District BREN VOOR JE LEVEN!Loopwedstrijden zijn helemaal in. Terecht: wetenschappelijk onderzoekheeft uitgewezen dat wie geregeld sport, gelukkiger, gezonderen zelfverzekerder door het leven gaat.Op zondag 22 mei organiseert <strong>Lions</strong> Club Antwerpen Linkeroever,samen met Atletiekclub Break vzw en KHC Dragons, devierde editie van de Ten Miles van Brasschaat. Een unieke kansom af te kicken van de Antwerp Ten Miles of om je voor te bereidenop de 20 km van Brussel!Alles vindt plaats in het Park van Brasscaat, met om één uur deKids Run in het Louis De Winter Stadion, een half uur later de 4en 8 km kapitellopen, en om drie uur de enige echte Ten Milesvan Brasschaat. Het wordt een prachtig parcours in die groeneoase. Elke deelnemer krijgt een leuke herinnering. Voor de eerstedame en de eerste heer hebben de organisatoren een kunstwerkvan May Claerhout klaarliggen.Wie er vorig jaar bij was, die weet het: die zondag wordt een fijnefamiliehappening met heel wat randanimatie. Inschrijven kan alsnogter plaatse in het stadion, of vooaf per email bij AtletiekclubBreak vzw: acbr@val.be.Afspraak bij de tiende eik links…3040 jaar LC Antwerpen VoorkempenIn 1959 verzamelde zich een selecte groep met Jan Verschraegen,Emiel De Cuyper, Jo de Corswarem, Paul Fleerakkers enHerman D’Heere, met als doel de oprichting van een nieuwe<strong>Lions</strong> Club. De charteroverhandiging had plaats op 30 oktober1960. <strong>Lions</strong> Club Antwerpen Voorkempen was een feit. Vandaagde dag is één van deze grondleggers, Jo de Corswarem nogsteeds één van onze meest actieve leden en tijdens plechtighedenin onze Club mogen wij nog steeds Emiel De Cuyper in herinneringverwelkomen door de aanwezigheid van zijn echtgenoteYvonne. Ondertussen zijn spijtig genoeg al vele <strong>Lions</strong> vriendenons ontvallen, hun steun en toewijding hebben onze club gemaakttot wat zij nu is.In de loop der jaren zijn er heel wat activiteiten geweest waarbijde LC Antwerpen Voorkempen het Lionisme heeft uitgedragen inde regio. Menig fundraising evenement werd georganiseerdwaardoor een brede schare aan sociale organisaties op de steunvan de club konden rekenen. Eén van de paradepaardjes is eencultureel gebeuren: de Prijs voor Akwarel is in 2011 reeds aanhaar 33e editie toe. Jonge en onbekende kunstenaars dingenmee naar de prijs en kunnen rekenen op een hoogstaande tentoonstellingvan de verschillende werken. In de culturele wereldheeft zo LC Antwerpen Voorkempen een sterke reputatie opgebouwd.Evenementen die veel volk op de been brengen zoalshet 4x4 Festival en een Golftornooi staan steevast jaarlijks op deagenda.De feestelijkheden rond het jubileum vonden plaats in het KoninklijkPaleis aan de Meir te Antwerpen en konden rekenen ophet hoge bezoek van Council Chariman Daniel Smets. Op zijnbeurt sprak hij de genodigden en de clubleden woorden van loftoe over de jarenlange succesvolle <strong>Lions</strong>werking in het <strong>MD</strong> <strong>112</strong>en in LC Antwerpen Voorkempen in het bijzonder. Als apotheosewerd naar oude traditie een kleurrijke groepsfoto gemaakt. Zowerd deze viering voor het nageslacht vastgelegd.Marc RoelsReeds sinds 1976 richt LC Antwerpen Voorkempen de prijs voor Akwarel in. Dit evenementis de historische voortzetting van de beginactiviteiten van de club en omvat een prijskampvoor beginnende en amateur kunstenaars. Er zijn geldprijzen voor de kunstenaars waarvande eerste genomineerde in ruil het bekroonde werk aan de club afstaat. Sedert 2006 is hetevenement nog uitgebreid met deelname aan de <strong>International</strong>eVredesposter wedstrijd.Alhoewel de organisatoren van deze activiteit al jaren overeen draaiboek beschikken vergt dit evenement heel watwerk, van zaal voor de tentoonstelling zoeken tot jurering enprijsuitreiking met receptie. De tentoonstelling van “Akwarel2011” loopt van 11 tot 13 juni in GC vander Noot in Brecht,met prijsuitreiking en receptie bij de opening.
District CRetour sur un jumelageTrois événements majeurs ont marqué l’année 1964 et bien peus’en souviennent : la naissance de la République Démocratiquedu Congo, l’explosion mondial du phénomène « Beatles » et surtoutles liens que les clubs de Keerbergen (Woluwe Traditions) etEnghien Montmorency (au nord de Paris) nouaient dans ceuxd’un jumelage. Que d’eau a circulé en 47 ans entre la Seine et laSenne ! Que de changements qui ont fait que les clubs se sontpeu à peu éloignés alors que les moyens de communication allaientde plus en plus vite ! C’est à cette question que WoluweTraditions voulait répondre en chargeant l’un de nous de voir cequi pouvait rester et renaître d’une rupture douce de 12 ou 15ans. Nos amis Français, après un instant d’hésitation (c’est quoices Belges ?) nous ont écrit avec chaleur. C’est ainsi qu’une délégationforte de 9 personnes dont nos épouses (et un chien)s’est rendue sur les bords du lac d’Enghien afin d’y sceller nos retrouvailles.L’occasion était d’autant mieux choisie qu’un impétrantrecevait ce 4 avril son insigne de nouveau membre effectif.L’opportunité de lui remettre l’ouvrage belge sur ce qu’un <strong>Lions</strong>doit savoir m’était donnée. De rappels historiques de nos liensaux promesses du futur, votre passionné des jumelages rappelales conditions indispensables à leur réussite et, principalement,au fait d’avoir un projet commun sur lequel travailler. Les deuxclubs constitueront dans un proche avenir des commissionschargées de plancher sur ce thème.Quant au reste, et puisque nous étions en France où tout finit pardes chansons (dont nous avons cependant pu nous dispenser)chaque membre de Woluwe Traditions reçut une bouteille deChampagne aux armes du <strong>Lions</strong> Club Enghien Montmorency. Necherchez pas : il n’y en a plus.L’épouse du nouveau membre ainsi que celle de notre « grandparleur » furent elles honorées d’un superbe bouquet de fleurs.Une délégation française est attendue le 22 mai à Bruxelles lorsdes festivités de l’avenue de Tervuren.Roland G. STERNPPZ 21 pour Woluwe TraditionsConférence de Didier Malherbe,"UCB, leader biopharmaceutique à la conquête du monde,à partir d’une Belgique en crise"31Ce vendredi 4 mars, l’Open Table recevait Monsieur Didier Malherbe,administrateur délégué d’UCB <strong>Belgium</strong>, fondateur et directeurde l’European Business Summit et ancien directeur de laFEB.Didier Malherbe entame son exposé en situant l’entreprise qu’ildirige : UCB est d’abord une entreprise pharmaceutique dont lesrésultats financiers sont tout à fait appréciables (trois milliardsd’euros !) ; par contre, l’entreprise est passée en cinq ans de12.000 à 8.500 employés. Le groupe s’est, en effet, petit à petitconverti de la production de médicaments prescrits par des médecinsgénéralistes vers celle de médicaments prescrits par desspécialistes. La plus grosse partie des employés d’UCB est composéede délégués médicaux, or le nombre de spécialistes estde loin moins important que celui de généralistes, ceci expliquecela…Jusqu’en 2005, le groupe disposait d’une branche purement chimique,mais ce type d’activité a maintenant quasiment disparu.Solvay a pris l’option inverse : réduire drastiquement sa branchepharmaceutique et développer sa branche chimique.Comment se développe un médicament ? Au moment de sa découverte,un brevet est déposé. Suivent alors de nombreusesphases de tests standardisés : le médicament est testé sur dessouris, puis on en teste la toxicité sur un groupe humain sain,puis sur un petit groupe de malades, puis sur un millier de patients,etc. Enfin, l’Agence américaine donne (ou ne donne pas)son feu vert… L’ensemble de ces phases dure en moyenne treizeans ! Il ne reste donc qu’environ sept ans pour rentabiliser le médicament…En effet, après vingt ans d’existence, le brevet tombeet des médicaments génériques apparaissent, or leur prix estsouvent 70% moins cher que celui du médicament original !Quand ces génériques arrivent sur le marché, la société qui acréé le médicament original, payé son développement et lestests, perd environ 80% de son marché en six semaines !On comprend donc que les sociétés pharmaceutiques soient enpermanence obligées de trouver de nouveaux produits. Mais larecherche coûte cher, très cher… (Des chercheurs qui cherchent,on en trouve, mais des chercheurs qui trouvent, on en cherche !).Pour UCB, 25% du chiffre d’affaire est consacrée à la recherche,UCB est d’ailleurs la première société en termes de coûts de développementen Belgique. Il lui est ainsi indispensable deconclure des partenariats, notamment avec des universités.UCB a aussi formé avec d’autres groupes pharmaceutiques implantésdans notre pays une plateforme pour convaincre les autoritéspolitiques que leur secteur ne doit pas être la vache à laitde l’État : certains politiciens l’ont bien compris et ont accordéune réduction du précompte professionnel des chercheurs, cequi a permis une réduction sensible des frais de recherche. Demême, une réduction des taxes sur les brevets a permis de maintenirceux-ci en Belgique et de rapporter, tous comptes faits, plusau Trésor !Un thème actuel de recherche chez UCB est l’analyse de la santéde la population mondiale qui gagne, en moyenne, trois mois delongévité par an, ce qui est énorme ! L’allongement de cettedurée de vie ne s’accompagne cependant pas d’une augmentationde la période de dépendance (période durant laquelle on aparticulièrement besoin de soins de santé) qui reste de trois ans.UCB a, par ailleurs, constaté que plus l’éducation d’un groupehumain était importante, plus sa longévité était importante. C’estce qui pousse UCB à s’intéresser de plus en plus à des payscomme la Chine, l’Inde et d’autres pays en croissance pour comprendrel’évolution physique de leur population.Faut-il en conclure qu’il est temps d’acheter des actions UCB ?À chacun sa conclusion…Pierre Lempereur