Nov.-décembre - Club Alpin Suisse - Section des Diablerets

Lundi 22 septembreIl faut penser au retourdans la fraicheur d’unmatin clair et sec avecvue sur le Säntis et l’Altmann.Après un bondéjeuner et l’au revoir àla cousine de Jean, nousallons vers Appenzelldans une si belle cam -pagne que le temps n’apas de durée. Et dans lescouleurs et le luxe descostumes des dames,nous arrivons en pleine fête de saint Maurice, patrond’Appenzell. Vin d’honneur à l’église et discussionde nos Suisse allemandes avec les autochtones nousfont vivre cette fête de plus près. Apéro à la place dela Landsgemeinde et retour enchanté vers Lausanne.Merci à tous pour leur bonne humeur et la compagnieagréable de ce week-end.ChristianPhotos: http://picasaweb.google.ch/domino4009/SNtisJeNe2008#Catogne: La Dyure - voie Luc27 septembre 2008 • 1500 m • 6 Chef de course : Buttet Jean-MarcAdjoint : Grun Jean-PierreQuelle bonne introduction à l’escalade avec leCAS. Jusqu’à maintenant mes activités s’y étaientlimitées au ski de rando et à l’alpinisme, ne faisantde l’escalade qu’avec des amis en dehors du CAS.Cependant j’étais à la recherche de partenaires d’escaladeet j’ai saisi l’opportunité de joindre ce groupepour faire une grande voie d’escalade à La Dyure.Je n’ai pas été déçue.Il y avait deux personnes de langue anglaise, moi etMatt. Cependant j’ai essayé de parler français autantque je le pouvais. Mon partenaire était Jean-Marc,qui a grimpé en tête. A un moment, il a semblé avoirquelques difficultés et il m’a crié quelque chose, j’aicrié en retour «je ne t’écoute pas» et les gens autourde moi, au pied de la voie d’où je l’assurais, ontéclaté de rire, ainsi j’ai compris mon erreur et apprisla différence entre «écouter» et «entendre».Au sommet de la cinquième et dernière longueur, ily avait une jolie petite place pour se relaxer, avec unevue magnifique, des arbres et une végétation inhabituels.On pouvait même faire une promenade audessusdes falaises, si on supportait la douleur auxpieds causée par les chaussons d’escalade.Pendant que les autres cordées arrivaient, nousavons lézardé au soleil et mangé notre pique-nique,tout en nous racontant des plaisanteries et en faisantdes exercices de yoga. Micheline nous fit remar -quer les curieux mouvements des nuages dans lavallée au-dessous, changeant selon les mouvementsd’air. Il y avait encore du soleil au sommet, mais quandnous sommes redescendus, la vallée était déjà enveloppéedans la brume. Ainsi nous avons pu profiterau mieux de cette journée.En retournant vers la voiture, nous avons trouvé ungrand champignon en forme de parasol. Je l’ai ramassédans l’intention de le manger, ce qui a effrayé toutnotre groupe, mais je suis toujours ici pour raconterl’histoire, et il semble que j’aie trouvé de nouveauxbon partenaires de grimpe aussi.Elma OkicTraduit de l'anglais par Jean-Marc ButtetPhotos: www.flickr.com/photos/turtle_danger/sets/72157608041370483/www.picasaweb.google.ch/jeanmarc56/CatogneVoieLuc#Mönch et Jungfraudu 27 au 28 septembre 2008 • 4158 m • 4 Chef de course : Gnaegi AlexAdjoint : Flemming PatrickC’est finalement à quatre que nous quittons Lausannesamedi à 5h45, direction le Jungfraujoch, atteintaprès quatre heures et demie et quatre changementsde train... A la Kleine Sheidegg, juste au-dessus dustratus, nous pouvons enfin découvrir le célèbre trioEiger – Mönch – Jungfrau, dont l’impressionnanteface N du premier nommé.Mais pas de temps à perdre car il est déjà 11 h et leMönch nous attend. Heureusement, le début de28