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PB- PP B-15617<br />
BELGIE(N) - BELGIQUE<br />
-<strong>mail</strong><br />
BULLETIN D’INFORMATION DU CENTRE HOSPITALIER JAN YPERMAN<br />
IEPER/POPERINGE - ANNÉE 18 - JUILLET <strong>2019</strong> - N° <strong>32</strong><br />
www.yperman.net<br />
Dans ce<br />
bulletin<br />
NIPT 2<br />
Laser HoLEP 3<br />
Focus coopération 4-5<br />
Nouveau DPE 7<br />
Cellules-souches 8<br />
Cathlab 8<br />
Y-<strong>mail</strong> est le magazine du<br />
centre hospitalier Jan Yperman<br />
Briekestraat 12 – 8900 Ypres<br />
T 057 35 35 35<br />
info@yperman.net<br />
www.yperman.net<br />
E.R.: Frederik Chanterie<br />
Coordination: Pieter-Jan Breyne<br />
pieter-jan.breyne@yperman.net<br />
P806231<br />
Y-<strong>mail</strong> est réalisé par<br />
f-twee communication<br />
www.f-twee.be<br />
Toelating gesloten verpakking 8/161<br />
Afgiftekantoor Ieper-X<br />
Terugzendadres: Briekestraat 12, 8900 Ieper<br />
Ne pas attendre avec les soins des plaies<br />
> Les médecins généralistes et autres référents vif, par exemple après une intervention chirurgicale.<br />
peuvent envoyer les patients souffrant de plaies D’autres problèmes sont de nature plus chronique et<br />
chroniques ou complexes à la Clinique des soins résultent d’un alitement prolongé.<br />
des plaies. La personne de contact de ce département<br />
multidisciplinaire est le nouvel infirmier en leur chambre et je me concerte avec les infirmières<br />
Filiep Manderyck: « Je rends visite aux patients dans<br />
soins des plaies Filiep Manderyck. <<br />
et les médecins pour décider ce qu’il y a lieu de faire.<br />
Les services gériatriques en particulier doivent être<br />
Filiep Manderyck (à gauche sur la photo) a 35 ans attentifs en permanence aux lésions de macération<br />
d’expérience dans le domaine des soins à domicile et a causées par l’incontinence ainsi qu’aux escarres. Ces<br />
fait un postgraduat de spécialisation en soins des plaies dernières peuvent être évitées en changeant régulièrement<br />
le patient de position. »<br />
et en réparation tissulaire. À la fin de l’année dernière, il<br />
a été engagé au Centre hospitalier Jan Yperman comme Docteur Sohier: « La prévention est avant tout dans<br />
infirmier en soins des plaies. Ce n’est certainement pas l’intérêt du patient, qui évite ainsi bien des problèmes.<br />
un luxe superflu, explique le docteur Stefan Sohier du Mais l’élément des coûts joue aussi. Une escarre<br />
Service de chirurgie générale et abdominale.<br />
peut coûter plus de 25.000 euros par cas à la sécurité<br />
Docteur Stefan Sohier: « Filiep Manderyck connaît sociale. »<br />
toute la gamme des techniques et matériaux utilisés<br />
pour les soins des plaies et il est aussi notre personne SYMPOSIUM<br />
de contact pour tout ce qui concerne ce type de soins. Les soins des plaies constituent un vaste sujet sur<br />
Il est entouré d’une équipe multidisciplinaire. À la clinique<br />
du pied diabétique, Filiep voit aussi des patients jeudi 19 septembre à 20 heures qui sera consacré à<br />
lequel il y a beaucoup à dire. Lors du symposium du<br />
souffrant de plaies chroniques au pied. Il optimalise cette thématique, des infirmiers et médecins spécialisés<br />
viendront aborder quelques sujets brûlants.<br />
les soins et, après concertation, le problème sousjacent<br />
est souvent pris en charge par le chirurgien Filiep Manderyck: « Notre public cible se compose<br />
vasculaire et l’orthopédiste. Intervenir à temps permet surtout des médecins généralistes et des aidessoignants<br />
à domicile, mais cette soirée s’adresse aus-<br />
au patient d’éviter l’amputation. »<br />
Les patients ambulatoires ne sont pas les seuls si aux personnes intéressées de l’hôpital même. »<br />
concernés puisque les patients hospitalisés peuvent<br />
également bénéficier des services de la Clinique des Info: secrétariat Chirurgie,<br />
soins des plaies. Certains d’entre eux ont des plaies à 057 35 72 00 ou secheelkunde@yperman.net<br />
Nederlandse versie op aanvraag<br />
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2<br />
NIPT<br />
99 pour cent<br />
> Le test NIP qui permet de détecter la<br />
trisomie 21, 18 et 13 avec une fiabilité<br />
de 99% est à présent remboursé. <<br />
Le risque d’avoir un enfant atteint de<br />
trisomie 21 (syndrome de Down)<br />
augmente avec l’âge de la mère. Pour une<br />
future maman âgée de 35 ans, le risque<br />
est de 1 sur 350. À 45 ans, il est de 1 sur<br />
34. Presque toutes les femmes passent<br />
un test prénatal pour détecter une<br />
éventuelle affection héréditaire chez leur<br />
enfant. De nos jours, cela se fait au moyen<br />
d’un test prénatal non invasif.<br />
Docteur Jan Quintelier (Gynécologie/Maternité):<br />
« Auparavant, ce test se composait<br />
d’une échographie avec mesure de la<br />
clarté nucale et d’un bilan hormonal. Il ne<br />
permettait de détecter que 90% des syndromes<br />
de Down et 5 à 10% des résultats<br />
donnaient des faux positifs. Dans ce cas,<br />
NIPT utilise l’ADN du foetus présent dans le sang de la mère<br />
nous faisions une ponction amniotique,<br />
alors qu’il n’y avait en fait rien. »<br />
NIPT est beaucoup plus précis et moins<br />
invasif. Le test utilise l’ADN du fœtus<br />
présent dans le sang de la mère pour<br />
détecter la présence d’une anomalie, pas<br />
seulement la trisomie 21, mais aussi la<br />
trisomie 18 (syndrome d’Edwards) et la 13<br />
(syndrome de Patau).<br />
Docteur Quintelier: « NIPT permet la<br />
détection à partir de la dixième semaine<br />
de grossesse avec 99 % de fiabilité. Dans<br />
moins de 1 % des cas, le test donne un faux<br />
positif. Nous faisons toujours une ponction<br />
amniotique lorsque le résultat est positif. »<br />
Le test est réalisé en collaboration avec<br />
la KU Leuven, qui possède une grande<br />
expérience en la matière. « Lorsque les<br />
nouvelles sont mauvaises, les patients<br />
reçoivent un complément d’information du<br />
généticien Koenraad Devriendt. Ils peuvent<br />
aussi compter sur l’appui d’un psychologue<br />
et du Service social. »<br />
Info: secrétariat Gynécologie, 057 35 75 75<br />
ou secgynaeco@yperman.net<br />
Les points<br />
sur le i<br />
> Une réflexion pluridisciplinaire a<br />
permis de définir de manière détaillée<br />
ce qui doit être fait avant, pendant et<br />
après une opération de la thyroïde.<br />
Les points sur le i de thyroïde… <<br />
La thyroïde et la parathyroïde peuvent<br />
connaître divers types de dérèglements<br />
comme des nodules ou une hyperactivité<br />
thyroïdienne. Parfois, l’opération est<br />
inévitable. Au centre hospitalier Jan<br />
Yperman, tous les spécialistes concernés<br />
se sont réunis autour de la table pour<br />
discuter des mesures périopératoires à<br />
prendre dans le cadre d’une pathologie de<br />
la thyroïde ou de la parathyroïde.<br />
Docteur Barbara Deconinck et docteur An<br />
Nollet (Endocrinologie-Diabétologie): « La<br />
chirurgie thyroïdienne nécessite l’intervention<br />
d’un grand nombre de spécialités<br />
médicales: endocrinologie, chirurgie thyroïdienne,<br />
anesthésie, anatomopathologie,<br />
Mieke Vanacker, Martine Vandecandelaere en Hans Terryn, docteur Dries Louage (ORL), Robin De Jaegher, docteur Stijn Deloose<br />
(Pathologie), docteur Stijn Van Wiemeersch (Chirurgie), docteur Barbara Deconinck (Endocrinologie), docteur Kristof Cokelaere<br />
(Patho logie), docteur An Nollet (Endocrinologie), docteur Joris Keeris (Anesthésie), Diana Vanfleteren, pharmacien-biologiste Carol<br />
De Ridder, Marilyn Maerten, docteur Marc De Groof (Isotopes), docteur Sofie Allewaert (Radiologie). Lieselot Minne est manquante<br />
médecine nucléaire, radiologie, biologie<br />
clinique et pharmacie. Ensemble, nous<br />
avons examiné et actualisé chaque étape<br />
du parcours clinique. Quels sont les examens<br />
– isotopes, scanner du cou, ponction<br />
– nécessaires pour l’opération ? Quels sont<br />
les prélèvements sanguins qui doivent être<br />
effectués pendant et après l’intervention ?<br />
Des coupes sous congélations doivent-elles<br />
aussi être réalisées durant l’opération ?<br />
Quelques semaines après cette réunion,<br />
nous avons aussi organisé une concertation<br />
avec les infirmières qui prodiguent les soins<br />
postopératoires aux patients. »<br />
Le but du parcours clinique thyroïde est<br />
d’uniformiser les soins et d’améliorer<br />
leur qualité au maximum. Il est ressorti<br />
de la réunion que nous sommes déjà dans<br />
le bon.<br />
Docteur Nollet: « Nous avons comparé<br />
le nombre de patients opérés, la durée<br />
d’hospitalisation et le pourcentage de<br />
complications aux chiffres internationaux.<br />
Nous sommes satisfaits des résultats,<br />
mais nous poursuivrons évidemment nos<br />
efforts pour faire encore mieux. »<br />
Info: secrétariat Endocrinologie-<br />
Diabétologie, 057 35 72 70 ou<br />
secinwendige@yperman.net<br />
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Oxygénation<br />
à haut débit<br />
Carine Bouw et Liesbeth Bode<br />
> Le Service de Pédiatrie traite les enfants<br />
souffrant de bronchiolite par oxygénothérapie<br />
au moyen d’un système d’assistance<br />
respiratoire à haut débit. Ce traitement<br />
améliore leur confort et les aide à se rétablir<br />
plus vite. <<br />
Cet hiver, le Service de Pédiatrie a enregistré<br />
un afflux massif d’enfants souffrant<br />
de bronchiolite, qui est une inflammation<br />
des voies aériennes inférieures provoquée<br />
par le virus respiratoire syncytial.<br />
Docteur Tine Van Ackere (Pédiatrie):<br />
« La bronchiolite, qui touche surtout le<br />
nourrisson et le jeune enfant de quelques<br />
mois, peut provoquer une détresse<br />
respiratoire grave. Depuis cet hiver, notre<br />
service dispose de canules nasales à haut<br />
débit: il s’agit de lunettes nasales permettant<br />
d’administrer de l’oxygène supplémentaire<br />
à haut débit. Cette méthode<br />
donne de bons résultats. Grâce à ce dispositif,<br />
le nombre d’enfants ayant dû être<br />
transférés à l’unité pédiatrique intensive<br />
de l’UZ Gent a fortement diminué. »<br />
Toutes les infirmières du Service de<br />
Pédiatrie ont suivi une formation pour<br />
apprendre le maniement des appareils<br />
à haut débit.<br />
Liesbeth Bode (infirmière en Pédiatrie):<br />
« L’oxygène est chauffé et humidifié,<br />
ce qui améliore le confort pour les enfants.<br />
Il ne faut pas longtemps avant que<br />
leur respiration devienne plus calme. »<br />
Carine Bouw (infirmière en chef en<br />
Pédiatrie): « Les appareils peuvent s’utiliser<br />
aussi pour les enfants plus grands<br />
souffrant d’une crise d’asthme ou les<br />
adultes souffrant de BPCO ou hospitalisés<br />
aux soins intensifs. De cette manière, nos<br />
ressources sont utilisées de manière optimale.<br />
Nous sommes en tout cas prêts pour<br />
la prochaine saison de VRS. »<br />
Info: secrétariat Pédiatrie, 057 35 75 00<br />
ou secpediatrie@yperman.net<br />
La précision du laser<br />
> Le centre hospitalier Jan Yperman<br />
vient de faire l’acquisition d’un laser<br />
HoLEP. Cette nouvelle technologie<br />
remplace les traitements chirurgicaux<br />
classiques de l’adénome ou hypertrophie<br />
bénigne de la prostate. <<br />
En vieillissant, beaucoup d’hommes ont du<br />
mal à uriner à cause d’une hypertrophie<br />
de la prostate. Cette affection est à ne pas<br />
confondre avec le cancer de la prostate qui<br />
n’engendre en général pas de problèmes<br />
de miction. Il existe des médicaments qui<br />
détendent la prostate ou en réduisent la<br />
taille. Si les symptômes reviennent ou<br />
persistent, une intervention chirurgicale<br />
est nécessaire. Il y a traditionnellement<br />
deux méthodes pour retirer une hypertrophie<br />
bénigne: par les voies urinaires ou,<br />
lorsque la prostate est trop hypertrophiée,<br />
par une incision dans le bas-ventre. L’énucléation<br />
au laser HoLEP est une alternative<br />
à ces deux interventions.<br />
Docteur Matthias Beysens (service d’Urologie):<br />
« La première partie de l’opération<br />
est réalisée au laser. Nous introduisons<br />
une fibre laser (fibre de verre) par les<br />
voies urinaires jusqu’à la prostate pour<br />
découper l’adénome petit bout par petit<br />
bout jusqu’à la paroi originelle de la<br />
prostate. Les tissus se retrouvent dans la<br />
vessie. Nous entrons ensuite par les voies<br />
urinaires un morcellateur qui va broyer<br />
ces tissus et les aspirer. »<br />
L’HoLEP est un appareil coûteux qui doit<br />
être manié par un utilisateur expérimenté.<br />
Cet utilisateur est en l’occurrence le<br />
docteur Beysens qui a suivi son écolage<br />
auprès du docteur Schatteman à l’hôpital<br />
OLV d’Alost. La nouvelle technique offre<br />
d’importants avantages.<br />
Docteur Beysens: « Elle permet de retirer<br />
l’adénome de manière plus complète et<br />
en provoquant moins de saignements. De<br />
plus, l’HoLEP permet aussi d’intervenir<br />
par les voies urinaires, même pour les<br />
Docteur Matthias Beysens<br />
prostates très hypertrophiées. Auparavant,<br />
ces patients devaient rester hospitalisés<br />
pendant près d’une semaine. Ils peuvent<br />
désormais rentrer chez eux après un ou<br />
deux jours. »<br />
Info: secrétariat Chirurgie, 057 35 72 00<br />
ou secheelkunde@yperman.net<br />
3<br />
Y<strong>mail</strong>_<strong>32</strong>_<strong>FR</strong>_v1.indd 3 5/07/19 11:44
4<br />
Focus<br />
sur la<br />
coopération<br />
“Nous nous<br />
complétons bien”<br />
> Un accident de voiture, une chute<br />
ou une insuffisance hépatique…<br />
Beaucoup de patients sont hospitalisés<br />
pour un trouble physique<br />
alors qu’il y a aussi un facteur<br />
psychologique sous-jacent qui<br />
joue. Une addiction à l’alcool<br />
par exemple. C’est pourquoi le<br />
centre hospitalier Jan Yperman<br />
travaille en coopération de plus<br />
en plus étroite avec l’hôpital<br />
psychiatrique Heilig Hart Ieper. <<br />
• En 2018, les psychiatres de l’hôpital psychiatrique Heilig Hart ont tenu<br />
251 consultations au centre hospitalier Jan Yperman.<br />
• En 2017, le centre hospitalier Jan Yperman a référé 130 personnes à l’unité<br />
de crise de l’hôpital psychiatrique Heilig Hart en vue d’une hospitalisation.<br />
• 47 patients ont été traités en mode ambulatoire par l’équipe mobile des<br />
soins psychiatriques aigus.<br />
Jusqu’il y a peu, les personnes souffrant d’une dépendance à<br />
l’alcool n’avaient que deux possibilités: consulter un psychologue<br />
ou un psychiatre, ou alors se faire hospitaliser. Elles<br />
ont à présent une nouvelle option avec ABA, le programme de<br />
traitement ambulatoire de la dépendance à l’alcool.<br />
Dennis Jacques (Accompagnement des patients): « ABA est<br />
une coopération entre le centre hospitalier Jan Yperman, l’hôpital<br />
psychiatrique Heilig Hart et CGG Largo. Le groupe cible du<br />
programme se compose d’adultes dont le ménage et le travail<br />
ne sont pas encore trop affectés<br />
par la dépendance à l’alcool. Les<br />
participants doivent être motivés<br />
pour arrêter de boire et pouvoir<br />
s’appuyer sur leur réseau social. »<br />
Le médecin généraliste peut vérifier<br />
le degré de dépendance du<br />
patient sur la base d’un questionnaire<br />
sur bit.ly/Alcoholgebruik.<br />
Info: Dennis Jacques,<br />
057 35 66 42<br />
ou dennis.jacques@yperman.net<br />
Sept semaines<br />
théorie et pratique<br />
Le programme a une durée de sept semaines. Chaque mardi<br />
après-midi, les participants travaillent en groupe pendant trois<br />
heures sur des thèmes comme la motivation, le contrôle de soi<br />
et la prévention de la rechute. Ils reçoivent aussi des exercices<br />
à faire à domicile pour transposer la théorie dans la pratique.<br />
Il y a aussi trois soirées d’information, chaque fois un lundi.<br />
Charlotte Dejonckheere (psychologue au centre hospitalier<br />
Jan Yperman et pour le projet ABA): « Lors de ces soirées,<br />
nous informons les participants sur les conséquences physiques<br />
de l’abus d’alcool et sur la ligne ténue entre prendre<br />
un verre en société et boire par dépendance. La famille<br />
assiste également à deux sessions. La troisième session<br />
d’information est réservée uniquement à la famille. »<br />
Le premier programme ABA a été lancé à l’hôpital psychiatrique<br />
Heilig Hart. Le prochain commencera le 1er octobre au<br />
centre hospitalier Jan Yperman. Les personnes peuvent se<br />
présenter de leur propre initiative ou sur conseil du médecin<br />
à un premier entretien avec la psychiatre en charge qui est le<br />
docteur Tine Verdée.<br />
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Dennis Jacques et Charlotte Dejonckheere<br />
Équipe de liaison<br />
psychiatrie<br />
ABA n’est pas la seule synergie entre le centre hospitalier<br />
Jan Yperman et l’hôpital psychiatrique Heilig Hart. Une autre<br />
nouvelle initiative est l’équipe de liaison psychiatrie du centre<br />
hospitalier Jan Yperman.<br />
Psychologue Charlotte Dejonckheere: « Cette équipe de<br />
liaison se compose de deux psychologues – Sien Verdru et<br />
moi-même – et de l’infirmière<br />
psychiatrique Liesbeth Houzet,<br />
soutenues par une psychiatre, la<br />
docteure Katrien Verstraete de<br />
l’hôpital psychiatrique Heilig Hart.<br />
La docteure Verstraete est présente<br />
chaque jeudi matin au centre hospitalier<br />
Jan Yperman pour conseiller<br />
l’équipe et voir les patients. D’autres<br />
collègues de l’hôpital psychiatrique<br />
Heilig Hart viennent donner des<br />
consultations trois autres jours de la<br />
semaine. »<br />
Ligne directe<br />
à partir du 1 er jour<br />
Grâce à l’équipe de liaison psychiatrie, il y a une ligne directe<br />
entre le centre hospitalier Jan Yperman et l’hôpital psychiatrique<br />
Heilig Hart. Ce n’est pas un luxe superflu, car le centre<br />
hospitalier Jan Yperman ne dispose pas d’un département<br />
psychiatrique. Charlotte Dejonckheere: « Dans certains<br />
départements, l’accompagnement psychologique fait partie<br />
du programme des soins, mais dans d’autres, ce n’est pas<br />
le cas. Grâce à l’équipe de liaison, nous avons à présent la<br />
capacité structurelle d’être attentif aux besoins psychologiques<br />
des patients. Les principaux groupes cibles sont les<br />
personnes souffrant de dépendance à l’alcool ou au tabac<br />
ainsi que les sujets présentant un risque accru de suicide. »<br />
Dennis Jacques: « L’approche des deux hôpitaux est différente<br />
bien sûr, mais le courant passe de mieux en mieux.<br />
Nous nous complétons bien. Et cela ne peut être que bénéfique<br />
pour les patients de la région. »<br />
Info: Charlotte Dejonckheere, 057 35 67 31<br />
of charlotte.dejonckheere@yperman.net<br />
5<br />
Y<strong>mail</strong>_<strong>32</strong>_<strong>FR</strong>_v1.indd 5 5/07/19 11:44
6<br />
Nouveaux médecins<br />
AURELIE MINNE<br />
Policlinique Pédiatrie<br />
JENS VANBIERVLIET<br />
Orthopédie<br />
Épidémie<br />
d’insomnie<br />
« Mal dormir est très<br />
mauvais pour la santé »,<br />
explique le neurologue<br />
Yves Tanghe. «La moitié<br />
de tous les accidents de la<br />
route mortels sont causés<br />
par la somnolence au<br />
volant. Mal dormir peut<br />
aussi favoriser les maladies<br />
cardiovasculaires<br />
et le diabète. Un examen<br />
à la Clinique du sommeil<br />
permet d’identifier<br />
la cause des troubles du<br />
sommeil. »<br />
Le docteur Yves Tanghe<br />
étudie le sommeil depuis<br />
déjà fort longtemps. Il est<br />
membre de la Belgian<br />
Association of Sleep Research<br />
and Sleep Medicine<br />
et est reconnu comme<br />
somnologue européen<br />
par la European Sleep<br />
Research Society.<br />
« On a encore beaucoup<br />
de choses à apprendre sur<br />
le sommeil. L’enjeu pour<br />
la société est énorme. De<br />
plus en plus de gens ont<br />
du mal à s’endormir ou<br />
à dormir de manière continue.<br />
L’insomnie tourne à<br />
l’épidémie. Nous aidons<br />
les personnes concernées<br />
en leur donnant des<br />
conseils sur l’hygiène de<br />
sommeil et sur la thérapie<br />
comportementale cognitive.<br />
»<br />
Info: Clinique du sommeil,<br />
057 35 74 95,<br />
slaapkliniek@yperman.<br />
net<br />
« Je suis la nouvelle pédiatre<br />
de l’AZ Delta Roeselare.<br />
Spécialisée en pédocardiologie,<br />
je tiens des consultations un mardi sur<br />
deux depuis le mois de mai au centre hospitalier<br />
Jan Yperman. Nous venons ainsi littéralement<br />
à la rencontre des patients d’Ypres et<br />
alentour. De plus, je fais chaque jeudi la navette<br />
jusqu’à Amsterdam où je me perfectionne dans<br />
le domaine des cardiopathies congénitales. »<br />
Info: secrétariat Pédiatrie, 057 35 75 00<br />
ou secpediatrie@yperman.net<br />
WILLEM ANSEEUW<br />
Urgences<br />
« Après avoir étudié et habité<br />
pendant 13 ans à Gand, je<br />
reviens en Flandre occidentale.<br />
Le 1er octobre, je commencerai comme<br />
médecin urgentiste au centre hospitalier Jan<br />
Yperman Ziekenhuis, dès la fin de ma formation.<br />
Le service des urgences, c’est un travail très<br />
actif qui offre des tâches diversifiées et beaucoup<br />
de contacts humains avec les patients.<br />
Les horaires sont irréguliers, mais cela ne me<br />
dérange pas. »<br />
LIESELOT DEBLAERE<br />
Gynécologie<br />
« Pendant ma formation, j’ai<br />
Info: secrétariat Urgences, 057 35 60 00<br />
ou spoedgevallen@yperman.net<br />
déjà acquis une certaine expérience<br />
au centre hospitalier<br />
Jan Yperman. Les medécins auprès desquelles<br />
j’étais en apprentissage deviendront mes collègues<br />
à partir du 1er septembre. Il est agréable<br />
de commencer à travailler dans un environnement<br />
familier. Outre la gynécologie générale et<br />
obstétrique, je me concentrerai sur les échographies<br />
obstétriques. Un jour par semaine, je<br />
suivrai aussi une formation supplémentaire en<br />
échographie prénatale auprès du professeur<br />
Luc De Catte, qui fait autorité en Flandre. »<br />
Info: secrétariat Gynécologie, 057 35 75 75<br />
ou secgynaeco@yperman.net<br />
TINE PECCEU<br />
Gériatrie<br />
« Ma passion pour la gériatrie<br />
remonte à mes années<br />
d’assistanat au centre hospitalier<br />
Jan Yperman. Le 1er août, je reviendrai<br />
finaliser ma formation de gériatre avant de<br />
rejoindre l’équipe de gériatrie en décembre. Je<br />
m’occuperai des hospitalisations gériatriques<br />
aiguës et j’aiderai à développer l’hôpital gériatrique<br />
de jour. Je me focaliserai entre autres sur<br />
le traitement de l’ostéoporose et la clinique de<br />
la mémoire. »<br />
Info: secrétariat Gériatrie, 057 35 62 71<br />
ou YGDZH@yperman.net<br />
« Ayant fait mon stage et<br />
travaillé comme assistant au<br />
centre hospitalier Jan Yperman,<br />
je me réjouis de pouvoir y travailler à partir<br />
du mois d’août prochain. Je m’occuperai principalement<br />
des pathologies de la hanche et je suis<br />
très motivé pour développer l’unité Hanche au<br />
sein de notre service. Mes années de spécialisation,<br />
je les ai passées à Louvain, Malines, Ypres et<br />
Genk. Après avoir obtenu mon agrément d’orthopédiste<br />
en 2018, j’ai encore fait des fellowships à<br />
Brisbane (Australie) et Ottawa (Canada). »<br />
Info: secrétariat Orthopédie-Traumatologie,<br />
057 35 73 70 ou secortho@yperman.net<br />
JEROEN VAN LERBEIRGHE<br />
Neurochirurgie<br />
« À partir du mois de novembre,<br />
je travaillerai un jour<br />
et demi par semaine comme<br />
neurochirurgien au centre hospitalier Jan<br />
Yperman où j’assisterai le Dr Vanhauwaert. Nous<br />
serons ainsi en mesure d’assurer la présence<br />
quotidienne d’un neurochirurgien, ce qui est positif<br />
pour le suivi des patients. Durant les mois à<br />
venir, je me rendrai aussi aux USA et à Lille pour<br />
m’y perfectionner en neurochirurgie oncologique<br />
et vasculaire ainsi qu’en neurochirurgie spinale.»<br />
Info: secrétariat Neurochirurgie, 057 35 73 45<br />
ou secneurochirurgie@yperman.net<br />
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Le nouveau<br />
DPE est arrivé<br />
> Les données contenues dans le nouveau dossier<br />
patient électronique (DPE) peuvent être partagées non<br />
seulement au sein de l’hôpital, mais aussi avec l’infirmière<br />
à domicile, le médecin généraliste, le dentiste, d’autres<br />
hôpitaux et même avec le patient. <<br />
Yves Platteeuw<br />
Une farde en carton de plus en plus<br />
épaisse: le dossier patient version papier<br />
appartient en grande partie au passé.<br />
Le centre hospitalier Jan Yperman en<br />
est déjà à la deuxième mouture de son<br />
dossier patient électronique.<br />
Yves Platteeuw (responsable du programme<br />
itZORG): « Avant, le dossier<br />
médical du patient, le système de<br />
prescription électronique et le dossier<br />
des soins étaient gérés en grande partie<br />
séparément. Ils sont désormais intégrés<br />
dans le DPE. Les différents médecins et<br />
services de l’hôpital peuvent consulter et<br />
compléter les informations du patient de<br />
la même manière.»<br />
Le nouveau DPE représente également<br />
un pas en avant pour les médecins généralistes.<br />
Ils pourront bientôt prendre des<br />
rendez-vous en ligne pour leurs patients.<br />
Mais il y a plus. « Lorsqu’un patient se<br />
rend à l’hôpital, nous consultons dans le<br />
DPE son schéma de médication ainsi que<br />
d’autres notes importantes du généraliste.<br />
Nous pouvons ainsi poursuivre la thérapie<br />
habituelle. Il en va de même pour l’infirmière<br />
à domicile. Nous savons par exemple<br />
de quelles plaies le patient souffre et quels<br />
soins sont prodigués à domicile. Pendant et<br />
juste après l’hospitalisation, le généraliste<br />
peut consulter toutes les données relatives<br />
à ses patients. »<br />
Et le patient? Grâce au nouveau DPE,<br />
le patient est associé plus étroitement<br />
que jamais à sa thérapie. Dans un futur<br />
proche, il pourra par exemple consulter<br />
ses données médicales. La communication<br />
entre hôpitaux est également améliorée.<br />
Jan Yperman utilise pour le DPE la<br />
même suite logicielle que toute une série<br />
d’autres hôpitaux. « Si nous référons un<br />
patient vers l’UZ Leuven, l’AZ Groeninge<br />
à Courtrai ou l’AZ Sint-Jan à Bruges, ces<br />
établissements ont accès à son dossier.<br />
Notre centre hospitalier et nos médecins<br />
peuvent quant à eux suivre tout. »<br />
Info: Service itZORG, 057 35 76 00<br />
Nouveau<br />
cartilage<br />
> Les docteurs François Hardeman<br />
et Jan Somers utilisent des cellules-souches<br />
pour traiter les sportifs<br />
souffrant de lésions aux cartilages du<br />
genou et de la hanche. <<br />
Les adultes ne fabriquent plus de<br />
cartilage. Que peut-on alors faire pour<br />
les sportifs victimes d’une lésion au<br />
cartilage? Les orthopédistes du centre<br />
hospitalier Jan Yperman utilisent depuis<br />
2012 deux techniques différentes permettant<br />
de régénérer le tissu cartilagineux à<br />
l’endroit où le cartilage est endommagé.<br />
Docteur François Hardeman: « La première<br />
méthode consiste à pratiquer des<br />
petits trous dans l’os de l’articulation.<br />
À cause du saignement, cet os se met à<br />
Docteur François Hardeman et docteur Jan Somers<br />
produire des nouvelles cellules de type<br />
cartilagineux. Mais cette production de<br />
cellules doit se faire de manière très ordonnée.<br />
Nous plaçons donc à cet endroit<br />
une petite éponge en collagène qui sert<br />
de matrice: elle forme une structure<br />
temporaire dans laquelle les cellules<br />
s’organisent pour former une nouvelle<br />
couche de cartilage. Cette petite éponge<br />
est ensuite absorbée par l’organisme. »<br />
Docteur Jan Somers : « Dans la deuxième<br />
technique, nous prélevons des cellules-souches<br />
dans la moelle des os du<br />
bassin du patient. Nous centrifugeons ces<br />
cellules-souches et nous les concentrons<br />
pour ensuite les placer dans la matrice au<br />
cours de la même intervention. C’est une<br />
amélioration par rapport à une technique<br />
existante où le patient avait besoin de<br />
deux procédures. Elle consiste à d’abord<br />
prélever des cellules cartilagineuses chez<br />
le patient et à les cultiver en laboratoire<br />
pour les réimplanter par la suite. »<br />
La technique basée sur les cellules-souches<br />
est celle qui fonctionne<br />
le mieux, mais elle est aussi la plus<br />
coûteuse puisqu’elle revient à 2000 euros<br />
contre 700 euros pour la première.<br />
Docteur Somers: « Ces interventions<br />
existent depuis longtemps, mais elles<br />
ne sont malheureusement pas encore<br />
remboursées en Belgique. »<br />
Info: Service Orthopédie-Traumatologie,<br />
057 35 73 70 ou secortho@yperman.net<br />
7<br />
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8<br />
Évaluation<br />
réussie<br />
> Juste après son cinquième anniversaire, le<br />
Cathlab a reçu la visite de l’Inspection des soins.<br />
Cette visite n’a pas gâché la fête puisque le<br />
service a réussi son évaluation. <<br />
Symposiums<br />
Trois symposiums sont<br />
prévus à l’agenda <strong>2019</strong>. Ils<br />
se tiendront à l’auditorium<br />
du centre hospitalier Jan<br />
Yperman (route 36).<br />
• jeudi 19 septembre:<br />
symposium soins des<br />
plaies<br />
• mercredi 16 octobre:<br />
symposium clinique de<br />
la douleur<br />
• jeudi 19 décembre:<br />
symposium gériatrie<br />
Le Cathlab du centre hospitalier Jan Yperman a ouvert<br />
ses portes début 2014. Il est le fruit d’une synergie<br />
structurelle avec l’AZ Delta de Roulers: médecins<br />
et infirmiers travaillent ensemble via leur laboratoire<br />
respectif.<br />
Ilse Verschatse (infirmière en chef adjointe):<br />
« Le Cathlab d’Ypres voit défiler environ 900 patients<br />
par an. La plupart des interventions concernent le placement<br />
ou le remplacement d’un pacemaker, conversion<br />
électrique ou encore une coronarographie. Dans<br />
ce dernier cas, nous visualisons l’artère coronaire et<br />
les éventuels rétrécissements (sténoses). Chez 40%<br />
des patients, cette intervention s’accompagne aussi<br />
d’une intervention coronaire percutanée: la sténose est<br />
dilatée au moyen d’un ballonnet et/ou d’un stent. »<br />
Durant ses cinq années d’existence, le Cathlab a déjà<br />
reçu deux fois la visite de l’Inspection des soins.<br />
Le début<br />
de Twoape<br />
Le Cathlab a déjà reçu deux fois la visite de l’Inspection des soins<br />
Ilse Verschatse: « La première fois, un inspecteur s’est<br />
présenté aux urgences pour contrôler le service de<br />
garde. Le temps est en effet être un facteur crucial.<br />
U n patient atteint d’un syndrome coronaire aigu doit<br />
être amené au Cathlab dans l’heure pour déboucher<br />
l’artère obstruée. La seconde inspection était beaucoup<br />
plus vaste et portait sur toute l’organisation: les<br />
médecins, les infirmières, l’aménagement du local,<br />
l’entretien de l’appareillage… Nous avons réussi notre<br />
examen puisque nous obtenu une évaluation positive. »<br />
Info: Service de Cardiologie, 057 35 71 90<br />
ou seccardiopneumo@yperman.net<br />
> Twoape, l’accueil psychiatrique de jour pour<br />
enfant et adolescant, est en place depuis six<br />
mois. Les premiers résultats sont très prometteurs.<br />
<<br />
Un cinquième des enfants sont en proie à des problèmes<br />
psychiques. Pour répondre à leurs besoins,<br />
le centre hospitalier Jan Yperman, l’AZ Delta et le<br />
PC Sint-Jozef Pittem ont uni leurs forces dans le<br />
cadre du projet « Twoape », « ensemble » en dialecte<br />
ouest-flandrien. Le projet se compose de quatre unités<br />
qui ont chacune leur groupe cible spécifique.<br />
Dennis Jacques (Accompagnement des patients):<br />
« Sur les <strong>32</strong> places, il y en a 12 à Ypres, dans l’ancien<br />
cloître du PZ Heilig Hart, pour les enfants de 8 à<br />
14 ans dont le développement est bloqué et pour<br />
lesquels l’aide existante n’est pas suffisante. »<br />
Docteur Ségolène Vandeputte, pédopsychiatre:<br />
« L’équipe se compose de quatre infirmières psychiatriques,<br />
deux psychologues, un enseignant, une<br />
infirmière sociale et un éducateur, sous la direction de<br />
la pédopsychiatre. Chaque enfant suit un programme<br />
personnalisé, combinant thérapie individuelle et thérapie<br />
de groupe. Les dernières semaines, les enfants<br />
passent quelques jours dans un établissement scolaire<br />
Ime Vermeulen<br />
afin de préparer leur retour sur les bancs d’école. Le<br />
but: créer un environnement sécurisé où l’enfant peut<br />
reprendre pied et ainsi éviter une hospitalisation. »<br />
Ime Vermeulen, infirmière en chef: « Les assistants<br />
sociaux peuvent inscrire un jeune sur le site des<br />
hôpitaux. Après un premier entretien, le pédopsychiatre<br />
évalue si le problème du jeune se prête à une<br />
thérapie de jour. Nous n’avons pas la prétention de<br />
pouvoir fournir « la » solution, mais nous nous engagerons<br />
aux côtés des parents, de l’école, du centre<br />
psycho-médico-social, des thérapeutes externes et<br />
des autres parties concernées. Nous assurons aussi<br />
le suivi des enfants à l’issue du parcours proposé,<br />
mais les premiers résultats semblent bons. »<br />
Info: Psychiatrie infanto-juvénile Twoape,<br />
057 35 69 30 ou ieper@twoape.be<br />
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