .WVø ?'h?Stq!fl _»S. 

(j A la gloire de Toulouse » 

Dans le con1po rendu de5 Quvraies 

2'Ut. d' 

(le Lahoudis e Chalande, iuhlié liter 

à Ceito place par notre eol1alorateur GUI 

J'ABcmrrvine, deux 1)OflIS ont ruai or1ligraphi.s 

: ce sont CLW dif M, Enii!e Ca;- 

tailliac, menhl)1e coliesponilan t de 1'1n Litri F. 

et de sa 1111e...Mile Madelajiic Caitailhtc, la 

dis{inguio Portraitiste, L p!tipart de ir 

lecteujs auront ic1ifié d'eux-rnines. 

A ce propos, rappelons epfil est inpos- 

Ile do se procurer flTai11tenant l'ouvrage de 

M. Chalande, niais que irons sommes 

me de fournir le superije volume de M. de 

Lahondis sur Lxs MoNcmsxrs nu Toui.ous 

au prix de &O francs (il fr. SU franco demici! 

e 

BOXe u C&que Pinder 

:1Li!111j 

. a siie de sCS uunihal, la 

I)rrcetfon du (:j'qiic Pin Oigaiiie pour 

merrredi prochain 5 jan1er une rencontre 

sensationnelle entre Faugre et Pessieto En 

elTi't, FaUgre, (le Narbô'nne, ch3lnnion 'Ctiiel 

du Narborfnai, très .doc dans ses atta- 

(l1i'S, excellent eflcaiseur, a aeceptt (le reiontrcr 

notre lOI('IlSaifl l-3;sieti. l'auge re 

vient d fournir 1aieiJle d's cornbits s»- 

vère qui mettent eet hOfflfl au premier 

rang CUi)ifl pr»Icridaiit an clraiuipionua de 

France. Etroiteinent surveillé par son ptr 

(jUi est aussi son rimriac-r, e boxeur iieus 

I»ervo un combat Iyy1 è't dcharn». 

Pss4eto, de 1'oiilouc totijouis i 

neii'irt et eu pnri»s actuelenicnt, s.j. ;i 

1a hauteur do sa t t Iie. Dois les 12 rounk 

de 2 siriniites2 avec gants de 1' flncps, clrs' ln 

des adversaires pouria iournîr la nrcsuy (it 

a propre valeur. 

Iii antre coIn})at edJC ai1usatn cE Li- 

Inousiis, dont itis douieidns d!irairi le 

tahi, sira »j)il)gi» air pr4iraIuhuiC. 

I-a J)reetiori li)SilO sur ia snc»i 

Cornus (s tlni I e ()!ÏIe au 1)11tiC. 

J,e prefesseur enirer arlil trera. 

En 1)105 des 4-i nouvelles attraetru;. ia 

DIreCtion olfre au publie un 11un1iie d i- 

pèze volalil iï Lxiis qui iempùite depuis 

dd]uts e plus grand succts. Il y aura ioule 

mercredi arr Cirque Pinder. 

Yisitc gratuite dc 

a' :1 I) hOUTI'S 

iui iii. 

euries tous les jiuis, 

IJureau de Iocaticn ouvert de 10 lieuis à 

midi et de 2 lieuses à G heures. 

Une iéance rcréaliv4 

I)fniaii-ciie 9 janvi»r avait iieir à la sa::e 

-' 

ai_i Jardin itoyal une sauee r»ci'ative d;:- 

ir»e par !a 1)ir'ction d's Granits 3gasiis 

1peisoniie à son peiounc1. 

1.5 salle »tait combL3 et IC pr°graniiirc fut 

des midu ehoisi. 

Nous erns 10 plaisir dentendre MM. 

Eijouard Azira et Mieliail, du tlrdittre cle. 

-Var htés. d»Mte;' avee le talent qu'on s app1'ci(i 

depuis loigteiaps h Toulouse divers 

monologues et lo\icr une Ihiuffouneile cii nu 

acte qui dtvcitit graid et petits.. Mile llerlh' I 

I iautdC aeta.'a avec sa grûco imabitue:! iar'1 bOus 1e i'etiiicaLiod i'uncei'aant la 

(( Les Yei1le l43- Chez Nons ) O L»vad» et piiUe adrninisli'ive et les Soeité dîe:'- 

1 « a (h) la t rune Cass»e » de ses. 

Ldon Vasseur'. 

II est rappelir que l'ANNUAiRE flC SeFL 

L'oi'chestre, difigt par 7'. nenry Super porté ii domicile iiuoiix seules personue 

yiclle, fut pufait et enfin une parUe ciÏ]»- fini auront .signd un bulletin de souscrimtidn 

matographique des pins nous per.- à la librairie EdotiaM P-ivat ou t ses agcns 

mit d'applauair es flls Gaurmont admiralitement 

au point. - 

Prix de l'Annuaire cii souacriptioii : bru- 

au tdirisés. 

M. Louis Bourgeat, en quelques mots cira".- ché, l ta; relié, 18 fr. 

mants empreints d'une dmoUoii qu'il conmuuiqua 

à son auditoire, remercia les orgt- 

à 16 fr. pour Pexènrpînii'c broché et 0 Ii'. 

Après la mise en vente, le prix sera pc!. 

nisateurs de la fête et renouvela à sou personnel 

ses vaux de noijyel an. 

Cirez les 

pour l'exemplaire rcli&. 

Etudiants 

Une distribution de jouets aux 

termina cette agréable matinée. 

En résumé, ce lut vraiment une fête trés 

gaie, très intime, très cordiale. Cest une 

excellente manîre de commencer 1'anno 

que d'avoir songé à amuser ainsi parents et 

enfants ; après avoir passé une si bonne 

lournée ensemble, le labeur tic 1'ann-e f011- 

velle parait bien doux à aeeoinplir. 

Et nous il101illofS à penser que si toutes 

les Ïamilles du personnel étaient réunies , 

il n'y avait dimanche, au Jardin Royal, qu'une 

seule et même Îamillo affectueuse, clvouée 

et unie. 

Une moi rnysérieuse 

La nommée Nénot Marie, née BoutWues 

(Puy-de-Dôme) le '22 novembre i82, cennatairc. 

raaeomodeuse e parapluieS,. m 

trouvée ce matin, vers 10 heures, morte 

dans une maisonnette abandénnée située rue 

Marauda, 5. Le corps portait des traces d 

CUUrS au visage et des brûlures aux jambes 

et au bassin. Le Parquet, prévenu, s'est 

rendu sur les lieux. 

La inalheur'use étais plus connue qu'air 

pense des l'oulousnins. C'était, parait-il, une 

chanteuse des i'iies reconnaissable à une inflrmité 

qui lui d»fornlait les mains et les 

pieds. 

Le plus grand mystère entoure sa fin. H 

paraitrait qu'cllo vivait en compagnie d'un 

heinirie dans la malaGa abandonnée oÙelle 

a été retrouvée. E'le s'adonnait à la boisson 

et c'est peut-être en état divresse qu'elle a 

tté victime d'un arcident qûeile a elle-mémo 

provoqué inconsciemment.. 

Nanmons. on i1 peut encore mv'ttre une 

des suppositions suis leS eausç de Celte 

ffiuL' iii3L!1CUS0 

A TAVEPSS LA VTLLE 

Reti'i! (les 

ilf' In Cjiaij&bi' de ((,iil5i(t'.' (h' 1' Indic 

Sur la demande de la Chambre de 

commerce de l'indre, la Chambre de com 

i-Tierce de '1 culouse invite le-s porteurs de 

coupures; émises à Chatcnuroiix, quelle 

que soit la date d'éni'Ljon de celles-ci, 

1sc les faire remburser à lut Banque de 

Franco, cela en vue de faciliter le retrai 

do ces coupuies, fixé au 30 juin 192!. 

Déliti'anec k's )laqt(Cs heur chiens 

Le nrail'c (iC ï'.i1[IlJJsl.. eiie\aiier dc 'légioir 

(l1l()n1)f'Lj'. pIéVf i cs adlu'iClis{l'éS 

(J:ule les ji] aqui' ' l)lCi1'1is (tickets) , 

ines à 'L.i'e tit'ues 'l'une. riiar1ire apparente 

aux colliers d;s ChjelN, en exécuiton de 

l'arrêté du 2! niai 188, C'O';t renouvelées 

et 11ivTfs gruU.item nt au bureau des 

Conftihution5, ;'ue ctur Tuue, l, à partir 

du ° jans ire p'eiieiri. tous les jours, de 

o hulules du. nIrtLn à i heures sItii soie les 

timaue1res e-L jours in féte XeeI)ts;, 

cu'au 28 ferier. . 

e iélai, laiit tliieu cirant sur la 

-voie ubiiqie ioat le collier portera pas 

la rouvel'itr})hsqae spéciale, sera capturé, 

urIs cfl fourrre, et, iiroiès-v&'bal .4e cont.raventin 

sei'a ijvcs» ecint.i'e IC prOpa'ié 

tah'i a't. 2 tIn l'a-iu'êté dki 21 ruai. I889, 

Les ehicn mis en fourrière qui n'auroi 

I:as été r'écIms lcm.s projwiétuires 

ttans le délai de-18 heures seront aba1t'u' 

a't, i, ti'i nue ari'èté) 

Les p:rscune.s ayant déjà décaré iUC5 

chiens se prsc;iront an Bui'eau de; (ionfi.ibutions 

afin retirer la ;:'ouv'.li.e plaque 

dnvriinL juLifier 'du paeinent de la taxe 

afférente à Ianae 1920. 

Coiit ributiojis stn -les huilads 

Li) nlaire- de Toilcuse rappelle à 5ts ailministr's 

issseui's 

liillards publics 

nu i)riv, qu'aux teYms de l'article 8 tIe 

la lcii du Id sc'ptnuuii'e 1S71. ils sont teims 

d'en faire la écila'r alion au ljui'eau t1's 

contributicu Jiirectes, i'u du . Taire, 

avant le 3E janvier pr.rchain. 

Les pei'sLnne ryaiit. ce.é Je eosédc 

dîs billar4i5. 

'Les léelaratioas seront recues ox,aonez 

Taur ';'t Iw.reati des coritri;i-tjc'p,' , de 

8 ileurca ti demie ii,u. maLin à ii Iri'ues &1r 

sor. 'iC çni ss'rais'uit; inexactes Otl- faitos 

oijré.s la I1 jlii;iee 1921. uiun.ero'r't Lei 

à l'application ileuble taxe. 

. 

Pupi}les (IC a Nation 

Cuntrle un1ia1. - - lLE. i-s 

é 

t}é[5rLoIneurt qui ayaïit u. -:ié t' c,ynti'l 

n}ieaI Lit-S ltpiU.c dé }a :';iti_n eu jub 

ii ÎruilleL diriii'r n'en-t 04 e:'i u 

b roénloire, ur t fl\ iti il alIC5''J 

a-au-it k) 13 .arr'uer, 41o'oiir i1Iai, r:j 

1lJ»tiWjCt Jo FOflltl', 1''Lat de5 honoraires 

qui leur ciL liis 

cette -d,te, 1 »raudatc4nc;t- lia 

putl -ui' 4l[. ôl.i t) 'ff.eti é ltll'illC.5 

lion IJU buttget .3upptérien1a.re t 

\-tu's la' fin de l'ansiéo 192-t. 

Cluénia Scolaire (,Lue de 1Eircianeinint) 

\urjour'ci'1iiii uiaidi 1 auvieu, l)1us la 

le iu Co.sinog;uipl, 'es g'ahiite t' - 

rignIItsst. : ii 9 hiu.re, pduu le,-. 1COi'5 dc 

airço'ns ti'i' U,fl3 }"jV, usilicuu, Mer'crr4i,, 

''. 1)1' !' 

' P , 

t ! 'J liir 

'o1s " -.':" ," :' I (.F,i5'C, Jii'é 1:'oix 

)aul'u'»' i.-L \i u , : :1 r' :i 

iTanteGRA 

A TOLOSA 

et 1 

ic U. 

Tous las Jeudis, ii(icéts i 3 E(rtm 

TUE L HO!VF 

L',tnnniiirc de 1921 

LAdu:uillk1t';itiir de I'Aiiuirajr'e dc la hIa,- 

te-Garouine. pr'cei4e I 1jlfl1fl à la r-fviiori 

générice des ailr'eases et des renskguenlents 

qIL'iI publie. 

Les perswiues (un aurai'nt tics crreiirs ii 

siguaiel' ou des inuihificatiup,, J'ji'e SOid 

prhes d'en donner avis l'éditeur, M. 

Edouard I'rivat, rue des Aits ii. Tau-. 

j ou e. 

I'rière igalPmci]t de Iianniettre sens r- 

(I L'Union des Etui1iints », orge_ire ïa 

iton protesionne1le des tW1iants toutouains 

va dérrnais paraître ehrque vea- 

(li'edi. - 

Après avoir sirivi avec sùluieitude les prgrès 

de I'U.P.G., nous mniines heureux d'applaudir 

it -c.e nouvel effort de notre jeunesse 

universitalie et nous souhaitons à ce jourria! 

des étudiants, qui révèle les plus rih"s 

- pr0flIeSSe la plus cordiale bienvenue. 

Un chauffeur qui n'inspire pris confiance 

M. le commissaire d-e pulico du 'ic arrondissement 

a mas à la cIpositica du Parqust 

soins i'inaaipatiDfl de per't. n'arme 

prohibée et psinption do vol ciime bicyclette, 

le noxuimi Langkris Auguste Einnia1Uel, 

19 ans, ehaulTeur de macIiine, 

aarss domicile lix.i: a TouiiYue, trouvé par 

les agents cyclistes errant aux aborde de la 

gas'e Matabiau, ce matin vers 2 Iïvurcs. 

Un propriétaire peu commode 

M. le ccrnmismire die police du 1er nerondissemeiit 

proc»dc ir une enquête rein- 

Live à des coups portks Sur la daine Vicu 

Marth-e, 37 ans, demeurant avenue de Miiret 

1'74, Iar son m'opriétaire, le sieur Soumet 

Jean et la femme de ce dm-aier, pour 

une ctie&tdnn dn s-an piemont de loyer. 

La femmr Vicu portant des blessures la tte cit 4UX mains u été transportée à 

l'hôpital. 

Un polu'Ot belliqueux 

Le môme ecimnunissaire d pelice a dre&s» 

procès-verbal pour bris de clôture1 'contre 

le nomwé Grétal Aimeirne, demeurant rue 

du Canal 35, qui clins un Lt complet 

d'ivresse, a défoncé à coups 'de marteum 

ur;o partie de la C-iO.'iSOfl enLou-railt -l'ezica- 

i'u 

RDÔNN;Eg1E 

Citirs et Conférences 

Fcrculté des Lettres 

Cours publics de la semaine du 6 au 

9janvier- 192! 

Jeudi, à 17 h. 15, M. !lestro : Histoire 

de la musique. Sujet : Beeihoven, la Sonate 

pastonile, n° 15, op. 2. 

Vendredi à 15 h. 45, 1'\'l. l'abbé Pierre 

Lhande : Le pays basque et ra lmttéiature 

Sujet : Le peuple brreque. ..._. A 7 h. 15, 

M. De1arucile : Littérature latine. Sujet 

'Tacite considéré comme historien. 

Samedi, à 17 h. 15, M. Cartaihhac 

Archéokgie préhistorique. Sujet : L'ouveïtur'e' 

dc l'institut de paléontolc'gie humaine 

à Paris. 

La COnéICPCC de Vl. Çartailhac, desinée 

nix étudiants de l'institut des études 

méridionales et dc In Faculté, r-eccmfluera 

mercredi 4 janvier, à 17 h. b, 

56, jue du laur. 

Grondes Conférences 

que nous 1' avons annoncé , la série 

des Grandes Conférences r'rar,çaîmcs 

sera inaugurée dimanche prochain 9 janvie? 

Touloure, par l'éminent poète 

Peu! Fort, que le nuffYrge dc ses pairs 

éleva naguère nu tit,re de prince, après 

ha mort de Stéphane Pilailaimé. Paul Fort 

nous palera du fhéitre d'Art et d"'s 

-I cmps héroïques du Symbolisme, auxquels 

il fut activement iiIé, et il mous 

dira. comme il mit dire. queloues-unes 

de ses charmantes e-t amusantes Ballades 

françaiser. Nul doute que cette séance 

n'obtienno à I culousc le ruccè 

éclatant 

qu'elle vient de remperter en Belgique, à 

Pri, au théâtre de l'OEuvre et dçins toutes 

les grandes villes de France. 

La salie du ardin-Rc'yal se trcuvant 

retenue par une autre organisation, la 

conférence sera donnée dans la sa1ie des 

Fétes du Conser'vntoire. 

PrH Scia1ise 

si:;c TION TOULOUS. 11N 

taion de la C. A ce soir mardi, ii 2 h. 30 

au café Morin. 

Ctaves quSiiOflh l'ordre dii jour. 

Prçurence de tous isi membres indispensable. 

La Vi 

ouvrière 

SydicaI de,, ntéaux et si;niloi-cs. - Rclunion 

du Conseil syndical, ce soir, à L h. 30, Bouise 

du travail. Pasence indispensable. 

Jeunes gens de 13 classe 21 

Dans otrc iniérèt, pence votre brcmc 

de chaujjeur-ruécanicierz l'ECOLE 

.'tIODTZLE, Guihert, 27, boutecard de 

Sfrasbourg, TOIILOLISE. 

Les Sociétés 

AssocMlon dc Retrais des serrices mund. 

cux. - Les Retraités municipaux qui ne font 

pas partici de l'Association apprécieront la valeur 

des jésuitais obtenus par l'action de ce groupement, 

Ils cornpr"ndront que l'Association, ayant 

besoin du concours de tous les vensioras pour 

leursuivre avec avantage de nouveties ïevendiations 

: Unification des retraites et traitement 

iniforine pour tous les retraités, il est de leur 

devoir comme de leur in1ért de se fairc inscrire 

j, l'Association. 

Il sont donc instamment pri&i de se rendre à 

Ta réunion qui sera tenue le ,1imanchr' 9 janvier, 

à 10 h. du matin, au café Fize, salle rue 

(jambetta, 43, au premier, où, en cas d'empchemcnt, 

adresser leur adhésion, en indiquant 

leur adresse à M. Rozier, secrétaire, rue de Ra- 

55r9, 15, Touloue. 

Union de er,ciens ccmbattan des chemins d 

cr du Midi, - R,union du Comité directeur, 

mercredi S janvier, à 18 h. ai siège, 1, place du 

Capitale. Présence indispensable, 

Chorale l'Atenir de Bonnefey ... Ce soir, maicl. 

, à 9 h. pi&ises. répétition -alle du Café Cor. 

barnieu, faubourg Bor.nefoy. 68. 

Présence indIspensable. 

Toulou,e-E'ceisior Club. - Ce soir, !ârdi, s 

) heureL U Sl5, assemblée érumrale et réuniOn 

dc ccmniIssion de rugby. 

La Vie sporlive 

EQUJPE DE FRANCE CONTRE .EQUIPE 

DE SELECTION 

C'est- donc dimanche 9 janvier que les mciileurs 

joueurs français de rugby seront aux prises 

sur ie magnifique terrain du Parc des Sports 

(Toec). Cette grande rencontra devant arnner 

à Toulcuse un grand nombre d'étrangers, toutes 

les dispositions ont été prises par les organisauns 

de rnauiàre que tout ic monde poissa voir 

pour pouvc acclamer ls s as » du r"ghy. 

OUVuLLE 

2 , Rue de Rérr.usat , 2 . i '' SSR)i1 1' JO V'OI 'i'ltti e. un F.abais tic 20 p. 100 

Aile Suc Laa'ictttl t sur ttis nus ar iet'ls iieIt'$. 

i(i't-fliiiirt do la porte c!'enl uéi d'un iii 

C(J-IfJl 1,01105, i nuiri; 'é Caxala1e JIiII, 

25 a-as, confliûmifl1uiu 

hier' oir vesr ortimuit, le ierlr' Mai'ciuié. 

I drnereuart. cheniu de i'rg'rclu-y-s, 

flIfliSOn .t'iéma, s'est l)réC1lté à iii 

pur'iiiainecce et n céelaré que la chaule Bayle 

Maii'ie, ;:3 au tleirieu-i'aiil chemin die l'ont-- 

itotial, cp,ui t,tf-ait sortie de clre.i (111e vois 

6 lietii'e, hier soir, 1)00e' alb'& faire tues 

p1'O'i5iOfl'S, VOilait d'êtt'e découverte à '11 

heures, sro do-nnant'plus signe de vie, itrci 

le fos'sé-ni»re qui 1eige le chemin de N - 

g-Ir'riey.e, à -100 mètres de sort doriircile. 

-M. le c.oninisaire de police du 1er or. 

roadissonient tua sCr\'iC à la I)erIlia1I1i1c1, 

s'e*t rendu sur les lieux pour procéder à 

toute-s eonstatation 'utiles. De ces ecustatatii:inn 

il rtisu.Ite quo la dain. susnommée 

n') poirto aucune trace do violences iii de 

llcssures et quo-'a terre qui borde la rUISsca4Ji 

t'itant très glissante, la docile Bavic', 

dci était dailieurs trlS myOpe, u dû liesci' 

et est tombé-e dans le où elle S'Cai 

lldy-e_ L corps a éttu trnsporté à suri il-oinie.ule. 

Trotrvailk's - 

flelarr]es' : ii :'[. Bcsièrcs, - rue Aui'ir'l 

Sarlze;14ln 7,, un ac à main ; ù M- Dalma. 

Pa:ut, em1tbiy à l'asi1 dc Braqueviile, nu 

sac à i»ajn; au hureau - dos épaves, une 

srentrc-bmacelct plaque or ; au bureau dopolice 

du 

un 

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés 

_.,. u. .- -'- . ' 

arromicluiissemeflt, pi-ace Dupuy, 

vts à main; a itno Ilosalie iNauudy. iuo 

ac e l3, t n I)e'ters1O;iIiaiP, 

''t" 

Cctte grande manifestation sportive sera priai. 

dtc par k-s aumoriais c\,ilts et rnilitairtn dc Tcii. 

buse, assIst, dci innrbies 'du 1uieau de le I &' 

diration française d rugby. 

. ' COURSE ,PEDESI'E 

L'intime Sportive Toulouenine,- a)'ant n C5I1,r 

d'encourager tout p3kticuIl1e!n5flt les p-Ota c1uis 

organise sous les rg!en1ents de lu. F. t'. S. A. 

k 9 janvier prochain, une cotirs rédesre dite 

P-ix d'Encouragement, à laquelle so invités (ou. 

tes le, socictéo de deuxiàine, trcisime et qua. 

trdnie série. 

Le départ sera donné par M. Delaplaine, pré- 

De nombreux pris de valinir doteront ceti' 

épreuve. . Un punch d'hoineur icra offrt aux partants 

le mardi I I janvier, à 9 h. du soir, lori 

de la dittibution des piix. Les engagements sort 

ieçu au siège de la Société, café Fize, place cia 

Cirpitole, accompagnés de la somme de 1 fr. )0 

asr coureur, O h. 50 remboursable aux padanls.i 

lin seront clos le samedi 8 janvier, à 7 h. 

VELODROME DU I3AZACLE 

L'Unicn Sportive- du Sud-Ouest est heureuse 

de porter à la connaissance de toutes les 

pottives reconnues d'utilité psiblique par k Vlrrtère 

d la Guerre, que sors terrain du Vélo, 

drame et 1e Parc, sont mii gracieusemeni à ieu 

disposiilon, pour y pratiquer lerIrS SéaiCes d'entramnenient, 

tous Tes jours de 8 h. du matin 

o h. du soir. 

La carte du club sera esigée à l'entrée. Les 

iociétés qui en l92i seraient désIreuses de faire 

courir leurs championnats devront cri faire la de. 

mande, huit je-uns i l'avance à M. Bonnafous. 

président de I'U, S. 3.-O., 17, place Dupuy, qui, 

réservera le terrain pour la date indiquée. 

COLlt()'\XE'.S M()ItIU,lllE 

A I'1ziiiiurteIir, 'ue i IteIIIII, tt 

THEATRES ET CUEEAS 

THEAIRE DES VARIETES. - Ce soir, macdi, 

ii 8 li. 30, pour les derniàre'i représeatations 

dc: ?Ilme J. Pi:eur, de la Gaîté Lyrique, La Fille 

du Tambour Major, opérette à grand speclacie 

.l'Offenhzrch. Mile Prieur, dan5 le r6le de Stella: 

A. Prady, Gailrnant, M. René Gerbert. Pagnoulle 

Mkhail, Azéma. Au 3e acte, une primeur est 

r.servée aix di!ettant par l'audition de Sanucritr. 

giand-.ha!Iet de V. Natta, dontta '.prsique eat dOn 

é la plume du macatro E. Pichran.. sera daa 

pa (ma, Florine Natta, Natta lits et les dames 

du corps du ballet. 

Demain, mercredi, à & h. 30 grand gala lyri. 

(iu. représentation eztTaordinnire avec le concours 

de M. E. Billot, de l'Opéra Cornique, te 

grand chanteur. dans Thais, s&Ie d'AthanaiiI 

Mmc Ririnii, Thaïs. 

l.ES NOUVEAUTÉS. -- C soir, inarsi ( 

jours suivnnt.s la merveilleuse revue 'l'Antoine 

-Rasmi La Reiuic EndiabUe, follement gaie, 

Lt,louissante rie coaluines avec dcc tableaux mervdl1sux 

de féerie. 

APOLLO-THEATRE. - Aujo,rrd'heij matieée 

et soirée, urcmièi-e vision do t''! . 

13. C:.di-c l'Arnour 

cøiiédie dramatique en 4 parties et Tracail 

4e chapitre - s L'Hymne au travail s 

GAUMONT-PALACE. .- Aujourd'hui à 3 h. 

et à 8 h. 45 : La Coupblc, pas Vivian Martin: 

Jalousie d'une Fcmc (7e épisode de la Ci!é PcidiieJ. 

Conique. -Acteatités. 

CFtI3 llioj'1air. LaIb. ru ut,5 

t! 

1]ÀUTIE-6ARONNE 

GJIENADC 

FOOT-BALL RUGBY. - Les Leviers-Sports 

bstient le G. O. par I 1 points (3 essais. I but à 0). 

1'équpe 1 de Grenade étant privée de la plupart 

de se-s équipiers pi'emies, a fait d son 

mieux pour nisister au club adverse. - 

Le Club Grisollai5 (I) bat l'équipe 2 du C. O. 

qui comprenait la plupart des équipiers 3, par 

2 points (4 essais) a 0. 

Idllt$ I1llaic3 ll " 

tO fr'. 20 le net, 5aai ; 

s'avane 

ON D1IANDE ami tilirque Pin&' des pu-. 

lel'reniors murets do nonse références 

poul- la caJn-pa'no 1921. S'alresscr Cirque 

Piudor, rue Mata.biau, Toulouse 

CANTINE 2e Aérost-ier à Ptirignort, de-i 

mande fille de salle. 

!tTEL1E1t « La Fiimm au Foyer , rame 

St-Sauveur, dorriaricle des méeanioiei-uie 

avec leur machine ou sans nia.chiw. pour, 

confection militaire. 'Fravail assuré. Se prrj 

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s'adresser bureaux de la Sc. 

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licrniørc 

Notre peilique au Mai"oc 

Rabat. -. Au cours de ses voyagea au Marc 

oiienta! et dans la région de Tad!a k généra) 

Lyautey a élaboré tout un plan de campsns poir 

Lnantir le plus vite possible l'hostilité des disidents 

et pacifier définitivement le Maroc dan 

je minimum de temps afin d'arriver à diminuer 

les dépenses militaires de la métr'opok. 

li na faut pa néanmoins compter parvenir & 

un résultat complet avant 2 ou 3 ans, mais le 

,énéral espère qu'à la fin de 1921 les rance 

identes seront très iéduites. 

La situatiøn eti-Crêce 

Athnes. - On sait que I'ouvertuze de Id 

Chambre aura lieu mercredi prochain Le roi sera 

sans doute rétablir de sa bronchite ce jour-là et 

prononcera le discours du tr3ne Clans lequel on 

s'attend- à voir développer d une façon spéciale 

les idées -ententophiles qu iIi s'est appliqué à 

émettre depuis sqi retour, . puis ica tmvaux soron) 

ruspenus jusq'.i'à la ftu dc jamiai.- 

i,T

. 

Elle 

1c 

quil 

rs 

I 

' * 

neilu iarlr-on 

Vo'; oavez jarna 

.ia:- o:Ffr ieiit itlai L L'ni1, mon ('ftfilï)t,.yO.fls irez .ano11r Le, ri- ti j-t' lrr'{'fl i-&IC attCitfl, 

77 1L'TLLETON Dii MIDI 

1ti cl'int nomrm Zizi. . , le Zizi, I Firn1)I ':L' tic rc,c'lj à la jeune fio dijut iitc. l'aire une eoetrni.ssion oui, ecit'tai_ Nc-l-c'- !'-L- ? 

colnn.Ic o1i n-1'apIi1le 1riaiatcint, 1i-b ? tort (&its, et pcut-êtrc lui ifflIlc;r dc' 11t'rnent, \-ous sera d-es ïIus agoables. 

-S-' cent-i -. ic-i' je c--ooprond -très bici 

- J'!nhas. ) 

eIi idiit(, _- t(".i au rnoii.s 1rsurno - Ott mndeinotselle, 

\ niro 4sir, (4 j-" l'cxe--ue. 

- Alors, je me t rompe, peut-(1.c. les reCOTnLPn;Iulaii(1l tx{ue.rrns d. notaire, -.-- 1);-ii ,Ie (piuitier de la Ba-sI i le. Je n'ig.eorc' roi-s. ras c.htni' T.ot-kcn, qn' 

r 

C'es proJja31 e , 

sen 1:iofa.leuc', lui t:tic'nt revercur. tout .- Oh I je di'ine, r j.arbit la jeune fillc' \011-i sUr:'-itJ Irès kerweuse cl'erivet' assez t' 

- C1'eI)daut., c'cL PUI1(UX j' lctrC)U\(' il coup ii J'cspc'it 

u 011 r.C1rt j-ctye-u ; ecst C11C iltuc Ïljfit, I nIjO pane :v&i- 1_ ff!9 (10 

La de Lwi 

1 

- 

(!1ns cure p11ysi(uoinie, drin voire regard C'est aloi-s qu'il s'iai! auvé peéripitamiuot, 

de [)LUc' do .s li fhir. 

Et (rue lui dirai-je ? - C'e.t bien cc'à qrCil faut coolie ? 

.-- Justement. 

veuve t' 

rieLa.ut, :s souvenirs, une telI ressoniblarce 

tautrefois. 

Or, tatti (1u'i! 'ct'oieai1, in belle Loul- Que j'ai bc'ein de la VOl-L- aiicluinen. S- J0 'l'avoue, mademoiselle, 

Far I1ENfl GELU1AI? 

. 

Tenez, fllaCl(?W()iSelle, pidmne nion SOn rfi(.cr.1iiarjt it teut ce (lL cet. liolucut' 1'Jrj CUO 5011 fils. le l)l1t lAI possible. l'a Ii-.'1i1eou.p d'affe-clic,n p-tzar Gcoi. - 

ifl1siMtanee, mais laisez-iuoi Leor U'RC étrange lui av:iit cul. 

- Ma vous ni-giorc'z nralc'noiselle, 

cji'e Oecrgc's n'est lit.e i-ole le dime 

un frre amn, car je me soirviens 

\_oua le sevc-z. je le C--&iiSiitt'c'tt tU peu cour- 

sei.ilo question ? 

Et, iejctuitt tous le Croula in guifiaiits 

\ riwki, t_; do I!QUP&U? qu& jaie Si, pousrtant, e1e VOkIS enibrrtsge trop, i1le no ConServait Oit Sa rriéniore qu'un tiinuclie. 

JC)UI5 avec recnunaisaneo (rC Cc q-ne sa 

vol_15 il' 

uivnt. trp bcnne rnnure. 

rpondrez pas, yoilt tout, . rcnscigrne.ment .1ui (Jc\ ait lui servie dans -' J'y ai pensé-. 

)mir!'e a fait init-refois p-nuir moi. c1, .. 

.]çnRfl, tIjui eroye'i.-vow dor que je Faites. 

l'avenir 

Aloi ? -P 

- 

. u ? dcmanca Loxioa d'w on impatit& 

- Sh bio.0 I 'vous sOu'oiSz-vou. dans Zizi, o pire Zizi, maroltanci de vins â Eh bieri I VOUi k puitrcz ck' venir - Cunime. Uti fm-ère- t'est peut--être exa. 

voire jdunrse, d'avoir 1;ass c'ulqus niais FlcLrj', O!1td-:iue du t'c rC Ciania 

et, 

110113 somme-s aujourd'hui vendredi, ce uc' ri-auto. 

apL-±s=dcniai-n, dans laorès-micli, p1t.i.5CUC 

Silé, iat'co-ronipit MIte cl-e l'r6fiile, Sou... 

. 

-. i;en. voilh, c'est ae tifieiie t dire. tkins une penaiou à Clamart, rue deBeltevue 

? Sera CS bien long. 

-S Mai8 si, vo'is asscirme. 

. 

iriae'rnoie1le; cI'rattant p1u que jo no uis 

tr& I1(ibik1L .LOtII110T e LLCiIe phra.- ___._: Oui, en effet., 

- En effet, 42-ux jours reuiment- --Bien, tri's-bjen ma e-lii'c' erilent, n'in-, 

-.. Chez Mile Bétal 

lit- 

sistcz pas 

- 

Puis, aèg un silence ciubarrasé, la 

-. Qu'a cela ne t4e.nno ; Ie phrases 'e J.e ne sais plut 

jeune fille reprit : 

\'ous fel-ioz un petit iuemisoimg' partait-e.. 

- 

ilC fora rien. 

b-.. Ah !.. 

L' M 

ÀL{kJj, moi, ça iTie fait qiicue cho- Après cette interject7on, iisj s9nter 

-.. A quelle heute devai-j aller citez mûrit inu1tl. 

me Pajot ? 

_4 suivre 

; a m'mI4rrac. 

cumpit soudain et parut rf1cliir profontkiiienL 

pend'anL un irutant. 

A la suite dt lenhc'c'tia 

{cnc, fau d'abord quo je vous hro qui 

- Mais, comme je vous le disais, vers 

c'eret. que fll'r 

jf sais, ça vou doe,nea coiifiauce, poui1 

même. pa..rh ainsi, le encore, je me sui absolument trompi, je lurgente iic'esstc où ion se- trouvait cFii C'est re.ut-être un 1)011 tùt, 1our une 'ruUères diirt 

Puis il se leva tout ù coup 

rie Pr.faillc t.vait c-u a-c 

trois lieurc-i, par xe.niple. 

1\'IL Lel'lond, il 

- Mors, pardon, matinnioiselle. reprit-il avait ét4' cnvni, do part. et daulre. do 

J'aurais proféré m'y rendre silôtapres 

1(3 ddjeu-nor, si 'voue me le prmott.icz ? 

terfll)S 

-ouvoatt v.eu s'assytit IN1 fac, dc la cc je voia hicn; vous i1'ies pas la poruanne ft-ricr Mnie pot et e-on lUs du niall4eur 

-S--- 

1u&ielte do CO4ïtpag1ie. 

quo je croyais. 

qui venait. (te frnppc{ Ta fa4nillc'-Ma .ly, en 

-isitC ?. , . 

- Je ft[)rit-il, Un pcIi ccrume.rtant; 

tout simplcrient; ou YLZ dÛ vous vite du salon, iaisan la demoiselle d Plus que jamais il fallait lette reeom tn d!irouie ifoc' cjuj fraipa son iiit'i1ocu- 

Et, saiis en dire davantage, il sortit fr la personne cu eapitar.e 

Lii ciia-n.t. cola, M-11e do PiéfaiU- r-u!, un 

£Uenr I:orL-8lutX 

(fl poreevoir ? 

calnpagnie stup6fic de es al1L1res Ijizaices 

tous et surtout cte Louis-rii 

mander inie extenie pIIIdnLe vi5-ir-vis dc' Iriec. Wonrnlsssr d Rot t E.pag 

. 

- Mai; non, monsieur. 

Oh- ! madeni'c'iel1e, dit aussitut la dcmoiseile 

de cornoagiLie confne, vou pcn- 

rt da l'flô1 çu hiais. à Biarrt 

.i. ça sc voit tout cte 

Ėn ralité, l'homme qui, venu d'abord Cetto tc'P.tatie d'csrassinat, commise à s,z doneque c'et. pour-les t-otrv-er tO-U- h's 

rir : JeaL GIOie, Urt (&.-Pj 

J:tajlj matiirtd de viu-t&'aikur. t Fleurv, 

dai la Ora.n1e-Rue, prs. u hois de rLit aminciit. a.bando.mrant son lrojet surabon.jsnnment. en effet, que les ennemis 

pour voir Me LblonrI, se rtiraiL si pici- 

(leS mu1liec' do ijCUc'S de distance. prouvait. 

- 

doux ?. . . 

kiart hu.i ans, j connais le de viiie, n'était airtre que nbre ancienre inconnus Uni s'acharnaient salis luit (1011-I.e 

-S J'en siris sûre, petite finn i 

S'fITUT sEnoTtEaApxQuE 

L baçjr e Cs.e U-51 

ioe1e ni' IielntÉ,, ol. . . 

conn,aiss4inoe : Zizi dit. la Fleniine. il la destruction oinplète des li-cii'itiers de 

:EL vous y voyez nu gL'anc nn'u 

Elccfrolyse, S&imms c l'aceins 

- 

Il iiierrornpii la p1ire eorouîoice. Il venat di ietiauyer inopininent celle Jean Mari)' n'avaient j'as d-isrrnn. 

nient ? 

j;our aeltcvr LrUSC[UCffle41t 

uu'il avait j&Iis sau\é'e de la mort. et, Aussi, Ci's 4e endeniaiu rnatiii cte sa viile 

ru-e j-iit-t4onorc, I'avc--2e dit-elle ii rf.jtc' rie son inuoceate taçuincrie, mais 

i\foi ce récria gaiement l'aveugle- a- 

Ocver d III h. à 1m.. in;mdi exep 

je, iu crscime TOULOUS 

- Ça ic 'vous dut, rien ? . (nrS son étonnement, il avait f -ailli dire 

Itien du tcrut flOflieUr 

dus btic5, 

sn (tOlilCi-- C de CQITipOgflir' : 

je n'ai pas -dit -ce-la, 

vend les meilleurs 

A1irnesrtatioi Approvisiozrionieut 

TcrLousE 

' ---,.---' . *'"-'--',--- - -.- -' -, . 

1 ri ibIe, sn odeur durc yeu-. rrab1 t dan 

kCC erne{tajI do &gnev n ccr. e trivatious n rcgiiio e. aTs nJec-on touk ks nandi (le crge èftitaix 

JIs PPTE, iStET, 

r:ceit(5 (.0 CCiqU$, Ie é.!es ct iebellcs à Iotr es t!Uenent (iou( m1tai 

_t nofL.rIgu. cuu, Ur5thiIe, t1ttiit, ec et tc.tte ics ffectioiis nu11 ces ni1adis donncn naissance, it queite 

kiflt. 6 écs ou mal Cc Diagéc sont uii tn cïccI!eit eptiqu ccnixe ks nikdics de la Vesc, icouUtonc 

d; MALADIES SCRETES 

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TOUS TRAVAUX 

L!VASON AP1DE 

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TOULOUSE 

D'IMPRESSON 

pux AVANTAGEUX 

Téléphone O. 

-.-.S- ''4 

Ponnairc la regardait fixement, de son pouvoir, je pouseiais les camarades à Violeminent, sans cesser de -tirer l'aihue, 

la ioupe répéta 

Ragu, quand ils nvaieat bu ensinhle. 

Boutron, qui bjllit d'admiration devant 

regard clair et droit. S'il cédait d'halitude 

sur les points de police domestique. $0 laisser manger, le travail doit être peyé Et nous crèverons de faim!. 

C'est bien vrai, ah! bon sang! queile 

obtenir justics. On ne peut pourtant pas 

is FBUILLET(N DU « MIDI 't 

s'il la laissait régner despotiquement 

AIT 

dans con pr.x, à moins qu cri ne se résigne à - Et nous crveions de faim, c'c.s noce, lor que nous serons toc maîttes! 

ménage, il dcven3it ci: fer, quand iue être de si1rples esclaves Nous aiOnS si bien possible. dit Bpnnaire. Mais je dormi'-ai 

tranquille. 

plein drirépris pour cette barre cor- 

Mais Bonnaire haussait les épu!, 

question de conscience était en jeu. Anssi, 

sans élever ic ton, d'un. voix de r'raî- 

céder sur tous ies pcints, en acceptant Ragu se mit à ricaner. 

ccptmon de la victoire future des tiavali- 

h1en raison, qu monsieur Delavcau a dû 

- 

tre qu'elle connaisrait bien, se contentat-il 

de lui dire 

notre nouveau tarif, Maintenant, je m'apeyçois 

que cet homme est furieux, et n'a jamais seivi à rien. Ce n'est pas que avamt rcfleclu, croyait savoir. Et il parla 

Oh! crever de faim, c'est inutile, ça leurs sur les exploiteurs. Lui, avait lu. 

Par Ernile ZOLA 

- Tu vas me Çairc le plaisir de te taire. qu'il faut, comme dit ma femme, que 

C'est des hirtoires i nous, irs hommes, qucqU'vfl paye ies pots carc&s. Si ic ne 

je défende les patrons, une fameuse clique! 

Seulement, puisqu'on a besoin nait de due, Voulant avoir raison. Lue 

clenouveau, excité pat' tout ce qu'on ve- 

auxquciks les femmes comme toi ne ru n allaIs pas dc bon gre aujourd hiit. 

Tu qittes 1'uine, tu quittes I'usine! 

chuna-tte, rageuse, pedue, cri qu'elles ne s'occupent pas. iu cs très deherc demain Aio. quoi! vaic-je tn'en- 

comprennent rien, cl dont il vaut mieux 

il ti'cuvcrait un prétexte pour me jeter 

ci' cux, faut toujours finir par s entendre r000nmut 1 idée collectiviste. telle qu'elle 

et faire à 1;eu près cc qu'ils veulent. etait formulée par les intransigeants du 

renaIit se pianr devant lui. Çr ne sufjt 

donc pas que tu te sois mr sur à racomilic-Cler ton linge, si tu ne veux jt de q1'erelle? Non, r,on! ça 

gentille, mais tu foras bien de te remettre ttcr à retei', pour (trc un corittnuel su- 

Il continua, plaisanta, sortit toute son pai'ti_ D'abord, il fallait que la nation 

âme. Ç'était l'ouviici- rncycn, ni bon ni reprît pbssession du sol et des iristrumonts 

du travaiL pour les socialiser, les 

fras cette sale giève, qui, penclirnt des pas que nous nous fâchions. 

rail sur les camacades en ennuis dr tauter 

rotes, ce rcait très niai de ma pact. que le fnisait l'actuelle organisation du rendre à tous. Ensuite. - le travail serait 

mauvais. le produit gâté du salariat, tel 

mois, nous a forcés ii manger toutes nos Et il la pourra vers in cheisr. près de 

coIiomies? II faut encore, maintenant, la lampe, la força à s y rassem. Doniptés, 

tremblante, dune colère qu'ellr sa- 

les caira'ades parlaient de ccntinuer la piaIiste, il se fâchait contre l'écrasement de façon à ce que la rémunération fut 

J'ai frit ssiublant dc rentier, parce que travail. U criait bien con1e le régime ca- 

réorganisé. rendu général et obligato;re 

:i ne ce soit toi qui payes les pots cassés. 

1'ors, nous allons mourir de faim, et moi, vait d&olTnais impuissante, elle reprjt grvc, si je ne rentrais pas. Maie, à présent 

qua iec yvoilà au travail, bien tran- 

d'une courte révolte. lVkis le long atavis- 

fournies par chacun. 0m il s'embrouillait 

de travail imposé, il était même capable proportionnelle aux heures de besogne 

'irai toute nue! 

l'aiguille, ciic affecta de e désintéressrr 

Sans se fcher, il répondit doucement des questions dont on I'écrzrtait i nettc quilles, j'cirne mieux disparaître, puisqu'il 

le faut. Ça arrange tout, pas un ne flme d'esclave, en icrpcct devant la t'a- 

par des lois, à cette socialisation, c'était 

me l'avait. col!mrbé, il avait nu fond une c'était Sur la façon pratique d'arriver, 

- C cst possible. tu n'auras peut-être rient. Réveillé par le bujt des voix, le 

jas de robe neuve au jour de l'an, et pic Lunot sans s'étonner de voir tout bouecia, et moi j'auai lait ce que je dition établie, en envie devant k patron, sur-tout sur le libre fonctionnement du 

peut-être que nous devrons ious serrer ic ce monde. rallumait a pipe, écoutait dois faire C'est mon honneur, monsieur, fli-ÎtïC Souverain, possesseur et jouisseur 

système, lorsqu'il serait mis en pratiq'-le, 

dc Lcutec ebosca, ne nourrissant que' la toute une rrmachiue compliquée de direction 

et de contr6le, qui nécessiterait une 

ventre. Mais je te rtpte que fais ce d'un air de vieux phiiocophe desabusé. chacun k sien, 

sourde ambition de le reniplacer un beau 

que je dois faire, 

Et, dans leur petit lit, les enfants euxnirnes, 

Lucien et Antoinette, tirés dr U disait ccs choses avec ine grandeur tilatin, pour posséder et jouir à son tour. police d'Etat vexatoire et dure. Et Lue, 

ne lacha pas, elle se rapprocha, lui 

i. 'pie, d'un air si aisé et si brave, que L'idéal, en somme, était de ne rien faire, qui nallait point encore jusque-là, dans 

cria dans la face 

leur sorniTteil, ouvi'ricnt de grands yeux, 

Ah! ouiche! si tu crois qu'ont'en semblaient tâcher de comprendrs les Lue fut profondément ému. De ce-t auvticr 

qu'il avait vu noir et muet, oeuvrant Ah! ce cochon dc Delaveau, je von- 

la tranquille foi du croyant 

d'être le patron pour ne rien faire, son besoin humanitaire, lui ayant fait des 

cbjections. Elonnaire lui répondit, aveQ 

pera reconnaissant! Déjà les csmarades choses graves que disaient les grandes 

si durement devant son four. de cet hoiunie 

qu'il Venait de voir doux et bon, die qu'il serait à la mienne, Ça m'amu- 

Tout nous appartient, nous 

drais bien être huit jours à sa place, tan- 

1je se gênent pas pour dire que. sans ta personnes. .. 

rève, ils n'auraient pas creVé la faim Bonneire, -itiaintonarit, s'adr.s3ait à 

'pendant deux mos Et sais-tu ce qu'ils Luc, toujours debout, comme pour le d'tinc toéranCs ccnci1antc dans son serait d'aller le regarder faire la boule, drone tout, p'Qur que chacun ait sa justC 

nage, ac levait un héror du travail, un l'après-midi, en fumant de gros cigares. pait de travail et de repos. de peine et 

- 

'diront, quand ils sautorit CUC tu quittes prendre à témoin. 

'usifle ils diront que c'est bien fait. et 

r005 monsieur, chacun a son de ces lutteurs obscurs qui ont donné tout Et VOUS savez, tout arrive, nous pouvons dc joie, Il «y n pas c autte s!uticn rai 

'que tu n'es qu'un inibéctk Janas. je nç honneur, n'est-ce pas? La grève étsit leur être à la jUsticC, et qui sont fiaterride, 

jucju'à i'immo!et silence rour chain chambardement. 

devenir tOUS çks pattons, dans le pro- 

connabk, l'injustice c-t la suffraiice sont 

te Iaiseiai faire une pareillef belise. Ençnds-! 

t etoume3'aS au r&v;id demaui ta referais; je veui dive que. de tout mon les d!trr5. 

Çette idée amusa névitabk, et si elle était à refaite, je j 

devenues trOp grandes 

A 

prodigie1sement 

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