Rapport annuel 2012 - VDL

Rapport dela DirectionAvec l’obtention du Prix Koning Willem I, le prix des entrepreneurs aux Pays-Bas, et la reprise de l’usineautomobile NedCar à Born, 2012 a été une année particulière pour VDL Groep.Du point de vue financier, 2012 a été une année raisonnable. Au début 2012, nous espérions encore pouvoirégaler les chiffres de 2011, mais suite à la récession au cours du second semestre, et principalement durantle quatrième trimestre, le résultat a été légèrement moins élevé que prévu. Pourtant, au vu de la situationéconomique, nous pouvons être satisfaits.Le chiffre d’affaires combiné a augmenté de 2%, pour passer de 1,719 milliard d’euros en 2011 à unniveau record de 1,756 milliard d’euros en 2012. Ce montant comprend le chiffre d’affaires de 70 millionsd’euros de VDL Nedcar. Sans ce dernier, le chiffre d’affaires total du VDL Groep aurait été inférieur de 2%à celui de 2011.Le chiffre d’affaires consolidé pour l’exercice 2012 s’est élevé à 1,629 milliard d’euros, soit uneaugmentation de 3% par rapport au montant de 1,575 milliard d’euros en 2011. Le résultat net est passéde 66 millions d’euros en 2011 à 57 millions d’euros en 2012. L’effectif du personnel a augmenté de7.135 fin 2011 à 8.757 personnes fin 2012, ce qui est principalement dû à la reprise de VDL Nedcar.Malgré la crise économique en Europe, VDL Groep a continué d’investir et d’innover en 2012. Avec le recul,nous pouvons affirmer que ce fait, en combinaison avec notre stratégie de diversité des produits et desmarchés et avec la flexibilité de nos collaborateurs, a été notre grande force en 2012.Pour nous, en tant qu’entreprise industrielle aux Pays-Bas, une politique industrielle solide avec desconditions de marché identiques partout en Europe est essentielle. C’est indispensable pour pouvoircontinuer à produire ici. Dans ce cadre, une fourniture de crédit, une assurance-crédit, une flexibilité dutravail, avec une possibilité de chômage à temps partiel, et des formations techniques sont cruciales.Nous devons aspirer à instaurer des conditions de concurrence identiques non seulement en Europe, maisaussi dans le monde entier. De nombreux pays appliquent des droits d’importation et l’Europe continue decroire en une zone de libre-échange. Toutefois, nous devons traiter nos partenaires commerciaux mondiauxcomme ils nous traitent. Ce n’est qu’à cette condition que l’emploi dans l’Union Européenne pourra êtremaintenu et que nous pourrons conserver notre position en tant que bloc solide dans l’économie mondiale.7