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Dossier PDF complet - Scène nationale de Sénart

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Que ma joie <strong>de</strong>meure<br />

dossier artistique<br />

compagnie fêtes galantes<br />

www.fêtes-galantes.com


Sommaire :<br />

Bach 3<br />

Si le corps du danseur était un instrument <strong>de</strong> musique 4<br />

Pourquoi la danse Baroque 5<br />

Béatrice Massin 6<br />

Compagnie Fêtes galantes 7<br />

Générique et coproduction 8<br />

2


Bach<br />

(…) Si je préfère sa musique à toutes les autres, c’est parce qu’elle est délivrée du<br />

sentiment. Pas <strong>de</strong> chagrin, pas <strong>de</strong> regret ni <strong>de</strong> mélancolie : juste la mathématique<br />

<strong>de</strong>s notes, comme le tic-tac <strong>de</strong>s balanciers d’horloge. Comme la vie qui s’en va<br />

dans la vie.<br />

(...) Cette musique là s’empare <strong>de</strong> la vie, faite d’attente, <strong>de</strong> fatigues et d’ennui, elle<br />

cherche si peu à oublier cette substance <strong>de</strong>s jours ordinaires qu’elle en fait sa base,<br />

sa nourriture, sa terre d’envol : d’abord <strong>de</strong>s ébauches, <strong>de</strong>s bégaiements, le raclement<br />

sans grâce <strong>de</strong> l’archet sur les cor<strong>de</strong>s, et d’un seul coup tout se recueille et s’envole<br />

dans la fugue d’un air pur.<br />

(...) Titati titati, tatati tatati. C’est ce qui monte <strong>de</strong> mon coeur à mes lèvres, les<br />

premières notes <strong>de</strong> l’air <strong>de</strong> « Jésus que ma joie <strong>de</strong>meure ». Ma joie <strong>de</strong>meure même<br />

si Jésus n’y est pour rien. Ma joie <strong>de</strong>meure quand les portes claquent et les visages<br />

se ferment.<br />

« La folle allure » - Christian Bobin<br />

Ed. Folio<br />

3


Si le corps du danseur était un instrument <strong>de</strong> musique…<br />

Si le corps du danseur était un instrument <strong>de</strong> musique...<br />

Si la Compagnie fêtes galantes <strong>de</strong>venait un orchestre chorégraphique...<br />

Un sol rouge, éclatant, conçu pour <strong>de</strong>venir sous les pieds <strong>de</strong>s danseurs un instrument <strong>de</strong><br />

musique laissant sonner les « glissés », les « tombés », les « frottés » spécifiques à la danse<br />

baroque.<br />

Des costumes sobres permettant <strong>de</strong> lire les corps. Un jeu <strong>de</strong> couleurs chau<strong>de</strong>s et lumineuses, jouant<br />

sur une harmonie, <strong>de</strong>s nuances subtiles propres à chaque interprète. Un détail vestimentaire, clin d’œil<br />

nécessaire pour installer une complicité avec le mon<strong>de</strong> baroque.<br />

Une architecture chorégraphique à partir <strong>de</strong> phrases, très lisibles d’abord, à l’unisson puis en<br />

canons, en fugues, en questions, en réponses, en sujets, en contre-sujets.<br />

Un son recherché et longuement étud ié, <strong>de</strong>s pas, base <strong>de</strong> la phrase chorégraphique,<br />

partant <strong>de</strong> l’ensemble parfait pour aller vers la plus gran<strong>de</strong> <strong>de</strong>s polyphonies.<br />

La musique <strong>de</strong> J. S. Bach se glisse alors dans cette charpente chorégraphique conçue pour<br />

l’accueillir et jouir <strong>de</strong> son dynamisme et <strong>de</strong> sa plénitu<strong>de</strong>. La musique arrive donc en contraste<br />

ou en prolongement <strong>de</strong>s climats installés par la danse.<br />

La danse est un complément, une prolongation <strong>de</strong> la musique. Il y a <strong>de</strong>s moments où seul le<br />

son <strong>de</strong>s pas <strong>de</strong>s danseurs accompagne les mouvemen ts. Cela permet <strong>de</strong> mieux apprécier<br />

le moment où cette danse en silence se fond dans la musique.<br />

Un dialogue <strong>de</strong> plaisir entre la musique et la danse ; le mouvement indispensable à la<br />

musique et à la musicalité <strong>de</strong> la danse.<br />

Béatrice Massin<br />

4


Pourquoi la danse Baroque <br />

Pour Béatrice Massin, la rencontre avec l’époque baroque confirme sa volonté <strong>de</strong> considérer le<br />

corps-dansant comme un instrument musical.<br />

Son choix <strong>de</strong> la danse baroque est déterminé par le désir <strong>de</strong> toujours composer sur la<br />

musique <strong>de</strong> l’époque qui EST mouvement, énergie, vitalité.<br />

Elle est convaincue que les compositeurs <strong>de</strong> cette époque avaient eux-mêmes la mémoire <strong>de</strong> la<br />

danse.<br />

En concevant ses chorégraphies à partir <strong>de</strong> ces musiques, elle complète ainsi la partition<br />

musicale.<br />

Cette musique était conçue par et pour <strong>de</strong>s personnes en constante mobilité, pratiquant<br />

quotidiennement la danse et <strong>de</strong> nombreuses activités physiques. La musique EST danse, la<br />

danse lui donne d’ailleurs ses rythmes et ses phrasés. Elle est une écriture spatiale <strong>de</strong> la<br />

musique<br />

Musique et danse parlent le même langage, celui <strong>de</strong> la saraban<strong>de</strong>, ou du menuet, voire <strong>de</strong> la<br />

gavotte ou <strong>de</strong> la passacaille.<br />

Concevoir ses chorégraphies sur les musiques du XVII e et XVIII e siècles est primordial pour<br />

Béatrice Massin. Cela lui permet une gran<strong>de</strong> liberté <strong>de</strong> composition d’autant plus qu’elle adore<br />

improviser.<br />

Des chorégraphies à dramaturgie importante où la danse est théâtralisée (Charpentier <strong>de</strong>s<br />

Ténèbres, Pimpinone) à l’abstraction d’une architecture en mouvement (Water Music , Que<br />

ma joie <strong>de</strong>meure), tout <strong>de</strong>vient possible. Il s’agit <strong>de</strong> ne pas confondre ornement et maniérisme.<br />

L’ornement souligne un point fort, quand c’est trop d’ornementation qui crée le maniérisme.<br />

Et l’ornement peut utiliser la simplicité…<br />

5


Béatrice Massin<br />

Après avoir été interprète dans plusieurs compagnies contemporaines, dont celle <strong>de</strong> Susan Buirge, elle est engagée en<br />

1983 par Ris et Danceries où elle mène <strong>de</strong> front durant dix années, l'interprétation, la recherche sur le répertoire,<br />

l'assistanat et la création chorégraphique.<br />

Elle est l'assistante <strong>de</strong> Francine Lancelot pour Atys (Lully, J.M.Villégier). Elle co-signe avec cette <strong>de</strong>rnière en 1988<br />

la Saraban<strong>de</strong> pour Jean-Philippe (Rameau) pour le Ballet <strong>de</strong> l'Opéra <strong>de</strong> Nantes et en 1989 la chorégraphie <strong>de</strong> Fairy<br />

Queen (Purcell, A.Nobel) pour le Festival d'Aix-en-Provence.<br />

Par ailleurs, Ris et Danceries produit les chorégraphies <strong>de</strong> Béatrice Massin. Ainsi : Water Music <strong>de</strong> Haen<strong>de</strong>l à<br />

l'Arsenal <strong>de</strong> Metz en 1990 ; Bastien et Bastienne, Les Petits riens <strong>de</strong> Mozart, à l’Atelier lyrique <strong>de</strong> Tourcoing en 1991.<br />

En 1993, elle signe les chorégraphies <strong>de</strong> Médée <strong>de</strong> M.A. Charpentier, mis en scène par J.M.Villegier et dirigé par W.<br />

Christie.<br />

En février 1997, Béatrice Massin recrée, avec Francine Lancelot, la Saraban<strong>de</strong> pour Jean Philippe, pour le Ballet<br />

du Rhin. A la fin <strong>de</strong> 1993, Béatrice Massin fon<strong>de</strong> sa compagnie fêtes galantes, pour laquelle elle monte :<br />

- DES CREATIONS utilisant le vocabulaire chorégraphique <strong>de</strong> la danse du XVII e (ex: Charpentier <strong>de</strong>s Ténèbres, Carte du<br />

Tendre, Pimpinone, Trio triptyque ou tout récemment Que ma joie <strong>de</strong>meure)<br />

- DES PROGRAMMES PEDAGOGIQUES, avec reconstitutions <strong>de</strong> pièces du répertoire baroque (Divertissement chez Madame<br />

<strong>de</strong> Sévigné à l’amphithéâtre <strong>de</strong> l’Opéra Bastille (97), La France Baroque pour la Cité <strong>de</strong> la Musique <strong>de</strong> La Villette<br />

(99), Le corps baroque : un volume, un costume, un espace… pour le CND (2000), repris en février 2001 à l’Opéra<br />

Bastille.<br />

En 1999, Béatrice Massin est sollicitée par Gérard Corbiau (le réalisateur <strong>de</strong> « Farinelli »), pour créer et réaliser les<br />

chorégraphies <strong>de</strong> son film Le roi danse. Louis XIV s’est servi <strong>de</strong> son talent exceptionnel d’interprète pour imposer la<br />

danse à la cour et pour asseoir son pouvoir politique. C’est un <strong>de</strong>s sujets importants du film, bien servi par les<br />

chorégraphies et les vingt danseurs choisis et formés par Béatrice Massin.<br />

En septembre 2001, Béatrice Massin est invitée par le Ballet <strong>de</strong> Lorraine pour la création <strong>de</strong> <strong>de</strong>ux chorégraphies. La<br />

première, « Noir, du côté <strong>de</strong> Callot », inspirée par l’œuvre <strong>de</strong> Callot, graveur du début du XVII e siècle à Nancy, est<br />

créée à l’Opéra <strong>de</strong> Nancy en novembre 2001.<br />

Dans le cadre <strong>de</strong> sa rési<strong>de</strong>nce à L’apostrophe, scène <strong>nationale</strong> <strong>de</strong> Cergy-Pontoise, elle crée Que ma joie <strong>de</strong>meure en<br />

novembre 2002.<br />

Fin 2003, Bob Wilson choisit Béatrice Massin pour être sa conseillère en danse baroque pour Les Fables qu’il a<br />

créées en janvier 2004 à la Comédie Française.<br />

Par ailleurs, dans le cadre du projet Fables à la fontaine <strong>de</strong> La Petite Fabrique, Le loup et l’agneau voit le jour<br />

début 2004.<br />

En juin 2004, fêtes galantes participe à l’inauguration du CND avec la Para<strong>de</strong> baroque (17 danseurs et 8<br />

musiciens <strong>de</strong> l’ensemble Philidor).<br />

En septembre 2004, pour la re-création <strong>de</strong> Pimpinone, opéra-chorégraphique, Béatrice Massin invite Gilbert<br />

Bezzina et son Ensemble Baroque <strong>de</strong> Nice, à assurer désormais l’interprétation musicale du spectacle.<br />

Un voyage d’hiver sur la musique <strong>de</strong> Schubert, pour sept danseurs, un chanteur et un pianiste, a été créé les 16 et 17<br />

mars 2006 au Perreux-sur-Marne dans le cadre <strong>de</strong> la rési<strong>de</strong>nce <strong>de</strong> la compagnie au Centre <strong>de</strong>s Bords <strong>de</strong> Marne.<br />

6


La compagnie<br />

La compagnie Fêtes Galantes, dont la direction artistique est assurée, <strong>de</strong>puis sa création en 1993, par<br />

Béatrice Massin, approfondit sa recherche sur les multiples aspects <strong>de</strong> la danse baroque. Elle étudie, entre autres, les<br />

nombreuses partitions chorégraphiques qui traduisent la fantaisie <strong>de</strong>s chorégraphes <strong>de</strong> l’époque et l’immense liberté<br />

d’interprétation laissée aux danseurs. Les pas et les trajets y sont notés, mais pas l’utilisation <strong>de</strong>s bras, <strong>de</strong>s mains, les<br />

mouvements <strong>de</strong> tête etc. C’est à la lecture libre <strong>de</strong> ces partitions par Béatrice Massin et ses danseurs que la compagnie<br />

développe une interprétation et un style propres.<br />

Le dialogue entre la musique et la danse est une constante <strong>de</strong>s XVII e et XVIII e siècles. Béatrice Massin<br />

recherche, elle aussi, cette relation <strong>de</strong> complicité avec les musiciens <strong>de</strong> la compagnie qui participent à ses spectacles, <strong>de</strong><br />

leur conception à leur réalisation.<br />

La compagnie Fêtes Galantes envisage ses créations, comme <strong>de</strong>s voyages entre le mon<strong>de</strong> baroque et la<br />

sensibilité contemporaine. C'est ainsi qu’elle s'est constitué, peu à peu, un répertoire <strong>de</strong> pièces chorégraphiques.<br />

- 1994 : Charpentier <strong>de</strong>s Ténèbres - chemin chorégraphique et musical (Lambert, Lully, Charpentier). La même année,<br />

Béatrice Massin et sa compagnie sont invitées à réaliser les chorégraphies du film Jefferson in Paris <strong>de</strong> James Ivory.<br />

- 1995 : Divertissement chez Madame <strong>de</strong> Sévigné (Lully, Campra et M.Marais), reconstitution <strong>de</strong> danses du répertoire<br />

baroque, pensée pour différents espaces originaux comme le Musée National d'Helsinki ou le Château <strong>de</strong> Maisons.<br />

- 1996 : La Carte du Tendre (Couperin) est créée en hommage au théâtre baroque et aux Précieuses.<br />

- 1997 : À l’occasion <strong>de</strong> la reprise <strong>de</strong> Water Music , produit par Ris & Danceries en 1990, Béatrice Massin forme au<br />

baroque une nouvelle équipe <strong>de</strong> danseurs issus <strong>de</strong> formations classiques et contemporaines. C'est ainsi que Béatrice<br />

Aubert, Sarah Berreby, Laura Brembilla et Jean-Marc Piquemal intègrent Fêtes Galantes. C'est pour eux que Béatrice<br />

Massin écrit les Folies d'Espagne (Marin Marais), d’après Feuillet et Pécour.<br />

- 1998 : La rési<strong>de</strong>nce au Parvis-scène <strong>nationale</strong> <strong>de</strong> Tarbes aboutit à la création <strong>de</strong> Pimpinone, opéra chorégraphique.<br />

En 2004, une nouvelle version est créée au Duo-Dijon où la compagnie est en rési<strong>de</strong>nce : les chorégraphies sont<br />

remaniées pour 6 danseurs, la scénographie et les lumières sont créées par Rémi Nicolas, et l’interprétation musicale est<br />

confiée à l’Ensemble baroque <strong>de</strong> Nice, dirigé par Gilbert Bezzina.<br />

De décembre 1999 à juillet 2000, Béatrice Massin et sa compagnie participent à la création et au tournage <strong>de</strong>s<br />

chorégraphies du film Le roi danse <strong>de</strong> Gérard Corbiau (le réalisateur <strong>de</strong> Farinelli), qui traite <strong>de</strong>s rapports que Louis<br />

XIV entretenait avec Lully et <strong>de</strong> l’importance <strong>de</strong> la danse à la Cour.<br />

Dans le cadre <strong>de</strong> la rési<strong>de</strong>nce <strong>de</strong> création à L’apostrophe, scène <strong>nationale</strong> <strong>de</strong> Cergy-Pontoise (95), la compagnie crée le<br />

Trio Triptyque (Marais, Leclair, Haen<strong>de</strong>l) et Que ma joie <strong>de</strong>meure, chorégraphie pour dix danseurs sur la musique <strong>de</strong><br />

trois Concertos Bran<strong>de</strong>bourgeois <strong>de</strong> Bach.<br />

En 2003 la compagnie Fêtes Galantes a élaboré le projet Atelier baroque, un atelier au visage multiple,<br />

dialoguant sans cesse avec la musique, la peinture ou la sculpture, qui semble plus que jamais d’actualité. Ancrée dans<br />

son temps, cette structure singulière serait à la fois un lieu <strong>de</strong> recherche, <strong>de</strong> découverte et <strong>de</strong> transmission consacré au<br />

patrimoine et un lieu <strong>de</strong> transgression tourné vers la création.<br />

En 2005, la Fondation BNP Paribas - l’un <strong>de</strong>s rares mécènes à soutenir l’expression chorégraphique<br />

contemporaine – a décidé <strong>de</strong> soutenir désormais l’ensemble <strong>de</strong>s activités <strong>de</strong> la compagnie.<br />

7


Que ma joie <strong>de</strong>meure - générique<br />

Chorégraphie<br />

BEATRICE MASSIN<br />

Musique<br />

J.S. BACH, Concertos Bran<strong>de</strong>bourgeois (2 e ,6 e 3 e ) enregistrés par « The<br />

Amsterdam Baroque orchestra », direction Ton Koopman.<br />

Cantate BWV 78 « Jesu, <strong>de</strong>r du meine Seele », enregistrée par le chœur et<br />

l’orchestre <strong>de</strong> la Chapelle Royale, direction Philippe Herreweghe.<br />

Danseurs<br />

Costumes<br />

Lumière<br />

Assistant à la chorégraphie<br />

Régie générale et régie lumière<br />

Régie son<br />

Régie costumes<br />

Régie plateau<br />

Production<br />

BRUNO BENNE, SARAH BERREBY, DAVID BERRING, LAURA BREMBILLA,<br />

OLIVIER COLLIN, LAURENT CRESPON, ADELINE LERME, SEBASTIEN LY, FLORA<br />

SANS, GUDRUN SKAMLETZ.<br />

DOMINIQUE FABREGUE,<br />

assistée <strong>de</strong> Laurence Alquier et <strong>de</strong> Camille Hardy<br />

REMI NICOLAS<br />

EVELYNE RUBERT<br />

JEAN-MARC PIQUEMAL<br />

JULIETTE WION<br />

MARIE-CLAUDE GARCIN<br />

CEDRIC KERJAN<br />

IRINA PETRESCU<br />

Coproduction<br />

L’apostrophe - scène <strong>nationale</strong> <strong>de</strong> Cergy-Pontoise, Le Parvis - scène <strong>nationale</strong> <strong>de</strong> Tarbes, Le<br />

Ballet <strong>de</strong> Lorraine - CCN <strong>de</strong> Nancy, compagnie fêtes galantes.<br />

Avec l’ai<strong>de</strong> <strong>de</strong> l’Adami.<br />

Spectacle créé dans le cadre <strong>de</strong> la rési<strong>de</strong>nce <strong>de</strong> la compagnie Fêtes galantes à L’apostrophe - scène<br />

<strong>nationale</strong> <strong>de</strong> Cergy -Pontoise.<br />

La compagnie Fêtes galantes est subventionnée par le Ministère <strong>de</strong> la Culture ( DRAC Ile-<strong>de</strong>-<br />

France, au titre <strong>de</strong> compagnie conventionnée et DMDTS ), par la région Ile-<strong>de</strong>-France et par le<br />

Conseil Général du Val <strong>de</strong> Marne. Avec l’ai<strong>de</strong> <strong>de</strong> la Ville d’Alfortville.<br />

La compagnie Fêtes galantes bénéficie du soutien <strong>de</strong> la Fondation BNP-Paribas pour le<br />

développement <strong>de</strong> ses projets.<br />

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