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Y-mail 20 FR - octobre 2011

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-<strong>mail</strong><br />

België/Belgique<br />

P.B. – P.P.<br />

8900 Ieper<br />

BC 15617<br />

bulletin d’information du centre hospitalier Jan Yperman<br />

Ieper/Poperinge - année 12 - <strong>octobre</strong> <strong>20</strong>11 - n° <strong>20</strong><br />

www.yperman.net<br />

L’hôpital Jan Yperman continue à grandir<br />

> L’hôpital Jan Yperman accueille trois nouveaux spécialistes: les docteurs Filip Borny au service d’imagerie<br />

médicale, Lieven Dedrye au service de chirurgie générale et abdominale et Geert Gabriël au service de médecine<br />

interne. Nous vous les présentons brièvement. Sans oublier le docteur Veerle Soufflet qui a rejoint le service de<br />

cardiologie depuis le 1er septembre et qui a déjà été présentée dans la newsletter précédente (d’avril <strong>20</strong>11). <<br />

Aussi<br />

cancer du sein 2<br />

Early Warning Score 3<br />

Chirurgie générale<br />

et abdominale 4-5<br />

hôpital durable 6<br />

départs 7<br />

poperinge 8<br />

Docteur Filip Borny, Imagerie médicale<br />

À partir de janvier <strong>20</strong>12, le docteur Filip Borny sera affecté au service d’imagerie<br />

médicale. «J’y travaillerai en tant que radiologue généraliste dans toutes les sous-disciplines»,<br />

explique le docteur Borny. «Mais en m’intéressant plus spécifiquement à la<br />

radiologie abdominale, ostéo-articulaire et interventionnelle.»<br />

Diplômé de médecine de l’UGent en <strong>20</strong>06, il y obtient son diplôme de radiologue en<br />

<strong>20</strong>11. Pendant sa formation, il fut actif successivement à l’AZ Groeninge Kortrijk et<br />

l’UZ Gent où il s’est spécialisé en radiologie interventionnelle. Il suit actuellement une<br />

formation supplémentaire en radiologie ostéo-articulaire au CHRU de Lille.<br />

Secradio@yperman.net, 057 35 74 00<br />

Docteur Lieven Dedrye, Chirurgie générale et abdominale<br />

Depuis le 1er septembre, le docteur Lieven Dedrye a rejoint le service de chirurgie<br />

générale et abdominale. «Je souhaite développer mes connaissances dans chaque domaine<br />

de la pathologie abdominale, avec un intérêt particulier pour la proctologie et la<br />

chirurgie du plancher pelvien, la laparoscopie avancée et la chirurgie œsophagienne»,<br />

précise le docteur Dedrye.<br />

Lieven Dedrye a étudié la médecine à la KULAK et à la KU Leuven et a obtenu son<br />

diplôme de chirurgien en <strong>20</strong>08. Un an plus tard, il obtient la spécialisation en chirurgie<br />

abdominale à l’UZ Leuven. Il se spécialise ensuite en proctologie et chirurgie du<br />

plancher pelvien et techniques laparoscopiques et colorectales avancées. Par la suite,<br />

il se spécialise encore en chirurgie de l’obésité et il s’est fait une notoriété en tant que<br />

chirurgien préleveur dans le cadre des dons d’organe.<br />

Lieven.dedrye@yperman.net, 057 35 72 11<br />

Y-<strong>mail</strong> est le magazine du<br />

centre hospitalier Jan Yperman<br />

Briekestraat 12 – 8900 Ypres<br />

T 057 35 35 35 – F 057 35 36 37<br />

E.R. : Eric Luyckx<br />

Coordination : Jan Blontrock<br />

jan.blontrock@yperman.net<br />

P806231<br />

Y-<strong>mail</strong> est réalisé par<br />

F-Twee communication<br />

T 09 265 97 <strong>20</strong><br />

www.f-twee.be<br />

Toelating gesloten verpakking 8/161<br />

Afgiftekantoor Ieper-X<br />

Terugzendadres: Briekestraat 12, 8900 Ieper<br />

Docteur Geert Gabriel, Médecine interne<br />

À partir du 1er décembre, le docteur Geert Gabriel officiera comme gériatre à l’hôpital<br />

Jan Yperman, en collaboration avec le groupe de médecine interne. «Avec les collègues<br />

gériatres, je souhaite continuer à élargir le programme des soins gériatriques,<br />

en développant par exemple l’hôpital gériatrique de jour. Mes centres d’intérêt spécifiques<br />

sont les problèmes locomoteurs chez les patients âgés et les aspects éthiques<br />

des soins en général.» Après avoir fini ses études de médecine à la KU Leuven en<br />

1986, suivies d’une formation en médecine interne générale, le docteur Geert Gabriel<br />

obtient en 1994 agrégation en tant que gériatre. La même année, il fut actif à l’hôpital<br />

Sint-Rembert de Torhout où il fut le responsable du service de gériatrie et président<br />

du comité d’éthique local.<br />

Secinterne@yperman.net, 057 35 72 70<br />

Nederlandse versie op aanvraag


2<br />

Cancer du sein:<br />

un diagnostic de<br />

plus en plus précis<br />

le dr. Stijn Deloose<br />

Le laboratoire d’anatomopathologie<br />

de l’hôpital Jan Yperman<br />

investit en permanence dans des<br />

techniques nouvelles permettant<br />

d’améliorer la valeur prédictive<br />

du fameux frottis du col de l’utérus.<br />

En <strong>20</strong>08, il a lancé le projet<br />

‘Imager’ en collaboration avec<br />

des hôpitaux courtraisiens et<br />

brugeois (Sint-Lucas). Les frottis<br />

sont d’abord analysés à Ypres par<br />

un robot assisté par ordinateur.<br />

Ensuite, les cellules les plus<br />

atypiques sont soumises au spécialiste<br />

qui les interprétera. Lors<br />

du congrès européen de cytologie<br />

qui s’est tenu à Istanbul (du 22<br />

au 25 septembre), le docteur<br />

Kristof Cokelaere – qui était le<br />

seul Belge présent à ce congrès<br />

– a présenté les résultats du<br />

projet. Ce fut un grand honneur…<br />

La récente extension de cette<br />

collaboration à 8 hôpitaux disséminés<br />

sur le territoire flamand<br />

démontre que dans ce domaine<br />

aussi, l’hôpital JY est à l’avantgarde<br />

quand il s’agit de proposer<br />

des soins de qualité.<br />

> Le cancer du sein se traite d’une manière de plus en<br />

plus personnalisée. Il est donc essentiel – plus que<br />

jamais – de disposer d’un rapport clair et sans équivoque<br />

de la pathologie. Ce rapport devient donc un<br />

des indicateurs principaux de qualité de ‘la clinique<br />

du sein’ de l’hôpital Jan Yperman. <<br />

Quelle est la taille de la tumeur? De quel type de<br />

tumeur s’agit-il? Est-que sa croissance est rapide ou<br />

non? Y a-t-il invasion des vaisseaux lymphatiques ou<br />

des vaisseaux sanguins?<br />

Ces paramètres comme d’ autres jouent un rôle<br />

important dans le choix du traitement le meilleur du<br />

cancer du sein. En effet, la thérapie est de plus en<br />

plus axée sur chaque patiente: il ne s’agit pas d’un<br />

traitement standardisé, mais d’une approche adaptée<br />

à chaque patiente et à la spécificité de la tumeur à<br />

traiter. En effet, certains médicaments permettent de<br />

combattre énergiquement certains types de tumeurs,<br />

tandis que d’autres sont moins efficaces.<br />

Un rapport complet<br />

«Le nombre de paramètres à mentionner dans<br />

notre rapport n’a fait qu’augmenter ces dernières<br />

années», indique le docteur Stijn Deloose du service<br />

d’anatomopathologie. «L’indice de prolifération – une<br />

coloration indique la vitesse à laquelle les cellules<br />

tumorales se développent – est un exemple de paramètre<br />

que nous utilisons depuis quelques mois et qui<br />

présente des implications thérapeutiques. Compte<br />

tenu de cette complexité et de cette diversité accrue<br />

des paramètres, il est essentiel, plus que jamais, de<br />

disposer d’un rapport de pathologie complet et sans<br />

équivoque.»<br />

La machine confirme la coloration<br />

Un paramètre important concernant le cancer du sein<br />

est la présence de Her2Neu. Ce récepteur pour les<br />

facteurs de croissance épidermiques humains joue un<br />

rôle dans la croissance des cellules tumorales. Her-<br />

2Neu est présent dans <strong>20</strong>% des tumeurs du sein. Le<br />

docteur Deloose explique: «Au moyen d’une coloration<br />

spéciale, nous pouvons déterminer si une tumeur<br />

favorisera ou non une surexpression de ce récepteur.<br />

Dans l’affirmative, on pourra administrer un médicament<br />

efficace (mais très coûteux). L’expression accrue<br />

de Her2Neu peut en outre être objectivée au moyen<br />

d’un appareil sophistiqué (Benchmark) qui permet<br />

une évaluation au niveau de l’ADN de la cellule cancéreuse.<br />

L’utilisation de ce test est aujourd’hui un must<br />

pour ‘la clinique du sein’ de qualité »<br />

Prévention du cancer du col de l’utérus:<br />

la traque au HPV!<br />

Les frottis du col de l’utérus permettent de détecter<br />

non seulement les cellules suspectes, mais aussi le<br />

papillomavirus humain. Les types HPV 16 et HPV 18<br />

de ce virus sont responsables à eux seuls de 70% des<br />

cancers du col de l’utérus. Le service d’anatomopathologie<br />

a récemment été accrédité pour effectuer ce<br />

test. Pour obtenir cette accréditation, il faut répondre<br />

aux normes de qualité les plus strictes. Notre labo<br />

effectue ces tests pour l’hôpital Jan Yperman, mais<br />

également pour l’UZ Antwerpen ainsi que les hôpitaux<br />

et laboratoires de la région d’Anvers, Gand, Courtrai<br />

et Bruges, de même que pour les médecins généralistes<br />

de la région.<br />

Pour plus d’infos: service d’Anatomopathologie,<br />

057 35 73 50


Des vies sauvées<br />

grâce au système<br />

Early Warning Score<br />

>L’hôpital Jan Yperman a mis en service le Early<br />

Warning Score, un système à la pointe du progrès<br />

surveillant les fonctions vitales des patients,<br />

comme la tension artérielle, le pouls, la température<br />

et la respiration. En effet, plus que l’intervention<br />

est rapide, plus vite on a de chances de<br />

sauver des vies, explique l’infirmier en chef Koen<br />

De Ridder. <<br />

Le principe du ‘Early Warning Score’ n’est pas compliqué.<br />

Le personnel infirmier contrôle à intervalles<br />

réguliers plusieurs paramètres du patient. Les résultats<br />

sont affichés sous la forme de cinq couleurs. À<br />

chaque couleur correspond une série d’actions standardisées.<br />

Plus le score est élevé, plus vite retentit<br />

la tonalité de l’alarme. «À partir d’un score de cinq<br />

(couleur rouge), le patient est considéré comme étant<br />

en état critique», explique Koen De Ridder. «Dans ce<br />

cas, l’infirmière de service alerte immédiatement le<br />

médecin responsable. Il va en même temps administrer<br />

de l’oxygène, si ceci s’impose, et augmenter la<br />

fréquence du contrôle des paramètres.»<br />

Des résultats prometteurs<br />

Les patients sont contrôlés au moins deux fois par<br />

jour. «Nous contrôlons le rythme respiratoire, la tension,<br />

le pouls, la température et, si nécessaire, le taux<br />

d’oxygène dans le sang, le débit urinaire et l’état de<br />

conscience. Infirmiers et médecins ont suivi une formation<br />

EWS et chaque département dispose de deux<br />

nouveaux appareils permettant de prendre la tension,<br />

le pouls et la température et ceci en seulement quinze<br />

secondes.» Le projet pilote mené aux Urgences ainsi<br />

qu’en Chirurgie et en Cardiologie a déjà donné des<br />

résultats prometteurs. Dans 70 % des cas de réanimation,<br />

les fonctions vitales du patient montraient des<br />

modifications importantes durant les 24 heures qui<br />

ont précédé la crise. Nous sommes désormais en mesure<br />

d’intervenir rapidement quand l’état du patient<br />

se détériore. Cela permet également de réduire le<br />

nombre de réanimations au sein de l’hôpital. De plus,<br />

l’EWS est fortement recommandé dans les directives<br />

du Conseil européen de réanimation. «À terme, nous<br />

voulons numériser cette nouvelle méthode afin d’obtenir<br />

des résultats encore plus perfectionnés.»<br />

Agrégation<br />

Gynécologie<br />

La lutte contre le cancer du poumon<br />

> Le service de pneumologie dispose depuis l’an<br />

dernier d’une nouvelle arme dans la lutte contre<br />

le cancer du poumon: un nouvel appareil d’échographie<br />

endobronchique. Le docteur Isabelle<br />

Declercq dresse le bilan: EBUS est une aide<br />

précieuse pour définir le diagnostic et la méthode<br />

de traitement. <<br />

Le traitement du cancer du poumon a énormément<br />

évolué au cours des dix dernières années. «Nous<br />

disposons de plusieurs nouvelles méthodes de<br />

traitement», explique le docteur Declercq. «Mais le<br />

choix de la thérapie dépend avant tout de l’ampleur<br />

de la maladie. L’appareil EBUS (échographie endobronchique)<br />

est un outil diagnostique supplémentaire<br />

qui permet d’examiner et de ponctionner les ganglions<br />

médiastinaux. Il est également très pratique<br />

lorsqu’une bronchoscopie classique ne donne aucune<br />

information supplémentaire.»<br />

L’EBUS est en somme l’echoscope et le dispositif<br />

de ponction sous scope, réunis en un seul et même<br />

appareil. Le docteur Isabelle Declercq ajoute: «Actuellement,<br />

nous sommes en mesure non seulement<br />

de diagnostiquer la nature du tissu, mais également<br />

l’ampleur de l’affection. Ces informations sont indispensables<br />

pour définir le traitement appropié. Quant<br />

aux avantages pour le patient, EBUS est moins radical<br />

qu’une endoscopie classique parce que nous passons<br />

par la bouche. Nous examinons les ganglions à<br />

travers la paroi de la trachée et nous effectuons une<br />

ponction par la même occasion. Tout ceci sous anesthésie<br />

locale et avec une légère sédation suivie d’une<br />

hospitalisation de jour. Le patient peut donc rentrer<br />

chez lui après quelques heures.»<br />

Pour plus d’infos: Service Pneumologie, 057 35 72 70<br />

le dr. Isabelle Declercq<br />

Depuis le mois de mai, le service<br />

de Gynécologie est agréé comme<br />

centre de formation européen<br />

pour gynécologues. «Cette<br />

agrégation européenne a été<br />

obtenue à la suite d’une visite<br />

d’inspection détaillée par une<br />

délégation du European Board<br />

of Obstetrics and Gynaecology»,<br />

explique le docteur Geert Page<br />

(chef du service de Gynécologie).<br />

«Une grande importance a<br />

été accordée aux compétences<br />

du formateur des médecins, à<br />

leur vision personnelle et à leur<br />

engagement individuel, en vue<br />

de former des gynécologues<br />

compétents. Depuis le 1er juillet,<br />

deux gynécologues sont en formation:<br />

un étudiant de deuxième<br />

année et un autre de quatrième<br />

année. Ils collaborent avec l’UZ<br />

Gent et d’autres centres belges<br />

et européens. À ce stade, il n’y a<br />

que dix hôpitaux en Belgique qui<br />

ont obtenu cette agrégation.»<br />

3


4<br />

Chirurgie<br />

générale et<br />

abdominale en <strong>20</strong>11<br />

> La venue d’un quatrième chirurgien au département de chirurgie<br />

abdominale est l’occasion d’évoluer, grâce à un concept de collaboration<br />

intégrée – vers un niveau supérieur dans l’offre de services<br />

chirurgicaux de qualité: sous-spécialisation plus poussée, service<br />

de garde spécifique pour la chirurgie abdominale et un cercle de<br />

pathologies abdominales, avec une approche et une concertation<br />

multidisciplinaires. Un aperçu. <<br />

Les 6 départements du nouveau service<br />

I CHIRURGIE DE BASE<br />

Dr. Allaert – dr. Dedrye – dr. Sohier – dr. Van Krunckelsven<br />

• Chirurgie de la paroi abdominale<br />

• Chirurgie de la vésicule et des voies biliaires<br />

• Chirurgie abdominale aiguë<br />

• Chirurgie des tissus mous<br />

• Port-a-Cath<br />

II TRACTUS GASTRO-INTESTINAL SUPÉRIEUR –<br />

CHIRURGIE BARIATRIQUE<br />

Dr. Dedrye – dr. Van Krunckelsven<br />

• Œsophage<br />

• Estomac<br />

• Foie<br />

• Pancréas<br />

• Rate<br />

III CHIRURGIE COLORECTALE – PROCTOLOGIE<br />

Dr. Allaert – dr. Dedrye – dr. Sohier<br />

iV CHIRURGIE DE DEBULKING<br />

Dr. Allaert – dr. Sohier – dr. Van Krunckelsven<br />

V DÉCUBITUS ET WOUNDCARE MANAGEMENT<br />

Dr. Allaert – dr. Sohier<br />

Vi TOPICS SPÉCIFIQUES<br />

• Sénologie: dr. Allaert<br />

• Chirurgie de la partie inférieure du bassin: dr. Dedrye<br />

• Chirurgie pédiatrique: dr. Sohier<br />

• Mélanome: dr. Van Krunckelsven<br />

• Reconstruction postbariatrique: dr. Van Krunckelsven<br />

II<br />

III<br />

V<br />

Unité de chirurgie bariatrique<br />

L’unité de chirurgie bariatrique dans le cadre de la chirurgie de<br />

l’obésité a été créée par le docteur Van Krunckelsven en 1994.<br />

Les diverses interventions bariatriques sont pratiquées selon des<br />

techniques à la pointe du progrès. L’unité d’Ypres se caractérise par<br />

une approche intégrée qui consiste à proposer également, après<br />

l’opération anti-obésité, les reconstructions postbariatriques. Depuis<br />

peu, le docteur Dedrye est venu renforcer les rangs de cette unité,<br />

pour continuer ainsi à garantir et consolider son caractère de ‘centre<br />

d’excellence’ conformément au modèle international moderne.<br />

Clinique proctologique<br />

Les affections anales (perte de sang, fissures, fistules, déchirure<br />

sphinctérienne, prolapsus,…) sont fréquentes et constituent parfois<br />

une entrave à la vie sociale. Souvent, les patients craignent vraiment<br />

de se rendre à la consultation. Aussi bien, le diagnostic que les actes<br />

chirurgicaux ont évolué favorablement. Avec la clinique proctologique,<br />

nous voulons offrir aux patients un avis spécialisé et un<br />

traitement personnalisé.<br />

Soins des plaies et gestion du décubitus<br />

Le développement du programme de soins des plaies et de gestion<br />

du décubitus est un nouveau défi pour les docteurs Allaert et Sohier.<br />

Ce centre doit non seulement offrir une plus-value aux patients et<br />

aux acteurs des soins de l’hôpital Jan Yperman, mais il exige en outre<br />

une collaboration plus étroite avec les médecins généralistes et les<br />

autres institutions de soins. L’objectif que nous nous sommes fixé est<br />

une franche amélioration de qualité pour le patient.<br />

Cercle de pathologie abdominale<br />

Lors de la réunion hebdomadaire du cercle des spécialistes de la pathologie siers<br />

abdominale, les chirurgiens délibèrent, avec le médecin qui a adressé le<br />

patient, les dossiers des départements II , III et v ainsi que d’autres dos-<br />

complexes relevant du département I . Cette réunion multidisciplinaire<br />

a lieu chaque mardi. Les membres du staff de chirurgie élaborent ensuite pour<br />

chaque patient un planning concret de traitement.


Docteur Lieven Allaert<br />

Le docteur Allaert a suivi toute sa formation<br />

de médecin-chirurgien à la KU Leuven.<br />

Dans les services des professeurs Gruwez<br />

et Kerremans, il s’est spécialisé en chirurgie<br />

générale et abdominale. Il a ensuite<br />

effectué un stage au service de chirurgie<br />

plastique de l’hôpital Frenchey à Bristol<br />

(Angleterre). Il a commencé à professer à<br />

Ypres à partir de 1984. Au début de sa carrière,<br />

il pratiquait un large éventail d’interventions.<br />

Actuellement, outre la chirurgie abdominale classique, il<br />

s’intéresse surtout à la chirurgie oncologique, y compris la chirurgie<br />

des ganglions mammaires. Le département élargi le place devant<br />

deux nouveaux défis à relever: le développement de la clinique<br />

proctologique et d’un programme de soins des plaies et de gestion<br />

du décubitus (wound care and decubitus management). Enfin, il<br />

accorde beaucoup d’importance au perfectionnement continu en<br />

Belgique et à l’étranger. Il porte fièrement le titre de ‘Fellow of the<br />

American College of Surgeons».<br />

Allaert.lieven@yperman.net, 057 35 72 01<br />

Dr. Lieven Dedrye<br />

> Le docteur Dedrye a trouvé dans l’hôpital Jan Yperman ce qu’il<br />

cherchait: un service de chirurgie dynamique, pratiquant une approche<br />

multidisciplinaire et doté d’une sous-spécialisation dans<br />

un environnement hospitalier ultramoderne. «Plus encore, je<br />

me réjouis de pouvoir consolider le projet innovant de chirurgie<br />

générale et abdominale.» <<br />

On n’aime que ce qu’on connaît!<br />

«J’entends d’une part soutenir la<br />

clinique proctologique dans toutes ses<br />

facettes pour en faire une véritable<br />

clinique avec un diagnostic et un traitement<br />

intégrés. Nous sommes heureux<br />

de proposer l’échographie endorectale,<br />

qui est aujourd’hui un instrument d’une<br />

importance extrême pour diagnostiquer<br />

les abcès ou fistules. Le problème proctologique<br />

peut souvent être résolu dès<br />

la consultation, même si une intervention chirurgicale plus poussée<br />

s’impose parfois.»<br />

Le problème de la pathologique de la partie inférieure du bassin<br />

reste enveloppé dans un voile de honte et d’incompréhension. «Le<br />

transit intestinal fait partie de la vie, mais quand un problème se<br />

pose à ce niveau, le règne du tabou et de la honte surgit. J’espère<br />

pouvoir rassurer les patients, que dans leur région et dans un cadre<br />

agréable nous sommes en mesure de les aider en leur proposant le<br />

traitement le plus adapté et le moins invasif possible.»<br />

Par ailleurs, la chirurgie micro-invasive est en train d’évoluer vers<br />

une chirurgie en pratiquant des incisions encore plus petites ou via<br />

les voies naturelles (anus et vagin). «Pour proposer ces traitements<br />

à la pointe du progrès, je continue à me perfectionner en permanence»,<br />

explique le docteur Dedrye.<br />

Lieven.dedrye@yperman.net, 057 35 72 11<br />

Docteur Ludo Van Krunckelsven<br />

Le docteur Van Krunckelsven a suivi sa formation universitaire à<br />

Anvers. Il a ensuite suivi une formation en chirurgie générale et<br />

une formation supérieure en chirurgie abdominale. Il a entamé sa<br />

carrière de chirurgien à Ypres en 1994. Outre tous les aspects de<br />

la chirurgie générale et abdominale, il s’est aussi intéressé à la<br />

laparoscopie avancée et au développement d’une unité de chirurgie<br />

bariatrique pour la chirurgie de l’obésité. Cette unité de chirurgie<br />

bariatrique est aujourd’hui une des plus<br />

importantes du pays. Sa réputation s’étend<br />

bien au-delà de nos frontières. Ce développement<br />

a été étayé scientifiquement par<br />

plusieurs publications internationales et<br />

la participation à divers congrès. Au sein<br />

du nouveau département, il s’occupera<br />

principalement de la chirurgie du tractus<br />

gastro-intestinal supérieur et de la chirurgie<br />

bariatrique et postbariatrique.<br />

Ludo.vankrunckelsven@yperman.net, 057 35 72 05<br />

Docteur Stefan Sohier<br />

Après sa formation en médecine et en chirurgie générale auprès<br />

du professeur Gruwez et du professeur Broos de la KU Leuven, le<br />

docteur Sohier a suivi pendant deux ans une résidence en chirurgie<br />

abdominale auprès des professeurs Kerremans et Penninckx de<br />

l’UZ Leuven. Son intérêt s’est porté principalement<br />

vers la chirurgie colorectale, la<br />

chirurgie des voies biliaires et la chirurgie<br />

infantile. Il est actif à l’hôpital Jan Yperman<br />

depuis 1996. Transposer dans la pratique<br />

quotidienne les (r)évolutions scientifiques<br />

dans le traitement de tumeurs malignes du<br />

côlon et du rectum sont pour lui un challenge<br />

(collectif). Les soins aux tout-petits lui tiennent<br />

également fort à coeur.<br />

Stefan.sohier@yperman.net, 057 35 72 04<br />

5


6<br />

Un hôpital durable<br />

Route 63<br />

La nouvelle signalisation à l’intérieur<br />

de l’hôpital Jan Yperman<br />

aide les patients et les visiteurs<br />

à trouver plus facilement leur<br />

chemin dans les bâtiments. «En<br />

raison des transformations,<br />

certains parcours ont dû être<br />

modifiés», explique le coordinateur<br />

qualité Eddy Delporte.<br />

«Nous avons profité de la mise<br />

en service de la nouvelle entrée<br />

pour évaluer et adapter le «système<br />

des routes». Les panneaux<br />

sont désormais beaucoup plus<br />

grands et plus lisibles. On a<br />

utilisé en outre des couleurs<br />

distinctes: le bleu pour les routes<br />

et le noir pour les chambres.<br />

Les personnes qui viennent à<br />

l’hôpital pour une consultation<br />

tiennent uniquement compte<br />

des signaux bleus qui indiquent<br />

le numéro de la route à suivre.<br />

Ceux qui rendent visite à un<br />

patient se repèrent en suivant<br />

les signaux noirs et le numéro de<br />

la chambre. Les panneaux verts<br />

indiquent les toilettes, la cafétéria,<br />

etc. Grâce à ce système, il ne<br />

sera plus nécessaire de remplacer<br />

tous les panneaux lorsqu’un<br />

service déménage. Il suffira de<br />

prévoir le nouveau numéro.»<br />

> S’il y a un endroit où la continuité de l’approvisionnement<br />

énergétique est vraiment primordial<br />

que partout ailleurs, c’est bien dans un hôpital.<br />

«Pour garantir la sécurité des patients en cas<br />

de panne d’électricité prolongée, l’hôpital Jan<br />

Yperman va investir dans des installations qui assureront<br />

notre approvisionnement en électricité<br />

à tout moment de la journée de manière fiable et<br />

durable», explique Christophe Mouton. <<br />

«Le réseau électrique connaît de plus en plus<br />

d’écarts de tension, ce qui augmente considérablement<br />

le risque de panne de courant», indique Christophe<br />

Mouton, directeur des services administratif,<br />

financier, informatique et technique. «À l’hôpital Jan<br />

Yperman comme partout ailleurs, on subit chaque année<br />

plusieurs coupures de courant qui, toutefois, ne<br />

durent que quelques secondes. Mais ces pannes de<br />

courant ne sont pas sans conséquence, car à chaque<br />

fois il faut relancer plusieurs appareils sophistiqués,<br />

comme au service radiographie, des pompes électroniques,<br />

le système de gestion des bâtiments, les ordinateurs,<br />

etc. C’est la raison pour laquelle nous avons<br />

commandé un générateur à haute tension couplé à<br />

un UPS dynamique. Ainsi, l’hôpital sera parfaitement<br />

protégé contre les pannes d’alimentation électrique:<br />

un UPS dynamique prendra automatiquement le relai<br />

en cas de panne de courant, tandis que le générateur<br />

haute tension garantira le bon fonctionnement de<br />

l’hôpital en cas de coupure prolongée. Nos générateurs<br />

à moteur diesel remplissent déjà cette fonction,<br />

KBC-Votre Partenaire<br />

pour une vie meilleure<br />

à la grande différence près qu’ils n’approvisionnent<br />

en électricité que les départements appelés ‘critiques’.<br />

En revanche, la nouvelle installation desservira<br />

en principe l’hôpital tout entier.»<br />

Électricité verte<br />

Nous investissons également dans le durable,<br />

explique Christophe Mouton. «Le bâtiment nouveau<br />

sera être équipé, encore cette année, de deux<br />

installations de cogénération. Il s’agit de moteurs au<br />

gaz naturel, qui produisent à la fois de la chaleur et<br />

de l’électricité. Nous produirons ainsi nous-mêmes<br />

un quart de l’électricité et de la chaleur dont l’hôpital<br />

a besoin pour le chauffage et les sanitaires. Nous<br />

n’achèterons donc plus que de l’électricité verte, produite<br />

au moyen de sources d’énergie renouvelable.»<br />

Sain et économique<br />

L’électricité verte n’est qu’un des piliers de la gestion<br />

énergétique durable. «Nous nous fixons aussi pour<br />

objectif de consommer moins d’énergie. Nous avons<br />

à cet effet déjà remplacé chaque ampoule traditionnelle<br />

par une ampoule économique. Nous avons<br />

également installé un système de ventilation saine et<br />

peu énergivore, ce qui est indispensable à une bonne<br />

hygiène hospitalière. De plus, ce système permet de<br />

récupérer 75% de la chaleur! Les anciennes chaudières<br />

ont été remplacées par huit chaudières au<br />

gaz à condensation à haut rendement. Toutes ces<br />

mesures représentent la contribution de l’hôpital Jan<br />

Yperman à un environnement meilleur.»<br />

Portez-vous<br />

mieux.<br />

Vous voulez rester en bonne santé. Aussi en tant qu’établissement<br />

de soins. En tant qu’entreprise, vous voulez<br />

rester maître de l’évolution des affaires. Continuer à planifier.<br />

Relever tous les défis. Nuit et jour. Nuit après nuit.<br />

Votre remède ? Un véritable partenaire à part entière.<br />

Quelqu’un qui vous comprend. Qui vous assiste. Quelqu’un<br />

qui partage votre conception des choses. Quelqu’un<br />

qui connaît bien les difficultés propres à votre secteur.<br />

Quelqu’un de la trempe du Chargé de relations «Social<br />

Profit KBC» qui vous garantit le meilleur service, qui vous<br />

aide à investir. Dans le matériel. Dans le personnel. Dans<br />

les gens qui sont prêts à payer de leur personne. Pour le<br />

bien de tous. Pour le bien d’autrui. Afin que tous aient<br />

une qualité de vie meilleure.<br />

Y compris vous !<br />

www.kbc.be


Départs<br />

le dr. Ernest Denecker<br />

le dr. Guy Touquet<br />

le dr. Luc Vanlede<br />

le dr. Willy Traen<br />

>Un très grand nombre de médecins-spécialistes ringe), il formait la première génération de chirurgiens<br />

orthopédistes de la région. Le docteur Vanlede<br />

mettent depuis des années leur expérience au<br />

service de l’hôpital Jan Yperman. Il s’agit aussi a été un élément moteur de la mise en place d’une<br />

bien de médecins diplômés récemment que des synergie entre les deux hôpitaux yprois: les services<br />

spécialistes qui comptent déjà plus de trente d’orthopédie ont formé (en 1990) un premier <strong>mail</strong>lon<br />

années de service. Quatre d’entre eux, qui ont d’une collaboration étroite. Un service Orthopédie<br />

atteint l’âge de la retraite, quittent l’hôpital. < unique a été créé dix ans plus tard. Le docteur Vanlede<br />

canalisait son énergie au niveau des procédures<br />

Docteur Ernest Denecker<br />

chirurgicales de pose de prothèse au genou et à la<br />

Le docteur Ernest Denecker a débuté sa carrière hanche. Il a pris sa retraite le 1er août <strong>20</strong>11, après 35<br />

en 1976 à Poperinge où il a exercé comme médecin années de service.<br />

spécialiste en orthopédie et en traumatologie et ceci<br />

jusqu’au 1ier février <strong>20</strong>11.<br />

Docteur Willy Traen<br />

Le 1er mai <strong>20</strong>11, le docteur Willy Traen a quitté le<br />

Docteur Guy Touquet<br />

service de Gynécologie après 34 années de service.<br />

Le docteur Guy Touquet a fait ses premiers pas à Mais il n’a pas entièrement quitté l’hôpital: actuellement,<br />

il occupe la fonction de Médecin Chef de l’hô-<br />

la clinique des Sœurs noires en tant que neuropsychiatre<br />

en 1978. Suite à la fusion de la clinique avec pital Jan Yperman . Son principal cheval de bataille?<br />

l’hôpital Jan Yperman il a rejoint le département Obtenir l’accréditation pour l’hôpital. “Nous disposons<br />

appelé « clinique de la mémoire ». Il a également été d’une magnifique infrastructure et d’une excellente<br />

actif comme consultant en psychiatrie.<br />

équipe de médecins, mais nous voulons à présent<br />

faire reconnaître cette qualité de manière officielle.<br />

Docteur Luc Vanlede<br />

À cette fin, l’hôpital se soumet à une inspection approfondie<br />

étalée sur deux ans. Nous avions déjà reçu<br />

Le docteur Luc Vanlede fait ses débuts à la clinique<br />

des Sœurs noires en 1976. Avec le docteur Roussel (à un excellent rapport de l’équipe d’inspection en <strong>20</strong>08,<br />

l’ancien hôpital OLV) et le docteur Denecker (à Pope-<br />

mais nous voulons faire mieux..”<br />

Rayons X: avantages et risques<br />

Journée<br />

emploi<br />

Le samedi 3 décembre prochain,<br />

les infirmiers et infirmières diplômés<br />

seront à nouveau invités<br />

à l’hôpital Jan Yperman pour y<br />

participer à la nouvelle édition<br />

de la journée emploi. «C’est la<br />

meilleure manière d’attirer des<br />

futurs collaborateurs motivés»,<br />

souligne le directeur des<br />

ressources humaines Cientia<br />

Cornille. «Après une présentation<br />

par le directeur du personnel<br />

soignant, Jan Blontrock,<br />

suivie de quelques témoignages<br />

d’infirmiers et infirmières, les<br />

participants pourront assister<br />

à une visite guidée de l’hôpital.<br />

Ensuite, ils auront la possibilité,<br />

au cours d’un drink, de poser<br />

des questions et de parler avec<br />

un infirmier ou une infirmière<br />

chef de service. Les personnes<br />

intéressées par la perspective de<br />

rejoindre l’hôpital Jan Yperman<br />

pourront confirmer leur intérêt<br />

en remplissant un formulaire de<br />

candidature.»<br />

> Est-ce que les rayons X peuvent provoquer un<br />

cancer? Le docteur Jan Capoen a répondu à cette<br />

question lors d’un symposium de radiologie qui<br />

s’est tenu en juin dernier à l’hôpital JY. <<br />

Le docteur Capoen avait intitulé sa conférence ‘The<br />

good and the bad’. Sa conclusion: les avantages<br />

l’emportent nettement sur les risques. «Les rayonnements<br />

ionisants pourraient être nuisible au niveau<br />

de l’ADN, mais même si cela est le cas, le risque d’un<br />

cancer est très faible en effet, en restant en-dessous<br />

d’un certain niveau de rayonnements et à faible<br />

dose, ce risque est considérablement réduit. Grâce à<br />

nos équipements de pointe, ce problème se pose de<br />

moins en moins. Il faut surtout mettre les risques en<br />

face des avantages et peser le pour et le contre.»<br />

Pour donner une idée concrète des risques, le<br />

docteur Capoen a comparé les dangers liés aux<br />

rayons X et ceux d’autres facteurs à risque comme le<br />

tabagisme et l’obésité. «Une personne qui fume <strong>20</strong><br />

cigarettes par jour voit son espérance de vie diminuer<br />

de 6 ans. Celui ou celle qui présente un surpoids de<br />

15 % perd 2 ans d’espérance de vie, tandis que dans<br />

le cas d’un examen radiologique, la perte d’espérance<br />

de vie n’est estimée qu’à quelques heures... »<br />

Invitation aux médecins généralistes<br />

L’imagerie médicale a connu une véritable révolution.<br />

Est-ce que vous êtes en mesure de donner toutes les<br />

particularités, remarques et observations du résultat<br />

d’un scanner ou un cliché RMN à vos patients? Les<br />

médecins du service de radiologie vous invitent à<br />

venir découvrir les détails de la technique de pointe<br />

actuelle dans le domaine de la radiologie. Il suffit de<br />

communiquer la date à laquelle vous-mêmes et vos<br />

collègues généralistes désirent prendre rendez-vous<br />

pour cette rencontre au docteur Katrien Goemaere<br />

(057 35 74 00, katrien.goemaere@yperman.net)<br />

7


8<br />

Poli Poperinge:<br />

portes grandes ouvertes<br />

> Le dimanche 2 <strong>octobre</strong>, de nombreux visiteurs<br />

(1.172) ont visité les locaux de la Policlinique de<br />

Poperinge. Malgré un soleil estival, la journée<br />

«entreprises» a remporté un franc succès. Des<br />

collaborateurs enthousiastes ont donné des<br />

explications techniques tout en effectuant des<br />

démonstrations informatives. <<br />

Union européenne: Fonds Européen<br />

de Développement Régional<br />

Eric Luyckx, directeur général de l’hôpital Jan Yperman,<br />

acceuille les visiteurs et entame la conversation<br />

avec l’un et l’autre. Il est fier que Poli Poperinge<br />

existe toujours et continue même à se développer.<br />

«La fusion du Mariaziekenhuis de Poperinge avec<br />

les hôpitaux yprois remonte à 1998», apprend Eric<br />

Luyckx. «La fermeture du Mariaziekenhuis fut une<br />

déception pour de nombreux habitants de Poperinge.<br />

Grâce à l’ouverture de la policlinique et à la navette<br />

de bus, une nouvelle ère a commencé. Actuellement,<br />

plus de 30 spécialistes sont à la disposition des<br />

patients habitants de Poperinge et environs pour des<br />

consultations de tout ordre. Il n’est donc pas nécessaire<br />

de se rendre à Ypres pour un examen médical<br />

ou une consultation quelconque. Cette possibilité<br />

sera maintenue dans le futur. Tout récemment, des<br />

travaux importants ont été effectués dans le but de<br />

rénover l’immeuble. Le cadre attrayant et moderne<br />

est pour tous les visiteurs une réelle métamorphose.<br />

A remarquer que les couleurs ont aussi été harmonisées<br />

avec celles de l’hôpital Jan Yperman, si bien<br />

que les deux campus partagent désormais un seul<br />

et même aspect attrayant. Actuellement toutes les<br />

activités sont groupées au rez-de-chaussée.»<br />

Suivez le tapis rouge<br />

Lors de la journée «Entreprises», les visiteurs avaient<br />

la possibilité de visiter en détail tous les services de<br />

la policlinique. «Suivez le tapis rouge», leur disaiton<br />

à l’accueil. Ce tapis rouge conduisait les visiteurs<br />

dans les espaces des consultations où médecins<br />

et collaborateurs leur donnaient des explications<br />

techniques sur l’offre (médicale) à Poperinge: prises<br />

de sang, radiographies, CT-scan, examen des seins,<br />

examens des poumons, conseils diététiques, sevrage<br />

tabagique, diabète… On a même pu assister à une<br />

démonstration de réanimation. «Tous les examens<br />

nécessaires pour établir le diagnostic d’une affection<br />

peuvent s’effectuer en Poperinge. Lorsqu’une hospitalisation<br />

est préconisée, ceci se fait à l’hôpital Jan<br />

Yperman. Dans ce cas, les patients ont la possibilité<br />

d’utiliser la navette gratuite. Le bus qui assure la<br />

navette, les jours ouvrables, part vers l’hôpital Jan<br />

Yperman à l’heure pile (de 6 à 21 heures) et il repart<br />

pour le trajet retour vers le campus de Poperinge,<br />

également toutes les heures, de 6h30 à 21h30.»<br />

Plus d’infos: 057 35 72 50,<br />

poli.poperinge@yperman.net<br />

INTERREG efface les frontières

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