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<strong>SERVICE</strong> <strong>DES</strong> <strong>PUBLICS</strong>AIDE À LA VISITE, n°29Département pédagogique et culturelAccès> Ouverture du muséedu mardi au dimanche de 11h à 18h,nocturne le jeudi de 18h à 21hfermé le lundi> MétroPalais-Royal, Pyramides, Tuileries> Autobus21, 27, 39, 48, 68, 69, 72, 81, 95> ParkingsCarrousel du Louvre, Pyramides> Station VélibStation 1015> Accès pour les personnes en situationde handicap : le musée est accessiblepar le 105 rue de Rivoli 75001 ParisTarifs> Droits d’entrée- plein tarif : 9 €- tarif réduit : 7,50 €- accès gratuit aux moins de 26 ansde l’Union Européene (donne accèsau musée des Arts décoratifs,aux expositions de la Mode et du Textile,et de la <strong>Publicité</strong>.)> Visites guidées en français, destinéesau public jeune, étudiant et adulte> En individueldes visites sont programméesrégulièrement (voir calendrier sur le site)> En groupePour les jeunes (4-17 ans)et les étudiants (18-25 ans) de l’UEvisites guidées (1h) : 60 € / groupevisites guidées (1h30) : 90 € / groupePour les étudiants 18-25 ans hors UEvisites guidées (1h) : 80 € / groupevisites guidées (1h30) : 110 € / groupePour les adultes : (+ 26 ans)visites guidées (1h30) : 115 € / groupe +7,50 € par personnevisites guidées (2h) : 133 € / groupe +7,50 € par personneLes groupes sont limitésà 25 personnes maximumDépartement Pédagogiqueet Culturel> Pour les jeunes de 4 à 18 ansateliers, parcours et visites guidéespour les groupes de 4 à 18 ans,renseignements et réservationsmail : jeune@lesartsdecoratifs.frtél : 01 44 55 59 25/75 - fax : 01 44 55 59 58> Pour le public étudiant et adultevisites pour les groupes,renseignements et réservationsmail : adac@lesartsdecoratifs.frtél : 01 44 55 59 26 / 75 - fax : 01 44 55 59 58Renseignements : www.lesartsdecoratifs.frLes Arts Décoratifs, 107, rue de Rivoli, 75001 ParisWilfried Zeisler pour le département pédagogique et culturel, avril 2010, document reproductibleservicedes publicsMusée des Arts décoratifsDépartement XIX e siècleLe département du XIX e siècle déroule en douzesalles une nouvelle vision de cette période très riche,succession de révolutions politiques, industrielles,sociales et esthétiques. Les plus importantes évolutionsdu goût et de la société de ce siècle, de ses régimesvariés – Empire, Restauration, Monarchie de Juillet,II e République, Second Empire et enfin III e République– trouvent dans les collections du musée un écho :de la rigueur grandiose de l’Empire à l’historicismeéclectique d’une société érudite inspirée par le passéet l’ailleurs qui ouvre à la modernité Art nouveau.Siècle de l’industrie et des sciences, le XIX e sièclea foi dans le progrès ; celui-ci, technique ou commercial,favorise les échanges et offre à la création artistiquede nouveaux moyens d’édition et de diffusion. Cettenotion « d’art appliqué à l’industrie », se manifeste aucours de nombreuses expositions nationales etinternationales, et apporte un nouveau regard sur lesarts décoratifs. On assiste en effet, après l’Expositionuniverselle de Londres en 1851, à la naissance despremières institutions consacrées à cet art représentéen France par l’Union Centrale des Arts Décoratifs,ancêtre des Arts Décoratifs qui prône « Le Beau dansl’Utile ».AIDE À LA VISITEN°29Département pédagogiqueet culturelTemps de visite conseillé : 1h à 2hFig. 1: Plat rond, Théodore Deck, Paris, 1878,faïence, décor polychrome sur fond or, don manuelde Th. Deck, 1879, inv D 196Fig. 2: Miroir d’applique attribué à Gabriel Viardot ;Paris, vers 1880 ; bois de sycomore sculpté, miroir ;achat Fabius Frères, 2002 : Inv 2002-57-1


plan de la visiteNOTESLa visite de l’exposition se déroule au niveau 4.Il vous sera nécessaire d’emprunter l’un des ascenseurs indiqués en vert sur les plans.Nous vous souhaitons une bonne visite !NIVEAU 0NIVEAU 4DÉBUT DELA VISITEFIN DELA VISITE


NOTESLes Thèmes traités au fil des sallesLe département du XIX e siècle débute après la dernière salle du département précédent - Salonde l’Hôtel de Serre - reflet de la dernière mode néoclassique vers 1795.LE BEAU IDÉAL | niveau 4 — salle 31Après la Révolution, le goût de l’antique, grandeur héroïque magnifiée depuis la fin du XVIII esiècle par l’œuvre de David, se poursuit et gagne tous les arts au service des nouveaux régimes,Consulat puis Empire, fondés par Napoléon.Dans cette salle, le papier peint panoramique représentant Amour et Psyché évoluant dans undécor à l’antique, reflète les aspirations idéales de tout un Empire [Fig. 3]. Sur le mobilier, trèsarchitecturé, le contraste acajou et bronze doré illustre le goût de cette période.LE GOÛT DE L’EMPIRE | niveau 4 — salle 32Uniformisé et diffusé par les ornemanistes ou architectes tels Charles Percier et Pierre-François-Léonard Fontaine, le « style Empire » connaît une grande vogue illustrée par des panneaux depapier peint, des bronzes d’ameublement et des pièces en cristal ou en porcelaine de Sèvres.Le musée possède également une importante collection de modèles en bronze de l’orfèvre Jean-Baptiste-Claude Odiot qui livra des services à toutes les cours européennes. Ces plats, huiliers,verrières, dont certains ont été présentés à l’Exposition des produits de l’industrie de 1819ont été offerts à l’État par Odiot [Fig. 4]. Exemples d’un art sobre au décor teinté d’inspirationantique, ces objets sont passés à la postérité sous un nouvel aspect, celui de l’argent blanc ou duvermeil, obtenu par le procédé d’argenture et de dorure électrolytique de la maison Christofle.LA DUCHESSE DE BERRY ET LES BOIS CLAIRs | niveau 4 — salle 33Meubles et objets témoignent de l’évolution en matière de goût (bois clair, disparition progressivedes bronzes) sous la Restauration. Le régime, incarné par les deux frères de Louis XVI, les roisLouis XVIII (1814/15-1824) et Charles X (1824-1830), est peu enclin au mécénat royal et se limiteà de grandes commandes officielles. Dans la famille royale, la duchesse de Berry se distinguepar son goût pour la nouveauté. Son portrait [Fig. 5] reflète l’atmosphère de ces intérieurs encoreempreints de la solennité néoclassique dans l’ameublement mais à la pointe du goût Troubadoursur le vêtement de la duchesse. Elle porte en effet une exceptionnelle ceinture bijou où l’onreconnaît des décors ogivaux, marques du goût gothique né avec le préromantisme.


COULEURS VIVES ET BOIS CLAIRS | niveau 4 — salle 34bibliographieAu milieu des couleurs du papier peint sur le thème de Renaud et Armide et des opalines,reflets du luxe parisien que l’on se procurait dans les boutiques du Palais-Royal, trône un chefd’œuvre de l’ébénisterie française : le lit de Baudry [Fig. 6]. Tout en rondeur, en rupture avecl’héritage néoclassique, il fut récompensé à l’Exposition des produits de l’industrie de 1827. Cesexpositions nationales créées par le Directoire avaient pour but de favoriser le développementdes industries nationales. Elles se répétèrent en moyenne tous les quatre ans, jusqu’en 1849.Les rapports de ces expositions, rédigés par les membres du jury, sont les marqueurs del’évolution du goût en France dans la première moitié du XIX e siècle.UNE CHAMBRE À COUCHER LOUIS-PHILIPPE | niveau 4 — salle 35Les boiseries de la chambre du baron William Hope, conçues dans un style Renaissance trèsanecdotique reflètent le goût historiciste des années 1830. Précédé par le goût gothique, cenouveau style emprunté à l’histoire nationale fut, entre autre, inspiré des écrits romantiquesde Walter Scott et diffusé par les ornemanistes, tel Claude-Aimé Chenavard auteur du dessindu tapis. À cette époque, le règne de Louis-Philippe (1830-1848), la révolution est artistique etindustrielle. L’œuvre de Charles Nodier a ainsi inspiré La Sylphide, premier ballet blanc créé en1832 et véritable révolution dans l’art de la danse, dans lequel triompha Marie Taglioni.À la même période, les innovations techniques ont facilité les fontes et l’édition des bronzes :l’image des célébrités, des danseuses de l’époque sont ainsi rendues plus accessibles et ornentles intérieurs à la mode [Fig. 7].LA PASSION <strong>DES</strong> BIBELOTS | niveau 4 — salle 36Sous la Monarchie de Juillet, l’éclectisme triomphe déjà au travers de ces nombreux petitsobjets - bronze, porcelaine, cristal - tous produits par les industries d’art françaises. Du goûtgothique des divers pendules et « articles de Paris » que l’on s’arrache dans les magasins decuriosités au style Louis XV qu’évoquent les surprenantes garnitures de Jacob Petit, tous lesstyles et toutes les techniques sont mis à l’honneur.NOIRS ET NACRES | niveau 4 — salle 37Le mobilier et les objets à fond noir, symboles de luxe, furent appréciés dès la fin du règne deLouis-Philippe et le restent sous le Second Empire. Sous le règne de Napoléon III (1852-1870),la bourgeoisie industrielle et financière fait les belles heures de la fête impériale ; la nouvelle cour,avide de confort asseoit sa légitimité sur l’éclectisme historique de ses intérieurs. La Véranda dela princesse Mathilde, cousine de l’empereur, est typique de ce goût [Fig.8].Chefs-d’oeuvres du musée des Arts décoratifs, Salmon, Béatrice (sous la direction de),Paris, Les Arts Décoratifs, 2006.Guide du musée des Arts décoratifs, Jérôme coignard, Paris, Les Arts Décoratifs, 2006.Le Mobilier français, Napoléon III – années 1880, Odile Nouvel-Kammerer, Paris,Massin, 2000.Le Style Second Empire, Odile Nouvel-Kammerer, Collection La Grammaire des Styles, Pars,Flammarion, 1999.Le Mobilier français, Restauration – Louis Philippe, Janine Leris-Laffargue, Paris,Massin, 1994.L’ Art décoratif en Europe du néoclassicisme à l’art déco, Alain Gruber (sous la directionde), Paris, Citadelles / Mazenod, 1994.Le Beau dans l’Utile, un musée pour les arts décoratifs, Yvonne Bruhammer, Paris,Découvertes Gallimard, 1992.La décoration intérieure au XIX e siècle – L’Époque et son style, Charlotte Gere, Paris,Flammarion, 1989.Le style Restauration et Le style Louis-Philippe, Anne Dion-Tennenbaum, Collection LaGrammaire des Styles, Paris, Flammarion, 1988 et 1990CATALOGUES D’EXPOSITIONSL’ Aigle et le Papillon - Symboles des pouvoirs sous Napoléon, musée des Arts décoratifs,Paris, 2008.Der Traum vom Glück – Die Kunst des Historismus in Europa, Vienne, Künstler HausWien, Akademie der bildender Künste in Wien, 1996-1997.Paris Belle Époque, 1880-1914, Essen, Villa Hügel, 1994.Un âge d’or des arts décoratifs, Paris, Galerie Nationale du Grand Palais, 1991.L’art en France sous le Second Empire, Paris, Galerie Nationale du Grand Palais, 1979.Crédits photographiques :© Photos Les Arts Décoratifs / Laurent Sully-Jaulmes : fig. 1. Tous droits réservés© Photos Les Arts Décoratifs /Jean Tholance : fig. 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 11. Tous droits réservés


La marquise de la Païva ou Valtesse de la Bigne, dont le lit somptueux est exposé, sont desincarnations possibles de cette héroïne de la littérature naturaliste. Ces femmes faisaient,avec les lieux de fête où on les croisait, le succès de la vie parisienne tournée en dérision parOffenbach. Le papier peint Les Prodigues [Fig. 9], nous plonge dans cette atmosphère : aprèsune mascarade, trois convives alcoolisés s’effondrent dans le luxe d’un cabinet particulier de laMaison d’or, un des hauts lieux de la vie noctambule des Grands boulevards.UNE SALLE À MANGER PAR EUGÈNE GRASSET, 1880 | niveau 4 — salle 41Eugène Grasset fut un des précurseurs de l’Art nouveau d’inspiration florale. Artiste multiple,il publia La plante et son application ornemental en 1897, collabora avec le bijoutier Veveret composa des modèles pour l’édition, l’art du vitrail et l’ameublement, notamment pour lecollectionneur et éditeur Charles Gillot. Sur les dessertes et buffets de la salle à manger dessinéepar Grasset, un ensemble de verreries et de céramiques témoigne encore une fois de l’influencede l’Extrême-Orient et de l’Orient. Ce dernier goût orientaliste fut, entre autre, soutenu par lecéramiste Collinot [Fig.11] qui utilisa les modèles qu’Adalbert de Beaumont avait collectés lorsd’un long séjour sur le pourtour méditerranéen, publiés en 1859 dans Recueil de dessins pourl’art et l’industrie.CAUCHEMARS ET SYMBOLISME | niveau 4 — salle 42Parmi les sources d’inspiration extra-européenne qui ont ponctué le XIX e siècle, le japonisme,plus qu’un exotisme, révolutionne toutes les manifestations de l’art, jusqu’au mobilier de GabrielViardot ou au bronze d’Édouard Lièvre. La figure du dragon [Fig.2], un des éléments empruntésau vocabulaire ornemental japonais, parfois effrayant, appartient également aux motifs « fin desiècle » qu’apprécient les acteurs du symbolisme.Pièce moderne, le jardin d’hiver conçu en métal et en verre, matériaux reflets de l’innovationarchitecturale, offre un cadre luxuriant et intime, contigu aux pièces de réception. On y découvre,en plus des plantes exotiques, une Vénus en marbre, des tapis confortables, une imposantevitrine en bois doré (conservée par le musée, inv. RI.2003.66.1), une lampe de mosquée syroégyptienne,une coupe de style baroque de l’orfèvre Froment-Meurice, une table Louis XIV,une sculpture équestre en bronze, un fauteuil Louis XV, du mobilier oriental, des porcelaines deChine, un lustre en cristal...LE PHÉNOMÈNE <strong>DES</strong> EXPOSITIONS UNIVERSELLES | niveau 4 — salle 38Héritières des expositions des produits de l’industrie dont le concept avait été adopté parde nombreux pays européens, les expositions universelles offrent aux pays y participant unformidable lieu d’échanges de toutes natures. La première exposition a lieu à Londres en1851, puis d’autres furent organisées à Paris en 1855, 1867, 1878, 1889, 1900 ainsi que dansd’autres métropoles occidentales. Les œuvres présentées dans cette salle sont autant dechefs-d’œuvres exposés à l’une ou l’autre de ces manifestations. D’inspiration plutôt classique,l’imposant surtout de table de Christofle destiné au palais des Tuileries témoigne du faste dela cour impériale et des innovations techniques car entièrement composé en bronze argenté.Toutes aussi importantes sont les recherches menées dans la céramique par Théodore Deck[Fig. 1] ou à Sèvres, véritable laboratoire technique au XIX e siècle.Vases de Gallé, Baccarat... et deux meubles de Christofle [Fig. 10] sont le résultat des influencesornementales et techniques de l’Extrême-Orient dont l’accès a été facilité par l’amélioration et ledéveloppement de la circulation des hommes et des objets.DE L’ ARTISTE À L’INDUSTRIEL | niveau 4 — salle 39Face à l’industriel évoqué par les grandes manufactures telles celles des fabricants d’ameublementdu Faubourg-Saint-Antoine à Paris, se distingue l’« artisanal » dans lequel le geste de l’artistereste primordial comme en témoignent les créations d’Avisseau qui rendent hommage au géniede Bernard Palissy.L’industrialisation est également à l’origine du développement du prolétariat dont la misèrecontraste avec le luxe de l’élite. Ce choc des classes transparaît dans la toile exposée deBastien-Lepage, chantre du naturalisme pictural, avec son Jeune Cireur de chaussures.SPLENDEURS <strong>DES</strong> COURTISANES | niveau 4 — salle 40Cette salle évoque l’hypocrisie bourgeoise du Second Empire et de la III e République qui voittriompher le demi-monde et ses courtisanes dont Emile Zola s’inspira pour créer Nana.


Fig. 3 : Papier peint panoramique : « Histoire de Psyché : La toilettede Psyché », Manufacture Joseph Dufour, Paris, 1815, rééditépar la manufacture Desfossé & Karth en 1872, papier mécanique,fond gris brossé à la main, don Leroy, 1882, inv. HH 2.8Fig. 4 : Soupière, Jean-Baptiste-Claude Odiot, Paris, 1819, bronzeargenture électrolytique, manufacture Christofle, dépôt Fonds nationald’art contemporain, 2006, inv. FNAC PFH-4537Fig. 8 : La Véranda de la princesse Mathilde dans l’hôtel de la rue de Courcelles,Sébastien Charles Giraud, Paris, 1864, huile sur bois, achat en ventepublique, 1950, inv. 36 323Fig. 6 : Lit en nacelle, François Baudry, France, 1827, bâti de grisard, placagede loupe et ronce de frêne, loupe de frêne-olivier, loupe d’orme, amarante, citronnierde Saint-Domingue, acajou ; estrade en loupe d’érable et amarante,don Monsieur et Madame Christian de Galéa, 1963, inv. 39509Fig. 9 : Tableau de papier peint « Les prodigues », Manufacture Desfossé,Paris, 1854, papier mécanique, fond brossé beige, achat,1992, inv. 48 772-1Fig. 10 : Meuble d’encoignure, Christofle & Cie, fabricant,Paris, 1874-1878, bâti et piètement en ébène,palissandre, poirier noirci, porte en bronze galvaniquedoré ou patiné, cuivre, argent, or et émail cloisonné,don André et Tony-Henri Bouilhet, en souvenir d’HenriBouilhet, 1930, inv. 27 662Fig. 5 : Portrait de la duchesse de Berry, Alexandre-Jean Bubois Drahonnet, France, 1828, Dépôt public 5ans, 1996, inv. AMIENS MP 70Fig. 7 : Statuette Marie Taglionidans le ballet de la Sylphide,Jean Auguste Barre, bronzepatiné, legs Voisins 1940, inv.34 543Fig. 11 : Bouteille, Eugène-Victor Collinot,faïence, don manuel Collinot, 1863, inv. UC 516

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