LA GAZETTE DE NICOLE 038
La trente huitième gazette vous présente : ALE LOVES BOOGA, HELGA SOPHIA GOETZE, ELISSA FAROW SAVOS, FRANCISCO DA SILVA, JEAN MICHEL GUINNEBAUD, ROBERT ALONZI, SABINE FELICIANO, SARA BIRNS, XAVIER DE KEPPER, YAN BLANCO, DAVID ARONSON, JIM BLANCHARD. La trente huitième gazette vous présente : ALE LOVES BOOGA, HELGA SOPHIA GOETZE, ELISSA FAROW SAVOS, FRANCISCO DA SILVA, JEAN MICHEL GUINNEBAUD, ROBERT ALONZI, SABINE FELICIANO, SARA BIRNS, XAVIER DE KEPPER, YAN BLANCO, DAVID ARONSON, JIM BLANCHARD.
ZEUOFNUMERO38ALE LOVES BOOGA HELGA SOPHIA GOETZE ELISSA FAROW SAVOSFRANCISCO DA SILVA JEAN MICHEL GUINNEBAUD ROBERT ALONZISABINE FELICIANO SARA BIRNS XAVIER DE KEPPER - YAN BLANCODAVID ARONSON JIM BLANCHARD
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- Page 5: Y'a de l’affect aux intersticesLe
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ALE LOVES BOOGA HELGA SOPHIA GOETZE ELISSA FAROW SAVOS
FRANCISCO DA SILVA JEAN MICHEL GUINNEBAUD ROBERT ALONZI
SABINE FELICIANO SARA BIRNS XAVIER DE KEPPER - YAN BLANCO
DAVID ARONSON JIM BLANCHARD
Tout pour le
conceptualobidulaire,
rien
pour la vraie
création.
L’énorme financement publ
duchampo-bidularistes , à la s
codes et à l’esthétique conce
schizo-parano-mégalo-islam
buréno-indigèno-pédalo-s
questionnatoire et hallucina
n’ira ni au peuple ni à la véri
des fellateurs du rien institut
des circuits de la haute spé
intellectuelle.
La gratification des vrais cr
immédiat qu’ils ont à produ
à sauvegarder des valeurs p
énorme, elle peut se suffire à
finalement, d’être soutenue
paraît-il, dans les hautes inst
En effet, la première gratifi
Maigne, pour son travail bé
du nicolemuseum.fr, est ce
en ligne a plus du visiteurs q
Lyon quoique ce dernier coû
satisfaction de modeste retrait
site ventalaferme.com, pour la
son activité d’apiculteur et de
Cette gratification par le pl
la biodiversité artistique est
(alias El Rotringo), qui a créé l
depuis trois ans et 38 numér
page… Un travail considérab
bénévole, de la part de quelqu
précaire : une situation d’un
quand on sait qu’il est un in
la création underground, de
française et de la small press D
POUR NE RATER
AUCUN NUMÉRO
DE LA GAZETTE DE NICOLE
SUIVEZ-NOUS EN VOUS ABONNANT LÀ
https://www.yumpu.com/fr/la_gazette_d
ic alloué à la convergence des luttes
ubversion d’État, au cassage officiel des
ptualo-lango-bidulo-intersectionnaloo-gaucho-écolo-obono-croquignoloociétalo-bureaucratico-financiarotoire,
constitue autant d’argent qui
table création, car réservé à l’entretien
ionnel et au soutien des intérêts privés
culation conjointement, financière et
éateurs restera donc celle du plaisir
ire du sens et du contenu durable et
ermanentes et universelles… Elle est
elle-même et n’a peut-être pas besoin,
financièrement… C’est qu’on se dit,
ances de la culture hexagonale.
cation qu’ait, par exemple, Damien
névole de construction et de gestion
tte satisfaction de voir que ce musée
ue le Musée d’Art Contemporain de
te des millions à la ville. Cette même
é, il l'a connait, par ailleurs, à gérer son
défense des petits producteurs, ou dans
défense de la biodiversité.
aisir de contribuer à la sauvegarde de
aussi celle de Jean-Jacques Tachdjian
a Gazette de Nicole et qui en a réalisé,
os, le très important travail de mise en
le, et d’autant plus admirable qu’il est
’un qui est dans une situation financière
e injustice particulièrement rageante,
contournable et très connu acteur de
la fanzinosphère, de la qraphzinoshère
iY depuis plus de trente ans.
Même type de gratification et de satisfaction pour Nicole Esterolle,
modeste retraitée de l’Éducation Nationale, quand elle constate que
les premiers numéros de la Gazette ont été vus chacun par environ 30
000 paires d’yeux, que sa niouze est lue par autant de personnes, et
que ses textes bénéficient d’une très ample dispersion internationale
grâce au Vadrouilleur Urbain, dont vous avez l’accés ici :
https://levadrouilleururbain.wordpress.com/?s=nicole+esterolle
Tant pis donc si aucun de nous ne sera jamais « Chevalier des
Arts et des Lettres »… Mais bon ! Le bénévolat a ses limites, et il
nous faut reconnaître que la survie matérielle d’El Rotringo est en
question… et celle de la Gazette de Nicole subséquemment.
Alors, nous vous proposons un moyen de soutenir notre Gazette par
le site TIPEEE :
https://fr.tipeee.com/la-gazette-de-nicole-esterolle
Ce soutien comporte d’intéressantes contre-parties :
> un tip mensuel de 5 euros vous permettra de recevoir une carte
postale d'une image publiée dans la gazette quelques fois par an,
(en fonction du nombre de tipeurs).
> un tip de 10 euros mensuel vous permettra de recevoir un poster
d'une image publiée dans la gazette quelques fois par an, (en
fonction du nombre de tipeurs).
> Libre à vous de nous soutenir plus largement, vous recevrez ce
que nous produirons, bien sûr, et les petit cadeaux en plus que
nous pourrons nous permettre.
ALORS, POUR VOTRE CONTRIBUTION
À LA SAUVEGARDE DE LA
BIODIVERSITÉ ARTISTIQUE,
MERCI, CAMARADES !
e_nicole_esterolle
Nicole
Estérolle
Et puis je vous suggère d’aller faire un tour sur mon site
www.schtroumpf-emergent.com
Y'a de l’affect aux interstices
Le travail de cette jeune artiste n’est ni une
structure signifiante, ni une organisation réfléchie,
ni une inspiration spontanée, ni une orchestration,
ni une petite musique. Elle est, avant tout, dans
un pur esprit Deleuzien, « un agencement
d’énonciations ». Elle déploie ainsi, dans l’intégralité
des espaces, une série de nouvelles productions
mises en relation avec des œuvres existantes.
Elle est à appréhender comme un agencement
d’expériences, d’intuitions, et, dans un même
temps, répertorie un ensemble de parcelles, une
géographie, parfois mutique, parfois animée, de la
mémoire ou des mémoires de l’artiste, tel un jeu
de réminiscences.
À travers une po-éthique combinant intentions et
regards, entre voir et montrer, il ne s’agit pas de
trancher, mais plutôt de faire coexister, pour que
des affects surgissent, aux interstices.
( Ce texte a été produit expérimentalement par
Ginette, la « machine à critiquer » que je viens de
mettre au point avec mon ami Noorbergen et qui
va dorénavant me simplifier la tâche.)
(Nicole, aurais-tu été aidée par Frank Lepage ? - note du maquettiste)
ALE LOVES BOOGA
HELGA SOP
Fucking is peace !
Un engagement dont la sincérité et la radicalité ont produit une
vraie invention formelle, avec son vocabulaire et sa syntaxe
propre… Ce qui est rare dans l’art engagé.
Pour Helga Goetze, « Ficken ist Frieden », constitue une déclaration
qui revient dans ses plus de 3000 poèmes, dessins, tapisseries
érotiques et son activisme. Une forme de foi se distingue dans dans
son travail prolifique - le sexe comme voie d'accès aux registres
cachés, obscurs et inconnaissables de notre être et de notre
existence.
Goetze a utilisé un métier, traditionnellement associé à la
soumission féminine, et a poussé sa forme et son expression dans
des visions radicales d'amour, de maternité et de cohabitation.
Ses poèmes et textes oscillent entre la
recherche d'un état profond de vérité - une
vision spirituelle éloquemment formulée -
et une critique profondément ressentie du
patriarcat : « Avec le mépris de la femme
commence la fin du monde ».
HIA GOETZE
ELISSA FARR
Femmes de partout
« Chaque pièce que je fais est le récit d'une
femme quelque part, et de chaque femme
partout. Chaque pièce est nourrie de a
myriade d'émotions, de pensées et d'opinions
qui remplissent ma tête. Il y a des thèmes
récurrents, tels que les fardeaux physiques,
émotionnels et spirituels, les connexions
perdues et retrouvées, l'amour et la colère,
la dignité et la force. Tout cela s’incarne dans
des chaînes rouillées, du bois patiné, des os
en décomposition, des objets abandonnés et
des bouts de tissu : les débris du vécu. Mes
femmes sont toutes les mêmes : elles montrent
leurs cicatrices et les portent fièrement parce
qu'après tout, c’est la vie… et rien d'autre. »
OW-SAVOS
FRANCISCO
Au milieu de la forêt
amazonienne
Il est un des artistes phares de la
collection Cérès Franco à Montolieu…
Compatriote de Cérès, né au milieu de la
forêt amazonienne, Francisco da Silva est
le premier artiste brésilien populaire,
reconnu internationalement, « Interprète
d'une mythologie diluée dans la tradition
orale d'une vaste région que lui seul a
fixée et reflétée », il a reçu une mention
honorable à la Biennale de Venise de 1966.
Il a commencé à peindre à Fortaleza
en 1935. Ce qu’il aimait le plus, « c’était
dessiner sur les murs des maisons de
pêcheurs avec de l’herbe verte fraîche
et des briques blanches et rouges, car je
n’avais pas de peinture à l’époque ».
La Coopérative-Musée Cérès Franco à
Montolieu, avec 1700 œuvres de 350
artistes à forte présence au monde, est de
plus en plus un repère dans le PAF, Paysage
artistique Français, malgré l’indifférence
( dont elle peut s’honorer ) de la part des
sbires du Ministère, qui ne connaissent
évidemment pas Francisco da Silva.
DA SILVA
Peintre figuratif, réalis
te, poétique et socio-critique
Il escalade et peint les montagnes depuis l'âge de
vingt ans. Est-ce l’effort fourni pour gravir tous
ces sommets et cette vision « d’en haut » qu’il en
obtient, qui a fait que son esprit s'est ouvert à
une vision critique et distante sur les choses de ce
bas-monde dans lequel nous vivons et que nous
subissons ?
Il lui faut, dit-il, « faire cohabiter ces deux
peintures, celle d’en haut et celle d’en bas, dans
un ensemble cohérent et constructif. »
Jean-Michel Guinnebaud est un cas d’école… une
école dont il est le seul maître et l’unique élève…
et c’est bien comme ça que j’aime la pédagogie
de l’art.
JEAN-MICHEL GUINNEBAUD
Après l’enfer des abattoirs
Dès la première rencontre avec les
images des œuvres de Robert Alonzi, on
est happé par leur mystère sous-jacent…
Qu'est-ce ? d’ou vient cette brutalité
pleine de tendresse de cette vision du
monde ?
Et puis, on voit l’artiste dans cette video:
https://youtu.be/m3mc7om9FDY
un cœur pur après vingt ans dans l’enfer
des abbatoirs… Et l’on comprend mieux
le pouvoir de fascination de sa peinture.
ROBERT ALONZI
Délicates vivisections textiles
Il y a, dans le matériau textile, une sensualité,
une « viscéralité », une force d’expression
plastique naturelle. Et c’est bien cela qui fascine
Sabine Feliciano quand elle coud, brode, tresse,
noue, emmêle le fil ou le tissu. C’est, pour elle,
comme l’exploration d’une réalité interne et
organique, d’un ventre mental et psychique,
pour le surgissement d’une sorte d’efflorescence
colorée de l’âme disséquée à vif.
SABINE FELICIANO
La surprise du portrait
« Les gens que je crée semblent familiers.
Mais, en y regardant de plus près, on
remarque que les choses sont un peu de
travers, ce qui oblige le spectateur à passer
plus de temps à observer, à essayer de
comprendre qui il regarde vraiment, et quelle
est cette énigme qui émane de la personne
représentée, afin d’établir une relation plus
profonde avec elle.
C'est super amusant pour moi, je me sens
comme une scientifique. Parce que les
personnes que j'utilise sont généralement des
personnes proches de moi, et la plupart sont
tout aussi surprises que moi par la nouvelle
figure créée en utilisant des parties de leur
être apparent. »
SARA BIRNS
« Plasticien et observateur
autodidacte »
C’est ainsi que cet artiste se définit…
Et il ajoute « avant-gardiste avant tout, né en 1976
dans le sud de la France… auteur plein de force qui
sait enrager & ranger & déranger ses é-mot(ion)s
révolutionnaires. »
C’est assez laconique et radical pour une vision du
monde à la fois surplombante et enjouée .
Il y a de la malice dans son œil et de la fraîcheur
dans ses représentations de choses plutôt anodines.
XAVIER DE KEPPER
YAN
Salut! Je m'appelle Yan Blanco,
et je peux travailler pour vous.
« Je suis un artiste brésilien, qui aime créer des
illustrations 3D. J'ai toujours aimé faire des trucs
personnels et bizarres en 3D, alors pourquoi ne pas
partager le processus avec les gens et gagner de l'argent
pour acheter mes cigarettes ?
Je partagerai mon flux de travail complet en utilisant
Blender, Zbrush, Substance Painter et Photoshop (parfois
je n'utilise pas tous ces logiciels, parfois j'en utilise
d'autres,cela dépend du projet), de zéro au rendu final et
post- production.
Si vous aimez mon travail et que vous souhaitez
approfondir ce que je fais, vous pouvez me proposer le
personnage que je vais créer… et vous serez alors mon
patron.»
BLANCO
R I G O L E , P I C O L E , B R
C'EST QUOI LA
«VRAIE» CRÉATION ?
Bon, la période est troublée, les cultureux du bas de l'échelle râlent à juste titre parce que
tout est fermé, et se foutent à poil parce que le printemps est déjà là. Bon, ok.
Chez les faiseurs d'images, c'est aussi la bérézina, mais pour une fois, ils sont légèrement
moins touchés que les acteurs de «pestacles vivants», le public pouvant encore lire des
livres d'images et les regarder en ligne. Bon, double ok. Mais je doute que si les choses
reviennent dans l'ordre non pandémique, les cultureux haut de gamme bouffeurs de
subventions et lécheurs de culs se comportent ensuite mieux qu'avant avec leurs petites
mains. Bon, triple ok. Passons à l'édito de Nicole, comme elle le dit si bien, le bénévolat
ne nourrit pas le bide, mais le cœur et la cervelle. Bon, quadruple ok.
Reste que ses remarques concernant la «vraie» création me turlupinent un peu. Bien
sûr, les créateurs d'images (quel qu'en soit le domaine) n'ont rien à voir avec les
«Artistes» patentés des circuits institutionnels, on ne peut pas opposer des courtisans
sortis d'incubateurs d'écoles specialisées en fabrication de Schtroumpfs pour
messieurs-dames du ministère, formatés pour l'être (et s'y croire) et des faiseurs
d'images, les deux mondes sont quasi imperméables l'un à l'autre. N'oublions pas
que tout est histoire de position sociale et de valeurs symboliques véhiculées par
les uns pour s'asseoir sur les autres. Je connais des tas de prétentieux inconscients
persuadés d'être up-to-date en faisant de l'art contemporain institutionnel bidulomerdique,
mais il y a encore plus de femmes de bourgeois qui s'amusent à barbouiller
le dimanche pour jouer les artistes auprès de leurs amies dans un échange mondain où
elles vendent leurs merdes faites à la va vite pour se donner un alibi social.
Mais alors, la vraie création où est elle? Où réside-t-elle? Est-ce dans le savoir faire
comme le disait William Morris avec l'Art and Craft? Dans l'absence de connaissance
académique comme le voyait Dubuffet dans l'Art brut?
À l'heure où le monde marchand a trouvé le moyen de crypter des travaux numériques
pour leur conférer une originalité et une unicité factice, nous sommes bien loin de ces
questionnements et c'est désolant. Je retourne donc à mes petites images, compagnes
et phosphore de ma vie précaire mais digne, et j'emmerde tout ceux qui croient faire
de l'art, quel qu'il soit nommé, contemporain, ou pas, s'il n'est pas porteur de plaisir,
de sincérité et de partage!
Jean-Jacques Tachdjian
VIVE LA RÉVOLUTION
PERMACULTURISTURITURELLE
GLOBALE!
I C O L E E T N I C O L E ! ! !
S
O
Y
O
N
S
C
LAIRS
Ci-dessus
« ART RÉGÉNÉRÉ »
AFFICHE DE L'EXPOSITION
Jean-Jacques T. (2021)
Affiche publicitaire créée à l'occasion de la rétrospective de ce mouvement perpétuel
au palais de Kyoto en Artois, près de la frontière belge.
L'affiche a suscité des polémiques étendues et des accusations de plagiat de l'œuvre
d'un artiste allemand de 1937. Heureusement les avocats de la défense ont argué
de la prescrition des théories nazies, et l'ont justifiée en raison de l'obsolescence du
concept même des allégations de ce mouvement du XX e siècle.
POÉSIE HYPNOTIQUE
Dessins décalés, peintures et illustrations de David Aronson
allient les médias traditionnels aux médias numériques
et au collage numérique. Son travail va du fantasque au
fantastique, du très stylisé au rendu réaliste. Il mélange
low-brow et beaux-arts et emploie souvent des juxtapositions
inhabituelles. Thématiquement, David explore souvent les
domaines de la mythologie et de la psychologie. Il a créé des
œuvres d'art pour des livres, des magazines et des pochettes
de CD et son animation numérique a été présentée sur
MTV2. Les peintures et les dessins de David ont été exposés
à l'échelle nationale dans des galeries et des expositions de
musées. Il est également professeur d'art, hypnothérapeute
agréé et poète publié.
www.alchemicalwedding.com
www.facebook.com/david.aronson.7
www.instagram.com/davidaronson1963/
DAVID
ARONSON
GRUNGIMAGINEER
Né à Houston, Texas, en 1965, il a passé
des années de formation en Alaska, en
Ohio, en Californie, au Nouveau-Mexique,
en Oklahoma et en Norvège. En 1982, il
a publié le premier numéro de BLATCH,
un zine punk rock et graphique qui a duré
14 numéros et a cessé de paraître en 1988.
Il fût dplômé en beaux-arts, à l'Université
de l'Oklahoma, 1986. Déménagé à Seattle,
Washington en 1987 il a travaillé dans
un certain nombre d'emplois, y compris :
copy-shop geek, retoucheur de négatifs en
imprimerie, éditeur, artiste d'affiche rock,
artiste de couverture de livres, CD et disques,
illustrateur éditorial pour magazines et
journaux, illustrateur technique, dessinateur
de bandes dessinées, concepteur de logo
et directeur artistique chez Fantagraphics
Books, peintre de fantaisie peintures à grande
échelle pour la galerie Roq La Rue, encreur
pour 15 numéros de la série BD HATE de
Peter Bagge.
http://jimblanchard.com/
JIM BLANCHARD
&
T
R
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http://lachienne.com