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Les décisions d'achat dans le couple - Crioc

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<strong>Les</strong> décisions <strong>d'achat</strong><strong>Les</strong> décisions <strong>d'achat</strong>Mai 2011


Objectifs et méthodologie• Étudier <strong>le</strong>s attitudes, perceptions et comportements des consommateurs en matière dedécisions <strong>d'achat</strong> <strong>dans</strong> <strong>le</strong>ur coup<strong>le</strong>.• Étude quantitative• 794 interviews réalisées en face à face en Wallonie, en Flandre et à Bruxel<strong>le</strong>s auprès des 18 ans et+, vivant en coup<strong>le</strong>.• Seuls <strong>le</strong>s coup<strong>le</strong>s hétérosexuels ont été interrogés.• <strong>Les</strong> partenaires ont été interrogés simultanément mais séparément, par deux enquêteurs différentset <strong>dans</strong> des lieux différents.• Échantillon aléatoire stratifié redressé (pour <strong>le</strong> résultat global).• <strong>Les</strong> résultats ont fait l'objet d'un traitement statistique adéquat.• La marge d'erreur tota<strong>le</strong> sur l'échantillon est de 3,5%.• Seu<strong>le</strong>s <strong>le</strong>s différences significatives sont analysées selon l'âge, <strong>le</strong> sexe, la localisation, la langue et<strong>le</strong> groupe social d'appartenance.2


<strong>Les</strong> boissons‣ Qui, <strong>dans</strong> <strong>le</strong> coup<strong>le</strong>, décide de l'achat des boissons?Limonades/eaux42%44%14%Vin35%12%54%• Dans plus d'un coup<strong>le</strong> sur deux, la décision d'acheter del'alcool (bière, spiritueux ou vin) revient à l'homme tandisque <strong>dans</strong> plus d'un coup<strong>le</strong> sur 3, <strong>le</strong>s conjoints prennentensemb<strong>le</strong> cette décision. <strong>Les</strong> femmes prennent <strong>le</strong>s chosesen main <strong>dans</strong> à peine plus d'un coup<strong>le</strong> sur 10.SpiritueuxBière32%32%15%15%53%53%• La tendance se renverse lorsqu'il s’agit de l'achat d'eaux etde limonades: <strong>le</strong>s femmes sont près d'une sur deux àdécider seu<strong>le</strong>s. Dans plus de 2 cas sur 5, <strong>le</strong>s hommesprennent part à l'initiative alors que <strong>le</strong>s hommes nedécident, seuls, d'acheter des boissons non alcooliséesque <strong>dans</strong> 14% des cas.<strong>Les</strong> deux La femme L'hommeBase : Répondants3


Différences par profilLimonades, eaux• <strong>Les</strong> jeunes coup<strong>le</strong>s de 18 à 29 ans se distinguent de la moyenne. En effet, <strong>le</strong>urs habitudes en matière derépartition des décisions d’achat sont différentes de la moyenne. Ils décident la plupart du temps encoup<strong>le</strong> (67%; +25%) d’acheter des eaux et limonades, tandis que chez <strong>le</strong>s 30-39 ans et <strong>le</strong>s 50-64 ans(respectivement 25%; +11% et 23%; +9%), la décision d’acheter ces boissons revient plus souvent àMonsieur. A Bruxel<strong>le</strong>s, <strong>le</strong>s coup<strong>le</strong>s adoptent <strong>le</strong> même comportement que <strong>le</strong>s jeunes de 18 à 29 anspuisqu’ils sont plus de 6 sur 10 (62%; +20%) à acheter des eaux et limonades d’un commun accord.Vins• Chez <strong>le</strong>s jeunes coup<strong>le</strong>s de 18 à 29 ans, <strong>le</strong>s décisions qui concernent l’achat de vins se fait à 2 (58%;+23%) au détriment des décisions individuel<strong>le</strong>s (respectivement 41%; -13% pour l’homme et 1%; -11%pour la femme). <strong>Les</strong> coup<strong>le</strong>s de 50-64 ans ont une attitude opposée: <strong>le</strong>s décisions d’achats sont plussouvent individuel<strong>le</strong>s (64%; +12% pour l’homme et 23%; +11% pour la femme) que communes (12%;-23%)• <strong>Les</strong> hommes issus des groupes sociaux supérieurs prennent plus souvent (63%; +9%) l’achat du vin encharge que <strong>dans</strong> la moyenne des consommateurs.4


Différences par profilSpiritueux• Ici encore, <strong>le</strong>s décisions d’achat sont réparties différemment selon l’âge du coup<strong>le</strong>. En effet, <strong>le</strong>s jeunesgens âgés de 18 à 29 ans ont plus tendance à prendre <strong>le</strong>s décisions ensemb<strong>le</strong> (65%; +33%)qu’individuel<strong>le</strong>ment (respectivement 35%; -18% pour l’homme et 0%; -15% pour la femme), alors quechez <strong>le</strong>s coup<strong>le</strong>s de 50 à 64 ans, chaque partenaire décide lui-même d’acheter des spiritueux (68%;+15% pour <strong>le</strong>s hommes et 26%; +11% pour <strong>le</strong>s femmes) aux dépends d’un choix commun ( 6%; -26%).• Chez <strong>le</strong>s 30-39 ans, c’est plus souvent l’homme ( 63%; +10%) que la femme (4%; -11%) qui prendl’initiative d’acheter des spiritueux. Au contraire, <strong>dans</strong> la tranche d’âge supérieure, <strong>le</strong>s hommes de 40 à 49ans (40%; -13%) laissent aux femmes (30%; +15%) <strong>le</strong> soin d’acheter des spiritueux.• Certaines différences sont visib<strong>le</strong>s entre <strong>le</strong>s groupes sociaux: <strong>dans</strong> <strong>le</strong>s groupes sociaux modestes, l’hommeprend moins souvent (43%; -10%) d’initiatives quant à l’achat de spiritueux. Dans <strong>le</strong>s groupes sociauxaisés au contraire, ils en prennent plus (64%; +11%).5


Différences par profil• Selon la région qu’ils habitent, <strong>le</strong>s coup<strong>le</strong>s ne procèdent pas à la même répartition des achats despiritueux. En effet, à Bruxel<strong>le</strong>s, l’homme prend la plupart du temps (70%; +17%) seul <strong>le</strong>s décisionsrelatives à ces achats, tandis qu’en Wallonie, il mê<strong>le</strong> plus souvent (47%; +15%) sa compagne à cesdécisions. En Flandre, <strong>le</strong>s décisions communes à ce sujet sont plus rares (23%; -9%) au profit desdécisions individuel<strong>le</strong>s.6


Différences par profilBières• Tandis que Bruxel<strong>le</strong>s se maintient <strong>dans</strong> la moyenne (28%; -4%), la décision d’acheter de la bière est plussouvent <strong>le</strong> fait des 2 partenaires (42%; +10%) en Wallonie. Au contraire, en Flandre, l’achat de bière estune décision qui se fait plus séparément qu’en coup<strong>le</strong> (25%; -7%).• L’attitude des coup<strong>le</strong>s âgés de 18-29 ans est similaire à cel<strong>le</strong> de la Wallonie (72%; +19%). Chez <strong>le</strong>s 40-64 ans, près d’une femme sur 4 (24%; +9%) décide seu<strong>le</strong> d’acheter de la bière. On pourrait établir unlien entre la personne qui décide d’acheter des condiments et cel<strong>le</strong> qui fait <strong>le</strong>s courses, et ainsi émettrel’hypothèse que <strong>le</strong>s coup<strong>le</strong>s de 18-29 ans font ensemb<strong>le</strong> <strong>le</strong>s courses alimentaires tandis que chez <strong>le</strong>scoup<strong>le</strong>s plus âgés, ces emp<strong>le</strong>ttes sont confiées aux femmes.• Dans <strong>le</strong>s groupes sociaux aisés, l’homme prend plus fréquemment (65%; +12%)que la moyenne ladécision d’acheter de la bière.7


L'alimentationViande46%43%11%‣ Qui, <strong>dans</strong> <strong>le</strong> coup<strong>le</strong>, décide de l'achat des denréesalimentaires?CharcuteriePâtisseriePain42%40%35%46%52%57%12%9%9%• <strong>Les</strong> hommes se désintéressent du contenu de la liste des courses: àpeine plus d'un sur 10 décide d'acheter de la viande et de lacharcuterie tandis que <strong>le</strong>ur intérêt décroit lorsqu'il s'agit de pâtisserieset de pain (9%) ou de fruits et légumes (respectivement 6% et 5%).• Le choix des coup<strong>le</strong>s suit <strong>le</strong> même schéma de préférence que lorsque<strong>le</strong>s décisions sont prises par <strong>le</strong>s hommes seuls: : plus de 4 sur 10coup<strong>le</strong>s choisissent d'acheter de la viande et de la charcuterie, 4 sur 10des pâtisseries, moins de 4 sur 10 du pain et moins de 3 sur 10 desfruits et légumes.FruitsLégumes29%28%65%67%6%5%• La décision d'acheter <strong>le</strong>s denrées alimentaires revient en majorité auxfemmes. Leurs préférences sont par contre logiques: on retrouve enhaut de la liste <strong>le</strong>s légumes et <strong>le</strong>s fruits (67% et 65%), suivis par <strong>le</strong>pain (57%), <strong>le</strong>s pâtisseries (52%) et enfin la charcuterie (46%) et laviande (43%).<strong>Les</strong> deux La femme L'hommeBase : Répondants8


Différences par profilViande• À Bruxel<strong>le</strong>s, <strong>le</strong>s femmes s’occupent plus souvent de l’achat de viande <strong>dans</strong> la moyenne (57%; +14%).Parmi <strong>le</strong>s coup<strong>le</strong>s âgés entre 50 et 64 ans, <strong>le</strong>s femmes sont éga<strong>le</strong>ment plus nombreuses (61%; +18%) àêtre responsab<strong>le</strong>s de ces achats.• <strong>Les</strong> jeunes de 18 à 29 ans ont une attitude différente, puisqu’ils sont 7 sur 10 (70%; +24%) à faire <strong>le</strong>urscourses de viande en coup<strong>le</strong>.Charcuterie• <strong>Les</strong> jeunes coup<strong>le</strong>s de 18 à 29 ans et ceux de 50 à 64 ans ont la même manière de partager <strong>le</strong>sresponsabilités en matière d’achat de charcuterie, que pour la viande. En effet, 8 jeunes coup<strong>le</strong>s sur 10(80%; +38%) achètent ces produits ensemb<strong>le</strong>, tandis que <strong>dans</strong> <strong>le</strong> tranche d’âge entre 50 et 64 ans, cesont <strong>le</strong>s femmes qui sont chargées de l’achat de charcuterie (70%; +24%);• Dans plus de la moitié (57%; +11%) des groupes sociaux aisés, ce sont éga<strong>le</strong>ment <strong>le</strong>s femmes quis’occupent des courses de charcuterie.9


Différences par profilPâtisseries• Chez <strong>le</strong>s 18-29 ans (53%; +13%), <strong>le</strong>s 30-39 ans (54%; +14%) et <strong>dans</strong> <strong>le</strong>s coup<strong>le</strong>s issus de la classemoyenne (48%; +8%), <strong>le</strong>s partenaires ont plus tendance que la moyenne à choisir ensemb<strong>le</strong> <strong>le</strong>spâtisseries. <strong>Les</strong> hommes de 30 à 39 ans prennent éga<strong>le</strong>ment plus souvent l’initiative d’acheter seul unepâtisserie (18%; +9%).• Dans <strong>le</strong>s coup<strong>le</strong>s issus de groupes sociaux modestes (65%; +13%) ou <strong>dans</strong> ceux où <strong>le</strong>s partenaires ontentre 50 et 64 ans (71%), cette charge est laissée aux femmes.Pain• L’achat du pain est partagé entre <strong>le</strong>s conjoints de la même manière que la viande et la charcuterie: <strong>le</strong>sfemmes des groupes sociaux supérieurs (70%; +13%) et cel<strong>le</strong>s âgées de 50 à 64 ans (72%; +15%)achètent plus régulièrement du pain. Tandis que <strong>le</strong>s <strong>dans</strong> <strong>le</strong>s jeunes coup<strong>le</strong>s, <strong>le</strong>s hommes participent plussouvent que la moyenne aux décisions d’achat de pain (66%; +31%).10


Différences par profilFruits• Comme pour <strong>le</strong> reste des courses alimentaires, <strong>le</strong>s jeunes coup<strong>le</strong>s établissent ensemb<strong>le</strong> la liste des fruits àacheter (44%; +15%), tandis qu’entre 40 et 49 ans (85%; +20%) et <strong>dans</strong> <strong>le</strong>s groupes sociauxsupérieurs (75%; +15%), 3 femmes sur 4 (ou plus) doivent assumer seu<strong>le</strong>s la sé<strong>le</strong>ction des fruits.Légumes• Selon l’âge, la localisation ou de groupe social d’appartenance, <strong>le</strong>s coup<strong>le</strong>s de consommateurs interrogésne se répartissent pas <strong>le</strong>s décisions d’achat de la même manière. En effet, à Bruxel<strong>le</strong>s (83%; +16%),<strong>dans</strong> <strong>le</strong>s groupes sociaux supérieurs (77%; +10%), chez <strong>le</strong>s 40-49 ans (80%; +13%) et <strong>le</strong>s 50-64 ans(75%; +8%), <strong>le</strong>s femmes prennent plus souvent, seu<strong>le</strong>s, la décision d’acheter des légumes.• Dans <strong>le</strong>s groupes sociaux modestes (37%; +9%) et chez <strong>le</strong>s 18-29 ans (58%; +30%) <strong>le</strong>s hommess’associent à ces choix alimentaires.11


<strong>Les</strong> appareils é<strong>le</strong>ctroménagersCongélateur60%37%3%‣ Qui, <strong>dans</strong> <strong>le</strong> coup<strong>le</strong>, décide de l'achat du grosé<strong>le</strong>ctroménager?Lave-vaissel<strong>le</strong>53%42%5%• Selon l’appareil dont il est question, <strong>le</strong>s décisionsconcernant l'achat de gros é<strong>le</strong>ctroménager sont prises,en majorité, soit par <strong>le</strong>s 2 conjoints, soit par la femmeseu<strong>le</strong> quand il s'agit d'un appareil de traitement dulinge.Sèche-linge46%50%4%• <strong>Les</strong> hommes décident seuls de l'achat de grosé<strong>le</strong>ctroménager <strong>dans</strong> moins d'un cas sur 10.Machine à laver45%53%3%<strong>Les</strong> deux La femme L' hommeBase : Répondants12


Différences par profilCongélateur• À Bruxel<strong>le</strong>s (88%; +28%) et, <strong>dans</strong> une moindre mesure, chez <strong>le</strong>s jeunes coup<strong>le</strong>s de 18 à 29 ans (80%;+20%) <strong>le</strong>s consommateurs sont plus nombreux que la moyenne à programmer à 2 l’achat d’uncongélateur.• En Flandre (44%; +7%) et encore plus chez <strong>le</strong>s coup<strong>le</strong>s de 30-39 ans (47%; +10%), la décisiond’achat d’un congélateur revient plus fréquemment à la femme. Au contraire, <strong>dans</strong> <strong>le</strong>s groupes sociauxmodestes, une part plus importante des coup<strong>le</strong>s (8%; +5%), qui reste toutefois limitée, confie cettetâche à l’homme seul.Lave-vaissel<strong>le</strong>• Comme pour un congélateur, l’achat d’un lave-vaissel<strong>le</strong> mobilise 3 coup<strong>le</strong>s sur 4 à Bruxel<strong>le</strong>s (75%;+22%) et plus de 8 sur 10 (84%; +22%) parmi <strong>le</strong>s jeunes de 18 à 29 ans, tandis que <strong>le</strong>s hommes desgroupes sociaux modestes prennent plus souvent seuls (14%; +9%) <strong>le</strong>s choses en main que <strong>dans</strong> lamoyenne de la population.13


Différences par profilSèche-linge• <strong>Les</strong> consommateurs de Bruxel<strong>le</strong>s et ceux âgés de 18 à 29 ans ont plus tendance que la moyenne (67%;+21% chacun) à prendre à 2 la décision d’acheter un sèche-linge. <strong>Les</strong> femmes appartenant aux groupessociaux supérieurs (64%; +14%) et cel<strong>le</strong>s âgées entre 50 et 64 ans (61%; +11%) choisissent parcontre plus souvent <strong>le</strong>ur sèche-linge sans avis masculin.14


Différences par profilMachine à laver• À Bruxel<strong>le</strong>s, plus de 6 coup<strong>le</strong>s sur 10 (64%; +19%) décident ensemb<strong>le</strong> de l’achat d’une machine à laver.Parmi <strong>le</strong>s 18-29 ans, cette proportion passe à 2 coup<strong>le</strong>s sur 3.• Au contraire, <strong>dans</strong> <strong>le</strong>s groupes sociaux modestes ou supérieurs, et <strong>dans</strong> <strong>le</strong>s coup<strong>le</strong>s entre 50 et 64 ans, undes partenaires choisit seul <strong>le</strong> bien à acheter. Ainsi, <strong>dans</strong> <strong>le</strong>s classes socia<strong>le</strong>s modestes, 7% (+4%) deshommes décident d’acheter une machine à laver sans consulter <strong>le</strong>ur compagne, tandis que <strong>dans</strong> <strong>le</strong>sclasses supérieures, et <strong>le</strong>s coup<strong>le</strong>s de 50-64 ans, c’est Madame qui s’en occupe (respectivement 63%;+10% et 67%; +14%).• Pour l’achat de gros é<strong>le</strong>ctroménager, certaines tendances se dessinent: <strong>le</strong>s jeunes consommateurs âgésentre 18 et 29 ans et ceux qui vivent à Bruxel<strong>le</strong>s prennent plus souvent des décisions en coup<strong>le</strong>. Aucontraire, <strong>dans</strong> <strong>le</strong>s classes socia<strong>le</strong>s supérieures, de même que <strong>dans</strong> <strong>le</strong>s coup<strong>le</strong>s de 50-64 ans, on laisse engénéral à la femme <strong>le</strong> soin d’acheter <strong>le</strong> gros é<strong>le</strong>ctroménager. <strong>Les</strong> groupes sociaux modestes, quant à eux,confient plus souvent ces décisions d’achat rien qu’à l’homme.15


Différences par profilMicro-ondes• Comme pour <strong>le</strong> gros é<strong>le</strong>ctroménager, <strong>le</strong>s coup<strong>le</strong>s bruxellois et <strong>le</strong>s jeunes âgés de 18 à 29 ans se concertentplus que la moyenne (respectivement 84%; +38% et 67%; +21%) avant d’acheter un petit appareilé<strong>le</strong>ctroménager.• <strong>Les</strong> hommes issus de groupes sociaux modestes ont au contraire plus d’autonomie en la matière puisqu’ilssont légèrement plus nombreux (9%; +6%) à décider seuls. Alors qu’au sein des coup<strong>le</strong>s de 50-64 ans(63%; +12%) et en Flandre (60%; +9%), c’est plus souvent la femme qui possède cette autonomie dechoix.Cafetière• La décision d’achat d’une cafetière est répartie différemment selon <strong>le</strong>s classes socia<strong>le</strong>s. En effet, <strong>dans</strong> <strong>le</strong>sgroupes sociaux modestes, l’homme a plus fréquemment (11%; +7%) <strong>le</strong> dernier mot, tandis que <strong>dans</strong> <strong>le</strong>sgroupes sociaux aisés la situation est inversée et la femme devient la principa<strong>le</strong> initiatrice (63%; +10%)de l’achat. Dans <strong>le</strong>s classes socia<strong>le</strong>s moyennes, <strong>le</strong>s 2 partenaires prennent part à la décision (51%;+8%).17


Différences par profil• Dans <strong>le</strong>s jeunes coup<strong>le</strong>s, la décision d’acheter une cafetière est prise en commun (65%; +22%), demême que chez <strong>le</strong>s coup<strong>le</strong>s qui habitent à Bruxel<strong>le</strong>s (71%; +28%). <strong>Les</strong> néerlandophones et <strong>le</strong>s coup<strong>le</strong>sde 40-49 ans quant à eux, ont plus tendance à confier cette décision à l’homme (61%; +8% et 69%;+16%).18


Différences par profilGril<strong>le</strong>-pain• <strong>Les</strong> francophones (50%; +10%), particulièrement ceux qui vivent à Bruxel<strong>le</strong>s (78%; +38%) prennentplus souvent <strong>le</strong>s décisions d’achats en coup<strong>le</strong>, et l’acquisition d’une cafetière ne déroge pas à l’habitude.<strong>Les</strong> jeunes coup<strong>le</strong>s de 18 à 29 ans agissent de même (65%; +25%).• Chez <strong>le</strong>s néerlandophones au contraire, la femme décide seu<strong>le</strong> <strong>dans</strong> 2 ménages sur 3 (66%; +9%). Dans<strong>le</strong>s coup<strong>le</strong>s âgés de 40 à 49 ans, cette proportion s’élève à plus de 7 coup<strong>le</strong>s sur 10 (71%; +14%). <strong>Les</strong>groupes sociaux modestes confient, eux, plus souvent l’achat d’une cafetière à l’homme (7%; +5%).Robot ménager• Ici encore, <strong>le</strong>s 2 partenaires décident ensemb<strong>le</strong> à Bruxel<strong>le</strong>s (60%; +22%) et <strong>dans</strong> <strong>le</strong>s jeunes coup<strong>le</strong>s(63%; +25%).• En Flandre et <strong>dans</strong> <strong>le</strong>s coup<strong>le</strong>s âgés de 40-49 ans, ce sont <strong>le</strong>s femmes qui prennent en main l’achat d’unrobot ménager (respectivement 61%; +8% et 69%; +16%). <strong>Les</strong> hommes issu des groupes sociauxfaib<strong>le</strong>s prennent un peu plus (8%; +5%) l’initiative d’acheter seuls un robot ménager que la moyenne.19


<strong>Les</strong> appareils é<strong>le</strong>ctroniquesTV64%5%32%‣ Qui, <strong>dans</strong> <strong>le</strong> coup<strong>le</strong>, décide de l'achat d'appareilsé<strong>le</strong>ctroniques?Home cinéma64%4%31%• Plus de 6 coup<strong>le</strong>s sur 10 choisissent ensemb<strong>le</strong> <strong>le</strong>sappareils é<strong>le</strong>ctroniques. L'acquisition d'un <strong>le</strong>cteurDVD est un peu moins <strong>le</strong> fruit d’une décisionconjointe (58%).DVD/bluray61%10%28%• <strong>Les</strong> hommes prennent, seuls, <strong>le</strong>s achats de matérielé<strong>le</strong>ctronique en main <strong>dans</strong> près de 3 cas sur 10.Lecteur DVD58%6%36%• <strong>Les</strong> femmes prennent moins souvent de décisionconcernant l'achat de matériel é<strong>le</strong>ctronique, exceptépour <strong>le</strong>s dvd et bluray où el<strong>le</strong>s sont 10% à prendrel'initiative de l'achat.<strong>Les</strong> deux La femme L' hommeBase : Répondants20


Différences par profilTV• Dans <strong>le</strong>s coup<strong>le</strong>s de 30-39 ans (48%; +16%), et <strong>dans</strong> ceux issus des groupes sociaux modestes (50%;+18%), <strong>le</strong>s hommes sont nombreux à prendre seuls <strong>le</strong>s décisions d’achat d’une TV. Dans <strong>le</strong>s groupessociaux moyens (71%; +7%) et <strong>dans</strong> <strong>le</strong>s coup<strong>le</strong>s de 40-49 ans (73%; +9%), <strong>le</strong>s femmes sontassociées aux décisions. Seu<strong>le</strong>s <strong>le</strong>s femmes de 50-64 ans décident un peu plus souvent (14%; +9%)sans prendre en compte l’avis de <strong>le</strong>ur compagnon.DVD/bluray• <strong>Les</strong> coup<strong>le</strong>s âgés entre 18 et 29 ans choisissent plus souvent <strong>le</strong>ur DVD/bluray ensemb<strong>le</strong> que la moyenne(82%; +21%).• <strong>Les</strong> coup<strong>le</strong>s de 50-64 ans, ceux de 30-39 ans et <strong>le</strong>s groupes sociaux moyens privilégient <strong>le</strong> choix d’un despartenaires: il s’agit de la femme pour <strong>le</strong>s premiers ( 19%; +9%), de l’homme pour <strong>le</strong>s deuxièmes et <strong>le</strong>stroisièmes (respectivement 38%; +10% et 35%; +7%).21


Différences par profilHome cinéma• Parmi <strong>le</strong>s 18-29 ans, 8 coup<strong>le</strong>s sur 10 (80%; +16%) prennent ensemb<strong>le</strong> la décision d’acheter un homecinéma, tandis qu’à Bruxel<strong>le</strong>s, ce pourcentage augmente encore: 85% des coup<strong>le</strong>s (+21%) s’accordentsur cet achat.Lecteur DVD• <strong>Les</strong> coup<strong>le</strong>s qui vivent à Bruxel<strong>le</strong>s achètent un <strong>le</strong>cteur DVD d’un commun accord (76%; +18%). <strong>Les</strong>coup<strong>le</strong>s issus des classes socia<strong>le</strong>s supérieures ont éga<strong>le</strong>ment une tendance, moins marquée pourtant, àprocéder de la sorte (67%; +9%).• En Wallonie, plus de 4 hommes sur 10 (44%; +8%) prennent seuls <strong>le</strong>s décisions d’achat qui concernentun <strong>le</strong>cteur DVD. Cette proportion augmente encore (48%; +12%) <strong>dans</strong> la classe socia<strong>le</strong> modeste.• Ici encore, <strong>le</strong>s femmes de 50-64 ans prennent plus de libertés (17%; +11%) que la moyenne enchoisissant seu<strong>le</strong> d’acheter un <strong>le</strong>cteur DVD.22


<strong>Les</strong> appareils é<strong>le</strong>ctroniquesGsm66%6%28%‣ Qui, <strong>dans</strong> <strong>le</strong> coup<strong>le</strong>, décide de l'achat des appareilsé<strong>le</strong>ctroniques?CD/mp3HifiOrdinateurCamescope61%19% 20%57%6% 37%53% 11% 36%52% 5% 43%<strong>Les</strong> deux La femme L' homme• Dans plus de 6 cas sur 10, la décision d'acheter un gsm ou unCD/mp3 revient aux deux conjoints, qui se concertentéga<strong>le</strong>ment <strong>dans</strong> plus de la moitié des cas pour l'achat d’HIFI,d'un ordinateur ou d'un caméscope.• Moins d'une femme sur 10 décide el<strong>le</strong>-même de l'achat ded'un gsm, d'hifi ou d'un caméscope tandis qu'el<strong>le</strong>s sont plusd'1 sur 10 quand il s'agit d'un ordinateur et près d'1 sur 5pour un CD/mp3.• <strong>Les</strong> initiatives masculines en matière <strong>d'achat</strong> de matérielé<strong>le</strong>ctronique varient en fonction de l'appareil: 2 sur 10 pourun CD/mp3, près de 3 sur 10 pour un gsm, plus de 3 sur 10pour du matériel hifi ou un ordinateur et plus de 4 sur 10 pourun caméscope.Base : Répondants23


Différences par profilGSM• Près de 8 coup<strong>le</strong>s sur 10 (77%; +11%) appartenant aux groupes sociaux moyens décident à 2 d’acheterun GSM. Au contraire, <strong>dans</strong> <strong>le</strong>s groupes sociaux modestes, près de la moitié (45%; +17%) des hommesprennent seuls cette décision, sans y associer Madame. <strong>Les</strong> jeunes hommes entre 18 et 29 ans ont à cesujet la même attitude, même si cel<strong>le</strong>-ci est plus nuancée (38%; +10%).CD/mp3• Chez <strong>le</strong>s 40-49 ans, l’homme est responsab<strong>le</strong> des achats de CD/mp3 <strong>dans</strong> plus d’1 coup<strong>le</strong> sur 3 (34%;+14%). Dans la tranche d’âge inférieure, cel<strong>le</strong> des 30-39 ans, c’est au contraire Madame qui prend plussouvent que la moyenne (37%; +18%) la décision d’effectuer de tels achats. <strong>Les</strong> classes socia<strong>le</strong>smodestes confient éga<strong>le</strong>ment l’achat de CD/mp3 aux femmes, mais <strong>dans</strong> des proportions moinsimportantes: plus d’1 coup<strong>le</strong> sur 4 (28%; +9%).• À Bruxel<strong>le</strong>s et surtout parmi <strong>le</strong>s coup<strong>le</strong>s de 18 à 29 ans, ces choix se font la plupart du temps ensemb<strong>le</strong>:<strong>dans</strong> 3 coup<strong>le</strong>s sur 4 (75%; +14%) pour <strong>le</strong>s premiers, et <strong>dans</strong> plus de 4 coup<strong>le</strong>s sur 5 (83%; +22%)pour <strong>le</strong>s seconds.24


Différences par profilHIFI• Dans près de la moitié (49%; +12%) des coup<strong>le</strong>s interrogés qui appartenaient aux groupes sociauxmodestes, l’homme était responsab<strong>le</strong> des décisions d’achat d’une chaîne HIFI, de même que chez <strong>le</strong>scoup<strong>le</strong>s de 30-39 ans (48%; +11%). Dans la tranche d’âge comprise entre 50 et 64 ans par contre, <strong>le</strong>sfemmes prennent ces décisions d’achat plus fréquemment que la moyenne (17%; +11%).Ordinateur• En Wallonie, <strong>le</strong>s décisions d’acheter un ordinateur sont prises par <strong>le</strong>s hommes <strong>dans</strong> un peu moins d’1ménage sur 2 (46%; +10%). On observe cette même tendance, encore plus marquée auprès des coup<strong>le</strong>sde 30-39 ans et des groupes sociaux modestes (tous deux 50%; +14%). Dans près d’1 coup<strong>le</strong> sur 4 de50 à 64 ans (24%; +13%) la femme prend plus souvent d’initiative en la matière que la moyenne.• Chez <strong>le</strong>s 18-29 ans, acheter un ordinateur est une décision qui se prend en coup<strong>le</strong> <strong>dans</strong> près de 2ménages sur 3 (63%; +10%).25


Différences par profilCaméscope• À Bruxel<strong>le</strong>s, un peu moins de 3 coup<strong>le</strong>s sur 4 (73%; +21%) décident à 2 de l’achat d’un caméscope.Dans une moindre mesure (62%; +10%), c’est aussi <strong>le</strong> cas <strong>dans</strong> <strong>le</strong>s groupes sociaux moyens. Dans <strong>le</strong>scoup<strong>le</strong>s âgés entre 50 et 64 ans, on assiste à une diminution de la seu<strong>le</strong> influence masculine (22%; -21%) au profit des femmes (13%; +8%) ou d’une décision conjointe (64%; +12%).• Ici encore, <strong>le</strong>s consommateurs issus des classes socia<strong>le</strong>s faib<strong>le</strong>s et ceux âgés entre 30 et 39 ans ont uneattitude identique par rapport à l’achat d’un caméscope. En effet, Monsieur prend plus souvent (62%;+19%) <strong>le</strong>s devants, sans avoir mêlé sa compagne à sa décision.26


<strong>Les</strong> dépenses quotidiennes du ménage‣ Qui, <strong>dans</strong> <strong>le</strong> coup<strong>le</strong>, s'occupe des dépensesquotidiennes du ménage?Cadeaux57%37%6%• Plus de la moitié des coup<strong>le</strong>s interrogés s'occupentconjointement des dépenses du ménage, qu'el<strong>le</strong>ssoient habituel<strong>le</strong>s ou ponctuel<strong>le</strong>s.• <strong>Les</strong> femmes gèrent ces dépenses <strong>dans</strong> près de 4coup<strong>le</strong>s sur 10 pour <strong>le</strong>s cadeaux et <strong>dans</strong> plus de 4sur 10 pour <strong>le</strong>s achats du ménage.Achats duménage53%41%6%• <strong>Les</strong> hommes ont une attitude plus passive, que cesoit par rapport aux cadeaux ou aux achats duménage, puisqu'ils sont moins d'un sur 10 à fairedes choix en la matière.<strong>Les</strong> deux La femme L' hommeBase : Répondants27


Différences par profilCadeaux• Le choix des cadeaux revient à différentes personnes selon <strong>le</strong>s régions: en Wallonie et à Bruxel<strong>le</strong>s, <strong>le</strong>s 2partenaires manifestent plus d’intérêt (respectivement 67%; +10% et 70%; +13%) pour <strong>le</strong> choix descadeaux. En Flandre, l’homme est plus actif que la moyenne puisqu’1 sur 10 (10%; +4%) choisit seuldes cadeaux.• Le comportement des coup<strong>le</strong>s est éga<strong>le</strong>ment différent en fonction de <strong>le</strong>ur âge: entre 18 et 29 ans, près de8 coup<strong>le</strong>s sur 10 (77%; +20%) décident à 2 de l’achat de cadeaux, alors qu’entre 50 et 64 ans, plus dela moitié des coup<strong>le</strong>s (52%; +15%) font confiance aux seu<strong>le</strong>s femmes pour ces emp<strong>le</strong>ttes.Achats du ménage• Parmi <strong>le</strong>s francophones, 6 coup<strong>le</strong>s sur 10 (60%; +7%) s’occupent à 2 des achats du ménage,particulièrement à Bruxel<strong>le</strong>s (70%; +17%). Cette proportion est éga<strong>le</strong>ment plus é<strong>le</strong>vée que la moyennechez <strong>le</strong>s 18-29 ans (64%; +11%). Quant aux néerlandophones, plus d’1 homme sur 10 (11%; +5%) secharge seul des achats du ménage.28


L'ameub<strong>le</strong>ment‣ Qui, <strong>dans</strong> <strong>le</strong> coup<strong>le</strong>, décide de l'ameub<strong>le</strong>ment?Salon80%18%2%Meub<strong>le</strong>s80%15%5%• Quatre coup<strong>le</strong>s sur 5 choisissent ensemb<strong>le</strong> <strong>le</strong>urs meub<strong>le</strong>set <strong>le</strong> salon. Ils sont plus de 2 tiers lorsqu'il s’agit de lacuisine et moins de 2 sur 5 pour la literie.Cuisine67%31%2%• <strong>Les</strong> femmes choisissent seu<strong>le</strong>s <strong>le</strong> salon et <strong>le</strong>s meub<strong>le</strong>s<strong>dans</strong> moins de 2 coup<strong>le</strong>s sur 10 tandis que la décision<strong>d'achat</strong> pour la cuisine <strong>le</strong>ur revient <strong>dans</strong> plus de 30% descas. En ce qui concerne la literie, cette proportion s'élève àprès de 6 cas sur 10.Literie39%58%3%• <strong>Les</strong> hommes s'occupent seuls de l'ameub<strong>le</strong>ment du foyer<strong>dans</strong> moins d'un coup<strong>le</strong> sur 10.<strong>Les</strong> deux La femme L' hommeBase : Répondants29


Différences par profilLiterie• <strong>Les</strong> coup<strong>le</strong>s bruxellois se distinguent de la moyenne en étant plus nombreux (61%; +22%) à prendre à 2<strong>le</strong>s décisions qui relèvent de la literie.Salon• <strong>Les</strong> décisions d’achat qui concernent <strong>le</strong> salon sont prises par <strong>le</strong>s 2 partenaires <strong>dans</strong> 9 coup<strong>le</strong>s wallons sur10 (90%; +10%) tandis qu’en Flandre, près d’1 femme sur 4 (24%; +6%) choisit seu<strong>le</strong> l’aménagementdu salon de son ménage.• <strong>Les</strong> groupes sociaux supérieurs ont éga<strong>le</strong>ment tendance à favoriser l’avis des femmes <strong>dans</strong> près de 3coup<strong>le</strong>s sur 10 (29%; +11%).• <strong>Les</strong> jeunes coup<strong>le</strong>s de 18-29 ans ont, eux, la même attitude mais encore plus développée (92%; +12%)que <strong>le</strong>s Wallons.31


Différences par profilAuto• À Bruxel<strong>le</strong>s, plus de 7 coup<strong>le</strong>s sur 10 (71%; +14%) décident ensemb<strong>le</strong> d’acheter une voiture.• Selon <strong>le</strong> groupe social d’appartenance, <strong>le</strong>s choix se font plus souvent seul ou à 2. En effet près de 2coup<strong>le</strong>s sur 3 (65%; +8%) des classes socia<strong>le</strong>s moyennes s’accordent sur cette décision d’achat, tandisque <strong>dans</strong> <strong>le</strong>s groupes sociaux modestes, c’est l’homme qui choisit seul <strong>dans</strong> plus de la moitié des ménages(57%; +16%).• L’attitude est éga<strong>le</strong>ment différente en fonction des âges: un homme de 18 à 29 ans sur 2 (50%; +9%)décide seul d’acheter une voiture tandis qu’entre 40 et 49 ans, <strong>le</strong>s compagnes sont mêlées à la décision<strong>dans</strong> plus de 7 coup<strong>le</strong>s sur 10 (72%; +15%). Dans la tranche d’âge intermédiaire, entre 30 et 39 ans,<strong>le</strong>s femmes sont légèrement plus nombreuses que la moyenne (6%; +4%) à assumer seu<strong>le</strong>s <strong>le</strong> choixd’une nouvel<strong>le</strong> auto.36


Différences par profilVélo• <strong>Les</strong> femmes bruxelloises sont plus nombreuses que la moyenne (17%; +10%) à se charger seu<strong>le</strong>s de ladécision d’acquérir un vélo.• De même <strong>dans</strong> <strong>le</strong>s groupes sociaux é<strong>le</strong>vés, plus d’1 femme sur 10 (14%; +7%) prend cette décision sansconsulter son compagnon. L’influence de l’homme est beaucoup plus marquée en la matière <strong>dans</strong> <strong>le</strong>sgroupes sociaux modestes, où ils sont près de 6 sur 10 (57%; +15%) à choisir seuls.Moto• Dans près de la moitié des coup<strong>le</strong>s des groupes sociaux moyens (48%; +14%), <strong>le</strong>s 2 conjointschoisissent ensemb<strong>le</strong> d’acheter une moto, contrairement aux groupes sociaux modestes où la décision estprise par l’homme seul <strong>dans</strong> plus de 8 coup<strong>le</strong>s sur 10 (85%; +19%).• Dans une moindre mesure (80%; +14%), <strong>le</strong>s 40-49 ans agissent de la même manière que <strong>le</strong>s groupessociaux modestes.• À Bruxel<strong>le</strong>s, acheter une moto est une décision prise par <strong>le</strong>s 2 partenaires <strong>dans</strong> plus de 6 coup<strong>le</strong>s sur 10(63%; +29%).37


La sé<strong>le</strong>ction de la marquePour une auto• En ce qui concerne la marque choisie, <strong>le</strong>s 2 conjoints se mettent d’accord <strong>dans</strong> moins d’1 cas sur 2(47%), tandis que <strong>dans</strong> plus d’1 ménage sur 2 (52%), ce choix revient uniquement à l’homme. Une seu<strong>le</strong>femme déclarait avoir el<strong>le</strong>-même choisi la marque de la voiture.• Dans près de 2 coup<strong>le</strong>s bruxellois sur 3 (65%; +18%) <strong>le</strong> choix de la marque de la voiture se fait encommun, comme chez <strong>le</strong>s 40-49 ans (64%; +17%). Au contraire, chez <strong>le</strong>s 30-39 ans et <strong>dans</strong> <strong>le</strong>s classessocia<strong>le</strong>s modestes, <strong>le</strong>s hommes choisissent seuls la marque du véhicu<strong>le</strong> <strong>dans</strong> plus de 6 ménages sur 10(respectivement 62%; +10% et 67%; +15%).38


La sé<strong>le</strong>ction de la marquePour une moto• <strong>Les</strong> partenaires choisissent ensemb<strong>le</strong> la marque de la moto <strong>dans</strong> 1 coup<strong>le</strong> sur 3 (34%), tandis que <strong>le</strong> restedu temps c’est l’homme qui prend seul cette décision (66%). Aucune femme de notre échantillon ne sechargeait seu<strong>le</strong> de cette décision.• Toutefois, à Bruxel<strong>le</strong>s comme chez <strong>le</strong>s classes socia<strong>le</strong>s moyennes, <strong>le</strong>s coup<strong>le</strong>s sont plus nombreux às’accorder sur <strong>le</strong> choix de la marque (respectivement 64%; +30% et 48%; +14%). Au contraire, chez<strong>le</strong>s 40-49 ans et <strong>le</strong>s groupes sociaux modestes, la préséance de l’homme est encore plus importante que<strong>dans</strong> la moyenne (respectivement 80%; +14% et 85%; +19%).39


Habil<strong>le</strong>ment‣ Qui, <strong>dans</strong> <strong>le</strong> coup<strong>le</strong>, décide de l'achat desvêtements pour <strong>le</strong>s membres du ménage?Vêtements Enfant38%60%2%VêtementsHomme35%18%47%• <strong>Les</strong> conjoints s’accordent sur l’achat d’habits d’homme etd’enfant <strong>dans</strong> près de 4 cas sur 10 tandis que <strong>le</strong>s femmessollicitent moins la participation de <strong>le</strong>ur partenaire pour <strong>le</strong>choix de <strong>le</strong>urs vêtements puisque seu<strong>le</strong>ment 2 coup<strong>le</strong>s sur 10choisissent ensemb<strong>le</strong> des vêtements pour Madame.• Près de 8 femmes sur 10 décident de l’achat de <strong>le</strong>urs propresvêtements. Six sur 10 choisissent éga<strong>le</strong>ment ceux de <strong>le</strong>ursenfants tandis qu’el<strong>le</strong>s sont moins de 2 sur 10 à se chargerseu<strong>le</strong>s du shopping vestimentaire de <strong>le</strong>ur moitié.VêtementsFemme21%78%2%• Tandis qu’un sur 5 décide de l’achat d’habits féminins, raressont <strong>le</strong>s hommes qui s’occupent des vêtements d’enfants.Toutefois, quand il s’agit de <strong>le</strong>ur propre garde-robe, ils sontalors près d’un sur 2 à prendre <strong>le</strong>s choses en main.<strong>Les</strong> deux La femme L' hommeBase : Répondants40


Différences par profilVêtements enfant• Chez <strong>le</strong>s groupes sociaux é<strong>le</strong>vés et chez <strong>le</strong>s 40-49 ans, ce sont plus souvent <strong>le</strong>s femmes qui prennentseu<strong>le</strong>s <strong>le</strong>s décisions concernant l’achat de vêtements pour <strong>le</strong>ur(s) enfant(s) (respectivement 72%; +12%et 81%; +21%).• Parfois, <strong>le</strong> père participe plus aux décisions. C’est <strong>le</strong> cas chez <strong>le</strong>s 18-29 ans (62%; +24%) ou, <strong>dans</strong> unemoindre mesure, <strong>dans</strong> <strong>le</strong>s groupes sociaux moyens (46%; +8%).Vêtements homme• Plus de 6 hommes bruxellois sur 10 (64%; +17%) décident seuls de <strong>le</strong>urs achats vestimentaires. Dansune moindre mesure (57%; +10%), <strong>le</strong>s hommes des groupes sociaux supérieurs prennent aussi en mainl’achat des <strong>le</strong>urs habits.• Dans <strong>le</strong>s classes socia<strong>le</strong>s modestes, plus d’1 coup<strong>le</strong> sur 4 (27%; +9%) laisse aux femmes seu<strong>le</strong>s <strong>le</strong>choix d’acheter des vêtements pour <strong>le</strong>ur compagnon. Bien que ce pourcentage soit un peu plus é<strong>le</strong>vé chez<strong>le</strong>s 40-49 (30%; +12%), <strong>le</strong> comportement reste <strong>le</strong> même.• Chez <strong>le</strong>s 18-29 ans, <strong>dans</strong> plus de 6 cas sur 10 (61%; +26%), <strong>le</strong>s conjoints se chargent ensemb<strong>le</strong> derevêtir Monsieur.41


Différences par profilVêtements femme• Dans plusieurs catégories, <strong>le</strong>s femmes sont plus nombreuses que la moyenne à se charger seu<strong>le</strong>s deremplir <strong>le</strong>urs placards. Il s’agit des femmes bruxelloises (88%; +10%), de cel<strong>le</strong>s âgées de 30 à 39 ans(87%; +9%), de 40 à 49 ans (92%; +14%) ou entre 50 et 64 ans (85%; +7%). Nous y retrouvonsaussi <strong>le</strong>s femmes des groupes sociaux supérieurs (94%; +16%).• <strong>Les</strong> jeunes femmes entre 18 et 29 ans tiennent plus souvent compte de l’avis de <strong>le</strong>ur partenaire (53%;+32%).42


Habil<strong>le</strong>mentSous-vêtementsEnfantSous-vêtementsHommeSous-vêtementsFemme32%65% 3%26% 33% 41%27% 71% 3%<strong>Les</strong> deux La femme L' homme‣ Qui, <strong>dans</strong> <strong>le</strong> coup<strong>le</strong>, décide de l'achat des sousvêtementspour <strong>le</strong>s membres du ménage?• <strong>Les</strong> décisions d’achats qui concernent <strong>le</strong>s sous-vêtements desfemmes et des enfants se répartissent presque de la mêmemanière que <strong>le</strong>s décisions qui concernent <strong>le</strong>s vêtements: prèsd’un coup<strong>le</strong> sur 3 choisi ensemb<strong>le</strong> <strong>le</strong>s dessous des enfants etplus d’un sur 4 ceux de Madame. <strong>Les</strong> femmes prennent seu<strong>le</strong>s<strong>le</strong>s décisions <strong>dans</strong> près de 2 cas sur 3 pour <strong>le</strong>s sousvêtementsdes enfants et plus de 7 sur 10 quand il s’agit de<strong>le</strong>ur lingerie. <strong>Les</strong> hommes, par contre, prennent rarement partà ces décisions d’achat.• Lorsqu’il est question d’achat de sous-vêtements masculins,<strong>le</strong>s décisions des hommes, seuls ou avec <strong>le</strong>ur compagnes,sont moins fréquentes, tandis que <strong>le</strong>s femmes s’en chargentplus souvent.Base : Répondants43


Différences par profilSous-vêtements enfant• Dans <strong>le</strong>s classes moyennes, <strong>le</strong>s 2 partenaires décident de l’achat de sous-vêtements des enfants <strong>dans</strong> 4foyers sur 10 (40%; +8%). À Bruxel<strong>le</strong>s, ce pourcentage augmente (55%; +23%) et il augmente encoreauprès des 18-29 ans (62%; +30%).• <strong>Les</strong> coup<strong>le</strong>s entre 40 et 49 ans sont plus de 8 sur 10 (81%; +16%) à laisser aux femmes <strong>le</strong> soind’acheter <strong>le</strong>s dessous de <strong>le</strong>urs enfants tandis que chez <strong>le</strong>s 30-39 ans, ce sont <strong>le</strong>s hommes qui sont plusnombreux que la moyenne à s’occuper des décisions d’achat de sous-vêtements (9%; +6%).Sous-vêtements homme• À Bruxel<strong>le</strong>s, plus de 7 hommes sur 10 (72%; +31%) choisissent seuls <strong>le</strong>urs sous-vêtements et plus de 1sur 2 (56%; +15%) parmi <strong>le</strong>s classes socia<strong>le</strong>s supérieures.• Dans <strong>le</strong>s groupes sociaux modestes par contre, <strong>le</strong>s hommes associent <strong>le</strong>ur compagne à l’achat de <strong>le</strong>urssous-vêtements (36%;+10%). <strong>Les</strong> jeunes coup<strong>le</strong>s de 18-29 ans ont à ce sujet <strong>le</strong> même comportement(56%; +30%).• Dans des tranches d’âges supérieures, ce sont <strong>le</strong>s femmes qui prennent plus souvent soin d’acheter dessous-vêtements à <strong>le</strong>ur compagnon. C’est par exemp<strong>le</strong> <strong>le</strong> cas chez <strong>le</strong>s 40-49 ans et chez <strong>le</strong>s 50-64 ans (tous<strong>le</strong>s deux 49%; +16%).44


Différences par profilSous-vêtements femme• Pour <strong>le</strong>s décisions d’achat de lingerie féminine, <strong>le</strong>s mêmes catégories que pour <strong>le</strong>s sous-vêtements deshommes se distinguent. <strong>Les</strong> Bruxelloises sont plus de 8 sur 10 (84%; +13%) à s’occuper seu<strong>le</strong>s del’achat de <strong>le</strong>urs dessous tandis que <strong>le</strong>s femmes des groupes sociaux é<strong>le</strong>vés sont à peine plus (85%;+14%) et cel<strong>le</strong>s entre 40 et 64 ans à peine moins ( 81%; +10% pour <strong>le</strong>s femmes entre 40 et 49 ans et82%; +11% pour cel<strong>le</strong>s entre 50 et 64 ans).• Entre 18 et 29 ans, plus de la moitié des coup<strong>le</strong>s (53%; +26%) choisissent ensemb<strong>le</strong> <strong>le</strong>s sous-vêtementsféminins. La même tendance est perceptib<strong>le</strong> chez <strong>le</strong>s classes moyennes, même si de plus faib<strong>le</strong> amp<strong>le</strong>ur(34%; +7%).45


L'animal de compagnie‣ Qui, <strong>dans</strong> <strong>le</strong> coup<strong>le</strong>, décide de l'achat d'un animalde compagnie?Chien72%21%7%Chat70%23%7%• L’acquisition d’un animal de compagnie est la plupart dutemps <strong>le</strong> fruit d’une décision commune. En effet, <strong>dans</strong> 7coup<strong>le</strong>s sur 10, <strong>le</strong>s partenaires choisissent ensemb<strong>le</strong>d’adopter un chat ou un chien, tandis que <strong>dans</strong> plus d’1coup<strong>le</strong> sur 5, la femme prend cette décision seu<strong>le</strong>. <strong>Les</strong>hommes ne prennent, seuls, l’initiative d’accueillir un animalde compagnie <strong>dans</strong> moins d’un cas sur 10.Nourriture pet29%53%18%• L’achat de la nourriture est laissée à l’appréciation desfemmes <strong>dans</strong> plus d’1 coup<strong>le</strong> sur 2, tandis que Monsieur s’enoccupe <strong>dans</strong> moins de 2 coup<strong>le</strong>s sur 10. <strong>Les</strong> partenairesprennent ensemb<strong>le</strong> <strong>le</strong>s décisions qui concernent la nourriturede <strong>le</strong>ur compagnon à quatre pattes <strong>dans</strong> près de 3 cas sur 10.<strong>Les</strong> deux La femme L' hommeBase : Répondants46


Différences par profilChien• <strong>Les</strong> hommes de 30 à 39 ans sont près de 2 sur 10 (18%) à prendre seuls la décision d’adopter un chien.Chat• Près de 8 jeunes coup<strong>le</strong>s sur 10 (79%; +9%) décident ensemb<strong>le</strong> d’adopter un chat. Parmi <strong>le</strong>s 30-39 ans,ce sont <strong>le</strong>s hommes qui se distinguent de la moyenne: ils sont 16% (+9%) à prendre cette décision sansy associer <strong>le</strong>ur compagne.Nourriture pet• La répartition des décisions d’achat de nourriture pour l’animal de compagnie est différente d’une tranched’âge à l’autre. En effet, entre 18 et 29 ans, ces décisions se prennent ensemb<strong>le</strong> <strong>dans</strong> 6 coup<strong>le</strong>s sur 10(60%; +31%). Entre 30 et 39 ans, plus d’1 homme sur 4 (28%; +10%) s’occupe seul de la nourriturede l’animal de compagnie tandis qu’à la tranche d’âge suivante, c’est-à-dire entre 40 et 49 ans, ce sontprincipa<strong>le</strong>ment (78%; +25%) <strong>le</strong>s femmes qui s’en chargent. Enfin, entre 50 et 64 ans, près d’1 hommesur 3 (32%; +14%) décide lui-même d’acheter de la nourriture pour l’animal de compagnie.47


<strong>Les</strong> loisirsLieu des sorties culturel<strong>le</strong>s91%4% 5%‣ Qui, <strong>dans</strong> <strong>le</strong> coup<strong>le</strong>, prend <strong>le</strong>s décisions quiconcernent <strong>le</strong>s loisirs?SortiesType de sorties culturel<strong>le</strong>sCinéma87%85%85%5% 9%10% 5%9% 6%• La grande majorité des coup<strong>le</strong>s prennent ensemb<strong>le</strong> <strong>le</strong>sdécisions qui touchent aux loisirs. Cela s’expliqueprobab<strong>le</strong>ment par <strong>le</strong> fait que <strong>le</strong>s conjoints pratiquent cesactivités ensemb<strong>le</strong>.Lieu du restaurantType de restaurantProgramme de cinémaProgramme TV85%83%79%71%10% 5%10% 7%14% 7%14% 15%• Toutefois, <strong>dans</strong> certains coup<strong>le</strong>s, <strong>le</strong> choix est laissé à undes deux partenaires: l’homme ou la femme, selon <strong>le</strong>sactivités. En effet, l’homme prend plus souvent l’initiativede sortir, tandis que <strong>le</strong>s décisions concernant <strong>le</strong> type desorties culturel<strong>le</strong>s sont confiées aux dames: al<strong>le</strong>r aucinéma (ainsi que <strong>le</strong> programme du cinéma), al<strong>le</strong>r aurestaurant (que ce soit <strong>le</strong> lieu ou <strong>le</strong> type de restaurant)…<strong>Les</strong> deux La femme L'hommeBase : Répondants48


Différences par profilLieu des sorties culturel<strong>le</strong>s• Parmi <strong>le</strong>s 18-29 ans et <strong>le</strong>s 30-39 ans, la grande majorité des coup<strong>le</strong>s déterminent d’un commun accord <strong>le</strong>lieu de <strong>le</strong>urs sorties culturel<strong>le</strong>s (respectivement 98%; +7% et 95%; +4%).Sorties• Dans <strong>le</strong>s groupes sociaux modestes, plus d’1 homme sur 5 (22%; +13%) choisit seul de sortir, tandisque <strong>dans</strong> <strong>le</strong>s groupes moyens et aisés, <strong>le</strong>s femmes participent à part entière à cette décision(respectivement 93%; +6% et 92%; +5%).• À Bruxel<strong>le</strong>s éga<strong>le</strong>ment, près de la totalité des coup<strong>le</strong>s (96%; +9%) décident ensemb<strong>le</strong> de <strong>le</strong>urs sorties.En Wallonie pourtant, ce sont <strong>le</strong>s hommes qui se distinguent de la moyenne en décidant plus souvent(15%; +6%) seuls.• Parmi <strong>le</strong>s jeunes hommes de 18 à 29 ans, plus d’1 sur 5 (21%; +12%) prend la décision de sortir sansconsulter sa compagne. Entre 50 et 64 ans, l’inverse se produit: <strong>le</strong>s femmes sont plus nombreuses (11%;+6%) à avoir cette attitude. Alors qu’entre 40 et 49 ans, <strong>le</strong> comportement largement répandu (92%;+5%) est de prendre ensemb<strong>le</strong> la décision de sortir ou non.49


Différences par profilActivités culturel<strong>le</strong>s• Dans <strong>le</strong>s groupes sociaux supérieurs, 1 femme sur 5 (20%; +10%) choisit seu<strong>le</strong> <strong>le</strong> type d’activitéculturel<strong>le</strong> dont el<strong>le</strong> a envie. Dans <strong>le</strong>s groupes sociaux modestes l’habitude est tout à fait différence puisqueplus de 9 coup<strong>le</strong>s sur 10 (92%; +7%) décident ensemb<strong>le</strong> de <strong>le</strong>urs sorties culturel<strong>le</strong>s. On pourraitimaginer que l’investissement que représente une sortie culturel<strong>le</strong> <strong>dans</strong> <strong>le</strong> budget d’un ménage sansgrands moyens financiers implique que cel<strong>le</strong>-ci plaise obligatoirement aux 2 conjoints.• Une différence similaire est visib<strong>le</strong> entre <strong>le</strong>s 30-39 ans et <strong>le</strong>s 40-49 ans. Si <strong>le</strong>s premiers choisissent <strong>le</strong>urssorties culturel<strong>le</strong>s presque exclusivement en coup<strong>le</strong> (95%; +10%), <strong>le</strong>s seconds se distinguent de lamoyenne en accordant plus souvent (18%; +8%) à la femme <strong>le</strong> pouvoir de décision.Cinéma• <strong>Les</strong> francophones sont plus de 9 sur 10 (93%; +8%) à décider avec <strong>le</strong>ur partenaire d’al<strong>le</strong>r au cinéma.Parmi <strong>le</strong>s 18-29 ans et <strong>le</strong>s groupes sociaux é<strong>le</strong>vés, on note une légère prérogative féminine par rapport àla moyenne (respectivement 15%; +6% et 19%; +10%).50


Différences par profilLieu du restaurant• <strong>Les</strong> 18-29 ans décident à 2 du lieu du restaurant <strong>dans</strong> plus de 9 cas sur 10 (92%; +7%).• <strong>Les</strong> 50-64 ans et <strong>le</strong>s groupes sociaux modestes ont sur ce point une attitude différente en privilégiantl’avis de la femme <strong>dans</strong> près d’un coup<strong>le</strong> sur 5 (respectivement 19%; +9% et 20%; +10%).Type de restaurant• <strong>Les</strong> Bruxellois choisissent <strong>le</strong> type de restaurant avec <strong>le</strong>ur partenaire <strong>dans</strong> plus de 9 cas sur 10 (93%;+10%). <strong>Les</strong> 18-29 ans <strong>le</strong>s imitent (89%; +6%).• <strong>Les</strong> femmes de 50 à 64 ans sont près d’1 sur 5 (17%; +7%) à choisir seu<strong>le</strong>s <strong>le</strong> type de restaurant auque<strong>le</strong>l<strong>le</strong>s veu<strong>le</strong>nt manger.Programme de cinéma• Plus de 9 jeunes coup<strong>le</strong>s de 18-29 ans sur 10 (91%; +12%) sé<strong>le</strong>ctionnent <strong>le</strong> film d’un commun accord;de même, parmi <strong>le</strong>s groupes sociaux aisés, plus de 8 sur 10 (86%; +7%).• Chez <strong>le</strong>s 30-39 ans, plus d’1 femme sur 5 (22%; +8%) choisi seu<strong>le</strong> <strong>le</strong> film.Programme TV• Près de 9 jeunes de 18 à 29 ans sur 10 (87%; +16%) décident ensemb<strong>le</strong> du programme TV.51


<strong>Les</strong> loisirs‣ Qui, <strong>dans</strong> <strong>le</strong> coup<strong>le</strong>, décide du (des) sport(s)pratiqué(s) par <strong>le</strong>s membres du ménage?Sport Enfant81%14% 5%• Le choix des sports pratiqués par <strong>le</strong>s enfants est la plupart dutemps <strong>le</strong> fruit d’un accord entre <strong>le</strong>s 2 parents. Toutefois,certaines décisions ne sont prises que par un seul parent: <strong>le</strong>sfemmes ou, plus rarement, <strong>le</strong>s hommes.Sport Femme24%75%1%• Dans 3 ménages sur 4, <strong>le</strong>s femmes décident seu<strong>le</strong>s des sportsqu’el<strong>le</strong>s veu<strong>le</strong>nt pratiquer. Cette décision est parfois prise encommun avec <strong>le</strong> partenaire mais un homme qui choisi seul<strong>le</strong>(s) sport(s) que sa femme pratiquera fait figure d’exception.Sport Homme19%81%• Concernant <strong>le</strong>(s) sport(s) pratiqué(s) par <strong>le</strong>s hommes, ladécision <strong>le</strong>ur revient en majorité. Dans moins d’un coup<strong>le</strong> sur5, l’homme consulte éga<strong>le</strong>ment sa partenaire. Aucune femmede notre échantillon ne décidait seu<strong>le</strong> du (des) sport(s)pratiqué(s) par son compagnon.<strong>Les</strong> deux La femme L' hommeBase : Répondants52


Différences par profilSport enfant• Dans près de 3 coup<strong>le</strong>s sur 10 (28%; +14%) âgés de 18 à 29 ans, ce sont <strong>le</strong>s femmes qui décident seu<strong>le</strong>s des sportsque pratiqueront <strong>le</strong>urs enfants.Sport homme• Selon la classe socia<strong>le</strong> d’appartenance, la femme aura, ou non, son mot à dire <strong>dans</strong> <strong>le</strong>(s) sport(s) de soncompagnon. En effet, <strong>dans</strong> la classe moyenne, plus d’1 coup<strong>le</strong> sur 4 (27%; +8%) décident ensemb<strong>le</strong>,tandis que <strong>dans</strong> la classe supérieure, plus de 9 hommes sur 10 (92%; +11%) font <strong>le</strong>ur choix seuls.• L’âge est aussi un élément à prendre en compte: entre 30 et 49 ans, c’est <strong>le</strong> partenaire concerné quichoisit <strong>le</strong>(s) sport(s) qu’il/el<strong>le</strong> pratiquera. Ainsi, 88% des hommes de 30-39 ans (+7%) et 89% (+8%)des 40-49 ans choisissent eux-mêmes <strong>le</strong>urs préférences. Au contraire, entre 18 et 29 ans, <strong>le</strong>s coup<strong>le</strong>s sontplus nombreux que la moyenne à décider ensemb<strong>le</strong> (28%; +9%).• Enfin, certaines différences sont éga<strong>le</strong>ment visib<strong>le</strong> en fonction de la région. À Bruxel<strong>le</strong>s, près de la totalitédes hommes décident seuls (97%; +16%), tandis que cette proportion, même si el<strong>le</strong> reste importante,est un peu plus faib<strong>le</strong> en Wallonie (89%; +8%). En Flandre, <strong>le</strong>s partenaires privilégient un choix commun<strong>dans</strong> plus d’1 coup<strong>le</strong> sur 4 (26%; +7%).53


Différences par profilSport femme• Chez <strong>le</strong>s jeunes coup<strong>le</strong>s de 18-29 ans, l’homme a plus souvent son mot à dire sur <strong>le</strong>s sports que pratiqueraMadame (45%; +21%). Dans <strong>le</strong>s deux tranches d’âge supérieures, plus de 8 femmes sur 10 décidentseu<strong>le</strong>s de <strong>le</strong>ur(s) sport(s) (83%; +8% chez <strong>le</strong>s 30-39 ans et 89%; +14% chez <strong>le</strong>s 40-49 ans).• Dans <strong>le</strong>s classes socia<strong>le</strong>s aisées, <strong>le</strong>s femmes sont éga<strong>le</strong>ment plus nombreuses (89%; +14%) à choisir<strong>le</strong>ur(s) sport(s) sans demander l’avis de <strong>le</strong>ur compagnon.• La même attitude est perceptib<strong>le</strong> à Bruxel<strong>le</strong>s (88%; +13%), bien que <strong>le</strong>s hommes aient plusrégulièrement l’occasion de décider pour <strong>le</strong>ur compagne (9%; +8%).54


<strong>Les</strong> vacances‣ Qui, <strong>dans</strong> <strong>le</strong> coup<strong>le</strong>, prend <strong>le</strong>s décisions quiconcernent <strong>le</strong>s vacances?Date desvacances83%9% 8%• La plupart des coup<strong>le</strong>s prennent <strong>le</strong>s décisions quiconcernent <strong>le</strong>s vacances d’un commun accord.Lieu de vacances81%11% 8%• Plus rarement, l’un des conjoint choisit seul <strong>le</strong> lieuet <strong>le</strong>s dates de vacances. Cette manière de procédern’a toutefois lieu que <strong>dans</strong> moins de 2 coup<strong>le</strong>s sur10, et davantage pour <strong>le</strong> choix du lieu que desdates. En effet, pour <strong>le</strong>s conjoints qui travail<strong>le</strong>nt etqui désirent partir en vacances ensemb<strong>le</strong>, <strong>le</strong>s datesde congés doivent correspondre et une concertationest donc nécessaire.<strong>Les</strong> deux La femme L'hommeBase : Répondants55


Différences par profilDates des vacances• Près de la totalité (99%; +16%) des coup<strong>le</strong>s âgés entre 18 et 29 ans choisissent ensemb<strong>le</strong> des datesauxquel<strong>le</strong>s ils prendront <strong>le</strong>urs vacances. <strong>Les</strong> coup<strong>le</strong>s appartenant aux groupes sociaux supérieurs seconcertent éga<strong>le</strong>ment plus que la moyenne (90%; +7%)avant de déterminer <strong>le</strong>urs congés.• Au contraire, certaines catégories privilégient l’opinion de l’un ou l’autre conjoint. C’est <strong>le</strong> cas <strong>dans</strong> <strong>le</strong>sclasses inférieures, où près d’1 homme sur 5 (19%; +11%) choisit seul <strong>le</strong>s dates de vacances duménage. Chez <strong>le</strong>s coup<strong>le</strong>s de 50-64 ans néanmoins, c’est la femme qui a légèrement plus d’influence(15%; +6%) <strong>dans</strong> la prise de congés. Serait-ce parce que la femme, d’ordinaire plus jeune, travail<strong>le</strong>encore alors que son compagnon est déjà retraité ?Lieu des vacances• <strong>Les</strong> décisions concernant la destination de vacances font souvent l’objet d’un choix commun,particulièrement pour <strong>le</strong>s jeunes coup<strong>le</strong>s (95%; +14%), <strong>le</strong>s coup<strong>le</strong>s de 30-39 ans (87%; +6%) et <strong>le</strong>sgroupes sociaux supérieurs (90%; +9%).• Dans près d’1 coup<strong>le</strong> de 50-64 ans sur 5 (19%; +11%), l’homme est seul à décider du lieu de vacances,tandis qu’en Wallonie, moins d’1 femme sur 5 (17%; +6%) fait el<strong>le</strong>-même <strong>le</strong> choix de la destination.56


La maison91%3%6%‣ Qui, <strong>dans</strong> un coup<strong>le</strong>, décide de l'achat de lamaison?• Dans la grande majorité des coup<strong>le</strong>s, la décisiond’acheter un bien immobilier se fait à 2. cela estparticulièrement vrai chez <strong>le</strong>s jeunes coup<strong>le</strong>s (98%)et <strong>dans</strong> <strong>le</strong>s groupes sociaux moyens (96%).• Dans de rares cas pourtant, seul un des conjointsdécide de l’acquisition d’un bien immobilier, et lafemme 2 fois plus souvent que l’homme.• Dans <strong>le</strong>s groupes sociaux supérieurs par exemp<strong>le</strong>,<strong>le</strong>s femmes prennent l’achat de la maison en main<strong>dans</strong> plus d’1 coup<strong>le</strong> sur 10 (12%). Ce phénomèneest éga<strong>le</strong>ment visib<strong>le</strong> chez <strong>le</strong>s coup<strong>le</strong>s de 40-49 ans(12%).L'homme La femme <strong>Les</strong> deuxBase : Répondants57


<strong>Les</strong> assurancesIncendie81%2%17%‣ Qui, <strong>dans</strong> <strong>le</strong> coup<strong>le</strong>, décide de souscrire auxdifférentes assurances?ProtectionjuridiqueFunérail<strong>le</strong>s79%79%5% 16%7% 14%• Dans la majorité des coup<strong>le</strong>s, souscrire à une assuranceest une décision conjointe. La proportion dépend del’assurance dont il est question mais reste é<strong>le</strong>vée (entreplus de 7 coup<strong>le</strong>s sur 10 pour une assurance familia<strong>le</strong> etplus de 8 sur 10 pour une assurance incendie).Vie76%6%18%• Néanmoins, <strong>dans</strong> moins d’un coup<strong>le</strong> sur 5, <strong>le</strong>s hommespeuvent prendre cette décision seuls, tandis que <strong>le</strong>sfemmes sont moins nombreuses à souscrire à uneassurance sans avoir auparavant mêlé <strong>le</strong>ur conjoint à ladiscussion.Familia<strong>le</strong>72%10%18%<strong>Les</strong> deux La femme L' hommeBase : Répondants58


Différences par profilAssurance incendie• Dans <strong>le</strong>s groupes sociaux supérieurs, près de 9 coup<strong>le</strong>s sur 10 (89%; +8%) se concertent pour choisirune assurance incendie. Au contraire, <strong>dans</strong> <strong>le</strong>s groupes modestes, un seul des partenaires, en l’occurrencel’homme, prend seul la décision de souscrire à une assurance incendie <strong>dans</strong> près de 3 ménages sur 10(29%; +12%).• <strong>Les</strong> 18-29 ans ont <strong>le</strong> même comportement que <strong>le</strong>s groupes sociaux supérieurs (91%; +10%).Assurance protection juridique• À Bruxel<strong>le</strong>s, plus de 1 homme sur 3 (36%; +20%) décide seul de signer pour une assurance protectionjuridique. Dans <strong>le</strong>s groupes sociaux modestes, la tendance est la même mais de plus faib<strong>le</strong> amp<strong>le</strong>ur (26%;+10%).• Parmi <strong>le</strong>s jeunes de 18-29 ans, plus de 9 sur 10 (95%; +16%) prennent ensemb<strong>le</strong> cette décision, tandisque chez <strong>le</strong>s 30-39 ans, moins d’1 femme sur 5 (17%; +12%) choisit de souscrire à une assuranceprotection juridique sans se soucier de l’accord de son compagnon.59


Différences par profilAssurance funérail<strong>le</strong>s• Dans <strong>le</strong>s groupes sociaux modestes et à Bruxel<strong>le</strong>s, plus d’1 homme sur 4 (respectivement 26%; +12% et28%; +14%) décide seul de prendre une assurance funérail<strong>le</strong>s.• Entre 30 et 39 ans, un peu plus de femmes (15%; +8%) prennent cette décision sans tenir compte del’avis de <strong>le</strong>ur partenaire.• <strong>Les</strong> coup<strong>le</strong>s bruxellois sont plus de 9 sur 10 (95%; +16%) à décider d’un commun accord de prendreune assurance funérail<strong>le</strong>s.Assurance vie• Presque tous (95%; +19%) <strong>le</strong>s jeunes âgés de 18 à 29 ans qui souscrivent à une assurance vie l’ontdécidé en accord avec <strong>le</strong>ur partenaire. Chez <strong>le</strong>s 50-64 ans, <strong>le</strong>s femmes sont un peu plus nombreuses quela moyenne (13%; +7%) à prendre une assurance vie de <strong>le</strong>ur propre initiative, sans avoir l’accord de <strong>le</strong>urconjoint.• Dans <strong>le</strong>s groupes sociaux modestes, près de 3 hommes sur 10 (29%; +11%) prennent seuls la décisionde souscrire à une assurance vie.60


Différences par profilAssurance familia<strong>le</strong>• La souscription à une assurance familia<strong>le</strong> est l’œuvre des deux partenaires, ou l’un d’entre eux, selon <strong>le</strong>sclasses d’âge. Ainsi, si à 18-29 ans, <strong>le</strong>s coup<strong>le</strong>s prennent ensemb<strong>le</strong> cette décision <strong>dans</strong> plus de 9 cas sur10 (92%; +20%), <strong>dans</strong> la tranche d’âge 30-39 ans, <strong>le</strong>s hommes sont 3 sur 10 (30%; +12%) décidentseuls de souscrire à une assurance familia<strong>le</strong>. À 50-64 ans au contraire, ce sont <strong>le</strong>s femmes qui sont plusnombreuses que la moyenne (22%; +12%) à souscrire à une tel<strong>le</strong> assurance.• L’attitude est éga<strong>le</strong>ment différente selon <strong>le</strong>s classes socia<strong>le</strong>s. En effet, <strong>dans</strong> <strong>le</strong>s groupes modestes, prèsd’1homme sur 3 (32%; +14%) prend seul la décision de souscrire à une assurance familia<strong>le</strong>. Dans <strong>le</strong>sclasses moyennes ce sont <strong>le</strong>s femmes qui se distinguent de la moyenne: el<strong>le</strong>s sont 15% (+5%) à prendrecette décision sans y mê<strong>le</strong>r <strong>le</strong>ur conjoint. Dans <strong>le</strong>s groupes aisés, <strong>le</strong>s partenaires décident à 2 de souscrireà une assurance familia<strong>le</strong> <strong>dans</strong> plus de 8 ménages sur 10 (82%; +10%).• À Bruxel<strong>le</strong>s, la situation est similaire à cel<strong>le</strong> des 30-39 ans: 3 hommes sur 10 (31%; +13%) décident desouscrire à une assurance familia<strong>le</strong> sans l’avis de <strong>le</strong>ur compagne.61


<strong>Les</strong> assurancesCompagnied'assurance71%2%27%‣ Qui, <strong>dans</strong> <strong>le</strong> coup<strong>le</strong>, décide de souscrire auxdifférentes assurances?HospitalisationAutoMoto70%16% 14%67%2% 30%60% 3% 37%<strong>Les</strong> deux La femme L' homme• L’assurance hospitalisation est décidée en coup<strong>le</strong> <strong>dans</strong> 7 cas sur10. Dans <strong>le</strong>s autres ménages, un des partenaires prend seull’initiative de souscrire à une assurance hospitalisation: <strong>le</strong>sfemmes sont un peu plus nombreuses que <strong>le</strong>s hommes à avoircette attitude.• Pour <strong>le</strong>s assurances qui concernent <strong>le</strong>s autos et motos, il s’agitencore d’une décision commune pour plus de la moitié desménages interrogés. Toutefois, ce pourcentage est plus faib<strong>le</strong> quepour <strong>le</strong>s autres type d’assurances. L’homme prend, seul, l’initiative<strong>dans</strong> au moins 3 coup<strong>le</strong>s sur10 tandis que <strong>le</strong>s femmes sont aucontraire peu nombreuses à s’en occuper.• Quant au choix de la compagnie d’assurance, c’est <strong>le</strong> coup<strong>le</strong> quidécide <strong>dans</strong> plus de 7 cas sur10; Monsieur choisit seul <strong>dans</strong> plusd’1 coup<strong>le</strong> sur 4 tandis que Madame s’en soucie rarement seu<strong>le</strong>.Base : Répondants62


Différences par profilCompagnie d’assurance• <strong>Les</strong> hommes francophones sont plus de 3 sur 10 (35%; +8%) à choisir seuls <strong>le</strong>ur compagnied’assurance, tandis que chez <strong>le</strong>s néerlandophones, près de 8 coup<strong>le</strong>s sur 10 (77%; +6%) se concertentpour choisir la compagnie.• L’attitude des néerlandophones se retrouve chez <strong>le</strong>s 50-64 ans et chez <strong>le</strong>s groupes sociaux supérieurs (tous deux 84%; +13%)• Dans <strong>le</strong>s groupes sociaux modestes par contre, près de la moitié (49%; +22%) des hommes font <strong>le</strong>urchoix sans s’occuper de l’avis de <strong>le</strong>ur partenaire.Assurance hospitalisation• Parmi <strong>le</strong>s 18-29 ans, plus de 9 personnes sur 10 (92%; +22%) décident d’un commun accord avec <strong>le</strong>urconjoint de prendre une assurance hospitalisation. Alors que chez <strong>le</strong>s 50-64 ans, près d’1 femme sur 4(23%; +7%) prend cette décision sans y mê<strong>le</strong>r son compagnon.• La tendance des groupes sociaux supérieurs va <strong>dans</strong> <strong>le</strong> même sens que <strong>le</strong>s 18-29 ans: près de 8 coup<strong>le</strong>ssur 10 (78%; +8%) décident ensemb<strong>le</strong> de souscrire à une assurance hospitalisation. Parmi <strong>le</strong>s groupesmodestes, près de 3 hommes sur 10 (28%; +14%) prennent seuls cette décision.63


Différences par profilAssurance auto• Près de la moitié des hommes des groupes sociaux modestes et de ceux âgés entre 18 et 29 ans prennentla décision de souscrire à une assurance auto sans avis féminin (respectivement 48%; +18% et 46%;+16%).• Entre 50 et 64 ans pourtant, cette décision se fait en concertation avec l’autre conjoint <strong>dans</strong> près de 8ménages sur 10 (79%; +12%).Assurance moto• Ici encore, <strong>le</strong>s hommes issus de classes socia<strong>le</strong>s fragi<strong>le</strong>s et ceux de 18-29 ans sont plus nombreux que lamoyenne à prendre seuls la décision de souscrire à une assurance moto (respectivement 65%; +28% et53%; +16%).• Ce sont <strong>le</strong>s 30-39 ans qui sont <strong>le</strong>s plus enclins à prendre cette décision en coup<strong>le</strong> (78%; +18%).64


<strong>Les</strong> prestataires de servicesNotaire79%4% 17%‣ Qui, <strong>dans</strong> <strong>le</strong> coup<strong>le</strong>, choisit <strong>le</strong>s prestataires deservices?Médecin defamil<strong>le</strong>DentisteCoiffeur enfants73%68%51%15%21%44%12%11%5%• Le choix du notaire revient, <strong>dans</strong> près de 8 coup<strong>le</strong>s sur 10, aux 2partenaires. Quand ce n’est pas <strong>le</strong> cas, c’est plus souvent l’hommeque la femme qui prend la décision.• En ce qui concerne <strong>le</strong>s professionnels de la santé, si la décisionreste commune la plupart du temps, la femme choisit <strong>le</strong>spécialiste <strong>dans</strong> plus d’1 cas sur 10 lorsqu’il s’agit d’un médecin,et plus d’1 sur 5 pour un dentiste. <strong>Les</strong> hommes prennent font euxmêmesces choix <strong>dans</strong> à peine plus d’1 coup<strong>le</strong> sur 10.Coiffeur homme25%8%66%• La plupart du temps, chaque partenaire choisit son propre coiffeur.Le conjoint prend part à la décision <strong>dans</strong> plus d’1 coup<strong>le</strong> sur 5mais décide rarement seul pour sa moitié.Coiffeur femme23%73%3%• Le coiffeur des enfants est, <strong>dans</strong> plus de la moitié des ménages,un choix des 2 parents. Pourtant, ce choix est souvent <strong>le</strong> fruit d’unedécision maternel<strong>le</strong>; <strong>le</strong> père ne décidant qu’exceptionnel<strong>le</strong>ment.<strong>Les</strong> deux La femme L' hommeBase : Répondants65


Différences par profilNotaire• Chez <strong>le</strong>s 18-29 ans (93%; +14%) et <strong>le</strong>s coup<strong>le</strong>s francophones (85%; +6%), <strong>le</strong>s partenaires ont plustendance que la moyenne à choisir ensemb<strong>le</strong> <strong>le</strong>ur notaire.Médecin de famil<strong>le</strong>• Chez <strong>le</strong>s personnes issues de groupes sociaux inférieurs (36%; +23%) ainsi que chez <strong>le</strong>s 18-29 ans(20%; +8%), <strong>le</strong> choix du médecin de famil<strong>le</strong> revient plus souvent que la moyenne à l’homme. <strong>Les</strong> coup<strong>le</strong>sdes groupes sociaux supérieurs (87%; +14%) ainsi que ceux habitant à Bruxel<strong>le</strong>s (84%; +11%)réalisent plus souvent que <strong>le</strong> moyenne ce choix ensemb<strong>le</strong>.Dentiste• <strong>Les</strong> femmes de 18-29 ans (36%; +16%) et cel<strong>le</strong>s appartenant à des groupes sociaux plus modestes(31%; +10%) décident plus souvent que la moyenne, seu<strong>le</strong>s du dentiste qu’el<strong>le</strong>s consulteront. En ce quiconcerne <strong>le</strong>s hommes, ce sont ceux de 30 à 39 ans (20%; +8%) qui prennent plus souvent que lamoyenne eux-mêmes cette décision. A 50-64 ans, <strong>le</strong>s coup<strong>le</strong>s se consultent plus souvent que la moyennepour choisir ensemb<strong>le</strong> <strong>le</strong>ur dentiste.66


Différences par profilCoiffeur enfant• A Bruxel<strong>le</strong>s (61%; +16%), chez <strong>le</strong>s 30-39 ans (55%; +11%), <strong>le</strong>s 40-49 ans (56%; +12%), <strong>le</strong>sgroupes sociaux inférieurs (58%; +14%) et <strong>le</strong>s groupes sociaux supérieurs (60%; +16%), <strong>le</strong>s femmesont plus tendance que la moyenne à choisir seu<strong>le</strong>s <strong>le</strong> coiffeur de <strong>le</strong>ur enfant. <strong>Les</strong> 18-29 ans et <strong>le</strong>s groupessociaux moyens choisissent, quant à eux, plus souvent que la moyenne, ensemb<strong>le</strong>, ce coiffeur.Coiffeur homme• A Bruxel<strong>le</strong>s (85%; +18%) et en Wallonie (45%; +9%), <strong>le</strong>s hommes sont plus nombreux que la moyenneà décider, seuls, de <strong>le</strong>ur propre coiffeur. <strong>Les</strong> femmes de 40-49 ans (15%; +7%) et cel<strong>le</strong>s de groupessociaux plus modestes (15%; +7%) ont plus tendance que la moyenne à choisir el<strong>le</strong>s-mêmes <strong>le</strong> coiffeurde <strong>le</strong>ur compagnon. <strong>Les</strong> coup<strong>le</strong>s flamands (34%; +9%) et ceux de 18-29 ans (39%; +13%) seconsultent plus souvent que la moyenne afin de choisir <strong>le</strong> coiffeur de Monsieur.67


Différences par profilCoiffeur femme• <strong>Les</strong> femmes choisissent plus souvent que la moyenne <strong>le</strong>ur propre coiffeur lorsque cel<strong>le</strong>s-ci viennent deBruxel<strong>le</strong>s (95%; +21%) ou de Wallonie (87; +13%) et lorsqu’el<strong>le</strong>s ont entre 30 et 39 ans (83%;+10%) ou entre 40 et 49 ans (84%; +11%). <strong>Les</strong> hommes, quant à eux, ont plus souvent <strong>le</strong>ur mots àdire que la moyenne sur <strong>le</strong> coiffeur de <strong>le</strong>ur femme lorsque ceux-ci ont entre 50 et 64 ans (8%; +5%). <strong>Les</strong>femmes prennent plus souvent <strong>le</strong>ur décision en coup<strong>le</strong> lorsqu’el<strong>le</strong>s viennent de Flandre (32%; +9%) etlorsqu’el<strong>le</strong>s ont entre 18 et 29 ans (32%+9%).68


Fournisseurs et prestataires de servicesType dechauffage69%3%28%‣ Qui, <strong>dans</strong> <strong>le</strong> coup<strong>le</strong>, choisit <strong>le</strong>s fournisseurs etprestataires de service?Fournisseursd'é<strong>le</strong>ctricitéFournisseurs TVFournisseursInternetFournisseurs detéléphone69%56%56%55%5%13%13%13%26%31%31%31%• Près de 7 coup<strong>le</strong>s sur 10 choisissent ensemb<strong>le</strong> <strong>le</strong> type dechauffage et <strong>le</strong>ur fournisseur d’é<strong>le</strong>ctricité. Dans moins de 3ménages sur 10, ce sont <strong>le</strong>s hommes qui prennent cesdécisions, tandis que <strong>le</strong>s femmes ne s’en chargent seu<strong>le</strong>s querarement.• <strong>Les</strong> coup<strong>le</strong>s rencontrés se répartissent de la même manière<strong>le</strong>s décisions qui concernent <strong>le</strong>s fournisseurs, qu’il s’agisse deTV, d’internet ou de téléphonie.• Plus de la moitié des coup<strong>le</strong>s interrogés choisissent <strong>le</strong>ursfournisseurs d’un commun accord, que ce soit pour la TV,internet ou <strong>le</strong> téléphone. <strong>Les</strong> hommes s’en occupent seuls<strong>dans</strong> plus de 3 coup<strong>le</strong>s sur 10 alors que cette tâche estconfiée aux seu<strong>le</strong>s femmes <strong>dans</strong> plus d’1 ménage sur 10.<strong>Les</strong> deux La femme L' hommeBase : Répondants69


Différences par profil• Dans <strong>le</strong>s groupes sociaux modestes, près d’1 homme sur 2 (46%; +15%) choisit <strong>le</strong> fournisseur de TVsans s’occuper de l’avis de Madame.Type de chauffage• Parmi <strong>le</strong>s 30-39 ans, plus de 4 hommes sur 10 (44%; +16%) choisissent seul <strong>le</strong> type de chauffage pour<strong>le</strong>ur habitation, tandis que <strong>le</strong>s 18-29 ans associent <strong>le</strong>ur compagne à cette décision <strong>dans</strong> plus de 8 cas sur10 (86%; +17%).Fournisseur Internet• Près de 7 coup<strong>le</strong>s sur 10 (69%; +13%) de 18-29 ans décident ensemb<strong>le</strong> du fournisseur internet. <strong>Les</strong> 30-39 ont plus tendance que la moyenne à privilégier l’avis masculin (49%; +18%) et <strong>le</strong>s 50-64 ansfavorisent <strong>le</strong> choix féminin (24%, +11%).• Plus de 4 hommes sur 10 (44%; +13%) issus des classes socia<strong>le</strong>s modestes prennent cette décisionseuls. L’attitude sur ce point est la même en Wallonie (42%; +12%).71


Différences par profilFournisseur de téléphone• Certaines catégories, <strong>le</strong>s mêmes que pour internet et <strong>dans</strong> <strong>le</strong>s mêmes proportions, se distinguent de lamoyenne <strong>dans</strong> <strong>le</strong> partage des décisions qui concernent <strong>le</strong> fournisseur de téléphone.• En effet, la majorité des jeunes coup<strong>le</strong>s s’accordent sur <strong>le</strong> choix du fournisseur de téléphone (68%;+13%) alors que <strong>le</strong>s 30-39 ans sont 48% (+17%) à laisser à l’homme <strong>le</strong> soin de choisir <strong>le</strong>fournisseur de téléphone et que plus d’1 femme entre 50 et 64 ans sur 4 (27%; +14%) à <strong>le</strong>sé<strong>le</strong>ctionner seu<strong>le</strong>.• <strong>Les</strong> groupes sociaux modestes et <strong>le</strong>s Wallons partagent encore <strong>le</strong> même comportement: laisser plus de 4hommes sur 10 (respectivement 46%; +15% et 44%; +13%) choisir <strong>le</strong> fournisseur de téléphone duménage.72


La gestion bancaireBanque(emprunts)82%3% 16%‣ Qui, <strong>dans</strong> <strong>le</strong> coup<strong>le</strong>, prend en main la gestionbancaire du ménage?Montant desempruntsEpargne pension82%81%3% 15%2% 17%• La grande majorité des coup<strong>le</strong>s prennent ensemb<strong>le</strong><strong>le</strong>s décisions qui concernent la gestion bancaire de<strong>le</strong>ur ménage.Compted'épargneCompte enfantBanqueType de comptebancaire79%77%75%70%3% 17%10% 13%8% 17%11% 19%• Toutefois, <strong>le</strong>s hommes prennent, seuls, <strong>le</strong>sdécisions qui se rapportent au secteur bancaire<strong>dans</strong> près de 2 coup<strong>le</strong>s sur 10.• Peu de femmes s’impliquent <strong>dans</strong> la gestionbancaire du ménage sans être accompagnées de<strong>le</strong>ur conjoint.<strong>Les</strong> deux La femme L' hommeBase : Répondants73


Différences par profilBanque (emprunt)• Près de la totalité des jeunes de 18 à 29 ans (98%; +16%) décident à 2 de la banque où faire unemprunt, tandis que chez <strong>le</strong>s 30-39 ans, <strong>le</strong>s femmes s’accaparent cette décision <strong>dans</strong> plus d’1 ménage sur10 (11%; +8%).• Dans <strong>le</strong>s groupes sociaux modestes, 3 hommes sur 10 (30%; +14%) sont seuls à choisir la banque.Montant des emprunts• <strong>Les</strong> personnes qui décident du montant des emprunts varient d’une classe socia<strong>le</strong> à l’autre, maiséga<strong>le</strong>ment en fonction de l’âge des protagonistes.• Dans <strong>le</strong>s groupes sociaux é<strong>le</strong>vés, près de 9 coup<strong>le</strong>s sur 10 (89%; +7%) décident ensemb<strong>le</strong> du montantdes emprunts, tandis que <strong>dans</strong> <strong>le</strong>s groupes modestes, ce sont <strong>le</strong>s hommes qui sont plus nombreux que lamoyenne à choisir seuls (30%; +15%).• Chez <strong>le</strong>s jeunes entre 18 et 29 ans, 97% (+15%) se concertent avec <strong>le</strong>ur partenaire pour déterminer <strong>le</strong>montant des emprunts. Au contraire, chez <strong>le</strong>s 30-39 ans et <strong>le</strong>s 50-64 ans, un des partenaires a plustendance à décider seul que <strong>dans</strong> la moyenne: la femme chez <strong>le</strong>s premiers (10%; +7%) et l’homme chez<strong>le</strong>s seconds (23%; +8%).74


Différences par profilÉpargne pension• Près de 9 Wallons sur 10 (87%; +6%) choisissent en coup<strong>le</strong> de prendre une épargne pension. Cetteproportion est encore plus é<strong>le</strong>vée chez <strong>le</strong>s 18-29 ans (98%; +17%).• Dans <strong>le</strong>s classes socia<strong>le</strong>s modestes, près de 3 hommes sur 10 (27%; +10%) prennent seuls cettedécision.Compte d’épargne• Près de la totalité des jeunes coup<strong>le</strong>s de 18 à 29 ans (96%; +17%) choisissent ensemb<strong>le</strong> d’ouvrir uncompte épargne.• Dans <strong>le</strong>s classes socia<strong>le</strong>s fragi<strong>le</strong>s, cette décision revient uniquement à l’homme <strong>dans</strong> près de 3 foyerssur 10 (28%; +11%).Compte enfant• Un homme francophone sur 5 (20%; +7%) choisit seul d’ouvrir un compte pour ses enfants alors quequand <strong>le</strong>s parents ont entre 18 et 29 ans, cette décision se fait pratiquement toujours à 2 (96%;+19%).75


Différences par profilBanque• À Bruxel<strong>le</strong>s, plus d’1 homme sur 3 (31%; +14%) prend seul <strong>le</strong>s décisions qui concernent sa banque,alors qu’en Wallonie, ce sont <strong>le</strong>s femmes qui sont plus nombreuses (15%; +7%) que la moyenne àprendre seu<strong>le</strong>s ces décisions.• <strong>Les</strong> jeunes femmes de 18 à 29 ans imitent en ce point la tendance présente en Wallonie (15%; +7%).• Dans <strong>le</strong>s classes moyennes et aisées, <strong>le</strong>s partenaires prennent plus souvent à 2 des décisions quiconcernent la banque (respectivement 83%; +8% et 82%; +7%) tandis que <strong>dans</strong> <strong>le</strong>s classes socia<strong>le</strong>splus modestes, <strong>le</strong>s choix individuels sont renforcés: 19% (+11%) des femmes et 28% (+11%) deshommes ne consultent par <strong>le</strong>ur partenaire avant de prendre une décision qui touche à la banque.76


Différences par profilType de compte bancaire• Dans <strong>le</strong>s classes moyennes, 8 coup<strong>le</strong>s sur 10 (80%; +10%) se mettent d’accord sur <strong>le</strong> type de comptebancaire qu’ils souhaitent. Dans <strong>le</strong>s groupes sociaux modestes par contre, cette décision commune estremplacée par <strong>le</strong>s décisions individuel<strong>le</strong>s d’un des deux conjoints. En effet, 1 femme sur 5 (20%; +9%)est amenée à décider seu<strong>le</strong> tandis que <strong>le</strong>s hommes sont plus de 3 sur 10 (31%; +12%) à choisir seuls <strong>le</strong>type de compte bancaire.• Dans la tranche d’âge comprise entre 18 et 29 ans, près de 3 femmes sur 10 (29%; +18%) assurentel<strong>le</strong>s-mêmes ce choix.77


Domaines de spécialisation <strong>dans</strong> <strong>le</strong> coup<strong>le</strong>78


<strong>Les</strong> moins de 40 ans79


<strong>Les</strong> plus de 40 ans80


Domaines de spécialisation <strong>dans</strong> <strong>le</strong> coup<strong>le</strong>Moins de 40 ansLa femme joue un rô<strong>le</strong> de prescription• Important pour l’achat de fruits et légumes, de sespropres vêtements et sous-vêtements, ainsi que desvêtements des enfants, de son coiffeur, et de celuide ses enfants, de la literie, de la décorationintérieure et des arts de la tab<strong>le</strong>. El<strong>le</strong> décide ausside son sport.• Déterminant pour <strong>le</strong>s achats quotidiens du ménage(viande et charcuterie, boissons non alcoolisées,pâtisseries, nourriture pour animaux),l’é<strong>le</strong>ctroménager, <strong>le</strong> choix du dentiste.Plus de 40 ansLa femme joue un rô<strong>le</strong> de prescription• Important pour <strong>le</strong>s achats qui concernent sespropres vêtements, sous-vêtements ainsi que ceuxde ses enfants, son coiffeur, <strong>le</strong> sport qu’el<strong>le</strong>pratique, certains appareils é<strong>le</strong>ctroménagers(machine à laver, robot ménager, cafetière), lanourriture (pâtisseries, fruits et légumes, pain,charcuterie, nourriture pour chien), la décorationintérieure et <strong>le</strong>s arts de la tab<strong>le</strong>.• Déterminant pour <strong>le</strong>s cadeaux qu’offre <strong>le</strong> coup<strong>le</strong>, <strong>le</strong>sboissons non alcoolisées, la literie, d’autresappareils é<strong>le</strong>ctroménagers (micro ondes, sèchelinge, lave vaissel<strong>le</strong>, congélateur), la cuisine et laviande.


Domaines de spécialisation <strong>dans</strong> <strong>le</strong> coup<strong>le</strong>Moins de 40 ansL’homme joue un rô<strong>le</strong> de prescription• Important pour l’achat de ses vêtements et sousvêtements,de son coiffeur, de boissons alcoolisées(bières, vin, spiritueux), des moyens de locomotion(auto, moto, vélo), de l’ordinateur et du caméscope.• Déterminant pour <strong>le</strong>s assurances auto et moto, la TV,<strong>le</strong>s téléphone et GSM, internet, la chaîne Hifi, <strong>le</strong><strong>le</strong>cteur DVD.Plus de 40 ansL’homme joue un rô<strong>le</strong> de prescription• Important pour <strong>le</strong>s achats de boissons alcoolisées(bières, vin, spiritueux), d’une moto ou d’un vélo, devêtements masculins, de son coiffeur.• Déterminant pour <strong>le</strong> sport qu’il pratiquera, l’achatd’un ordinateur ou d’un <strong>le</strong>cteur DVD.


Domaines de spécialisation <strong>dans</strong> <strong>le</strong> coup<strong>le</strong>Moins de 40 ans<strong>Les</strong> conjoints jouent un rô<strong>le</strong> de prescription• Important pour <strong>le</strong>s achats qui concernent l’animal decompagnie, la gestion bancaire du ménage (banque,emprunt, compte épargne, épargne pension...),l’assurance vie, <strong>le</strong> notaire, <strong>le</strong> médecin de famil<strong>le</strong>, <strong>le</strong>ssorties des enfants (et <strong>le</strong>urs sports), <strong>le</strong>s sortiesculturel<strong>le</strong>s, la maison et <strong>le</strong>s meub<strong>le</strong>s, <strong>le</strong>s vacances,restaurant et <strong>le</strong> cinéma.• Déterminant pour <strong>le</strong>s cadeaux qu’offre <strong>le</strong> coup<strong>le</strong>, <strong>le</strong>scomptes bancaires des enfants et <strong>le</strong> type dechauffage.Plus de 40 ans<strong>Les</strong> conjoints jouent un rô<strong>le</strong> de prescription• Important pour <strong>le</strong>s sorties culturel<strong>le</strong>s, <strong>le</strong> cinéma, <strong>le</strong>ssports des enfants, <strong>le</strong> restaurant, <strong>le</strong>s vacances, lamaison, <strong>le</strong> salon, <strong>le</strong> dentiste, <strong>le</strong> médecin de famil<strong>le</strong>,<strong>le</strong> notaire, <strong>le</strong> fournisseur d’é<strong>le</strong>ctricité, <strong>le</strong> gsm, latélévision, <strong>le</strong> chien, <strong>le</strong>s comptes enfants et <strong>le</strong>semprunts.• Déterminant <strong>dans</strong> <strong>le</strong> choix des assurances(compagnie d’assurance, assurance voiture), du typede chauffage, du programme TV, d’internet, lagestion de l’épargne (épargne pension et compted’épargne), du coiffeur pour enfants, pour <strong>le</strong>s achatsdu ménage et d’un chat.


Domaines de spécialisation <strong>dans</strong> <strong>le</strong> coup<strong>le</strong>: francophones84


Domaines de spécialisation <strong>dans</strong> <strong>le</strong> coup<strong>le</strong>: néerlandophones85


Domaines de spécialisation <strong>dans</strong> <strong>le</strong> coup<strong>le</strong>FrancophonesLa femme joue un rô<strong>le</strong> de prescription• Important pour <strong>le</strong>s achats de vêtements et sousvêtementspour el<strong>le</strong> et ses enfants, son coiffeur etcelui de ses enfants, et pour <strong>le</strong> choix de son sport.Son rô<strong>le</strong> est éga<strong>le</strong>ment important <strong>dans</strong> l’achat dedécoration intérieure et des arts de la tab<strong>le</strong>, de fruitset légumes, de nourriture pour chien, de literie et decertains appareils é<strong>le</strong>ctroménagers (machine à laver,gril<strong>le</strong> pain, robot ménager).• Déterminant pour <strong>le</strong>s achats quotidiens du ménage(pain, pâtisseries, viande, charcuterie) et d’autresappareils é<strong>le</strong>ctroménagers (micro ondes, sèchelinge).NéerlandophonesLa femme joue un rô<strong>le</strong> de prescription• Important pour <strong>le</strong>s achats de ses propres vêtementset sous vêtements, ainsi que ceux de ses enfants, denourriture (fruits et légumes, pain), de la décorationet des arts de la tab<strong>le</strong>, de la literie, de certainsappareils é<strong>le</strong>ctroménagers (micro ondes, sèchelinge, cafetière, machine à laver). El<strong>le</strong> choisitéga<strong>le</strong>ment son sport.• Déterminant pour <strong>le</strong>s achats du ménage (nourriturepour chien, charcuterie, viande, pâtisseries,boissons non alcoolisées), <strong>le</strong>s cadeaux, <strong>le</strong> coiffeurpour enfants, <strong>le</strong> lave vaissel<strong>le</strong> et <strong>le</strong> congélateur.


Domaines de spécialisation <strong>dans</strong> <strong>le</strong> coup<strong>le</strong>FrancophonesL’homme joue un rô<strong>le</strong> de prescription• Important pour <strong>le</strong>s achats de ses propres vêtementset sous-vêtements, d’une moto, d’un coiffeur pourhommes et de boissons alcoolisées (bières, vin,spiritueux). Il choisit éga<strong>le</strong>ment <strong>le</strong>s sports qu’ilpratiquera.• Déterminant pour <strong>le</strong> choix de l’ordinateur, desfournisseurs (Internet, TV, téléphone), d’un vélo, d’uncaméscope ou encore d’un <strong>le</strong>cteur DVD.NéerlandophonesL’homme joue un rô<strong>le</strong> de prescription• Important pour <strong>le</strong>s achats d’alcool (bières, vin,spiritueux), de ses vêtements, d’une moto, de soncoiffeur et de son sport.• Déterminant pour ses sous-vêtements, l’automobi<strong>le</strong>,<strong>le</strong> caméscope, <strong>le</strong> vélo, la chaîne HIFI, <strong>le</strong> homecinéma, <strong>le</strong> <strong>le</strong>cteur DVD et l’assurance moto.


Domaines de spécialisation <strong>dans</strong> <strong>le</strong> coup<strong>le</strong>Francophones<strong>Les</strong> conjoints jouent un rô<strong>le</strong> de prescription• Important pour <strong>le</strong>s achats de qui concerne la maison(meub<strong>le</strong>s, salon), des sorties culturel<strong>le</strong>s (cinéma),des vacances, du restaurant, d’un animal decompagnie (chat ou chien), CD/mp3, home cinéma.Mais éga<strong>le</strong>ment <strong>dans</strong> <strong>le</strong> choix du notaire, du dentisteet du médecin, de la gestion bancaire (banque,épargne pension, compte d’épargne, emprunts,compte enfants) et d’une assurance vie.• Déterminant pour <strong>le</strong> choix sports pour <strong>le</strong>s enfants, lacuisine, <strong>le</strong> congélateur, <strong>le</strong> lave vaissel<strong>le</strong>, <strong>le</strong>s gsm,des DVD/bluray, une télévision; pour l’achatd’unevoiture (et de l’assurance), <strong>le</strong> choix de lacompagnie d’assurance et <strong>le</strong> type de chauffage.Néerlandophones<strong>Les</strong> conjoints jouent un rô<strong>le</strong> de prescription• Important pour <strong>le</strong>s achats de la maison, desmeub<strong>le</strong>s, des sorties culturel<strong>le</strong>s (dont <strong>le</strong> cinéma), durestaurant, des vacances, du programme TV, d’unchien, de la gestion bancaire du ménage (comptedes enfants, emprunts, épargne pension, compteépargne, banque), et <strong>dans</strong> <strong>le</strong> choix du notaire et dumédecin de famil<strong>le</strong>.• Déterminant pour <strong>le</strong> choix de la compagnied’assurance, du salon, du chat, du dentiste, desfournisseurs (é<strong>le</strong>ctricité, TV, internet, téléphone), duchoix du type de chauffage, de l’assurance auto etdes sports enfants.


<strong>Les</strong> groupes sociaux modestes89


<strong>Les</strong> groupes sociaux moyens90


<strong>Les</strong> groupes sociaux supérieurs91


Domaines de spécialisation <strong>dans</strong> <strong>le</strong> coup<strong>le</strong>GS ModestesLa femme joue un rô<strong>le</strong> de prescription• Important pour <strong>le</strong>s achats de ses propresvêtements et sous-vêtements et de ceuxde ses enfants, des achats du ménage(fruits, légumes, pain, pâtisseries), de ladécoration intérieure et des arts de latab<strong>le</strong>, de la literie, et de certainsappareils é<strong>le</strong>ctroménagers (machine àlaver, cafetière, robot ménager). El<strong>le</strong>choisit son coiffeur ainsi que celui deses enfants, et son sport.• Déterminant pour l’achat de sousvêtementshomme, de nourriture (pourchien, viande, charcuterie, boissons nonalcoolisées), de micro ondes, gril<strong>le</strong> pain,lave vaissel<strong>le</strong> et sèche linge.GS MoyensLa femme joue un rô<strong>le</strong> de prescription• Important pour <strong>le</strong>s achats de sesvêtements et sous-vêtement, et dessous-vêtement de ses enfants, de ladécoration et des arts de la tab<strong>le</strong>, de laliterie, de pain et des fruits & légumes,d’un gril<strong>le</strong> pain. El<strong>le</strong> choisit aussi sonsport et son coiffeur.• Déterminant pour <strong>le</strong>s achats du ménage(pour chien, viande, charcuterie,pâtisseries, boissons NA), de vêtementsd’enfants, d’é<strong>le</strong>ctroménager (sèchelinge, machine à laver, congélateur,robot ménager, micro ondes, cafetière),ainsi que des cadeaux.GS SupérieursLa femme joue un rô<strong>le</strong> de prescription• Important pour <strong>le</strong>s achats de (sous)vêtements féminins, et de sousvêtementsd’enfants, de nourriture(légumes, fruits, pain), de literie, dedécoration intérieure et d’arts de latab<strong>le</strong>, de robot ménager, de gril<strong>le</strong> painet de sèche linge. Son rô<strong>le</strong> estimportant éga<strong>le</strong>ment <strong>dans</strong> <strong>le</strong> choix deson coiffeur, de celui de ses enfants, etde son sport;• Déterminant pour l’achat de vêtementsenfants, de nourriture (pâtisseries,viande, charcuterie, boissons NA,nourriture pour chien) etd’é<strong>le</strong>ctroménager (micro ondes,machine à laver, cafetière).


Domaines de spécialisation <strong>dans</strong> <strong>le</strong> coup<strong>le</strong>GS ModestesL’homme joue un rô<strong>le</strong> de prescription• Important pour <strong>le</strong>s achats d’une motoou d’un vélo, d’un caméscope, de vinou de bière; pour <strong>le</strong> choix d’un coiffeurhomme ou d’un sport.• Déterminant pour l’achat despiritueux, de nouvel<strong>le</strong>s technologies(téléphone, gsm, ordinateur, <strong>le</strong>cteurDVD, Hifi, télévision), d’une auto, desassurances (auto et moto, ainsi que dela compagnie).GS MoyensL’homme joue un rô<strong>le</strong> de prescription• Important pour <strong>le</strong>s achats deboissons alcoolisées (bières, vin,spiritueux), de vêtements et sousvêtementsmasculins, d’une moto.Son rô<strong>le</strong> est aussi important <strong>dans</strong> lachoix d’un coiffeur pour hommes oupour <strong>le</strong>s sports qu’il pratiquera.• Déterminant pour l’achat d’un vélo oud’une auto, de nouvel<strong>le</strong>s technologies(DVD/bluray, caméscope, homecinéma, hifi, <strong>le</strong>cteur DVD, ordinateur).GS SupérieursL’homme joue un rô<strong>le</strong> de prescription• Important pour <strong>le</strong>s achats de sespropres vêtements et sousvêtements, d’alcool (bières, vin,spiritueux), d’une moto. Il choisitéga<strong>le</strong>ment son coiffeur et sessports.• Déterminant pour l’achat d’uncaméscope.


Domaines de spécialisation <strong>dans</strong> <strong>le</strong> coup<strong>le</strong>GS Modestes<strong>Les</strong> conjoints jouent un rô<strong>le</strong> de prescription• Important pour <strong>le</strong>s achats quiconcernent <strong>le</strong> restaurant, la cuisine,<strong>le</strong>s vacances, <strong>le</strong>s meub<strong>le</strong>s, <strong>le</strong> salon, lamaison, <strong>le</strong> cinéma, <strong>le</strong>s sortiesculturel<strong>le</strong>s, <strong>le</strong> notaire, <strong>le</strong>s compte desenfants, <strong>le</strong>s DVD, bluray, <strong>le</strong>s sportsdes enfants. Ils choissent éga<strong>le</strong>ment <strong>le</strong>programme télé.• Déterminant pour l’achat d’uncongélateur, d’un home cinéma, deCD, mp3, d’un animal de compagnie,du fournisseur d’é<strong>le</strong>ctricité et de lagestion bancaire ( compte épargne,épargne pension, emprunt).GS Moyens<strong>Les</strong> conjoints jouent un rô<strong>le</strong> de prescription• Important pour <strong>le</strong>s achats de la maison(meub<strong>le</strong>s, salon), d’un animal decompagnie, des vacances, des sorties(activités culturel<strong>le</strong>s, cinéma,restaurant), des sports des enfants, dela gestion bancaire (banque, compteépargne, épargne pension, compteenfant, emprunts), de la compagnied’assurance. Leur rô<strong>le</strong> est aussiimportant <strong>dans</strong> <strong>le</strong> choix du dentiste etdu notaire.• Déterminant pour <strong>le</strong> choix du médecinde famil<strong>le</strong>, du coiffeur enfant, de lacuisine, d’une assurance moto, duprogramme TV et de l’achat d’une TV.GS Supérieurs<strong>Les</strong> conjoints jouent un rô<strong>le</strong> deprescription• Important pour <strong>le</strong>s achats d’un animalde compagnie, des sorties (culturel<strong>le</strong>s,restaurant, cinéma), de la maison, ,des DVD/bluray, du fournisseurd’é<strong>le</strong>ctricité, de l’assurance auto, de lagestion bancaire du ménage (banque,emprunts, compte enfants, épargnepension, compte d’épargne) et du choixdu programme TV.• Déterminant pour <strong>le</strong> choix du médecin,du dentiste, du notaire, des sportsenfants, des meub<strong>le</strong>s, des technologies(home cinéma, hifi, <strong>le</strong>cteur DVD, TV),de l’assurance moto et desfournisseurs.


Conclusions• Le partage des décisions d’achat entre <strong>le</strong>s partenaires perpétue la division traditionnel<strong>le</strong> des tâches entre hommes etfemmes. Si un nombre non négligeab<strong>le</strong> de décisions sont prises en commun, el<strong>le</strong>s semb<strong>le</strong>nt davantage reposer sur descritères financiers. En effet, <strong>le</strong>s produits ou services qui font <strong>le</strong> plus l’objet d’un accord entre <strong>le</strong>s conjoints sont <strong>le</strong>s plusonéreux.• <strong>Les</strong> femmes sont de plus en plus présentes sur <strong>le</strong> marché de l’emploi et acquièrent un potentiel économique qu’el<strong>le</strong>sn’avaient pas avant. Leur contribution au budget du ménage <strong>le</strong>ur accorde donc un droit de regard et de décision sur lamanière dont cet argent est dépensé.• Même si une évolution globa<strong>le</strong> de société est en marche depuis plusieurs décennies, <strong>le</strong> poids des mœurs est tel que <strong>le</strong>seffets de cette évolution ne se font sentir que discrètement.• De fortes différences de comportement en matière de décisions d’achat sont visib<strong>le</strong>s selon <strong>le</strong>s âges. Si <strong>le</strong>s jeunescoup<strong>le</strong>s, entre 18 et 29 ans, prennent la plupart des décisions à 2 et que <strong>le</strong>s femmes entre 50 et 64 ans, fortes de <strong>le</strong>urpouvoir économique alors que <strong>le</strong>ur compagnon est déjà retraité, prennent plus de décisions d’achat seu<strong>le</strong>s, <strong>le</strong>s âgesintermédiaires prolongent la division sexuel<strong>le</strong> des tâches.• Toutefois, quel<strong>le</strong> que soit la proportion de décisions de coup<strong>le</strong>, <strong>le</strong> partenaire '‘stéréotypé'' reprend <strong>le</strong> flambeau pourremplir ses attributions traditionnel<strong>le</strong>s.• Il reste néanmoins à savoir si ce phénomène est dû à un manque d’intérêt d’un des conjoints qui ne cherche pas às’associer à la décision, à un manque de connaissances du sujet, ou si l’autre conjoint l’exclut de la décision.95


Auteur :Eve HansonÉditeur Responsab<strong>le</strong> :Marc VandercammenExtrait de l’étude disponib<strong>le</strong> sur www.crioc.beCRIOCFondation d’utilité publiqueNE 417541646Avenue Paepsem 20 - 1070 BRUXELLESTél. 02/547.06.11 - Fax. 02/547.06.01www.crioc.beÉdition 2011Réf. Catalogue – 020-11D 2011-2492-42©CRIOCPrix : 96 €Reproduction autorisée à des fins non commercia<strong>le</strong>s moyennant mention des sources96

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