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Compte Rendu d'Activité - mai 2009 [PDF] - Ordre International des ...

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either cause the disease or co-infect the patient. Such diagnostic tests are available inmany European countries.DiagnosisMicroscopy. H. ducreyi appears as small gram-negative rods. Microscopy may be doneon ulcer swabs. Due to low sensitivity and specificity microscopy is, however, not recommendedfor diagnostic purpose.Culture. H. ducreyi is a very fastidious bacterium, and selective, enriched culture mediaare required for its isolation. Several different media have been used to isolate H. ducreyifrom clinical specimens 17,18 . As different strains show different ability to grow on differentmedia, a combination of at least two different media may be used for optimal recoveryrates. Samples should be taken with a cotton-tipped swab from the base at the underminededge of a lesion after cleansing by flushing with sterile saline. H. ducreyi will onlysurvive few hours on the swab, and bedside inoculation of culture plates followed by immediateincubation can be done to reduce loss of viable bacteria during transportation.However, bedside plating is often not possible, and the swab should then be send to thelaboratory in an appropriate transport medium, e.g. Amies or Stuarts medium 19 . Minimizingtransport time and keeping the specimen at 4 o C during transit will increase thechance of positive culture of H. ducreyi. Inoculated culture plates should be incubated at33 o C in a humid atmosphere containing 5% CO 2 for more than three days. Culture of materialfrom buboes obtained by puncture and aspiration is less sensitive than culture fromulcers. Culture of H. ducreyi ensures a definite diagnosis of chancroid, but it does not ruleout other concomitant infections. Culture is particularly important when further characterizationof the bacterium such as antimicrobial susceptibility pattern is needed, e.g. incases of therapeutic failure.


6solutionné si trouvions ce bénévole ou sinon par la présence d’un salarié à temps partielsur un contrat aidé.L’UTILISATION DU MAILMalheureusement, quelques Commanderies sont en retard sur l’utilisation <strong>des</strong> <strong>mai</strong>ls.Nous revenons encore du courrier avec le support papier. D’autres, utilisent tantôt le<strong>mai</strong>l tantôt le papier et quelques fois le fax. Les mo<strong>des</strong> de gestion de ces pratiquesanciennes nous causent encore <strong>des</strong> problèmes car il y a rien de plus inconfortable dedevoir être assis entre deux chaises. Le cas le plus flagrant, même si nous avons d’autresexemples, est celui de la remontée <strong>des</strong> cotisations et la mise à jour <strong>des</strong> listes <strong>des</strong>membres. Il est tellement plus simple de les corriger par l’informatique que de nous lesretourner sur un support papier quand ce n’est pas sur une feuille manuscrite et difficileà lire. Cela nous oblige à reprendre deux fois les textes et les tableaux et ce, ligne parligne. Un tout petit effort nous permettrait de gagner du temps et aussi nous éviterait lerisque d’erreur.UNE AUTRE MODERNITE A PREVOIRCertes il reste encore beaucoup de petits travaux à faire <strong>mai</strong>s ceux-ci peuvent s’effectuerdans le temps, <strong>mai</strong>s l’un <strong>des</strong> points que nous devrons effectuer dans un proche avenirest celui de l’informatisation de nos données historiques. Des armoires entières sontbourrées d’informations. Le danger est de les voir s’abimer par le temps ou encore par lefeu ou l’eau. Depuis que nous sommes présents au 20 rue de Choron deux incendies onteu lieu à proximité, puisqu’il s’agit <strong>des</strong> deux immeubles contigus l’un au numérosupérieur et l’autre au numéro inférieur. Bien évidemment le risque, toutes proportionsgardées, reste faible. Ce travail reste à faire. Il sera fastidieux <strong>mai</strong>s il est réalisable. C’estun devoir pour nous de conserver nos archives et de pouvoir les transmettre à nossuccesseurs en toute quiétude. La numérisation (la photo électronique) <strong>des</strong> documentsnous permettrait non seulement de conserver les documents en stockant sur deuxdisques durs <strong>mai</strong>s nous permettrait aussi d’utiliser ces archives sans même ouvrir lesarmoires. La sécurité serait alors renforcée et nous ouvrirait la voie à la consultation sansmême sortir physiquement les dossiers.LE COMITE DE PUBLICATIONA - LA COMMUNICATION – L’EDITIONLe comité de Publication a toujours les mêmes problématiques. Il semble que nos deman<strong>des</strong>n’aboutissent pas, c’est pourquoi je me propose de les rappeler succinctement. Les photos denos gran<strong>des</strong> cérémonies d’intronisation ou d’autres évènements sont réalisées par <strong>des</strong> amateursnon éclairés. Il ne suffit pas de disposer d’un appareil photos pour se déclarer « bon au service ».Je rappelle à tous les Grands Maistres que nous devons être fiers de nos magazines. Quand nousrecevons <strong>des</strong> photos trop sombres et que j’entends dire « <strong>mai</strong>s il y avait pourtant le flash », il


8L’ASSURANCE RESPONSABILITE CIVILE DES MEMBRES.Vous avez souhaitez chers Grands Maistres à la majorité faire « votre » de cettenécessaire assurance. Je vous demande avec insistance de veiller à être à jour de cettecouverture. Une situation accidentelle peut, sans cette assurance, vous causer denombreux soucis. Cette couverture bien que je vous l’ai proposée gratuitement il y adeux ans, ne coûte pas très chers auprès d’une compagnie d’assurance, alors ne faite pasde fausses économies « l’assurance ne coûte cher qu’avant le sinistre… ».LE CONGRES A PADOUE VENISERien que d’évoquer ce souvenir encore très frais dans nos mémoires c’est un véritable bonheur.Chaque congressiste se souviendra longtemps de ce moment inoubliable. Padoue serait une villesimplement agréable si cette ville ne conservait en son sein de riches histoires. Lors de la visitede la ville nous étions pendus aux dires <strong>des</strong> gui<strong>des</strong>. L’université de Padoue serait la plusancienne <strong>des</strong> universités d’Italie et peut-être d’Europe. Le plus grands ont enseigné du haut decette chair , là où notre président a prononcé son discours lors de notre soirée magistrale. Qued’émotions quand vous regardez ces murs emplis de « traces » qui matérialisent la richesse dupassé.« Si Venise nous était comtée »… cette ville construite sur pilotis, cette ville a abrité et abriteencore <strong>des</strong> artistes et de grands commerçants, cette ville refuge de promesses <strong>des</strong> amoureux,cette ville qui flotte au gré <strong>des</strong> flots est un passage presque obligé pour découvrir l’Italie de l’art.Pour décrire cette ville unique au monde il me faudrait écrire <strong>des</strong> centaines de pages et celaserait même insuffisant. Alors je me conterai de vous parler de cette magnifique baladeanysetière en bateau où tout en découvrant le grand canal nous avons levé nos verres etdégusté un repas à bord. Les visites étaient hautes en couleurs, joncher d’histoires, derencontres <strong>des</strong> hauts lieux avec notamment la place Saint Marc, le pont <strong>des</strong> soupirs, lacathédrale, le théâtre,….Dans cette ville extraordinaire, l’Anysetier pouvait ressentir sa juste présence en tant quechevalier d’un <strong>Ordre</strong>, dans un juste décor celui d’un <strong>des</strong> chemins de ses origines.Merci aux organisateurs qui se sont dépensés physiquement pendant de nombreux mois, mercipour ces magnifiques journées, merci pour nous avoir communiqué votre chaleur amicale trèsensoleillée. On s’en souviendra longtemps…LE CEREMONIALJe n’aborderai ce point que sur le bout <strong>des</strong> lèvres car il faudra pour différents motifslégislatifs ou simplement d’un besoin de réactualisation revoir quelques points de notrecérémonial. Je vous en ferai la proposition dans les mois qui suivent dans le respect denos règles administratives et statutaires.


9LE MANUEL DES GRANDS MAISTRES ET LES REUNIONS INTER-COMMANDERIESCe manuel se devait d’être revu lors <strong>des</strong> intercommanderies. Aucun retour n’est parvenulors de cette interrogation. Jugeriez-vous satisfaisant le texte tel qu’il est actuellementproposé ? Je suis pour ma part surpris car nous recevons <strong>des</strong> avis différents lors dedéplacements, via le téléphone ou encore lors de vos écrits. Les intercommanderiesseraient-elles trop courtes pour tout aborder lors de ses séances ? Il faudra que nousrépondions à ces questions car sans vous, sans vos avis nous ne pouvons construire denouveaux textes.SITUATION ADMINISTRATIVE DES IMPLANTATIONS AU 31 DECEMBRE 2008.Au 31 décembre 2008, notre <strong>Ordre</strong> regroupait 97 implantations réparties dans les 10régions Anysetières.Le Bailliage <strong>des</strong> Isles de-Polynésie-Française a été créé le 15 septembre 2008 par laCommanderie du Périgord.EVOLUTION DES EFFECTIFSLe tableau ci-après, actualisé au 31 décembre 2008, regroupe l’ensemble <strong>des</strong>données permettant de suivre, année après année, l’évolution <strong>des</strong> intronisations aucours <strong>des</strong> onze derniers exercices.AnnéeNombre deCérémoniesNouveaux MaistresactifsMoyenneD’intronisationpar cérémonieMaistresd'honneurTotaux1998 92 656 7,13 13 6691999 82 533 6,50 21 5542000 90 591 6,56 14 6052001 91 624 6,85 13 6372002 91 586 6,43 13 5992003 97 576 5,93 17 593


10AnnéeNombre deCérémoniesNouveaux MaistresactifsMoyenneD’intronisationpar cérémonieMaistresd'honneurTotaux2004 98 538 5,48 14 5522005 89 462 5,19 16 4782006 91 459 5,04 11 4702007 91 483 5,30 10 4892008 91 472 5,18 12 484Ces chiffres nous apportent une lecture et un relief sur notre fonctionnement.CONCLUSIONSNous devons faire mieux et sachons communiquer notre plaisir d’être Anysetier. Je n’aipas cette fois évoqué le recrutement et notre expansion pour éviter d’être trop longdans ce discours, <strong>mai</strong>s il est cependant urgent de revoir cet énorme point faible de notreorganisation. Je reviendrai vers vous prochainement pour vous proposez d’éventuellessolutions.Je voudrais une nouvelle fois remercier ceux qui m’entourent et avec qui j’ai le plaisir detravailler. Pour cela je dirai merci au Président pour sa participation, à Jean CharlesLamaze qui nous a rejoint depuis déjà un an et qui a apporté sa cote part de travail, àFrançois Renardet pour sa coopération, aux Chanceliers pour la confiance sans cesserenouvelé. Merci, à vous les Grands Maistres, à vos chapitres qui contribuent à porterles réformes du Secrétariat Général. Je ne voudrais pas oublier de saluer une nouvellefois le Comité de Publication pour son engagement. Bien évidemment je ne sauraisterminer ces hommages sans saluer notre Chantal à tous, pour son adaptation auxnouvelles situations et notamment à ses nouveaux outils.Je voudrais terminer ce propos passionné et plein de souhaits par une citation de R.W.EMERSON « Rien de grand n’a ja<strong>mai</strong>s pu être réalisé sans enthousiasme». Je croisqu’ensemble nous disposons de cette qualité, il ne nous reste plus, à chacun d’entrenous d’offrir à l’<strong>Ordre</strong> sa meilleure contribution.Anysetièrement vôtreYannick LE BROCHSecrétaire Général<strong>Ordre</strong> <strong>International</strong> <strong>des</strong> Anysetiers

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