la liberté en Jésus

Groupe
SIRC sa
(Société
Ivoirienne de
Recherche et de
Communication)
JESUS- CHRIST, LA LIBERTE
DE L’IVOIRIEN ET LOI SUR
LA PRESSE
Chercheur ADHOUT
Théologien

JESUS- CHRIST, LA
LIBERTE DE L’IVOIRIEN
ET LOI SUR LA PRESSE

INTRODUCTION
La loi sur la presse est venue matérialiser pour beaucoup, l’idée de l’épée
de Damoclès sur leurs têtes. Cette compréhension de la loi sociale n’est pas
sans effet sur la saisie même de la liberté d’expression qui se voit comme
entourée par un flou qui donne une certaine difficulté à la saisie de cette
liberté d’expression.
La venue de cette loi n’est pas gratuite en ce sens qu’elle résulte d’une
certaine lecture de l’expression de la liberté dans la société Ivoirienne, lecture
dans laquelle pourrait être trouvé les justifications qui lui ont fait paraître et
imposé comme une nécessité à ce contexte et parce qu’il est cristallisé par
une loi, va donner une justification supplémentaire d’un regard sur la notion
de liberté proposée par le Messie Jésus-Christ. Ce regard sur Jésus-Christ ne
serait-ce que, à cause de la conscience du flou qui entoure la notion de la
liberté d’expression et sa répercutions sur la saisie que le citoyen Ivoirien
Chrétien fait de la liberté mais aussi et surtout, l’appel à l’Ivoirien non encore
Chrétien de le devenir.
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Recherche sur les difficultés du vécu
et des pathologies de la foi.
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I. MISE EN LUMIERE D’UN CONTEXTE SOCIAL
Je pourrai dire Dieu merci que le jeu
politique Ivoirien dans l’affirmation qu’il
fait de ce qu’il est, démontre
suffisamment ce qu’il est par la pratique.
On est arrivé à des façons de
comprendre qu’il lui est propre et dans
lequel ce jeu se reconnait jusqu’à ce
définir une sorte d’identité de politicien
et de politique. Les valeurs essentielles de
la vie de l’Homme ont dès cet instant
leurs justifications. Je pense entre autres
au bien être, au bonheur, tant individuel
que collectif. Il est possible de
comprendre qu’il y’a un regard que le
politique jette sur le peuple. Je peux dire
chose légitime, parce que le regard
quoiqu’on dise est libre mais l’exercice
de la liberté reste soumise à la nécessité d’être partagé. Une raison de cette
nécessité naît du fait que les objets sur lesquelles porte le regard n’est pas la
chose exclusive d’une seul personne. Le bien être par exemple appartient à
chacun et à tous et à chacun son regard sur ce bien être. Ce principe de la
libre expression trouve un terrain où il doit s’exercer véritablement pour ne pas
entrer en confié avec une autre expression de la liberté. C’est à partir d’une
telle description de vécu qu’il devient un peu facile de saisir la naissance de
ce que j’appelle la crise de vérité qui naît dans la société. Le politicien se
voulant bon politicien ne peut que nourrir et avoir pour idéale de faire de son
peuple un peuple de politicien, ne serait-ce que pour satisfaire la nécessité
de se reconnaître en eux c’est-à-dire dans ce peuple. Le peuple aussi veut
un Président, un politique dans lequel il se reconnait. C’est en réalité ce
besoin de reconnaissance que l’on veut satisfaire par l’établissement de la
démocratie.
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1. La question de la différence
Je parle de la naissance de la crise de vérité parce que, à entendre parler
de bien être l’individu que je suis par exemple peut être amené à penser
que l’on parle du mien. De même, je peux penser que l’on s’en prend de la
façon que je ne fais pas de mon bien être.
Cet ainsi que, ceux qui croirons que je m’en prends à leur bien-être s’en
prendront à moi se justifiant simplement et seulement parce qu’ils
comprennent autrement.
Comme le bien être est inscrit en chaque Homme, ne pas savoir l’exprimer
donne nécessairement autres le sentiment qu’ont leurs arraches les leurs ; j’en
viens alors au fait qui est possible de ne pas voir nos contradictions comme
des fatalités et partant, quelque chose qui exige que l’on face à quelqu’un
ce dont on veut se défendre.
Le croyant pour ainsi dire se retrouve à voir son bien être définir par celui qui
ne peut croire. Juste punition pour des croyants qui ne peuvent ce
reconnaitre que dans ce qui les oppose. On en est arrivé à la culture de la
différence qui veut que la différence fasse peur, Cette peur est devenue si
grande qu’elle est devenue une obsession. Mais comme on ne comprend
pas que cette obsession nous empêche de vivre parce qu’elle pousse à ne
voir que celui qui ne pense pas autrement. Je ne sais lequel des hommes
acceptera le sacrifice de ne pas être lui-même pour devenir un autre que luimême.
Doit-on parler de sacrifice ou de suicide ?
2. Naissance de la difficulté de la saisie de la liberté
Notre pays en se voulant laÏc, veut se garder de la chose de la religion à qui il
faut reconnaitre une certaine sensibilité alors, que le jeu politique soit ce qu’il
est, à une certaine raison être. Mais fuir la vérité de Dieu, surtout de celui qui
sont capable de la dire c’est aller tout droit dans les bras des dieux qui n’ont
pas le besoin de vérité. Et l’on sait que le pire ennemie de la religion est celui
qui exprime sa négation.
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II.
COMPRENDRE LA LIBERTE D’EXPRESSION
Quand on a compris que l’on ne doit s’exprimer que pour recueillir le respect
et la reconnaissance des autres, reconnaissance utile à se fortifier soit même
on a tout compris.
Je le dis parce que c’est de sentir fortifier que l’on recherche dans le fond en
s’exprimant ; en vérité c’est le fait de se sentir fortifier que l’on appelle liberté.
1. Comprendre la différence
Le besoin du partage et de la reconnaissance étant utile à notre fortification,
partagé et reconnaissance des autres sont la preuve que qu’on ne peut se
justifier soit même avec ce qui n’est pas différent de nous.
La peur obsessionnelle de la
différence perd toute justification.
Ce n’est donc pas la différence qu’il
faille supprimer mais la peur de la
différence qu’il faut perdre. C’est en
autre la raison pour laquelle la loi ne
peut et ne doit susciter la peur en
Homme, pour éviter à l’Homme de
penser se trouver en face d’une loi
qui ne le reconnait pas, ne le
comprend pas. Une loi sociale à
laquelle on peut croire trouver une
certaine cécité. C’est un fait que
notre jeune histoire de pays a déjà
enregistré la déclaration de la négation de la loi et sa cécité à une certaine
situation du vécu de l’Homme.
Pour ma part, fondant mon besoin de me fortifier moi-même en ce que je dis
par le respect des autres et leurs reconnaissances, le pas à faire n’est plus loin
pour saisir la loi comme cet autre de qui j’attends respect et reconnaissance.
C’est en définitif un devoir auquel ne peut se soustraire la loi. Nul dit-ton n’est
au-dessus de la loi. Nul dit implicitement la loi elle-même ne peut se mettre
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au-dessus d’elle-même. Ceci pour satisfaire à la soif pour moi de trouver une
place dans et par cette loi, et en retour que la loi trouve place dans mon
existence.
La justification que j’ai appelle "ma part" n’est en réalité que la quête pour la
satisfaction de la soif d’être fortifier en moi-même, et partant de l’Homme en
général. L’existence de la soif est justifiée par la mise en lumière du contexte
social où pour trouver une raison, un fondement pour notre existence
collective nous n’avons pas trouvé mieux que ce que laisse paraître le jeu
politique Ivoirien ; dans le sens qui est saisi comme instrument privilège pour la
gestion de notre existence collective et de son devenir. C’est à cette
existence et ce devenir assoiffés que la proposition de Jésus-Christ sur la
liberté constitue une satisfaction, c’est-à-dire ce qui met fin à cette soif.
Je le dis parce que contre-vérité erreur et autres n’ont jamais servi à fortifier et
ne peuvent le faire par leur nature intrinsèque parce que, rupture avec la
notion de vérité.
Comme il est évident que l’illusion n’est pas une destination qu’il est possible
d’atteindre ni un objet palpable, je trouve là une justification de la singularité
que doit constituer mon existence par rapport à la collectivité. Et cela sans
besoin ou nécessité de sa remise en question. C’est dire qu’être chrétien est à
saisir comme une singularité individuelle et collective par rapport à la grande
collectivité, qui n’est pas une rupture, une différence destructive de la
collectivité. N’est-ce pas en cela aussi que consiste l’appelle des écritures
saintes au respect des autorités ?
Là où on est fortifier par Jésus-Christ est là où l’on comprend qu’il est lumière
qui éclaire dans la nuit que constitue toute autre proposition d’existence et
de devenir d’existence. Ainsi, la singularité nourrit à la lumière, enrichie la
différence et lui fait retrouver sa valeur intrinsèque en la débarrassant de ce
qui l’obscurcie.
La liberté d’expression cesse d’être un combat et n’importe lequel pour être
une quête qu’il est possible de satisfaire. En effet là où il y’a espérance le
suicide ne trouve pas place. Il est nécessaire de le dire parce qu’il ne faut
pas continuer à voir dans la privation de liberté l’acte d’interdire telle ou telle
chose à quelqu’un même souvent ce que l’homme pense être essentiel à
l’existence humaine parce que la liberté est bien au-delà de ce là, pour être
la nécessité d’être fortifier en ce qu’on est grâce à l’espérance que suscite la
foi en Jésus-Christ saisi comme Messie
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CONCLUSION
La foi en jésus christ est vie entière et compète, une définition précise et
donnée de la notion de devenir et celle de l’existence Humaine.
Cette affirmation comprise, on devient apte à comprendre le mépris que
suicide en nous le contexte social, l’impasse que ce dernier apparaît pour le
devenir comme ce qui résulte du choix que nous opérons de marcher dans
l’obscurité.
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