Samedi 31 octobre et dimanche 1er novembre 2009Un Britannique <strong>de</strong> 78 ans est l’hommequi a <strong>le</strong> plus <strong>de</strong> piercings sur <strong>le</strong> corps au mon<strong>de</strong> :241 dont 150 rien que sur la tête et <strong>le</strong> cou !* UN ANCIEN BANQUIER <strong>de</strong> Hertfordshire, vientd'entrer dans <strong>le</strong> Guin<strong>ne</strong>ss <strong>de</strong>s Records en<strong>de</strong>venant à 78 ans l'homme <strong>le</strong> plus piercé aumon<strong>de</strong>.JOHN LYNCH, 78 ans, a travaillé pendant 30 ansdans u<strong>ne</strong> agence bancaire Barclay's. Il a posé sonpremier piercing à l'arca<strong>de</strong> sourcilière lorsqu'ilavait u<strong>ne</strong> quarantai<strong>ne</strong> d'années, époque où il adécidé qu'il en avait assez <strong>de</strong> travail<strong>le</strong>r."J'ai démissionné <strong>de</strong> mon poste à la banque carj'étais comme un carré qu'on essaie <strong>de</strong> faire entrerdans un rond, j'ai toujours voulu avoir <strong>de</strong>spiercings et <strong>de</strong>s tatouages", dit-il.AUJOURD'HUI il arbore 241 piercings, dont 150rien que sur la tête et <strong>le</strong> cou. Son surnom :"Prince Albert" , ce qui laisse <strong>de</strong>vi<strong>ne</strong>r où l'onpeut trouver un certain nombre <strong>de</strong> piercings... Ilarbore par ail<strong>le</strong>urs <strong>de</strong> nombreux tatouages unpeu partout sur <strong>le</strong> corps. "Je n'ai jamais pensébattre <strong>le</strong> record. J'ai fait ça simp<strong>le</strong>ment parceque ça me plaît. Mais c'est tout <strong>de</strong> même u<strong>ne</strong>consécration" , raconte-t-il.M. LYNCH AVOUE cependant avoir dû renoncerà prendre l'avion après avoir fait paniquerplusieurs fois <strong>le</strong>s détecteurs <strong>de</strong> métaux <strong>de</strong>saéroports.22* Moncef Benkiran, responsab<strong>le</strong> <strong>de</strong> la rubrique “Mots fléchés”recevant u<strong>ne</strong> <strong>le</strong>ttre tirée au sort par Hamid Bouyahyaoui* Vue partiel<strong>le</strong> <strong>de</strong> l’ambiance <strong>de</strong>vant l’énorme courrier reçu* Notre collaborateur Hassan Bentama tirant au pif la missivechanceuse parmi <strong>le</strong>s centai<strong>ne</strong>s <strong>de</strong> <strong>le</strong>ttres au résultat exact34 éme prix : LOUDIYI Sihame (Rabat) : un télépho<strong>ne</strong>portab<strong>le</strong>35 éme prix : BELHAJ Ab<strong>de</strong>lkrim (Agadir) : un télépho<strong>ne</strong>portab<strong>le</strong>36 éme prix : BELYAZID Kabbour (Safi): u<strong>ne</strong> cafetiére37 éme prix: BENSOUDA Samir (Rabat) : u<strong>ne</strong>cafetiére38 éme prix : AMELLOUK Hammadi (Rabat) : un jeu<strong>de</strong> société scrabb<strong>le</strong>39 éme prix : SARGHINI Mohamed (Tétouan): un jeu<strong>de</strong> sociéé scrabb<strong>le</strong>40 éme prix : EZZAYANI Ibtissam (Rabat) : un jeu <strong>de</strong>société scrabb<strong>le</strong>41 éme prix : KERBOUCHI Ab<strong>de</strong>ljalil (Casablanca) :un jeu <strong>de</strong> société scrabb<strong>le</strong>42 éme prix :SAHTOUTE Ab<strong>de</strong>lmoutalib (Salé) : unjeu <strong>de</strong> société scrabb<strong>le</strong>* Un <strong>de</strong> nos collaborateurs, Ab<strong>de</strong>llah Iquaroua<strong>ne</strong>,mettant la main dans <strong>le</strong> sac à <strong>le</strong>ttres43 éme prix†: BANON Nina (Casablanca) : un jeu <strong>de</strong>société scrabb<strong>le</strong>44 éme prix : AAZAZ Aziz (Salé) : un jeu <strong>de</strong> sociétésudoku45 éme prix : AIHI Mohamed (Ou<strong>le</strong>d Teïma) : un jeu<strong>de</strong> société sudoku46 éme prix : SKOURI Salima (Marrakech) : un jeu <strong>de</strong>société sudoku47 éme prix : STOUKY Ahmed (Casablanca) : un jeu<strong>de</strong> société sudoku48 éme prix : LEMDEGHRI-ALAOUI Moulay Taïb(Casablanca) : un toasteur49 éme prix : HADRAOUI Mohamed (Casablanca) :un toasteur50 éme prix : BENNANI Sarah (Mohammédia) : untoasteur51 éme prix : OUKED Hamid (Fés) : un toasteur52 éme prix : GHOMARI Najat (Marrakech) : un toasteur53 éme prix : NOUN El Mostafa (Casablanca) : untoasteur54 éme prix : CHAFCHAOUNI Ali (Casablanca) : unbon d’achat LeNob<strong>le</strong> Traiteur55 éme prix : OUSAID Ami<strong>ne</strong> (Salé) : un bon d’achatLeNob<strong>le</strong> Traiteur56 éme prix : JARJANE Saïda (Rabat) : un bond’achat LeNob<strong>le</strong> Traiteur57 éme prix : MOUSSAMIH Hassa<strong>ne</strong> (Casablanca :un bon d’achat LeNob<strong>le</strong> Traiteur58 éme prix : HADRAOUI Sana (Casablanca) : un bond’achat LeNob<strong>le</strong> Traiteur59 éme prix : TAHIRI Houda (Casablanca) : un bond’achat LeNob<strong>le</strong> Traiteur60 éme prix : EL MOUHIB Rania (Rabat) : un bond’achat LeNob<strong>le</strong> Traiteur
Samedi 31 octobre et dimanche 1er novembre 2009U<strong>ne</strong> famil<strong>le</strong> américai<strong>ne</strong>s'impose un an <strong>de</strong> restrictionsdrastiques par souci écologiqueEl<strong>le</strong> renonce aux biens<strong>de</strong> consommation jetab<strong>le</strong>s,se déplace à vélo, coupe son é<strong>le</strong>ctricitéet se nourrit chez <strong>le</strong>s paysans <strong>de</strong> la région* UNE FAMILLE NEW-YORKAISE a vécu pendant un an en s'efforçant<strong>de</strong> réduire à presque zéro son impact sur l'environ<strong>ne</strong>ment: el<strong>le</strong> a coupé son appartement du réseau é<strong>le</strong>ctrique,renoncé aux biens <strong>de</strong> consommation jetab<strong>le</strong>s et à l'achat d'objets<strong>ne</strong>ufs, s'est déplacée à vélo et a acheté sa nourriture à <strong>de</strong>spaysans <strong>de</strong> la région. El<strong>le</strong> fait aujourd'hui <strong>le</strong> bilan <strong>de</strong> cette expérience.Colin Beavan, son épouse et <strong>le</strong>ur fil<strong>le</strong> <strong>de</strong>ux ans se sontimposés pendant un an <strong>de</strong>s règ<strong>le</strong>s qui ont bou<strong>le</strong>versé la vie <strong>de</strong>ces anciens a<strong>de</strong>ptes <strong>de</strong>s dî<strong>ne</strong>rs à emporter, <strong>de</strong>s déplacementsen taxi, du shopping et <strong>de</strong> la téléréalité.* M. BEAVAN A RACONTÉ l'expérience sur son blog "No ImpactMan", suivi d'un livre, publié <strong>le</strong> mois <strong>de</strong>rnier sous <strong>le</strong> même nom,et d'un documentaire. La famil<strong>le</strong> a repris u<strong>ne</strong> existence plus classique,confrontée désormais au défi <strong>de</strong> trouver son "justemilieu" entre la rigueur vécue pendant un an et <strong>le</strong>s excès d'avant.M. Beavan, qui avait auparavant écrit <strong>de</strong>s ouvrages sur l'histoire<strong>de</strong> la mé<strong>de</strong>ci<strong>ne</strong>-léga<strong>le</strong> et du débarquement du 6 juin 1944, a euenvie <strong>de</strong> réaliser cette expérience par militantisme écologique, etpour avoir la matière <strong>de</strong> son prochain livre.Michel<strong>le</strong> Conlin, son épouse, journaliste à "Busi<strong>ne</strong>ssWeek",soucieuse d'élimi<strong>ne</strong>r ce qu'el<strong>le</strong> ressentait comme <strong>de</strong>s addictions,a suggéré <strong>de</strong> supprimer <strong>le</strong> shopping, la télévision et <strong>le</strong>cinéma. Au lieu <strong>de</strong> se faire livrer <strong>le</strong>urs petits-déjeu<strong>ne</strong>rs et dî<strong>ne</strong>rsà domici<strong>le</strong> comme avant, ils se sont mis à manger végétarien età tout acheter sur un marché <strong>de</strong> paysans locaux, consommantuniquement <strong>de</strong>s produits cultivés à moins <strong>de</strong> 400 kilomètres <strong>de</strong>chez eux.* LE SOIR, ILS S'ASSEYAIENT autour <strong>de</strong> la tab<strong>le</strong> et... bavardaient.Avant, la télévision occupait u<strong>ne</strong> place centra<strong>le</strong> dans l'appartement,explique Mme Conlin, auparavant u<strong>ne</strong> incondition<strong>ne</strong>l<strong>le</strong><strong>de</strong> la téléréalité. "Après l'avoir abandonnée, <strong>le</strong> centre dufoyer est <strong>de</strong>venu la tab<strong>le</strong> familia<strong>le</strong>. J'ai renoncé à la téléréalitépour la réalité." Les Conlin disent vouloir gar<strong>de</strong>r cette habitu<strong>de</strong>.A l'issue <strong>de</strong> cette année <strong>de</strong> restrictions, ils n'ont <strong>pas</strong> voulu s'enimposer <strong>de</strong> nouvel<strong>le</strong>s: ils continuent à fréquenter <strong>le</strong>ur marché <strong>de</strong>produits locaux, mais s'ils manquent <strong>de</strong> quelque chose aprèsu<strong>ne</strong> longue journée <strong>de</strong> travail, n'hésitent <strong>pas</strong> à l'acheter ausupermarché.LEUR VOLUME DE DÉCHETS est certes <strong>pas</strong>sé d'un litre tous <strong>le</strong>squatre jours à 19 litres, mais reste très inférieur aux 341 litresd'antan... Ils ont rallumé <strong>le</strong> réfrigérateur, mais n'ont plus <strong>de</strong> congélateur.Alors qu'ils se sont privés <strong>de</strong> papier-toi<strong>le</strong>tte pendant unan, ils ont recommencé à l'utiliser, mais en en choisissant un fabriqué<strong>avec</strong> du papier recyclé.L'hui<strong>le</strong> d'olive pour prévenirla maladie d'Alzheimer* DES CHERCHEURS américains estiment aujourd'hui qu'el<strong>le</strong>pourrait permettre <strong>de</strong> trouver un traitement contre la maladied'Alzheimer, indique u<strong>ne</strong> étu<strong>de</strong> publiée dans <strong>le</strong> numéro d'octobredu "Journal of Toxicology and Applied Pharmacology".DES CHERCHEURS ont i<strong>de</strong>ntifié un élément naturel <strong>de</strong> l'hui<strong>le</strong>d'olive vierge extra qui prévient la dégradation <strong>de</strong>s cellu<strong>le</strong>s, quiprovoque la démence <strong>de</strong>s person<strong>ne</strong>s atteintes d'Alzheimer.CET ANTIOXYDANT, l'oléocanthal, qui don<strong>ne</strong> sa saveurpoivrée à l'hui<strong>le</strong> d'olive, empêche la <strong>de</strong>struction <strong>de</strong>s synapsesdans l'hippocampe, la zo<strong>ne</strong> du cerveau responsab<strong>le</strong> <strong>de</strong> l'apprentissageet <strong>de</strong> la mémoire, la première à être touchée par lamaladie.LES CHERCHEURS n'ont <strong>pas</strong> établi clairement si u<strong>ne</strong> consommationaccrue d'hui<strong>le</strong> d'olive protégeait <strong>de</strong> la maladied'Alzheimer, mais <strong>le</strong>s résultats <strong>de</strong> l'étu<strong>de</strong> pourraient débouchersur <strong>de</strong> nouveaux médicaments pour prévenir et traiter lamaladie d'Alzheimer, soulig<strong>ne</strong>nt <strong>le</strong>s scientifiques."CES DÉCOUVERTES pourraient ai<strong>de</strong>r à i<strong>de</strong>ntifier <strong>de</strong>s mesures<strong>de</strong> prévention efficaces et déboucher sur <strong>de</strong>s traitementsaméliorés dans la lutte contre la maladie d'Alzheimer", déclare<strong>le</strong> Dr Paul Breslin, du Mo<strong>ne</strong>ll Chemical Senses Center àPhila<strong>de</strong>lphie, et auteur principal <strong>de</strong> l'étu<strong>de</strong>, dans un communiqué.SELON LES SOCIOLOGUES* QUELLE EST L'OPINION <strong>de</strong>s Américainsà l'égard du changement climatique ? Lesuccès du film d'Al Gore, U<strong>ne</strong> vérité quidérange, a pu laisser penser que cephénomè<strong>ne</strong> était <strong>de</strong>venu u<strong>ne</strong> préoccupationmajeure.MAIS, EN MÊME temps, la force <strong>de</strong>s 'climato-sceptiques' et l'opposition au projet<strong>de</strong> loi sur <strong>le</strong> climat au Congrès montrentque la question est loin d'être réglée, écrit<strong>le</strong> site du quotidien "Le Mon<strong>de</strong>".UNE ÉQUIPE <strong>de</strong> sociologues étudie<strong>de</strong>puis plusieurs années l'attitu<strong>de</strong> <strong>de</strong>sAméricains sur <strong>le</strong> sujet. Leur rapport final,intitulé 'Global Warming's Six Americas2009', a été publié en mai.L'ÉTUDE, PILOTÉE par AnthonyLeiserowitz, <strong>de</strong> l'université Ya<strong>le</strong>, à NewHaven (Con<strong>ne</strong>cticut), repose sur un questionnaireapprofondi soumis à 2 189citoyens à la fin <strong>de</strong> 2008.* UN DES PREMIERS enseig<strong>ne</strong>ments e<strong>ne</strong>st que, si <strong>le</strong> changement climatique estentré dans la conscience col<strong>le</strong>ctive, ilUn peu <strong>de</strong> détenteLE MOT QUI RESTE* IL S’AGIT D’ABORD <strong>de</strong> retrouver dans la gril<strong>le</strong>, horizonta<strong>le</strong>ment, vertica<strong>le</strong>ment ouen diagona<strong>le</strong>, tous <strong>le</strong>s mots <strong>de</strong> la liste et <strong>de</strong> <strong>le</strong>s barrer un à un. U<strong>ne</strong> fois tous <strong>le</strong>s mots<strong>de</strong> la liste épuisés dans la gril<strong>le</strong>, <strong>le</strong> mot <strong>de</strong>mandé apparaîtra. Bon<strong>ne</strong> chance !EN 12 LETTRES:Un <strong>pas</strong>ssage <strong>de</strong>s Alpes suisses25Pour <strong>le</strong>s Américains, <strong>le</strong> réchauffementconstitue u<strong>ne</strong> menace lointai<strong>ne</strong> !!!<strong>de</strong>meure u<strong>ne</strong> préoccupation lointai<strong>ne</strong> : 'Lapremière image qui vient à l'esprit <strong>de</strong>sgens est la fonte <strong>de</strong>s glaces, la banquisequi se brise, dit Anthony Leiserowitz, dansson bureau <strong>de</strong> l'université Ya<strong>le</strong>.Mais rares sont ceux qui vivent au bord <strong>de</strong>l'océan Arctique ou en Antarctique. Donc,<strong>le</strong> changement climatique est un problèmelointain.CERTES, 71 % <strong>de</strong>s gens pensent qu'il esten train <strong>de</strong> se produire, 55 % pensent quela cause en est humai<strong>ne</strong>, et <strong>le</strong>s trois quartsestiment que c'est u<strong>ne</strong> menace sérieuse.Mais cela reste u<strong>ne</strong> faib<strong>le</strong> priorité, <strong>de</strong>rrièrel'économie, l'éducation, la santé, <strong>le</strong>s guerresd'Afghanistan ou d'Irak et <strong>le</strong> terrorisme.EN FAIT, LA PLUPART <strong>de</strong>s Américainsconsidèrent que <strong>le</strong> changement climatiqueest éloigné dans <strong>le</strong> temps - il se manifesteradans plusieurs décennies -, etsurtout dans l'espace - il aura <strong>de</strong>s conséquencessur d'autres gens et dansd'autres lieux, mais <strong>pas</strong> sur <strong>le</strong>s Etats-