OBSERVATOIRE DU DD EN SANTE

OBSERVATOIRE DU DD EN SANTE 

RÉFÉRENTIEL DES INDICATEURS 

Auteur : ANAP – 04/01/2017 

Contexte 

Dans le cadre de la convention relative au développement durable signée par l’État et les fédérations du secteur sanitaire, 

social et médico-social, l’ANAP est missionnée pour mettre en œuvre un observatoire du Développement Durable en santé 

dont l’objectif est d’évaluer la maturité des démarches DD dans les établissements et services. Cet observatoire est 

composé d’un référentiel unique d’indicateurs pour tous les établissements et services adhérents aux fédérations 

signataires (publics/EBNL/privés, sanitaire/médico-social). 

Thèmes couverts 

EN SYNTHESE 

SCT 

Sociétal 

SOC 

Social 

ENV 

Environnement 

ACH 

Achats 

responsable 

ECO 

Economie 

GOV 

Gouvernance 

Vue d’ensemble des indicateurs 

Volet Enjeux Questions 

Données 

Hospidiag/TdB 

Indicateurs 

Indicateurs 

maturité 

Indicateurs 

chiffrés 

Sociétal 3 5 0 5 3 2 

Social 5 6 3 9 5 4 

Environnemental 5 12 0 7 2 5 

Achats 1 2 0 2 1 1 

Economique 1 1 3 4 1 3 

Gouvernance 2 6 0 3 2 1 

TOTAUX 17 33 6 30 14 16 

Le référentiel comporte donc 24 nouveaux indicateurs et 6 repris d’Hospidiag et TdB MS. Ils sont calculés à partir des 

réponses à 33 questions. 

1

Méthode d’élaboration du référentiel d’indicateurs 

METHODE DE TRAVAIL 

Sommaire 

En synthèse .................................................................................................................................................................................... 1 

Méthode de travail ..................................................................................................................................................................... 2 

Personnes Consultées dans l’élaboration du référentiel ..................................................................................................... 3 

Volet sociétal ................................................................................................................................................................................ 4 

Volet social .................................................................................................................................................................................... 6 

Volet environnemental ............................................................................................................................................................... 8 

Volet achats................................................................................................................................................................................ 10 

Volet économique .................................................................................................................................................................... 10 

Gouvernance ............................................................................................................................................................................. 11 

Fiches indicateurs du volet sociétal ....................................................................................................................................... 13 

Fiches indicateurs du volet social ........................................................................................................................................... 18 

Fiches indicateurs du volet environnemental ...................................................................................................................... 25 

Fiches indicateurs du volet achats ......................................................................................................................................... 33 

Fiches indicateurs du volet économique ............................................................................................................................. 35 

Fiches indicateurs de gouvernance ...................................................................................................................................... 37 

2

Participants aux groupes de travail 

PERSONNES CONSULTEES DANS L’ELABORATION DU REFERENTIEL 

Christophe GUERIN et Julie LIOUVILLE (ADAPEI Gironde), Cécile SOUTEYRAND (AFDAIM ADAPEI 11), Bernard IBAL (ANRAS), 

Didier BOURDON (APHP), Sabrina MOUKAH-BELLIL (APRR), Dorothée HENIN (ARSIF), Ségolen BERNARD (ASDR), Yohan 

PEYROUSE (Association "le Clos du Nid"), Lionel DE ALMEIDA et Raymond NOUET (ASSOCIATION MONSIEUR VINCENT), 

Jean-Etienne LIOTARD (Association Olga Spitzer), Baofara FIDISON (Association VIVRE), Marion DOYHAMBER (Aurad 

Aquitaine), Stéphanie CHANDLER-JEANVILLE (Avicenne), Laurent DUPOND (AVVEJ), Laurence ROUBINET (AVVEJ - SAU 92), 

Frédérique PERLIER (Capio Santé), Marie-Christine VIALE (Centre Hospitalier Bastia), Bernard JOURDAIN (Centre 

Hospitalier de Niort), Christine STERVINOU (CENTRE HOSPITALIER DU VAL D'ARIEGE), Jean-Charles BISSON (Centre 

Hospitalier Eure-Seine), CECILE BAUTZ (Centre Hospitalier Local Sud-Ouest Mayennais), Abdel ACHACHE (Centre Léon 

Bérard Lyon), Edith BAYART et Frédéric PHILIPPART (CENTRE OSCAR LAMBRET), Anne-Sophie AUBERT (CH CANNES), 

Angélique DEBERNARD (CH de Bastia), Frédéric MAIRE (CH de Brie-Comte-Robert), Frédéric MAIRE (CH de Brie-Comte- 

Robert), Gaëlle DESSERTAINE (CH Givors), Mickael PERDEREAU (CH Guillaume Régnier), Jean Pierre FOUBERT (CH Les 

Murets), Laurence FONTENELLE (CH Paul Coste Floret), Dominique DUGENDRE (CH Théophile ROUSSEL), Tina PEREZ et 

Séverine VENDRAME (CHI Caux Vallée de Seine), Philippe ORGEBIN (CHIVA et CHPO), sophie BENSOUSSAN (CHP ST 

GREGOIRE), Loïc REGAZZETTI et Florent BACHELIN (CHU DE NICE), Guylaine JOLIFF (CHU de Rennes), Camille DEVROEDT 

(CHU Grenoble Alpes), Elisabeth TOUTUT-PICARD (CHU TOULOUSE), Marie-Line TELLE (CHUM), Joël CLICHE (Clinique Saint 

Roch de Cambrai), Sibel Sybille BILAL-DE LA SELLE (CRC/MRP), Laura BREMONDY, Najat ETEFIA, Khédie BOEHM (Croix- 

Rouge française), Marie GASTON-RAOUL (APF Hauts de France), Elsa LAMBERT (ALEFPA), Rébécca SAY (EHPAD de 

Senonches), Peggy GLESS (EHPAD l'Orée des Pins), Paulette MANGA (EHPAD RESIDENCE TRIANON), Frédéric FREMINET 

(EMPREINTES SUD), Maxime MERELO (EPIFAJ), Léa VALLAS (ESAT du Petit parc), Eve JEZEQUEL (Espoir), Eric PLANTARD 

(FNAPAEF), Elizabeth BUJAUD (Fondation Bon Sauveur d'Alby), Bruno BABINET (FONDATION D'AUTEUIL), Christian 

LAFERRIÈRE et Fabienne PIQUANT (Fondation Santé Service), Carole THIBAUT-JOBE (GCS Pôle Sanitaire Cerdan), LAURENT 

VIDAL (GCS Pôle santé sud meusien), Laurentia PALAZZO (Groupe ACPPA), Camille COLNAT (Groupe Saint Sauveur), 

Corinne GAUTHIER (HAD SANTE RELAIS DOMICILE), Henrick LEPIOUFF et Christelle QUILICHINI (HAD ST SAUVEUR), Aurélie 

SICONOLFI (Hôpital Villiers Saint Denis), Jean-Michel CHARTIER (Institut Robert Merle d'Aubigné), Marine JACQUIER 

(Korian), Christelle THORIGNY (LES APSYADES), Claudine LIGER (MAS DES OLIVIERS), Marie-Hélène ABEILLE (Œuvre de 

l'Hospitalité du Travail), Estelle DELMAS-FAVODON (Olga Spitzer), Régine GAUTHIER (POLE DE GERIATRIE MORCENX), 

Michel JONQUET (Pôle sanitaire du VEXIN), Julien COLLET (Pôle Santé Sarthe et Loir), Fabien THEBAULT (SANTE SERVICE), 

Jean Bernard PERDIGAL (Sante Solidarité VAR HAD SSIAD ESA), Jonathan MARTINEZ (SNADOM), Patrick FARLAN (SSR LA 

PIGNADA) et Hélène CAUDRON (Udapei 59). 

Représentants des structures signataires de la convention 

Didier ARNAL et Tiphaine LAGARDE (FEGAPEI), Laurence MAZE et Muriel VIDALENC (FEGAPEI), Florian BOUCRET, Coralie 

CUIF, Stéphanie ROUSVAL-AUVILLE et Anne-Sophie VIGUIE (FEHAP), René Caillet et Alexandre MOKEDE (FHF), Emmanuel 

DAYDOU et Marie-Claire VIEZ (FHP), Anne DABADIE et Nicolas Noiriel (FNEHAD), Frédéric UHL (Ministère santé DGOS), 

Laurent SETTON (Ministères sociaux), Carole Falguieres et Mr FREGONA (SYNERPA), Hélène Espérou et Jingyuan LIN 

(UNICANCER), Laurence FAUPIN, Yvon GRIMALDI et Isabelle LEOMANT (UNIOPSS). 

Membres du Comité des parties prenantes 

Marlène DRESCH et Romain POIVET (ADEME), Marie-Dominique (Agence de l'eau Seine Normandie), Aline METAIS 

(ANESM), François Mourgues (C2DS), Thomas DESLYPPER (CAHPP), Dominique NGUYEN et Lucas SEIGNEUR (Caisse des 

Dépôts), Luc DELPORTE, Jean-Michel DESCOUTURES et Frédérique PERLIER (CLAPS), Sandra BERTEZENE (CNAM), François- 

Xavier LORRE (CNSA), Marion LIGONIE (IESEG-ESSEC), Christelle ROUTELOUS (EHESP), Marion BRIANCON-MARJOLLET et 

Didier SAPY (FNAQPA), Jean-Noël NIORT (H360), Véronique GHADI et Philippe LALY (HAS), IAE Gustave Eiffel, Jacques ROOS 

(IHF), Valérie LENGLART (ISIGE Mines Paritech), Isabelle NICOLAI et Léa PASDELOUP (Pôle Universitaire Léonard de Vinci), 

Christophe BULTEL, Akila NEDJAR - GUERRE et Akila NEDJAR - GUERRE (UCP : Université de Cergy-Pontoise), Stéphanie 

TRIBONDEAU (Université Paris 1 - Panthéon Sorbonne), Isabelle TANGUY (Université Paris-Dauphine), Thibault LESCUYER 

(UVSQ : Universalité de Versailles-Saint-Quentin). 

3

VOLET SOCIETAL 

Données collectées : 5 questions 

Enjeu : Développer l’accès aux soins et aux prestations 

SCT1 : Mobilisez-vous le numérique pour améliorer l’accessibilité et la qualité des prestations/soins ? 

Liste déroulante, un seul choix possible. Le niveau choisi suppose que les niveaux inférieurs sont maîtrisés. 

1. Le numérique n’est pas encore identifié pour améliorer l’accessibilité et la qualité des prestations/soins 

2. Il existe un projet formalisé de mobilisation du numérique pour améliorer l’accessibilité et la qualité des 

prestations/soins 

3. Le numérique est mobilisé pour faciliter les prestations actuelles 

4. Le numérique est mobilisé pour enrichir les prestations actuelles et/ou développer de nouvelles prestations 

5. Le numérique est pleinement intégré pour améliorer l’accessibilité et la qualité de nos prestations. La contribution 

du numérique est suivie et évaluée 

SCT2 : Que faites-vous en matière de prévention dans le domaine de la santé publique ? 


1. Quelques actions ponctuelles sont menées mais la démarche est peu structurée 

2. Des actions de prévention sont régulièrement réalisées seulement auprès des bénéficiaires (patients et personnes 

accompagnées…) de notre structure 

3. Des actions de prévention sont régulièrement réalisées aussi auprès des proches de nos bénéficiaires (famille, 

aidants) 

4. Des actions de prévention sont régulièrement réalisées aussi sur le territoire (partenaires locaux, associations, 

habitants…) 

5. Une réelle politique de prévention fait partie du projet de la structure et est suivie, évaluée et améliorée 

annuellement 

Enjeu : Faciliter l’accès à l’emploi 

SCT3 : Combien d'ETP ayant bénéficié d'un contrat aidé de 6 mois minimum pour l’année N-1 ? 

ETP 

Enjeu : Contribuer au développement local 

SCT4a : Combien de salariés résident à proximité de la structure ? 

Un tableur est fourni pour calculer ce chiffre à partir de la liste des codes postaux et part d’ETP des salariés. La définition 

du « localement » retenue est la médiane du trajet domicile-travail constaté en France selon 3 catégories (urbain, semiurbain, 

rural). 

ETP 

SCT4b : Des projets collaboratifs à valeur partagée sont-ils menés au sein de votre structure ? 


1. Des projets sont menés ponctuellement mais non formalisés 

2. Des projets sont menés régulièrement mais non formalisés 

3. Des projets sont menés régulièrement et formalisés 

4. Les projets sont menés de façon pérenne (ancienneté de plus de 3 ans) et évalués 

5. Les projets menés sont inscrits dans le projet de la structure et des partenaires 

4

Restitution structure 

 

 

 

 

 

Maturité de la mobilisation du numérique pour améliorer l’accessibilité des prestations/soins dans la structure. 

Maturité de la démarche de prévention en santé publique dans la structure. 

Pourcentage de contrats aidés dans l’effectif de la structure. 

Pourcentage de l’effectif résidant localement (ce chiffre sera à comparer avec 50% : au-delà, les salariés résident 

‘plus localement’ que la médiane française, en deçà, ils résident moins localement). 

Maturité des projets collaboratifs à valeur partagée menés dans la structure. 

Rapport fédération 

 

 

 

 

 

 

 

 

Maturité moyenne de la mobilisation du numérique pour améliorer l’accessibilité des prestations/soins dans les 

structures. 

Pourcentage des structures ayant développé de nouvelles prestations/offres de soins grâce au numérique. 

Maturité moyenne des démarches de prévention en santé publique dans les structures. 

Pourcentage des structures menant des actions de prévention sur leur territoire. 

Pourcentage moyen de contrats aidés dans les effectifs des structures. 

Pourcentage moyen des effectifs résidant localement. 

Pourcentage des structures employant plus localement que la médiane nationale. 

Maturité moyenne des projets collaboratifs à valeur partagée menés dans les structures. 

5

VOLET SOCIAL 


Enjeu : Améliorer le dialogue social 

SOC1 : Quel dialogue social est le plus représentatif du fonctionnement de votre structure ? 


1. Les instances du dialogue social sont réunies selon les exigences réglementaires 

2. Les instances de représentation du personnel participent aux projets et/ou aux groupes de travail au-delà des 

exigences réglementaires 

3. Le personnel, au sens large, participe et s’exprime au sein des groupes de travail et des projets au-delà des 

exigences réglementaires 

4. Le mode de fonctionnement du dialogue social est co-construit avec les instances, les salariés et l’employeur 

5. Le mode de fonctionnement du dialogue social est évalué, communiqué et amélioré en continu 

Enjeu : Promouvoir la bientraitance des patients et personnes accompagnées 

SOC2 : Comment la bientraitance est-elle intégrée par la structure ? 


1. La bientraitance est une préoccupation mais n’est pas encore inscrite dans le projet de la structure 

2. La politique de bientraitance est inscrite dans le projet de la structure 

3. La bientraitance a fait l’objet d’un diagnostic 

4. La structure a défini et mis en œuvre un plan d’actions, de formation et des indicateurs de suivi de la bientraitance 

5. La structure évalue et améliore en continue sa politique de bientraitance sur la base des indicateurs de suivi 

Enjeu : Améliorer le bien-être au travail 

SOC3 : Comment est abordée la qualité de vie au travail (QVT) au sein de votre structure ? 


1. La structure respecte la réglementation en matière de conditions de travail (environnement, conditions d’emploi, 

vie extraprofessionnelle) 

2. La structure met en place des dispositifs donnant la capacité aux salariés de s’exprimer et d’agir sur leurs 

conditions de travail 

3. La structure co-construit avec les salariés ou leurs représentants le contenu du travail lors des phases de 

conception, de mise en œuvre et d’évaluation des projets techniques ou organisationnels 

4. Le contenu du travail est parfaitement aligné sur les enjeux de la qualité de vie au travail (autonomie, valeur du 

travail, travail apprenant, travail complet), la direction est formée à ces enjeux 

5. Les enjeux de la qualité de vie au travail font l’objet d’une évaluation et d’une amélioration continue 

Enjeu : Valoriser le parcours professionnel des collaborateurs 

SOC4 : Comment est abordée la Gestion prévisionnelle des emplois et des compétences (GPEC) au sein de votre 

structure ? 


1. La structure a réalisé un plan de formation répondant aux besoins de la structure et des salariés en cohérence 

avec les besoins des patients/personnes 

2. La structure a réalisé une cartographie des compétences 

3. La structure a traduit les souhaits d’évolution des salariés en compétences cibles à acquérir 

4. La structure dispose d’un outil de suivi du parcours professionnel de ses salariés 

5. La structure a formalisé une politique GPEC dans le projet de la structure 

6

Enjeu : Promouvoir la diversité 

SOC5a : Quel est le nombre de salariés en situation de handicap ? 

ETP 

SOC5b : Comment votre structure est-elle engagée dans la lutte contre les discriminations ? 


1. La structure n’a pas d’engagements au-delà des exigences réglementaires 

2. La structure a mis en place un processus de recrutement non discriminant (sourcing, CV anonyme, règles de tri et 

de sélection des profils non discriminants…) 

3. La structure a mis en place des dispositifs de signalement et de traitement des situations de discrimination 

4. La structure a mis en place des dispositifs de lutte contre la discrimination dans l’ensemble de ses processus RH. 

5. La structure a mis en place des dispositifs d’évaluation et d’amélioration continue de sa politique de lutte contre 

les discriminations 


 

 

 

 

 

 

 

 

 

Maturité du dialogue social dans la structure. 

Maturité de l’intégration de la bientraitance dans la structure. 

Taux d’absentéisme du personnel non médical hors congé maternité/paternité et formation professionnelle 

(sources existantes : Hospidiag, etc.). 

Taux de rotation du personnel non médical (sources existantes : Hospidiag, etc.). 

Maturité de la démarche QVT dans la structure. 

Maturité de la GPEC dans la structure. 

Pourcentage de salariés en situation de handicap. 

Maturité de la démarche de lutte contre les discriminations dans la structure. 

Ecart moyen de rémunération entre les femmes et les hommes à poste équivalent (source : Bilan sociaux - ATIH) 


Maturité moyenne du dialogue sociale dans les structures. 

Pourcentage des structures animant un dialogue social au-delà des exigences règlementaires. 

Pourcentage moyen des effectifs formés à la bientraitance. 

Maturité moyenne de l’intégration de la bientraitance dans les structures. 

Pourcentage des structures ayant une politique de bientraitance formalisée. 

Maturité moyenne des démarches QVT dans les structures. 

Maturité moyenne des GPEC des structures. 

Pourcentage moyen de salariés en situation de handicap. 

Pourcentage des établissements au-delà du seuil règlementaire de 6%. 

Maturité moyenne des démarches de lutte contre les discriminations dans les structures. 

7

VOLET ENVIRONNEMENTAL 

Données collectées : 12 questions 1 

Enjeu : Améliorer l’efficacité énergétique et le recours aux énergies renouvelables 

ENV1a1 : Quelle a été la consommation totale d’énergie de l’année N-1 ? 

kWh EF (Un tableur est proposé pour convertir en kW les consommations de bois et de fuel) 

ENV1a2 : Quelle a été la consommation totale d’énergie de l’année N-2 ? 

kWh EF 

ENV1b : Quelle a été la consommation totale d’énergies renouvelables de l’année N-1 ? 

kWh EF 

Enjeu : Réduire les émissions de gaz à effet de serre 

ENV2a1 : Quelles sont les émissions totales de GES des scopes 1 & 2 évaluées lors du dernier Bilan d’Emissions de Gaz à 

Effet de Serre (BEGES) ? 

téq CO 2 

ENV2a2 : Quelles sont les émissions totales de GES du scope 3 évaluées lors du dernier BEGES ? 

téq CO 2 

Enjeu : Préserver la ressource en eau 

ENV3a1 : Quel est le volume d’eau qui vous a été facturé pour l’année N-1 ? 

m 3 

ENV3a2 : Quel est le volume d’eau qui vous a été facturé pour l’année N-2 ? 

m 3 

Enjeu : Développer la mobilité durable 

ENV4 : Quelles pratiques relatives à la mobilité mettez-vous en œuvre au sein de votre structure ? 


1. La structure n’a pas encore pris en compte l’enjeu de la mobilité pour ses employés et les bénéficiaires (patients 

et personnes accompagnées…) 

2. La structure a réalisé un Plan de Déplacement Entreprise (PDE) 

3. La structure a mis en place un plan d’action de premier niveau : ensemble de mesures visant à l’amélioration des 

déplacements liés aux activités professionnelles (trajets domicile/travail, déplacements professionnels) 

4. La structure a mis en place un plan d’action de second niveau : ensemble de mesures visant à l’amélioration de 

l’accessibilité de la structure pour les bénéficiaires et partenaires 

5. Les actions de mobilité durable sont régulièrement évaluées et améliorées 

1 

Dont 3 questions ne seront plus posées la seconde année de collecte. 

8

Enjeu : Prévenir et gérer les déchets 

ENV5a : Comment s’organise votre structure pour gérer ses déchets ? 


1. La structure n’a pas d’engagement au-delà des exigences réglementaires 

2. La structure a formalisé une politique de gestion des déchets et réalisé une cartographie des filières de tri et des 

quantités produites 

3. La structure s'est donnée des objectifs de réduction et valorisation des déchets avec la mise en œuvre du tri 

sélectif ; les professionnels sont sensibilisés et/ou des formés 

4. La politique d'achats prend en compte la gestion des déchets issus des produits achetés 

5. La politique et les procédures de gestion des déchets sont régulièrement évaluées et améliorées ; des patients et 

personnes accompagnées sont sensibilisés au tri des déchets 

ENV5b : Comment s’organise votre structure pour traiter les déchets alimentaires ? 



2. La structure trie une partie des déchets alimentaires à des fins de compost/méthanisation 

3. L’ensemble des déchets alimentaires sont compostés/méthanisés 

4. La structure sensibilise les professionnels, patients ou personnes accompagnées à la lutte contre le gaspillage 

alimentaire et composte les déchets alimentaires 

5. La structure mesure le poids des déchets alimentaires compostés et se fixe des objectifs de réduction du gaspillage 

alimentaire. 

ENV5c1 : Quel est le poids des déchets solides résiduels pour l’année N-1 ? 

tonnes 

ENV5c2 : Quel est le poids des déchets solides résiduels pour l’année N-2 ? 

tonnes 


 

 

 

 

 

 

 

Évolution de la consommation d'énergie. 

Pourcentage des énergies renouvelables dans la consommation énergétique. 

Taux d’émissions directes de gaz à effet de serre (en attendant de restituer plutôt l’évolution de ces émissions 

entre les deux dernières évaluations). 

Evolution de la consommation d’eau. 

Maturité de la démarche de soutien à la mobilité durable dans la structure. 

Maturité de la gestion des déchets dans la structure. 

Evolution du poids des déchets solides résiduels de la structure. 


 

 

 

 

 

 

 

 

Évolution consolidée de la consommation d'énergie. 

Pourcentage des énergies renouvelables dans les consommations énergétiques consolidées. 

Taux consolidé d’émissions directes de gaz à effet de serre (en attendant de restituer plutôt l’évolution de ces 

émissions consolidées entre les deux dernières évaluations). 

Evolution consolidée de la consommation d’eau. 

Maturité moyenne des démarches de soutien à la mobilité durable dans les structures. 

Maturité moyenne de la gestion des déchets dans les structures. 

Evolution moyenne du poids des déchets solides résiduels de la structure. 

Maturité moyenne des démarches de préservation des espaces verts et de la biodiversité dans les structures. 

9

VOLET ACHATS 


Enjeu : Achats responsables 

ACH1 : Comment votre structure pratique-t-elle ses achats ? 


1. La structure a diagnostiqué ses pratiques d’achats 

2. La structure a ajusté ses achats aux besoins réels afin de rechercher un impact économique 

3. La structure intègre dans sa politique d’achat et d’appels d’offres des critères environnementaux 

4. La structure pratique des achats dans une approche en coût global et intègre des critères environnementaux et/ou 

sociaux 

5. La structure a mis en place un processus de décision et une politique évaluée, améliorée en continu et diffusée 

ACH2 : Parmi vos 5 principaux fournisseurs, combien ont des engagements de Développement Durable contractuels et 

mesurables avec votre structure ? 

fournisseurs 


 

 

Maturité de la structure en termes d’achats durables. 

Pourcentage des fournisseurs majeurs ayant une convention Développement Durable avec la structure. 


 

 

 

 

Maturité moyenne des structures en termes d’achats durables. 

Pourcentage des structures utilisant des critères environnementaux dans leurs achats 

Pourcentage des structures utilisant des critères environnementaux et/ou sociaux dans leurs achats 

Pourcentage moyen des fournisseurs majeurs ayant des conventions Développement Durable avec les structures. 

VOLET ECONOMIQUE 

Données collectées : 1 question 

Enjeu : Pérenniser la performance globale de la structure 

ECO1 : Quels tableaux de bord de performance sont utilisés dans votre structure 


1. La structure n’utilise pas dans ses tableaux de bord d’indicateurs extra-financiers (hors indicateurs obligatoires : 

qualité, etc.) 

2. La structure a identifié des indicateurs extra-financiers mais ne les mesure pas encore 

3. La structure mesure des indicateurs extra-financiers chaque année 

4. La structure exploite et analyse les indicateurs extra-financiers 

5. Des indicateurs extra-financiers sont intégrés dans la démarche globale de pilotage et d’amélioration continue de 

la structure 

10


 

 

 

 

Maturité de la structure en termes d’analyse de sa performance extra-financière. 

Taux de Capacité d’Auto Financement (sources existantes : Hospidiag, etc.). 

Taux d’endettement (sources existantes : Hospidiag, etc.). 

Taux de vétusté des bâtiments (sources existantes : Hospidiag, etc.). 


 

 

Maturité moyennes des structures en termes d’analyse de sa performance extra-financière. 

Pourcentage des structures ayant mesurant annuellement des indicateurs extra-financiers. 

GOUVERNANCE 


Enjeu : Intégrer effectivement le Développement Durable dans les projets majeurs de la structure 

GOV1a : Comment intégrez-vous les enjeux du Développement Durable (durabilité à la fois économique, sociale, 

sociétale et environnementale) dans les projets majeurs de votre structure ? 


1. Les projets majeurs de la structure tiennent compte des impacts sur au moins l’un des enjeux du Développement 

Durable : environnementaux, sociaux, sociétaux ou économiques. 

2. Les projets majeurs de la structure tiennent compte des impacts sur tous les enjeux du Développement Durable : 

environnementaux, sociaux, sociétaux ou économiques. 

3. Les impacts des projets majeurs de la structure sur les enjeux du Développement Durable sont positifs et font 

l’objet d’un engagement (projet d’établissement, fiche action dans le CPOM, articles dans les conventions de 

partenariat, …) 

4. Les impacts des projets majeurs de la structure sur les enjeux du Développement Durable font l’objet d’une 

évaluation, suivi et amélioration continue 

5. Tous les projets de la structure font l’objet d’une formalisation, d’une évaluation, d’un suivi et d’une amélioration 

continue en matière d’enjeux du Développement Durable 

GOV1b : Votre établissement s’est-il engagé dans une démarche de certification, enregistrement ou de labellisation en 

RSE ? 


1. Non, ce n’est pas envisagé 

2. Non, mais c’est en projet 

3. Oui, la certification/enregistrement/labellisation est en cours 

4. Oui, la certification/enregistrement/labellisation a été obtenue 

5. Oui, plusieurs certifications/enregistrement/labellisation ont été obtenues et sont renouvelées 

GOV1c : Nombre de professionnels en charge d’actions de Développement Durable 

professionnels 

11

Enjeu : Associer les parties prenantes aux projets majeurs de la structure 

GOV2a : Comment mobilisez-vous les professionnels et bénévoles de la structure dans la définition et la mise en œuvre 

des projets majeurs de la structure ? 


1. Ne sont pas mobilisés 

2. Sont informés 

3. Sont consultés 

4. Sont concertés dès la conception du projet 

5. Sont associés dès la conception du projet 

GOV2b : Comment mobilisez-vous les bénéficiaires (patients et personnes accompagnées) et leurs proches dans la 

définition et la mise en œuvre des projets majeurs de la structure ? 







GOV2c : Comment mobilisez-vous les fournisseurs et partenaires dans la définition et la mise en œuvre des projets 

majeurs de la structure ? 








 

 

 

Maturité de l’intégration du DD dans les projets majeurs de la structure. 

Pourcentage de l'effectif missionné sur des actions de Développement Durable. 

Niveau de mobilisation des principales parties prenantes dans la structure. 


 

 

 

 

 

 

 

 

 

Maturité moyenne de l’intégration du DD dans les projets majeurs des structures. 

Pourcentage des structures ayant formalisé un projet DD ou volet DD dans leur projet de structure. 

Pourcentage des structures évaluant les impacts DD dans tous leurs projets majeurs. 

Pourcentage des structures engagées dans une démarche de certification/labellisation DD. 

Pourcentage des structures ayant obtenu une certification/labellisation DD. 

Pourcentage des structures ayant obtenu plusieurs certifications/labellisations DD. 

Pourcentage moyen des effectifs ayant une mission de coordination, sensibilisation et mise en œuvre d’actions 

de Développement Durable dans les structures. 

Niveau de mobilisation moyen des principales parties prenantes dans les structures. 

Pourcentage des structures impliquant les bénéficiaires dans les projets majeurs de la structure (concertation ou 

association). 

12

ANNEXE 

SCT1 

FICHES INDICATEURS DU VOLET SOCIETAL 

NIVEAU DE MOBILISATION DU NUMÉRIQUE POUR DÉVELOPPER 

L’ACCÈS AUX SOINS ET AUX PRESTATIONS 

Type : 

Maturité 

Cet indicateur suit le la maturité de la structure en matière de mobilisation du numérique par la structure 

pour développer l’accès aux soins et aux prestations en e-santé. 

Définition 

Mobiliser le numérique consiste à utiliser les NTIC (nouvelles technologies de l’information et de la 

communication) et toute nouvelles technologies innovantes dans les prestations (télémédecine, 

démarches et prise de rendez-vous en ligne, dématérialisation des documents…) pour améliorer l’accès 

aux soins et aux prestations de la structure. L’accès peut être contraint par la situation géographique, la 

capacité de prise en charge, la taille de la structure, les ressources dont dispose la structure… 

Supports concernés : logiciels, matériel (objets connectés, tablettes, smartphone, cartes à puce…), 

services en ligne. 

Le niveau de maturité s’apprécie selon un mode déclaratif et selon une échelle sur laquelle la structure 

doit se positionner : un niveau de 1 à 5, plus le niveau est élevé et plus la structure est mature. 


Mode de 

calcul 

Interprétation 

Sources de 

donnée 

Collecte 

Personnes à 

mobiliser 

Mobilisez-vous le numérique pour améliorer l’accessibilité et la qualité des prestations/soins ? 

1. Le numérique n’est pas encore identifié pour améliorer l’accessibilité et la qualité des 

prestations/soins 

2. Il existe un projet formalisé de mobilisation du numérique pour améliorer l’accessibilité et la 

qualité des prestations/soins 

3. Le numérique est mobilisé pour faciliter les prestations actuelles 

4. Le numérique est mobilisé pour enrichir les prestations actuelles et/ou développer de nouvelles 

prestations 

5. Le numérique est pleinement intégré pour améliorer l’accessibilité et la qualité de nos prestations. 

La contribution du numérique est suivie et évaluée 

Unité NA Période de calcul 

Au 31 décembre de l’année 

N-1 

Le niveau 1 est le niveau minimum que doit avoir toute structure. Les niveaux suivants permettent 

d’évaluer l’implication volontaire de la structure. Cet indicateur permet d’évaluer le niveau de 

mobilisation du numérique dans l’accès aux soins/prestations. Plus le niveau est élevé et plus la structure 

est mature. 

Projet de la structure 

Le responsable se positionne sur l’échelle selon le niveau de maturité de sa structure. Il vérifie que la 

réponse correspond bien à la réalité dans la structure. 

Responsable SI, Direction de la structure. 

13

SCT2 

MISE EN ŒUVRE D’UNE POLITIQUE DE PRÉVENTION DE SANTE 

PUBLIQUE 

Type : 

Maturité 

Définition 

Mise en œuvre d’une politique de prévention et de santé publique se traduisant par des actions à 

l’initiative de la structure et en relai des campagnes de santé publiques menées par le ministère de la 

Santé. 

Il faut considérer ici, les actions menées au-delà de l’éducation thérapeutique. 

Exemples de préventions : grippe, tabac, handicap, hygiène, obésité, nutrition, etc. 

Les publics cibles : les patients, les personnes accompagnées, leurs familles et proches, les aidants, les 

partenaires locaux, les associations locales, les habitants 




Mode de 

calcul 


Sources de 

donnée 

Collecte 

Personnes à 

mobiliser 

Que faites-vous en matière de prévention dans le domaine de la santé publique ? 

1. Quelques actions ponctuelles sont menées mais la démarche est peu structurée 

2. Des actions de prévention sont régulièrement réalisées seulement auprès des bénéficiaires 

(patients et personnes accompagnées…) de notre structure 

3. Des actions de prévention sont régulièrement réalisées aussi auprès des proches de nos 

bénéficiaires (famille, aidants) 

4. Des actions de prévention sont régulièrement réalisées aussi sur le territoire (partenaires locaux, 

associations, habitants…) 

Une réelle politique de prévention fait partie du projet de la structure et est suivie, évaluée et améliorée 

annuellement 



N-1 

Le niveau 1 est le niveau minimum que doit avoir toute structure. Les niveaux suivants permettent d’évaluer 

l’implication volontaire de la structure. Cet indicateur permet de mesurer le niveau de dynamisme de la 

structure en matière de prévention de santé publique. Plus le niveau est élevé et plus la structure est 

mature. 




Direction de la structure. 

14

SCT3 

POURCENTAGE DE CONTRATS AIDES DANS L’EFFECTIF 

Type : 

Chiffré 

Définition 

Mode de 

calcul 

Cible 


Sources de 

donnée 

Collecte 

Personnes à 

mobiliser 

Un contrat aidé est un contrat de travail dérogatoire au droit commun, pour lequel l'employeur bénéficie 

d'aides, qui peuvent prendre la forme de subventions à l'embauche, d'exonérations de certaines 

cotisations sociales, d'aides à la formation. Ces emplois aidés sont, en général, accessibles prioritairement 

à des « publics cibles », telles les personnes « en difficulté sur le marché du travail » ou les jeunes, dans le 

secteur marchand ou non marchand (source : INSEE). 

Types de contrats à considérer : Contrat d’apprentissage, Contrat d'accompagnement dans l'emploi / 

CAE, Contrat d'adaptation, Contrat d'avenir, Contrat de professionnalisation, Contrat d'emploi consolidé 

/ CEC, Contrat d'insertion dans la vie sociale / CIVIS, Contrat d'orientation, Contrat jeunes en entreprise / 

CJE ou SEJE, Contrat unique d'insertion / CUI, Contrat unique d'insertion dans le marchand / CUI-CIE, 

Contrat unique d'insertion dans le non marchand / CUI-CAE 

Exclus : les stages 

Nombre d ′ ETP ayant bénéficié d ′ un contrat aidé de 6 mois minimum [année N − 1] 

Nombre d ′ × 100 

ETP moyen total [année N − 1] 

Unité % Période de calcul 


N-1 

Les collectivités territoriales emploient près de 4% de personnes rencontrant des difficultés d'insertion sur 

le marché du travail (source : http://emploi-public.publidia.fr/actualites/contrats-aides-fonctionpublique-territoriale) 

Taux de chômage en France : autour de 10% 

Cet indicateur permet de mesurer l’implication de la structure dans l’insertion des personnes éloignées 

de l’emploi par le recours aux contrats aidés dans ses effectifs. 

L’indicateur serait encore plus pertinent si on mesurait combien de contrats aidés débouchent sur un CDI. 

Bilan social, Système d’information RH. 

Le responsable détermine le nombre d’ETP ayant bénéficié d’un contrat aidé de 6 mois minimum cumulé 

dans la structure sur l’année N-1 

Direction des Ressources humaines 

15

SCT4a POURCENTAGE DE L’EFFECTIF RÉSIDANT LOCALEMENT 

Type : 

Chiffré 

Définition 

Mode de 

calcul 

Taux de salariés résidant à proximité de la structure dans l’ensemble de l’effectif, c’est-à-dire dans un 

rayon inférieur à : 

6 km si la structure est implantée dans un Pôle urbain, 

14 km si la structure est implantée en zones périurbaines, 

Et 10 si la structure est implantée en zones rurales. 

Nombre d′ETP résidant à proximité de la structure [année N − 1] 



Un tableur est fourni pour calculer ce chiffre à partir de la liste des codes postaux et part d’ETP des salariés. 

La définition retenue du terme « localement » est la médiane du trajet domicile-travail constaté en France 

selon 3 catégories (urbain, semi-urbain et rural). 


Cible Cible 50% 


Sources de 

donnée 

Collecte 

Personnes à 

mobiliser 


N-1 

Cet indicateur traduit l’ancrage local de la structure sur son territoire en termes d’emplois nondélocalisables. 

Moins de 50% : signifie que la structure emploie moins localement que la moyenne 

Plus de 50% : signifie que la structure emploie plus localement que la moyenne 

Bilan social, Système d’information RH. 

Le responsable extrait la liste des salariés de l’année N-1 avec : quote-part en ETP et code postal. Il 

importe cette liste dans le tableur fourni et lance l’exécution de la macro pour calculer le taux qu’il 

reporte dans l’outil de collecte. 

Direction des Ressources humaines 

16

SCT4b 

MISE EN ŒUVRE DE PROJETS COLLABORATIFS A VALEUR PARTAGÉE 

AVEC LES PARTENAIRES LOCAUX 

Type : 

Maturité 

Cet indicateur présente le niveau de maturité de la structure dans la mise en œuvre de projets collaboratifs 

à valeur partagée, menés avec les partenaires locaux. 

Exemples de projets : créer avec la collectivité une ligne de transport pour faciliter l’accès à la structure, 

proposer des actions culturelles, artistiques, éducatives, etc. pour valoriser les compétences des 

bénéficiaires (patients et personnes accompagnées), participer au projet éducatif d’une école… 

Définition 

Le travail collaboratif désigne la coopération entre la structure et ses partenaires locaux afin d'atteindre 

un but commun. Coopérer repose principalement sur une valeur, celle du partage. Coopérer, c'est 

partager avec les partenaires locaux (partenaires, fournisseurs, prescripteurs, associations…) : 

une valeur partagée : des bénéfices en commun pour la structure et ses partenaires, 

des valeurs pour créer des liens et la confiance, 

un projet pour atteindre des objectifs communs, 

partage de connaissances pour améliorer les décisions, 

partage de ressources (financières, humaines, matérielles) pour consolider les engagements, 

partage d’outils pour coordonner les activités. 

Le travail collaboratif repose également sur des comportements, notamment vouloir et savoir coopérer. 

Vouloir coopérer, c'est être motivé pour entrer en relation avec l'autre, et partager avec lui une partie de 

son pouvoir, ses ressources et de son savoir. Savoir coopérer, c'est comprendre les attentes de l'autre et 

maîtriser les compétences relationnelles qui permettent de construire une relation humaine de qualité. 

Mode de 

calcul 


Sources de 

donnée 

Collecte 

Personnes à 

mobiliser 

Ne considérer ici que les projets actifs sur l’année n-1 

Exclus : les partenariats avec des structures de santé 




Des projets collaboratifs à valeur partagée sont-ils menés au sein de votre structure ? 

1. Des projets sont menés ponctuellement mais non formalisés 

2. Des projets sont menés régulièrement mais non formalisés 

3. Des projets sont menés régulièrement et formalisés 

4. Les projets sont menés de façon pérenne (ancienneté de plus de 3 ans) et évalués 

5. Les projets menés sont inscrits dans le projet de la structure et des partenaires 



N-1 


l’implication volontaire de la structure. Cet indicateur permet d’évaluer le niveau pérennité et de 

formalisation de projets collaboratifs à valeur partagée. Plus le niveau est élevé et plus la structure est 

mature. 


Le responsable détermine le nombre d’ETP ayant bénéficié d’un contrat aidé de 6 mois minimum cumulé 

dans la structure sur l’année N-1 

Direction de la structure 

17

FICHES INDICATEURS DU VOLET SOCIAL 

SOC1 DIALOGUE SOCIAL 

Type : 

Maturité 

Définition 

Cet indicateur présente le niveau de maturité de la structure dans la mise en œuvre du dialogue social 

avec les travailleurs et leurs représentants. 

Définition : Le dialogue social englobe tous les types de négociation, consultation ou échange 

d'informations entre les représentants des gouvernements, des employeurs et des travailleurs sur des sujets 

d'intérêt commun concernant les questions économiques et sociales. Ce dialogue social peut avoir lieu 

entre des représentants de l'employeur et des travailleurs, sur des sujets touchant leurs intérêts 

(source : ISO 26000). 




Mode de 

calcul 


Sources de 

donnée 

Collecte 

Personnes à 

mobiliser 

Quel dialogue social est le plus représentatif du fonctionnement de votre structure ? 

1. Les instances du dialogue social sont réunies selon les exigences réglementaires 

2. Les instances de représentation du personnel participent aux projets et/ou aux groupes de 

travail au-delà des exigences réglementaires 

3. Le personnel, au sens large, participe et s’exprime au sein des groupes de travail et des projets 

au-delà des exigences réglementaires 

4. Le mode de fonctionnement du dialogue social est co-construit avec les instances, les salariés 

et l’employeur 

5. Le mode de fonctionnement du dialogue social est évalué, communiqué et amélioré en 

continu 



N-1 


d’évaluer l’implication volontaire de la structure. Cet indicateur reflète la qualité de la mise en œuvre du 

dialogue social au sein de la structure. Plus le niveau est élevé et plus la structure est mature. 

Bilan social ; Système d’information RH ; Système d’information juridique 



Direction des Ressources humaines, Direction de la structure. 

18

SOC2 BIENTRAITANCE DES PATIENTS ET PERSONNES ACCOMPAGNEES 

Type : 

Maturité 

Définition 

Cet indicateur présente le niveau de maturité de la structure dans la mise en œuvre d’une politique de 

bientraitance auprès des patients et personnes accompagnées. 

La bientraitance procède de l’ensemble des comportements et attitudes qui prennent en compte et 

respectent la personne accueillie dans sa globalité, son intériorité, ses besoins (psychologiques, 

physiologiques, affectifs…) et se résument dans les « bonnes pratiques professionnelles ». La bientraitance 

est une démarche globale de prise en charge du patient ou de la personne accompagnée et d’accueil 

de l’entourage visant à promouvoir le respect de leurs droits et libertés, leur écoute et la prise en compte 

de leurs besoins, tout en prévenant la maltraitance (source : ANAP et HAS). 




Mode de 

calcul 


Sources de 

donnée 

Collecte 

Personnes à 

mobiliser 

Comment la bientraitance est-elle intégrée par la structure ? 

1. La bientraitance est une préoccupation mais n’est pas encore inscrite dans le projet de la 

structure 

2. La politique de bientraitance est inscrite dans le projet de la structure 

3. La bientraitance a fait l’objet d’un diagnostic 

4. La structure a défini et mis en œuvre un plan d’actions, de formation et des indicateurs de suivi 

de la bientraitance 

5. La structure évalue et améliore en continue sa politique de bientraitance sur la base des 

indicateurs de suivi 



N-1 


d’évaluer l’implication volontaire de la structure. Cet indicateur évalue le niveau d’intégration de la 

bientraitance au sein de la structure. Plus le niveau est élevé et plus la structure est mature. 


L’encadrement de proximité remonte les informations à leurs directions respectives. Le responsable se 

positionne sur l’échelle selon le niveau de maturité de sa structure. 

Cadres et chefs de services, Direction qualité, Direction de la structure. 

19

SOC3 QUALITÉ DE VIE AU TRAVAIL 

Type : 

Maturité 

Définition 

Cet indicateur présente le niveau de maturité de la structure dans la mise en œuvre d’une politique et 

d’actions d’amélioration de la Qualité de vie au travail (QVT) : 

Conditions de travail : 

Environnement de travail (physique, technique, organisationnel, relationnel…) ; 

Conditions d’emploi (formation, carrière, égalité, parcours professionnel…). 

Conditions de vie extraprofessionnelles en relation avec le travail 

La capacité à s’exprimer et à agir : 

Participatif (groupe de résolution de problèmes, débats sur le travail…) ; 

Partenariat social (concertation, dialogue social…) ; 

Soutien managérial ; soutien des collectifs (solidarité métier, travail en équipe, échanges sur les 

pratiques…). 

Le contenu du travail : 

Autonomie au travail : pouvoir d’agir sur des éléments de la tâche (rythme, procédure, choix des moyens, 

accès aux ressources, outils…) et de les combiner de manière variée et adaptée à la situation de sorte à 

procurer un sentiment de maîtrise ; 

Valeur du travail : renvoie au sentiment d’utilité ; 

Travail apprenant : il renvoie à la possibilité de mobiliser dans son exercice professionnel un ensemble de 

compétences. 

Travail complet : réaliser une tâche complète non seulement au plan organisationnel mais aussi pouvoir 

évaluer les effets de mon activité en regard des résultats que j’en attends, et pouvoir réduire l’écart entre 

les deux. Et donc de « piloter » ma performance (sentiment de responsabilité). 

(Source : HAS) 




Mode de 

calcul 


Sources de 

donnée 

Collecte 

Personnes à 

mobiliser 

Comment est abordée la qualité de vie au travail (QVT) au sein de votre structure ? 

1. La structure respecte la réglementation en matière de conditions de travail (environnement, 

conditions d’emploi, vie extraprofessionnelle) 

2. La structure met en place des dispositifs donnant la capacité aux salariés de s’exprimer et d’agir 

sur leurs conditions de travail 

3. La structure co-construit avec les salariés ou leurs représentants le contenu du travail lors des 

phases de conception, de mise en œuvre et d’évaluation des projets techniques ou 

organisationnels 

4. Le contenu du travail est parfaitement aligné sur les enjeux de la qualité de vie au travail 

(autonomie, valeur du travail, travail apprenant, travail complet), la direction est formée à ces 

enjeux 

5. Les enjeux de la qualité de vie au travail font l’objet d’une évaluation et d’une amélioration 

continue 



N-1 


l’implication volontaire de la structure. L’indicateur permet de mesurer le niveau d’intégration de la QVT 

dans l’organisation et le contenu du travail au sein de la structure. Plus le niveau est élevé et plus la 

structure est mature. 





20

SOC3b TAUX D’ABSENTÉISME DU PERSONNEL NON MÉDICAL 

Type : 

Chiffré 

Source : 

Mode de 

calcul 


Cet indicateur est repris de sources existantes : Hospidiag (RH8), etc.. 

Nombre total de jours d'absence du personnel non médical pour tous motifs hors congé 

maternité/paternité et formation professionnelles /365 * ETP moyen du PNM 

Comprend toutes les absences non prévisibles, quels qu'en soient les motifs : 

- maladies ordinaires (dont arrêts maladies précédents congés maternité) 

- longues maladies, maladies de longue durée 

- accidents du travail et de trajet 

- maladies professionnelles, maladies imputables contractée dans l'exercice des fonctions ou à caractère 

professionnel 

Sont sortis du calcul de l’indicateur les absences pour congés maternité, paternité et formation 

professionnelle. 

Cet indicateur est alimenté pour les publics et les ESPIC de plus de 300 salariés. 

L'analyse des bilans sociaux 2012 donnent un taux moyen d'absentéisme global du PNM de 7,4% sur 188 

ES. 

Un indicateur portant sur les absences de courte durée (maladies ordinaires

SOC4 GESTION PRÉVISIONNELLE DES EMPLOIS ET DES COMPÉTENCES 

Type : 

Maturité 

Cet indicateur présente le niveau de maturité de la structure dans sa stratégie de valorisation du parcours 

professionnel des collaborateurs. 

Définition 

Définition : La gestion des compétences consiste à développer la connaissance détaillée des 

compétences existantes au sein des structures, identifier les besoins à venir, proposer des plans d’actions 

pour préparer les professionnels aux évolutions. 

Les structures du secteur sanitaire et médico-social auront à relever de nombreux défis dans les années à 

venir, tant sur leur cœur de métier que sur la réponse qu’elles devront apporter aux enjeux 

démographiques, sociétaux et économiques. Pour cela, elles doivent pouvoir s’appuyer sur leur fonction 

ressources humaines et plus particulièrement sur la gestion des compétences : connaissance détaillée des 

compétences existantes au sein de ces structures, identification des besoins à venir, proposition de plans 

d’actions pour pouvoir préparer les professionnels aux évolutions, etc. (Source : ANAP). 




Mode de 

calcul 


Sources de 

donnée 

Collecte 

Personnes à 

mobiliser 

Comment est abordée la Gestion prévisionnelle des emplois et des compétences (GPEC) au sein de votre 

structure ? 

1. La structure a réalisé un plan de formation répondant aux besoins de la structure et des salariés 

en cohérence avec les besoins des patients/personnes 

2. La structure a réalisé une cartographie des compétences 

3. La structure a traduit les souhaits d’évolution des salariés en compétences cibles à acquérir 

4. La structure dispose d’un outil de suivi du parcours professionnel de ses salariés 

5. La structure a formalisé une politique GPEC dans le projet de la structure 



N-1 


l’implication volontaire de la structure. Cet indicateur reflète l’intégration de la GPEC par la structure. Plus 

le niveau est élevé et plus la structure est mature. 





22

SOC5a POURCENTAGE DE SALARIES EN SITUATION DE HANDICAP 

Type : 

Chiffré 

Définition 

Mode de 

calcul 

Cible 


Sources de 

donnée 

Collecte 

Personnes à 

mobiliser 

Cet indicateur suit la proportion de salariés en situation de handicap. 

Est considéré comme handicap, toute limitation d'activité ou restriction de participation à la vie en 

société subie dans son environnement par une personne en raison d'une altération substantielle, durable 

ou définitive d'une ou plusieurs fonctions physiques, sensorielles, mentales, cognitives ou psychiques, d'un 

polyhandicap ou d'un trouble de santé invalidant (au sens de la loi du 11 février 2005 pour l'égalité des 

droits et des chances, la participation et la citoyenneté des personnes handicapées). 

Dans le cadre de l’indicateur, sont considérées comme handicapées les personnes répondant à l’une 

des catégories suivantes : 

reconnaissance RQTH 

carte d'invalidité = ou > à 80% 

incapacité permanente = ou > à 10% 

victime de guerre 

inapte au travail 

Nombre d ′ ETP en situation de handicap tel que définit [année N − 1] 





N-1 

Objectif minimal : respecter l’obligation légale de 6% de personnes handicapés pour les employeurs de 

plus de 20 salariés. 

En moyenne, cette proportion atteint 3,1 % dans le secteur privé (données 2011, ministère du travail). 

Avec une moyenne de 4 %, le secteur public fait mieux, mais ne remplit pas non plus l’obligation légale 

(données 2010, ministère du travail). 

Capacité de la structure à éliminer les facteurs de discrimination, à prendre en compte la diversité 

comme un facteur clef de son capital humain et à atteindre la conformité réglementaire (6% de salariés 

en situation de handicap déclaré). 

Bilan social ; Déclaration Obligatoire d’Emploi des Travailleurs Handicapés (DOETH), Système 

d’information RH. 

Suivi des effectifs en situation de handicap. Vérification de la validité des certificats de handicap. 

Direction des Ressources humaines. 

23

SOC5b 

POLITIQUE DE LUTTE CONTRE TOUTE FORME DE DISCRIMINATION 

DANS L’EMPLOI 

Type : 

Maturité 

Cet indicateur suit le la maturité de la structure dans sa volonté d’éliminer toute forme de discrimination 

dans l’emploi. 

Définition 

Définition : Une personne est discriminée lorsqu'elle est traitée différemment au travail uniquement en 

raison de : son sexe, ses mœurs, son orientation sexuelle, sa situation de famille, sa grossesse, son 

appartenance ou non-appartenance (réelle ou supposée) à une ethnie, une nation, son nom de famille, 

son lieu de résidence, son origine géographique, ses opinions politiques, ses activités syndicales ou 

mutualistes, ses convictions religieuses, son âge, son apparence physique, son état de santé, son 

handicap (sauf inaptitude constatée par le médecin du travail) ou ses caractéristiques génétiques, la 

précarité de sa situation économique. 

La discrimination au travail peut être une décision de l'employeur concernant : l'embauche d'un 

nouveau salarié, le licenciement d'un salarié, le renouvellement d'un contrat, la mutation ou promotion 

à un autre poste en interne, le salaire et toutes les formes de rémunération, la formation, le reclassement, 

ou les tâches confiées. 

Aucun salarié ne peut être sanctionné ou licencié pour avoir relaté des faits de discrimination. 

(Source : Administration française). 

Exemple d’actions pour un recrutement non discriminant : sourcing, CV anonyme, règles de tri et de 

sélection des profils non discriminants… 




Mode de 

calcul 

Comment votre structure est-elle engagée dans la lutte contre les discriminations ? 

La structure n’a pas d’engagements au-delà des exigences réglementaires 

La structure a mis en place un processus de recrutement non discriminant 

La structure a mis en place des dispositifs de signalement et de traitement des situations de 

discrimination 

La structure a mis en place des dispositifs de lutte contre la discrimination dans l’ensemble de 

ses processus RH. 

La structure a mis en place des dispositifs d’évaluation et d’amélioration continue de sa politique 

de lutte contre les discriminations 


Sources de 

donnée 

Collecte 

Personnes à 

mobiliser 



N-1 


d’évaluer l’implication volontaire de la structure. Cet indicateur permet d’évaluer le niveau 

d’engagement de la structure à lutter contre les discriminations. Plus le niveau est élevé et plus la 






24

FICHES INDICATEURS DU VOLET ENVIRONNEMENTAL 

ENV1 CONSOMMATION D'ÉNERGIE 

Type : 

Chiffré 

Définition 

Cet indicateur suit l’évolution de la somme des consommations d’énergie de la structure exprimées en 

kWh entre deux années. L’énergie considérées et l’énergie finale, c’est-à-dire celle figurant sur les factures 

d’électricité ou de gaz. Pour les consommations de bois ou de fuel, utiliser le tableur de conversion. 

L’énergie finale est l’ensemble des énergies que la structure achète ou produit elle-même. Les quantités 

d’énergie finale sont référencées par type d’énergie de la façon suivante (valable pour l’ensemble des 

indicateurs relatifs à l’énergie) : 

E1 : Électricité 

E2 : Réseau de chaleur 

E3 : Réseau de froid 

E4 : Fioul domestique 

E5 : Gaz naturel 

E6 : Biomasse 

E7 : Biocarburant (huile végétale, bioéthanol, etc.) 

E8 : Électricité d’origine renouvelable fournie par le réseau 

E9 : Électricité d’origine renouvelable produite et consommée sur site 

E10 : Énergies renouvelables non électriques produites et consommées sur site 

Mode de 

calcul 

Cible 


Sources de 

donnée 

Collecte 

Personnes à 

mobiliser 

Exclus : 

E11 : Électricité d’origine renouvelable produite et non consommée sur site 

E12 : Énergies renouvelables non électriques produites et non consommées sur site 

10 

10 

∑i=1 E i [année N − 1] − ∑i=1 E i [année N − 2] 

∑10 

× 100 

i=1 E i [année N − 2] 

Formule de calcul : (Somme des énergies finales consommées en N-1 – Somme des énergies finales 

consommées en N-2) / Somme des énergies consommées en N-2 

Note : Les énergies comptabilisées dans la consommation d’énergie finale de la structure sont les 

consommations d’énergies E1 à E10 comprise. 


-20% de consommation en 2020 (Accords de Paris – COP21) 

Du 1er janvier au 31 

décembre de l’année N-1 

Cet indicateur nous informe sur l'évolution de la consommation d'énergie finale de la structure. Sa 

variation peut traduire les résultats des actions menées par la structure en matière de réduction de ses 

consommations énergétique (réduction à la source) et d’efficacité énergétique (optimisation des 

procédés et des équipements). 

Pour autant, il doit être analysé au regard de plusieurs autres critères relatifs à l’activité de la structure 

(évolution du volume d’activité, évolution du patrimoine immobilier, externalisation de prestations de 

services, etc.). 

Factures des fournisseurs d'énergie, relevés des compteurs, certificats de garantie d’origine du fournisseur 

(pour l’énergie fournie et consommée d’origine renouvelable (E8) 

Le responsable collecte et consolide les consommations d’énergie de la structure. Il vérifie la cohérence 

avec les données antérieures. 

Direction technique, Moyens généraux 

25

ENV1b CONSOMMATION D’ÉNERGIES RENOUVELABLES 

Type : 

Chiffré 

Définition 

Mode de 

calcul 

Cible 


Sources de 

donnée 

Collecte 

Personnes à 

mobiliser 

Cet indicateur présente la part des énergies renouvelables dans la consommation finale d’énergie 

exprimée en kWhEF de la structure. La consommation d’énergies renouvelables correspond à la somme 

des quantités annuelles consommées d’énergie finale d’origine renouvelable issues des achats énergie 

et produites par les équipements installés à demeure sur les actifs du patrimoine de la structure. 

Les énergies renouvelables n’utilisent pas le stock de ressources naturelles épuisables. Elles présentent en 

outre l’avantage, par rapport aux énergies fossiles, de ne pas émettre de gaz à effet de serre lors de la 

production ou de l’utilisation d’énergie (solaire, éolien, hydraulique) ou bien, dans le cas de la biomasse, 

d’avoir un bilan nul (on considère que le carbone ainsi brûlé est recyclé par la végétation). Les énergies 

renouvelables contribuent ainsi à la diversification et à la sécurité d’approvisionnement en énergie et leur 

développement constituent ainsi l’une des voies privilégiées pour lutter contre le changement climatique. 

Les sources d’énergies renouvelables pouvant être considérées comme telles sont définies à l’article 19 

de la loi 2009-967 du 3 août 2009 de programmation relative à la mise en œuvre du Grenelle de 

l’environnent. 

10 

∑i=6 E i [année N − 1] 

∑10 

i=1 E i [année N − 1] × 100 

Formule de calcul : Somme des énergies renouvelables consommées / Somme totale des énergies finales 

consommées 

Note : Les énergies comptabilisées dans la consommation d’énergie renouvelable de la structure sont les 

consommations d’énergies E6 à E10 comprise (voir la nomenclature des énergies dans la fiche ENV1a). 




+ 20 % de la part des énergies renouvelables dans la consommation énergétique (Accords de Paris – 

COP21) 

Cet indicateur traduit la volonté de la structure de modifier son mix énergétique avec pour objectif 

d’augmenter la part des énergies renouvelables. De cette manière, la structure contribue à la lutte contre 

le réchauffement climatique et notamment le phénomène d’effet de serre en limitant les rejets de gaz 

carbonique dans l’atmosphère issus de ses consommations énergétiques. De plus, le recours aux énergies 

renouvelables est un moyen de de développer l’activité économique locale. 


(évolution du volume d’activité, évolution du patrimoine immobilier, externalisation de prestations de 

services, etc.). 

Factures des fournisseurs d'énergies, relevés des compteurs, certificats de garantie d’origine du fournisseur 

(pour l’énergie fournie et consommée d’origine renouvelable (E8)). 

Le responsable collecte et consolide les consommations d’énergie renouvelable et d’énergie finale via 

le suivi des consommations et des factures. Il vérifie la cohérence avec les données antérieures. 

Direction technique, Moyens généraux 

26

ENV2 ÉMISSIONS DE GAZ À EFFET DE SERRE 

Type : 

Chiffré 

Définition 

Mode de 

calcul 

Cible 


Sources de 

donnée 

Collecte 

Personnes à 

mobiliser 

Cet indicateur suit l’évolution des émissions de gaz à effet de serre rapportées en tonnes équivalent CO2 

liées aux activités de la structure entre les deux dernières évaluations en date. 

Les principales normes et méthodes internationales définissent trois catégories d’émissions : 

Émissions directes de GES (scope 1) : émissions directes provenant des installations fixes ou 

mobiles détenues ou contrôlées par la structure 

Émissions à énergie indirectes (scope 2) : émissions indirectes associées à la production 

 

d’électricité, de chaleur ou de vapeur importée pour les activités de l’organisation 

Autres émissions indirectes (scope 3) : les autres émissions indirectement produites par les activités 

de l’organisation qui ne sont pas comptabilisées au scope 2 mais qui sont liées à la chaîne de 

valeur complète (émissions liées à l’acheminement des produits achetés par la structure, 

émissions liées au déplacement des salariés entre leur domicile et leur lieu de travail, etc.) 

L’article 75 de la loi Grenelle II impose déjà aux structures du privé employant plus de 500 personnes et 

pour les structures publiques employant plus de 250 personnes (selon l’article L229-25 du code de 

l’Environnement), la réalisation d’un Bilan GES réglementaire portant sur les scopes 1 et 2 d’émissions. Il 

est à renouveler tous les 3 ans. 

Le Bilan Carbone® élargit la comptabilisation des émissions au scope 3. Il ne présente aucun caractère 

obligatoire bien qu’il puisse être utilisé pour répondre à l’article 75 de la loi Grenelle II. 

En fonction de sa maturité sur le sujet, la structure renseignera le scope 3 ou non. 

Indicateur chiffré à 2 niveaux : 

Niveau 1 : Scope 1 & 2 

Taux de variation du total des émissions des Scope 1 & 2 

entre les deux dernières évaluation 

Niveau 2 (si disponible) : 

Taux de variation du total des émissions du Scope 3 

entre les deux dernières évaluation 

Note : le calcul des émissions carbone de la structure peut être réalisé à partir d’un outil développé par 

l’ADEME (bilans-ges.ademe.fr) 


-40% d’ici à 2030 (SNTEDD) 

La dernière évaluation 

réalisée 

Cet indicateur permet d’analyser au fil du temps la dépendance de la structure aux énergies fossiles et 

sa contribution aux émissions de gaz à effet de serre. Il permet aussi d’évaluer l’efficacité des actions 

mises en œuvre par la structure pour réduire ses émissions et contribuer à la lutte contre le changement 

climatique. 


(évolution du volume d’activité, évolution du patrimoine immobilier, externalisation de services, etc.). 

Bilan GES réglementaire, Bilan Carbone® 

Le référentiel méthodologique retenu est celui de la méthodologie Bilan Carbone® de l’ADEME. 

Le responsable collecte les émissions totales pour le scope 1&2 et, si réalisé, pour le scope 3 sur les 2 

dernières évaluations. 

Référent Bilan GES/Carbone®, Direction générale 

27

ENV3 CONSOMMATION D'EAU 

Type : 

Chiffré 

Cet indicateur suit l’évolution des consommations d’eau en volume (m 3 ) utilisées pour l’activité courante 

de la structure. 

Définition 

Est à comptabiliser dans cet indicateur toute eau prélevée faisant l’objet d’une tarification (par 

exemple : facture de la municipalité pour le prélèvement sur le réseau, redevance payée à l’agence de 

l’eau pour des prélèvements en milieu naturel…). 

Deux sources d’eau sont prises en compte : 

Prélèvements sur les réseaux : Volumes d’eau prélevés sur des réseaux municipaux, 

Prélèvements dans le milieu naturel : Volumes d’eau prélevés directement dans le milieu naturel (forage, 

eau de rivière…). 

Mode de 

calcul 

Cible 


Sources de 

donnée 

Collecte 

Personnes à 

mobiliser 

L’eau pluviale récupérée est exclue de cet indicateur. 

Volume d ′ eau facturé (en m3) [année N − 1] − Volume d ′ eau facturé (en m3) [année N − 2] 

Volume d ′ × 100 

eau facturé (en m3) [année N − 2] 

Note : l’eau pluviale récupérée est exclue de cet indicateur. 




Cet indicateur nous informe sur l'évolution de la consommation d'eau de la structure. Sa variation peut 

traduire les résultats des actions menées par la structure en matière de réduction de ses consommations 

d’eau (réduction à la source) et d’efficacité (optimisation des besoins en eau des procédés et des 

équipements). 



Factures d’eau du réseau, relevés de compteurs d’eau, facture des organismes de tarification (Agence 

de l’eau) 

Le responsable collecte les volumes d’eau consommés via les relevés de compteurs et le suivi des 

factures. Il vérifie la cohérence avec les données antérieures et celle des factures avec les relevés de 

compteurs 

Direction technique, Moyens généraux. 

28

ENV4 MOBILITÉ DURABLE 

Type : 

Maturité 

Définition 

Niveau de maturité de la mise en œuvre d'une politique de mobilité durable. 

La mobilité durable (ou écomobilité) désigne l’ensemble des choix et des pratiques mis en œuvre par tous 

les acteurs de la mobilité, de l’usager au décideur public, en accord avec les enjeux et principes du 

développement durable. La limitation du réflexe à circuler seul en voiture (autosolisme), la priorité aux 

transports collectifs ou aux modes de transports doux sont autant de comportements en phase avec le 

concept de mobilité durable. 

Exemples d’actions visant à améliorer les déplacements : remboursement d’une carte de transports en 

commun au-delà des 50% règlementaires, mise en place d’un système de co-voiturage, utilisation ou mise 

à disposition de véhicules électriques, remboursement de kilométrage à vélo, aménagement des horaires 

de travail, etc. 

Exemples d’actions visant à améliorer l’accessibilité de la structure aux bénéficiaires : meilleure 

signalétique et accès directs, offre de ramassage à domicile pour les personnes n’ayant pas de véhicule, 

ajout d’arrêts de transport en commun pour la structure, etc. 

Pour rappel, le seuil pour l'obligation de mettre en œuvre un plan de mobilité entreprise est prévu à l'article 

L1214-8-2 II du code des transports : "Dans le périmètre d'un plan de déplacements urbains, toute 

entreprise regroupant au moins cent travailleurs sur un même site élabore un plan de mobilité pour 

améliorer la mobilité de son personnel et encourager l'utilisation des transports en commun et le recours 

au covoiturage. L'entreprise qui ne respecte pas cette obligation ne peut bénéficier du soutien technique 

et financier de l'Agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie." 

(https://www.legifrance.gouv.fr/affichCode.do;jsessionid=D4F345FD0DA894458282F9B8E9B65BCD.tpdila2 

2v_3?idSectionTA=LEGISCTA000023086207&cidTexte=LEGITEXT000023086525&dateTexte=20170104). 

Mode de 

calcul 


Sources de 

donnée 

Collecte 

Personnes à 

mobiliser 




Quelles pratiques relatives à la mobilité mettez-vous en œuvre au sein de votre structure ? 

1. La structure n’a pas encore pris en compte l’enjeu de la mobilité pour ses employés et les 

bénéficiaires (patients et personnes accompagnées…) 

2. La structure a réalisé un Plan de Déplacement Entreprise (PDE) 

3. La structure a mis en place un plan d’action de premier niveau : ensemble de mesures visant à 

l’amélioration des déplacements liés aux activités professionnelles (trajets domicile/travail, 

déplacements professionnels) 

4. La structure a mis en place un plan d’action de second niveau : ensemble de mesures visant à 

l’amélioration de l’accessibilité de la structure pour les bénéficiaires et partenaires 

5. Les actions de mobilité durable sont régulièrement évaluées et améliorées 



N-1 


l’implication volontaire de la structure. Cet indicateur permet d’évaluer le niveau de prise en compte de 

la mobilité durable par la structure. Plus le niveau est élevé et plus la structure est mature. 




Chargé de la mobilité, Direction de la structure. 

29

ENV5a GESTION DES DÉCHETS 

Type : 

Maturité 

Niveau de maturité de la mise en œuvre d'une politique globale de gestion des déchets. 

Définition 

Il s’agit, au-delà des actions ponctuelles, de construire une politique cohérente et complète comprenant : 

un Plan interne de traitement et d’élimination des déchets décrivant de façon exhaustive le 

traitement et les bonnes pratiques à appliquer dans la structure, ainsi que les objectifs de 

réduction de déchets visés ; 

une organisation prenant en charge la mise en œuvre de ce plan, et intégrant l’ensemble du 

cycle déchet, depuis les spécifications en amont des achats, les conditions de livraisons, la gestion 

des flux internes et de la production, et les prestataires de collecte / transports / élimination ; 

un dispositif responsable de la mise en œuvre, du suivi et de la communication régulière sur la 

mise en œuvre de cette politique et sur ses effets, intégrant les aspects réglementaires, de risques 

sanitaires, d’environnement, sans oublier les aspects économiques. 




Mode de 

calcul 


Sources de 

donnée 

Collecte 

Personnes à 

mobiliser 

Comment s’organise votre structure pour gérer ses déchets ? 


2. La structure a formalisé une politique de gestion des déchets et réalisé une cartographie des 

filières de tri et des quantités produites 

3. La structure s'est donnée des objectifs de réduction et valorisation des déchets avec la mise en 

œuvre du tri sélectif ; les professionnels sont sensibilisés et/ou des formés 

4. La politique d'achats prend en compte la gestion des déchets issus des produits achetés 

5. La politique et les procédures de gestion des déchets sont régulièrement évaluées et améliorées 

; des patients et personnes accompagnées sont sensibilisés au tri des déchets 



N-1 


l’implication volontaire de la structure. Cet indicateur permet d’évaluer le niveau d’implication de la 

structure dans la gestion des déchets. Plus le niveau est élevé et plus la structure est mature. 




Personne responsable de l’élimination des déchets (PRED), Direction générale. 

30

ENV5b GESTION DES DECHETS ALIMENTAIRES 

Type : 

Maturité 

Définition 

Niveau de maturité de la mise en œuvre d'une politique pour réduire et valoriser les déchets alimentaires 

produits par la structure. 

Pour rappel, le seuil est fixé à 10 tonnes / an et 60 l. d'huile alimentaire / an pour l'obligation de tri des biodéchets. 

Ce seuil est fixé par l'arrêté du 12 juillet 2011 pris en application de la loi du 12 juillet 2010 fixant les 

seuils définis à l'article R. 543-225 du code de l'environnement 

(https://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000024388182&fastPos=1&fastReqId=1 

841916099&categorieLien=cid&oldAction=rechTexte) 

soit. 

Mode de 

calcul 


Sources de 

donnée 

Collecte 

Personnes à 

mobiliser 

"En 2016, ce seuil passe à 10 tonnes par an. À partir des données du Ministère de l’agriculture, de 

l’alimentation et de la pêche, cette quantité correspond (à titre indicatif), selon le type d’activité, aux 

nombres de repas suivants : – Secteur hospitalier (deux services) : entre 103 et 204 repas par jour (en 2016 

: de 51 à 102 repas par jour)," http://www.seccobat-valorisation.com/valoriser-les-biodechets/lesstructures-concernees/ 




Comment s’organise votre structure pour traiter les déchets alimentaires ? 


2. La structure trie une partie des déchets alimentaires à des fins de compost/méthanisation 

3. L’ensemble des déchets alimentaires sont compostés/méthanisés 

4. La structure sensibilise les professionnels, patients ou personnes accompagnées à la lutte contre 

le gaspillage alimentaire et composte les déchets alimentaires 

5. La structure mesure le poids des déchets alimentaires compostés et se fixe des objectifs de 

réduction du gaspillage alimentaire. 



N-1 


l’implication volontaire de la structure. Cet indicateur permet d’évaluer le niveau d’implication de la 

structure dans la gestion des déchets alimentaires. Plus le niveau est élevé et plus la structure est mature. 




Personne responsable de l’élimination des déchets (PRED), Direction générale. 

31

ENV5c PRODUCTION DE DÉCHETS SOLIDES RESIDUEL 

Type : 

Chiffré 

Définition 

Cet indicateur suit l’évolution de la production de déchets solides résiduels, en tonnes. 

On entend par déchets résiduels tout déchet non intégré à une filière de recyclage. Il s’agit donc en 

particulier de : gravats, déchets d'activités de soins assimilés aux ordures ménagères (DAOM), déchets 

végétaux non valorisés et déchets alimentaires non compostés. 

Mode de 

calcul 

Cible 


Sources de 

donnée 

Collecte 

Personnes à 

mobiliser 

Pour plus de détails, consulter la publication de l’ANAP « Organisation de la gestion des déchets ». 

Sont exclus : les déchets de chantiers. 

Total Déchets solides résiduels (en tonnes) [année N − 1] − 

Total Déchets solides résiduels (en tonnes) [année N − 2] 

Total Déchets solides résiduels (en tonnes) [année N − 2] 


× 100 



- 7 % de DMA (déchets ménagers et assimilés) par habitant en 2020 par rapport à 2010 (source : plan 

nationale de prévention des déchets 2014-2010) 

Cet indicateur permet d’évaluer comment l’entreprise parvient à adopter une gestion responsable des 

déchets afin de diminuer sa quantité de déchets solides résiduels. Si l’évolution est négative, alors cela 

signifie que la structure a atteint cet objectif. 



Factures des prestataires d’enlèvement de déchets. 

Le responsable prend en compte la pesée effectuée par l’éliminateur / prestataire de de collecte et de 

traitement. Si cette donnée n’est pas disponible, le responsable prend en compte la pesée en interne. Si 

cette donnée n’est pas disponible, il conviendra de définir une approche méthodologique de calcul 

propre à la structure permettant de ramener le volume des déchets à une quantité en tonne. 

Personne responsable de l’élimination des déchets (PRED), Direction technique. 

32

FICHES INDICATEURS DU VOLET ACHATS 

ACH1 MATURITÉ DES PRATIQUES D'ACHATS RESPONSABLES 

Type : 

Maturité 

Niveau de maturité d'une politique d'achats responsables intégrant les enjeux de Développement 

Durable (économiques, environnementaux, sociaux et sociétaux). 

Les structures de santé et médico-sociaux, par le volume et la diversité de leurs achats, peuvent avoir un 

impact important et un effet d’entrainement dans de nombreuses filières professionnelles en intégrant 

dans le choix des produits et services qu’ils achètent, des critères de développement durable. 

Définition 

Le choix concerne les produits achetés mais également celui des services choisis, et notamment les 

nombreux prestataires externes auxquels elles font appel pour assurer certaines activités (restauration, 

blanchisserie, stérilisation, etc.). 

Mode de 

calcul 


Sources de 

donnée 

Collecte 

Personnes à 

mobiliser 

Exemples de critères sociaux : handicap, commerce équitable, insertion, achats locaux. 

Un diagnostic des pratiques d’achats peut porter sur les volumes, les dépenses, l’identification des 

principaux fournisseurs. 

La politique d’achat peut être formalisée dans le projet de la structure, dans les conventions de 

partenariats avec ses fournisseurs, les collectivités, les acteurs territoriaux comme la Chambre de 

Commerce, ou dans un document spécifique. 




Comment votre structure pratique-t-elle ses achats ? 

1. La structure a diagnostiqué ses pratiques d’achats 

2. La structure a ajusté ses achats aux besoins réels afin de rechercher un impact économique 

3. La structure intègre dans sa politique d’achat et d’appels d’offres des critères environnementaux 

4. La structure pratique des achats dans une approche en coût global et intègre des critères 

environnementaux et/ou sociaux 

5. La structure a mis en place un processus de décision et une politique évaluée, améliorée en 

continu et diffusée 



N-1 


l’implication volontaire de la structure. Cet indicateur permet d’évaluer le niveau de mise en œuvre, par 

la structure, de pratiques d’achats responsables. Plus le niveau est élevé et plus la structure est mature. 

Projet de la structure, Politique d’achat. 



Responsable des achats, Direction de la structure 

33

ACH2 

POURCENTAGE DE FOURNISSEURS AYANT SIGNE UNE CONVENTION 

DD AVEC LA STRUCTURE 

Type : 

Chiffré 

Pourcentage des principaux fournisseurs ayant signé une convention d’engagement Développement 

Durable (DD) avec la structure. 

Les principaux fournisseurs sont appréciés en quantité d’achats estimée en nombre d’unités achetées. 

Définition 

Les structures de santé et médico-sociaux, par le volume et la diversité de leurs achats, peuvent avoir un 

impact important et un effet d’entrainement dans de nombreuses filières professionnelles en intégrant 

dans le choix des produits et services qu’ils achètent, des critères de développement durable. 

Mode de 

calcul 

Le choix concerne les produits achetés mais également celui des services choisis, et notamment les 

nombreux prestataires externes auxquels elles font appel pour assurer certaines activités (restauration, 

blanchisserie, stérilisation, etc.). 

Les engagements des fournisseurs doivent recouvrir, au-delà des enjeux économiques, des enjeux 

environnementaux, sociaux et sociétaux intégrés dans les conventions signées avec les fournisseurs. 

Parmi vos 5 principaux fournisseurs (en volume d’achat), combien ont des engagements de 

Développement Durable contractuels avec votre structure ? 

Liste déroulante entre 0 et 5, un seul choix possible. 

Unité Nombre/5 Période de calcul 

Cible 100% 


Sources de 

donnée 

Collecte 

Personnes à 

mobiliser 


N-1 

Cet indicateur permet de mesurer la capacité et/ou la volonté de la structure à imposer à ses principaux 

fournisseurs de s’engager à respecter les enjeux DD. 

Engagement dans le Développement Durable formalisé par tout type de document : label, charte, 

convention ; balance auxiliaire des fournisseurs à l’année N-1. 

Le responsable sélectionne les 5 principaux fournisseurs en comparant leurs volumes d’achats en termes 

de nombre d’unités achetées. Il comptabilise les conventions DD signées avec ces fournisseurs ou les 

conventions dans lesquelles figurent des engagements DD de la part de ces fournisseurs via le suivi des 

achats. 

Responsable des achats, Direction de la structure. 

34

ECO1 

FICHES INDICATEURS DU VOLET ECONOMIQUE 

MISE EN ŒUVRE D'UN TABLEAU DE BORD DE LA PERFORMANCE 

FINANCIERE ET EXTRA-FINANCIÈRE DE LA STRUCTURE 

Type : 

Maturité 

Degré de maturité de la structure dans la mesure et le pilotage de ses données extra-financières dans le 

cadre de son activité. 

Il s’agit pour la structure de faire valoir sa performance financière, mais aussi sociale, environnementale et 

de gouvernance. 

Les finalités sont multiples : 

Promouvoir le Développement Durable en prouvant à chacun que mettre en place de bonnes pratiques 

responsables n’est pas un frein à la croissance financière, et qu’au contraire, c’est un moyen de générer 

de la valeur ajoutée à la structure. 

Encourager la mise en place d'une gestion de la performance globale pour que les actions de la structure 

soient centrées sur la création de valeurs autres que financières, notamment la valeur immatérielle (tous 

les constituants de la structure qui ont de la valeur mais qui ne figurent pas dans son bilan). 

Améliorer la qualité des informations transmises aux parties prenantes. 

Définition 

Les indicateurs extra-financiers sont des indicateurs : 

de type Développement Durable traduisant les enjeux économiques, environnementaux, sociaux 

et sociétaux qui permettent à la structure de démontrer sa maturité ou sa performance sur ces 

enjeux, 

de type financier alternatifs mesurant un retour sur investissement d’actions Développement 

Durable (externalités positives) ou des impacts comme un compte de résultat environnemental 

(coûts des externalités négatives de l’activité de la structure sur l’environnement), 

ou de type Capital Immatériel mesurant la valeur financière ou extra-financière des actifs d’une 

structure : humain, marque, savoir, organisationnel, système d’information, 

fournisseurs/partenaires, bénéficiaires (patients et personnes accompagnées), sociétal, 

environnemental et gouvernance. 

Les indicateurs Développement Durable et les actifs immatériels sont des facteurs clés de la performance 

et de la compétitivité d’une structure et contribuent à sa valeur, surtout celle qui n’est pas visible dans son 

bilan comptable. 




Mode de 

calcul 


Sources de 

donnée 

Collecte 

Personnes à 

mobiliser 

ECO2 

Quels tableaux de bord de performance sont utilisés dans votre structure 

1. La structure n’utilise pas dans ses tableaux de bord d’indicateurs extra-financiers (hors indicateurs 

obligatoires : qualité, etc.) 

2. La structure a identifié des indicateurs extra-financiers mais ne les mesure pas encore 

3. La structure mesure des indicateurs extra-financiers chaque année 

4. La structure exploite et analyse les indicateurs extra-financiers 

5. Des indicateurs extra-financiers sont intégrés dans la démarche globale de pilotage et 

d’amélioration continue de la structure 



N-1 


l’implication volontaire de la structure. Cet indicateur permet de mesurer le niveau d’intégration des 

données extra-financières dans le pilotage de la performance de la structure. 

Rapports d’activité, Tableaux de bord de pilotage stratégique. 




TAUX DE CAPACITE D’AUTO FINANCEMENT 

Type : 

Chiffré 

35

Source : 

Mode de 

calcul : 


Cet indicateur est repris de sources existantes : Hospidiag (F2D), etc.. 

Capacité d’Auto Financement / Total des produits 

Capacité d’Auto Financement = Solde des comptes : 

12 « Résultat de l'exercice » + 675 « Valeur comptable des éléments d'actif cédés » 

+ 68 « Dotation aux amortissements et aux provisions » 

-775 « Produits des cessions d'immobilisations » 

- 777 « Quote-part des subventions amortissables transférées au compte de résultat» 

- 78« Reprises sur amortissements et provisions» 

Total des produits = solde des comptes : 

Produits d'exploitation (70 à 75 +781+791-sd709) 

+ Produits financiers (76) 

+ Produits exceptionnels (77 + 7874 + 7876 + 797) 

Un taux insuffisant témoigne de l'incapacité de l'établissement à couvrir ses investissements futurs et leur 

financement. Attention : si l'établissement a un projet très important à financer (comme une reconstruction 

totale), l'analyse approfondie du PPI et du PGFP sont incontournables. 

Dans le secteur privé, ce taux peut être biaisé par le paiement de loyers à une SCI propriétaire ou par 

l'acquisition des locaux via un crédit-bail (par des loyers de PPP dans le public) 

Dans le secteur public, plusieurs facteurs peuvent biaiser cet indicateur qui doit dans ce cas être retraité : 

crédits exceptionnels, reports de charges (ex : cf. charges sur exercices antérieurs - compte 67), ... 

ECO3 

Source : 

TAUX D’ENDETTEMENT 

Cet indicateur est repris de sources existantes : Hospidiag, etc. 

Type : 

Chiffré 

ECO4 

Source : 

TAUX DE VETUSTE DES BATIMENTS 

Cet indicateur est repris de sources existantes : Hospidiag (F8D), etc. 

Amortissements cumulés des bâtiments / Valeur brute des bâtiments 

Type : 

Chiffré 

Mode de 

calcul : 


Amortissements cumulés des bâtiments = soldes créditeurs des comptes : 

2813 « Amortissements des constructions sur sol propre » +2814 « Amortissements des constructions sur sol 

d'autrui » +2913 « Dépréciations des constructions sur sol propre » +2914 « Dépréciations des constructions 

sur sol d'autrui » 

Valeur brute des bâtiments = soldes débiteurs des comptes : 

213 "Constructions sur sol propre" +214 "Constructions sur sol d'autrui' 

Il mesure la part moyenne des bâtiments déjà amortis et permet d'estimer la vétusté moyenne de ceuxci. 

Biais : quand l'immobilier est externalisé dans une SCI, association. Ces ratios ne sont pas significatifs. 

Interprétation : la comparaison entre établissements de cet indicateur doit être prudente du fait de 

l'hétérogénéité des pratiques en termes de durée d'amortissement et de mise au rebut. 

Il faudrait croiser ce taux avec la durée d'amortissement. Se référer aux valeurs indicatives données par la 

comptabilité pour vérifier que le taux n'est pas biaisé. 

36

GOV1a 

FICHES INDICATEURS DE GOUVERNANCE 

NIVEAU D’INTÉGRATION DU DÉVELOPPEMENT DURABLE DANS LES 

PROJETS MAJEURS DE LA STRUCTURE 

Type : 

Maturité 

Définition 

Cet indicateur présente le niveau de maturité de l'intégration du Développement Durable (enjeux 

économiques, environnementaux, sociaux et sociétaux) dans les projets majeurs de la structure. 

Un projet peut avoir des effets divers : les effets bénéfiques recherchés, mais aussi des effets indésirables. 

Pour concrétiser dans la pratique sa volonté de s’engager dans le Développement Durable, la structure 

doit mettre en place les processus et outils appropriés pour dégager une vue d’ensemble des impacts 

positifs et négatifs engendrés par ses projets sur l’ensemble des dimensions du Développement Durable 

(économiques, environnementales, sociales ou sociétales). Ce type d’évaluation permet à la structure 

de prendre des décisions et de concevoir des projets qui soient en accord avec le Développement 

Durable, sur la base de critères objectifs. 

On entend par projets majeurs les projets impactant fortement l’activité de la structure ou impliquant 

des investissements importants de ressources tels que : 

Le projet d’établissement, projet d’organisme gestionnaire, projet associatif 

Des projets immobiliers (constructions ou rénovation de bâtiments) 

Des projets de modification (suppressions de structures ou de prestations, modification de l’offre 

de prestations…) ou de développement d’activité (ouverture de nouvelles structures, 

développement de nouvelles activités, prestations, …) 

Des projets de réorganisation ou de restructuration (fusion de structures ou de services…) 




Mode de 

calcul 


Comment intégrez-vous les enjeux du Développement Durable (durabilité à la fois économique, sociale, 

sociétale et environnementale) dans les projets majeurs de votre structure ? 

1. Les projets majeurs de la structure tiennent compte des impacts sur au moins l’un des enjeux du 

Développement Durable : environnementaux, sociaux, sociétaux ou économiques. 

2. Les projets majeurs de la structure tiennent compte des impacts sur tous les enjeux du 

Développement Durable : environnementaux, sociaux, sociétaux ou économiques. 

3. Les impacts des projets majeurs de la structure sur les enjeux du Développement Durable sont 

positifs et font l’objet d’un engagement (projet d’établissement, fiche action dans le CPOM, 

articles dans les conventions de partenariat, …) 

4. Les impacts des projets majeurs de la structure sur les enjeux du Développement Durable font 

l’objet d’une évaluation, suivi et amélioration continue 

5. Tous les projets de la structure font l’objet d’une formalisation, d’une évaluation, d’un suivi et 

d’une amélioration continue en matière d’enjeux du Développement Durable 



N-1 


d’évaluer l’implication volontaire de la structure. Cet indicateur permet d’évaluer le niveau d’intégration 

des enjeux du Développement Durable dans les projets de la structure. Plus le niveau est élevé et plus la 


Sources de 

donnée 

Collecte 

Personnes à 

mobiliser 

Projet de l’établissement ; Rapport d’activité 




37

GOV1b 

ENGAGEMENT DANS UNE DEMARCHE DE CERTIFICATION, 

ENREGISTREMENT OU DE LABELLISATION EN RSE 

Type : 

Maturité 

Définition 

Mode de 

calcul 

Cet indicateur présente le niveau d’engagement de la structure sur le DD au travers de la recherche de 

certification, enregistrement ou labellisation en RSE. 

Exemples de certifications/enregistrements/labellisations en RSE : EMAS, ISO 14001, etc. 




Votre établissement s’est-il engagé dans une démarche de certification, enregistrement ou de 

labellisation en RSE ? 

1. Non, ce n’est pas envisagé 

2. Non, mais c’est en projet 

3. Oui, la certification/enregistrement/labellisation est en cours 

4. Oui, la certification/enregistrement/labellisation a été obtenue 

5. Oui, plusieurs certifications/enregistrement/labellisation ont été obtenues et sont renouvelées 



N-1 


Cet indicateur permet d’évaluer le niveau d’engagement de la structure dans une démarche de 

certification, enregistrement ou labellisation en RSE. Plus le niveau est élevé et plus la structure est mature. 

Sources de 

donnée 

Collecte 

Personnes à 

mobiliser 

Projet de l’établissement, Rapport d’activité. 



Direction de la structure. 

38

GOV1 

c 

POURCENTAGE DE L'EFFECTIF MISSIONNE SUR DES ACTIONS DE 

DÉVELOPPEMENT DURABLE 

Type : 

Chiffré 

Définition 

Mode de 

calcul 

Cet indicateur suit la proportion de salariés ayant des missions en lien avec des problématiques de 

Développement Durable (DD : enjeux économiques, environnementaux, sociaux et sociétaux). 

La part de l’effectif ayant contribué à la démarche DD au cours de l’année hors obligations 

réglementaires s’apprécie en nombre de personnes. 

Sont à considérer : 

Les personnes dont la fonction est dédiée à temps plein ou partiel à la mise en œuvre du DD 

(Directeur, Responsable, chargé de projets DD…) 

Les personnes ayant une mission ou une fonction DD inscrite dans leur fiche de poste en plus 

d’autres fonctions 

Les personnes dont la fonction n’est pas en lien avec le DD mais qui ont mis en œuvre ou 

coordonné des projets DD menés à leur initiative ou confiés par la Direction de la structure 

La structure peut compter également les personnes bénévoles impliquées dans les actions DD de la 

structure (administrateurs de l’association, missions confiées à des proches ou sympathisants). 

Nombre de professionnels 

en charge d ′ actions de DD 


ETP total 



N-1 

Cible 


Sources de 

donnée 

Collecte 

Personnes à 

mobiliser 

Cet indicateur permet de mesurer le niveau de mobilisation des professionnels sur les enjeux DD au sein 

de la structure. En effet, une démarche DD qui a du sens doit impérativement être portée par les salariés 

de la structure. 

Système d’information RH, Listes des équipes projets DD. 

Le responsable identifie les personnes missionnées sur les projets DD (engagement formel ou oral). 

Direction des ressources humaines / Direction de la structure 

GOV2 

NIVEAU D'IMPLICATION DES 3 PRINCIPALES PARTIES PRENANTES 

DANS LES PROJETS MAJEURS DE LA STRUCTURE 

Type : 

Maturité 

Cet indicateur présente le niveau d'implication des trois principales parties prenantes dans le 

développement des projets majeurs de la structure : 

Les professionnels et bénévoles de la structure 

Les bénéficiaires (patients et personnes accompagnées) et leurs proches 

Les fournisseurs et partenaires 

Définition 

Le dialogue avec les parties prenantes est au cœur des démarches de Développement Durable des 

organisations. Pour une structure, engager un dialogue avec l’ensemble de ses parties prenantes, c’est 

entreprendre une démarche d’ouverture plus engagée en faveur d’une création de valeur commune et 

d’un développement stratégique à plus long terme. Cette démarche permet également de renforcer la 

qualité d’une cartographie de risques et d’opportunités. 

Les projets majeurs sont des projets impactant fortement l’activité de la structure ou impliquant des 

investissements importants de ressources tels que : 

Le projet d’établissement, projet d’organisme gestionnaire, projet associatif 

Des projets immobiliers (constructions ou rénovation de bâtiments) 

Des projets de modification (suppressions de structures ou de prestations, modification de l’offre 

de prestations…) ou de développement d’activité (ouverture de nouvelles structures, 

développement de nouvelles activités, prestations, …) 

39

Des projets de réorganisation ou de restructuration (fusion de structures ou de services…) 

Les différents niveaux d’implication des parties prenantes sont définis ainsi (Guide du dialogue entre les 

parties prenantes : http://rse.anap.fr/publication/575) : 

L’information consiste à transmettre des données qui présentent un intérêt ou peuvent avoir un 

impact sur/pour les parties prenantes : l’émetteur transmet une information factuelle. Informer 

des parties prenantes permet de partager une connaissance commune entre acteurs en 

présence. 

La consultation désigne des situations et des modalités où l’organisation est en attente et 

demande un avis à ses parties prenantes. 

La concertation est la mise en place, par l’organisation, de moyens et de dispositions 

constructives pour se comprendre, délibérer, échanger et agir « de concert ». La concertation 

avec les parties prenantes permet de considérer les informations, les opinions et/ou les arguments 

de chacun en vue et au-delà d’une compréhension mutuelle, d’aboutir à prendre des mesures, 

individuellement, ou collectivement sur l’élaboration, la mise en œuvre et la révision de la 

stratégie de développement durable ou de responsabilité sociétale. 

L’association est un processus dans lequel les participants sont impliqués et ont la possibilité 

d’influencer l’élaboration et la mise en œuvre de la responsabilité sociétale. 




Mode de 

calcul 

Trois questions sont posées : 

GOV2a : Comment mobilisez-vous les professionnels et bénévoles de la structure dans la définition et la 

mise en œuvre des projets majeurs de la structure ? 

GOV2b : Comment mobilisez-vous les bénéficiaires (patients et personnes accompagnées) et leurs 

proches dans la définition et la mise en œuvre des projets majeurs de la structure ? 

GOV2c : Comment mobilisez-vous les fournisseurs et partenaires dans la définition et la mise en œuvre des 

projets majeurs de la structure ? 


Sources de 

donnée 

Collecte 

Personnes à 

mobiliser 

Pour chaque question, l’implication s’apprécie ainsi : 








N-1 


d’évaluer l’implication volontaire de la structure. Cet indicateur permet d’évaluer comment la structure 

implique ses 3 parties prenantes et jusqu’à quel niveau. Plus le niveau est élevé et plus la structure est 

mature. 

Projet de l’établissement, Rapport d’activité. 




40

OBSERVATOIRE DU DD EN SANTE

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