Magazine ESG Rennes n°11

Claranet, qui investit dans le bien être au travail, ne s’arrête pas là pour autant. Elle se réinvente sans cesse et
continue d’évoluer. C’est ce qui fait d’elle “the great place to work”.
3 questions à : Justine Debourge, Feel Good Manager chez My Little Paris.
Comment définir le contexte du bonheur au travail aujourd’hui ?
C’est trouver du sens dans son job et savoir pourquoi on se lève le matin. Ne pas voir ça comme une “corvée”
mais comme quelque chose d’inspirant, de stimulant et d’entraînant.
Quels dispositifs My Little Paris met en place pour chouchouter ses équipes ?
Nous organisons des “creative morning” : tous les deux mois, nous prenons le petit déjeuner au bureau avec
une personnalité inspirante qui nous donne les clés de sa créativité. Nous organisons des megalabs une fois
tous les deux mois au théâtre parisien de l’Atelier. Dix personnes de My
Little viennent pitcher d’un livre, d’une opération, d’une marque qui les inspirent. Une opportunité pour se retrouver
tous ensemble et partager un bon moment. Tous les mercredis, nous organisons aussi des apéros et
des soirées sur un thème “wahouu”.
Quel est l’impact de ces actions sur la vie des employés et des employeurs ?
La génération qui rentre sur le marché du travail depuis 10 ans est amenée à avoir plusieurs jobs en une vie.
Fini les CDI et les 20 ans d’ancienneté. Désormais les employés recherchent autre chose dans leurs métiers
et il faut s’adapter à ce nouveau schéma. Garder les bons éléments est un enjeu de taille. Le bonheur au
travail est un facteur à prendre en compte. De plus, un employé plus heureux est un employé plus productif
donc l’employeur a tout à gagner à privilégier le bien-être de ses employés. Moi, j’aime à penser que s’ils sont
heureux au travail, ils ramènent un peu de ce bonheur chez eux le soir et c’est pour cette raison que j’exerce
la fonction de Feel Good Manager.
Anna Le Gallou, Léa Nourry, Enora Quinton, Anais Ruban, Constance Lanher
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