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Y-mail 22 FR - décembre 2012

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-<strong>mail</strong><br />

België/Belgique<br />

P.B. – P.P.<br />

8900 Ieper<br />

BC 15617<br />

BULLETIN D’INFORMATION DU CENTRE HOSPITALIER JAN YPERMAN<br />

IEPER/POPERINGE - ANNÉE 13 - DÉCEMBRE <strong>2012</strong> - N° <strong>22</strong><br />

Hôpital gériatrique (de jour):<br />

des soins sur mesure<br />

> Récemment, l’hôpital gériatrique de jour et le<br />

nouveau département de Sp-gériatrie ont été<br />

emménagés dans la même aile de l’hôpital, à côté<br />

du département de gériatrie classique. Grâce à<br />

cette centralisation, l’équipe gériatrique est en<br />

mesure d’offrir à chaque patient des soins encore<br />

plus personnalisés. <<br />

www.yperman.net<br />

Aussi<br />

ChondroCelect 2<br />

Semaine de festivités 3<br />

Soins Intensifs 4-5<br />

Nouveaux médecins 6<br />

Dépistage 7<br />

Reprises 8<br />

Y-<strong>mail</strong> est le magazine du<br />

centre hospitalier Jan Yperman<br />

Briekestraat 12 – 8900 Ypres<br />

T 057 35 35 35 – F 057 35 36 37<br />

E.R. : Eric Luyckx<br />

Coordination : Jan Blontrock<br />

jan.blontrock@yperman.net<br />

P806231<br />

Y-<strong>mail</strong> est réalisé par<br />

F-Twee communication<br />

T 09 265 97 20<br />

www.f-twee.be<br />

Toelating gesloten verpakking 8/161<br />

Afgiftekantoor Ieper-X<br />

Terugzendadres: Briekestraat 12, 8900 Ieper<br />

Nederlandse versie op aanvraag<br />

Gérard doit passer plusieurs examens aujourd’hui.<br />

Son programme de la journée a été préparé minutieusement<br />

par son médecin généraliste et son gériatre<br />

qui se sont concertés dans le but d’organiser tous les<br />

examens le même jour. Gérard n’étant plus tout jeune,<br />

sera accompagné par un infirmier qui le conduira vers<br />

les différents départements au sein de l’hôpital. Entre<br />

les examens, il pourra se reposer dans un environnement<br />

confortable. “L’hôpital gériatrique de jour est<br />

à présent installé au rez-de-chaussée, tout près des<br />

autres sections de gériatrie”, explique le docteur chef<br />

de service Geert Gabriel. “Outre quelques locaux<br />

d’examen, nous disposons de trois chambres séparées<br />

équipées d’un lit, d’un relax, d’une télévision… où les<br />

patients peuvent se relaxer en toute intimité entre les<br />

différents examens.”<br />

À l’hôpital gériatrique de jour, les trois gériatres, les<br />

infirmières spécialement formées et les membres<br />

du personnel paramédical proposent des soins sur<br />

mesure. “Les patients viennent suivre un programme<br />

diagnostique – tests de marche et de chute, examens<br />

techniques, évaluation des syndromes gériatriques<br />

tels que les maux de dos et la sous-alimentation,<br />

etc. – mais ils sont également en mesure d’y suivre un<br />

programme thérapeutique, tel que des transfusions<br />

sanguines, des phlébotomies et l’administration de<br />

médicaments par voie intraveineuse. Tout cela en une<br />

seule journée, dans le but de soustraire le patient<br />

le moins longtemps possible de son environnement<br />

familier.”<br />

CLINIQUE DE LA MÉMOIRE<br />

L’hôpital gériatrique de jour abrite aussi la clinique de<br />

la mémoire. “Ici également, nous essayons (avec les<br />

neurologues) de regrouper tous les examens le même<br />

jour, y compris les analyses de laboratoire, une RMN<br />

L’équipe de Gériatrie au grand complet, sous la direction des<br />

docteurs Philip Van Belle, Danny Demeyer et Geert Gabriel.<br />

du cerveau et les tests cognitifs”, indique le docteur<br />

Gabriel. “Le tout prend en général environ 4 heures.<br />

Dans ce temps, nous essayons d’établir un diagnostic<br />

différentiel de démence (ou non) et de conseiller le<br />

patient et sa famille.”<br />

SP-GÉRIATRIE<br />

Le programme de soins gériatriques a été élargi<br />

récemment. Une section de Sp-gériatrie est venue<br />

s’ajouter à ce département. Cette section de 21 lits<br />

accueille des patients âgés souffrant de troubles<br />

cognitifs (diverses formes de démence ou de syndromes<br />

psychiatriques (comme une dépression grave<br />

ou une psychose légère) nécessitant une hospitalisation<br />

plus longue. “Le but n’est pas d’accueillir ici les<br />

patients à un stade aigu», précise le docteur Philip<br />

Van Belle. “Chaque patient qui est accueilli ici, passe<br />

d’abord par le département de gériatrie classique où<br />

le diagnostic est posé.”<br />

Ici aussi, tout est aménagé dans le but de créer<br />

une atmosphère familiale. “Les patients n’ont pas<br />

l’impression de se trouver dans un hôpital. La grande<br />

salle de séjour, par exemple, se transforme en un<br />

agréable restaurant pour le repas de midi.”<br />

Les admissions dans l’hôpital gériatrique ont lieu<br />

suivant avis des gériatres ou du médecin généraliste.<br />

Les rendez-vous peuvent être pris par<br />

gdzh@yperman.net ou au n° 057 35 62 71.


2<br />

ChondroCelect<br />

Les docteurs Johan Boury, Hans Feys et François Hardeman<br />

Laboratoire<br />

mobile<br />

En novembre dernier, l’hôpital<br />

a reçu une visite insolite: un<br />

camion ‘transport exceptionnel’<br />

avec à son bord un laboratoire<br />

mobile d’orthopédie est venu<br />

s’installer sur notre parking. Il<br />

s’agissait d’un service proposé<br />

par une société qui vend du<br />

matériel chirurgical. Des techniciens<br />

de cette firme, parcourent<br />

l’Europe à bord d’un camion<br />

entièrement équipé, afin de<br />

permettre aux chirurgiens orthopédistes<br />

de tester des nouvelles<br />

techniques sur place. Ces tests<br />

ont lieu au niveau des articulations<br />

de cadavres importés des<br />

États-Unis. Dr François Hardeman:<br />

“Lors d’un congrès, j’avais<br />

observé une nouvelle technique<br />

permettant de réparer un ligament<br />

croisé postérieur. Comme<br />

je souhaitais tester cette technique,<br />

j’ai demandé à la firme<br />

Arthrex quand nous pourrions<br />

faire usage de leur laboratoire<br />

en Allemagne. Il se fait que cette<br />

firme était sur le point d’entamer<br />

un tour d’Europe. Nous avons eu<br />

de la chance, car c’est Jan Yperman<br />

qui a eu la primeur pour la<br />

Belgique.”<br />

Les deux autres orthopédistes,<br />

les docteurs Hans Feys et Jan<br />

Somers, s’activent également. Ils<br />

ont déjà à leur actif un ligament<br />

croisé antérieur, une stabilisation<br />

de la rotule et une correction<br />

d’axe du genou. Ils vont bientôt<br />

s’attaquer à la technique dont<br />

parlait le docteur Hardeman,<br />

qui est une nouvelle approche et<br />

révolutionnaire permettant de<br />

réparer le ligament croisé postérieur<br />

avec une meilleure fixation<br />

du tendon.<br />

> La Flandre compte une vingtaine de centres agréés bonne qualité, elles sont renvoyées à notre hôpital.<br />

d’implantation de chondrocytes autologues (ACI). La seconde opération consiste alors à implanter ces<br />

L’hôpital Jan Yperman en fait partie. Cette technique cellules à l’endroit de la lésion sous la forme d’une<br />

a été présentée récemment lors d’une colloque espèce de liquide gélatineux. La cavité ainsi remplie<br />

destiné aux médecins et aux kinésithérapeutes. < est fermée par une membrane qui maintiendra aussi<br />

le cartilage à sa place. La révalidation peut ensuite<br />

La procédure ACI utilise le produit cellulaire ChondroCelect.<br />

Lors de la transplantation cellulaire, des La procédure est entièrement remboursée par l’INA-<br />

commencer.”<br />

cellules endogènes sont utilisées pour réparer des MI. Mais pour être pris en considération, les patients<br />

lésions au cartilage. Pour pouvoir appliquer la procédure<br />

ACI, le médecin doit avoir suivi une formation les patients relativement jeunes présentant des<br />

doivent remplir des conditions très strictes. “Seuls<br />

spécifique, comme l’ont fait les orthopédistes Johan lésions limitées du genou et à certains endroits du<br />

Boury, Hans Feys et François Hardeman, qui ont genou entrent en considération pour cette intervention.<br />

Il s’agit en effet d’une procédure très onéreuse<br />

introduit cette technique l’année dernière à l’hôpital.<br />

Docteur Boury: “Nous prélevons d’abord un petit – mais elle en vaut certainement le prix. En effet, ce<br />

morceau de tissu du cartilage du genou par arthroscopie.<br />

Nous envoyons ce prélèvement à un laboratoire vieillissant, un problème de cartilage peut entraîner<br />

traitement curatif a aussi un effet préventif, car en<br />

de Louvain qui met ensuite les cellules séparées facilement de l’arthrose.”<br />

en culture. Une fois qu’il y a assez de cellules de Info: 057 35 73 70, secortho@yperman.net<br />

Nouvelle salle d’opération<br />

>L’hôpital Jan Yperman s’est récemment doté d’une DISPOSITION IDENTIQUE<br />

salle d’opération flambant neuve, ce qui porte à 10 Pour le reste, la disposition de la nouvelle salle<br />

le nombre de salles d’opération du bloc opératoire. d’opération est identique à celle des neuf autres.<br />

“Cette extension était nécessaire compte tenu de “Elle est équipée, comme les autres, d’une plateforme<br />

chirurgicale, d’une plateforme d’anesthésie,<br />

l’augmentation du nombre de patients pour lesquels<br />

une intervention chirurgicale est nécessaire, ainsi d’un chariot médical mobile et d’un set d’intubation”,<br />

que du nombre de chirurgiens qui est en augmentation<br />

constante”, comme l’explique le docteur Luc avons opté pour une architecture identique afin de<br />

explique l’infirmier en chef Stefaan Cuvelier. “Nous<br />

Verbanck (manager du bloc opératoire). <<br />

garantir une sécurité maximale pour le patient.<br />

Toutes les salles sont aménagées et agencées de<br />

La toute nouvelle salle d’opération est une véritable<br />

merveille technologique. “La salle est équipée d’intervenir rapidement en cas d’urgence sans avoir à<br />

la même manière, ce qui permet aux médecins<br />

d’appareils d’anesthésie et d’assistance respiratoire chercher où tout se trouve.”<br />

de la dernière génération”, commente le docteur Luc<br />

Verbanck. “Cela permet une assistance respiratoire Dr. Luc Verbanck: secretariaat.anesthesie@yperman.net<br />

meilleure des enfants et des patients souffrant d’une Stefaan Cuvelier: stefaan.cuvelier@yperman.net<br />

affection grave des poumons. Les écrans numériques<br />

utilisés lors des interventions endoscopiques ou laparoscopiques,<br />

sont adaptés aux technologies dernier<br />

cri. Le chirurgien et le personnel infirmier disposent<br />

ainsi d’informations encore plus complètes à la table<br />

d’opération. Comme dans toutes les autres salles<br />

d’opération, presque tout se fait par voie numérique.<br />

Les clichés pris pendant l’intervention sont ainsi<br />

traités instantanément par voie électronique. Finalement,<br />

les lampes d’opération sont des lampes LED<br />

qui ne produisent pas de chaleur.”


La semaine<br />

de festivités:<br />

un succès<br />

Syllabus<br />

ECG<br />

> La semaine de festivités de l’hôpital Jan Yperman<br />

du samedi 8 septembre au dimanche 16 septembre<br />

inclus, a été un succès. Plus de six mille visiteurs<br />

ont fait le déplacement. La ‘soirée des médecins’<br />

a déjà attiré à elle seule 250 médecins et leur<br />

conjoint. <<br />

Les derniers échos de la semaine festive résonnent<br />

encore au loin. Les réactions positives tant des médecins<br />

et des riverains que de les autres visiteurs (plus<br />

de 6.000 durant cette semaine) furent unanimes, et<br />

portaient sur la magnifique infrastructure et la possibilité<br />

de prodiguer des soins médicaux de très haut<br />

niveau. Mais il y a plus, nous dit Eric Luyckx (Directeur<br />

général): “L’ambiance familiale et la convivialité,<br />

et surtout l’enthousiasme de tous les membres<br />

du personnel ont été très appréciés du public. Cet<br />

enthousiasme est d’ailleurs clairement perceptible<br />

dans le film ‘Viva Jan Yperman’ qui a été visionné de<br />

un peu partout à plus de 14.000 reprises.”<br />

AVENIR DU MÉDECIN<br />

La ‘soirée des médecins’ s’est tenue le jeudi 13 septembre,<br />

durant laquelle l’avocat Bruxellois Stefaan<br />

Callens et chargé de cours à l’université, a donné une<br />

conférence avec un sujet bien adapté à la circonstance:<br />

‘Qu’est ce que l’avenir réserve au médecin?’<br />

Eric Luyckx: “Les médecins se regroupent de plus<br />

en plus et créent des sociétés ou des associations.<br />

Un cabinet médical, qui regroupe plusieurs médecins,<br />

et tout à fait normal de nos jours. Le professeur<br />

Callens a clairement expliqué les différents statuts du<br />

médecin, les avantages des sociétés et associations,<br />

la responsabilité des médecins, etc. Cet exposé a<br />

suscité de nombreuses réactions positives et a donné<br />

matière à discussion lors du buffet dinatoire auquel<br />

étaient conviés les médecins de l’hôpital et les médecins<br />

généralistes de la région.”<br />

Si vous n’avez pas encore vu le ‘feelgood movie’ de<br />

l’hôpital, jetez donc un coup d’œil sur le site<br />

www.yperman.net › Viva Jan Yperman / link.<br />

Le docteur Frank Bauwens<br />

a donné, ces deux dernières<br />

années, quelques cours d’interprétation<br />

d’ECG aux médecins<br />

généralistes d’Ypres. Ces cours<br />

font à présent l’objet d’un syllabus<br />

(en néerlandais) que vous<br />

pouvez télécharger sur son site<br />

web www.drfrankbauwens.be.<br />

Cliquez sur ‘Voordrachten’, puis<br />

sur le lien ‘EKG syllabus’.<br />

Accessibilité<br />

parking pour<br />

les médecins<br />

généralistes<br />

Les médecins généralistes<br />

qui se rendent à l’hôpital Jan<br />

Yperman, ont toujours accès<br />

au même parking, tout près de<br />

l’entrée de l’hôpital. L’entrée et<br />

la sortie ont cependant subies<br />

une modification. “L’ancienne<br />

entrée du parking est devenue<br />

une zone verte”, explique Rik<br />

Persyn. “C’est pourquoi les<br />

médecins généralistes peuvent<br />

désormais accéder au parking<br />

par l’ancienne sortie, en utilisant<br />

leur badge. Ils peuvent sortir du<br />

parking par la double barrière<br />

du bus, qui s’ouvre automatiquement.”<br />

3


4<br />

Pleins feux sur le service<br />

des Soins Intensifs<br />

Intensif<br />

à tous<br />

les niveaux<br />

> Fin octobre, cela fait exactement cinq ans, que le service des<br />

Soins Intensifs s’est installé dans le tout nouveau bloc médicotechnique.<br />

Une équipe spécialement formée y dispense aux<br />

patients des soins de qualité supérieure, en constante concertation<br />

avec les autres disciplines. Un aperçu.<<br />

L’équipe des Soins Intensifs<br />

En résumé<br />

Au département des Soins Intensifs, tout<br />

tourne autour des soins au patient. Dr Piet<br />

Filez (chef de service): “Tous les patients<br />

qui requièrent des soins complexes et très<br />

invasifs sont orientés vers notre département<br />

– par exemple des patients qui ont subi<br />

une intervention lourde de chirurgie thoraco-abdominale,<br />

ou qui souffrent d’affections<br />

internes graves, ou qui ont été victimes d’un<br />

traumatisme cérébral ou d’un accident grave.<br />

Par rapport au passé, les possibilités diagnostiques<br />

et thérapeutiques se sont énormément<br />

développées, de même que les traitements<br />

intensifs, tant supportifs que curatifs. C’est<br />

d’ailleurs la raison pour laquelle nous avons<br />

déménagé il y a cinq ans pour nous installer<br />

dans cette aile flambant neuve, construite<br />

selon un concept entièrement nouveau.”<br />

Le département compte actuellement douze<br />

lits avec chaque fois un sas d’isolement.<br />

“Chaque patient peut ainsi être traité en<br />

isolement total, ce qui est une nécessité<br />

pour les patients qui ont contracté certaines<br />

infections.”<br />

Le docteur Piet Filez, médecin intensiviste, est à la tête de l’équipe multidisciplinaire.<br />

“Les jours de semaine, un intensiviste est présent en permanence: il<br />

s’agit soit de moi-même, soit d’un de mes deux collègues, le docteur Els Colla<br />

ou le docteur Luc Verbanck. La garde est assurée par les anesthésistes de<br />

l’hôpital. Notre équipe se compose en outre d’infirmiers spécialement formés,<br />

de kinés et d’infirmières sociales. Les membres de l’équipe se complètent à la<br />

perfection. Le cas de chaque patient est passé en revue sous l’angle multidisciplinaire<br />

chaque matin: nous organisons quotidiennement une concertation<br />

avec les autres disciplines pour lesquelles le patient a été hospitalisé. Et<br />

ensuite, le personnel infirmier et paramédical est briefé de manière approfondie.”<br />

Les docteurs Piet Filez, Luc Verbanck et Els Colla


Haute technologie<br />

Un patient qui séjourne aux Soins Intensifs est en principe en danger de mort.<br />

C’est pourquoi ses signes vitaux doivent être surveillés en permanence. Ce<br />

monitoring est assuré dans le service au moyen des techniques et appareils<br />

les plus modernes. “Dans la plupart des hôpitaux, les Soins Intensifs sont à<br />

la pointe du progrès sur le plan technique parce que c’est littéralement une<br />

question de vie ou de mort”, explique le docteur Filez. “Il en va de même dans<br />

notre service. Sur le plan respiratoire par exemple, tout est axé sur le confort<br />

du patient. Outre l’application de techniques de ventilation moins invasives au<br />

niveau pulmonaire (notamment par la ventilation ventrale), nous avons aussi investi<br />

dans une nouvelle technique appelée Neurally Adjusted Ventilatory Assist<br />

(NAVA) qui permet notamment d’accélérer le sevrage ventilatoire du patient.<br />

Grâce à cette technique de sevrage qui dose le support ventilatoire sur la base<br />

de la mesure de l’activité musculaire du diaphragme, nous parvenons à réduire<br />

au strict minimum la durée du séjour en Soins Intensifs. Nous parvenons aussi<br />

à ce résultat en utilisant des techniques toujours moins invasives.”<br />

Souci de la qualité<br />

Dr. Filez : “Le service des Soins Intensifs ne peut<br />

s’écarter d’un iota des normes prescrites en matière<br />

de sécurité du patient: Selon l’Institut américain<br />

de médecine, pour être considéré comme<br />

‘excellent’, les soins doivent être sûrs, prodigués<br />

au bon moment, efficaces, raisonnables, orientés<br />

vers le patient, continus et intégrés. Tous ces<br />

aspects sont déjà quotidiennement mis en pratique<br />

au service des Soins Intensifs. C’est pour nous la<br />

seule manière d’offrir une qualité optimale à nos<br />

patients. C’est pour cela aussi que tout notre personnel<br />

infirmier a suivi une formation spécialisée<br />

et que les trois quarts d’entre eux ont en plus suivi<br />

une formation complémentaire sur l’art infirmier<br />

au service des urgences et des Soins Intensifs.<br />

Ce n’est certainement pas un luxe superflu dans<br />

un service aussi critique que les Soins Intensifs.<br />

La lutte contre les infections nosocomiales est<br />

un de nos points d’attention permanents. Sur la<br />

base d’un ensemble standardisé de soins, nous<br />

essayons de limiter au maximum les infections<br />

telles que la pneumonie acquise par ventilation<br />

(VAP). Le tout est coordonné et implémenté par<br />

une ‘infirmière de pratique avancée’, spécialement<br />

formée à cet effet.”<br />

Info: service des Soins Intensifs, 057 35 60 41,<br />

yiz@yperman.net<br />

Adieu papier<br />

Le service des Soins Intensifs travaille depuis un an et demi de manière dématérialisée,<br />

c’est-à-dire sans papier. Dr Filez: “Toutes les données du monitoring,<br />

du dispositif de ventilation ou du laboratoire clinique sont lues et stockées<br />

automatiquement toutes les dix secondes, il en est de même concernant les<br />

informations encodées par les médecins et le personnel infirmier. Un système<br />

avancé de gestion des données des patients les sauvegarde en permanence. Le<br />

tout est en même temps directement lié au dossier médical central. Les prescriptions<br />

de médicaments sont également stockées dans le système. Le passage<br />

au numérique offre de grands avantages. Non seulement l’enregistrement des<br />

paramètres, par exemple, qui est plus étendu, mais en outre, le risque d’erreurs<br />

baisse de manière significative (au niveau de la médication par exemple).”<br />

5


6<br />

Nouveaux médecins<br />

DOCTEUR TOM DECLERCQ, ANESTHÉSIE-RÉANIMATION<br />

Depuis le 1ier octobre, le docteur Tom Declercq a rejoint le service Anesthésie-Réanimation. Il est principalement<br />

actif comme anesthésiste au bloc opératoire et comme médecin urgentiste au service des urgences.<br />

“Deux éléments ont été déterminants pour mon choix de travailler ici: l’infrastructure particulièrement<br />

attrayante et le climat de travail positif entre tous les collègues. Ce dernier point est important parce que je<br />

veux faire partie d’une équipe motivée qui prend à cœur d’offrir au patient les meilleurs soins possibles.”<br />

Le docteur Declercq a obtenu son diplôme de médecin à l’UGent en 2004. En 2011, il a terminé la spécialisation<br />

en anesthésie et réanimation. Ensuite, il a fait une année de stage dans les services des cas critiques de<br />

l’AZ Sint-Jan à Bruges. Ceci lui a procuré le titre de médecin urgentiste. “En ce qui concerne mon activité au<br />

sein de l’hôpital Jan Yperman, je souhaite participer à l’amélioration de la qualité des soins, y compris sur le<br />

plan non médical”, ajoute le docteur Declercq.<br />

Info: 057 35 61 20, secretariaat.anesthesie@yperman.net<br />

DOCTEUR TOM VANHOUTTE, ORTHOPÉDIE-TRAUMATOLOGIE<br />

En octobre, le docteur Tom Vanhoutte a rejoint le service Orthopédie-Traumatologie de l’hôpital Jan Yperman où<br />

il s’occupe surtout des patients souffrant de problèmes au niveau de la hanche. “En effet, pour les patients plus<br />

âgés, cela implique le plus souvent d’avoir un recours à la chirurgie prothétique et la révision de prothèses<br />

anciennes, tandis que chez les patients plus jeunes, on pratique plutôt des endoscopies du cartilage de la<br />

hanche. Je m’occupe aussi des lésions sportives ainsi que des problèmes de la main et du poignet.”<br />

Diplômé de l’UGent en 2009, le docteur Vanhoutte a suivi un Fellowship d’une durée de six mois à Sint-Niklaas<br />

et à Melbourne (Australie). Après ces deux stages, il a été engagé comme orthopédiste à l’AZ Glorieux à Renaix.<br />

Durant cette période, il fut également le responsable médical des équipes de football des catégories jeunes et<br />

dames du club SV Zulte-Waregem. “J’ai choisi l’hôpital Jan Yperman parce qu’on y pratique une vision claire de<br />

l’avenir, combinée à une infrastructure incroyable et une équipe de jeunes médecins motivés.”<br />

Info: 057 35 73 70, secortho@yperman.net<br />

DOCTEUR JOHAN HELDERWEIRT, URGENCES<br />

Le 1er janvier, le docteur Johan Helderweirt prendra officiellement ses fonctions à l’hôpital Jan Yperman où<br />

il dirigera le service des Urgences. “Ma tâche consiste à amplifier le département des urgences de l’hôpital<br />

vers un service moderne et autonome. Je travaillerai également comme anesthésiste en salle d’opération”,<br />

explique le docteur Helderweirt. Diplômé en 2008 à la KU Leuven comme spécialiste en anesthésie-réanimation,<br />

le docteur Helderweirt a obtenu également le titre de professionnel en médecine urgentiste, celui des soins<br />

intensifs et ainsi qu’un postgraduat en gestion des catastrophes. En <strong>2012</strong>, il a terminé sa formation en gestion<br />

hospitalière à la Vlerick Business School et a acquis une expérience supplémentaire dans plusieurs hôpitaux de<br />

Belgique. Docteur Helderweirt: “Sur le plan médical, mon centre d’intérêt tourne autour des ‘soins critiques’, en<br />

particulier l’axe urgences-soins intensifs.”<br />

Info: 057 35 60 00, yspoed@yperman.net<br />

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Tous les deux ans, les femmes âgées de 50 à<br />

69 ans reçoivent un courrier les appelant à se<br />

soumettre à un dépistage du cancer du sein. Le<br />

taux de participation dans la région d’Ypres-Poperingue<br />

dépasse légèrement les 60 %, un score<br />

passablement élevé par rapport au reste de la<br />

Flandre. Mais il y a moyen de faire mieux. <<br />

Les femmes d’Ypres, Poperingue et des environs sont<br />

en mesure de s’adresser à plusieurs endroits pour se<br />

soumettre à une mammographie de dépistage: l’hôpital<br />

Jan Yperman, la polyclinique de Poperingue, le cabinet<br />

de radiologie de la Klaverstraat et bientôt aussi<br />

le cabinet de radiologie de Comines (voir p. 8). “Il est<br />

essentiel de se soumettre à un dépistage précoce”,<br />

explique le docteur Jo De Sutter (service d’Imagerie<br />

Médicale), “car plus tôt on traite le problème, plus<br />

grandes sont les chances de guérison. Nous voulons<br />

diffuser le message le plus largement possible. La<br />

campagne ludique lancée par les pouvoirs publics<br />

(‘Laat naar je borsten kijken’ – ‘Faites voir vos seins’)<br />

Continuer<br />

à progresser<br />

> Dans le parcours qui mène à l’accréditation, la sécurité<br />

du patient est un thème essentiel. C’est pourquoi<br />

l’hôpital a organisé des cours de perfectionnement.<br />

Cinq sessions ont eu lieu en septembre. <<br />

L’hôpital a l’ambition de devenir un hôpital accrédité<br />

en 2014. Pour l’obtention de ce titre il faut répondre<br />

à une série de critères internationaux du manuel<br />

d’accréditation de la Joint Commission International<br />

(JCI). “Ce manuel contient plus de 1.300 critères et<br />

normes”, explique Dennis Logie. “Nous sommes<br />

en train de les traduire progressivement dans la<br />

pratique. Le premier chapitre traite des six objectifs<br />

pour la sécurité du patient: l’identification correcte du<br />

patient, la ‘relecture’ des consignes et des résultats<br />

des analyses, le protocole ‘wrong side’ et la ‘pause’<br />

checklist lors des opérations, une bonne hygiène<br />

des mains, l’utilisation prudente des médicaments à<br />

risques et une bonne gestion concernant la prévention<br />

des chutes. En septembre, 700 collaborateurs et<br />

54 médecins ont suivi un cours de perfectionnement<br />

à ce sujet.”<br />

La sécurité du patient est suivi d’un chapitre relatif à<br />

la continuité des soins. 550 professionnels des soins<br />

de santé ont suivi la formation sur ce thème.<br />

Faites<br />

examiner<br />

vos seins<br />

est très réussie. Nous donnons aussi des conférences<br />

en collaboration avec LOGO Zuid-West-Vlaanderen et<br />

le conseil des séniors d’Ypres; à la Klaverstraat, nous<br />

avons organisé un moment info, tandis que nous diffusons<br />

dans les salles d’attente un petit film montrant le<br />

déroulement d’un dépistage du cancer du sein. ”<br />

AUTO-EXAMEN<br />

Le nombre de participantes au dépistage bisannuel a<br />

clairement augmenté dans la région. “Nous atteignons<br />

le deuxième score en Flandre Occidentale. Mais<br />

il y a moyen de faire mieux, car notre objectif est d’atteindre<br />

la barre des 75 %. Les femmes de 50 à 69 ans<br />

sont en mesure de prendre rendez-vous gratuitement<br />

par le biais de leur médecin généraliste ou le spécialiste.<br />

Il est en outre conseillé de palper ses seins<br />

soi-même une fois par mois. Le dépistage demeure<br />

important même au-delà de l’âge de 69 ans.”<br />

Info: service d’Imagerie Médicale, 057 35 74 00,<br />

secradio@yperman.net<br />

Publications<br />

Plusieurs médecins de l’hôpital<br />

Jan Yperman sont également<br />

actifs dans le secteur de la<br />

recherche. Et ces recherches<br />

donnent souvent lieu à des publications<br />

(de portée internationale),<br />

telles que les suivantes:<br />

Dr Ludo Van Krunckelsven<br />

(service de Chirurgie générale et<br />

abdominale):<br />

‘Early results of laparoscopic<br />

greater curvature gastric<br />

plication’<br />

Les résultats ont été présentés<br />

lors d’un congrès international<br />

sur la chirurgie de l’obésité<br />

‘IFSO’, qui s’est tenu en Inde à<br />

New Delhi en septembre <strong>2012</strong>.<br />

Il s’agit de la publication des<br />

excellents résultats que nous<br />

avons obtenus avec une nouvelle<br />

opération visant à traiter l’obésité<br />

et les troubles fonctionnels<br />

digestifs. Cette nouvelle<br />

intervention, nous la pratiquons<br />

dans notre hôpital en collaboration<br />

avec d’autres hôpitaux<br />

internationaux à la pointe du<br />

progrès dans cette branche de la<br />

chirurgie. La grande innovation<br />

consiste à replier l’estomac<br />

au lieu d’en retirer certaines<br />

parties, ce qui rend l’opération<br />

moins invasive, réversible et<br />

moins sujette à complications.<br />

Dr François Hardeman (service<br />

d’Orthopédie-Traumatologie)<br />

- ‘Failure Analysis of Operatively<br />

Treated Proximal Humeral<br />

Fractures’<br />

(Injury <strong>2012</strong>; 43:153-158)<br />

- ‘Predisposing factors which<br />

are relevant for the clinical<br />

outcome after revision total<br />

Eddy Delporte et Dennis Logie knee arthroplasty’<br />

(Knee Surgery, Sports Traumatology,<br />

Arthroscopy <strong>2012</strong>;<br />

“Il s’agit surtout des premiers soins aux urgences<br />

via un système de triage et le transfert des patients.<br />

20:1049-1056)<br />

- ‘Prosthetic inlay resurfacing<br />

for the treatment of focal, full<br />

Entre-temps, un troisième chapitre est en préparation,<br />

consacré à l’évaluation des patients.”<br />

the femoral condyle: a bridge<br />

thickness cartilage defects of<br />

Quelque 27 collaborateurs de l’hôpital ont également<br />

suivi une formation les habilitant à effectuer des<br />

between biologics and conventional<br />

arthroplasty’<br />

(Knee Surgery, Sports Traumatology,<br />

Arthroscopy <strong>2012</strong>;<br />

audits internes ou ‘tracers’. “Leur tâche consiste à<br />

comparer la qualité des soins aux normes de qualité 20:1753-1759)<br />

de la JCI et à dresser un inventaire des points forts et<br />

des points nécessitant des efforts supplémentaires. Dr Kurt Geldhof<br />

(Service d’Oncologie)<br />

Nous serons ainsi en mesure d’optimaliser encore<br />

‘Retrospective analysis on<br />

davantage les soins. Nous utilisons la même méthode the impact of iron chelation<br />

de traçage que les auditeurs de la JCI qui viendront<br />

visiter l’hôpital en 2014”, précise Eddy Delporte.<br />

therapy on survival and leukemia<br />

progression in transfusion<br />

www.yperman.net › accréditation<br />

dependent MDS patients in<br />

Belgium’<br />

7


8<br />

Reprise du St. Janshospitaal<br />

Cozo<br />

La plateforme collaborative de<br />

soins (Collaboratief Zorgplatform<br />

ou CoZo) permet aux professionnels<br />

de la santé d’échanger de<br />

manière rapide et sécurisée les<br />

données électroniques concernant<br />

la santé de leurs patients.<br />

Ceci, bien entendu, moyennant<br />

l’autorisation du patient À<br />

l’heure actuelle, <strong>22</strong> hôpitaux et<br />

associations de médecins de<br />

la région participent déjà à ce<br />

système et l’hôpital Jan Yperman<br />

n’est pas en reste. “Les médecins<br />

généralistes qui s’inscrivent<br />

à la CoZo sont encore mieux<br />

informés du dossier médical<br />

de leur patient hospitalisé et<br />

peuvent notamment suivre pas à<br />

pas les traitements administrés”,<br />

explique Francky Deleu.<br />

Colloques<br />

2013<br />

Un grand nombre d’activités intéressantes<br />

figurent à l’agenda<br />

de l’hôpital pour 2013.<br />

Vous êtes cordialement invités<br />

aux colloques suivants:<br />

• jeu 28 mars: colloque relatif<br />

aux urgences<br />

• jeu 20 juin: colloque consacré<br />

à la chirurgie générale<br />

et à l’urologie<br />

• jeu 19 septembre: colloque<br />

intitulé 5 années de clinique<br />

du sein<br />

• jeu 19 <strong>décembre</strong>: colloque<br />

sur la médecine interne<br />

Pour plus d’infos, contactez:<br />

communicatie@yperman.net<br />

>Les 24 lits Sp du St. Janshospitaal de Wervik<br />

seront bientôt sous la direction de l’hôpital Jan<br />

Yperman. “La qualité du service et des soins<br />

resteront identiques, il n’y a que l’employeur qui<br />

change”, explique Eric Luyckx. <<br />

L’hôpital Jan Yperman entretient depuis plusieurs<br />

années d’excellents rapports avec le St. Janshospitaal<br />

de Wervik, qui compte 24 lits Sp (soins spécialisés)<br />

et ceci depuis plusieurs années. “Il existait déjà<br />

une collaboration étroite avant la fusion des hôpitaux<br />

d’Ypres et de Poperinge”, explique le directeur général<br />

Eric Luyckx, “et en 1996, cette collaboration a été<br />

officialisée par un contrat d’association. La taille relativement<br />

petite de l’hôpital rendait une exploitation<br />

rentable de plus en plus difficile pour le CPAS de la<br />

ville de Wervik. Et comme ce service Sp doit répondre<br />

aux mêmes normes hospitalières que les ‘grands’<br />

hôpitaux, le service risquait de perdre l’agrément du<br />

gouvernement. Afin de pouvoir continuer à offrir nos<br />

services à la population de Wervik, nous avons conclu<br />

un accord prévoyant la reprise des 24 lits Sp du St.<br />

Janshospitaal par l’hôpital Jan Yperman à partir du<br />

1er janvier 2013.”<br />

Cette reprise n’entraînera pas de grands changements,<br />

selon Eric Luyckx. “Il n’y a que l’employeur<br />

Radiologie Comines<br />

> À partir du 1er janvier 2013, l’hôpital Jan Yperman<br />

reprend le cabinet de radiologie du docteur Tony<br />

Dewilde à Comines. Les médecins généralistes<br />

pourront continuer à envoyer leurs patients pour des<br />

examens radiologiques à la rue DU Chemin de Fer<br />

8/9 – près de la gare – où ils seront accueillis par une<br />

équipe enthousiaste. <<br />

“Le docteur Dewilde étant sur le point de prendre<br />

sa retraite, son cabinet de radiologie allait disparaître”,<br />

explique le docteur Katrien Goemaere (chef<br />

de service d’Imagerie Médicale). “Comme le cabinet<br />

de la Rue du Chemin de Fer sera repris par l’hôpital<br />

Jan Yperman, nous pourrons continuer à garantir le<br />

service aux médecins généralistes et aux patients de<br />

la région. Le cabinet accueillera, comme précédemment<br />

les patients pour qui un examen radiologique<br />

classique, une échographie ou une mammographie<br />

est prévue. Ces examens seront désormais réalisés<br />

par une équipe de radiologues de l’hôpital Jan Yperman,<br />

parfaitement bilingues. L’équipe du cabinet<br />

privé comportera des collaborateurs de l’hôpital et de<br />

membres du personnel déjà en poste.”<br />

Cette reprise est en même temps une opportunité<br />

concernant le remplacement et la modernisation<br />

qui change. Le service reste inchangé: les patients<br />

pour qui une période de revalidation plus longue est<br />

prévue, seront traités par la même équipe d’infirmières,<br />

de personnel paramédical et de personnel<br />

soignant. L’équipe médicale se compose d’un gériatre<br />

– le docteur Danny Demeyer – et de deux physiothérapeutes,<br />

les docteurs Filip Lefevere et Geert Moyaert.<br />

Le docteur Jan D’Hoore, médecin généraliste, continue<br />

d’assurer la permanence. Avec la reprise du service<br />

de radiologie à Comines (voir ci-dessous), cette région<br />

profite ainsi d’une gamme de soins encore plus large.”<br />

Info: St. Janshospitaal, 056 30 02 00,<br />

www.yperman.net › Sint-Janshospitaal<br />

de plusieurs appareils, par exemple pour le département<br />

d’échographie et de mammographie. “Ces<br />

appareils modernes dégagent des doses très fables<br />

du rayonnement. De plus, les résultats seront digitalisés.<br />

Ainsi, nous seront en mesure de consulter au<br />

cabinet de la Rue du Chemin de Fer tous les clichés<br />

qui se trouvent à l’hôpital et inversement. À l’avenir,<br />

le cabinet de radiologie prendra encore de l’expansion<br />

suivant les besoins des médecins généralistes et<br />

des patients de la région. Par exemple: des appareils<br />

permettant un dépistage du cancer du sein, seront<br />

mis en servie bientôt.”<br />

Info: 056 55 91 21, 057 35 74 00, secradio@yperman.<br />

net, www.yperman.net › Radiologie Comines

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