Version PDF - Salaberry-de-Valleyfield

ÉDITO
« Avec le regroupement, la philosophie des
élus a changé. Nous notons aujourd’hui
une cohésion au sein du conseil municipal,
un respect des élus envers les individus des
anciennes municipalités et de leurs valeurs
respectives. Chaque décision est prise en
fonction de la Ville d’une part, mais aussi en
tenant compte d’un partage équitable de la
richesse pour l’ensemble du territoire. »
À LIRE DANS
CETTE ÉDITIOn
3. La Nouvelle ville
4. Dates marquantes
6. Entrevue avec
Denis Lapointe
8. Développer
10. rénoveR, moderniser,
construire
12. offrir
une place à tous
Denis Lapointe
Maire de Salaberry-de-Valleyfield
« Le rôle des élus n’était pas le même avant
le regroupement. Le conseiller travaillait pour
les résidents de son quartier. Le regroupement
a permis aux élus d’avoir une vision différente,
davantage régionale. Aujourd’hui, le conseiller
a une vue d’ensemble du territoire et plus
uniquement de son quartier. C’est bien ainsi
puisqu’une décision régionale peut avoir une
incidence sur un quartier spécifique. C’est une
chose que l’on ne voyait pas auparavant. »
13. être en sécurité
14. carte :
la ville et ses
changements
16. BOUGER, S’OUVRIR,
PERFORMER
18. communiquer
et sensibiliser
19. une ville et
des centaines
de Familles
20. PROTÉGER
ET PRéSERVER
22. ÊTRE UNE
DESTINATION
TOURISTIQUE
Yves Daoust
Préfet de la MRC de Beauharnois-Salaberry
et président de la Conférence régionale des
élus de la Vallée-du-Haut-Saint-Laurent
24. fêter, célébrer,
se remémorer
26. aVENIR... à venir

3.
La Nouvelle ville
de Salaberry-de-Valleyfield,
de vie commune!
Il y a dix ans maintenant, le 24 avril 2002,
la Ville de Salaberry-de-Valleyfield fut
créée par un regroupement des Villes
de Salaberry-de-Valleyfield et de Saint-
Timothée et de la Municipalité de la
Grande-Île. Ce regroupement a créé de
nombreuses opportunités et la Nouvelle
Ville est plus forte que jamais. Cette
édition spéciale du Bulletin municipal
permet donc de présenter certaines
des réalisations communes, d’établir un
portrait de transformations accomplies,
de bonifications et, dans certains cas, des
métamorphoses… des résultats positifs de
ce regroupement au bénéfice de tous.
Dès le départ de l’aventure du regroupement en 2001, le mot d’ordre était simple :
le regroupement de nos Villes et Municipalité : un gage d’avenir!
Les avantages du regroupement se positionnaient en fonction de trois éléments précis :
- Devenir une force régionale majeure;
- Faire preuve de leadership et favoriser les investissements;
- Développer une vision d’ensemble pour offrir des services toujours plus efficaces, de qualité
accrue et aux meilleurs coûts possibles.
Découvrons si nous avons, tous ensemble, réussi ce pari en commençant par quelques chiffres?
Quelques statistiques
2002 2012 % d’augmentation
Nombre d’habitants 39360 40 255 2,3 %
Nombre de logements 11 205 12 276 9,6 %
Valeur foncière totale 1675470300 $ 3305562800 $ 97,3 %
des immeubles
Valeur moyenne d’une 79342 $ 162737 $ 105,1 %
résidence unifamiliale
Investissements
Valeur des permis
émis en 10 ans
627017414 $
Investissements municipaux
en infrastructures en 10 ans
142959149 $
arbres ont été plantés.
Le 351 e sera planté le 2 juin (parc Delpha-
Sauvé) à titre commémoratif du 10 e
anniversaire du regroupement.
km de pistes cyclables, le réseau cyclable
Avec ses
a augmenté de 250 % puisqu’il était de 13,5 km il y a dix ans.

4.
Dates marquantes
Moments significatifs, choix importants et symboliques, aboutissements, décisions ayant eu
une large incidence, faits saillants et marquants… découvrez notre sélection.
Avril 2002
La Municipalité de la
Grande-Île et les Villes
de Saint-Timothée et de
Salaberry-de-Valleyfield se
regroupent.
2003
Mention d’honneur aux
Prix d’excellence de
l’administration publique
québécoise – Institut
d’administration publique
du Québec.
2004
Adoption du Plan de
mesures d’urgence et du
Plan municipal de
sécurité civile.
2005
Agrandissement et
moderniation de l’usine
principale de filtration,
raccordement au réseau
des quartiers Nitro et
Saint-Timothée.
2006
Prix Mérite Ovation
Municipale pour le
projet d’agrandissement
de l’usine de filtration
Marcelle-B.-Trépanier et la
création du Jardin
des Éléments.
2006
Ouverture de l’Ancien
canal de Beauharnois.
2006
Prix d’excellence pour la
mise en place du CMMI
de Salaberry-de-Valleyfield,
Mérite québécois de la
sécurité publique.
2007
Inauguration de nouveau
chalet du Parc régional
des îles Saint-Timothée.
2007
Création du Service
de développement
économique.
2007
Adoption de la
Politique du logement,
unique au Québec.
2007
Prix d’excellence pour les
projets « Ma vie, ma vision,
mon avenir » et
« Unir les différences ».
2008
Adoption de la Politique
familiale, gratuité, rabais,
garder à l’esprit les besoins
des familles dans les
projets et réalisations.

5.
2008
Adoption du Plan
stratégique de
développement
socioéconomique
et durable.
2009
Rénovation de la caserne
Roma-Bougie du quartier
Saint-Timothée en vue
de réduire le temps de
réponse lors d’incendies.
2010
Adoption du Plan d’action
en développement
durable avec
une majeure en
environnement (PADDE) et
prix au Réseau québécois
de Villes et Villages
en santé.
2010
Fin des travaux dans le
hameau Pointe-Meloche
et Grande-Île Est.
17,6 millions de dollars
pour un milieu de vie sain,
sécuritaire et agréable.
2010-11
Honneurs pour Ohneka :
Grand Prix Innovation
de Tourisme Suroît, Prix
d’excellence de Tourisme
Montérégie et Coup
d’éclat par la Société des
attractions touristiques
du Québec.
2011
Ouverture du site
permanent pour le MUSO.
2011
Accueil et tenue à l’hiver
de la 46 e finale
des Jeux du Québec.
2011
Lancement du projet
parc-école vert pour
l’école Sacré-Cœur.
2011
Réalisation d’un Plan
directeur des parcs,
espaces verts, plateaux
sportifs et équipements
communautaires.
2011
Prix de l’Union des
municipalités du Québec
pour le projet du contrôle
de l’herbe à poux.
2012
Inauguration de la Cité
des Arts et des Sports.
2012
Prix pour le MUSO,
Les Arts et La Ville

6.
Monsieur Denis Lapointe, entouré d’élus actuels et passés, d’employés, de gens d’affaires et de citoyens,
portait un toast en l’honneur de l’anniversaire de la Ville ce 24 avril dernier, lors d’une cérémonie.
Entrevue avec Denis Lapointe
maire de salaberry-de-valleyfield
Le 17 avril dernier, M. Denis Lapointe a réalisé une entrevue rétrospective avec TV
Cogeco, dont voici l’intégralité.
Monsieur Lapointe, pour vous qu’est-ce
qu’on célèbre au travers des 10 ans du
regroupement des 3 Villes et Municipalité?
Pour ma part, je célèbre un succès. Un succès
rendu possible par 10 ans de travail. Vous
savez, le regroupement des trois territoires fut
un peu comme l’agencement des morceaux
d’un casse-tête. Au départ ce n’était pas
évident, car chacun avait un profil qui lui était
propre, à l’image de ses valeurs. Les différentes
façons de penser et de faire nous ont poussés
à bâtir ensemble un dénominateur commun
qui respectait les valeurs de chacun.
Je suis fier qu’avec le temps nous ayons pu
faire en sorte que chacun se retrouve dans
un plus grand ensemble. Après 10 années,
comparativement à d’autres endroits au
Québec, on peut célébrer une bonne
intégration des belles valeurs de chaque
municipalité et une opération de succès.
Quel projet retient votre attention?
Pour lequel êtes-vous le plus fier?
Il y a tant de choses qui ont été réalisées, mais
c’est l’étendue des programmes qui force mon
admiration sur ces 10 ans. Depuis le début,
peut-être parce que nous avions des valeurs
différentes et complémentaires, peut-être aussi
parce que nous voulions assurer une place à
chaque secteur et en même temps construire
une vision globale, nous avons cherché à
développer notre ville dans son ensemble.
Créer un lieu d’épanouissement où il fait
bon vivre signifie se soucier de notre pouvoir
d’attraction auprès des industriels et mettre en
place, en même temps, une politique familiale.
Le regroupement a permis le partage équitable
et la mise en commun des ressources pour se
déployer pleinement. Avant, nous étions en
compétition; une compétition bénéfique pour
les industries, mais qui ne nous permettait pas
de tirer le retour économique maximum. Nous
employions nos moyens financiers et humains
à convoiter les mêmes projets. Finalement,
aujourd’hui, nous rassemblons nos énergies
pour constituer une grande force, avoir un effet
de levier, et ça, c’est un élément extrêmement
important. Nous nous sommes donnés les
moyens pour devenir incontournables, une ville
importante à l’échelle du Québec, et entrer en
compétition avec l’Ontario ou les États-Unis. On
se voit apparaître dans les grandes revues et
les médias nationaux. Lorsque l’on interpelle,
nous sommes considérés et entendus grâce à
la force du nombre. Cette force économique,
c’est un potentiel qu’on a pu développer et qui
n’était pas là à l’époque.
Avec le recul, qu’est-ce que vous avez
personnellement trouvé de plus difficile au
cours de ces 10 ans?
Se convaincre que le regroupement pouvait
fonctionner. Les premières années ont été

7.
difficiles et éprouvantes. Vous savez, comme
maire on assiste à de nombreuses activités
tout au long de l’année. Je sentais une petite
forme de rancœur lors d’événements publics
dans les quartiers de la Grande-île et de Saint-
Timothée. On n’est pas alors nécessairement le
bienvenu. Même si les gens sont toujours polis
et corrects, on sent une distance. Il a donc fallu
faire preuve de persévérance. Je crois que
les réalisations, les améliorations et le travail
constant ont démontré que nous faisions partie
du même projet. Avec le temps, je me suis senti
de plus en plus à l’aise.
Il y a dix ans, les gens nous ont confié leur
communauté et il faut respecter leur sentiment
de fierté. Nous avons même la responsabilité
de faire passer et de transmettre dans l’histoire
leurs valeurs. Je pense que les citoyens sentent
le respect que nous avons pour chaque secteur
et que les valeurs fondatrices et les personnalités
ont subsisté, sont encore là, bien présentes.
D’ailleurs, on le ressent clairement dans les
consultations publiques par les propositions et
les préoccupations.
À refaire, auriez-vous fait quelque chose
différemment?
En ce qui concerne le regroupement des trois
territoires ? Non. Beaucoup utilisent le terme
« fusion » pour en parler, mais nous n’avons pas
« fusionné ».
Quand le gouvernement du Québec a
annoncé qu’il allait forcer des regroupements,
nous n’avons pas attendu et nous avons pris les
devants en s’assoyant ensemble. Nous avons
commencé à travailler en imaginant ce que
serait la NOUVELLE VILLE. Nous ne voulions pas
que l’association soit contrainte et forcée. On
ne voulait pas que le grand mange le petit.
Nous voulions créer une entité nouvelle. Notre
démarche respectueuse a été un gage de
succès.
à l’horizon. J’ai particulièrement été touché par
le 150 e de Saint-Timothée qui m’avait rappelé
aux origines de ma propre famille. Vous savez,
qu’à l’époque, le curé qui y faisait le service
provenait des Cèdres? Aujourd’hui, nous avons
une navette fluviale qui nous rapproche à
nouveau. Je remarque souvent d’ailleurs que
le temps nous rassemble et que l’histoire nous
traite bien.
Enfin, monsieur Lapointe, quoi souhaiter pour
l’avenir?
En fait, je souhaite que l’on continue à bien
planifier les choses. Cette planification nous a
été profitable, car sans elle, bâtir la NOUVELLE
VILLE aurait été difficile. Salaberry-de-Valleyfield
se développe harmonieusement et tous
azimuts, personne n’est laissé-pour-compte,
chacun en tire avantage et tous contribuent
à cette démarche commune qui nous rend
toujours plus fort.
Notre ville domine fièrement un grand territoire
des plus riches. La planification va nous
permettre d’atteindre de nouveaux objectifs et
de plus grandes ambitions.
Nous serons des leaders, un point de mire de
plus en plus attrayant au Québec et au-delà.
Les gens doivent savoir que Salaberry-de-
Valleyfield offre un milieu de vie propice au
déploiement et à l’épanouissement : un endroit
où il fait bon vivre.
Nous avons commencé
à travailler en
imaginant ce que serait
la NOUVELLE VILLE.
Donc, quand l’heure est arrivée, nous avions
déterminé la direction à prendre et un plan
de travail à suivre qui comprenait même un
modèle d’intégration équitable du personnel.
Alors à refaire, je le referais comme cela.
D’ailleurs, je ne pense pas que chez nous les
gens voudraient revenir en arrière comme ça
peut être le cas pour d’autres villes.
Avez-vous un moment émouvant que vous
désirez partager avec nous?
Il y en a eu beaucoup. Les célébrations sont
pour moi des événements importants, car ils
permettent de prendre le temps et d’apprécier
notre histoire et la ville d’avenir qui se dessine
De gauche à droite : Gaston Morand,
Roland Latreille, Denis Lapointe, Nicole Séguin
et Matis Lériger (né en 2002)

8.
Développer
Un territoire plus vaste, que l’on envisage dans son ensemble, multiplie
immanquablement les possibilités et décuple la portée d’une vision. La Ville
regroupée orchestre depuis 10 ans un développement méthodique adapté aux
réalités de notre territoire et harmonieux en considérant les besoins des familles, des
personnes âgées, des commerçants ou des industriels.
La création et l’expansion du Service du développement économique a favorisé
le développement tout en améliorant le milieu de vie au regard de la croissance
économique et résidentielle de ces 10 dernières années.
Quels sont les axes majeurs de développement suivis ces 10 dernières années ?
Développement
RÉSIDENTIEL
Salaberry-de-Valleyfield s’est considérablement
embellie grâce notamment aux programmes
de rénovation. Les 8 phases du programme
Rénovation Québec avec une aide consentie
de 6 260 586 $ aura permis de rénover plus de
215 logements en 10 ans.
Une ville regroupée c’est aussi…
- 10 nouveaux projets résidentiels ayant permis la
construction de plus de 2 000 logements.
- L’harmonisation de la réglementation d’urbanisme
et l’adoption d’un nouveau plan d’urbanisme.
- L’harmonisation du nom des rues.
- La réalisation de plus de 60 logements à des prix
abordables.
Développement
COMMERCIAL
Avec une implantation majeure de commerces
de détail, plus de 100 en 10 ans, dont l’apparition
de boutiques spécialisées, la Ville propose un
milieu commercial varié et attrayant qui enrichie
et dynamise la vie de notre communauté.
Une ville regroupée c’est aussi…
- Des travaux majeurs sur le boulevard Mgr-Langlois
afin d’appuyer le développement commercial.
- Un programme de rénovation de façades
commerciales.
- L’acquisition de plusieurs propriétés dans le
quartier Buntin et au centre-ville.
- Une Chambre de commerce forte et entraînante.

9.
Développement
INDUSTRIEL
La Ville compte 4 parcs industriels attractifs
qui recensent des centaines d’entreprises
spécialisées, aux activités les plus variées,
qui font parler d’elles de par leur envergure,
leur rayonnement ou encore leur capacité à
innover.
Une ville regroupée c’est aussi…
- L’acquisition de plus de 15 millions de pieds carrés
de terrain afin de soutenir le développement
industriel.
- Les négociations avec la compagnie CSX afin de
déplacer la voie ferrée et de créer un nouveau
centre intermodal.
- La réalisation d’études sur les créneaux industriels
- L’extension des services dans le parc industriel
et portuaire Perron et le réaménagement du
boulevard Gérard-Cadieux.
Le porT 10 ans :
834 navires
4 438 549 tonnes métriques de
marchandises manutentionnées
Salaberry-de-Valleyfield dans le top 5 des villes
québécoises des plus dynamiques en matière
d’entrepreneuriat!*
* Étude 2011 de la Fédération canadienne des entreprises indépendantes
TÉMOIGNAGES
« Il faut travailler sur le plan de l’attraction, mais aussi de la rétention
de nos entreprises et de notre main-d’œuvre. Globalement, les
choses sont en place, il faut juste les faire vivre. Je pense, entre
autres, à la fondation Notre relève en affaires. Il faut que ces
outils nous servent. Bâtir sur nos ressources. »
Anne-Renée Meloche | Vice-présidente des Ressources humaines de Groupe
Meloche et présidente de la Mutuelle d’Attraction Valleyfield-Huntingdon
« À Salaberry-de-Valleyfield, nous avons un patrimoine hors du
commun, d’une valeur inestimable. En ce sens, le Programme
de rénovation des façades commerciales est une excellente
idée; il fait du centre-ville un pôle d’ambiance. Il faudrait d’ailleurs
inciter les habitués des commerces du boulevard Monseigneur-
Langlois à aussi magasiner vers le Ancien canal. Plus il y aura de
la clientèle, plus les commerçants revitaliseront leur site. »
Sonia Duquette | Propriétaire de Quintessence du Gourmet
« Le regroupement a été difficile au début, mais il reste un
avantage considérable. Nous sommes allés chercher des
informations supplémentaires à la Ville auprès d’un personnel
plus nombreux et possédant les expertises nécessaires pour
répondre à nos attentes. »
Claude Simard | Propriétaire de Valleyfield Métal

10.
rénoveR, moderniser, construire
Des infrastructures de plus grande envergure, la modernisation d’ouvrages vieillissants,
des réfections majeures pour répondre aux normes, comme aux besoins les plus
essentiels, ou un entretien quotidien ont considérablement amélioré notre qualité de
vie.
Sans une capacité financière comme celle de la nouvelle Ville de Salaberry-de-
Valleyfield, il serait impossible de conduire des projets majeurs donnant accès à ses
citoyens à de plus larges et à de meilleurs services.
Quels sont ces travaux qui ont modifié notre lieu de vie et influencé son développement?
Construction, modernisation...
Les bâtiments
L’agrandissement et la modernisation de
l’usine de filtration Marcelle-B.-Trépanier ont
permis de répondre aux besoins essentiels
et majeurs de traitement des eaux et
d’alimentation. L’ensemble du territoire, y
compris les quartiers Nitro et Saint-Timothée,
une fois raccordés, fût alimenté par une eau
de première qualité. Ce sont 46 millions de
litres d’eau traitée quotidiennement.
Une ville regroupée c’est aussi…
- L’agrandissement ou la rénovation des casernes
d’incendie.
- Les travaux majeurs pour la tenue des Jeux du
Québec : agrandissement et rénovation de la Cité
des Arts et des Sports, construction d’une surface
synthétique multisports au Collège de Valleyfield,
agrandissement et rénovation de l’Aréna
Salaberry, rénovation des surfaces de jeux au parc
marquette et à l’école Edgar-Hébert.
Rénovation
Les rues
Le hameau Pointe-Meloche et la zone de
Grande-Île Est, après des travaux colossaux,
se sont métamorphosés. Les rues sont plus
sécuritaires mais leur aménagement révèle
surtout l’accessibilité pour les citoyens au
réseau d’alimentation en eau potable,
d’égout sanitaire et de drainage après un
investissement de 17,6 millions de dollars.
Une ville regroupée c’est aussi…
- La réhabilitation de tronçons routiers régionaux
comme le chemin Larocque, le boulevard du
Havre ou les rues Dufferin, Maden et Ellice.
- L’autoroute 30.
- L’implantation d’un portail géomatique pour aider
l’ensemble des employés municipaux.
- Le réaménagement de 96 parcs et espaces verts
après une consultation citoyenne.

11.
142 959 149 dollars D’investiS
en infrastructures
par la ville en 10 ans
TÉMOIGNAGES
« Nous ressentons une volonté de la Ville de vouloir développer
des ressources au service des industries. Les gens sont en mode
solution. Nous en voyons les répercussions. Quant à l’autoroute
30, elle permettra de faire connaître Salaberry-de-Valleyfield
auprès de nouveaux entrepreneurs et d’attirer chez nous une
main-d’œuvre dotée d’une grande expertise. »
Pascal Dupuis | Président de JR Mécanique
« Par habitude, les résidents ne voient plus la baie Saint-François
au centre-ville, nos plans d’eau tellement beaux et l’Ancien
canal de Beauharnois. Il faut continuer d’ajouter des activités
autour pour attirer encore plus de gens, alors que l’ouverture
de l’autoroute 30 va aider au développement de Salaberryde-Valleyfield.
C’est un atout extraordinaire. Si nous offrons un
meilleur attrait commercial, les gens vont emprunter l’autoroute
et se rendre magasiner chez nous. »
Michel Choinière | Propriétaire du Canadian Tire
« L’implantation du futur centre intermodal constitue un
élément positif pour nous qui sommes actifs sur le marché de
l’exportation. Le transport par train peut devenir une avenue
intéressante, lorsque nous expédions des produits dans l’Ouest
canadien, par exemple. Ça sera aussi une bonne chose pour la
création d’emplois. On dit que le projet à lui seul en engendrera
des centaines et attirera de nouveaux travailleurs. »
Pierre Parent | Président de Trial Design

12.
offrir une place à tous
Une ville où il fait bon vivre, c’est une ville dynamique où l’entraide est encouragée
et la vie communautaire stimulée. Une ville où la qualité de vie se bâtie geste après
geste, action après action, au profit tantôt des familles, de la jeunesse, des aînés ou
des personnes à mobilité réduite qui ont des besoins parfois bien différents. Forte de
sa structure et de ses ressources, la Ville a pu, ces dix dernières années, mettre en
place et soutenir des plans et des actions visant à bonifier la qualité de vie de ses
résidents.
Quelles sont ces réalisations qui ont
changé notre quotidien?
L’extension du service de transport collectif
Taxibus à l’ensemble du territoire a changé le
quotidien d’un grand nombre. En 2012, vous
êtiez 6 301 usagers à utiliser Taxibus et ses 360
arrêts disponibles. On peut vivre sans voiture
à Salaberry-de-Valleyfield même pour les
mamans avec leur poussette, tandis que les
personnes en fauteuil roulant bénéficient du
Transport adapté. Les services de transport se
transforment pour s’ouvrir à tous.
Une ville regroupée c’est aussi…
- La mise en place d’une Politique du logement et
d’une Politique familiale qui influencent l’ensemble
des actions de l’institution.
- Le plan d’action à l’égard des personnes
handicapées.
- L’harmonisation des politiques de tarification et de
soutien aux organismes.
- La revitalisation sociale des premiers quartiers.
- Le lancement du premier projet concerté de parcécole
vert pour l’école Sacré-Cœur.
taxibus, c’est 434 000 déplacements en 10 ans.

TÉMOIGNAGES
« Chaque ville a besoin du milieu
communautaire et vice-versa. L’un ne va pas
sans l’autre. Le regroupement de Grande-Île,
Saint-Timothée et Salaberry-de-Valleyfield,
a créé une mobilisation des organismes.
Aujourd’hui, nous avons un mouvement
communautaire assez solide qui veut travailler
sur le plan de la justice sociale. La création d’un
poste de coordination à la vie communautaire
au sein de la Ville de Salaberry-de-Valleyfield
constitue également une belle initiative.»
Chantal Geneau | Directrice de la Corporation de
développement communautaire Beauharnois-Salaberry
« Salaberry-de-Valleyfield possède une histoire
communautaire dans laquelle nous avons
plusieurs organismes à caractère régional
de longue date. Je pense à la Popote
roulante qui célèbre ses 40 ans, au Camp
Don Bosco qui dessert les familles depuis 75
ans. Le développement communautaire
est profondément encré ici et depuis bien
longtemps. »
Émile Duhamel | Directeur de la pastorale sociale
« La Cité des Arts et des Sports a connu des
années critiques mais nous avons travaillé
fort pour que la roue tourne. Notre équipe est
exceptionnelle, nous avons conclu de belles
ententes avec le Collège de Valleyfield et
la Ville et les récents aménagements nous
permettent de posséder des équipements
répondant aux normes. Par contre, beaucoup
de bénévoles sont à bout de souffle. Il faut
donc être à leur écoute. »
Rémi Champagne | Président du conseil d’administration
de la Cité des Arts et des Sports
13.
être en sécurité
Avec une réputation de ville industrielle
à risques, Salaberry-de-Valleyfield
avait à faire pour assurer une gestion
responsable. De la même façon, son
grand territoire, ses multiples accès à
l’eau et sa large population nécessitent
des ressources humaines et matérielles
variées et des stratégies que seules les
villes regroupées peuvent se permettre.
Quelles sont ces réalisations qui ont
changé notre quotidien?
La mise en place du Comité mixte municipalindustriel
(CMMI) en 2005, un des plus
importants au Québec, a permis de diminuer
et d’éliminer même, dans certains cas,
les risques d’accidents industriels majeurs
sur l’ensemble de notre territoire. Le CMMI
œuvre pour améliorer la qualité de vie et la
sécurité des citoyens et limiter, voire éliminer,
les impacts environnementaux provoqués
par un sinistre ou un accident en planifiant
stratégiquement une intervention coordonnée
en cas de situations d’urgence.
Une ville regroupée c’est aussi…
- Du personnel municipal formé et un équipement
adapté aux différentes possibilités d’intervention
(feux domestiques ou industriels, l’eau, la glace,
les accidents routiers…).
- L’adoption du Plan municipal des mesures
d’urgence et la mise sur pied d’un centre de
coordination.
- La réalisation d’un schéma de couverture de
risques.
- L’embauche de pompiers à temps plein et
d’officiers.
- La mise aux normes des casernes Roma-Bougie
et Paul-Marleau.
- Les milliers de visites à domicile pour la vérification
des avertisseurs de fumée.
- Le Plan d’évacuation des écoles et des
résidences de personnes âgées.
« C’est possible de vivre sans voiture à
Salaberry-de-Valleyfield. C’est mon cas depuis
deux ans. C’est plus économique. Le service
de transport Taxibus me convient très bien; il y
a un arrêt près de chez moi. Je suis à quelques
minutes de l’Hôpital du Suroît et des bureaux
gouvernementaux. Tous les services sont à
proximité. »
Roger Lepage | Retraité, photographe amateur et cycliste
LE SERVICE D’INCENDIE
A MENÉ 6 551
INTERVENTIONS EN 10 ANS

Notre ville
et ses changements
Connaissez-vous le nom de votre quartier? Où passe la
piste cyclable? Quels travaux majeurs et améliorations
ont été faits ces 10 dernières années?
Consultez la carte pour en savoir plus.
Procurez-vous la grande
carte détaillée de la
Ville. Elle est gratuite et
disponible notamment à
l’hôtel de ville et au bureau
de Tourisme Suroît.

16.
BOUGER, S’OUVRIR, PERFORMER
La ville de Salaberry-de-Valleyfield, carrefour fluvial, entre le lac Saint-François et le
fleuve Saint-Laurent, a une position unique des plus enviables qui, en plus de s’appuyer
sur une forte histoire industrielle, offre à ses résidents, par le biais d’investissements
majeurs dans sa mise en valeur, un milieu de vie stimulant la créativité, la culture, les
loisirs, le divertissement et les sports en tout genre.
Quelles sont ces réalisations qui ont changé notre quotidien?
Loisirs
Avec un nouveau chalet d’accueil pour le Parc
régional des îles Saint-Timothée, un nouvel abri
et des structures d’accueil, l’opportunité est
donnée à un plus grand nombre de personnes,
dont de nombreux enfants, lors des camps de
jour, de profiter de ce site naturel exceptionnel,
de la piste cyclable et de sa magnifique plage.
Une ville regroupée c’est aussi…
- Les jardins communautaires dans les quartiers
Robert-Cauchon, de la Baie et Grande-île.
- Le plan directeur des parcs, espaces verts,
plateaux sportifs et équipements communautaires.
- La construction d’un chalet d’accueil au parc
Salaberry et l’installation de nombreux jeux dans
plusieurs parcs.
- L’aménagement de deux nouveaux parcs : parc
des Éperviers et parc des Orchidées.
- Des activités pour les enfants avec une inscription
commune.
Culture
Bienvenue au MUSO! Le Musée de société des
Deux-Rives, gardien et promoteur de la riche
histoire industrielle de la ville et acteur majeur
dans les multiples activités d’intervention
sociale pour l’intégration et la contribution de
tous à notre communauté, a maintenant son
site permanent.
www.lemuso.com
Une ville regroupée c’est aussi…
- L’adoption d’une Politique culturelle.
- La protection du patrimoine via le PIIA (Plan
d’Implantation et d’Intégration architectural).
- La Bibliothèque Armand-Frappier propose
maintenant sa collection en ligne site web.
- La rénovation majeure de la Salle Albert-
Dumouchel.
- La rédaction et la mise en ligne d’un bottin des
ressources culturelles.
À SALABERRY-DE-VALLEYFIELD, ON PEUT PRATIQUER
65 activités SPORTiveS DIFFÉRENTeS

17.
Sports
Acquisition d’une grande partie de la rivière
Saint-Charles pour soutenir les activités de kayak
en eau vive qui attirent des passionnés de tout
le Québec et du Canada toute l’année du fait
des qualités exceptionnelles du lieu.
SALABERRY-DE-VALLEYFIELD
C’EST AUSSI 96 PARCS ET
ESPACES VERTS
Une ville regroupée c’est aussi…
- Les plateaux sportifs rénovés.
- Le regroupement des deux corporations gérant les
arénas.
- Le soutien à l’élite sportive.
TÉMOIGNAGES
« Je suis un aîné très actif. Je fais du bénévolat, je m’intéresse
à la politique. Il y a beaucoup d’alternatives pour des gens qui
n’aiment pas jouer aux cartes, comme moi. Je pense au cours
de Zumba, entre autres. »
Raymond Robitaille | Grand bénévole au sein de plusieurs comités
« Avoir une région qui pousse dans le même sens, ça fait toute
la différence mais il y a encore à faire en loisirs et sports. Le
réseau cyclable et les plans d’eau sont largement exploités
comme notre site de kayak de rivière au cœur du centre-ville. Il
s’agit d’un centre d’une importance capitale au Canada. Peu
de municipalités peuvent se vanter de posséder un site pareil. »
Jean-Luc Brassard | Médaillé olympique en ski acrobatique, épreuve des
bosses, à Lillehammer en 1994
« Les travaux majeurs en vue de la tenue des Jeux du Québec
à l’hiver 2011 représentent des éléments de fierté. La Ville a
compris qu’il peut y avoir du sérieux dans les loisirs. Le sport
est une entreprise, un besoin de base pour la population. Par
contre, le sport-études manque. Cette formule est la clé de
la performance en permettant aux jeunes d’étudier le matin
et de s’entraîner l’après-midi. Dans le Sud-Ouest, Salaberry-de-
Valleyfield est malgré tout la meilleure ville sans sport-études au
classement des 19 régions inscrites aux Jeux du Québec. »
Ève Filiatrault | Co-entraîneure-chef de CampiAgile

18.
communiquer et sensibiliser
La Ville a aujourd’hui les ressources pour informer la population des nombreux
services, réalisations et activités qui se tiennent sur son territoire. La Ville va même
plus loin en mettant en place un système de gestion des requêtes en vue d’améliorer
la qualité du service ou en implantant des campagnes de sensibilisation majeures
visant à contribuer à la bonification et à la préservation de notre qualité de vie.
COMMUNICATION
La mise en ligne d’un site Internet aura
révolutionner la communication avec les
citoyens en les rapprochant de l’administration
comme en rendant accessible informations
et services 24 heures sur 24. Le nouveau site
Internet de la Ville sera dévoilé le 6 juin prochain.
De nouveaux services en ligne vous attendent.
Une ville regroupée a permis aussi…
- La diffusion de 8 bulletins municipaux par année
ainsi que du Bilan annuel des réalisations de
l’organisation municipale.
- Une équipe de préposées aux appels, à votre
écoute.
- La télédiffusion des séances du conseil.
- Les entrevues hebdomadaires à CKOD FM 103.1.
- La gestion électronique des requêtes pour un
meilleur suivi.
- L’implantation de la signalisation urbaine au
centre-ville.
- L’adoption d’un emblème floral, le tournesol
Sunspot.
SENSIBILISATION
En 2012, la Ville lance SAM, un Système
Automatisé de Messages, afin de permettre
aux Campivallensiennes et Campivallensiens
de recevoir directement un message, par
téléphone ou par courrier électronique,
les informant d’une situation d’urgence les
concernant et les consignes à suivre..
Une ville regroupée c’est aussi de nombreuses
campagnes comme…
- La campagne d’économie d’eau potable depuis
2003.
- La campagne de contrôle de l’herbe à poux
depuis 2008.
- La campagne majeure sur la sécurité routière,
mesure d’atténuation de la vitesse.
- La campagne d’information INFO-TRAVAUX lors de
travaux majeurs d’infrastructures.
- Des campagnes d’information sur la sécurité
incendie et l’environnement.
- La campagne de promotion résidentielle « Optez
pour un naturel urbain ».
- Des séances d’information publiques sur la gestion
responsable des risques industriels majeurs ou
encore sur les constructions et les travaux.
- Des candidatures à de nombreux concours
nationaux

19.
une ville et
des centaines de Familles
« Grande-Île a beaucoup évolué en partie
à cause du déplacement des commerces
vers le boulevard Monseigneur-Langlois.
Aujourd’hui, il y a un rehaussement de la qualité
de vie dans Grande-Île. Nous remarquons
un fort développement domiciliaire.
Grande-Île se démarque par ses quartiers
comme le nôtre, c’est-à-dire jeunes, modernes et
accommodants pour les familles.
L’administration municipale devrait envisager
l’aménagement d’autres sorties de ville avec
tant de développements. »
Famille Blanchet-Primeau
Sur la photo, Jennifer Blanchet, Elliot et Martin Primeau.
« Nous tentons d’axer davantage sur le tourisme
pour la saison estivale. Or, il faudrait créer
des événements pour attirer les gens chez
nous l’hiver. Lorsque nous étions enfants, nous
assistions à des courses de voitures sur la glace,
nous patinions sur un anneau improvisé du
vieux canal, etc. »
Famille Mbodji-Cousineau
Sur la photo, Sadya, Malick et Miguel Cousineau.
Fatou Kiné Mbodji était absente lors de la prise de photo.
« Nous avons vu une grande amélioration
des modules de jeux dans les parcs. Au Parc
régional des îles Saint-Timothée, par exemple,
il y a eu ajout de murs d’escalade. Les enfants
découvrent des choses lorsqu’ils fréquentent
les parcs de la Ville. Nous y pratiquons aussi le
vélo en famille car le réseau cyclable est bien
pensé et sécuritaire. Le site est paisible. Nous
y apercevons des canards, des outardes. Les
garçons aiment bien. »
Famille Pilon-Lalonde
Sur la photo : Stéphanie Pilon, Félix et Jérémy
Daniel Lalonde, Marc-André et Samuel étaient absents lors
de la prise de photo.

20.
PROTÉGER ET PRéSERVER
Répondre à nos préoccupations environnementales nécessite du temps et
des ressources. La Ville se soucie grandement de notre environnement et de
sa préservation. Elle se donne les moyens pour améliorer ses habitudes autant
que de sensibiliser, modifier celles des résidents et préparer ainsi l’avenir.
Quels projets ont été mis en place par la Ville?
Par un projet de 4 ans de contrôle de l’herbe à
poux, une première au Québec, Salaberry-de-
Valleyfield a prouvé à toutes les municipalités
québécoises que l’on peut améliorer la qualité
de vie en contrôlant l’herbe à poux.
Une ville regroupée a permis aussi…
- La mise en place d’une Escouade Verte
Campivallensienne.
- L’adoption et mise en application du Plan d’action
en développement durable avec une majeure
en environnement (PADD-E) – une première au
Québec. Un comité de 16 représentants dont un
citoyen font un suivi rigoureux du plan.
- Une réglementation majeure sur l’interdiction des
pesticides.
- L’inventaire et adoption du plan de réduction des
gaz à effet de serre.
- L’acquisition de nombreux véhicules
écoénergétiques et la conversion de certains
véhicules au propane .
- La plantation de 350 arbres en 10 ans.
- Un service accru de protection des petits animaux.
L’eScouade verte
C’est 207 visites à domicile
pour l’évaluation des pelouses, des
arbres malades, du compostage, des
pesticides et des gouttières,
300 appels téléphoniques,
4 033 personnes rencontrées
lors d’évènements depuis sa création
en 2008.

21.
Campagne
d’économie d’eau potable
Depuis 12 ans, la Ville de Salaberry-de-Valleyfield conduit sa campagne de sensibilisation à
l’économie d’eau potable qui comprend la tenue d’ateliers d’eau potable dans les classes de 5 e
et 6 e année des 11 écoles de la Commission scolaire de la Vallée-des-Tisserands.
En février dernier, le Bilan de l’an 2 du PADD-E valorisait une réduction de la consommation d’eau
potable de 14,4 % en 2 ans.
Saviez-vous que
vivre à Salaberry-de-Valleyfield
c’est avoir accès à un
RÉSEAU DE 120 KM DE
PISTES CYCLABLES PLANES ET
ASPHALTÉES?
Avec 3 328 km 2 de parcs et d’espaces
verts, de nombreux accès à l’eau et de
si magnifiques pistes cyclables, il serait
fou de ne pas en profiter!
TÉMOIGNAGES
« Le regroupement a permis d’avoir une vision
globale des choses. En environnement, tu dois
voir plus large. Lorsque tu poses une action,
elle peut avoir un effet plus loin. L’adoption
du PADD-E, il y a deux ans, a changé bien
des choses. Les projets domiciliaires LEED, les
stationnements dotés d’arbres, le futur poste
de la Sûreté du Québec… il y a une goutte
d’environnement partout maintenant. »
Denis Gervais | Trésorier de Crivert
« On fait énormément d’efforts en comparaison à d’autres villes, d’autres régions. Notre PADD-E
est l’un des seuls à avoir autant d’importance sur le plan provincial, c’est une fierté. Cependant,
en matière d’environnement, il y a toujours de gros efforts à investir. C’est un travail continu de
persévérance. »
Érin O’Hare | Directrice générale du Comité de Zone d’Intervention Prioritaire (ZIP) du Haut-Saint-Laurent
« L’aspect le plus positif du regroupement, c’est la venue d’une coordonnatrice du Parc, une
interlocutrice qui connaît notre réalité. On la rencontre à quelques reprises durant l’année pour se
familiariser avec les intentions de la Ville et de convenir avec elle des activités et des interventions
sur le site. Dans un proche avenir, il faudrait prévoir une planification à long terme pour l’entretien
et l’aménagement du Parc. »
Marthe Martel | Présidente de l’Association des amis du Parc régional des îles de Saint-Timothée

22.
ÊTRE UNE DESTINATION TOURISTIQUE
Rayonner et partager avec fierté. Mettre en valeur ses atours si uniques. Faire connaître
et séduire. Salaberry-de-Valleyfield a les qualités pour devenir un incontournable. Les
visiteurs surpris par les trésors qui s’y trouvent en parlent immanquablement autour
d’eux. En prenant les moyens pour appuyer cette vision de rayonnement, la Ville s’est
positionnée comme un pôle touristique dont la notoriété ne cesse de croître. Un coin
de paradis…
Touristiquement parlant, quels projets ont positionné la Ville?
La réouverture de l’Ancien canal de Beauharnois
est un tournant pour le développement
touristique, car il met en valeur autant le
caractère nautique et naturel uniques de
Salaberry-de-Valleyfield que son caractère festif
et chaleureux. L’Ancien canal a ouvert la porte
à un nouveau souffle pour le développement
de la ville qui a conduit, par exemple, au
fabuleux théâtre d’eau multimédia Ohneka.
OHNEKA A ATTIRÉ 75 000
VISITEURS de 2010 à 2011
UNE NOUVELLE SAISON S’AMORCE
DÈS CE 19 JUILLET
Une ville regroupée a permis aussi…
- La mise en place et la promotion de Destination
Salaberry-de-Valleyfield.
- Le développement du réseau cyclable et le
soutien au lien inter-rives avec la navette fluviale.
- Le protocole d’entente avec l’Hôtel Plaza
Valleyfield qui a permis d’accroître sensiblement le
nombre de nuitées et de congrès depuis 2009.
- La création de la station nautique Lac Saint-
François.
- La promotion nationale de la plage.
- Le comité de développement touristique assurant
la concertation des intervenants et la convergence.

TÉMOIGNAGES
« La Fête des récoltes, le Festival des arts…
tous ces événements sont en lien avec
l’embellissement de la ville. L’implantation de
sites touristiques, comme l’Hôtel Plaza, ont aidé
au développement du secteur culturel. Ça a
permis des ouvertures. Monique Gervais y a
établi sa galerie d’art, j’y ai essayé le dessin. »
Yvon St-Aubin | Artiste peintre
« Comme petite commerçante, je me
sens importante et prise au sérieux. On me
demande de participer à des événements
culturels et je sens que je fais une différence qui
incite à l’implication. Pour moi, la ville manque
d’œuvres géantes, fresques, sculptures… il faut
mettre nos artistes à l’avant-scène et goûter
à la culture même en dehors des salles de
spectacle. »
Natalie Filiatrault | Propriétaire de la Galerie du coin
« Quand nous avons démarré le MUSO, il y a
30 ans, les gens nous demandaient notre raison
d’être. Salaberry-de-Valleyfield était une ville
ouvrière. Les résidents avaient le coton dans
les veines. Avec le temps, l’appartenance de
la population à la nouvelle ville a amené un
changement de mentalité. Maintenant, il y a
un nouvel engouement. »
Peter Rozon | Vice-président du conseil d’administration du
MUSO
« La rivière Saint-Charles est bien aménagée
pour l’entraînement de kayakistes de tous
les niveaux. Le bas de la rivière est plat et
plus on monte, plus il y a de dénivellations
et d’obstacles. Pas étonnant alors que notre
site soit reconnu comme le Centre provincial
d’entraînement pour le kayak de slalom en
rivière. Idéalement, pour concilier le sport et
les études chez les athlètes, il faudrait voir à
éclairer le site de kayak. Des discussions sont
déjà en cours. »
Babacar Daoust-Cissé | Kayakiste

24.
fêter, célébrer, se remémorer
C’est la population qui est l’âme d’une ville. Avec son positionnement enviable et
sa culture festive, la ville est un lieu de célébration unique et majeur où chacun se
fabrique ses propres souvenirs.
À quoi ressemble notre album souvenir, notre album de famille?
Les Régates de Valleyfield
qui fêteront leur 75 e en 2013
46 e finale des Jeux du Québec
Hiver 2011
Festival des Arts Visuels de
Salaberry-de-Valleyfield
Les Mardis en Musique

25.
Le Triathlon Valleyfield
Le Festival équestre
ET AUSSI...
La Fête des Voisins
Les Pique-niques au parc
La Fête des récoltes
Le défilé de la
Saint-Jean-Baptiste
Nous vous invitons à partager vos
anecdotes et photos souvenirs sur la
page Facebook de la Ville :
www.facebook.com/valleyfield
(Il est nécessaire d’avoir un compte Facebook pour écrire
sur la page de la Ville mais pas pour la consulter).
TÉMOIGNAGES
« Sur le plan culturel et récréatif, il y a eu
beaucoup d’amélioration au cours des
dernières années et nous en bénéficions
aujourd’hui. Je pense, entre autres, à
l’aménagement de la salle Chez Rose et au
terrain de football synthétique au Collège. »
Jessica Stafford | Journaliste, journal Agri Vallée
« Avant longtemps, plusieurs entreprises de
la métropole vont vouloir s’installer sur la Rive-
Sud. Leur présence va engendrer l’arrivée de
nouveaux résidents qui, à leur tour, apporteront
du sang neuf sur le plan du bénévolat et un
rajeunissement de la population. »
Mario Pitre | Rédacteur en chef, journal Le Soleil de
Salaberry-de-Valleyfield
« J’ai hâte de voir le nouveau parc technologique qui accueillera des industries oeuvrant dans
des secteurs non polluants. S’il se développe comme prévu, le parc nous permettra de connaître
une croissance de la population par la venue de nouveaux travailleurs et leur famille. »
Daniel Grenier | Journaliste, journal Saint-François

26.
AVENIR... À venir
Le temps d’une rétrospective nous apprécions la somme et l’envergure des actions et
des réalisations qui ont eu lieu dans notre ville ces 10 dernières années.
Salaberry-de-Valleyfield, propulsée par un dynamisme multiple, est une ville qui n’a
pas fini de s’épanouir!
Voyez un peu ce qui s’en vient...
Des investissements majeurs au centreville,
dont un plan d’illumination des
édifices historiques
De nouvelles signalisations urbaines
dans les parcs et aux entrées de ville
Un parc Delpha-Sauvé renouvelé
avec une nouvelle piscine et un joyau
patrimonial, l’édifice Jean.H-Besner,
endimanché.
La réalisation du plan de
développement du centre-ville
et des artères commerciales

27.
Le site Saint-Eugène,
un nouveau quartier
tendance
La 1 re édition du
Festival de Plongée
du lac Saint-François
La concrétisation de l’A30
ET AUSSI...
Un nouveau poste de police régional LEED
Le début des travaux de réhabilitation de l’usine d’épuration des Seigneuries
Un parc industriel vert
Le Festival Artefact
Un centre de tri
Etc.
TÉMOIGNAGES
« Plusieurs personnes doivent travailler à l’extérieur de la région.
J’espère que le parachèvement de l’autoroute 30 va contribuer
à l’essor de la municipalité et à une hausse du nombre
d’emplois chez nous. En ce sens, le Port de Valleyfield apportera
de l’emploi additionnel au cours des prochaines années. »
Roland Latreille | Conseiller municipal de la Ville de Saint-Timothée, de 1994 à
2002, et conseiller municipal de la Ville de Salaberry-de-Valleyfield, de 2002 à 2005
« De beaux projets se sont réalisés déjà. Et ce n’est pas fini.
Grâce au futur plan de réaménagement du centre-ville,
nous repositionnerons prochainement notre ville du côté
environnemental. Nous voulons continuer à développer
les grands axes, à préserver notre patrimoine. Nous avons
commencé à poser des gestes dans certains quartiers d’ailleurs.
Ce plan regroupera les grandes orientations de Salaberry-de-
Valleyfield pour les prochaines années. »
Denis Lapointe | Maire de Salaberry-de-Valleyfield
« Salaberry-de-Valleyfield est une ville à échelle humaine qui
favorise les relations intergénérationnelles. Chaque génération
a quelque chose à apporter aux autres. Tout le monde y trouve
son compte. C’est une ville dynamique. »
Yvon Boucher | Membre fondateur de l’Association des amis du Parc régional
des îles de Saint-Timothée