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-<strong>mail</strong><br />
België/Belgique<br />
P.B. – P.P.<br />
8900 Ieper<br />
BC 15617<br />
BULLETIN D’INFORMATION DU CENTRE HOSPITALIER JAN YPERMAN<br />
IEPER/POPERINGE - ANNÉE 13 - DÉCEMBRE <strong>2012</strong> - N° <strong>22</strong><br />
Hôpital gériatrique (de jour):<br />
des soins sur mesure<br />
> Récemment, l’hôpital gériatrique de jour et le<br />
nouveau département de Sp-gériatrie ont été<br />
emménagés dans la même aile de l’hôpital, à côté<br />
du département de gériatrie classique. Grâce à<br />
cette centralisation, l’équipe gériatrique est en<br />
mesure d’offrir à chaque patient des soins encore<br />
plus personnalisés. <<br />
www.yperman.net<br />
Aussi<br />
ChondroCelect 2<br />
Semaine de festivités 3<br />
Soins Intensifs 4-5<br />
Nouveaux médecins 6<br />
Dépistage 7<br />
Reprises 8<br />
Y-<strong>mail</strong> est le magazine du<br />
centre hospitalier Jan Yperman<br />
Briekestraat 12 – 8900 Ypres<br />
T 057 35 35 35 – F 057 35 36 37<br />
E.R. : Eric Luyckx<br />
Coordination : Jan Blontrock<br />
jan.blontrock@yperman.net<br />
P806231<br />
Y-<strong>mail</strong> est réalisé par<br />
F-Twee communication<br />
T 09 265 97 20<br />
www.f-twee.be<br />
Toelating gesloten verpakking 8/161<br />
Afgiftekantoor Ieper-X<br />
Terugzendadres: Briekestraat 12, 8900 Ieper<br />
Nederlandse versie op aanvraag<br />
Gérard doit passer plusieurs examens aujourd’hui.<br />
Son programme de la journée a été préparé minutieusement<br />
par son médecin généraliste et son gériatre<br />
qui se sont concertés dans le but d’organiser tous les<br />
examens le même jour. Gérard n’étant plus tout jeune,<br />
sera accompagné par un infirmier qui le conduira vers<br />
les différents départements au sein de l’hôpital. Entre<br />
les examens, il pourra se reposer dans un environnement<br />
confortable. “L’hôpital gériatrique de jour est<br />
à présent installé au rez-de-chaussée, tout près des<br />
autres sections de gériatrie”, explique le docteur chef<br />
de service Geert Gabriel. “Outre quelques locaux<br />
d’examen, nous disposons de trois chambres séparées<br />
équipées d’un lit, d’un relax, d’une télévision… où les<br />
patients peuvent se relaxer en toute intimité entre les<br />
différents examens.”<br />
À l’hôpital gériatrique de jour, les trois gériatres, les<br />
infirmières spécialement formées et les membres<br />
du personnel paramédical proposent des soins sur<br />
mesure. “Les patients viennent suivre un programme<br />
diagnostique – tests de marche et de chute, examens<br />
techniques, évaluation des syndromes gériatriques<br />
tels que les maux de dos et la sous-alimentation,<br />
etc. – mais ils sont également en mesure d’y suivre un<br />
programme thérapeutique, tel que des transfusions<br />
sanguines, des phlébotomies et l’administration de<br />
médicaments par voie intraveineuse. Tout cela en une<br />
seule journée, dans le but de soustraire le patient<br />
le moins longtemps possible de son environnement<br />
familier.”<br />
CLINIQUE DE LA MÉMOIRE<br />
L’hôpital gériatrique de jour abrite aussi la clinique de<br />
la mémoire. “Ici également, nous essayons (avec les<br />
neurologues) de regrouper tous les examens le même<br />
jour, y compris les analyses de laboratoire, une RMN<br />
L’équipe de Gériatrie au grand complet, sous la direction des<br />
docteurs Philip Van Belle, Danny Demeyer et Geert Gabriel.<br />
du cerveau et les tests cognitifs”, indique le docteur<br />
Gabriel. “Le tout prend en général environ 4 heures.<br />
Dans ce temps, nous essayons d’établir un diagnostic<br />
différentiel de démence (ou non) et de conseiller le<br />
patient et sa famille.”<br />
SP-GÉRIATRIE<br />
Le programme de soins gériatriques a été élargi<br />
récemment. Une section de Sp-gériatrie est venue<br />
s’ajouter à ce département. Cette section de 21 lits<br />
accueille des patients âgés souffrant de troubles<br />
cognitifs (diverses formes de démence ou de syndromes<br />
psychiatriques (comme une dépression grave<br />
ou une psychose légère) nécessitant une hospitalisation<br />
plus longue. “Le but n’est pas d’accueillir ici les<br />
patients à un stade aigu», précise le docteur Philip<br />
Van Belle. “Chaque patient qui est accueilli ici, passe<br />
d’abord par le département de gériatrie classique où<br />
le diagnostic est posé.”<br />
Ici aussi, tout est aménagé dans le but de créer<br />
une atmosphère familiale. “Les patients n’ont pas<br />
l’impression de se trouver dans un hôpital. La grande<br />
salle de séjour, par exemple, se transforme en un<br />
agréable restaurant pour le repas de midi.”<br />
Les admissions dans l’hôpital gériatrique ont lieu<br />
suivant avis des gériatres ou du médecin généraliste.<br />
Les rendez-vous peuvent être pris par<br />
gdzh@yperman.net ou au n° 057 35 62 71.
2<br />
ChondroCelect<br />
Les docteurs Johan Boury, Hans Feys et François Hardeman<br />
Laboratoire<br />
mobile<br />
En novembre dernier, l’hôpital<br />
a reçu une visite insolite: un<br />
camion ‘transport exceptionnel’<br />
avec à son bord un laboratoire<br />
mobile d’orthopédie est venu<br />
s’installer sur notre parking. Il<br />
s’agissait d’un service proposé<br />
par une société qui vend du<br />
matériel chirurgical. Des techniciens<br />
de cette firme, parcourent<br />
l’Europe à bord d’un camion<br />
entièrement équipé, afin de<br />
permettre aux chirurgiens orthopédistes<br />
de tester des nouvelles<br />
techniques sur place. Ces tests<br />
ont lieu au niveau des articulations<br />
de cadavres importés des<br />
États-Unis. Dr François Hardeman:<br />
“Lors d’un congrès, j’avais<br />
observé une nouvelle technique<br />
permettant de réparer un ligament<br />
croisé postérieur. Comme<br />
je souhaitais tester cette technique,<br />
j’ai demandé à la firme<br />
Arthrex quand nous pourrions<br />
faire usage de leur laboratoire<br />
en Allemagne. Il se fait que cette<br />
firme était sur le point d’entamer<br />
un tour d’Europe. Nous avons eu<br />
de la chance, car c’est Jan Yperman<br />
qui a eu la primeur pour la<br />
Belgique.”<br />
Les deux autres orthopédistes,<br />
les docteurs Hans Feys et Jan<br />
Somers, s’activent également. Ils<br />
ont déjà à leur actif un ligament<br />
croisé antérieur, une stabilisation<br />
de la rotule et une correction<br />
d’axe du genou. Ils vont bientôt<br />
s’attaquer à la technique dont<br />
parlait le docteur Hardeman,<br />
qui est une nouvelle approche et<br />
révolutionnaire permettant de<br />
réparer le ligament croisé postérieur<br />
avec une meilleure fixation<br />
du tendon.<br />
> La Flandre compte une vingtaine de centres agréés bonne qualité, elles sont renvoyées à notre hôpital.<br />
d’implantation de chondrocytes autologues (ACI). La seconde opération consiste alors à implanter ces<br />
L’hôpital Jan Yperman en fait partie. Cette technique cellules à l’endroit de la lésion sous la forme d’une<br />
a été présentée récemment lors d’une colloque espèce de liquide gélatineux. La cavité ainsi remplie<br />
destiné aux médecins et aux kinésithérapeutes. < est fermée par une membrane qui maintiendra aussi<br />
le cartilage à sa place. La révalidation peut ensuite<br />
La procédure ACI utilise le produit cellulaire ChondroCelect.<br />
Lors de la transplantation cellulaire, des La procédure est entièrement remboursée par l’INA-<br />
commencer.”<br />
cellules endogènes sont utilisées pour réparer des MI. Mais pour être pris en considération, les patients<br />
lésions au cartilage. Pour pouvoir appliquer la procédure<br />
ACI, le médecin doit avoir suivi une formation les patients relativement jeunes présentant des<br />
doivent remplir des conditions très strictes. “Seuls<br />
spécifique, comme l’ont fait les orthopédistes Johan lésions limitées du genou et à certains endroits du<br />
Boury, Hans Feys et François Hardeman, qui ont genou entrent en considération pour cette intervention.<br />
Il s’agit en effet d’une procédure très onéreuse<br />
introduit cette technique l’année dernière à l’hôpital.<br />
Docteur Boury: “Nous prélevons d’abord un petit – mais elle en vaut certainement le prix. En effet, ce<br />
morceau de tissu du cartilage du genou par arthroscopie.<br />
Nous envoyons ce prélèvement à un laboratoire vieillissant, un problème de cartilage peut entraîner<br />
traitement curatif a aussi un effet préventif, car en<br />
de Louvain qui met ensuite les cellules séparées facilement de l’arthrose.”<br />
en culture. Une fois qu’il y a assez de cellules de Info: 057 35 73 70, secortho@yperman.net<br />
Nouvelle salle d’opération<br />
>L’hôpital Jan Yperman s’est récemment doté d’une DISPOSITION IDENTIQUE<br />
salle d’opération flambant neuve, ce qui porte à 10 Pour le reste, la disposition de la nouvelle salle<br />
le nombre de salles d’opération du bloc opératoire. d’opération est identique à celle des neuf autres.<br />
“Cette extension était nécessaire compte tenu de “Elle est équipée, comme les autres, d’une plateforme<br />
chirurgicale, d’une plateforme d’anesthésie,<br />
l’augmentation du nombre de patients pour lesquels<br />
une intervention chirurgicale est nécessaire, ainsi d’un chariot médical mobile et d’un set d’intubation”,<br />
que du nombre de chirurgiens qui est en augmentation<br />
constante”, comme l’explique le docteur Luc avons opté pour une architecture identique afin de<br />
explique l’infirmier en chef Stefaan Cuvelier. “Nous<br />
Verbanck (manager du bloc opératoire). <<br />
garantir une sécurité maximale pour le patient.<br />
Toutes les salles sont aménagées et agencées de<br />
La toute nouvelle salle d’opération est une véritable<br />
merveille technologique. “La salle est équipée d’intervenir rapidement en cas d’urgence sans avoir à<br />
la même manière, ce qui permet aux médecins<br />
d’appareils d’anesthésie et d’assistance respiratoire chercher où tout se trouve.”<br />
de la dernière génération”, commente le docteur Luc<br />
Verbanck. “Cela permet une assistance respiratoire Dr. Luc Verbanck: secretariaat.anesthesie@yperman.net<br />
meilleure des enfants et des patients souffrant d’une Stefaan Cuvelier: stefaan.cuvelier@yperman.net<br />
affection grave des poumons. Les écrans numériques<br />
utilisés lors des interventions endoscopiques ou laparoscopiques,<br />
sont adaptés aux technologies dernier<br />
cri. Le chirurgien et le personnel infirmier disposent<br />
ainsi d’informations encore plus complètes à la table<br />
d’opération. Comme dans toutes les autres salles<br />
d’opération, presque tout se fait par voie numérique.<br />
Les clichés pris pendant l’intervention sont ainsi<br />
traités instantanément par voie électronique. Finalement,<br />
les lampes d’opération sont des lampes LED<br />
qui ne produisent pas de chaleur.”
La semaine<br />
de festivités:<br />
un succès<br />
Syllabus<br />
ECG<br />
> La semaine de festivités de l’hôpital Jan Yperman<br />
du samedi 8 septembre au dimanche 16 septembre<br />
inclus, a été un succès. Plus de six mille visiteurs<br />
ont fait le déplacement. La ‘soirée des médecins’<br />
a déjà attiré à elle seule 250 médecins et leur<br />
conjoint. <<br />
Les derniers échos de la semaine festive résonnent<br />
encore au loin. Les réactions positives tant des médecins<br />
et des riverains que de les autres visiteurs (plus<br />
de 6.000 durant cette semaine) furent unanimes, et<br />
portaient sur la magnifique infrastructure et la possibilité<br />
de prodiguer des soins médicaux de très haut<br />
niveau. Mais il y a plus, nous dit Eric Luyckx (Directeur<br />
général): “L’ambiance familiale et la convivialité,<br />
et surtout l’enthousiasme de tous les membres<br />
du personnel ont été très appréciés du public. Cet<br />
enthousiasme est d’ailleurs clairement perceptible<br />
dans le film ‘Viva Jan Yperman’ qui a été visionné de<br />
un peu partout à plus de 14.000 reprises.”<br />
AVENIR DU MÉDECIN<br />
La ‘soirée des médecins’ s’est tenue le jeudi 13 septembre,<br />
durant laquelle l’avocat Bruxellois Stefaan<br />
Callens et chargé de cours à l’université, a donné une<br />
conférence avec un sujet bien adapté à la circonstance:<br />
‘Qu’est ce que l’avenir réserve au médecin?’<br />
Eric Luyckx: “Les médecins se regroupent de plus<br />
en plus et créent des sociétés ou des associations.<br />
Un cabinet médical, qui regroupe plusieurs médecins,<br />
et tout à fait normal de nos jours. Le professeur<br />
Callens a clairement expliqué les différents statuts du<br />
médecin, les avantages des sociétés et associations,<br />
la responsabilité des médecins, etc. Cet exposé a<br />
suscité de nombreuses réactions positives et a donné<br />
matière à discussion lors du buffet dinatoire auquel<br />
étaient conviés les médecins de l’hôpital et les médecins<br />
généralistes de la région.”<br />
Si vous n’avez pas encore vu le ‘feelgood movie’ de<br />
l’hôpital, jetez donc un coup d’œil sur le site<br />
www.yperman.net › Viva Jan Yperman / link.<br />
Le docteur Frank Bauwens<br />
a donné, ces deux dernières<br />
années, quelques cours d’interprétation<br />
d’ECG aux médecins<br />
généralistes d’Ypres. Ces cours<br />
font à présent l’objet d’un syllabus<br />
(en néerlandais) que vous<br />
pouvez télécharger sur son site<br />
web www.drfrankbauwens.be.<br />
Cliquez sur ‘Voordrachten’, puis<br />
sur le lien ‘EKG syllabus’.<br />
Accessibilité<br />
parking pour<br />
les médecins<br />
généralistes<br />
Les médecins généralistes<br />
qui se rendent à l’hôpital Jan<br />
Yperman, ont toujours accès<br />
au même parking, tout près de<br />
l’entrée de l’hôpital. L’entrée et<br />
la sortie ont cependant subies<br />
une modification. “L’ancienne<br />
entrée du parking est devenue<br />
une zone verte”, explique Rik<br />
Persyn. “C’est pourquoi les<br />
médecins généralistes peuvent<br />
désormais accéder au parking<br />
par l’ancienne sortie, en utilisant<br />
leur badge. Ils peuvent sortir du<br />
parking par la double barrière<br />
du bus, qui s’ouvre automatiquement.”<br />
3
4<br />
Pleins feux sur le service<br />
des Soins Intensifs<br />
Intensif<br />
à tous<br />
les niveaux<br />
> Fin octobre, cela fait exactement cinq ans, que le service des<br />
Soins Intensifs s’est installé dans le tout nouveau bloc médicotechnique.<br />
Une équipe spécialement formée y dispense aux<br />
patients des soins de qualité supérieure, en constante concertation<br />
avec les autres disciplines. Un aperçu.<<br />
L’équipe des Soins Intensifs<br />
En résumé<br />
Au département des Soins Intensifs, tout<br />
tourne autour des soins au patient. Dr Piet<br />
Filez (chef de service): “Tous les patients<br />
qui requièrent des soins complexes et très<br />
invasifs sont orientés vers notre département<br />
– par exemple des patients qui ont subi<br />
une intervention lourde de chirurgie thoraco-abdominale,<br />
ou qui souffrent d’affections<br />
internes graves, ou qui ont été victimes d’un<br />
traumatisme cérébral ou d’un accident grave.<br />
Par rapport au passé, les possibilités diagnostiques<br />
et thérapeutiques se sont énormément<br />
développées, de même que les traitements<br />
intensifs, tant supportifs que curatifs. C’est<br />
d’ailleurs la raison pour laquelle nous avons<br />
déménagé il y a cinq ans pour nous installer<br />
dans cette aile flambant neuve, construite<br />
selon un concept entièrement nouveau.”<br />
Le département compte actuellement douze<br />
lits avec chaque fois un sas d’isolement.<br />
“Chaque patient peut ainsi être traité en<br />
isolement total, ce qui est une nécessité<br />
pour les patients qui ont contracté certaines<br />
infections.”<br />
Le docteur Piet Filez, médecin intensiviste, est à la tête de l’équipe multidisciplinaire.<br />
“Les jours de semaine, un intensiviste est présent en permanence: il<br />
s’agit soit de moi-même, soit d’un de mes deux collègues, le docteur Els Colla<br />
ou le docteur Luc Verbanck. La garde est assurée par les anesthésistes de<br />
l’hôpital. Notre équipe se compose en outre d’infirmiers spécialement formés,<br />
de kinés et d’infirmières sociales. Les membres de l’équipe se complètent à la<br />
perfection. Le cas de chaque patient est passé en revue sous l’angle multidisciplinaire<br />
chaque matin: nous organisons quotidiennement une concertation<br />
avec les autres disciplines pour lesquelles le patient a été hospitalisé. Et<br />
ensuite, le personnel infirmier et paramédical est briefé de manière approfondie.”<br />
Les docteurs Piet Filez, Luc Verbanck et Els Colla
Haute technologie<br />
Un patient qui séjourne aux Soins Intensifs est en principe en danger de mort.<br />
C’est pourquoi ses signes vitaux doivent être surveillés en permanence. Ce<br />
monitoring est assuré dans le service au moyen des techniques et appareils<br />
les plus modernes. “Dans la plupart des hôpitaux, les Soins Intensifs sont à<br />
la pointe du progrès sur le plan technique parce que c’est littéralement une<br />
question de vie ou de mort”, explique le docteur Filez. “Il en va de même dans<br />
notre service. Sur le plan respiratoire par exemple, tout est axé sur le confort<br />
du patient. Outre l’application de techniques de ventilation moins invasives au<br />
niveau pulmonaire (notamment par la ventilation ventrale), nous avons aussi investi<br />
dans une nouvelle technique appelée Neurally Adjusted Ventilatory Assist<br />
(NAVA) qui permet notamment d’accélérer le sevrage ventilatoire du patient.<br />
Grâce à cette technique de sevrage qui dose le support ventilatoire sur la base<br />
de la mesure de l’activité musculaire du diaphragme, nous parvenons à réduire<br />
au strict minimum la durée du séjour en Soins Intensifs. Nous parvenons aussi<br />
à ce résultat en utilisant des techniques toujours moins invasives.”<br />
Souci de la qualité<br />
Dr. Filez : “Le service des Soins Intensifs ne peut<br />
s’écarter d’un iota des normes prescrites en matière<br />
de sécurité du patient: Selon l’Institut américain<br />
de médecine, pour être considéré comme<br />
‘excellent’, les soins doivent être sûrs, prodigués<br />
au bon moment, efficaces, raisonnables, orientés<br />
vers le patient, continus et intégrés. Tous ces<br />
aspects sont déjà quotidiennement mis en pratique<br />
au service des Soins Intensifs. C’est pour nous la<br />
seule manière d’offrir une qualité optimale à nos<br />
patients. C’est pour cela aussi que tout notre personnel<br />
infirmier a suivi une formation spécialisée<br />
et que les trois quarts d’entre eux ont en plus suivi<br />
une formation complémentaire sur l’art infirmier<br />
au service des urgences et des Soins Intensifs.<br />
Ce n’est certainement pas un luxe superflu dans<br />
un service aussi critique que les Soins Intensifs.<br />
La lutte contre les infections nosocomiales est<br />
un de nos points d’attention permanents. Sur la<br />
base d’un ensemble standardisé de soins, nous<br />
essayons de limiter au maximum les infections<br />
telles que la pneumonie acquise par ventilation<br />
(VAP). Le tout est coordonné et implémenté par<br />
une ‘infirmière de pratique avancée’, spécialement<br />
formée à cet effet.”<br />
Info: service des Soins Intensifs, 057 35 60 41,<br />
yiz@yperman.net<br />
Adieu papier<br />
Le service des Soins Intensifs travaille depuis un an et demi de manière dématérialisée,<br />
c’est-à-dire sans papier. Dr Filez: “Toutes les données du monitoring,<br />
du dispositif de ventilation ou du laboratoire clinique sont lues et stockées<br />
automatiquement toutes les dix secondes, il en est de même concernant les<br />
informations encodées par les médecins et le personnel infirmier. Un système<br />
avancé de gestion des données des patients les sauvegarde en permanence. Le<br />
tout est en même temps directement lié au dossier médical central. Les prescriptions<br />
de médicaments sont également stockées dans le système. Le passage<br />
au numérique offre de grands avantages. Non seulement l’enregistrement des<br />
paramètres, par exemple, qui est plus étendu, mais en outre, le risque d’erreurs<br />
baisse de manière significative (au niveau de la médication par exemple).”<br />
5
6<br />
Nouveaux médecins<br />
DOCTEUR TOM DECLERCQ, ANESTHÉSIE-RÉANIMATION<br />
Depuis le 1ier octobre, le docteur Tom Declercq a rejoint le service Anesthésie-Réanimation. Il est principalement<br />
actif comme anesthésiste au bloc opératoire et comme médecin urgentiste au service des urgences.<br />
“Deux éléments ont été déterminants pour mon choix de travailler ici: l’infrastructure particulièrement<br />
attrayante et le climat de travail positif entre tous les collègues. Ce dernier point est important parce que je<br />
veux faire partie d’une équipe motivée qui prend à cœur d’offrir au patient les meilleurs soins possibles.”<br />
Le docteur Declercq a obtenu son diplôme de médecin à l’UGent en 2004. En 2011, il a terminé la spécialisation<br />
en anesthésie et réanimation. Ensuite, il a fait une année de stage dans les services des cas critiques de<br />
l’AZ Sint-Jan à Bruges. Ceci lui a procuré le titre de médecin urgentiste. “En ce qui concerne mon activité au<br />
sein de l’hôpital Jan Yperman, je souhaite participer à l’amélioration de la qualité des soins, y compris sur le<br />
plan non médical”, ajoute le docteur Declercq.<br />
Info: 057 35 61 20, secretariaat.anesthesie@yperman.net<br />
DOCTEUR TOM VANHOUTTE, ORTHOPÉDIE-TRAUMATOLOGIE<br />
En octobre, le docteur Tom Vanhoutte a rejoint le service Orthopédie-Traumatologie de l’hôpital Jan Yperman où<br />
il s’occupe surtout des patients souffrant de problèmes au niveau de la hanche. “En effet, pour les patients plus<br />
âgés, cela implique le plus souvent d’avoir un recours à la chirurgie prothétique et la révision de prothèses<br />
anciennes, tandis que chez les patients plus jeunes, on pratique plutôt des endoscopies du cartilage de la<br />
hanche. Je m’occupe aussi des lésions sportives ainsi que des problèmes de la main et du poignet.”<br />
Diplômé de l’UGent en 2009, le docteur Vanhoutte a suivi un Fellowship d’une durée de six mois à Sint-Niklaas<br />
et à Melbourne (Australie). Après ces deux stages, il a été engagé comme orthopédiste à l’AZ Glorieux à Renaix.<br />
Durant cette période, il fut également le responsable médical des équipes de football des catégories jeunes et<br />
dames du club SV Zulte-Waregem. “J’ai choisi l’hôpital Jan Yperman parce qu’on y pratique une vision claire de<br />
l’avenir, combinée à une infrastructure incroyable et une équipe de jeunes médecins motivés.”<br />
Info: 057 35 73 70, secortho@yperman.net<br />
DOCTEUR JOHAN HELDERWEIRT, URGENCES<br />
Le 1er janvier, le docteur Johan Helderweirt prendra officiellement ses fonctions à l’hôpital Jan Yperman où<br />
il dirigera le service des Urgences. “Ma tâche consiste à amplifier le département des urgences de l’hôpital<br />
vers un service moderne et autonome. Je travaillerai également comme anesthésiste en salle d’opération”,<br />
explique le docteur Helderweirt. Diplômé en 2008 à la KU Leuven comme spécialiste en anesthésie-réanimation,<br />
le docteur Helderweirt a obtenu également le titre de professionnel en médecine urgentiste, celui des soins<br />
intensifs et ainsi qu’un postgraduat en gestion des catastrophes. En <strong>2012</strong>, il a terminé sa formation en gestion<br />
hospitalière à la Vlerick Business School et a acquis une expérience supplémentaire dans plusieurs hôpitaux de<br />
Belgique. Docteur Helderweirt: “Sur le plan médical, mon centre d’intérêt tourne autour des ‘soins critiques’, en<br />
particulier l’axe urgences-soins intensifs.”<br />
Info: 057 35 60 00, yspoed@yperman.net<br />
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soumettre à un dépistage du cancer du sein. Le<br />
taux de participation dans la région d’Ypres-Poperingue<br />
dépasse légèrement les 60 %, un score<br />
passablement élevé par rapport au reste de la<br />
Flandre. Mais il y a moyen de faire mieux. <<br />
Les femmes d’Ypres, Poperingue et des environs sont<br />
en mesure de s’adresser à plusieurs endroits pour se<br />
soumettre à une mammographie de dépistage: l’hôpital<br />
Jan Yperman, la polyclinique de Poperingue, le cabinet<br />
de radiologie de la Klaverstraat et bientôt aussi<br />
le cabinet de radiologie de Comines (voir p. 8). “Il est<br />
essentiel de se soumettre à un dépistage précoce”,<br />
explique le docteur Jo De Sutter (service d’Imagerie<br />
Médicale), “car plus tôt on traite le problème, plus<br />
grandes sont les chances de guérison. Nous voulons<br />
diffuser le message le plus largement possible. La<br />
campagne ludique lancée par les pouvoirs publics<br />
(‘Laat naar je borsten kijken’ – ‘Faites voir vos seins’)<br />
Continuer<br />
à progresser<br />
> Dans le parcours qui mène à l’accréditation, la sécurité<br />
du patient est un thème essentiel. C’est pourquoi<br />
l’hôpital a organisé des cours de perfectionnement.<br />
Cinq sessions ont eu lieu en septembre. <<br />
L’hôpital a l’ambition de devenir un hôpital accrédité<br />
en 2014. Pour l’obtention de ce titre il faut répondre<br />
à une série de critères internationaux du manuel<br />
d’accréditation de la Joint Commission International<br />
(JCI). “Ce manuel contient plus de 1.300 critères et<br />
normes”, explique Dennis Logie. “Nous sommes<br />
en train de les traduire progressivement dans la<br />
pratique. Le premier chapitre traite des six objectifs<br />
pour la sécurité du patient: l’identification correcte du<br />
patient, la ‘relecture’ des consignes et des résultats<br />
des analyses, le protocole ‘wrong side’ et la ‘pause’<br />
checklist lors des opérations, une bonne hygiène<br />
des mains, l’utilisation prudente des médicaments à<br />
risques et une bonne gestion concernant la prévention<br />
des chutes. En septembre, 700 collaborateurs et<br />
54 médecins ont suivi un cours de perfectionnement<br />
à ce sujet.”<br />
La sécurité du patient est suivi d’un chapitre relatif à<br />
la continuité des soins. 550 professionnels des soins<br />
de santé ont suivi la formation sur ce thème.<br />
Faites<br />
examiner<br />
vos seins<br />
est très réussie. Nous donnons aussi des conférences<br />
en collaboration avec LOGO Zuid-West-Vlaanderen et<br />
le conseil des séniors d’Ypres; à la Klaverstraat, nous<br />
avons organisé un moment info, tandis que nous diffusons<br />
dans les salles d’attente un petit film montrant le<br />
déroulement d’un dépistage du cancer du sein. ”<br />
AUTO-EXAMEN<br />
Le nombre de participantes au dépistage bisannuel a<br />
clairement augmenté dans la région. “Nous atteignons<br />
le deuxième score en Flandre Occidentale. Mais<br />
il y a moyen de faire mieux, car notre objectif est d’atteindre<br />
la barre des 75 %. Les femmes de 50 à 69 ans<br />
sont en mesure de prendre rendez-vous gratuitement<br />
par le biais de leur médecin généraliste ou le spécialiste.<br />
Il est en outre conseillé de palper ses seins<br />
soi-même une fois par mois. Le dépistage demeure<br />
important même au-delà de l’âge de 69 ans.”<br />
Info: service d’Imagerie Médicale, 057 35 74 00,<br />
secradio@yperman.net<br />
Publications<br />
Plusieurs médecins de l’hôpital<br />
Jan Yperman sont également<br />
actifs dans le secteur de la<br />
recherche. Et ces recherches<br />
donnent souvent lieu à des publications<br />
(de portée internationale),<br />
telles que les suivantes:<br />
Dr Ludo Van Krunckelsven<br />
(service de Chirurgie générale et<br />
abdominale):<br />
‘Early results of laparoscopic<br />
greater curvature gastric<br />
plication’<br />
Les résultats ont été présentés<br />
lors d’un congrès international<br />
sur la chirurgie de l’obésité<br />
‘IFSO’, qui s’est tenu en Inde à<br />
New Delhi en septembre <strong>2012</strong>.<br />
Il s’agit de la publication des<br />
excellents résultats que nous<br />
avons obtenus avec une nouvelle<br />
opération visant à traiter l’obésité<br />
et les troubles fonctionnels<br />
digestifs. Cette nouvelle<br />
intervention, nous la pratiquons<br />
dans notre hôpital en collaboration<br />
avec d’autres hôpitaux<br />
internationaux à la pointe du<br />
progrès dans cette branche de la<br />
chirurgie. La grande innovation<br />
consiste à replier l’estomac<br />
au lieu d’en retirer certaines<br />
parties, ce qui rend l’opération<br />
moins invasive, réversible et<br />
moins sujette à complications.<br />
Dr François Hardeman (service<br />
d’Orthopédie-Traumatologie)<br />
- ‘Failure Analysis of Operatively<br />
Treated Proximal Humeral<br />
Fractures’<br />
(Injury <strong>2012</strong>; 43:153-158)<br />
- ‘Predisposing factors which<br />
are relevant for the clinical<br />
outcome after revision total<br />
Eddy Delporte et Dennis Logie knee arthroplasty’<br />
(Knee Surgery, Sports Traumatology,<br />
Arthroscopy <strong>2012</strong>;<br />
“Il s’agit surtout des premiers soins aux urgences<br />
via un système de triage et le transfert des patients.<br />
20:1049-1056)<br />
- ‘Prosthetic inlay resurfacing<br />
for the treatment of focal, full<br />
Entre-temps, un troisième chapitre est en préparation,<br />
consacré à l’évaluation des patients.”<br />
the femoral condyle: a bridge<br />
thickness cartilage defects of<br />
Quelque 27 collaborateurs de l’hôpital ont également<br />
suivi une formation les habilitant à effectuer des<br />
between biologics and conventional<br />
arthroplasty’<br />
(Knee Surgery, Sports Traumatology,<br />
Arthroscopy <strong>2012</strong>;<br />
audits internes ou ‘tracers’. “Leur tâche consiste à<br />
comparer la qualité des soins aux normes de qualité 20:1753-1759)<br />
de la JCI et à dresser un inventaire des points forts et<br />
des points nécessitant des efforts supplémentaires. Dr Kurt Geldhof<br />
(Service d’Oncologie)<br />
Nous serons ainsi en mesure d’optimaliser encore<br />
‘Retrospective analysis on<br />
davantage les soins. Nous utilisons la même méthode the impact of iron chelation<br />
de traçage que les auditeurs de la JCI qui viendront<br />
visiter l’hôpital en 2014”, précise Eddy Delporte.<br />
therapy on survival and leukemia<br />
progression in transfusion<br />
www.yperman.net › accréditation<br />
dependent MDS patients in<br />
Belgium’<br />
7
8<br />
Reprise du St. Janshospitaal<br />
Cozo<br />
La plateforme collaborative de<br />
soins (Collaboratief Zorgplatform<br />
ou CoZo) permet aux professionnels<br />
de la santé d’échanger de<br />
manière rapide et sécurisée les<br />
données électroniques concernant<br />
la santé de leurs patients.<br />
Ceci, bien entendu, moyennant<br />
l’autorisation du patient À<br />
l’heure actuelle, <strong>22</strong> hôpitaux et<br />
associations de médecins de<br />
la région participent déjà à ce<br />
système et l’hôpital Jan Yperman<br />
n’est pas en reste. “Les médecins<br />
généralistes qui s’inscrivent<br />
à la CoZo sont encore mieux<br />
informés du dossier médical<br />
de leur patient hospitalisé et<br />
peuvent notamment suivre pas à<br />
pas les traitements administrés”,<br />
explique Francky Deleu.<br />
Colloques<br />
2013<br />
Un grand nombre d’activités intéressantes<br />
figurent à l’agenda<br />
de l’hôpital pour 2013.<br />
Vous êtes cordialement invités<br />
aux colloques suivants:<br />
• jeu 28 mars: colloque relatif<br />
aux urgences<br />
• jeu 20 juin: colloque consacré<br />
à la chirurgie générale<br />
et à l’urologie<br />
• jeu 19 septembre: colloque<br />
intitulé 5 années de clinique<br />
du sein<br />
• jeu 19 <strong>décembre</strong>: colloque<br />
sur la médecine interne<br />
Pour plus d’infos, contactez:<br />
communicatie@yperman.net<br />
>Les 24 lits Sp du St. Janshospitaal de Wervik<br />
seront bientôt sous la direction de l’hôpital Jan<br />
Yperman. “La qualité du service et des soins<br />
resteront identiques, il n’y a que l’employeur qui<br />
change”, explique Eric Luyckx. <<br />
L’hôpital Jan Yperman entretient depuis plusieurs<br />
années d’excellents rapports avec le St. Janshospitaal<br />
de Wervik, qui compte 24 lits Sp (soins spécialisés)<br />
et ceci depuis plusieurs années. “Il existait déjà<br />
une collaboration étroite avant la fusion des hôpitaux<br />
d’Ypres et de Poperinge”, explique le directeur général<br />
Eric Luyckx, “et en 1996, cette collaboration a été<br />
officialisée par un contrat d’association. La taille relativement<br />
petite de l’hôpital rendait une exploitation<br />
rentable de plus en plus difficile pour le CPAS de la<br />
ville de Wervik. Et comme ce service Sp doit répondre<br />
aux mêmes normes hospitalières que les ‘grands’<br />
hôpitaux, le service risquait de perdre l’agrément du<br />
gouvernement. Afin de pouvoir continuer à offrir nos<br />
services à la population de Wervik, nous avons conclu<br />
un accord prévoyant la reprise des 24 lits Sp du St.<br />
Janshospitaal par l’hôpital Jan Yperman à partir du<br />
1er janvier 2013.”<br />
Cette reprise n’entraînera pas de grands changements,<br />
selon Eric Luyckx. “Il n’y a que l’employeur<br />
Radiologie Comines<br />
> À partir du 1er janvier 2013, l’hôpital Jan Yperman<br />
reprend le cabinet de radiologie du docteur Tony<br />
Dewilde à Comines. Les médecins généralistes<br />
pourront continuer à envoyer leurs patients pour des<br />
examens radiologiques à la rue DU Chemin de Fer<br />
8/9 – près de la gare – où ils seront accueillis par une<br />
équipe enthousiaste. <<br />
“Le docteur Dewilde étant sur le point de prendre<br />
sa retraite, son cabinet de radiologie allait disparaître”,<br />
explique le docteur Katrien Goemaere (chef<br />
de service d’Imagerie Médicale). “Comme le cabinet<br />
de la Rue du Chemin de Fer sera repris par l’hôpital<br />
Jan Yperman, nous pourrons continuer à garantir le<br />
service aux médecins généralistes et aux patients de<br />
la région. Le cabinet accueillera, comme précédemment<br />
les patients pour qui un examen radiologique<br />
classique, une échographie ou une mammographie<br />
est prévue. Ces examens seront désormais réalisés<br />
par une équipe de radiologues de l’hôpital Jan Yperman,<br />
parfaitement bilingues. L’équipe du cabinet<br />
privé comportera des collaborateurs de l’hôpital et de<br />
membres du personnel déjà en poste.”<br />
Cette reprise est en même temps une opportunité<br />
concernant le remplacement et la modernisation<br />
qui change. Le service reste inchangé: les patients<br />
pour qui une période de revalidation plus longue est<br />
prévue, seront traités par la même équipe d’infirmières,<br />
de personnel paramédical et de personnel<br />
soignant. L’équipe médicale se compose d’un gériatre<br />
– le docteur Danny Demeyer – et de deux physiothérapeutes,<br />
les docteurs Filip Lefevere et Geert Moyaert.<br />
Le docteur Jan D’Hoore, médecin généraliste, continue<br />
d’assurer la permanence. Avec la reprise du service<br />
de radiologie à Comines (voir ci-dessous), cette région<br />
profite ainsi d’une gamme de soins encore plus large.”<br />
Info: St. Janshospitaal, 056 30 02 00,<br />
www.yperman.net › Sint-Janshospitaal<br />
de plusieurs appareils, par exemple pour le département<br />
d’échographie et de mammographie. “Ces<br />
appareils modernes dégagent des doses très fables<br />
du rayonnement. De plus, les résultats seront digitalisés.<br />
Ainsi, nous seront en mesure de consulter au<br />
cabinet de la Rue du Chemin de Fer tous les clichés<br />
qui se trouvent à l’hôpital et inversement. À l’avenir,<br />
le cabinet de radiologie prendra encore de l’expansion<br />
suivant les besoins des médecins généralistes et<br />
des patients de la région. Par exemple: des appareils<br />
permettant un dépistage du cancer du sein, seront<br />
mis en servie bientôt.”<br />
Info: 056 55 91 21, 057 35 74 00, secradio@yperman.<br />
net, www.yperman.net › Radiologie Comines