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LA GAZETTE DE NICOLE 007

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La<br />

<strong>DE</strong> Nicole<br />

THE NEWS OF MADAME ESTEROLLE<br />

N<br />

U<br />

M<br />

É<br />

R<br />

O<br />

7<br />

BESSIE HARVEY C<strong>LA</strong>UDIUS CAP B<strong>LA</strong>NC ERNEST DÜKÜ<br />

JACQUES FLECHEMULLER FRIEDRICH SCHRÖ<strong>DE</strong>R SONNENSTERN<br />

JOEL GORLIER JEAN MARIE MARTIN OLIVIER BLOT PHILIPPE AINI<br />

TOF VANMARQUE ROSAIRE APPEL


<strong>NICOLE</strong> A CHANGÉ <strong>DE</strong> CRÈMERIE !!!<br />

POUR NE RATER AUCUN NUMÉRO <strong>DE</strong> <strong>LA</strong> <strong>GAZETTE</strong> <strong>DE</strong> <strong>NICOLE</strong><br />

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<strong>NICOLE</strong> VOUS DIT : « COCHEZ FOLLOW »! ;-)


C’est toujours un plaisir que d’extraire 10 artistes des<br />

4000 qui figurent dans nicolemuseum.fr pour les mettre<br />

en exergue dans cette flamboyante gazette que réalise<br />

l’excellent Jean-Jacques Tachdjian… C’est aussi le regret<br />

de ne pouvoir en choisir des centaines d’autres tout aussi<br />

méritants, libres, percutants et républicains.<br />

Cette gazette, tout comme le nicolemuseum.fr, se propose<br />

comme « arme de reconstruction massive » face aux<br />

armées de « casseurs de codes » formatés, de subversifs<br />

subventionnés, de « déconstructeurs » fonctionnarisés, qui<br />

constituent le gros des troupes du califat bureaucraticofinancier<br />

ministériel, fruits de décennies d’une consanguinité<br />

dégénérative et tératogène, occupant le terrain depuis<br />

quarante ans.<br />

La richesse, la diversité, la générosité, la liberté de cet art<br />

vraiment vivant et contemporain, s’opposent à la misère<br />

tant intellectuelle que sensible, tant esthétique de morale, de<br />

cet art conceptualo-postural encore dominant.<br />

Espérons que cette luxuriance que j’essaie de montrer, va<br />

bientôt submerger cette misère née du totalitarisme d’État.<br />

e_nicole_esterolle<br />

Nicole Estérolle<br />

Et puis je vous suggère d’aller faire un tour sur mon site<br />

www.schtroumpf-emergent.com


Bessie Harvey


Bessie Harvey,<br />

artiste folk<br />

« Ce n’est pas moi<br />

l’artiste, c’est Dieu !<br />

On m’appelle Bessie Harvey, artiste<br />

folk… Mais ce n’est pas moi l’artiste,<br />

car c’est Dieu qui est l’artiste dans mon<br />

travail. La nature et les insectes, font<br />

mon travail pour moi, parce qu’ils<br />

appartiennent à Dieu. J’appartiens à Dieu<br />

aussi et toutes choses appartiennent à<br />

Dieu, parce qu’il est dans sa parole que<br />

toutes choses sont faites pour lui, que<br />

sans lui rien ne peut être fait. Je sais<br />

que mon art est une forme particulière<br />

d’art, qui dit que le peuple de Dieu est<br />

le peuple, et je veux juste le louanger et<br />

le glorifier à travers mon travail. Mon<br />

travail est une histoire d’amour, et il est<br />

amour. Il utilise les mains que Dieu m’a<br />

données, et l’esprit qui est dans mes<br />

mains et dans mon cœur. »


Claudius Cap Blanc


L’Affabuloscope de Claudius<br />

Cap Blanc est sauvé.<br />

Claudius Cap Blanc, le génial inventeur<br />

du fabuleux Affabuloscope et fabricant<br />

de ses 400 machines en bois et à faire<br />

toutes sortes de choses poétiques, a<br />

fait deux mois de prison pour avoir<br />

osé protester en répandant des vulves<br />

dans toute la région, contre l’intrusion<br />

de l’art dit contemporain dans les<br />

grottes préhistoriques du Mas-d’Azil,<br />

et ce à la grande satisfaction des<br />

blaireaux culturels locaux et des sbires<br />

de la DRAC qui ont bien œuvré pour ça<br />

et pour que disparaisse cette offense<br />

à l’art officiel qu’est cet incroyable<br />

Affabuloscope… lequel aurait donc<br />

fermé sans l’intervention héroîque de<br />

Fred Noiret et de ses amis.<br />

Bon, maintenant il vous faut aller<br />

visiter ce lieu phénoménal… sur<br />

internet d’abord, et puis en vrai.<br />

https://museeaffabuloscope.fr/<br />

http://affabuloscope.fr/affabuloscope/salle-des-machines<br />

https://www.ladepeche.fr/article/2011/04/28/1069950-<br />

affabuloscope-le-soutien-s-organise.html<br />

Musée de l’Affabuloscope<br />

Castera<br />

09290 - LE MAS D’AZIL<br />

affabuloscope@gmail.com<br />

Tel : +33 (0)6 66 04 35 30


Ernest Dükü


À la gloire de l’Afrique<br />

« Depuis que le monde existe, le monde<br />

humain est empreint de symboles. Et<br />

pourtant on dit que l’Afrique n’a pas<br />

d’histoire, parce que rien n’a été écrit. Et<br />

pourtant l’histoire africaine existe bien,<br />

gravée dans des symboles. C’est pourquoi<br />

j’utilise des chiffres et des symboles dans<br />

une volonté de retrouver notre gloire<br />

passée (…) Les images me viennent de mes<br />

lectures, de mes rêves. Dans les livres, je<br />

recherche les choses qui ne peuvent pas<br />

s’écrire, le cœur mystérieux de la vie.<br />

La peinture devient un moyen d’accéder<br />

à la connaissance, ce n’est pas une fin en<br />

soi. Même si des considérations d’ordre<br />

esthétique orientent parfois mon travail,<br />

je veux avant tout raconter simplement<br />

des histoires dans lesquelles le regard des<br />

autres peut s’insérer, s’interroger. »<br />

Ernest Dükü


Jacques Flechemuller


La honte de la<br />

peinture française<br />

Il y avait eu Johnny Weissmuller en « Tarzoon, la honte de la<br />

jungle »… Il y a aujourd’hui Jacques Flechemuller, la honte de<br />

l’art contemporain.<br />

Excellent peintre au demeurant… Mais voilà : révélé en 1981 à<br />

Paris par la galerie Jeanne Bucher, aujourd’hui partagé entre<br />

Brooklyn et l’Ardèche, il régresse pour dire avec tendresse<br />

la vacuité qu’il ressent au sein d’un monde trop léché, trop<br />

convenu.<br />

Il faut être un grand peintre pour faire une peinture<br />

aussi divinement maladroite, mais restant à haute teneur<br />

d’invention picturale.


Friedrich Schröder-


Une carrière exemplaire<br />

Friedrich Schröder Sonnenstern connaît une<br />

adolescence marquée par plusieurs séjours en<br />

maison de correction avant d’être, en 1912, interné<br />

en hôpital psychiatrique, où on lui diagnostique<br />

une démence précoce. Mobilisé en 1915, il est<br />

rapidement déclaré inapte après une brève période<br />

d’observation à l’hôpital psychiatrique de Königsberg.<br />

Entre 1916 à 1919, il est interné à la clinique<br />

psychiatrique de Tilsit, puis à celle de Tapiau. En<br />

octobre 1919, il se rend à Berlin où il se déclare<br />

naturopathe, magnétiseur et astrologue sous<br />

le faux nom de Gustav Gnass. Il fonde une secte<br />

chrétienne, sous le nom d’« Eliot le roi soleil », qui<br />

réunit de nombreux adeptes et crée un « Institut<br />

pour la culture du corps, de l’esprit et de l’âme,<br />

Occultisme, Spiritualisme, Psychographologie »<br />

avec la voyante Martha Möller qu’il rencontre en<br />

1922. Il adopte le pseudonyme de Dr Eliot Gnass von<br />

Sonnenstern et, en 1930, il est arrêté pour extorsion<br />

de fonds et pratique illégale de la médecine, puis<br />

placé dans diverses institutions psychiatriques. C’est<br />

à l’hôpital psychiatrique de Neustadt in Holstein qu’il<br />

rencontre le peintre Hans Ralfs vers 1935 et se met<br />

à dessiner4. Pendant la Seconde Guerre mondiale,<br />

il travaille dans un dépôt d’armes de l’armée de<br />

l’air, puis est incarcéré dans un camp d’internement<br />

pour insulte au mouvement national-socialiste. Il<br />

réussit à s’enfuir en 1942 pour rejoindre Martha<br />

Möller à Berlin. De 1948 à 1952, il réalise des petits<br />

dessins en couleur d’inspiration scatologique et<br />

sexuelle pour illustrer ses textes, contes, poèmes,<br />

chansons et aphorismes qu’il diffuse sous le nom<br />

de Schröder Sonnenstern. La galerie Springer<br />

commence à vendre ses œuvres en 1955 et, en<br />

1959, Friedrich Schröder Sonnenstern est exposé à<br />

Paris par Jean Dubuffet, dans l’exposition Art brut,<br />

puis, quelques mois plus tard, par la galerie Daniel<br />

Cordier, à l’Exposition internationale du Surréalisme<br />

(EROS). À partir de 1961, il reçoit de nombreuses<br />

commandes et engage une assistante pour poser<br />

les couleurs de ses œuvres, puis une seconde. Elles<br />

en viennent à réaliser, selon ses instructions, des<br />

tableaux entiers qu’il se contente de signer. Il accède<br />

alors à une certaine aisance matérielle, dépense<br />

sans compter et, après la mort de Martha Möller<br />

en 1964, sombre dans l’alcoolisme. Désormais, ses<br />

tableaux sont réalisés par d’autres, d’abord avec<br />

son consentement, puis sans son consentement à<br />

partir de la fin des années 1960. En 1974, il est à<br />

nouveau interné en hôpital psychiatrique où il peint<br />

sa dernière œuvre : L’éternel féminin nous attire en<br />

haut.<br />

Sonnenstern


Joël Gorlier


Sculpteur autodidacte<br />

Joël Gorlier annonce d’emblée<br />

son autodidactisme… Non pour se<br />

faire pardonner on ne sait quelle<br />

faiblesse, mais au contraire pour<br />

affirmer un radicalisme plastique,<br />

une sorte de virginité et de pureté<br />

dans sa démarche et dans sa relation<br />

affective aux pierres et à la ferraille.<br />

Il y a de l’originel, du préhistorique<br />

et de l’enfantin dans cette jubilation<br />

qu’il ressent à assembler, souder<br />

et se faire télescoper les éléments…<br />

et son art de type « préhistorique »<br />

est fracassant autant qu’émouvant de<br />

malice, de puissance expressive et<br />

d’humilité.


Jean-Marie Martin<br />

(1922-2012)


« On dirait qu’il peint à coups de langue »<br />

Une figuration ultra – narrative, mystique, illuminée,<br />

hantée par la quête du Graal et l’odeur du goémon.<br />

Une expo en forme d’hommage a lieu en ce moment à<br />

la Collection Cérès Franco de Montolieu.<br />

Voici ce que disait de lui en 1991, le très connu Pierre<br />

Cabane, critique d’art de terrain comme il n’y en a plus<br />

beaucoup aujourd’hui<br />

« Je plains ceux qui ne connaissent pas la peinture de<br />

Martin (1). Imaginez un conteur à l’invention féérique<br />

et baroque, il peint comme il parle et n’arrête pas de<br />

parler. Il parle et peint. Il raconte d’extraordinaires<br />

histoires qui sont ses tableaux. . Chaque toile est un<br />

paragraphe qui s’ajoute au précédent et annonce le<br />

suivant.(…) Alors il dessine, il couvre des<br />

cahiers, des carnets, n’importe quoi,<br />

d’histoires. Il vit entouré de ses tableaux<br />

qui prolifèrent comme des plantes. Dans<br />

tous les sens, ça monte, ça descend,<br />

ça grouille, ça tient comme ça peut, ça<br />

ruisselle de couleurs… On dirait qu’il peint<br />

à coup de langue »<br />

1- Les critiques plaignent aujourd’hui les ignorants<br />

qui ne connaissent pas Bertrand Lavier…<br />

http://www.concarneau-peintres.fr/francais/martin/graal.htm<br />

http://www.concarneau-peintres.fr/francais/martin/martin.htm


Olivier BLOT


Allez me hanter plus loin !<br />

« En fait les personnages de mes sculptures<br />

me hantent gentiment. C’est pour leur prier<br />

d’aller hanter plus loin et qu’il y ait de la<br />

place pour les suivants que je les extirpe de<br />

mes pensées et les jette dans mes œuvres.<br />

C’est de cette manière qu’ils sont parvenus<br />

jusqu’à vous, de l’imaginaire à la réalité…<br />

Les sujets de mes œuvres viennent de mes<br />

expériences personnelles et de la façon dont<br />

je les traverse, des sentiments que j’éprouve<br />

en les vivant.<br />

Mon style s’est développé sous l’influence de<br />

nombreux facteurs tels que les chemins de<br />

croix de l’église de mon village, mon intérêt<br />

pour le chamanisme, et de nombreuses<br />

années passées en solitaire dans des contrées<br />

peu peuplées. La musique et la marche<br />

ont toujours été mes principales formes<br />

d’inspirations, nourrissant mon esprit et<br />

mettant en évidence l’image première de la<br />

plupart de mes œuvres. »<br />

Et bien tu vois Olivier, que tu parles très<br />

bien tout seul de ton travail !


Philippe A•ni


Passez à la Maison-Aïni cet été !<br />

Il y a quarante ans environ, du côté de<br />

Bordeaux, un jeune ouvrier pâtissier<br />

nommé Philippe Aïni, avait fait ce<br />

personnage dans un cercueil, qui avait<br />

glissé le Monde du jour avant de s’y<br />

installer… Sur l’image, on voit Aïni, le<br />

21 juin 2018, présentant ce journal<br />

pour attester de la date de la mise en<br />

bière.<br />

Parmi les photos montrées ici, il<br />

y a celle de la Chapelle qu’il avait<br />

décorée, il y a aussi une quarantaine<br />

d’années, et qui avait soulevé l’ire des<br />

paroissiens.<br />

Aujourd’hui, Philippe Aïni, vit et<br />

travaille à Serviès-en-Val, entre la<br />

Grasse et Carcassonne, dans une<br />

gigantesque coopérative vinicole qu’il<br />

a achetée il y a trois ans, et déjà<br />

aménagée pour y exposer cet été une<br />

trentaine d’artistes de haute tenue et<br />

de toutes tendances.


Tof Vanmarque


Aussi ouf que Bosch,<br />

Rauch et Burgert réunis!<br />

« On me demande toujours : où allez-vous<br />

chercher tout ça ? En fait je ne cherche rien,<br />

tout tombe naturellement. Derrière ma tête,<br />

dans le tableau « Inspiration passive », il y a<br />

les éléphants de mon travail passé. Qui m’ont<br />

amené vers mes autres œuvres, à force<br />

de travail et d’instinct. Dès que je commence<br />

une toile, beaucoup d’autres idées surgissent<br />

pour d’autres toiles. Les abeilles reviennent<br />

toujours à la ruche : je sème des idées,<br />

elles reviennent. Le personnage qui sort de<br />

mon œil, c’est l’allégorie de la contemplation,<br />

de l’attirance pour l’inconnu, le choquant,<br />

la sublimation. Devant, des personnages<br />

dansent. La vie suit son cours. Je n’ai qu’à<br />

contempler. Et à rassembler. Sans avoir<br />

l’impression de faire le moindre petit effort. »<br />

Il faut dire qu’il a vécu deux ans sur l’île<br />

bretonne de Molène, battue par les embruns<br />

et le vent du large, sans téléphone, ni<br />

internet.


Soyons clairs,<br />

ON PEUT voir dans cette Nicole de l’immense prince<br />

de l’Op’art des années 60/70, VAZZAROULLI, les<br />

prémices de son œuvre majeure, qu’il fit aboutir à<br />

l’aube des années 90 : « <strong>LA</strong> CAVALCA<strong>DE</strong> DU CAC 40 ».<br />

Cette merveille de la vision visionnaire eut, à l’époque,<br />

l’effet d’une déflagration copulatoire sur la critique<br />

médusée, de Beaux-Arts Press à L’art Ménager,<br />

les avis enflammèrent le landerneau spécialisé<br />

parisien. Cette œuvre si osée et avant-gardiste fut la<br />

dernière de sa carrière, car si elle en fit un artiste<br />

immensément riche, il fut amené à cotoyer les<br />

cocaïnomanes mondains, et, ne s’y étant pas préparé,<br />

décéda l’année qui suivit d’un arret du cœur, laissant<br />

au monde une grande perte et un soulagement.<br />

RIGOLE, PICOLE, BR<br />

75% de<br />

copinage,<br />

100%<br />

d’informations<br />

Jean-Jacques Tachdjian


ICOLE ET <strong>NICOLE</strong> !!!


Rosaire Appel


ASEMIC BOMB<br />

Rosaire Appel est un artiste new yorkais qui<br />

pratique ce que j’appelle la poésie visuelle, une<br />

prolifique déconstruction du sens graphique,<br />

pour ne laisser que ce qui est de l’ordre de<br />

l’innommé, de l’asemique. Son œuvre est<br />

foisonnante, une recherche visuelle permanente<br />

et frénétique, bâtie sur un matériau image brut,<br />

bien souvent imprimé, d’où il extrait un suc<br />

minimal et l’élabore avec une joie sans mots,<br />

pure et chaotique, une beauté qui met à jour<br />

l’essentiel, sans emballage culturel, juste avec<br />

bonheur.<br />

Ses comics asemic sont abstraits, singulier, il ne<br />

reste qu’une trame narrative visuelle que chacun<br />

peut se faire en y projetant son propre vécu, ses<br />

propres associations d’idées, en laissant libres<br />

de jouer dans sa caboche les petits engrammes<br />

mémoriels qui s’entrechoquent au contact de<br />

graphismes étonnant, beaux, parfois tendus<br />

comme un fil de rasoir, parfois calmes et dorés<br />

comme un lac d’émotions.<br />

Ses calligraphies aseptiques ne laissent à<br />

l’écriture que la musique des yeux, une régal de<br />

rebondissements de signes et de rythmes, des<br />

écrits enfin libérés du sens qu’il ont pour fonction<br />

de porter pour entrer dans la seule pureté<br />

formelle, un geyser d’énergie pleine d’émotions<br />

tantôt douces tantôt violentes, je n’ai qu »un mot<br />

pour le qualifier : MIAM!’<br />

Un travail énorme et généreux, une recherche<br />

permanente et déterminée, soyez prévenus, si<br />

sa poésie vous prend vous vous y abandonnerez.<br />

http://rosaireappel.blogspot.com<br />

https://www.rosaireappel.com

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