ParamètresRégimealim<strong>en</strong>taire (%)(suite)SpécificationsÉtéMammifères domestiquesMammifères sauvagesOiseauxVégétauxAutresHiverMammifères domestiquesMammifères sauvagesOiseauxVégétauxAutresÉtéCerf de VirginieOrignalCervidés non id<strong>en</strong>t.Lièvre d’AmériquePetits mammifèresCastor d’AmériqueRat musquéOiseauxInsectesFraisesAutres fruitsHiverCerf de VirginieOrignalCervidés non id<strong>en</strong>t.Lièvre d’AmériquePetits mammifèresPorc-épicÉcureuil rouxOiseauxÉtéCerf de VirginieLièvre d’AmériquePetits mammifèresOiseauxFruitsInsectesHiverCerf de VirginieOrignalLièvre d’AmériquePetits mammifèresOiseauxFruitsLièvre d’AmériqueCerf de VirginiePlantes, graines, feuillesPetits mammifèresPlastique, caoutchouc, etc.Gros oiseauxPorc-épicAutresMoy. ± é.-t.(ét<strong>en</strong>due)6296772941412373551012691012663135834375114193017775763139831332252014136514Airegéographique étudiéeCantons-del’Est,QuébecMaineMaineNouveau-Brunswick etNouvelle-ÉcosseRéfér<strong>en</strong>cesBergeron etDemers, 1981Major etSherburne,1987Litvaitis etHarrison, 1989Moore etMillar, 1986Comm<strong>en</strong>tairesPourc<strong>en</strong>tage de prés<strong>en</strong>cedans le cont<strong>en</strong>u stomacal.Région agroforestière.Les mammifères domestiquessont surtout des carcasses debovins et de porcs, alors queles sauvages correspond<strong>en</strong>tau lièvre d’Amérique (6 %annuel), à la Marmottecommune (4 %), au Cerf deVirginie (5 %), au Ratonlaveur (2 %), au Porc-épicd’Amérique (2 %), auCampagnol des champs(5 %) et à la Souris sylvestre(6 %).Pourc<strong>en</strong>tage de prés<strong>en</strong>cedans les fèces.Milieu forestier.Pourc<strong>en</strong>tage de prés<strong>en</strong>cedans les fèces.Milieu forestier.Pourc<strong>en</strong>tage de prés<strong>en</strong>cedans le cont<strong>en</strong>u stomacal.Divers milieux.La catégorie Autrescompr<strong>en</strong>d des oiseaux, despommes, des déchets etd’autres mammifères (orignal,animaux domestiques).12 de 23 <strong>Coyote</strong>
ParamètresTaux d’ingestionde l’eau (ml/d)SpécificationsIndividu de 12 kgIndividu de 16 kgMoy. ± é.-t.(ét<strong>en</strong>due)9261200Airegéographique étudiéeRéfér<strong>en</strong>cesCalder etBraun, 1983Comm<strong>en</strong>tairesTaux d’ingestionde solTauxd’inhalation d’air(cm³/g*h)Entre -20 °C et 20 °C (massecorporelle de10,3 ± 0,6 kg)Individu de 12 kgIndividu de 16 kg(2,2-2,5) Shield, 197213,813,1Stahl, 1967En considérant que l’oxygènereprés<strong>en</strong>te 21 % du volumede l’air.Surface cutanée(cm²)Individu de 12 kgIndividu de 16 kg55136646Stahl, 19675. Dynamique de population5.1. Distribution• Domaine vitalLa taille du domaine vital du <strong>Coyote</strong> de l’est serait plus restreinte que celle des populations de l’aireoriginale de répartition (Harrison, 1992). Une relation significative existe habituellem<strong>en</strong>t <strong>en</strong>tre la taille desdomaines vitaux et la d<strong>en</strong>sité d’individus résid<strong>en</strong>ts au sein d’une population (Andelt, 1985 dans Voigt,1987).Les <strong>Coyote</strong>s utilis<strong>en</strong>t le même domaine vital durant plusieurs années, voire toute leur vie (Bow<strong>en</strong>, 1982).Généralem<strong>en</strong>t, les individus du couple ou de la meute partag<strong>en</strong>t le même domaine vital (Bow<strong>en</strong>, 1982;Person et Hirth, 1991). Les domaines vitaux d’une meute ou d’un couple sont considérés comme desterritoires dont les limites sont déf<strong>en</strong>dues et marquées toute l’année par des dépôts d’urine et de fèces(Voigt, 1987). Les domaines vitaux de meutes ou de couples adjac<strong>en</strong>ts montr<strong>en</strong>t peu de chevauchem<strong>en</strong>tet les zones d’utilisation int<strong>en</strong>sive sont exclusives à chacun (Person et Hirth, 1991). Au contraire, lesindividus solitaires occup<strong>en</strong>t des aires non exclusives qui recoup<strong>en</strong>t les territoires des couples, desmeutes ou des autres individus solitaires (Messier et Barrette, 1982). Certains individus solitairessembl<strong>en</strong>t fidèles à un domaine vital, alors que d’autres sont plutôt nomades (Messier et Barrette, 1982).Roy et Dorrance (1985) m<strong>en</strong>tionn<strong>en</strong>t que les domaines vitaux des résid<strong>en</strong>ts, principalem<strong>en</strong>t des adultes,ne se chevauch<strong>en</strong>t pas, mais que ceux des individus non résid<strong>en</strong>ts, principalem<strong>en</strong>t des juvéniles,chevauch<strong>en</strong>t ceux des résid<strong>en</strong>ts et se chevauch<strong>en</strong>t <strong>en</strong>tre eux.• D<strong>en</strong>sité de populationChez le <strong>Coyote</strong>, la d<strong>en</strong>sité de population est variable selon la région. Elle ne doit donc pas êtreextrapolée d’une région à une autre (Voigt, 1987). De plus, la période de l’année influ<strong>en</strong>ce grandem<strong>en</strong>t lad<strong>en</strong>sité, notamm<strong>en</strong>t avant et après la mise bas (Voigt, 1987).<strong>Coyote</strong> 13 de 23