Compte-rendu de la réunion du 8 octobre 2009 - Division Technique ...

La demande d’autorisation est en cours. SAFIRE pense que l’instrument pourrait voler dès la fin del’année 2009 (Nov-Déc). On devrait ainsi avoir un premier retour d’expérience avant la mise à jour duplan d’investissement programmée pour la prochaine réunion du CSTA.En ce qui concerne le Lyman-α, JFG s’était engagé lors du dernier CSTA à contacter le DLR et le NCARpour leur demander s’il y a moyen de se procurer de nouvelles lampes UV. Le DLR l’a informé qu’iln’utilise plus de Lyman-α. Le NCAR a fait part de la possibilité de se procurer des lampes UV auprèsd’une firme canadienne, mais ces lampes, d’une taille différente des précédentes, requièrent unemodification de l’instrument.ACTION 09-14 : FS contacte le NCAR afin d’essayer de récupérer les plans des modifications en vued’instruire une possible modification des Lyman-α de SAFIRE ( fin 2009).9 COPAL/EUFARJLB fait tout d’abord part d’une demande du Geophysica de réintégrer le Trans-National Accessd’EUFAR pour ses 3 dernières années de fonctionnement. 10% du budget alloué au TNA lui seraientconsacrées au détriment des autres avions (budget global constant). Un besoin existe pour des vols àhaute altitude dans STACATO ou RECONCILE par exemple, mais le besoin n’est pas jugé à la hauteurde l’investissement.DECISION 09-03 : Le CSTA pense qu’il n’y a pas de demande forte en France pour des vols à hautealtitude sur ce type d’avion et recommande de proposer aux représentants français à EUFAR de nepas voter en faveur de la demande du Geophysica.Le programme EUFAR a mis en place un système permettant à des pays ne disposant pas d’avion derecherche de financer des heures de vol sur un avion de la flotte EUFAR en mettant du personnel àdisposition de son opérateur. L’Europe interviendra en compensant les éventuels écarts de salaireentre pays d’origine et pays hôte.JLB rappelle les objectifs du projet COPAL de gros porteur à long rayon d’action. Une réunionimportante de Governing Board COPAL étant prévue en octobre, une position française est à arrêter.Le CSTA, s’il le souhaite, peut y contribuer. La situation actuelle est la suivante : compte-tenu desmoyens financiers limités des tutelles, il n’est pas envisageable que la France puisse participer aufinancement de COPAL par un apport d’argent frais. Prenant en compte cette contrainte, SAFIREpropose une contribution en nature. L’idée est d’ouvrir dès à présent l’accès à nos avions auxpartenaires européens au tarif « partenaire » en échange d’un apport en personnel. Cet apportpermettrait au pays concerné de commencer à former des personnels à la mesure aéroportée. Nousnous préparerions ainsi à faire de nos avions des vecteurs européens prêts à intégrer la flotte COPALau moment de sa création et comptabilisés comme une contribution en nature.Le projet est discuté par les membres du CSTA. Pour que SAFIRE puisse tirer un bénéfice de la mise àdisposition d’un personnel, il est impératif que la durée du séjour soit au moins d’une année.La question se pose également de la réponse que nous serions amenés à faire si un partenaireétranger souhaitait disposer d’un instrument de laboratoire (Leandre II par exemple). Les laboratoiresaccepteront-il d’aider SAFIRE à mettre en œuvre l’instrument et à en traiter les données ?Une inquiétude porte sur le traitement des données de campagnes. On constate une difficultéactuellement à traiter rapidement les données existantes. Ne risque-t-on pas d’augmenter ladifficulté ? La réponse LP est que le personnel temporaire mis à disposition de SAFIRE devraitpermettre de consacrer plus de moyens au traitement des données.ACTION 09-16 : Le CSTA souhaite exprimer au CD un avis sur l’orientation stratégique défendue parSAFIRE. Pour cela, GA va rédiger très rapidement un texte qu’il soumettra pour avis aux autresmembres du CSTA. L’avis sera ensuite transmis au CD ( date limite : réunion du CD le 13 octobre).10 PODLe dossier de certification du POD est présenté en séance. Pour information, une demande definancement a été adressée aux moyens mi-lourds pour la certification. Lui a été jointe une lettre duCSTA confirmant l’intérêt d’un POD. Cette lettre avait fait l’objet d’une consultation par mail.