Le MAG à ZYNE - Numéro 1
Le Numéro 1 (Novembre 2017) Le MAG à ZYNE est un magazine tunisien qui s’intéresse à l'art, culture et Lifestyle.
Le Numéro 1 (Novembre 2017)
Le MAG à ZYNE est un magazine tunisien qui s’intéresse à l'art, culture et Lifestyle.
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N°1 - 01 Novembre 2017<br />
Gratuit<br />
#1<br />
SUR LES<br />
BONNES<br />
RAYURES<br />
Fadhila<br />
#ValeurAbsolue<br />
ALPHA<br />
<strong>à</strong> <strong>ZYNE</strong><br />
<strong>MAG</strong><br />
SUPPLÉMENT<br />
LE<br />
HOMME<br />
POUR<br />
JCC 2017<br />
#EvénementCinéma<br />
En attendant<br />
la 28e Session
ÉDITO<br />
Pourquoi « le <strong>MAG</strong><strong>à</strong><strong>ZYNE</strong> » ?<br />
Nous n’avons pas trouvé plus éloquent pour résumer notre mission<br />
éditoriale. <strong>Le</strong> « <strong>ZYNE</strong> » (La beauté en Tunisien) se manifeste partout<br />
autour de nous dans ce pays si généreux.<br />
La beauté qui se manifeste chaque jour autour de nous, <strong>à</strong> travers les<br />
jeunes artistes qui essayent de faire bouger les choses, les tunisiens<br />
qui accueillent chaque journée avec de l’espoir et une conviction de<br />
faire bouger les choses.<br />
<strong>Le</strong> <strong>MAG</strong><strong>à</strong><strong>ZYNE</strong> veut contribuer <strong>à</strong> la promotion des créateurs tunisiens<br />
de tout horizon et la mise en lumière de la scène artistique du pays.<br />
Moderne, chic, et parfois ludique, le ton est adapté de façon <strong>à</strong> être le<br />
parfait compagnon de ses lecteurs.<br />
Nous parlerons culture, nous parlerons beauté, nous parlerons de vie<br />
de tous les jours, par conséquent, nous ne parlerons pas de<br />
l’inauguration de la cité de la culture.<br />
Slim Chaouch<br />
Est un magazine gratuit édité par<br />
Seven Two Communication<br />
CONTACT<br />
Téléphone: (+216) 72 238 392<br />
Mobile: (+216) 28 351 079<br />
Mail: contact@lemagazyne.tn<br />
lemagazyne.tn
6<br />
N°1<br />
SOMMAIRE<br />
SUR LES<br />
BONNES<br />
RAYURES<br />
Fadhila<br />
#ValeurAbsolue<br />
JCC 2017<br />
En attendant la 28 session<br />
#EvénementCinéma<br />
13
10<br />
12<br />
27<br />
« DREAMCATCHER »<br />
TOUT COMMENCE<br />
PAR UN RÊVE !<br />
L’ODEUR DE LA LUMIÈRE<br />
19<br />
ALPHA<br />
<strong>à</strong> <strong>ZYNE</strong><br />
<strong>MAG</strong><br />
LE TOP 10<br />
DES VOITURES DE<br />
Cristiano Ronaldo<br />
COMMENT PASSER POUR UN ABRUTI<br />
SUR LES RÉSEAUX SOCIAUX EN 10<br />
LEÇONS?<br />
Sneakers<br />
Notre Sélection Cool<br />
LE BUDGET MOYEN D'UNE<br />
FACEBOOKEUSE TUNISIENNE
mode<br />
SUR LES<br />
BONNES<br />
RAYURES<br />
Fadhila<br />
L ' O R I G I N A L<br />
<strong>Le</strong> Mythique "Mérioul Fadhila", le pull col tunisien<br />
légendaire et symbole de tout un pays, revient plus<br />
flamboyant que jamais.<br />
Avant tout, un petit aperçu sur son<br />
historique :<br />
Sa première commercialisation fut<br />
en 1957, par la société Cohen sous la<br />
direction de David Sitruk. C’est <strong>à</strong><br />
partir de 1968 que SOGEMO (aujourd<br />
-’hui devenu le Groupe Bacosport)<br />
acquérait la marque "Fadhila" et<br />
commença alors sa commercialisa<br />
-tion en Tunisie et dans le monde.<br />
<strong>Le</strong> nom "Fadhila" nous renvoie au feu<br />
« Fadhila Khetmi » (1905-1992), une<br />
femme aussi exceptionnelle que le<br />
pull qui porte son nom : Ce fut la<br />
première femme <strong>à</strong> fonder une troupe<br />
tunisienne de théâtre au milieu du<br />
20ème siècle, c'était aussi une<br />
artiste et une animatrice radio qui a<br />
rendu célèbre ce « Mérioul » <strong>à</strong><br />
rayures.<br />
Jadis porté fièrement par Claudia<br />
Cardinale, Brigitte Bardot et<br />
d’autres stars internationales, cet<br />
habit a failli tomber dans l’oubli.<br />
Mais, heureusement que le collectif<br />
« Be Tounsi » et Bacosport, dans une<br />
belle initiative de préserver ce<br />
patrimoine, l'ont remis au goût du<br />
jour.<br />
7
mode<br />
Claudia Cardinale<br />
Brigitte Bardot<br />
Une nouvelle jeunesse pour tout un<br />
symbole :<br />
<strong>Le</strong>s droits du produit original sont<br />
aujourd’hui détenus par le groupe<br />
Bacosport qui œuvre pour redonner<br />
les lettres de noblesse <strong>à</strong> « Mérioul<br />
Fadhila », sous le nom de "Fadhila<br />
l'original". En effet, le groupe a fait<br />
appel <strong>à</strong> des jeunes créateurs<br />
tunisiens <strong>à</strong> l’occasion de son 50ème<br />
anniversaire pour lancer sa nouvelle<br />
collection 2017.<br />
Aujourd’hui décliné en plusieurs<br />
modèles et colories, « Fadhila<br />
l'original» a lancé une large gamme<br />
de produits tels que des maillots de<br />
bains, des robes, des chemises, etc,<br />
toujours fidèle aux motifs originaux<br />
<strong>à</strong> rayures.<br />
8
mode<br />
Devenu incontournable pour garnir<br />
une garde-robe féminine ou<br />
masculine, le célèbre "Mérioul" si<br />
talentueusement revisité pourrait<br />
satisfaire toutes les envies, allant du<br />
casualclothing jusqu'aux special<br />
occasions. Porté de différentes<br />
manières et se mariant très bien<br />
avec tous les styles, il fera toujours<br />
sensation.<br />
Malgré ses rayures, il n’a point pris<br />
de rides, toujours aussi chic et<br />
glamour.<br />
9
« DREAMCATCHER » :<br />
lifestyle<br />
TOUT COMMENCE PAR UN RÊVE !<br />
C’est dans un café de la belle Goulette que j’ai eu la chance de rencontrer Hela, la « Halazouna » en<br />
personne. Une jeune femme tout sourire, avec des rêves plein les yeux, et c’est souvent de rêve qu’il s’agit<br />
avec elle justement.<br />
« Halazounette » est sans conteste la référence en matière de dreamcatchers en Tunisie, mais compte-t-elle<br />
en rester l<strong>à</strong> ? Surement pas.<br />
Avant toute chose, c’est quoi un « dreamcatcher »<br />
ou « capteur de rêves » ?<br />
Dans la culture amérindienne, les capteurs de rêves sont<br />
accrochés du côté où le soleil se lève, afin que la lumière<br />
du jour puisse détruire les mauvais rêves qui se sont<br />
installés dans les perles et les fils de la toile.<br />
<strong>Le</strong> capteur de rêves est utilisé pour aider <strong>à</strong> contrôler les<br />
rêves, dans la mesure où l'on peut contrôler ses pensées,<br />
sa vie. À l'origine, il était destiné aux enfants qui<br />
faisaient de mauvais rêves. Il s'agit d'un petit cerceau<br />
fait d'une branche d'arbre. Dans ce cerceau, est tissé un<br />
filet de la forme d'une toile d'araignée comportant un<br />
trou au centre. Pendant la nuit, les mauvais rêves<br />
resteront pris dans le filet, pour être brûlés par les<br />
premières lueurs du jour. <strong>Le</strong>s beaux rêves passeront <strong>à</strong><br />
travers le trou du centre pour être conservés dans les<br />
plumes installées autour du cerceau.<br />
« Halazounette » et ses capteurs de rêves<br />
« Halazounette » est une créatrice de « dreamcatcher »,<br />
elle en a fait sa passion. Elle décline cet objet sous<br />
plusieurs tailles et formes : collier, boucles d’oreilles<br />
etc…<br />
La palette est de couleurs est multiples, les<br />
compositions et décorations sont toutes jolies pour vous<br />
permettre de dormir paisiblement et sereinement.<br />
Chaque « dreamcatcher » est unique et personnalisé<br />
selon l’humeur, le gout et les envies de celui qui veut<br />
s’en procurer ou en fabriquer.<br />
Mise <strong>à</strong> part la légende, cet objet est aussi devenu un<br />
objet de décoration très subtil qu’on peut intégrer dans<br />
n’importe quelle pièce de la maison, voiture ou même<br />
bureau.<br />
10
« Halazounette » et ses rêves<br />
En réalité pendant cet entretien, nous avions parlé de<br />
tout et de rien, de sa passion pour son travail<br />
assurément, mais même des croquettes pour chiens et<br />
ce fut très plaisant de découvrir l’univers de cette jeune<br />
femme pleine de talent et d’ambitions.<br />
Excusez du peu, elle vise le Guinness Book, en effet, son<br />
rêve <strong>à</strong> elle c’est de fabriquer le plus grand «<br />
Dreamcatcher » du monde en Tunisie, que cela devienne<br />
une attraction touristique et non une installation<br />
éphémère. Ce projet est malheureusement encore en<br />
suspend, faute de soutient institutionnel. Cette idée <strong>à</strong><br />
juste besoin d’un espace public dédié, et une prise en<br />
charge des matériaux. Ce ne sont ni les espaces qui<br />
manquent, et connaissant les éventuels frais, ça frôle le<br />
dérisoire.<br />
Hela est aussi une femme avisée avec une vision de<br />
développement de son entreprise, on vous en dira pas<br />
plus dans cet article, mais on suivra de près ce se<br />
passera dans le monde de la « Halazounette ».<br />
lifestyle<br />
11
lifestyle<br />
L’ODEUR DE LA LUMIÈRE<br />
Lao-Tseu a dit :<br />
« Mieux vaut<br />
allumer une bougie,<br />
que maudire les<br />
ténèbres. »<br />
Avec « intemporel »<br />
point de ténèbres,<br />
juste de la lumière<br />
et des senteurs.<br />
Pour les amoureux des lumières<br />
tamisées aux senteurs délicieuses :<br />
Une large gamme de bougies<br />
parfumées est celui qu’on vous<br />
propose, des bougies d’intérieurs<br />
ou d’extérieurs, des centaines de<br />
modèles s’étalant sur 30 senteurs,<br />
c’est pour vous dire, qu’on a le<br />
choix.<br />
On vous propose même le remplis<br />
-sage vos contenants personnels.<br />
Tout est personnalisable c’est<br />
« Intemporel », et beaucoup de<br />
grandes enseignes de l’hôtellerie<br />
et de la restauration font appel <strong>à</strong><br />
eux pour sublimer leurs intérieurs<br />
on l’y intégrant la touche charme,<br />
la touche « Intemporel ».<br />
Pour le bien-être et la relaxation :<br />
Sans vouloir faire de jeux de mots,<br />
des produits qui font perdre la<br />
notion du temps, pendant un bain<br />
par exemple ?!!<br />
Intemporel propose des savons<br />
parfumés ou encore des boules de<br />
bain qui se feront un plaisir de<br />
disparaître dans l’eau pour laisser<br />
place <strong>à</strong> une odeur unique et<br />
magique.<br />
Une belle recette pour oublier le<br />
stresse du quotidien, se détendre,<br />
respirer et prendre du plaisir.<br />
<strong>Le</strong> luxe <strong>à</strong> portée de main.<br />
Offrez-vous une package qui vous<br />
fera vivre des moments de pur<br />
bonheur « Intemporel ».<br />
12
JCC 2017<br />
cinéma<br />
En attendant la 28 session<br />
Lancé en 1966, l’événement le plus ancien<br />
et le plus prestigieux en Afrique et dans le<br />
monde arabe affiche une volonté de retour<br />
<strong>à</strong> ses valeurs fondatrices...<br />
e
Ils font leur grand retour :<br />
Tout commence par l’identité visuelle, en effet,<br />
on notera le retour de l’ancien logo et l’ancienne<br />
charte graphique abandonnés depuis quelques<br />
sessions.<br />
La réouverture de Ciné-Africa après 6 ans<br />
d’inactivité et le retour des débats qui se<br />
tiendront au café-théâtre « l’étoile du nord »<br />
(Avenue Farhat Hached - Tunis) et seront animé<br />
par les membres de la FTCC (Fédération<br />
Tunisienne des Ciné Clubs)<br />
cinéma<br />
La cérémonie d’ouverture :<br />
La 28ème édition des journées cinématographi<br />
-ques de Carthage sera inaugurée au Colisée de<br />
Tunis le 04 novembre 2017 et sera transmise en<br />
direct sur la chaîne nationale tunisienne.<br />
Pour l’occasion, le film d’ouverture sera<br />
“Writing on Snow”, le film du réalisateur palesti<br />
-nien Rashid Masharawi. <strong>Le</strong> film sera projeté en<br />
première mondiale <strong>à</strong> l’occasion des JCC.<br />
A rappeler que plusieurs séquences de “Writing<br />
on Snow” ont été filmées en Tunisie.<br />
Nejib AYED - Président des JCC<br />
Synopsis<br />
<strong>Le</strong> film se déroule en une nuit. Cinq Palestiniens sont piégés<br />
dans un petit appartement pendant la guerre sur la Bande de<br />
Gaza. <strong>Le</strong>s divisions politiques et sociales entre eux, l'intolérance<br />
religieuse et le manque d'acceptation de l'autre en dépit de la<br />
différence, sont des facteurs qui vont au-del<strong>à</strong> de leur solidarité<br />
et affaiblissent leur résistance contre l'occupation israélienne.<br />
Rashid MASHARWI<br />
Rashid Masharawi vit et travaille <strong>à</strong> Ramallah où il a créé le Centre<br />
de Production et de Distribution Cinématographique en 1996 pour<br />
promouvoir le cinéma local. Il sponsorise également un cinéma<br />
mobile qui lui permet de faire des projections dans les camps de<br />
réfugiés. Il organise régulièrement des lectures et forums de<br />
discussions au Centre Culturel Al-Matal. Il est également connu<br />
pour ses fictions et documentaires pour lesquels il a été récom<br />
-pensé plusieurs fois. Parmi ses films: «The Shelter», (1989),<br />
«Haifa» (1996), «Waiting», (2005) et «Laila's Birthday» (2008).<br />
14
<strong>Le</strong>s compétitions officielles des JCC 2017 :<br />
51 films repartis sur 27 pays concourront lors des<br />
journées cinématographiques de Carthage dans 4<br />
catégories :<br />
cinéma<br />
Compétition officielle Longs-métrages de fiction<br />
(14 films) :<br />
“La belle et la meute” de Kaouther Ben Hania (Tunisie)<br />
“Mustafa Z” de Nidhal Chatta (Tunisie)<br />
La belle et la meute de Kaouther Ben Hania<br />
“En Attendant les hirondelles” de Karim Moussaoui<br />
(Algérie)<br />
“Félicite” d’Alain Gomis (Sénégal)<br />
“Headbang Lullaby” de Hicham Lasri (Maroc)<br />
“Inxeba” de John Trengove (Afrique du Sud)<br />
“Miraculous Weapons” de Jean Pierre Bekolo<br />
(Cameroun)<br />
“Sheikh Jackson” d’Amr Salama (Egypte)<br />
The train of Salt and Sugar de Licinio Azevedo<br />
“The train of Salt and Sugar” de Licinio Azevedo<br />
(Mozambique)<br />
“Vent du nord” de Walid Mattar (Tunisie)<br />
“Volubilis” de Faouzi Bensaidi (Maroc)<br />
“Wallay” de Berni Goldblat (Burkina Faso)<br />
“Affaire n 23" de Ziad Doueiri (Liban/France)<br />
”Homs Rain” de Joud Said (Syrie)<br />
Homs Rain de Joud Said<br />
15
Compétition officielle courts-métrages de fiction<br />
(15 films) :<br />
“Apnée “d’Insaf Arafa (Tunisie)<br />
“<strong>Le</strong>s secrets des vents” d’Imene Alnasiri (Tunisie)<br />
“Ghost Hunting” de Raed Andoni (Palestine)<br />
“Havibon” de Hakar Abdulqader (Irak)<br />
“Kemtiyu-Séex Anta” d’Ousmane William Mbaye<br />
(Sénégal)<br />
cinéma<br />
“Aya” de Moufida Fedhila (Tunisie)<br />
“Antananarivo Tiako Ianao” de Haminiaina<br />
Ratovoarivony (Madagascar/Etats Unis )<br />
“Cargo” de Karim Rahbani (Liban/France/Chypre)<br />
“Dem Dem” de Lopy Pape Bouname de Christophe<br />
Rolin (Sénégal/Luxembourg)<br />
“Fallou” d’Alassane Sy (Sénégal/Royame Uni)<br />
“M-001” de Franck A.R Ounouviet (Gabon/France)<br />
“Sacrilège” de Saber Christophe (Egypte/Suisse)<br />
“Tikitat-A-Soulima” d’Ayoub Layoussifi (Maroc/France)<br />
“Un homme, deux théâtres” d’Aissa Djouamaa et<br />
Rabah Slimani (Algérie)<br />
“Al Sheikh Noel” de Saad Al Essamy (Iraq)<br />
“Essad3” de Mu’taz Salloum (Liban)<br />
“Sur le toit de Damas” d’Almuhannad Kalthom (Syrie)<br />
“Ounes” d’Ahmed Nader (Egypte)<br />
Compétition officielle longs-métrages<br />
Documentaires (14 films) :<br />
“Upon the Shadow” de Nada Mezni Hafaiedh (Tunisie)<br />
“Gafsa année Zéro” de Nejia Ben Mabrouk (Tunisie)<br />
“Couscous : les graines de la dignité”” de Habib Ayeb<br />
(Tunisie)<br />
“17” de Widad Shafakoj (Jordanie)<br />
“Koro du Bakoro” de Simplice Herman Ganou (Burkina<br />
Faso)<br />
“La bataille d’Alger, un film dans l’histoire” de Malek<br />
Bensmail (Algérie)<br />
“Maman Colonelle” de Dieudo Hamadi (République<br />
démocratique du Congo)<br />
“Ouaga Girls” de Theresa Traore Dahlberg (Burkina<br />
Faso)<br />
“Whose Country” de Mohamed Siam (Egypte)<br />
“A feeling greater than love” de Mary Jirmanus Saba<br />
(Liban)<br />
Compétition officielle courts-métrages<br />
Documentaires (8 films) :<br />
“Cloch’art’’ de Manel Katri (Tunisie/Allemagne)<br />
“Gaza By Her” de May Odeh (Palestine)<br />
“Jackenson” de Linda <strong>Le</strong>ila Diatta et Jean Marc Poteau<br />
(Niger/Mali)<br />
“Né en prison” d’Henriette S Hangnammey (Togo)<br />
“Quatre ans après” de Julie Anne Melville<br />
(Madagascar)<br />
“Une lettre <strong>à</strong> Paxy” de Tshoper Kabambi (République<br />
démocratique du Congo)<br />
“Pas de ports pour les petits bateaux” de Joelle Abou<br />
Chabké (Liban)<br />
“Ennaht fi ezzaman” de Nasser Youssef (Egypte).<br />
“83 Orange Peels” de Klarahammoud (Syrie)<br />
16
Hania, sont réfléchis et reflètent une<br />
documentaire, on sent, et ce n’est pas<br />
« spolier » le film, mais l<strong>à</strong> aussi on ressent<br />
situation, consciemment ou pas donne<br />
CINÉMA<br />
Zeineb n'aime pas la neige<br />
<strong>Le</strong> tanit d'or 2016<br />
U N F I L M D E K A O U T H A R B E N H A N I A<br />
Elle a beau ne pas aimer la neige, on ne<br />
<strong>Le</strong> film passe par trois étapes essentielles<br />
peut que l’aimer cette Zaineb ainsi que<br />
<strong>à</strong> la construction du récit, l’exposition, la<br />
tous les protagonistes de ce film.<br />
rupture, le traitement et en fin la chute.<br />
<strong>Le</strong> film traverse 6 ans et quelques milliers<br />
Je ne vous en dis pas plus pour ne pas<br />
de kilomètres pour nous raconter cette<br />
histoire touchante et attachante. <strong>Le</strong>s<br />
le métier.<br />
choix de la réalisatrice Kaouther Ben<br />
L’adaptation de la prise de vue <strong>à</strong> chaque<br />
maturité et une vision qui sautent aux<br />
yeux.<br />
beaucoup de relief au film, on peut<br />
Bien que le film soit présenté comme<br />
passer de la « caméra de surveillance »<br />
qui est l<strong>à</strong> pour témoigner, aux cadres<br />
péjoratif, une certaine mise en scène <strong>à</strong> ne<br />
posés qui respectent toutes les « règles »<br />
pas confondre avec direction d’acteur.<br />
du cadrage classique, ou encore le<br />
Mais elle est opérée par les choix de la<br />
cadrage « reportage » quand on sent le<br />
réalisatrice et les situations dans<br />
poids de la caméra portée qui suit une<br />
lesquelles évoluent les sujets de ce film.<br />
action et qui bouge énormément.<br />
Elle a beau ne pas aimer<br />
la neige, on ne peut que<br />
l’aimer cette Zaineb<br />
ainsi que tous les<br />
protagonistes de ce film.
narration, chacun peut percevoir l’axe qui lui<br />
« cachés » dans le film une photo de la<br />
Aronofsky. C’est sans doute par hasard, mais<br />
P.<strong>Le</strong> Segretain - Getty Images<br />
CINÉMA<br />
KAOUTHAR BEN HANIA<br />
Zaineb n’aime pas la neige, n’est pas un film<br />
pour les enfants, ni pour les adultes, c’est un<br />
film où on évolue selon plusieurs axes de<br />
parle le plus mais le tout s’imbrique dans<br />
une sorte d’équilibre instable.<br />
C’est un film qui répond <strong>à</strong> certaines<br />
questions et en pose d’autres, avec plusieurs<br />
niveaux de compréhension.<br />
<strong>Le</strong>s plus observateurs, auront remarqué,<br />
grande « Marlene Dietrich » et une affiche du<br />
film « Requiem for a Dream » de Darren<br />
le hasard fait bien les choses.<br />
On souhaite au film et <strong>à</strong> sa réalisatrice les<br />
mêmes succès et renommé, Kaouther Ben<br />
Hania est plusieurs fois primée et ce n’est<br />
pas dû au hasard.<br />
18
L'origine du mâle<br />
<strong>MAG</strong> <strong>à</strong> <strong>ZYNE</strong><br />
ALPHA<br />
LE TOP 10<br />
DES VOITURES DE<br />
Cristiano Ronaldo<br />
COMMENT PASSER POUR UN ABRUTI<br />
SUR LES RÉSEAUX SOCIAUX EN 10<br />
LEÇONS?<br />
Sneakers<br />
Notre Sélection Cool
LE ALPHA<br />
<strong>ZYNE</strong> <strong>à</strong> <strong>MAG</strong><br />
TOP 10<br />
DES VOITURES DE<br />
Cristiano Ronaldo<br />
Un petit tour dans le garage de CR7, pour vous sortir un top 10<br />
des voitures du meilleur joueur de football au monde.<br />
<strong>Le</strong> Cristiano adore les bagnoles et voici le classement de la<br />
moins chère <strong>à</strong> la plus coûteuse, attention, c'est du lourd:<br />
10<br />
Mercedes GLE 63 S Coupé<br />
140 000 €<br />
408 000 TND<br />
12 Clio<br />
Porsche 911 Turbo S<br />
200 000 €<br />
583 000 TND<br />
17 Clio<br />
9
8<br />
Mercedes Classe S Coupé 65 AMG<br />
254 000 €<br />
741 000 TND<br />
21 Clio<br />
ALPHA<br />
<strong>à</strong> <strong>ZYNE</strong><br />
<strong>MAG</strong><br />
McLaren MP4 12C HS<br />
260 000 €<br />
758 000 TND<br />
22 Clio<br />
7<br />
6<br />
Rolls Royce Ghost<br />
280 000 €<br />
816 000 TND<br />
24 Clio<br />
Ferrari 599 GTO<br />
320 000 €<br />
933 000 TND<br />
27 Clio<br />
5
ALPHA<br />
<strong>à</strong> <strong>ZYNE</strong><br />
<strong>MAG</strong><br />
Lamborghini Aventador<br />
324 000 €<br />
945 000 TND<br />
28 Clio<br />
4<br />
3<br />
Ferrari F12 TDF<br />
+ de 380 000 €<br />
1 108 000 TND<br />
32 Clio<br />
Bugatti Veyron Super Sport<br />
2 000 000 €<br />
5 828 000 TND<br />
172 Clio<br />
2<br />
1<br />
Bugatti Chiron<br />
2 400 000 €<br />
6 993 500 TND<br />
205 Clio
COMMENT PASSER POUR UN<br />
ABRUTI SUR LES RÉSEAUX<br />
SOCIAUX EN 10 LEÇONS?<br />
En Tunisie, nous avons une fâcheuse tendance <strong>à</strong> aliéner les fonctions initiales des<br />
choses. Fréquemment, on tombe dans "le coté obscure", pour les réseaux sociaux,<br />
le "coté obscure" s'appelle: conneries, âneries et tutti quanti...<br />
A défaut de lire les instructions et les conditions d'utilisations, voici les 10 règles<br />
de base pour passer pour un parfait abruti:<br />
ALPHA<br />
<strong>à</strong> <strong>ZYNE</strong><br />
<strong>MAG</strong><br />
1- Être un « serial liker »<br />
Mettre des "likes" sur tout et n'importe quoi, mais surtout, tomber en admiration<br />
devant tout ce que publie la fille sur laquelle tu as des vues, même les photos moches,<br />
cheveux gras etc...arrêtez le massacre, ce n'est pas comme ça que tu vas la séduire.<br />
2- Se vanter de ne pas être un intellectuel<br />
Autant l'afficher clairement, Balance une vidéo où tu expliques que tu es un débile<br />
profond, franchement les mecs, nous ne sommes plus <strong>à</strong> l'école primaire, les têtes<br />
d'ampoules réussissent aujourd'hui.<br />
3- Suivre les conseils débiles lus sur les réseaux<br />
NON, NON.....et NON!!!! <strong>Le</strong>s conseils du genre: "Ne t'engage pas, amasse de l'argent et<br />
pars en voyage" ça ne marche pas!! Si tu veux gagner de l'argent, vas travailler au lieu<br />
de suivre des conseils débiles sur facebook.<br />
4- Mettre des hashtags « # » en dépit du bon sens<br />
Mettre « #bon_son » sur une chanson de Nour Chiba, ça n'a pas le moindre sens....<br />
5- Croire aux fake news<br />
Un éléphant jaune poussin qui débarque en centre ville du Kef accompagné d'une licorne<br />
qui vomi des arcs-en-ciel...ça sent un peu le fake quand même, je dis ça, je dis rien!<br />
6- Partager les résultats des applications débiles qui prédissent l’avenir<br />
L<strong>à</strong> c'est du lourd, on parle bien d'un programme informatique binaire, <strong>à</strong> base de 0 et<br />
de 1. Il ne prédit rien du tout, même pas le première lettre du prénom du mec qui va<br />
t'écraser en bagnole. Rien...WAAAAAAAALOU!!!<br />
7- Relayer pour la 1000ème fois la même blague débile<br />
Faut-il expliquer pourquoi c'est débile?!!!<br />
8- Ecrire « slt cv »<br />
Nous sommes d'accord pour dire que ce ne sont pas les expressions les plus longues<br />
de la langue française, c'est juste "dbl" (débile sans les voyelles).<br />
9- Partager des photos de la personne qui fête son anniversaire<br />
La personne fête sont ANNIVERSAIRE, elle n'est pas décédée !! En lui rappelant que vous<br />
avez bu un café ensemble en 2000 preuve <strong>à</strong> l'appuie, ne fait pas de vous un meilleur<br />
ami.<br />
10- Être plusieurs sur une photo de profil<br />
Profil "personnel" version SARL, pas plus débile votre honneur!!!
ALPHA<br />
<strong>à</strong> <strong>ZYNE</strong><br />
<strong>MAG</strong><br />
Sneakers<br />
Notre Sélection Cool<br />
Sneakers, d'après wikipédia, désigne des chaussures de sport détournées<br />
<strong>à</strong> un usage citadin. <strong>Le</strong>s sneakers se distinguent par leur côté esthétique et<br />
sont aussi des accessoires de mode qui ont été employés dans le monde<br />
du hip-hop dans les années 1980 avant de devenir dans les années 2000<br />
des marques de "streetwear" qui se répandent dans la culture populaire.<br />
ALPHA-<strong>MAG</strong><strong>à</strong><strong>ZYNE</strong> vous a fait sa petite sélection des incontournables pour<br />
avoir le monde <strong>à</strong> ses pieds.<br />
Converse All Star Vampire Diaries Grey Denim High Tops<br />
Adidas Stan Smith Textile Core Black
Vans Sk-8 Mid MTE DX<br />
ALPHA<br />
<strong>à</strong> <strong>ZYNE</strong><br />
<strong>MAG</strong><br />
NEW BALANCE ML574<br />
Nike Air Vortex Dark Atomic Teal
26<br />
Après un parcours en psychopathie<br />
classique, le Dr.Bortman s'est orienté vers<br />
la perversion narcissique clinique puis un<br />
cursus de bipolarité avec option<br />
schizophrénie.<br />
<strong>Le</strong> Docteur, touche <strong>à</strong> tout et c'est le cas de<br />
le dire de part son obsession sexuelle.<br />
Il pratique la manipulation en tant<br />
qu'amateur éclairé, toujours poursuivi en<br />
justice mais jamais condamné.<br />
Il met un point d'honneur <strong>à</strong> ne suivre aucun<br />
traitement, il se définie comme un<br />
défenseur de la liberté des troubles<br />
mentaux au naturel.
humour<br />
LE BUDGET MOYEN D'UNE<br />
FACEBOOKEUSE TUNISIENNE<br />
Par le Dr.Bortman<br />
Depuis quelques temps, j'observe discrètement, cela va sans dire,<br />
les tunisiennes sur les réseaux sociaux et plus particulièrement sur face<br />
- book. Cette étude qui n'a aucun intérêt scientifique, vise simplement <strong>à</strong><br />
avoir plus d'indices pour les apprivoiser et pouvoir se fondre dans leur<br />
habitat naturel. Gracieusement, j'ai décidé de partager avec vous les<br />
résultats de mes recherches que voici:<br />
CHAPITRE 1 : Définition d'une facebookeuse<br />
tunisienne<br />
Contrairement aux idées reçue, il ne suffit pas<br />
d'être de nationalité tunisienne, de sexe féminin et<br />
avoir un compte facebook pour être considérée<br />
comme facebookeuse tunisienne.<br />
Une FBT (Facebookeuse tunisienne) est un concept<br />
<strong>à</strong> part entière qui repose sur quelques bases:<br />
1 - Ne jamais mettre son vrai nom et prénom<br />
mais opter plutôt pour un pseudonyme, et il y a<br />
plusieurs écoles.<br />
Par exemple: "Choucha Tarboucha", "Noussa<br />
Karroussa"... ou encore "Selma" qui se transforme<br />
en "Sally", "Mannena" ou "Mongia" en "Mannou",<br />
"Kalthoum" en "Kathy" etc...<br />
Cette première phase s'appelle la "glamourisation"<br />
d'un nom pourri.<br />
2 - Une vraie FBT commencera par envoyer des<br />
demandes d'amitié <strong>à</strong> tour de bras <strong>à</strong> tous les mecs<br />
qui se photographient <strong>à</strong> coté ou <strong>à</strong> l'intérieur d'une<br />
voiture, ceux qui portent des lunettes de soleil<br />
façon masque <strong>à</strong> gaz même dans un endroit clos,<br />
dans une piscine, les mecs dont la coiffure ressem<br />
-ble plus <strong>à</strong> un toboggan pour jardin d'enfants <strong>à</strong><br />
force de s’anesthésier le cerveau avec du gel pour<br />
les cheveux.<br />
Ce choix n'est pas anodin, parce que la BFT sait que<br />
ce profil est plus sensible au motif léopard et plus<br />
susceptible de balancer des likes.<br />
Cette phase s'intitule: "<strong>Le</strong> piège <strong>à</strong> cons", comme son<br />
nom l'indique, elle sert <strong>à</strong> collectionner des cons<br />
d'élevage.<br />
3 - Pendant cette phase, la FBT va se concentrer<br />
sur la nourriture de son troupeau. Il est <strong>à</strong> noter que<br />
le régime alimentaire du con d'élevage est <strong>à</strong> base<br />
de selfies, décolletés plongeants, imprimés léopard<br />
("Ennemri" pour les intimes), faux ongles, lentilles<br />
de couleur, chansons romantiques <strong>à</strong> la sauce liba<br />
-naise et citations <strong>à</strong> deux balles.<br />
La FBT, maîtrise parfaitement les filtres pour les<br />
photos et les angles de prise de vue. Elle connais<br />
par cœur les pages du type "Savez-vous que?"<br />
Cette phase de "zombiefication" du troupeau de<br />
con est charnière pour la suite des événements.
CHAPITRE 2 : Déroulement théorique d'une<br />
journée standard d'une FBT<br />
Théoriquement, la FBT ne travaille pas, elle<br />
porte un titre de noblesse, "princesse" en<br />
général. Donc sa journée ne commence pas par un<br />
petit-déjeuner mais par un brunch supposé être<br />
dans un endroit en vogue, une série de photos est<br />
tout de suite publiée sur facebook accompagnée<br />
d'une citation aussi profonde que sa tasse de<br />
café.<br />
L'heure du déjeuné arrive très vite chez une<br />
FBT, la deuxième escale est un restaurant chic<br />
avec une "collègue FBT", la présence de tierce<br />
personne vise <strong>à</strong> crédibiliser la deuxième vague de<br />
photos.<br />
L'après-midi des FBT se passe généralement<br />
dans un centre esthétique où elles se font ravaler<br />
la façade, ce qui nous vaut la troisième volée de<br />
photos et le fameux "journée inoubliable avec..."<br />
Pendant cette partie de la journée, la FBT répond<br />
aux messages et commentaires de son troupeau<br />
<strong>à</strong> coups de "slt sa va" et de "tik sahha" (ce ne<br />
sont pas des fautes de frappes).<br />
Après ça la FBT passe en mode soirée, photos<br />
d'elle dans sa chambre en tenue de soirée,<br />
l'incontournable photo dans la voiture et le<br />
reportage en direct depuis un endroit branché.<br />
Résultat: Une journée féerique, troupeau de cons<br />
maintenu sous anesthésie cérébrale et il est<br />
temps pour nous de faire les comptes:<br />
Brunch (30) + Déjeuner (50) + Ravalement de<br />
façade (100) + Soirée en boite (50) = 230 dinars /<br />
jour. (les minimas)<br />
CHAPITRE 3 : Déroulement pratique d'une<br />
journée standard d'une FBT<br />
Nous sommes d'accord que seule une vraie<br />
princesse pourrait soutenir le rythme de la FBT et<br />
nous savons tous comment a fini "Lady Di" alors<br />
arrêtons le massacre.<br />
En réalité, la FBT habite chez ses parents, le<br />
seul point commun qu'elle a avec une princesse<br />
c'est le mot "princesse" imprimé sur son pyjama.<br />
Elle se réveille chaque matin avec les cris du<br />
marchand ambulant qui passe sous sa fenêtre,<br />
les photos du brunch qu'elle poste sont en réalité<br />
une seule et unique sortie. Et c'est la même<br />
manière d'opérer pour tout le reste <strong>à</strong> savoir une<br />
sortie par un, un max de photos et une distribu<br />
-tion au compte goûtes.<br />
La seule réalité dans ça, c'est le troupeau de<br />
cons qui like tout ce qui bouge. Ceux l<strong>à</strong> sont les<br />
fournisseurs de la BFT en cartes de recharges<br />
téléphoniques.<br />
En définitif, le budget d'une facebookeuse<br />
tunisienne ne dépasse pas 230 dinars / an.<br />
"FBT : Facebookeuse<br />
tunisienne"<br />
CONCLUSION:<br />
Suite <strong>à</strong> cette expérience et en vu des résultats,<br />
les chercheurs, c'est <strong>à</strong> dire moi le Dr.Bortman,<br />
sommes catégoriques:<br />
Nous ne sommes pas assez équipés en matière<br />
grise pour utiliser les réseaux sociaux.<br />
De ce fait, si votre fille prononce le mot<br />
brunch, mettez l<strong>à</strong> sous surveillance pour<br />
s'assurer qu'elle ne se métamorphose pas en FBT.<br />
Si votre fils commence <strong>à</strong> acheter trop de<br />
cartes de recharges, castrez le, nous avons assez<br />
de cons comme ça.<br />
Par contre si c'est votre mari, c'est une bonne<br />
nouvelle, vous pouvez ramasser un max d'argent<br />
après le divorce.<br />
humour<br />
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To be continued...