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Juin (Bulletin_du_Lacor_3_2011.pdf) - Fondazione Corti

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CV’sVictor Enthoven (1958) is historicus en verbonden aan de Nederlandse Defensieacademie ende Vrije Universiteit Amsterdam. Hij heeft uitgebreid gepubliceerd over de vroegmoderneAtlantische wereld. Samen met Johannes Postma redigeerde hij de bundel Riches fromAtlantic Commerce: Dutch Transatlantic Trade and Shipping, 1585-1817 (Leiden, 2003).Thans is hij als senior onderzoeker werkzaam bij het NWO-project ‘Dutch AtlanticConnections’.Hans Krabbendam (1964) is als historicus werkzaam aan het Roosevelt Study Center inMiddelburg (www.roosevelt.nl). Hij studeerde geschiedenis in Leiden en aan Kent StateUniversity, Ohio, USA en promoveerde in 1995 in Leiden op een biografie over Edward W.Bok, de bekendste Amerikaan van Nederlandse afkomst rond 1900: The Model Man: A Life ofEdward W. Bok, 1863-1930 (2001). Zijn onderzoeksbelangstelling richt zich vooral op degeschiedenis van de Nederlandse emigratie naar de Verenigde Staten waarover hij in 2006Vrijheid in het verschiet. Nederlands emigratie naar Amerika, 1840-1940 publiceerde en deAmerikaanse religieuze geschiedenis. Hij redigeerde een aantal boeken over Europees-Amerikaanse betrekkingen: met Robert P. Swierenga en Don Sinnema, The Dutch in UrbanAmerica (2004) en met George Harinck, Amsterdam-New York: Transatlantic Relations andUrban Identities Since 1653 (2005) en Morsels in the Melting Pot: The Persistence of DutchImmigrant Communities in North America (2006). Samen met zijn collegae van het RooseveltStudy Center, Cornelis A. van Minnen en Giles Scott-Smith redigeerde hij het overzichtswerkover de Nederlands-Amerikaanse betrekkingen: Four Centuries of Dutch American Relations,1609-2009 dat in augustus 2009 verschijnt bij uitgeverij Boom. Daarin schreef hij het hoofdstukover de naoorlogse religieuze invloed van Amerika op Nederland.Keetie Sluyterman is specialist in de Nederlandse bedrijfsgeschiedenis van de negentiendeen twintigste eeuw, met een bijzondere belangstelling voor de geschiedenis van internationaleondernemingen. Zij schreef onder meer over de geschiedenis van Océ, Proost en Brandt,CSM, Moret Ernst & Young, Rabobank, Hagemeyer en Koninklijke Shell. In 2003publiceerde zij het boek Kerende Kansen, het Nederlandse bedrijfsleven in de twintigsteeeuw, een samenvattend overzicht van de geschiedenis van het Nederlandse bedrijfsleven inde twintigste eeuw vanuit het perspectief van de strategie. Zij is een van de projectleiders vanhet onderzoeksproject ‘Bedrijfsleven in Nederland in de Twintigste Eeuw’, kortweg hetBINT-project genoemd. In dat kader werkt zij momenteel samen met Ben Wubs aan eenstudie over Nederland als gast- en thuisland voor multinationale ondernemingen. Zij isbijzonder hoogleraar bedrijfsgeschiedenis aan de Universiteit Utrecht en senior onderzoekeraan het Onderzoeksinstituut voor Geschiedenis en Cultuur van diezelfde universiteit.Augustus (Guus) J. Veenendaal, jr., (1940) studeerde geschiedenis aan de UniversiteitUtrecht en promoveerde in 1976 aan de Radboud Universiteit Nijmegen. Tot zijnpensionering in 2005 was hij werkzaam als onderzoeker bij het Instituut voor Nederlandse


Filippo Ca m p o, Fo n d a t io n c a n a d ie n n e, rencontre Sh a r o n Aber, infirmière-c h e f d e l’u n it é d e s e n f a n t s d e l’Hô p it a l.Être infirmière à L’Hôpital LacorVie et travail quotidiensLE TRAVAIL QUOTIDIEN« À l’Hôpital Lacor, on compte environ 80 patients par infirmière.C’est une charge de travail très lourde, mais nous devonsnous organiser. La première chose que nous faisons estle nettoyage général des unités. Par la suite, nous réunissonsles patients et leurs aidants à l’extérieur dans la cour, et nousleurs faisons des présentations sur la santé. Ensuite, nous organisonsles rondes dans les unités. Nous mettons les patientsen file. Puis, nous préparons les traitements. Parallèlement àtoute cette activité, nous nous occupons des urgences. »LES AIDANTS« Les aidants que vous voyez ici dans l’unité sont les parentsdes enfants. Il est très important pour nous de les sensibiliserà la santé et de leur enseigner les indicateurs de maladie grave.Ainsi, si l’état de santé de l’enfant s’aggrave, ils peuvent nousle signaler. En raison du nombre considérable de patients,nous ne pouvons pas surveiller un enfant aussi étroitementque nous aimerions pouvoir le faire. Par conséquent, les parentsnous aident beaucoup à prodiguer des soins. Ils jouentun rôle important dans la facilitation de notre travail! »LE PALUDISME« Le paludisme est la principale cause de décès. Il s’agitd’une infection causée par un parasite qui est transmis par lemoustique femelle. Les symptômes sont une fièvre, des douleursaux articulations, des frissons, une faiblesse générale ducorps, des vomissements et, chez les enfants, de la diarrhée.Il s’attaque aux enfants et aux adultes, mais les enfants sontplus vulnérables. Les choses peuvent bien tourner ou pas. »Juste à l’extérieur de l’unité des enfants, Sœur Sharon nousprésente Akello Sarah. La joyeuse Sarah nous dit que l’Hôpitala traité le paludisme de son bébé, et qu’elle est heureuse derentrer avec lui à la maison. Par ailleurs, il arrive souvent quel’enfant meure. « Cela peut être si éprouvant pour le parent,si déchirant. Il faut consoler les parents, les rassurer, leur donnertoute la compassion dont vous êtes capable », expliqueSharon.RESPONSABILITÉS« Je dois m’acquitter de nombreuses tâches parce que je doism’occuper à la fois des aspects cliniques et de gestion du travail.À la base, je dois organiser les activités quotidiennes del’unité et m’assurer qu’elle fonctionne bien, et je dois aussim’occuper des besoins et des problèmes du personnel. J’ai6Photo: Filippo Campodonc beaucoup de problèmes à résoudre en plus de voir à labonne marche de l’unité. Nous assurons une supervision denuit. Comme tous les responsables, j’assume régulièrementla tâche de superviser l’Hôpital au complet la nuit quand lesinfirmières principales ne sont pas là. L’Hôpital repose doncsur vos épaules et vous devez répondre de tout. Les responsablesont beaucoup à faire. Il n’y a pas que le travail dansl’unité. »CARRIÈRE« J’ai commencé cette carrière en 1999 après m’être inscriteà l’école de soins infirmiers du Lacor. J’ai commencé à travailleren 2002 comme infirmière stagiaire. Après deux ans,je me suis inscrite à des cours pour infirmières autorisées àl’école Rubanga de soins infirmiers à Kampala. À mon retour,j’ai été désignée comme responsable de l’unité des brûlés.Après vingt mois, je suis retournée suivre un programmede formation offrant un diplôme de sage-femme. J’ai ainsireçu la double formation d’infirmière et de sage-femme. Jesuis revenue, et je suis maintenant responsable de l’unité depédiatrie. »VIE PERSONNELLE« Je suis toujours célibataire et sans enfant, mais il y a desgens dont j’ai à m’occuper. J’aimerais avoir des enfants dansl’avenir. Pas beaucoup, peut-être deux ou trois. Et aussi memarier! Je ne regrette pas de ne pas avoir d’enfant en ce moment,parce que j’ai une ambition à réaliser. »


Photo : Mauro FermarielloFondation Teasdale-CortiLa Fondation Teasdale-Corti (Montréal, Canada) estun organisme de charité.N o d’enregistrement 890520745 RR 0001.La Fondation a pour but de contribuer au soutien del’Hôpital Lacor au Nord-Ouganda.DonationsEnvoyez vos dons à la Fondation Teasdale-Corti8880, boul. LacordaireSaint-Léonard QC H1R 2B3CanadaEn ligne : www.teasdalecorti.org8RéférenceFilippo Campo: f.campo@teasdalecorti.org ;Tél. 1 514 253-1737Fondation Teasdale-Corti8880, boul. LacordaireSt-Léonard QC H1R 2B3CanadaTraduction et révision: Raynald Adams, trad. a.BULLETIN DE L’HÔPITAL LACOR est offert à tousceux qui désirent recevoir des nouvelles de l’Hôpital Lacoret de la Fondation Teasdale-Corti. Il est publié par la FondazionePiero e Lucille Corti (Milan, Italie) et la FondationTeasdale-Corti (Montréal, Canada).

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