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Le journal
de l’
iebc
Printemps 2016
Livres, films, DVD, BD ..... 2
Edito ............................................... 3
Question de choix ................ 4-5
Explication de texte ............6-7
Vécu ............................................... 8
Nouvelles de l’IEBC ..............9
La Bible chez nous ....... 10-11
À méditer ................................. 12
Que ta volonté
soit fête !

Livres, films, DVD, BD...
BIBLE SEGOND 21 ARCHÉOLOGIQUE COUV. RIGIDE - 2160 pages
Le baptême était-il pratiqué ailleurs que dans le christianisme ?
Que penser des similitudes entre la littérature antique (mythique notamment) et
la Bible ?
La croyance aux démons reflète-t-elle simplement le système de pensée antique ?
Que penser du suaire de Turin ?
Quand a eu lieu l’exode et quelles preuves en a-t-on ?
Que sait-on vraiment de l’emplacement du tombeau de Jésus ?
C’est à ces questions et à beaucoup d’autres que vous vous posez (ou pas...),
que "La Bible Segond 21 avec notes d’études archéologiques et historiques" cherche
à répondre. Elle nous aide à situer le texte dans son contexte (un passé qui souvent
nous échappe) pour le comprendre correctement.
2
Le Journal de l’IEBC
Édition francophone
Printemps 2016
IEBC
B.P. 100
F-77193 Dammarie-les-Lys
contact@iebc.org
Rue Victor Genot, 6
B–5001 Belgrade
19 Chemin des Pépinières
CH–1020 Renens
contact@iebc.ch
Directeur de publication
Karel Denteneer
Marie-José Pierre-Piquet : Belgique
Yolande Grezet : Suisse
Maquette et mise en page
Mélanie Padre
Imprimé en France
Maileva, filiale du groupe La Poste
Dépôt légal 1993, n°539
ISSN 0990-8188
Dépôt Bruxelles X
Prix du numéro : 1 Euro - 1.21 CHF
Tirage : 1700 exemplaires
Sur les pages du texte biblique :
* Introduction aux livres bibliques avec thèses sur la rédaction,
les destinataires et le contexte initiaux, repères chronologiques,
thèmes.
* Références parallèles en marge.
* 706 articles proposant : les renseignements disponibles grâce
à l’archéologie sur de nombreux sites, personnages et objets de
l’époque biblique, avec photos couleur ; les différentes thèses
relatives à l’époque et l’historicité des événements ainsi qu’à la
rédaction des livres, avec intérêt pour la question de la fiabilité
de la Bible ; des citations de textes anciens proches des textes
bibliques ; des informations sur les civilisations voisines d’Israël,
avec indication des différences et ressemblances.
* Env. 8000 commentaires proposant des informations historiques
et culturelles.
* Notes liées à la traduction Segond 21.
En annexe :
* Résumé de l’histoire de la région d’Israël.
* Dictionnaire.
* Index des articles.
* Concordance intégrant les renvois aux articles et commentaires
utiles.
* Cartes couleur avec index des toponymes.
Points forts :
* Idéale pour comprendre le texte dans son contexte initial, en
évitant les interprétations erronées dues à la distance
historique, et percevoir ce qui fait sa spécificité.
* Paroles de Jésus en rouge.
* Photos couleur qui aident à mieux se représenter les choses.
* Format compact : 16 x 24 cm.

Edito
Que Ta volonté soit fête…
Non, ce titre ne constitue pas un
exemple de "la nouvelle orthographe"…
mais il nous invite à une
réflexion : se pourrait-il que la
volonté de Dieu soit synonyme
de fête ? Se pourrait-il que Sa
volonté soit que nous vivions des
fêtes, sinon en fête ?
Les paraboles de Luc 15 nous invitent
à partager la joie des fêtes
de retrouvailles…
Le chapitre 23 du Lévitique nous
donne le calendrier des nombreuses
fêtes auxquelles le peuple juif
est appelé. Certaines ne durent
qu'un jour ou deux, d'autres toute
une semaine !
En voici un rappel très sommaire :
• La Pâque dure 7 jours et commémore
la sortie d'Égypte, la libération
de l'esclavage.
• La Pentecôte rappelle notamment
le don de "la loi" (= les enseignements)
de Dieu à Moïse.
• Le "nouvel an juif", Rosh hachana,
introduit une période pendant
laquelle chacun est invité à se
souvenir… pour demander pardon
aux autres… et découvrir la joie
de la réconciliation, la joie d'être
libéré du poids des rancunes et
des culpabilités !
• Le Yom Kippour est aussi appelé
"le jour" du grand pardon car il
marque le retour d'une vie que l'on
veut clean avec Dieu.
• On se dépêche ensuite de préparer
la fête suivante : la fête des tentes,
qui durera 7 jours et qui permet de
se souvenir des moments vécus dans
le désert. Temps d'épreuves certes,
mais aussi de dépouillement et
de présence visible de Dieu,
jour et nuit.
• Hanoukka, fête des lumières,
durera 8 jours, en souvenir de la
dédicace du temple en 164 avant
notre ère (1 Maccabées 4.41-59).
• La fête de Pourim clôture le cycle
dans la joie du salut providentiel du
temps d'Esther.
Alors que nos fêtes sont souvent des
occasions d'oublier le quotidien,
toutes ces fêtes trouvent leur sens
dans le souvenir : se souvenir des
cadeaux de Dieu et partager la joie
de ce souvenir. Quel programme !
Ce trop bref aperçu ne serait pas
complet s'il ne mentionnait pas une
fête qui occupe 52 jours de
l'année… et dont l'invitation
commence aussi par "souviens-toi"
(Exode 20.8). Cette fête célèbre un
Dieu créateur et donc notre existence
même, mais aussi la libération
de nos esclavages, notre salut en
Jésus-Christ (Deut.5.15).
Avons-nous le sens de la fête, le sens
de la reconnaissance ?
Cultivons-nous la joie de nous souvenir
de la présence de Dieu, en
famille et avec d'autres ?
En tous cas, je nous souhaite,
à toutes et tous, d'entendre un
jour ce "entre dans la joie de ton
maître" rapporté dans les Évangiles
(Mat. 25. 21, 23) et qui nous introduit
dans une fête grandiose, une
joie sans limites…
Marie-Jo Piquet
IEBC Belgique
3

Question de choix...
Le thème de la fête est omniprésent dans
la Bible, du début à la fin. D’une certaine
manière, la vie avec Dieu a vocation à être
festive et la récurrence de diverses fêtes
contribue à cette dynamique de célébration,
centrée sur la bienveillance de Dieu
et la délivrance qu’il apporte.
Dès la création, Dieu instaure un jour
festif, le sabbat, qui vient couronner la
semaine de la Création (Genèse 2.1-3).
Jour de célébration et de repos, chaque
septième jour, le samedi, est l’occasion
de se souvenir de l’acte créateur de Dieu.
L’observation de cette fête hebdomadaire
est un signe d’appartenance à Dieu
et censée être un jour de « délices » pour
« sanctifier Dieu et le glorifier ».
(Exode 20.8-11 ; Ezéchiel 20.20 ; Esaïe
58.13-14).
Viennent s’ajouter petit à petit, à cette
fête originelle, des fêtes annuelles liées
aux saisons de la nature ou à des événements
historiques.
Les trois plus importantes donnent lieu à
un pèlerinage à Jérusalem.
Il y a d’abord la Pâque (Pessah) pour commémorer
la délivrance de l’esclavage en
Egypte et le salut des premiers-nés
d’Israël. C’est une fête si essentielle
qu’elle devient le marqueur du début de
l’année liturgique juive (Exode 12.2-28 ;
Lévitique 23.4-8 ; Deutéronome 16.1-8 ;
Nombres 28.16-25).
On trouve ensuite la Pentecôte,
(Shavouoth, ou fête des semaines ou des
prémices de la moisson). Fêtée 50 jours
après la Pâque, d’où son nom grec, elle fut
4
d’abord une fête agricole pour se réjouir
des premières moissons, avant d’être aussi
associée au don de la loi par Dieu à Moïse
au sommet du Mont Sinaï (Lévitique
23.15-22 ; Deutéronome 16.9-12 ;
Nombres 28.26-31).
Enfin, la troisième occasion d’un pèlerinage
à Jérusalem est la fête des Cabanes
(Souccoth, ou fête des tabernacles ou des
récoltes). Pendant huit jours, les gens
habitaient dans des cabanes de branchages
pour commémorer la vie dans le
désert pendant l’exode. Célébrée à
l’automne, elle est aussi une fête en lien
avec la moisson et les récoltes, en particulier
de nombreux arbres fruitiers et de
la vigne (Lévitique 23.33-44 ; Nombres
29.12-39 ; Deutéronome 16.13-17 ; Néhémie
8.14-18). Cette fête est plus ou moins
associée à deux fêtes qui la précèdent de
peu : la fête des Trompettes (Roch-
Hachana) qui marque le début de l’année
civile du calendrier juif et qui commémore
la création du monde par Dieu, en particulier
par la sonnerie du choffar (Lévitique
23.23-25 ; Nombres 29.1-6 ; Néhémie 8.1-
12) ; et le jour du Grand Pardon (Yom
Kippour ou jour des expiations) qui invite
au repentir du peuple et qui célèbre le
pardon de Dieu. C’est le seul jour de l’année
où le souverain sacrificateur entre
dans le lieu très-saint du temple (Lévitique
16 ; 23.26-32 ; Nombre 29.7-11).
A ces fêtes principales mentionnées dans
l’Ancien Testament, les juifs ont ajouté
deux autres fêtes importantes qui sont
en lien avec des événements relatés
dans la Bible ou mentionnés dans le
Nouveau Testament. Il s’agit de la fête de

Que ta volonté soit « fête » !
la Dédicace (Hanouccah, ou fête des
lumières) pour commémorer la reconsécration
du temple après sa profanation
par les Syriens (Jean 10.22) ; et de
la fête des Pourim pour commémorer
la libération des juifs des mains
d’Haman, épisode raconté dans le livre
biblique d’Esther.
Il apparaît donc clairement que ces fêtes
juives, variées et riches en émotions,
sont l’occasion pour chaque croyant de
s’interroger de manière régulière sur sa
destinée, son salut et son rapport à Dieu
puisque ces fêtes célèbrent surtout
l’indéniable présence divine dans
l’histoire des humains.
Par la suite, le ministère de Jésus-Christ
puis les débuts de l’Eglise chrétienne ont
été marqués par des événements qui ont
occasionné à leur tour des fêtes chrétiennes,
même si la ritualité n’y avait pas
la même dynamique que dans les fêtes
juives. Avec le temps sont apparues
diverses fêtes basées sur des événements
bibliques évoqués dans le Nouveau Testament
(Noël, Epiphanie, Ascension…), mais
aussi sur des épisodes apocryphes
(Assomption…) ou même en lien avec
le vécu de certains chrétiens plus ou
moins célèbres.
C’est pourquoi le calendrier chrétien est
encore aujourd’hui rempli d’innombrables
fêtes mais dont pour beaucoup les fondements
paraissent discutables.
Par contre, il est intéressant de considérer
le parallèle que l’on peut faire entre
les grandes fêtes de pèlerinage de
l’Ancien Testament avec les moments
importants qui fondent la foi chrétienne.
Ainsi, c’est lors de la fête juive de la
Pâque que Jésus est mort et ressuscité.
La Pâques chrétienne est devenue le symbole
du salut offert par grâce en Jésus-
Christ (1 Corinthiens 5.7-8). C’est à la
Pentecôte que le Saint-Esprit a été
envoyé aux chrétiens afin qu’ils goûtent
la présence divine et assument leur
rôle de témoins. La Pentecôte chrétienne
célèbre cet acte fondateur de l’Eglise
(Actes 2). La dernière fête juive de pèlerinage,
celle des cabanes, attend sa
réalisation chrétienne dans l’espérance
du retour en gloire de Jésus. Or justement,
au-delà des possibles correspondances
entre les fêtes juives et leurs
parallèles chrétiens, le Nouveau
Testament évoque lui-même la vie
éternelle comme une fête, comme un
repas des noces de l’Agneau, comme
un festin (Matthieu 22.1-14 ; Apocalypse
19-22).
Au final, d’après la Bible, la vie du croyant
est appelée à être festive. Même si la vie
n’est pas facile, la foi contribue à la joie.
C’est le sens des béatitudes où Jésus
appelle « heureux » tous ceux qui font
confiance à Dieu, quelles que soient les
circonstances.
Le désir de Dieu, qui peut devenir nôtre,
est non seulement que sa volonté se
réalise, mais aussi qu’elle soit « fête ».
Gabriel Monet
5

Explication de texte
6
La
première parabole parle de 100
brebis et d’un berger, qui lors du comptage,
se rend compte qu’il lui manque une brebis. Le
berger laisse alors les 99 autres pour aller chercher
sa brebis perdue. Et quand il la trouve, il fait
LA FETE avec ses amis et voisins.
La
deuxième parabole concerne 10
pièces d’argent et une femme. Un jour, elle découvre
qu’il lui manque une pièce. Et quand elle la trouve, elle
appelle ses amies et ses voisines pour faire LA FETE. Ici, la
leçon est plus subtile, car cette pièce n’avait pas quitté la
maison. Elle se trouvait tout près des autres 9 pièces.
Et pourtant, elle était perdue.
La troisième parabole
est encore plus riche. Elle ne parle
pas de 100 ou de 10 mais simplement
de 2 : il y a 2 fils et un père. On parle souvent
du plus jeune qui est appelé « le fils perdu », mais
nous pouvons nous poser la question, qui est le véritable
fils perdu dans cette histoire. Comme dans les deux
autres paraboles, ici aussi, les mots clés sont joie et
FETE quand celui qui est perdu est retrouvé.
Pour une raison ou pour une autre, le plus jeune fils en a assez
de vivre chez ses parents. Il veut partir et être indépendant. Il
veut la liberté ! Reclamer l’héritage avant même le décès du
parent revient à lui dire :
« Père, pour moi, tu n’existes plus. Tu es mort !
J’ai droit à ton héritage ! »
Après un temps et à cause d’une famine, il se trouve
dans le besoin. Il devient gardien de porcs et pour
un juif, c’est la profession la plus
dégradante. Elle est impure.
Luc
1 Tous les collecteurs d’impôts et le
pour l'écouter. 2 Mais les pharisi
murmuraient, disant: « Cet hom
mange avec eux. »
6b Réjouissez-vous avec moi, car
perdue. 7 De même, je vous le dis,
pour un seul pécheur qui se repent
besoin de changer d’attitude...
Réjouissez-vous avec moi, car j’ai re
10 De même, je vous le dis, il y a d
pour un seul pécheur qui se repen
11 Il dit encore: « Un homme avait
23b Mangeons et réjouissons-nous, 2
et il est revenu à la vie, il était pe
mencèrent à faire la fête...
28 Le fils aîné se mit en colère et
sortit le supplier d'entrer...
Les 3 paraboles font
mots clés dans chacune de
cherché, trouvé, et joie ». Les deu
nous révèle la raison pour laquelle Jé
accueille des pécheurs et mange avec
c’était une épine dans le pied. Jésus
pharisiens et ces spécialistes de la loi
retrouvons ces deux catégories dan
symbole des pêcheurs et des c
aîné est le symbole des ph
de la

Luc 15. 1-32
15. 1-32
Au verset 16, nous trouvons l’axe
central de cette parabole. « Il se mit à
réfléchir ». (en grec, nous lisons « étant venu vers luimême
»). Avant que Dieu puisse nous aider, nous devons nous
rencontrer nous-mêmes.
L’exigent « donne-moi » du verset 12 est changé en un humble
« traite-moi » du verset 19.
s pécheurs s'approchaient de Jésus
ens et les spécialistes de la loi
me accueille des pécheurs et
j'ai retrouvé ma brebis qui était
il y aura plus de joie dans le ciel
que pour 99 justes qui n'ont pas
trouvé la pièce que j’avais perdue.
e la joie parmis les anges de dieu
t»
deux fils. » ...
4 car mon fils que voici était mort
rdu et il est retrouvé. Et ils comil
ne voulait pas entrer. Son père
une unité et les 4
s histoires sont « perdu,
x premiers versets de ce chapitre
sus a raconté ces paraboles : Jésus
eux ! Pour ces docteurs en théologie,
s’adresse donc en premier lieu à ces
, et dans la troisième parabole, nous
s les deux fils. Le plus jeune est le
ollecteurs d’impôts, et le fils
arisiens et des docteurs
loi.
« Alors qu’il était encore loin, son père le vit et fut rempli
de compassion, il courut se jeter à son cou et l’embrassa ».
C’est bien le monde à l’envers ! Compassion : c’est une expression que
les évangélistes utilisent aussi pour le Seigneur Jésus.
(litt. « avoir les entrailles remuées » )
Le fils recoit un accueil royal : trois symboles
et UNE FETE pour souligner l’accueil,
l’acceptation et le pardon.
Le fils ainé est un fils travailleur
! Il a toujours obéi à son père !
Il ne comprend pas que son frère reçoive tous
ces égards. Comme dans le cas du premier fils, le père
sort et supplie son fils aîné d’entrer afin de participer
à la fête. Mais celui-ci refuse.
Comme c’est difficile pour lui d’accepter à nouveau son frère
comme son frère ! La seule chose qu’il puisse dire c’est
« Ton fils » (litt. « ce fils de toi », une expression chargée
de mépris !) Quel grand contraste avec la réponse de son père qui dit :
vs 31 « Mon enfant (gr. teknon, mon garçon bien aimé » )
Dans le fond, ce fils aîné a raison ! Son frère ne méritait pas ce taitement
« VIP ». Il ne méritait pas cette fête ! Mais c’est justement là
le paradoxe dans cette parabole. Ce fils perdu, celui qui a quitté la
maison du Père et qui revient ne mérite pas la fête.
Et pourtant, on fait la fête !
Quelle magnifique illustration de l’amour et de la grâce infinie
que Jésus nous offre, non parce que nous avons travaillé toute
notre vie pour lui ou son église, mais seulement parce que
nous avons agi par la foi et la grâce. Et n’oubions pas :
il y a, pour les 2 fils, une place dans la salle des
fêtes. Le père nous dit « Bienvenue dans ma
maison. Tu es mon enfant !
Faisons la fête ! »
7

Vécu : Julien, consultant qualité, sécurité, environnement
Bonjour Julien,
Quel est ton métier ?
J’exerce le métier de consultant en qualité, sécurité et environnement.
Cela consiste à conseiller/accompagner les entreprises dans la mise en place de démarches en
qualité (amélioration des performances de l'entreprise, optimisation de son organisation, avec
comme finalité la satisfaction client), en sécurité (santé et sécurité dans le travail) et
en environnement.
Le plus souvent cela se traduit par la mise en place de normes ou labels (ISO 9001, ISO 14001,
OHSAS 18001, Ecolabel Européen,...).
De quelle manière ta foi t'a-t’elle orienté dans ce choix ?
Comme beaucoup de personnes, je n'ai pas réellement choisi mon métier. Pour ma part, c'est
mon choix de respecter le Sabbat, jour de repos et de fête, que Dieu a mis à part depuis la création
du monde, qui m'a mené vers cette profession. Comme il est demandé dans les dix
commandements, je ne souhaitais pas travailler ce jour-là mais me consacrer totalement à Dieu.
Ainsi, lors de mes études, n’ayant pas réellement un métier en tête, je me suis orienté vers une
préparation à un Brevet de Technicien Supérieur (BTS) qui sollicite deux années, afin de sortir
le plus rapidement possible du circuit scolaire.
C’est à ce moment là que j’ai commencé à avoir des difficultés à concilier mes études et ma foi.
Le chef d’établissement m'a posé l’ultimatum suivant dès la 2ème semaine de cours : je devais
suivre obligatoirement les cours proposés le jour du Sabbat, sinon, je serais exclu de ma
formation. J'ai donc pris la décision de m'en aller de mon propre chef.
J'ai demandé à Dieu de m'aider et tout en restant dans mon objectif premier, à savoir celui de
faire des études courtes, je me suis démené pour intégrer une formation similaire.
Après une semaine de recherche, je pouvais enfin préparer un nouveau BTS !
Malheureusement, là encore, j’ai eu des difficultés pour obtenir mon Sabbat. J'ai dû, une fois
de plus, demander ma radiation.
Je me suis adressé à Dieu pour lui demander son aide et, finalement, j’ai consenti à m’inscrire
dans une faculté. J’ai d’abord obtenu une Licence, puis un Master que j’ai complété avec
2 années de formation supplémentaires. J’ai donc fait au total 7 ans d’études supérieures.
Il m’aura fallu beaucoup de patience avant de pouvoir exercer ce métier qui me plait beaucoup.
Je suis reconnaissant envers Dieu de ce qu'il a fait pour moi.
Propos reccueillis par Mélanie PADRE - IEBC France
8

@
1
.
Nouvelles de l’IEBC
Mes remarques et mes questions :
UN LIVRE POUR AUJOURD’HUI
Trop di ficile à lire pour certains,
démodé pour d’autres.
Pourtant, la Bible balaie ces préjugés.
Merci de nous retourner ce récapitulatif après l’avoir complété. N’hésitez pas à
nous poser vos questions.
Numéro d’inscription :
M. Mme M le
Nom : .
0 0 0
Prénom : .
Adre se : (indispensable SI changement) .
Code postal : . Vi le : .
Pays : . : .
: .
www.iebc.org et www.iebc.ch
IEBC – BELGIQUE : A lée des Courtere les 3, 14 0 Nive les
IEBC – FRANCE : B.P. 1 0, 7193 Dammarie-lès-Lys Cedex
IEBC – SUI SE : 19 Chemin des Pépinières, CH–1020 Renens
IEBC – GUADELOUPE : La Voix de l’Espérance, B.P. 19, 97151 Pointe à Pitre Cedex
CROIRE,
C’EST LA VIE
IEBC – MARTINIQUE : La Voix de l’Espérance, B.P. 580, 97207 Fort de France Cedex
IEBC – RÉUNION : B.P. 27, 97465 Saint-Denis Cedex
1.
INTRODUCTION
Qui dit-on que je suis ?
Les responsables de l'IEBC de France, de Belgique, du
Luxembourg, des Pays-Bas et de Suisse se sont rencontrés le 10
mars dernier, à quelques kilomètres de Utrecht en Hollande, pour
faire le bilan de l’année 2015 et discuter de différents projets
(nouveaux cours notamment) pour les prochaines années.
Nous remercions Dieu pour ce moment enrichissant et motivant.
Pour que vive l’amour
Enfin disponible !
Nous vous annoncions depuis l’automne
dernier un nouveau cours qui ferait suite à
celui qui a pour titre « Au nom de l’Amour »...
Plus que quelques jours avant qu’il ne soit
disponible.
INTRODUCTION
Nous vous souhaitons par avance une
bonne étude !
9

La Bible chez nous ...
Une affiche de l'Armée du Salut « primée »
Chaque mois, la Société Générale d'Affichage (SGA) en Suisse nomine l'affiche
du mois parmi les annonces de ses clients qu'elle placarde dans les rues. C'est
la campagne de récolte de fonds de l'œuvre sociale de l'Armée du Salut qui a obtenu
les faveurs de la SGA parmi les affiches présentes dans les rues de Suisse
au mois de janvier.
Source : Evangelique.info
La Bible gravée « éternellement » sur
un disque de quartz
Des scientifiques de l'université de
Southampton (Angleterre) ont élaboré
une technologie permettant de stocker
des données presque éternellement
dans un tout petit disque de quartz, de
la taille d'un bouton de chemise. La
Bible fait partie des premiers documents
stockés sur cette nouvelle
technologie, au côté de la Magna Carta,
d'un ouvrage d'Isaac Newton et de la
Déclaration universelle des Droits de
l'homme.
La durée de vie des données est potentiellement
infinie à température ambiante.
A 190 degrés, le disque à quartz
survivrait par contre « seulement »
13,8 milliards d'années.
Source : Evangelique.info
Bible : Les utilisateurs de YouVersion
ont leurs versets préférés
« Ne vous inquiétez de rien, mais
en toutes choses faites connaître
vos besoins à Dieu par des prières et des
supplications, avec des actions de grâces »
(Ph. 4,6) : c'est l'un des versets bibliques
préférés des utilisateurs de l'application
YouVersion.
Les 200 millions d'adeptes de cette application
ont en effet la possibilité de
marquer leurs versets favoris. Ce
passage des Philippiens apparaît comme
très appréciés dans les onze pays qui
utilisent le plus YouVersion.
D'autres versets encourageants (notamment
Proverbes 3,5-6 et Josué 1,9) ont
aussi bien la cote, ainsi que cet appel de
Paul : « Ne vous conformez pas au siècle
10

... Et ailleurs
présent, mais soyez transformés par le
renouvellement de l'intelligence, afin
que vous discerniez quelle est la
volonté, de Dieu, ce qui est bon, agréable
et parfait » (Rom. 12,2).
L'application YouVersion met à disposition
des plans de lecture de la Bible
pour la lire en entier. En 2015, vingt
millions d'utilisateurs sont parvenus à
lire la Bible dans son intégralité.
Source : Evangelique.info
Le site du baptême de Jésus désormais
classé patrimoine de l’humanité
par l’UNESCO
Rive Est jordanienne ou rive Ouest
Israélienne : polémique
Cela peut sembler un détail, mais pour
ces deux pays c’est une question à
forte teneur touristique et donc économique,
car des visiteurs, pèlerins du
monde entier, viennent découvrir les
lieux. Jusqu’à présent la rive israélienne
était trois fois plus fréquentée,
mais ce classement de l’UNESCO
pourrait bien modifier la donne.
Côté archéologique ?
Les fouilles entreprises en Jordanie ont
révélé les ruines de nombreuses chapelles,
dont plusieurs datées des tous
débuts du christianisme. Les archéologues
ont aussi mis à jour de nombreux
bassins qui servaient aux
baptêmes chrétiens.
Des documents historiques ?
De nombreux récits attestent de pèlerinages
sur la rive Est dès les premiers siècles
de la chrétienté.
Qu’en disent les évangiles ?
Les textes du baptême de Jésus nous
apprennent sans l’ombre d’un doute qu’il
a été baptisé par son cousin Jean dans
le Jourdain. Le lieu exact serait Béthanie
(localité différente de celle de Marthe et
Marie) ou selon certains manuscrits,
Betharaba. L’évangile de Jean nous précise
que Jean baptisait au-delà du Jourdain,
donc sur la rive est. (Jean 1,28)
Ces trois éléments, archéologique, historique
et biblique, appuient clairement la
thèse de la rive jordanienne.
Quel impact pour notre foi ?
Cette nouvelle de la reconnaissance du
lieu historique du baptême de Jésus ne
peut que réjouir et encourager les chrétiens
partout dans le monde, aussi bien
ceux qui sont persécutés pour leur foi que
les chrétiens occidentaux qui assistent
avec tristesse et colère au gommage systématique
des références chrétiennes
dans leur société.
Selon Mgr Lahham, évêque jordanien, en
ce « lieu résonne encore la voix du Christ
dans un pays, la Jordanie, tranquille et
sûr, au milieu d’un Proche-Orient
en flammes ».
– Elisabeth Dugas –
Source : 8 février 2016 Actus
11

À méditer...
Petit résumé de fêtes juives
F A I T E S U N D O N !
Les cours de la Bible sont gratuits mais vous pouvez nous aider en participant
aux frais postaux ou grâce à vos dons.
Certains d’entre vous nous soutiennent déjà et nous vous remercions !
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