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-<strong><strong>mai</strong>l</strong><br />
België/Belgique<br />
P.B. – P.P.<br />
8900 Ieper<br />
BC 15617<br />
BULLETIN D’INFORMATION DU CENTRE HOSPITALIER JAN YPERMAN<br />
IEPER/POPERINGE - ANNÉE 13 - MAI <strong>2012</strong> - N° <strong>21</strong><br />
www.yperman.net<br />
Nouveaux médecins à l’hôpital JY<br />
> L’hôpital JY continue à s’agrandir et son effectif en médecins suit la même tendance. Le 1er juin, l’hôpital accueillera<br />
en son sein le docteur François Hardeman, tandis que le 1er septembre, ce sera au tour du docteur Stijn<br />
Van Wiemeersch d’intégrer l’équipe. Ces spécialistes vont exercer respectivement au service d’orthopédie et au<br />
service de chirurgie thoracovasculaire. Nous vous les présentons brièvement. <<br />
Docteur François Hardeman<br />
Service Orthopédie<br />
Aussi<br />
avis psychiatrique 2<br />
clinique de proctologie 3<br />
pleins feux sur 4-5<br />
anatomopathologie 6<br />
accréditation 7<br />
déménagement 8<br />
Y-<strong><strong>mai</strong>l</strong> est le magazine du<br />
centre hospitalier Jan Yperman<br />
Briekestraat 12 – 8900 Ypres<br />
T 057 35 35 35 – F 057 35 36 37<br />
E.R. : Eric Luyckx<br />
Coordination : Jan Blontrock<br />
jan.blontrock@yperman.net<br />
P806231<br />
Y-<strong><strong>mai</strong>l</strong> est réalisé par<br />
F-Twee communication<br />
T 09 265 97 20<br />
www.f-twee.be<br />
Le 1er juin, le docteur François Hardeman a rejoint le service Orthopédie de<br />
l’Hôpital. «Je vais mettre l’accent sur les lésions du genou et de l’épaule et,<br />
en particulier, sur les techniques de traitement arthroscopique. À terme, je<br />
souhaite développer un centre sportif multidisciplinaire où l’accent sera mis<br />
sur la prévention et le traitement des blessures encourues lors de la pratique<br />
du sport et l’encadrement des clubs sportifs. J’aimerais par ailleurs aussi<br />
contribuer au développement du facteur ‘formation’ au sein du service.»<br />
Le docteur Hardeman a obtenu son diplôme de médecine à la KU Leuven<br />
en 2005. Après une spécialisation en orthopédie dans plusieurs hôpitaux du<br />
pays, il s’est rendu au Cap en Afrique du Sud, où il a travaillé pendant six<br />
mois avec le légendaire docteur Joe de Beer en tant que ‘fellow’ en chirurgie<br />
de l’épaule. Il a ensuite passé trois mois à Barcelone pour se spécialiser<br />
dans le traitement des lésions du genou auprès d’une équipe de médecins de<br />
renom.<br />
Secortho@yperman.net<br />
Docteur Stijn Van Wiemeersch<br />
Service de chirurgie thoracovasculaire<br />
Depuis le 1er septembre <strong>2012</strong>, le docteur Stijn Van Wiemeersch travaille à<br />
l’hôpital Jan Yperman où il exerce à plein temps, en étroite concertation avec<br />
les autres médecins du service de chirurgie thoracovasculaire, les docteurs<br />
Stephan Ceuppens et Piet Casaer, ce qui contribuera à assurer la continuité.<br />
Outre la chirurgie thoracovasculaire sous toutes ses facettes, le docteur Van<br />
Wiemeersch collaborera aussi activement au traitement des pathologies<br />
artérielles et veineuses à Ypres.<br />
Diplômé en chirurgie générale en 2009 aux hôpitaux Middelheim et Sint-<br />
Vincentius d’Anvers, le docteur Van Wiemeersch a ensuite suivi une formation<br />
complémentaire de chirurgie vasculaire à l’hôpital Imelda de Bonheiden et au<br />
service de chirurgie thoracovasculaire de l’UZ Anvers. Il s’en ensuite spécialisé<br />
en thoraco-chirurgie classique ouverte et endoscopique à l’hôpital Sint-<br />
Antonius de Nieuwegein (près d’Utrecht), qui est le service qui fait autorité en<br />
Europe dans le do<strong>mai</strong>ne de la chirurgie du thorax.<br />
Secheelkunde@yperman.net<br />
Toelating gesloten verpakking 8/161<br />
Afgiftekantoor Ieper-X<br />
Terugzendadres: Briekestraat 12, 8900 Ieper<br />
Nederlandse versie op aanvraag
2<br />
Avis psychiatrique<br />
les psychiatres du Heilig Hart<br />
le docteur Wim Lecot<br />
> Dans le cadre du traitement de diverses maladies,<br />
il est parfois nécessaire de consulter<br />
également un psychiatre. Depuis le 1er mars, les<br />
psychiatres du Psychiatrisch Ziekenhuis Heilig<br />
Hart se sont joints au docteur Lecot pour conseiller<br />
les médecins traitants. <<br />
Quand un patient présente des troubles d’ordre<br />
psychosomatique, par exemple, le médecin traitant<br />
peut faire appel au docteur Wim Lecot, psychiatre à<br />
l’AZ Groeninge de Courtrai. Depuis le 1er mars, les<br />
docteurs Joke Verhaeghe, Carl Engelhard et Guy Touquet,<br />
psychiatres du Psychiatrisch Ziekenhuis Heilig<br />
Hart d’Ypres, organisent des consultations à Jan<br />
Yperman. «Les médecins traitants de tous les départements<br />
peuvent faire appel à nous concernant des<br />
problèmes médico-psychiatriques ou des troubles<br />
psychiatriques complexes», explique le docteur Joke<br />
Verhaeghe. «À la demande du médecin, nous tenons<br />
des consultations, éventuellement dans la chambre<br />
du patient. Un avis, destiné au médecin traitant sera<br />
ensuite formulé.»<br />
CONTINUITÉ DES SOINS<br />
Les psychiatres du Heilig Hart assurent une permanence<br />
à Jan Yperman quatre après-midis par se<strong>mai</strong>ne.<br />
«Les lundi, mardi, jeudi et vendredi après-midi,<br />
un membre de notre équipe est présent à l’hôpital.<br />
Le mercredi, le docteur Lecot assure la continuité des<br />
soins. De cette manière, un psychiatre est disponible<br />
tous les jours, dans l’après-midi. Cette présence est<br />
également importante pour le service des urgences.<br />
Le cas échéant, le médecin urgentiste est en mesure<br />
de demander l’avis du psychiatre afin de donner au<br />
patient l’aide la plus appropriée», explique le docteur<br />
Verhaeghe.<br />
Pacemaker Plus<br />
le docteur Frank Bauwens<br />
> En mars dernier, une équipe du service Cardiologie<br />
de l’hôpital a implanté pour la première fois un pacemaker<br />
biventriculaire. Dans le but de synchroniser<br />
les contractions des ventricules gauches et droites<br />
du cœur. Cette première fut un grand succès. <<br />
Cet appareil minuscule permet d’aider les patients<br />
dont le rythme cardiaque est trop lent. Dans les cas<br />
où le cœur s’est affaibli et que, en même temps, les<br />
ventricules gauches et droites ne fonctionnent plus<br />
de manière synchrone, le pacemaker biventriculaire<br />
peut subvenir à cette anomalie. «Des problèmes au<br />
niveau des artères coronaires sont généralement à<br />
l’origine de cette dyssynchronie.», explique le docteur<br />
Frank Bauwens (service de cardiologie). «Ce sont en<br />
premier lieu les patients, dont le muscle cardiaque<br />
s’est affaibli sans cause précise, qui bénéficient de<br />
cette intervention.»<br />
MÊME BUT<br />
Un fonctionnement non-synchronisée des ventricules<br />
gauches et droites peut provoquer de graves défaillances<br />
cardiaques. «On peut faire la comparaison<br />
avec un match de football», commente le docteur Jan<br />
De Keyser (service de cardiologie). «Les joueurs de<br />
la même équipe doivent marquer dans le même but.<br />
De la même manière, les ventricules ont la fonction<br />
de pomper le sang dans la même direction et ceci<br />
en même temps. Un problème surgit quand ceci<br />
n’est plus le cas. Pour y remédier, nous implantons<br />
une électrode supplémentaire. Cette électrode est<br />
introduite dans le ventricule gauche en passant par<br />
le sinus coronaire et sera donc complémentaire aux<br />
électrodes du pacemaker traditionnel, qui, eux, se<br />
trouvent dans les ventricules gauches et droites.»<br />
RISQUE RÉDUIT<br />
L’électrode supplémentaire permet de synchroniser<br />
à nouveau les contractions des deux ventricules. «La<br />
propulsion du sang, fonction élémentaire du cœur,<br />
s’en trouve améliorée d’une façon significative. Cette<br />
intervention réduit en outre les risques d’un trouble<br />
du rythme cardiaque dangereux», ajoute le docteur<br />
Bauwens. «Cette technique n’est pas une nouveauté.<br />
Mais actuellement, grâce à son excellent laboratoire<br />
de cathétérisme, l’hôpital Jan Yperman est en mesure<br />
d’en faire bénéficier ses patients.»<br />
Info: dienst Cardiologie, 057 35 72 70<br />
secinterne@yperman.net<br />
www.yperman.net/cardiologie
les docteurs Allaert, Sohier et Dedrye<br />
Clinique de proctologie,<br />
sans gêne ni honte<br />
> Souvent, le patient ayant des problèmes à l’anus,<br />
éprouve une certaine pudeur, et n’ose pas en parler.<br />
La clinique de proctologie veut remédier à ce<br />
problème. Depuis le 1er mars, ces patients ont la<br />
possibilité de consulter, chaque jeudi matin, une<br />
équipe composée de trois chirurgiens qui leur<br />
donneront un avis de spécialiste. <<br />
Les patients souffrant d’un problème à l’anus sont<br />
désor<strong>mai</strong>s en mesure de se présenter à la clinique de<br />
proctologie afin d’obtenir un avis concernant leur problème<br />
spécifique. Ceci peut se faire sur rendez-vous<br />
ou sur prescription du médecin traitant. Trois chirurgiens<br />
du service de Chirurgie abdominale et générale<br />
– les docteurs Allaert, Dedrye et Sohier – indiqueront<br />
le traitement le plus indiqué et adapté au patient.<br />
«Des symptômes typiques sont des démangeaisons<br />
ou douleurs anales, des pertes de sang, hémorroïdes,<br />
problèmes de transit et constipation», explique le<br />
docteur Allaert. «Les personnes souffrant de ces<br />
problèmes n’osent souvent pas consulter. La clinique<br />
de proctologie veut les encourager à franchir le pas.<br />
Les personnes souffrant de problèmes proctologiques<br />
doivent savoir que nous pouvons résoudre leur<br />
problème. Parfois même sans opérer: on a tendance<br />
à croire qu’une consultation chez un chirurgien finit<br />
toujours par une opération, ceci n’est certainement<br />
pas toujours le cas.»<br />
MÉDICAL OU CHIRURGICAL<br />
Comment se déroule la consultation? Après que<br />
le patient a décrit les symptômes, suivra un examen<br />
clinique. Sur la base du diagnostic, le médecin<br />
explique au patient le traitement préconisé. «Ce<br />
traitement peut prendre deux formes: un traitement<br />
non chirurgical ou médical. Nous prescrivons souvent<br />
un médicament ou une pommade. Les habitudes et<br />
coutumes concernant le transit intestinal du patient<br />
son abordées et souvent, un régime alimentaire sera<br />
conseillé. Une consultation chez un kiné est parfois<br />
préconisée. Dans certains cas, une intervention<br />
chirurgicale est nécessaire, <strong>mai</strong>s les techniques ont<br />
tellement évolué et sont, actuellement, beaucoup<br />
moins invasives ou douloureuses.»<br />
Info: www.yperman.net/proctologiekliniek<br />
Symposiums<br />
<strong>2012</strong><br />
Le symposium Chirurgie générale<br />
et abdominale a déjà eu lieu,<br />
<strong>mai</strong>s plusieurs activités figurent<br />
encore à l’agenda pour <strong>2012</strong>.<br />
Prenez note des dates suivantes:<br />
• jeudi <strong>21</strong> juin: symposium<br />
thérapie par antibiotiques<br />
• jeudi 13 septembre: ouverture<br />
officielle de l’hôpital JY pour<br />
les médecins (généralistes)<br />
• jeudi 18 octobre: symposium<br />
d’orthopédie<br />
• jeudi 20 décembre: symposium<br />
de médecine interne<br />
Pour plus d’infos:<br />
communicatie@yperman.net<br />
Clinique de l’ostéoporose<br />
> L’âge est la première cause de l’ostéoporose.<br />
Mais d’autres pathologies également se trouvent<br />
à la base d’une décalcification osseuse. Depuis<br />
le début de cette année, les diverses disciplines<br />
concernées par l’ostéoporose sont centralisées<br />
au sein de la Clinique de l’ostéoporose. <<br />
La Clinique de l’ostéoporose se compose de médecins<br />
de plusieurs services. «Les patients à risques sont<br />
soumis à un dépistage au Centre de locomotricité»,<br />
explique le docteur Filip Lefevere (coordinateur).<br />
«Quand un patient souffre d’ostéoporose et la cause<br />
en est claire – par exemple des rhumatismes – il est<br />
alors dirigé, en concertation avec son médecin traitant,<br />
vers le service qui s’occupe de cette pathologie<br />
spécifique – dans ce cas: le service de Rhumatologie.<br />
Si la cause n’est pas établie clairement, le dossier<br />
sera soumis à l’équipe multidisciplinaire.» Cette<br />
équipe se compose des services de Physiothérapie<br />
(dr. Lefevere), Rhumatologie (dr. Lensen), Gynécologie<br />
(dr. Verhulst), d’Orthopédie (dr. Feys), Gériatrie<br />
(dr. Demeyer et dr. Gabriël) et Endocrinologie (dr.<br />
Nollet). Les médecins de la Clinique de l’ostéoporose<br />
se réunissent aussi à intervalles réguliers dans le<br />
but d’actualiser leurs connaissances. «Tous les deux<br />
mois, nous discutons des tendances récentes en<br />
matière d’ostéoporose. Nous synthétisons ces informations<br />
dans un dépliant destiné aux patients. Nous<br />
organisons également, une fois par an, une séance<br />
d’information destinée aux généralistes. Le premier<br />
colloque aura lieu cet automne.»<br />
Info: Clinique de l’ostéoporose, 057 35 73 80,<br />
secfysio@yperman.net<br />
le docteur Filip Lefevere<br />
3
4<br />
Pleins feux sur le service<br />
d’imagerie médicale et d’isotopes<br />
Vision précise<br />
de l’avenir<br />
Le docteur Marc Maelfait<br />
prend sa pension<br />
Après une riche<br />
carrière de 37<br />
ans en radiologie,<br />
le docteur Marc<br />
Maelfait (°1946) a<br />
pris sa pension à<br />
la fin de l’année<br />
passée. De 1975 à<br />
1994, il a développé<br />
une carrière en solo<br />
au Mariaziekenhuis<br />
de Poperinge, après<br />
quoi il a formé une<br />
association avec le docteur Jo De Sutter. Après la<br />
fusion avec l’hôpital Jan Yperman en 2000, les gardes<br />
ont été partagées avec les collègues d’Ypres.<br />
Radiologiste dévoué, il a appris les ficelles du<br />
métier à ses collaborateurs. Ses radios technographiquement<br />
parfaites lui ont valu une réputation<br />
qui s’étend bien au-delà des murs de l’hôpital.<br />
> Toutes les techniques du service<br />
d’imagerie médicale sont regroupées<br />
depuis peu dans la même aile de<br />
l’hôpital. On y trouve la nouvelle RM<br />
<strong>mai</strong>s aussi un tout nouveau SPECT-<br />
CT. Ce regroupement représente une<br />
amélioration considérable pour le<br />
confort des patients. <<br />
Le service d’imagerie médicale a reçu un<br />
beau cadeau de Nouvel An puisque c’est<br />
le 1er janvier que le nouvel appareil de<br />
RM a été mis en service, juste à côté de<br />
la radiologie. L’ancienne RM se trouvait<br />
de l’autre côté de l’hôpital. «Sa nouvelle<br />
localisation évite de nombreux allers et<br />
retours aux patients», explique le docteur<br />
Katrien Goemaere qui dirige le service.<br />
«Ils peuvent désor<strong>mai</strong>s se présenter à<br />
un guichet unique et patienter dans une<br />
nouvelle salle d’attente commune.»<br />
TECHNIQUEMENT SUPÉRIEUR<br />
Le médecin spécialiste Johan Dehem se<br />
réjouit lui aussi de l’arrivée du nouvel<br />
appareil de RM. Le diamètre du tube est<br />
passé de 61 à 71 cm. «Même les patients<br />
qui ne sont pas claustrophobes disent<br />
que c’est nettement plus confortable,<br />
surtout si l’on est plus large ou plus<br />
lourd», ajoute le docteur Dehem. «Le<br />
sentiment d’enfermement est moindre<br />
dans cet espace parce que ce nouveau<br />
local est éclairé par la lumière du jour.<br />
Pour nous, ce sont bien sûr les améliorations<br />
techniques qui comptent le plus.<br />
Pour commencer, la résolution de notre<br />
nouvelle RM est meilleure. De plus, les<br />
examens se déroulent d’une manière<br />
plus standardisée, ce qui facilite la comparaison<br />
des résultats d’un examen avec<br />
ceux d’un examen antérieur.»<br />
> Le service d’imagerie médicale de l’hôpital Jan Yperman<br />
se compose de 9 radiologues, 3 technologues en imagerie<br />
médicale, 22 infirmières et 10 secrétaires. Voici la liste des<br />
personnes de contact pour les différents do<strong>mai</strong>nes spécifiques<br />
de la radiologie générale. <<br />
• RM: Drs Johan Dehem, Sofie Allewaert et Filip Borny<br />
• Interventionnelle: Drs Filip Borny et Johan Dehem<br />
• Cardio CT: Drs Sofie Allewaert et Jan Capoen<br />
• Colono virtuelle CT: Drs Jan Allewaert et Sofie Allewaert<br />
• Déféco: Drs Sofie Allewaert, Jan Capoen et Johan Dehem<br />
• Mammo: Drs Sofie Allewaert, Jo De Sutter, Katrien Goemaere<br />
et Marc Hoste<br />
• Ostéo-articulaire: Drs Filip Borny, Jan Capoen et<br />
Christophe Vanhove<br />
• Pneumo: Drs Jo De Sutter et Marc Hoste<br />
• Gastro-intestinale: Drs Filip Borny, Jan Capoen et<br />
Johan Dehem<br />
• Neuro: Drs Sofie Allewaert, Johan Dehem et<br />
Christophe Vanhove<br />
• Pédiatrie: Drs Johan Dehem et Katrien Goemaere<br />
• Tête et nuque: Drs Jan Capoen et Johan Dehem<br />
• Cone Beam CT: Dr Jan Capoen<br />
• Échographie (TREP Duplex spécifique): Dr Jan Allewaert<br />
• Expertise: Drs. Jan Capoen et Marc Hoste<br />
• Service d’imagerie médicale, tél. 057 35 74 00<br />
• L’hôpital JY: 057 35 74 00<br />
• Poli Poperinge: 057 35 74 20<br />
• Campus Klaverstraat: 057 35 74 01<br />
• secradio@yperman.net
dr. Jan Capoen dr. Johan Dehem dr. Filip Borny dr. Katrien Goemaere dr. Marc De Groof<br />
Scanner TEMP:<br />
le meilleur de deux spécialités<br />
> Le service d’imagerie médicale et le<br />
service des isotopes se sont développés<br />
chacun de leur côté. L’hôpital Jan Yperman<br />
est le théâtre d’un rapprochement.<br />
Au sens littéral d’abord puisque ces<br />
deux services sont désor<strong>mai</strong>s voisins.<br />
Au sens figuré ensuite, avec l’arrivée<br />
de la nouvelle tomographie d’émission<br />
monophotonique (TEMP) qui combine le<br />
meilleur des deux spécialités. <<br />
Le service des isotopes (ou de médecine<br />
nucléaire) et le service d’imagerie<br />
médicale ont une mission en grande<br />
partie identique: donner une image du<br />
corps. Au service des isotopes, on se sert<br />
d’une gamma-caméra qui produit des<br />
images en se basant sur une quantité<br />
minime de substance radioactive injectée<br />
dans l’organisme. Le service d’imagerie<br />
médicale dispose de tout un arsenal allant<br />
des radiographies RX à la RMN et au CT en<br />
passant par l’échographie et le duplex.<br />
La nouvelle tomographie d’émission<br />
monophotonique (TEMP) réunit le meilleur<br />
de ces deux mondes, comme l’explique<br />
le docteur Marc De Groof (service des<br />
isotopes). «Cet appareil est une gamma-caméra<br />
et un scanner tout en un.<br />
Ces deux techniques se complètent à<br />
merveille: quand on les combine, elles<br />
disent plus que chacune d’elles prise<br />
séparément. La TEMP fournit des images<br />
plus physiologiques et fonctionnelles,<br />
tandis que le scanner est plus fort dans<br />
les détails anatomiques et structurels. Si<br />
l’on superpose ces deux images, on trouve<br />
des informations que d’autres techniques<br />
ne permettent pas d’obtenir. Prenons un<br />
exemple. Lorsqu’un scanner d’un patient<br />
souffrant du dos montre la présence<br />
d’arthrose entre certaines vertèbres, cela<br />
ne veut pas forcément dire que c’est à cet<br />
endroit qu’il a mal. Le TEMP en revanche<br />
montre clairement où se situent l’inflammation<br />
et donc la cause de la douleur.<br />
Cette approche combinée est aussi avantageuse<br />
pour le patient en termes de confort<br />
car elle permet de réaliser deux examens<br />
à la fois.»<br />
MOINS DE RAYONNEMENT<br />
Le nouveau scanner TEMP est situé au<br />
service des isotopes qui est équipé pour<br />
travailler avec des substances radioactives.<br />
Le service d’imagerie médicale et<br />
celui des isotopes travaillent ensemble<br />
pour ce qui concerne le maniement de<br />
l’appareil et les protocoles. Autre avantage:<br />
grâce à ce scanner TEMP, le service<br />
des isotopes dispose d’une gamma-caméra<br />
supplémentaire. Quant au service<br />
d’imagerie médicale, il dispose d’un scanner<br />
supplémentaire, et pas des moindres<br />
comme le souligne le docteur Jan Capoen<br />
(service d’imagerie médicale). «C’est un<br />
scanner à 16 coupes, ce qui signifie qu’il<br />
peut effectuer 32 coupes par seconde. De<br />
plus, cet appareil est équipé d’un logiciel<br />
de réduction du rayonnement, ce qui permet<br />
de réduire de moitié la dose de rayonnement<br />
à laquelle le patient est exposé.<br />
Comme nous disposons à présent de deux<br />
scanners, nous ne devons plus renvoyer<br />
les cas urgents vers un autre hôpital<br />
lorsqu’un scanner en en <strong>mai</strong>ntenance.»<br />
Info: Service des isotopes, 057 35 74 10<br />
Sessions de lecture pour<br />
médecins généralistes<br />
L’imagerie médicale évolue tellement vite qu’il<br />
est pratiquement impossible de suivre cette<br />
évolution pour un non-spécialiste. Pourtant, le<br />
médecin généraliste aime rester à la page et<br />
souhaite pouvoir expliquer des images CT ou<br />
RM au patient. Le service d’imagerie médicale<br />
organise donc des sessions de lecture pour<br />
les médecins généralistes. Le docteur Filip<br />
Borny a déjà animé plus tôt cette année une<br />
session interactive destinée à apprendre à un<br />
groupe de 13 généralistes comment lire une<br />
CT de l’abdomen. «Nous avons délibérément<br />
choisi de travailler avec des groupes de petite<br />
taille», précise le docteur Borny. «Cela nous<br />
permet de regarder ainsi ensemble les images<br />
projetées et de les discuter ensemble. Chacun<br />
a l’occasion de poser toutes ses questions. Une<br />
collation et des rafraîchissements sont également<br />
prévus pour permettre aux participants<br />
de venir directement quand ils ont terminé<br />
leurs consultations.»<br />
D’autres sessions de lecture sont encore<br />
prévues:<br />
• Le mercredi 23 <strong>mai</strong> à partir de 20h, le docteur<br />
Jan Capoen animera une session sur le<br />
cone beam CT, destinée aux dentistes et aux<br />
stomatologues.<br />
• Le mercredi 13 juin à partir de 20h, les docteurs<br />
Jan Capoen et Filip Borny animeront<br />
une session sur les CT et RM de la colonne<br />
vertébrale, destinée aux médecins généralistes.<br />
• À une date à déterminer en septembre suivra<br />
une session de lecture de mammographie<br />
à l’intention des médecins généralistes.<br />
Pour plus d’informations: service d’imagerie médicale,<br />
057 35 74 00<br />
Pour s’inscrire: communicatie@yperman.net<br />
5
6<br />
Le labo d’anotomopathologie s’agrandit<br />
Le parcours des<br />
échantillons<br />
la docteur Kristof Cokelaere<br />
124<br />
L’hôpital Jan Yperman emploie<br />
un grand nombre de médecins<br />
expérimentés dans plusieurs<br />
disciplines. C’est donc le lieu<br />
d’apprentissage idéal pour les<br />
médecins en formation. L’hôpital<br />
a déjà accueilli au total 124 étudiants<br />
stagiaires. De plus, l’hôpital<br />
a déjà formé une quinzaine de<br />
docteurs assistants.<br />
> Suite au déménagement planifié, le labo d’anatomopathologie<br />
se trouve actuellement dans<br />
des locaux plus spacieux. Ce n’est pas un luxe<br />
superflu, vu que le labo est en pleine croissance.<br />
Ceci est dû depuis la mise en service du projet<br />
Imager qui a créé une synergie intensive entre<br />
neuf laboratoires hospitaliers. <<br />
Le labo d’anatomopathologie est passé de 130 à 260<br />
m². Médecins et laborantins disposent donc de plus<br />
d’espace que préalablement. Grâce à sa disposition en<br />
longueur, chaque échantillon de biopsie peut en outre<br />
suivre un trajet logique d’un bout à l’autre du labo.<br />
«Chaque échantillon est enregistré et numéroté à<br />
la réception», explique le docteur Kristof Cokelaere.<br />
«Il est ensuite dirigé vers le local de macroscopie<br />
où il est découpé en tout petits morceaux qui seront<br />
inclut dans un bloc de paraffine. Dans le local suivant,<br />
le bloc de paraffine est découpé au microtome en<br />
tranches hyper fines de 3 à 4 micromètres, qui seront<br />
ensuite colorées. Les lames de verre sont triées à<br />
l’autre côté du laboratoire. Finalement, ce sont nos<br />
anatomopathologistes qui, après l’examen au microscope,<br />
vont formuler le diagnostic. Dans 10 à 15 % des<br />
cas, une coloration immunohistologique supplémentaire<br />
est nécessaire.»<br />
Le labo effectue de plus en plus de colorations thérapeutiques.<br />
«Cela permet par exemple de vérifier<br />
si certaines cellules tumorales vont réagir à une<br />
thérapie donnée. Notre labo le fait notamment pour<br />
le HER-2-NEU. Ce récepteur de facteur de croissance<br />
apparaît dans une tumeur du sein sur cinq et réagit<br />
bien au médicament herceptine. La validation du test<br />
SISH complémentaire – test génétique automatisé<br />
pour ce gène de tumeur du sein – est presque terminée.<br />
Une accréditation sera bientôt demandée pour<br />
ce test.»<br />
La forte croissance du labo est due en grande partie à<br />
la coopération avec huit autres laboratoires hospitaliers.<br />
Le projet Imager permet d’effectuer une<br />
analyse assistée par ordinateur, des frottis du col de<br />
l’utérus. Ces frottis sont collectés chaque jour, puis<br />
examinés électroniquement par un ordinateur du laboratoire<br />
d’Ypres avant d’être renvoyés pour analyses<br />
complémentaires. Par ailleurs, comme plusieurs<br />
tests sont de plus en plus coûteux et spécialisés, les<br />
laboratoires ont décidé de s’organiser. Chaque labo<br />
acquiert une expertise déterminée. Celui de l’hôpital<br />
Jan Yperman a par exemple obtenu l’accréditation<br />
pour le dépistage du papillomavirus qui peut provoquer<br />
le cancer du col de l’utérus. «L’UZ Antwerpen<br />
nous envoie ses frottis pour un dépistage du papillomavirus.<br />
En retour, ils font d’autres analyses pour<br />
nous. Un chauffeur fait tous les jours la tournée des<br />
neuf hôpitaux. Les frais sont partagés.»<br />
Info: service d’Anatomopathologie, 057 35 73 50<br />
Au-delà des frontières<br />
> L’offre de soins de l’hôpital Jan Yperman s’étend graves’ ont été héliportés. Grâce aux efforts des 250<br />
bien au-delà de nos frontières. Un exercice de volontaires, sous la direction du coordinateur Diego<br />
grande envergure simulant une catastrophe<br />
Gouwy, cet exercice fut un grand succès. Le nouveau<br />
gouverneur de la Province, Carl Decaluwe, fut<br />
désastreuse a démontré que des hôpitaux situés de<br />
part et d’autre de la frontière franco-belge sont en également présent et a pu se rendre compte du bon<br />
mesure d’unir leurs forces. <<br />
déroulement des opérations.»<br />
Cet exercice, simulant une catastrophe, s’inscrit dans<br />
Cet exercice grandeur nature a eu lieu au mois de le cadre du projet Interreg ‘Ursa Flandres II’, qui<br />
mars. Un violent incendie, suivi d’une explosion, a été est une coopération transfrontalière entre l’hôpital<br />
simulé dans une entreprise située à Neuve-Eglise (à JY et les hôpitaux d’Armentières, Bailleul et Hazebrouck,<br />
ainsi que l’Observatoire Franco-Belge de la<br />
la frontière française): «Le SMUR de l’hôpital JY et<br />
celui du CH d’Armentières ont participé à cet exercice Santé (OFBS). Nous en sommes déjà au deuxième<br />
transfrontalier pour lequel de nombreuses ambulances<br />
et des corps de pompiers ont été mobilisés», aussi traduit par une simplification des formalités<br />
projet Interreg avec ces partenaires. Ce projet s’est<br />
explique Eric Luyckx (directeur général). «Après leur administratives pour les patients français de la zone<br />
avoir prodigué les premiers soins, les victimes ont frontalière.<br />
été dirigés vers un des deux hôpitaux. Deux ‘blessés Info: communicatie@yperman.net, 057 35 70 20
Eddy Delporte et Dennis Logie<br />
Accréditation<br />
en 2014<br />
> La qualité des soins, la sécurité et la satisfaction<br />
du patient: ce ne sont pas de vains mots pour<br />
l’hôpital Jan Yperman, qui a l’ambition de devenir<br />
un ‘Hôpital Accrédité’ en 2014. <<br />
Les hôpitaux sont soumis tous les 4 ans à un contrôle<br />
effectué par une délégation du Ministère de la Santé,<br />
eu égard au prolongement de leur agrégation. Jan<br />
Yperman a pris la responsabilité d’introduire luimême<br />
une demande afin d’obtenir le label de qualité<br />
ou ‘l’accréditation’ le plus tôt possible. Eddy Delporte:<br />
«Cette accréditation n’est pas obligatoire, <strong>mai</strong>s<br />
l’administration encourage vivement tous les hôpitaux<br />
à l’obtenir. En Flandre, deux hôpitaux ont déjà obtenu<br />
ce label et la procédure est en cours pour plusieurs<br />
autres. L’évaluation de tous les services et départements<br />
s’étend sur plusieurs mois. Mais l’octroi de<br />
l’accréditation, prouve que la qualité des soins et la<br />
sécurité du patient sont au centre des préoccupations<br />
de l’hôpital et que la volonté de chercher en permanence<br />
des améliorations est un objectif permanent.»<br />
KBC-Votre Partenaire<br />
pour une vie meilleure<br />
1.300 NORMES<br />
L’accréditation est délivrée par des instances reconnues<br />
au niveau international, comme la Commission<br />
mixte internationale (JCI). «En 2014, les auditeurs<br />
du JCI viendront à l’hôpital pour y réaliser une série<br />
d’audits», explique Dennis Logie (service Qualité).<br />
«Leur visite a pour but de contrôler si nous satisfaisons<br />
aux normes internationales en matière d’hôpitaux.<br />
Ce contrôle est basé d’un recueil contenant plus<br />
de 1.300 standards et normes. Notre tâche est de les<br />
traduire concrètement au sein de l’hôpital.»<br />
Les audits en vue de l’accréditation sont plus approfondis.<br />
Chaque détail compte. La règle numéro 1<br />
concerne l’identification du patient. «Les patients<br />
doivent être identifiables à tout moment au moyen<br />
d’un bracelet portant son nom et sa date de naissance.<br />
Ceci est déjà d’application à Jan Yperman.»<br />
L’HÔPITAL TOUT ENTIER<br />
La gestion de la qualité ne date pas de hier. L’hôpital<br />
répond déjà à plusieurs normes. Le bloc opératoire,<br />
par exemple, a adopté des procédures en vue<br />
de prévenir toute erreur. Avant chaque intervention,<br />
l’équipe chirurgicale parcoure un checklist.<br />
Une communication correcte est primordiale et on<br />
applique actuellement la procédure dite de «read<br />
back». Quand un médecin demande à une infirmière<br />
d’administrer un médicament spécifique, celleci<br />
répète l’instruction reçue. Eddy Delporte: «Les<br />
normes d’accréditation ne se limitent pas aux soins:<br />
elles concernent l’hôpital tout entier. Médicaments à<br />
risque, offre de formation, rapports avec les médias,<br />
réaction en cas d’imprévus, droits et obligations des<br />
patients, nettoyage et entretien… Tout est soumis à<br />
des normes. C’est l’hôpital tout entier qui apporte sa<br />
pierre à l’édifice.»<br />
Portez-vous<br />
mieux.<br />
Vous voulez rester en bonne santé. Aussi en tant qu’établissement<br />
de soins. En tant qu’entreprise, vous voulez<br />
rester maître de l’évolution des affaires. Continuer à planifier.<br />
Relever tous les défis. Nuit et jour. Nuit après nuit.<br />
Votre remède ? Un véritable partenaire à part entière.<br />
Quelqu’un qui vous comprend. Qui vous assiste. Quelqu’un<br />
qui partage votre conception des choses. Quelqu’un<br />
qui connaît bien les difficultés propres à votre secteur.<br />
Quelqu’un de la trempe du Chargé de relations «Social<br />
Profit KBC» qui vous garantit le meilleur service, qui vous<br />
aide à investir. Dans le matériel. Dans le personnel. Dans<br />
les gens qui sont prêts à payer de leur personne. Pour le<br />
bien de tous. Pour le bien d’autrui. Afin que tous aient<br />
une qualité de vie meilleure.<br />
Y compris vous !<br />
www.kbc.be<br />
Journée<br />
emploi<br />
l’infirmière Martine Dhondt<br />
Mission<br />
Burundi<br />
Au début de l’année, le docteur<br />
Dirk Vandamme du service<br />
d’Ophtalmologie et les infirmières<br />
Martine d’Hondt et Ann<br />
Meurillon se sont rendus dans<br />
le petit village burundais de<br />
Giheta avec ‘See and Smile’,<br />
une organisation de chirurgiens<br />
plasticiens et d’ophtalmologues<br />
belges qui organise des missions<br />
humanitaires dans des pays<br />
du tiers monde. Durant une<br />
se<strong>mai</strong>ne, le docteur Vandamme<br />
a opéré des patients souffrant<br />
de la cataracte ou du glaucome.<br />
Martine a assuré la coordination<br />
durant trois se<strong>mai</strong>nes. «Son<br />
rôle consistait à veiller à ce que<br />
les médecins puissent opérer<br />
dans les meilleures conditions<br />
possibles. Pas facile quand on<br />
travaille dans une remise transformée<br />
en hôpital de fortune.<br />
Nous avons dû tout apporter<br />
tout le matériel: les lentilles à<br />
implanter, les microscopes, etc.<br />
Au total, nous avions chacun<br />
environ 50 kg de matériel.»<br />
En une se<strong>mai</strong>ne de temps,<br />
plus de mille patients se sont<br />
présentés à la consultation et<br />
environ 200 ont été opérés, tout<br />
à fait gratuitement. La mission<br />
fut un grand succès: plus de<br />
cent patients voient désor<strong>mai</strong>s<br />
l’avenir d’un œil meilleur – c’est<br />
le cas de le dire.<br />
7
8<br />
Constructions, transformations et déménagements<br />
En plein mouvement<br />
Se<strong>mai</strong>ne de<br />
festivités<br />
L’inauguration officielle du tout<br />
nouvel hôpital Jan Yperman<br />
aura lieu au cours du mois de<br />
septembre. Une se<strong>mai</strong>ne de<br />
festivités est prévue au cours de<br />
laquelle chacun sera en mesure<br />
de venir admirer le résultat final<br />
des travaux. Cette se<strong>mai</strong>ne commencera<br />
le samedi 8 septembre<br />
avec une séance académique<br />
en présence de notre ancien<br />
Premier ministre et voisin Yves<br />
Leterme. Tous les collaborateurs<br />
de l’hôpital participeront, dans<br />
l’après-midi, à une visite guidée.<br />
Cette visite sera suivie de la fête<br />
du personnel. Les religieux et<br />
les animateurs pastoraux de la<br />
région seront invités le lundi 10<br />
septembre. Le mercredi 12 septembre,<br />
ce sera au tour des riverains,<br />
tandis que la journée du<br />
jeudi 13 septembre est réservée<br />
aux médecins. Les festivités se<br />
clôtureront le lende<strong>mai</strong>n par une<br />
soirée VIP. Le dimanche 16 septembre<br />
sera une journée portes<br />
ouvertes destinée au grand<br />
public. Suivez le programme de<br />
cette se<strong>mai</strong>ne festive sur notre<br />
site web: www.yperman.net.<br />
Union européenne: Fonds Européen<br />
de Développement Régional<br />
INTERREG efface les frontières<br />
> Plusieurs départements et services ont été relocalisés<br />
au sein de l’hôpital, en commençant par la<br />
gériatrie. Les patients du département néphrologie<br />
et infectiologie ont été regroupés au sein d’une<br />
même unité. Le labo d’anatomopathologie a déménagé<br />
également. Les départements RM et isotopes<br />
sont devenus voisins, ce qui est logique. L’entrée a<br />
été transformée en une véritable galerie vitrée. Les<br />
constructions, transformations et déménagements<br />
vont encore bon train. Fin avril, les médecins ont eu<br />
l’occasion de visiter certains nouveaux services et<br />
d’avoir ainsi un avant-goût de l’ouverture officielle<br />
en septembre. Els Ingelaere du service Communication<br />
fait le point. <<br />
La fin des travaux à l’hôpital Jan Yperman est en vue.<br />
Le nouveau bloc G a été réceptionné au début de<br />
l’année, permettant ainsi de faire un superbe cadeau<br />
de nouvel an aux services gériatriques G1 et G2, qui<br />
ont pu emménager dans leurs nouvelles installations<br />
dans le courant du mois de janvier. À l’extérieur, on<br />
a aménagé des ‘sentiers de marche’ composés de<br />
divers matériaux. Els Ingelaere: «Ces sentiers sont<br />
réalisés à partir de divers matériaux: bois, grenaille,<br />
herbe… Ils permettront aux patients en revalidation<br />
de s’exercer sur divers types de sol, comme dans la<br />
‘vraie’ vie en dehors de l’enceinte de l’hôpital».<br />
MIEUX POUR LES PATIENTS<br />
Plusieurs services sont désor<strong>mai</strong>s installés dans le<br />
bâtiment existant en forme de Y ou dans le nouveau<br />
bloc G. Un tout nouveau service RM ouvrira ses portes<br />
à côté du service de radiologique et formera ainsi une<br />
entité autonome, notamment le service d’Imagerie<br />
médicale. Dans le prolongement se trouve le service<br />
des isotopes qui vient d’être doté d’une nouvelle caméra<br />
SPECT qui combine CT et isotopes. La clinique<br />
de la douleur et la préop se trouvent également à ce<br />
même niveau. Els Ingelaere: «Tout ce qui concerne<br />
l’imagerie médicale a été regroupé. Cette concentration<br />
apporte une amélioration très appréciée par les<br />
patients. En effet, la radiologie, le CT et la RM, sont<br />
actuellement groupés, ce qui évite les déplacements<br />
dans l’Hôpital.»<br />
NOUVELLE CIRCULATION<br />
L’ancienne entrée de l’hôpital a été transformée et<br />
incorporée dans la maternité. Une chapelle est également<br />
prévue comme lieu de prière spécifique pour le<br />
culte catholique ro<strong>mai</strong>n, alors que l’espace de silence<br />
s’adresse à toutes les confessions. La construction<br />
d’une galerie vitrée entre le parking et l’entrée a été<br />
entamée. «Cette galerie donnera un accès direct au<br />
parking et à l’entrée de l’hôpital. La circulation à<br />
l’entrée subit également des modifications. Il est déjà<br />
possible de déposer ou de venir chercher des patients<br />
sous un auvent, une espèce de ‘kiss & ride’ couvert,<br />
tout près de l’entrée. Les personnes qui prennent la<br />
navette de bus pour se rendre à l’hôpital JY ou pour<br />
repartir seront bientôt déposées elles aussi sous cet<br />
auvent, du côté de la maternité. Une bande de circulation<br />
distincte et un arrêt séparé sont prévus pour<br />
les transports en commun, à deux pas de l’entrée.<br />
Enfin, on a prévu plusieurs emplacements de stationnement<br />
pour les personnes handicapées. Patients<br />
et visiteurs subiront encore quelques inconvénients<br />
pendant la durée de ces travaux, <strong>mai</strong>s tout sera<br />
réglé d’ici la ‘se<strong>mai</strong>ne festive’ du mois de septembre.<br />
Encore un peu de patience donc…».»<br />
Le nouveau bloc G a été réceptionné au début de l’année.