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Dossier de presse - Théâtre du Rond-Point

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<strong>Dossier</strong>
<strong>de</strong>
<strong>presse</strong><br />

Du 17
mars
au 22
avril
2006<br />

La
Baignoire<br />

et
les
<strong>de</strong>ux
Chaises<br />

15
auteurs<br />

15
pièces<br />

en
alternance<br />


mise
en
scène
Gilles
Cohen<br />

Théâtre <strong>du</strong> <strong>Rond</strong>-<strong>Point</strong> 2 bis, avenue Franklin D. Roosevelt 75008 PARIS<br />

Direction <strong>de</strong> la communication Nathalie Sultan<br />

Service <strong>presse</strong> Hélène Ducharne 01 44 95 98 47 / Carine Mangou 01 44 95 98 33


La
 Baignoire
 et
 les
 <strong>de</strong>ux
 Chaises<br />

reprise<br />

Feuilleton théâtral<br />

Paru aux Editions <strong>de</strong> l’Amandier, collection « <strong>Rond</strong>-<strong>Point</strong> »<br />

sur une idée <strong>de</strong> Jean-Michel Ribes<br />

un feuilleton théâtral<br />

15 auteurs écrivent 15 pièces <strong>de</strong> 20 minutes<br />

pour 3 comédiens,<br />

1 baignoire,<br />

2 chaises,<br />

2 mugissements <strong>de</strong> vache<br />

et un yaourt périmé !<br />

5 programmes en alternance<br />

Textes <strong>de</strong> Pierre Bénézit, May Bouhada, Joseph Danan, Timothée <strong>de</strong> Fombelle, Agnès<br />

Desarthe, Jean-Paul Farré, Léa Fazer, Christophe Ferré, Nathalie Fillion, Jean-Daniel<br />

Magnin, Pierre-Yves Millot, Christophe Pagnon, Jacques Serena, Sébastien Thiéry,<br />

Raphaëlle Valbrune.<br />

Mise en scène Gilles Cohen<br />

Lumières Gérard Monin<br />

Création sonore Gilles Normand<br />

Assistante à la mise en scène Soline <strong>de</strong> Warren<br />

Avec Pierre Aussedat, Emeline Bayart et Philippe Hérisson<br />

Copro<strong>du</strong>ction Théâtre <strong>du</strong> <strong>Rond</strong>-<strong>Point</strong>, Atelier 88-Cie Gilles Cohen (avec l’ai<strong>de</strong> <strong>de</strong> la DRAC Ile <strong>de</strong> France),<br />

Espace <strong>de</strong>s Arts (Chalon-sur-Saône). Avec le soutien <strong>du</strong> ministère <strong>de</strong> la Culture-DMDTS, <strong>de</strong> Beaumarchais<br />

(association fondée par la SACD) et <strong>de</strong> la SACD (dans le cadre <strong>de</strong> son action culturelle théâtre).<br />

Théâtre <strong>du</strong> <strong>Rond</strong>-<strong>Point</strong> - Salle Roland Topor (86 places)<br />

Du vendredi 17 mars au samedi 22 avril à 18 h30 : 5 programmes en alternance<br />

Relâche les dimanches et lundis<br />

Samedi 1 er et 22 avril : Intégrales <strong>de</strong> 15 h à 22 h<br />

Réservations 01 44 95 98 21 ou 0 892 701 603 (0,34 euros/min)


La règle <strong>du</strong> jeu<br />

Vous connaissez ce jeu où l’on doit inventer une histoire en intégrant trois mots tirés au sort ?<br />

Vous aimez les exercices <strong>de</strong> style, ou les cadavres exquis chers aux surréalistes? Jean-Michel<br />

Ribes a eu l’idée d’un tel jeu au théâtre : un concours <strong>de</strong> pièces courtes écrites selon <strong>de</strong>s<br />

paramètres imposés.<br />

L’idée est simple : faire vivre au public la singularité, l’imaginaire, la drôlerie, l’invention<br />

d’une quinzaine d’auteurs, en confrontant leurs textes à un même décor, aux mêmes<br />

comédiens, au même metteur en scène...<br />

Il a été ainsi proposé à 120 écrivains, recommandés par trois comités <strong>de</strong> lecture associés<br />

(Bureau <strong>de</strong>s Ecritures et <strong>de</strong> la Recherche, Beaumarchais, <strong>Rond</strong>-<strong>Point</strong>), d’écrire une pièce <strong>de</strong><br />

20 minutes pour une actrice et <strong>de</strong>ux acteurs, une baignoire et <strong>de</strong>ux chaises, <strong>de</strong>ux<br />

mugissements <strong>de</strong> vache et la réplique : « Ce yaourt est périmé ». Précision importante : il<br />

n'était pas interdit d'être drôle...<br />

Plus <strong>de</strong> 90 pièces ont été reçues, parmi lesquelles les partenaires et le metteur en scène Gilles<br />

Cohen en ont retenu quinze – éditées et jouées pendant un mois à 18h30 sous la forme d'un<br />

"feuilleton théâtral" articulé en 5 épiso<strong>de</strong>s d'une heure (trois pièces par soirée).<br />

Les 5 épiso<strong>de</strong>s d’un feuilleton théâtral :<br />

• Les vendredis 17, 24, 31 mars et 7, 14, 21 avril : Trois personnages en quête d’auteur(s)<br />

<strong>de</strong> Jean-Paul Farré ; L’Art <strong>de</strong> la fuite <strong>de</strong> Joseph Danan ; Panse-bête <strong>de</strong> Christophe Pagnon.<br />

• Les samedis 18, 25 mars et 8, 15 avril : Saint Pierre sous terre <strong>de</strong> Timothée <strong>de</strong> Timothée<br />

<strong>de</strong> Fombelle ; Bain <strong>de</strong> lumière <strong>de</strong> Christophe Ferré ; Vu dans un yaourt <strong>de</strong> Jean-Daniel<br />

Magnin.<br />

• Les mardis 21, 28 mars et 4, 11, 18 avril : Dommage <strong>de</strong> Jacques Serena, La Fache <strong>de</strong><br />

Sébastien Thiéry, Taka <strong>de</strong> Nathalie Fillion.<br />

• Les mercredis 22, 29 mars et 5, 12, 19 avril : Les Chevaliers d’Agnès Desarthe ; Les<br />

Hommes préhistoriques sont <strong>de</strong>s cons <strong>de</strong> Pierre Bénézit ; Azincourt <strong>de</strong> Pierre-Yves Millot.<br />

• Les jeudis 23, 30 mars, 6, 13, 20 avril : L’Amour d’une mère <strong>de</strong> Raphaëlle Valbrune ; Les<br />

Névrosés <strong>de</strong> Léa Fazer ; C’est tellement bon d’être une femme <strong>de</strong> May Bouhada.<br />

• Samedi 1 er et 22 avril : Intégrale <strong>de</strong> 14 h à 23 h


Note <strong>de</strong> mise en scène<br />

Ce qui me ravit dans ce projet, c’est qu’il va à l’essentiel. Pas <strong>de</strong> décor ou si peu : une<br />

baignoire et <strong>de</strong>ux chaises. Pas <strong>de</strong> son ou si peu : <strong>de</strong>ux mugissements <strong>de</strong> vache. Pas <strong>de</strong><br />

contraintes ou si peu : juste 496 pages et 45 personnages à incarner, etc... Ce n’est pourtant ni<br />

la performance, ni l’exercice <strong>de</strong> style qui m’attire là-<strong>de</strong>dans, c’est purement le jeu pour le jeu<br />

et le plaisir <strong>de</strong> ça. Remettre l’acteur et l’auteur au centre <strong>du</strong> plateau. Voilà. Sans fioriture, sans<br />

chichi. Simplement et évi<strong>de</strong>mment. Les quinze textes choisis sont tous singuliers, drôles,<br />

différents, inatten<strong>du</strong>s. Ils sont pleins d’humour et <strong>de</strong> jeunesse. La langue est forte et<br />

personnelle. Je n’ai pas cherché à déceler un sens, une progression dramaturgique pour les<br />

relier, je n’ai pas cherché ce qui pourrait dans un programme compléter l’un ou différencier<br />

l’autre (les 15 pièces seront jouées en intégrale). Les renvois, rebonds, ramifications se font<br />

naturellement, au fil <strong>du</strong> travail. Je privilégie le hasard, les ruptures <strong>de</strong> rythme, <strong>de</strong> ton, passer<br />

<strong>de</strong> la comédie au drame. Ce spectacle est un apéritif <strong>de</strong> bulles <strong>de</strong> champagne.<br />

GILLES COHEN


Gilles Cohen (metteur en scène)<br />

Gilles Cohen a notamment mis en scène Les Intimités d’un Séminariste d’Arthur Rimbaud au<br />

Théâtre <strong>du</strong> <strong>Rond</strong>-<strong>Point</strong> (1985) ; Un Mouton à l’entresol et La Pièce <strong>de</strong> Chambertin d’Eugène<br />

Labiche au Théâtre <strong>de</strong> la Tempête (1988) ; Le Mystère <strong>de</strong> la chambre jaune <strong>de</strong> Gaston Leroux<br />

au Théâtre <strong>de</strong> la Tempête et au CDN <strong>de</strong> Lille (1990) ; Quel cirque ! au Centre National <strong>de</strong>s<br />

Arts <strong>du</strong> Cirque <strong>de</strong> Châlons (1991) ; Les Petits Marteaux <strong>de</strong> Gilles Cohen au Théâtre <strong>de</strong> la<br />

Tempête, au Théâtre <strong>du</strong> Ranelagh et en tournée (1992/94) ; Les Martyrs <strong>du</strong> Bonheur <strong>de</strong> Henri<br />

Monnier au Théâtre <strong>de</strong> la Tempête (1996) ; Amoureuse <strong>de</strong> Georges <strong>de</strong> Porto-Riche au Studio<br />

<strong>de</strong>s Champs Elysées (1997) ; L’Aquarium <strong>de</strong> Louis Calaferte au Théâtre <strong>de</strong> L’Atalante (2000)<br />

; Vingt-quatre mètres cubes <strong>de</strong> silence <strong>de</strong> Geneviève Serreau au Théâtre <strong>du</strong> <strong>Rond</strong>-<strong>Point</strong> et en<br />

tournée (2001/03) ; Soucis <strong>de</strong> Famille <strong>de</strong> Karl Valentin au Théâtre Vidy-Lausanne, Espace<br />

<strong>de</strong>s Arts Châlons sur Saône (2003) ; Théâtre à la campagne <strong>de</strong> David Lescot, Espace <strong>de</strong>s Arts<br />

à Châlons sur Saône (2005).<br />

Il a réalisé Formidable (court-métrage, 1998), prix <strong>de</strong> la qualité <strong>du</strong> Centre National <strong>du</strong><br />

Cinéma ; Petite Victoire (court-métrage,2001).<br />

Il a enseigné le théâtre à l’école <strong>du</strong> Théâtre National <strong>de</strong> Chaillot, à l’Ecole Clau<strong>de</strong> Mathieu et<br />

au Cours Florent, et a dirigé <strong>de</strong>s stages <strong>de</strong> direction d’acteur à la FEMIS et à L’ECAL<br />

(Lausanne). Au cinéma, il a joué dans Rois et Reine d’Arnaud Desplechin (2004) et De battre<br />

mon cœur s’est arrêté <strong>de</strong> Jacques Audiard (2004).


Les auteurs<br />

Pierre Bénézit<br />

Les hommes préhistoriques sont <strong>de</strong>s cons<br />

Pierre Bénézit est né en 1974. Il est aussi comédien, formé au conservatoire <strong>du</strong> Xème<br />

arrondissement <strong>de</strong> Paris par Jean-Louis Bihoreau et Jean-Pierre Martino. Au théâtre, il a<br />

notamment travaillé avec Jérémy Banster, Olivier Bunel, Vincent Viotti et François Briault.<br />

Au cinéma, il a joué sous la direction <strong>de</strong> Didier Caron. Il a également collaboré à Naïves<br />

hiron<strong>de</strong>lles <strong>de</strong> Roland Dubillard, pièce mise en scène par Vincent Debost dans le cadre <strong>du</strong><br />

Festival Dubillard au Théâtre <strong>du</strong> <strong>Rond</strong>-<strong>Point</strong>. Il est aussi l’auteur <strong>de</strong> la pièce Ils ont dû nous<br />

oublier.<br />

Résumé <strong>du</strong> texte :<br />

Tous les sujets <strong>de</strong> conversation ont-ils déjà été abordés ? Y a-t-il plus <strong>de</strong> passé ou plus <strong>de</strong><br />

futur ? Comment penser à rien ?... Paulbert, Gérald et Barbara y réfléchissent.<br />

May Bouhada<br />

C’est tellement bon d’être une femme<br />

May Bouhada est née en 1972. Elle est aussi comédienne et metteur en scène. Licenciée en<br />

Lettres mo<strong>de</strong>rnes et diplômée <strong>du</strong> Conservatoire National Supérieur d’Art Dramatique en<br />

1997, elle joue sous la direction <strong>de</strong> Laurent Rogero, Jean-Yves Lazennec, Alain Milianti,<br />

Caroline Marcadé, Nicolas Ducron... En 2000, elle crée au Jeune Théâtre National Un fleuve<br />

en chaleur, <strong>de</strong> Boudjema Bouhada, qui sera ensuite réalisée pour France Culture par<br />

Marguerite Gâteau. Sa compagnie, Ils sont Magnifiques dans l’Espace, donne en création<br />

collective À la Feuille <strong>de</strong> Rose, <strong>de</strong> Guy <strong>de</strong> Maupassant. Elle met en scène La Fantasque<br />

histoire <strong>de</strong> Jacquot dans la cave, <strong>de</strong> Benoît Giros, en 2003 (jeune public). Esperam nous<br />

manquera a été pro<strong>du</strong>ite par France Culture en décembre 2002, présentée sous la forme d’une<br />

mise en espace à Blois et sa région en novembre 2003, puis au Théâtre National <strong>de</strong> Strasbourg<br />

sous la direction <strong>de</strong> Laurent Gutmann. Le Poisson Zodiaque est issu d’une comman<strong>de</strong><br />

d’écriture d’Anne Morel van Hyfte, et a été présenté en mars 2004 à Poitiers.<br />

Résumé <strong>du</strong> texte :<br />

Depuis qu'elle mange <strong>de</strong>s farines animales, la vache Perla a commencé sa mutation en<br />

femme... Maurice, son propriétaire, attend pour consommer.


Joseph Danan<br />

L’art <strong>de</strong> la fuite<br />

Joseph Danan est Maître <strong>de</strong> conférences à l’Institut d’Étu<strong>de</strong>s théâtrales (Paris III). Ses pièces<br />

ont été créées par Alain Bézu, Jacques Kraemer, Julien Bouffier, Jean Deloche... Elles sont<br />

publiées chez Médianes (L'Enfance <strong>de</strong> Mickey ; L'Éveil <strong>de</strong>s Ténèbres), Lansman (Cinéma ;<br />

Sous l’écran silencieux ; Enquêtes <strong>du</strong> désir, trois pièces), Théâtre Ouvert (Passage <strong>de</strong>s lys ;<br />

R. S/Z. Impromptu Spectre), Actes Sud-Papiers (Les Aventures d’Auren, Le Petit Serial Killer,<br />

collection “Heyoka Jeunesse”). Plusieurs d’entre elles ont été diffusées sur France Culture. Il<br />

est aussi romancier (Allégeance, Gallimard, “L’Infini” ; Avant que la mort te ravisse, L.<br />

Mauguin), poète (Vortex, L’Instant perpétuel) et essayiste (Le Théâtre <strong>de</strong> la pensée,<br />

Médianes).<br />

Résumé <strong>du</strong> texte :<br />

Trois acteurs ou, si l’on veut, trois instrumentistes, tentent <strong>de</strong> faire entendre une petite<br />

musique <strong>de</strong> scène avec les moyens <strong>du</strong> bord (une baignoire, <strong>de</strong>ux chaises et quelques<br />

mugissements) augmentés d’un fait divers où résonnent les peurs <strong>du</strong> temps.<br />

Agnès Desarthe<br />

Les Chevaliers<br />

Agnès Desarthe est née en 1966 à Paris. Après <strong>de</strong>s étu<strong>de</strong>s d’anglais, elle <strong>de</strong>vient tra<strong>du</strong>ctrice.<br />

À partir <strong>de</strong> 1990 elle écrit <strong>de</strong>s romans et <strong>de</strong>s livres pour enfants. Elle a publié à ce jour une<br />

vingtaine <strong>de</strong> livres pour jeunes et cinq romans, dont plusieurs ont été tra<strong>du</strong>its. Elle a remporté<br />

en 1996 le Prix <strong>du</strong> Livre Inter pour Un secret sans importance. Lorsqu’elle n’écrit pas, elle<br />

jardine.<br />

Résumé <strong>du</strong> texte :<br />

Donald vient <strong>de</strong>man<strong>de</strong>r à son frère Roger <strong>de</strong> lui prêter <strong>de</strong> l’argent. Roger n’est pas d’accord,<br />

mais Donald a une arme secrète, sa nouvelle femme, Io, qui est très sexy quand elle veut et<br />

saura, croit-il, convaincre l’aîné récalcitrant.<br />

Jean-Paul Farré<br />

Trois personnages en quête d’auteur(s)<br />

Né le 3 mars 1948 à Paris, rue <strong>du</strong> Théâtre. Cette rue pré<strong>de</strong>stinée, où il n’y a plus <strong>de</strong><br />

théâtre <strong>de</strong>puis longtemps, l’a incité à en inventer un : le sien. Comme auteur, il a écrit et<br />

interprété : Le Faisceau fantôme <strong>de</strong> Richard Laser (1981), D’Azincourt à Ver<strong>du</strong>n ou Les<br />

Avatars <strong>de</strong> la Boucherie française (1984), Au quatrième tome il sera exactement 17 heures 89<br />

minutes (1989), Casting Don Juan (1991), Les Idiots <strong>du</strong> Théâtre (1992), Blanche-Scène et les<br />

sept papes (1996), Cinquante-cinq dialogues au carré... (2002). Un livre lui a été consacré :<br />

Clown et comédien, <strong>de</strong> Colette Derigny, (éd. Lherminier, 1986).<br />

Résumé <strong>du</strong> texte :<br />

La crise <strong>de</strong>s intermittents <strong>du</strong> spectacle ayant frappé <strong>de</strong> plein fouet les comédiens, voilà à quoi<br />

ceux-ci en sont ré<strong>du</strong>its pour continuer <strong>de</strong> pratiquer l’Art Dramatique... Jusqu’à quand ?


Léa Fazer<br />

Les Névrosés<br />

Après <strong>de</strong>s étu<strong>de</strong>s au Théâtre National <strong>de</strong> Strasbourg, je me tourne vers l’écriture et la mise en<br />

scène avec Pourvu Que Ça Dure, au Théâtre Paris Villette, Les Fils <strong>de</strong> Noé, au Théâtre <strong>de</strong> la<br />

Tempête, et Porte <strong>de</strong> Montreuil dans divers lieux. Parallèlement, je travaille comme scénariste<br />

pour la télévision. Depuis <strong>de</strong>ux ans, je me consacre au cinéma avec un premier long métrage,<br />

Bienvenue en Suisse, et la préparation d’un <strong>de</strong>uxième pour l’année prochaine.<br />

Résumé <strong>du</strong> texte :<br />

Enfermés sans savoir pourquoi, ils se soumettent à une volonté qu’ils ignorent, en suivant <strong>de</strong>s<br />

règles incompréhensibles : ils sont mal barrés.<br />

Christophe Ferré<br />

Bain <strong>de</strong> Lumière<br />

Christophe Ferré écrit <strong>de</strong>s romans, <strong>de</strong>s pièces <strong>de</strong> théâtre et <strong>de</strong>s fictions radiophoniques. Il met<br />

en scène la société mo<strong>de</strong>rne dans ce qu’elle a <strong>de</strong> plus futile et <strong>de</strong> plus dérisoire. Ses textes<br />

sont comiques et tragiques, loufoques et graves. On rit et on pleure. En 2005, il publie un<br />

nouveau roman, Paradis Turquoise, aux éditions Flammarion. Le thème ? La « célébritose »,<br />

cette hystérie collective dans laquelle chacun essaie <strong>de</strong> <strong>de</strong>venir célèbre à la place <strong>de</strong> l’autre.<br />

Nous sommes tous concernés ! Sa pièce La Plage Miramar, reçoit le Prix « Écrire pour la rue<br />

» en 2002, sera jouée prochainement dans toute la France.<br />

Résumé <strong>du</strong> texte :<br />

Un institut <strong>de</strong> beauté ouvre ses portes. Sa promesse ? Vous rendre heureux infiniment ! La<br />

métho<strong>de</strong> consiste à plonger le client dans une baignoire-caisson où se réveillent la jeunesse <strong>du</strong><br />

corps et le bonheur <strong>de</strong>s sens. O<strong>de</strong>tte et Gary, <strong>de</strong>ux apprentis esthéticiens, s’occupent <strong>de</strong> tout :<br />

ils chassent les ri<strong>de</strong>s, recomposent le <strong>de</strong>rme, re<strong>de</strong>ssinent les formes... Cette farce macabre fera<br />

rire jaune les amateurs <strong>de</strong> cosmétique et <strong>de</strong> chirurgie esthétique.


Nathalie Fillion<br />

Taka<br />

Née en 1964, actrice <strong>de</strong>puis 1984, elle écrit <strong>de</strong>puis 1996 et met en scène certains <strong>de</strong> ses textes.<br />

Boursière <strong>du</strong> Centre National <strong>du</strong> Livre en 1999, elle fait plusieurs rési<strong>de</strong>nces à La Chartreuse<br />

<strong>de</strong> Villeneuve lez Avignon où elle intervient dans les classes théâtre <strong>de</strong>puis 2001 et où elle<br />

écrit ses <strong>de</strong>rniers textes: Pitié pour les lapins, aux éditions Lansman dans Fragments<br />

d’humanité, créé en septembre 2004 et repris au TILF en mars 2005 ; Lady Godiva, opéra<br />

pour un flipper, livret, à l'amphithéâtre <strong>de</strong> l'Opéra Bastille en 2004 ; Alex Legrand (ai<strong>de</strong> à la<br />

création <strong>de</strong> la DMDTS), mis en scène par l’auteur en octobre 2004. Elle a aussi écrit un récit,<br />

L'Antipape, dans Les Contes <strong>de</strong> la Chartreuse (éd. <strong>du</strong> Patrimoine), un conte musical, Pling<br />

(éd. <strong>de</strong> la Harpe) et plusieurs textes pour enfants (éd. Fleurus). Elle participe aux revues<br />

Prospéro et Liberté (Québec).<br />

Résumé <strong>du</strong> texte :<br />

Un papa <strong>de</strong> taille normale, une maman <strong>de</strong> taille normale et un bébé disproportionné. À l’heure<br />

<strong>du</strong> bain, un gros titre étrange lu à voix haute dans un journal économique normal : “ Malgré la<br />

croissance, le moral <strong>de</strong>s ménages est en baisse ”...<br />

Timothée <strong>de</strong> Fombelle<br />

Saint Pierre sous terre<br />

Timothée <strong>de</strong> Fombelle est né en 1973. Sa pièce, Le Phare, créée en 2001 à Paris, est lauréate<br />

<strong>du</strong> Prix <strong>du</strong> souffleur et <strong>de</strong>s journées d'auteurs <strong>de</strong> théâtre <strong>de</strong> Lyon. Je danse toujours, lue à<br />

Texte Nu, lors <strong>du</strong> Festival d'Avignon 2002, est éditée chez Actes Sud en 2003. Rose Cats a<br />

reçu l'Ai<strong>de</strong> à la création en 2004. Vango, une pièce écrite pour sept comédiens, est en cours <strong>de</strong><br />

montage. Timothée <strong>de</strong> Fombelle écrit aussi pour la radio (La mouche <strong>du</strong> Pharaon, France<br />

Culture, 2003) et pour l'édition.<br />

Résumé <strong>du</strong> texte :<br />

« À 7h 40, le Pape a glissé dans sa salle <strong>de</strong> bains, se blessant légèrement au front. » AFP, 12<br />

juin 1999. Impossible <strong>de</strong> ne pas croire à une tentative criminelle quand le Chanoine Bird,<br />

ancien <strong>du</strong> FBI, et Sœur Léa, agent <strong>de</strong> SaintPierre Sûreté, retrouvent un rési<strong>du</strong> <strong>de</strong> graisse à<br />

traire au fond <strong>de</strong> la baignoire.


Jean-Daniel Magnin<br />

Vu dans un yaourt<br />

Il a écrit une dizaine <strong>de</strong> pièces <strong>de</strong> théâtre, la plupart éditées ou jouées, dont La Tranche, mise<br />

en scène par Philippe Adrien pour le Festival d'Avignon en 1993 ; Le Roman <strong>de</strong> la grosse, Le<br />

Blé cornu, L'ami <strong>du</strong> grand chemin, mise en scène par Gérard Lorcy à la maison d'arrêt <strong>de</strong> la<br />

Santé en 1999 ; www.golgotha.com, mise en scène par Philippe Adrien au CNSAD<br />

(Conservatoire National Supérieur d’Art Dramatique) en 2000 ; Opéra Savon, mise en scène<br />

par Sandrine Angla<strong>de</strong> au Vieux-Colombier en 2002 ; Leviathan Coccyx, mise en scène par<br />

Philippe Morand au Québec et à Genève en 2002 et mise en scène par Agathe Alexis au<br />

Théâtre <strong>du</strong> <strong>Rond</strong>-<strong>Point</strong> en 2006. Il collabore régulièrement avec La Famille Magnifique <strong>de</strong><br />

René Paréja ; Le Petit Roi <strong>du</strong> Temple, livret d’opéra pour la Maîtrise <strong>de</strong>s Hauts-<strong>de</strong>-Seine, mise<br />

en scène par Sandrine Angla<strong>de</strong> à l’Opéra <strong>de</strong> Massy (2005).<br />

Résumé <strong>du</strong> texte :<br />

Le grand torero Seya Urtès II, alors qu’il <strong>de</strong>vrait passer son habit <strong>de</strong> lumière pour se rendre<br />

aux arènes, reste prostré dans sa baignoire. Craint-il d’affronter un <strong>de</strong>scendant <strong>du</strong> taureau qui<br />

tua son père ou est-il en train d’inventer une nouvelle manière <strong>de</strong> combattre ?<br />

Pierre-Yves Millot<br />

Azincourt<br />

Pierre-Yves Millot, né en 1964, a écrit quantité <strong>de</strong> choses parfaitement inutiles : pièces <strong>de</strong><br />

théâtre, mini-monologues, "poésies pragmatiques", "nouvelles extravagantes", etc. La plupart<br />

<strong>de</strong> ses textes sont publiés chez P.Y. Millot, un éditeur qui, coïnci<strong>de</strong>nce troublante, porte le<br />

même nom que lui. Dernier ouvrage paru : Comment j'ai per<strong>du</strong> un bout <strong>de</strong> mon cerveau.<br />

Résumé <strong>du</strong> texte :<br />

Monsieur Sbrodj visite un appartement qui possè<strong>de</strong> la particularité (mais est-ce vraiment<br />

exceptionnel ?) <strong>de</strong> donner sur le néant.<br />

Christophe Pagnon<br />

Panse-bête<br />

Diplômé <strong>de</strong> l’École Nationale <strong>de</strong>s Beaux Arts <strong>de</strong> Paris. Après quelques années purement<br />

« plastiques », il se consacre principalement à l’écriture. Il crée en 1999 la Compagnie <strong>du</strong><br />

Rince Cochon, pour laquelle il écrit et met en scène cinq spectacles : Moi Toute Seule !, Casse<br />

Départ, La Danseuse Dangereuse, Sky, et Qui Parle ? Tout en continuant à peindre, il est<br />

l’auteur d’une douzaine <strong>de</strong> pièces <strong>de</strong> théâtre, <strong>de</strong> nouvelles, d’essais et <strong>de</strong> quelques débuts <strong>de</strong><br />

romans.<br />

Résumé <strong>du</strong> texte :<br />

Ils n’ont pas lutté, Mo et Vaslav, contre le vite-vite <strong>du</strong> temps qui passe. Ils se sont assis,<br />

prématurément fatigués, en attendant d’avoir une bonne idée. Mais leur rumination molle et<br />

tardive engendre une surprise à laquelle ils ne s’attendaient pas. Ô jeune ogresse affamée...


Jacques Serena<br />

Dommage<br />

Longtemps vie précaire sur les foires et marchés. Première publication en 1989. Publie<br />

<strong>de</strong>puis, par soubresauts, <strong>de</strong>s romans, principalement aux Éditions <strong>de</strong> Minuit. Passage au<br />

théâtre en 1997 (auteur associé au Théâtre National <strong>de</strong> Strasbourg). Textes mis en scène<br />

surtout par Joël Jouanneau. Rôles créés par Charles Berling, Ludivine Sagnier, Jeanne<br />

Balibar, etc. En parallèle, création d’ateliers d’écriture en milieux carcéraux et défavorisés.<br />

Aux Éditions <strong>de</strong> Minuit : Isabelle <strong>de</strong> dos (roman, 1989), Basse ville (roman, 1992),<br />

Len<strong>de</strong>main <strong>de</strong> fête (roman, 1993), Rimmel (théâtre, 1998), Plus rien dire sans toi (roman,<br />

2002), L’acrobate (roman, 2004). Chez d’autres éditeurs : Paresse, avec Raoul Vaneigem<br />

(nouvelle) aux éd. Centre G. Pompidou, 1996 ; Fleurs cueillies pour rien (fiction sur Gustav<br />

Klimt) aux éd. Flohic, 1999 ; Gouaches (théâtre) aux éd. Tapuscrit Théâtre Ouvert, 2000 ;<br />

Quart d’heure + Clients (théâtre) et Velvette + Jetée (théâtre), aux éd. Les Solitaires<br />

Intempestifs, 2001.<br />

Résumé <strong>du</strong> texte :<br />

Un homme se retrouve <strong>de</strong>vant son rêve <strong>de</strong> fille mais évi<strong>de</strong>mment elle n’est pas seule et <strong>de</strong><br />

toute façon cet homme est taré comme les autres.<br />

Sébastien Thiéry<br />

La Fache<br />

Né en 1970, il sort <strong>du</strong> Conservatoire Supérieur d'Art Dramatique en 1997. Il prend conscience<br />

quelques années plus tard qu'il est un comédien mo<strong>de</strong>ste, voir limité... Il est l'auteur d'une<br />

première pièce Sans ascenseur, mise en scène par Jean-Michel Ribes en janvier 2005. Il écrit<br />

également Dieu habite Düsseldorf. Pour la télévision, il est l’auteur et l’interprète <strong>de</strong> Chez<br />

Maman, diffusée sur Canal +, dans l’émission 20h10 pétantes.<br />

Résumé <strong>du</strong> texte :<br />

Un agent immobilier essaie <strong>de</strong> louer à un monsieur un appartement déjà occupé par une<br />

"fache" (un croisement entre la femme et la vache).<br />

Raphaëlle Valbrune<br />

L’Amour d’une mère<br />

Il y a toujours une histoire, <strong>de</strong>s gens et leur histoire. On la lit, on la vit ou on l’écrit. Quand<br />

j’ai passé mon doctorat, je croyais que j’allais apprendre à lire pour apprendre à écrire, mais<br />

ça a pris <strong>du</strong> temps. Alors j’ai continué à lire, à tra<strong>du</strong>ire et à accompagner <strong>de</strong>s gens dans leur<br />

désir d’écrire <strong>de</strong>s histoires et <strong>de</strong>s personnages, surtout à la télévision et au cinéma... C’est la<br />

première fois que j’écris pour le théâtre. Cela m’a procuré beaucoup <strong>de</strong> plaisir et une très<br />

gran<strong>de</strong> surprise.<br />

Résumé <strong>du</strong> texte :<br />

Aucune rencontre sentimentale, aucun lien affectif ou charnel ne vaut le véritable amour :<br />

celui d'une mère pour son fils.


Les comédiens<br />

Pierre Aussedat<br />

Formé au Cours Florent puis à « L’entrée <strong>de</strong>s artistes » avec Yves Pignot, Pierre Aussedat a<br />

joué entre autres au théâtre dans Baron <strong>de</strong> Jean-Marie Besset, mis en scène par l’auteur au<br />

Théâtre Tristan Bernard ; On ne sait comment <strong>de</strong> Luigi Piran<strong>de</strong>llo, mis en scène par Michel<br />

Fagadau au Théâtre <strong>de</strong>s Champs-Elysées; Rêver peut-être <strong>de</strong> Jean-Clau<strong>de</strong> Grumberg, mis en<br />

scène par Jean-Michel Ribes ; Amoureuse <strong>de</strong> Georges <strong>de</strong> Porto-Riche, mis en scène par Gilles<br />

Cohen ; Les Martyrs <strong>du</strong> Bonheur d’Henri Monnier, mis en scène par Gilles Cohen ; L’Heure<br />

à laquelle nous ne savions rien l’un <strong>de</strong> l’autre <strong>de</strong> Peter Handke, mis en scène par Luc Bondy<br />

au Théâtre <strong>de</strong> la Schaubühne et au Théâtre <strong>du</strong> Châtelet ; 25 années <strong>de</strong> littérature, mis en scène<br />

par Joël Pommerat au Théâtre <strong>de</strong> la Main d’Or ; Mère Courage <strong>de</strong> Bertold Brecht, mis en<br />

scène par Yves Pignot au TBB...<br />

Au cinéma, il a joué notamment dans Saint Jacques <strong>de</strong> Coline Serreau, Arsène Lupin <strong>de</strong> Jean-<br />

Paul Salomé, Le Divorce <strong>de</strong> James Ivory, Barber of Siberia <strong>de</strong> Nikita Mikhalkov, Pétain <strong>de</strong><br />

Jean Marbeuf, Ruptures <strong>de</strong> Christine Citti, Merci la Vie <strong>de</strong> Bertrand Blier, Cyrano <strong>de</strong><br />

Bergerac <strong>de</strong> Jean-Paul Rappeneau...<br />

Pour la télévision, il a travaillé sous la direction <strong>de</strong> Denys GranierDeferre, Maurice Failevic,<br />

Laurent Heynemann, Daniel Vigne, Gérard Verges, Jacques Malaterre, Fabrice Cazeneuve,<br />

Nina Companeez, René Allio...


Emeline Bayart<br />

Émeline Bayart a suivi une formation au Conservatoire National Supérieur d’Art Dramatique.<br />

Dans le cadre <strong>de</strong>s ateliers <strong>de</strong> 3ème année présentés en public, elle a joué Peines d’amour<br />

per<strong>du</strong>es ? d’après William Shakespeare, mise en scène <strong>de</strong> Hélène Vincent ; 13 objets, étu<strong>de</strong><br />

sur la servitu<strong>de</strong> <strong>de</strong> Howard Barker, mise en scène <strong>de</strong> Jean-Paul Wenzel ; Dom Juan revient <strong>de</strong><br />

guerre et Foi, Amour et Espérance <strong>de</strong> Ödön von Horváth, mise en scène <strong>de</strong> Cécile Garcia-<br />

Fogel.<br />

Au théâtre, elle a joué dans Pauvre folle, Phèdre d’Eugène Durif, mise en scène <strong>de</strong> Jean-<br />

Michel Rabeux au Théâtre <strong>de</strong> la rose <strong>de</strong>s vents <strong>de</strong> Villeneuve d’Ascq ; L’Endroit <strong>du</strong> cœur <strong>de</strong><br />

Philippe Meyer, mise en scène <strong>de</strong> Jean-Clau<strong>de</strong> Penchenat au Théâtre <strong>de</strong>s Abbesses en 2003 ;<br />

Le Comte O<strong>de</strong>rland <strong>de</strong> Max Frisch, mise en scène <strong>de</strong> Clau<strong>de</strong> Yersin au Nouveau Théâtre<br />

d’Angers en 2005 ; Le Révizor <strong>de</strong> Nicolas Gogol, mise en scène <strong>de</strong> Christophe Rauck au<br />

Théâtre <strong>du</strong> Peuple en 2005 et dans Musée Haut Musée Bas texte et mise en scène <strong>de</strong> Jean-<br />

Michel Ribes, créé en 2004 au Théâtre <strong>du</strong> <strong>Rond</strong>-<strong>Point</strong> et repris en 2005.<br />

Au cinéma, elle a joué dans 3 Zéros <strong>de</strong> Fabien Onteniente et dans Ma vie en l’air <strong>de</strong> Rémi<br />

Briançon.<br />

Philippe Hérisson<br />

Philippe Hérisson a beaucoup travaillé avec Marc Baylet, sous la direction <strong>du</strong>quel il a joué,<br />

entre autres, dans Baptiste sous peine <strong>de</strong> mort ; Un Timon <strong>de</strong> moins d’après Shakespeare ;<br />

Quartet <strong>de</strong> Heiner Müller... Avec Gilles Cohen, il a joué dans La Pièce <strong>de</strong> Chambertin <strong>de</strong><br />

Labiche ; Le Mystère <strong>de</strong> la chambre jaune <strong>de</strong> Gaston Leroux ; L’Aquarium <strong>de</strong> Louis Calaferte<br />

; Soucis <strong>de</strong> famille <strong>de</strong> Karl Valentin et Les Martyrs <strong>du</strong> bonheur <strong>de</strong> Henri Monnier. Il a<br />

également joué dans La Machine infernale <strong>de</strong> Cocteau, mis en scène par Pierre Barayre ;<br />

Richard Gloucester d’après Shakespeare, mis en scène par Francis Huster ; L’Epopée <strong>de</strong><br />

l’Europe <strong>de</strong> Goyet, mis en scène par Jean-Clau<strong>de</strong> Amyl ; Hamlet <strong>de</strong> Shakespeare, mis en<br />

scène par Jean-Clau<strong>de</strong> Sachot.


Pages pratiques<br />

COMMENT SE RENDRE AU THÉÂTRE?<br />

2 bis, avenue Franklin D. Roosevelt 75008 Paris<br />

T 01 44 95 98 00 – F 01 40 75 04 48<br />

Métro : Champs-Elysées Clemenceau (ligne 1 et 13)<br />

Franklin D. Roosevelt (ligne 1 et 9)<br />

bus : 28, 42, 73, 80, 83, 93<br />

parking : 18 avenue <strong>de</strong>s Champs-Elysées<br />

RÉSERVATIONS<br />

sur place<br />

14 jours avant la date <strong>de</strong> représentation<br />

<strong>du</strong> mardi au samedi <strong>de</strong> 12h à 19h<br />

et le dimanche <strong>de</strong> 12h à 16h (les jours <strong>de</strong> représentations)<br />

par téléphone<br />

14 jours avant la date <strong>de</strong> représentation<br />

au 01 44 95 98 21 <strong>de</strong> 11h à 19h <strong>du</strong> lundi au samedi<br />

et le dimanche <strong>de</strong> 12h à 16h<br />

sur le site internet<br />

www.theatre<strong>du</strong>rondpoint.fr<br />

la Fnac pour le Théâtre <strong>du</strong> <strong>Rond</strong>-<strong>Point</strong><br />

au 0 892 701 603 (0,34 euros/min) <strong>du</strong> lundi au samedi <strong>de</strong> 9h à 20h<br />

fermé les dimanches et jours fériés<br />

les autres points <strong>de</strong> ventes<br />

www.fnac.com, www.theatreonline.com, www.lastminute.com, www.digitick.com, agences, Le Kiosque<br />

LES TARIFS / SALLE TOPOR<br />

Plein tarif/22 euros ; groupe (8 personnes minimum)/18 euros ; plus <strong>de</strong> 60 ans/20 euros<br />

<strong>de</strong>man<strong>de</strong>urs d’emploi/15 euros ; moins <strong>de</strong> 30 ans/12 euros ; carte imagine R/8,5 euros<br />

LA CARTE<br />

Autant <strong>de</strong> spectacles que vous voulez, quand vous voulez, à un tarif préférentiel pour vous et la personne <strong>de</strong><br />

votre choix.<br />

Prix <strong>de</strong> la carte : plein tarif/25 euros ; groupes, plus <strong>de</strong> 60 ans/22 euros ; moins <strong>de</strong> 30 ans et <strong>de</strong>man<strong>de</strong>urs<br />

d’emploi/10 euros<br />

Prix <strong>de</strong> la place avec la carte : plein tarif/16 euros ; groupes, plus <strong>de</strong> 60 ans /14 euros ; moins <strong>de</strong> 30 ans et<br />

<strong>de</strong>man<strong>de</strong>urs d’emploi/7,5 euros<br />

L’ABONNEMENT<br />

L’abonnement doit compter au minimum 6 spectacles dont 3 en salle Renaud-Barrault et 1 en salle Jean<br />

Tardieu.<br />

Prix <strong>de</strong> la place dans les trois salles/13 euros<br />

La carte et l’abonnement vous donnent droit à <strong>de</strong>s tarifs ré<strong>du</strong>its au restaurant et à la librairie <strong>du</strong> <strong>Rond</strong>-<br />

<strong>Point</strong> et à <strong>de</strong>s tarifs préférentiels dans les structures partenaires : le cinéma le Balzac, le Palais <strong>de</strong> Tokyo,<br />

la Villette, le Palais <strong>de</strong> la Découverte, le Centre national <strong>de</strong> la danse et le Musée d’Orsay


Dans
les
autres
salles<br />

Mars-Avril
2006<br />

BOULEVARD DU BOULEVARD DU<br />

BOULEVARD<br />

salle Renaud-Barrault<br />

<strong>de</strong> Daniel Mesguich<br />

avec Odile Cohen, Frédéric Cuif, Antoine Dayres,<br />

Sarah Fuentes, Gaëlle Haüsermann,<br />

Christian Hecq, Sarah Mesguich, Laurent Montel,<br />

Florence Muller, Eric Verdin<br />

<strong>du</strong> vendredi 3 mars au samedi 15 avril 2006 à 20h30<br />

dimanche, 15h00 - relâche les lundis<br />

MERCI<br />

salle Renaud-Barrault<br />

<strong>de</strong> et par Daniel Pennac<br />

mise en scène Jean-Michel Ribes<br />

<strong>du</strong> 10 au 26 mars à 18h30<br />

représentations les vendredis, samedis et dimanches<br />

COLLECTION PARTICULIERE<br />

salle Jean Tardieu<br />

un spectacle <strong>de</strong> François Morel et Jean-Michel Ribes<br />

texte et mise en scène Jean-Michel Ribes<br />

musique Reinhardt Wagner<br />

<strong>du</strong> samedi 4 mars au samedi 22 avril 2006 à 21h<br />

dimanche, à 15h30<br />

relâche les lundis et dimanche 16 avril<br />

UN PETIT RIEN-DU-TOUT<br />

TOUT NEUF PLIÉ DANS UNE FEUILLE DE PERSIL<br />

salle Jean Tardieu<br />

d’après le texte <strong>de</strong> Maurice Roche<br />

adaptation et création musicale Denis Levaillant<br />

voix Irina Dalle<br />

mise en scène Caterina Gozzi<br />

<strong>du</strong> mardi 14 mars au samedi 1 er avril 2006 à 18h30<br />

relâche les lundis et dimanches<br />

GURS<br />

salle Roland Topor<br />

<strong>de</strong> Jorge Semprun<br />

mise en scène Daniel Benoin<br />

avec Ignacio Andreu, Patrick Hastert, Ane<br />

Rebolleda, José Manuel Seda, Germain Wagner<br />

et en alternance Sophie Duez et Cécile Mathieu<br />

<strong>du</strong> vendredi 10 mars au samedi 15 avril 2006 à 21h<br />

dimanche, 15h30 – relâche les lundis et le samedi 1 er avril<br />

représentations supplémentaires à 14h30<br />

les 21, 23, 24, 28, 30, 31 mars et les 4, 6, 7 avril<br />

ET DES SURPRISES...

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