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James Bond, l’alcoolique<br />
mondain par excellence<br />
© DR<br />
Des médecins britanniques se sont amusés à analyser l’hygiène de vie du célèbre<br />
agent <strong>007</strong>. Leur conclusion est sans appel: le héros de Ian Fleming force trop sur<br />
la boisson.<br />
Au cinéma, on ne compte<br />
plus le nombre de scènes<br />
où James Bond s’accorde<br />
une pause Vodka Martini.<br />
Ce «petit plaisir» existe bel<br />
et bien dans les livres de Ian Fleming.<br />
L’examen minutieux de son œuvre<br />
par un groupe de médecins britanniques<br />
révèle la vraie nature de <strong>007</strong><br />
: avec 92 unités d’alcool en moyenne<br />
par semaine, le célèbre espion est<br />
un alcoolique invétéré«Il est connu<br />
pour aimer les cigarettes, l’alcool et<br />
les femmes, et sa phrase fétiche est<br />
Vodka Martini, au shaker, pas à la<br />
cuillère (shaken, not stirred), rappellent<br />
les trois médecins qui signent<br />
cet étude originale publiée dans la<br />
revue médicale anglaise BMJ .En<br />
réalité, ce type de cocktail doit être<br />
dans l’idéal «mélangé» et non pas<br />
passé au shaker pour être «secoué»,<br />
écrivent ces médecins très au fait. Ils<br />
suspectent donc la fameuse réplique<br />
de faire référence aux «tremblements<br />
de mains induits par l’alcool» car «en<br />
raison de son niveau de consommation,<br />
James Bond présente un risque<br />
élevé de maladies liées à l’alcool et de<br />
mort prématurée».<br />
22 - supplément gratuit - 2018 - Cinéma Teaser