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Panorama de presse quotidien du 27 01 23

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PANORAMA DE PRESSE

Du 27/01/2023

- Politique-Economie.………………………………………………….…….p.2-9

- Concours-Dégustation…………………………………………………….p.10-11

- People…………………………………………………………………………….p.12

- Commerce-Consommation ……………………………………..…....p.13-14

- Communication-Evènements…………………………..……….…….p.15-22

- Cuvées……………………………….…………………………………..………p.23-30

- Gastronomie…………………………………………………………………..p.31

Cette revue de presse se destine à un usage strictement personnel et interne à l’entreprise,

le destinataire s’interdit de reproduire, publier, diffuser ou vendre ce document.

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Ni reçu, ni déçu

Par Alexandre Abellan Le 27 janvier 2023

Reportée pour cause de mauvais tempo. Attendue par de nombreux vignerons, la rencontre de

la filière vin avec le ministre de l’Agriculture, Marc Fesneau, qui devait avoir lieu ce jeudi 26

janvier se tiendra lundi 6 février. De quoi alimenter l’impatience, face à l’urgence d’actions,

mais aussi l’appréhension, face à la nécessité de mesures adaptées. S’il n’y a pas eu de

réception cette semaine, au moins n'y a-t-il pas encore eu de déception… De quoi espérer de

meilleurs arbitrages pour les demandes de distillation de crise, de mesures de stockage privé,

d’aide à l’arrachage, de restructuration différée… Et de quoi digérer la rapidité des actualités

venant d’Espagne et d’Italie alors que la gestion de ces outils se trouve à Bruxelles.

La filière espagnole vient de demander des mesures d’aides à la distillation et à la vendange

en vert. La quête de solutions collective face à la déconsommation de vin n’est plus une

problématique franco-française : face à l’ampleur des bouleversements, la fin de non-recevoir

européenne va avoir du mal à tenir. D’autant plus que les vins italiens se mobilisent contre

l’objectif de la Commission Européenne d’envisager des règles d’étiquetages pour baisser la

consommation de boissons alcoolisées. Une perspective vertement critiquée par le ministre

italien de l’Agriculture, Francesco Lollobrigida déclarant, non sans ferveur populiste, que «

pour les catholiques, dire que le vin est mauvais, c'est remettre en question ce qui se passe à

la messe. Si le vin est mauvais pour vous, le mariage à Cana aurait été un moment

d'empoisonnement collectif ! »

Si la filière vin ne demande pas à son ministre de reproduire le miracle de la transformation

d’eau en vin, les représentants du vignoble espèrent des actions fortes pour la soutenir :

transformer la crainte d'un filet d’eau tiède de mesurettes en un torrent réchauffant la filière et

la relance structurelle des vins français pour les prochaines années.


Ça plane pour eux

Les hygiénistes veulent dépénaliser le

pétard et dénormaliser le pinard

Si le président de Fédération Addiction reconnaît que la déconsommation de vin créé

"d’autres problèmes" de santé publique, il ne milite pas pour une consommation modérée de

la dive bouteille. Par contre, la légalisation, et donc une forme de développement, du cannabis

est souhaitable pour lui. Ce qui peut s'apparenter à une dissonance cognitive.

Par Alexandre Abellan Le 27 janvier 2023 Vitisphère.com

Psychiatre, Jean-Michel Delile était auditionné au Sénat en tant que président de la Fédération

Addiction. - crédit photo : Sénat

Alors que les vignerons ont le vague à l’âme ce début 2023, entre médiatisation du Dry

January (le "janvier sec" sans alcool) et nouvelles campagnes de Santé Publique France (SPF,

dénonçant le toast "bonne santé"), ils apprendront dans les comptes rendus de l’audition

menée ce 18 janvier par la Commission des Affaires Sociales du Sénat que la

déconsommation de vin visée par les hygiénistes n’est pas sans impacts négatifs pour la santé

des Français. « L'action conjointe des pouvoirs publics et des professionnels a conduit à une

prise de conscience dans l'ensemble de la population et à un véritable effondrement des

niveaux de consommation par rapport aux années 1960. On constate une mutation complète

des modes de consommation, avec une réduction drastique des consommations quotidiennes

de vin à table et une évolution vers d'autres modes de consommation, qui posent d'autres

problèmes » déclare le docteur Jean-Michel Delile, qui préside la Fédération Addiction. Cette

dernière prônant une dénormalisation des boissons alcoolisées en général, et du vin en


particulier, se félicitant notamment de la campagne SPF et du Dry January : "réduire la

consommation d’alcool doit être un axe majeur de santé publique" indique son communiqué à

ce sujet.

Si le vin quotidien, aliment, ne rentre pas dans le cadre sanitaire actuellement conseillé (deux

verres d'alcool par jour et pas tous les jours), il s’inscrivait dans une culture du repas et de la

convivialité qui prenait le temps (en faisant la promotion de la consommation modérée

comme monsieur Jourdain faisait de la prose : sans le savoir). Tout l’opposé des

consommations excessives, à risque, de boissons alcoolisées auprès de certains jeunes. Ces

derniers s’essayant par ailleurs toujours plus au cannabis. « Nous avons encore 900 000

usagers quotidiens de cannabis dans notre pays. Il s'agit d'une préoccupation majeure pour le

Gouvernement » alerte Valérie Saintoyant, déléguée de la mission interministérielle de lutte

contre les drogues et les conduites addictives (Mildeca), qui pointe que « les risques liés à cet

usage sont de mieux en mieux documentés par la littérature scientifique : il s'agit d'une

bombe pour le cerveau des plus jeunes, des adolescents et des jeunes majeurs, jusqu'à 25 ans,

car la maturation cérébrale dure jusqu'à cet âge. »

La bonne et la mauvaise consommation responsable

En la matière, Jean-Michel Delille indique que « la Fédération Addiction est, de longue date,

favorable à une dépénalisation de l'usage du cannabis, ce qui n'empêche pas qu'il faille

l'interdire pour les mineurs, au travail, au volant, etc. » On connaissait le bon et le mauvais

chasseur, y aurait-il désormais la bonne et la mauvaise consommation modérée ? Avec une

consommation responsable qui serait acceptable pour la Marie Jeanne, mais toujours

inenvisageable pour la dame Jeanne ? Appelant à prendre exemple sur les États-Unis pour la

gestion du cannabis, le psychiatre indique que « la légalisation contrôlée, en vigueur dans

certains États de l'est des États-Unis, au Canada et au Québec, semble la plus intéressante,

car elle a des effets sur le plan économique et social, sans causer d'importants dommages sur

la santé publique ». Il y aurait une bonne légalisation contrôlée pour la croissance du pétard,

et une mauvaise consommation modérée pour la décroissance du pinard. Ce qui pourrait

ressembler à une intéressante dissonance cognitive chez ces hygiénistes.

On ne peut que leur conseiller de parcourir Charles Baudelaire, qui écrivait dans les Paradis

artificiels (1869) : « le vin exalte la volonté ; le haschisch l’annihile. Le vin est support

physique ; le haschisch est une arme pour le suicide. Le vin rend bon et sociable ; le

haschisch est isolant. L’un est laborieux pour ainsi dire, l’autre essentiellement paresseux.

[…] Enfin le vin est pour le peuple qui travaille et qui mérite d’en boire. Le haschisch

appartient à la classe des joies solitaires ; il est fait pour les misérables oisifs. Le vin est utile,

il produit des résultats fructifiants. Le haschisch est inutile et dangereux. » Une licence

poétique par rapport aux normes sanitaires.


Six milliards d'euros, record absolu

Avec 326 millions de bouteilles de champagne expédiées, 2022 devient la deuxième année la

plus importante en volume, mais surtout la première en valeur, avec un chiffre d'affaires

supérieur à 6 milliards d'euros. Malgré la conjoncture, l'interprofession a foi en l'avenir.

2022 est devenue la deuxième année la plus prolifique en volume de bouteilles expédiées.

(© l'Hebdo du Vendredi)

En dépit du Brexit, de la pandémie, la guerre en Ukraine et l’inflation mondiale, le

champagne poursuit son irrésistible dynamique. 2020 n’aura été qu’une parenthèse de

décroissance dans une ère de valorisation débutée sitôt la crise financière de 2008 passée. Si

la baisse du nombre de bouteilles vendues s’est enclenchée dans les années 2010, la reprise

post-covid a permis de renouer avec de hauts niveaux d'expédition, atteignant les 326 millions

de bouteilles, l'an dernier. Surtout, le montant en valeur, lui, n’a cessé d’augmenter, pour

afficher plus de 6 milliards d’euros en 2022. Une première. « On est évidemment très heureux

de ces chiffres, même si, avec un produit comme le nôtre, qui a 300 ans d’histoire, une

rotation très lente et une production longue et délicate, la conjoncture d’une année ne suffit

pas à apprécier la tendance », note David Châtillon, coprésident du Comité Champagne.

Cette tendance, c’est aussi la lente érosion du marché français, au profit de l’export. Depuis

2010, une année où 185 millions de cols avaient été vendus dans l’Hexagone, le déclin est

inexorable. Un nouveau repli est constaté en 2022, avec 138,4 millions de bouteilles (-1,7 %),

tandis que l’export progresse encore de plus de 4 % (187,5 millions de cols). Aujourd’hui,

près de six bouteilles sur dix sont expédiées à l’étranger.


La stratégie de « premiumisation » (montée en gamme) des cuvées, entamée il y a plusieurs

années, permet de vendre les bulles plus chères, surtout à l’étranger, c’est la raison pour

laquelle le chiffre d’affaires ne cesse de croître. « L’appellation a une bonne image dans le

monde entier, confirme David Chatillon. Avec la reprise post-covid, on a constaté que les

consommateurs étaient très attachés à l’appellation, c’est le fruit de nos efforts réalisés sur la

qualité des vins, mais aussi sur les paramètres environnementaux. » Le taux d’échange

favorable au dollar a permis de maintenir de hauts niveaux aux États-Unis, plus gros

consommateur, et la réouverture du Japon, après la crise sanitaire, a également été favorable à

l'export.

Néanmoins, le Comité Champagne fait part d’un « optimisme prudent pour 2023 ». Le

contexte l’y oblige. « Le champagne est un peu le baromètre de l’humeur des consommateurs,

souvent liée à la conjoncture économique, poursuit le président de l’Union des maisons de

champagne (UMC). Des menaces pèsent sur l’économie mondiale en raison de la situation

géopolitique et de l’inflation. On est dépendant de ce contexte, on reste donc prudent. »

Autre motif de satisfaction, la vendange 2022 est décrite comme « remarquable en quantité et

en qualité ». Elle permettra à la profession de « reconstituer les stocks et ainsi répondre à la

demande des marchés ». Sera-t-elle aussi forte en 2023 ?


Lanson-BCC a réalisé un chiffre d’affaires

de 289, 2 millions d’euros en 2022 (+ 6, 7 %)

27 janvier 2023 lachampagnedesophieclaeys.fr

Dans le contexte favorable du marché du champagne, le groupe Lanson-BCC a enregistré une

baisse maîtrisée de ses volumes de -3,7% pour un chiffre d’affaires consolidé de 289,2 M€ en

croissance de + 6,7 % (271, 1 M€ en 2021). En faisant abstraction de la filiale de courtage,

dont l’activité est traditionnellement fluctuante, le chiffre d’affaires consolidé du groupe s’est

élevé à 282,7 M€, + 7,0 %. Le chiffre d’affaires en France a progressé de + 2,4 % et à l’export

de + 11,3 %.

L’objectif de la gouvernance mise en place dans les maisons du groupe depuis 2019 est de

créer davantage de valeur par la montée en gamme plutôt que par les volumes. Selon le

groupe, cette politique indispensable compte tenu de la hausse continue du prix du raisin, a

été contrariée en 2020 par la pandémie. Elle a reçu un accueil favorable des marchés en 2021

et 2022 et se poursuivra en 2023 et au-delà. Côté perspectives, la progression de l’activité en

2023 proviendra exclusivement de la poursuite de l’amélioration du mix produits/destinations,

les volumes continuant d’être sous contrainte suite aux petites vendanges 2020 et 2021. La

belle récolte 2022 ne permettra une reprise des volumes que dans 3 à 4 ans.


Résultats LVMH : 70, 9 millions de

bouteilles de champagne (+6 %) vendus en

2022

26 janvier 2023 lachampagnedesophieclaeys.fr

Le groupe LVMH a réalisé en 2022 des ventes de 79,2 milliards d’euros, et un résultat

opérationnel courant de 21,1 milliards d’euros, tous deux en croissance de 23%.

Toutes les activités réalisent une croissance organique significative de leurs ventes sur

l’année. L’Europe, les Etats-Unis et le Japon, en forte hausse, profitent d’une forte demande

de la clientèle locale et de la reprise des voyages internationaux. L’Asie est stable sur l’année

en raison de l’évolution de la situation sanitaire en Chine.

Les ventes du groupe d’activités Vins et Spiritueux sont en croissance de 19% en données

publiées. Bénéficiant d’un effet de change positif de 7 points et d’un effet périmètre positif de

1 point lié à l’intégration de Armand de Brignac, les ventes de ce groupe d’activités ressortent

en hausse de 11% à taux de change. La hausse des ventes des champagnes et vins est de 24%

en données publiées et de 18% à taux de change et périmètre comparables. Le résultat

opérationnel courant du groupe d’activités Vins et Spiritueux s’établit à 2 155 millions

d’euros, en hausse de 16% par rapport à 2021. La part des champagnes et vins représente 981

millions d’euros et celle des cognacs et spiritueux 1 174 millions d’euros. Le taux de marge

opérationnelle sur ventes de ce groupe d’activités est de 30,4%

Pour ce qui nous intéresse en Champagne, c’est un record en termes de volumes, mais

sûrement également en chiffre d’affaires. Portés par une forte demande entraînant des

tensions croissantes sur les approvisionnements, les volumes de champagne du groupe sont en

hausse de 6% soit 70, 9 millions de bouteilles (66,8 millions de bouteille en 2021, 52,4

millions de bouteilles en 2020) dont 94 % sont réalisés sur les marchés internationaux,

particulièrement aux USA (37%).

Selon le communiqué du groupe, toutes les régions progressent significativement, en

particulier dans des lieux festifs de consommation «high energy» et en gastronomie. Moët &

Chandon réalise une année record tout en s’engageant dans d’ambitieux programmes de

développement responsable pour sa région, notamment pour préserver la biodiversité. Choisie


comme champagne du Jubilé de la Reine Elisabeth II d’Angleterre, la Maison présente son

millésime Grand Vintage 2015 et ouvre son premier bar éponyme chez Harrods à Londres.

Dom Pérignon renforce sa désirabilité via les «Révélations» de Dom Pérignon 2004 Plénitude

2 et le renouvellement de sa collaboration avec Lady Gaga.

Pour ses 250 ans, Veuve Clicquot réalise une belle performance, soutenue par une campagne

mondiale, une exposition itinérante et une expérience unique à bord du train mythique Venise

Simplon-Orient-Express. La Maison célèbre aussi les 50 ans de sa cuvée de prestige La

Grande Dame et de son programme dédié à l’entrepreneuriat féminin. Ruinart connaît une

belle dynamique sur tous ses marchés avec le lancement de Dom Ruinart Blanc de Blancs

2010, élu meilleur champagne 2022 au concours mondial «The Champagne & Sparkling

Wine World Championships». La Maison poursuit le déploiement de son étui éco-conçu et

son projet pilote de vitiforesterie. Krug confirme son modèle unique en dévoilant Krug

Grande Cuvée 170e Édition et Krug Rosé 26e Édition et en proposant une expérience

musicale immersive, inspirée au célèbre compositeur Ryuichi Sakamoto par la dégustation

des créations 2008. Détenu en partenariat avec Shawn Jay-Z Carter, Armand de Brignac

réalise sa première année complète au sein de LVMH, démontrant une forte dynamique

commerciale dans toutes les régions.


Cette année, une centaine de vignerons

participent aux présélections des vins de

Champagne du 152 e concours général agricole

De la difficulté à mettre des mots sur ce que l’on perçoit

Wilfried Devaugermé, président des œonologues de Champagne-Ardenne, n’est pas avare en

conseils pour bien déguster le champagne. LV

Les présélections régionales des vins de champagne du concours général agricole ont lieu

jusqu’à lundi au syndicat général des vignerons. Rencontre avec l’un des jurés, Wilfried

Devaugermé, président des œonologues de Champagne-Ardenne.

Quelles sont les règles à respecter lors d’une dégustation de champagne ?

Déjà, il faut que les vins soient à bonne température. Ensuite il faut un environnement calme,

pour avoir une bonne concentration. Et du silence, sinon il y a l’effet colonel, c’est-à-dire que

celui qui parle le plus fort influence les autres. Donc en général on cherche à déguster en

silence et ensuite, on échange. Et s’il faut faire un choix, on fait un vote.

N’importe qui peut être juré dans une dégustation où faut-il des connaissances spécifiques ?

Oui, n’importe qui peut déguster, on a tous des seuils de perception différents en fonction des

arômes. Après, la difficulté de la dégustation c’est d’arriver à mettre des mots sur ce que l’on

perçoit. Tout le monde peut déguster mais il faut apprendre à nommer les choses et ça, ça

demande de déguster régulièrement et de se créer une mémoire olfactive, une mémoire

d’odeurs. On a tous des perceptions différentes, certains vont être plus sensibles aux agrumes,

d’autres seront plus marqués par le côté végétal. C’est tout l’intérêt de déguster de manière

collective car ça permet de ne pas dépendre d’un seul dégustateur avec ses propres

perceptions. Il faut respecter l’ordre de la dégustation : du visuel, de l’olfactif et du gustatif

Ce n’est pas la première fois que vous êtes juré : y a-t-il des tendances qui se dessinent selon

les années ?

On peut percevoir un effet année sur les millésimes. On peut reconnaître certains millésimes

mais c’est un exercice qui demande des connaissances. Là par exemple, on est sur des arômes

d’évolution parce qu’on est sur des bases 2010 et 2012, on a des arômes tertiaires qu’on ne

percevra pas sur des vins plus jeunes donc on sait qu’on est sur un registre de vins qui ont

plusieurs années de bouteille et une typicité d’arômes que l’on ne va pas retrouver sur des

vins plus jeunes.

Cela nécessite de se souvenir de tout ce qui a pu influencer la vigne, comme les conditions

climatiques par exemple ?

Oui, effectivement, on peut retrouver parfois une année très mûre, des caractéristiques des

vins opulents, qu’on appelle solaire aujourd’hui mais qui veut tout et rien dire. Par exemple,

sur l’année 2013, qui était une année froide où on a vendangé tardivement, on retrouve un

style de vins un peu plus austère, plus tranché mais aussi plus fin. Il y a quelques cas comme

ça mais ça demande de déguster régulièrement, d’avoir une analyse professionnelle.

Quelles sont les erreurs à ne pas commettre lorsque l’on déguste ?


J’ai parlé de la température : ne pas servir de vin ni trop chaud, ni trop froid. Il faut respecter

ce code du visuel, de l’olfactif et du gustatif. Si on déguste d’abord, et qu’on sent le vin après,

on sera saturé par la dégustation, on n’aura pas une perception correcte donc il faut respecter

cet ordre-là. Bien sûr, éviter le café et le dentifrice. À part le pain, qui permet de nettoyer le

palais, il faut éviter de manger car ça apporte d’autres perceptions.

Et qu’en est-il du rouge à lèvres ?

Ça a un effet anti-bulles donc il vaut mieux éviter pour la dégustation mais pour la

consommation, c’est moins grave.

Est-ce qu’il y a une manière de goûter le vin ?

Oui, on oxygène le vin ce qui a pour effet d’entraîner les molécules aromatiques et on a un

effet retronasal, c’est-à-dire que les odeurs contenues dans le vin remontent dans le nez et sont

perçues également par ce biais-là, c’est que l’on appelle la retroolfaction.

Recracher est indispensable lorsque l’on déguste ?

Oui, pour pouvoir goûter de nombreux échantillons car si on les absorbe à chaque fois, on

serait un peu moins concentré à la fin de la dégustation ! Parfois, on peut faire des séries de

15, 20 et même plus. Donc le crachoir est nécessaire.

Et il y a une technique pour bien cracher ?

C’est pareil, ça s’apprend. Il n’y a pas de technique mais il faut s’entraîner. C’est vrai qu’au

début, on est un peu maladroit et puis on prend l’habitude.

La finale au Salon de l’Agriculture

Cette année, une centaine de vignerons participent aux présélections des vins de Champagne

du 152 e concours général agricole. Ce qui fait un total de 290 vins à départager dans 8

catégories : brut sans année assemblage, brut sans année blanc de blancs, brut sans année

blanc de noirs, nature ou extra-brut sans année, nature ou extra-brut millésimé, brut millésimé,

brut rosé millésimé et brut rosé non millésimé. Une première session de dégustation a eu lieu

mardi à la maison de vignerons de Chassenay d’Arce. Trois autres étaient programmées au

SGV jeudi et vendredi matin, ainsi que lundi. Jusqu’à 60 % des vins présentés lors des

présélections participeront à la finale qui se tiendra le 26 février à Paris, lors du Salon de

l’Agriculture.


Nominations au Champagne Mailly Grand

Cru

27 janvier 2023 lachampagnedesophieclaeys.fr

Elise Moreel et Léa Boun (Mailly Grand Cru).

Deux nouveaux talents viennent d’arriver au sein du domaine de Mailly Grand Cru avec la

nomination d’Elise Moreel nouveaux en tant que responsable Vignoble & RSE ainsi que Léa

Boun, responsable Communication. Ces arrivées s’inscrivent dans la dynamique d’évolution

du champagne Mailly Grand Cru et affirment sa volonté de préserver et valoriser son

remarquable patrimoine naturel.

Avec son expertise du vignoble champenois, Elise Moreel intègre l’équipe Mailly Grand Cru

en appui des 90 adhérents. Sous la responsabilité du Chef de Caves Sébastien Moncuit, elle

coordonne de nouveaux projets communs visant à relever les défis d’une viticulture d’avenir.

Sensible aux problématiques environnementales et sociales, elle consolide les projets RSE qui

sont le prolongement des engagements éco-responsables de Mailly Grand Cru. En s’appuyant

sur la diversité de ses expériences, Léa Boun intègre l’équipe Mailly Grand Cru en tant que

responsable Communication afin de faire rayonner la marque, son collectif et leurs

engagements, en France et à l’international.


Les NFT transforment le commerce des

bouteilles de vins haut de gamme

Les « Non Fungible Token », ou NFT, gagnent l’univers du vin. La technologie n'en qu'à ses

prémices mais pourrait bien transformer le commerce des bouteilles haut de gamme.

Par Chantal Sarrazin Le 26 janvier 2023 Vitisphère.com

'Les NFT permettent également aux marques de créer un lien avec leurs consommateurs

»,indique Camilo Gomez Vargas, responsable marketing digital chez Bernard Magrez. - crédit

photo : Philippe Dacquin

Si vous n’avez pas encore entendu parler des NFT – jetons non fongibles, Non Fungible

Token en anglais –, préparez-vous. Très répandues dans l’univers du luxe et de l’art, ces trois

lettres font leur apparition dans le monde du vin. De quoi s’agit-il ? « C’est un titre de

propriété numérique », explique Marion Barral, consultante chez AOC Conseils. « Un

certificat infalsifiable, auquel on peut ajouter des informations sur la vie d’une bouteille de

vin : les lieux où elle a été stockée, ses propriétaires successifs... », complète Camilo Gomez

Vargas, responsable marketing digital chez Bernard Magrez.

Pour la vente de flacons de haut vol à des collectionneurs

Aujourd’hui, les NFT sont surtout utilisés pour la vente de flacons de haut vol à des

collectionneurs sans que ces bouteilles leur soient expédiées. La Maison Bouey, à Ambarèset-Lagrave,

en Gironde, s’est lancée l’an dernier.

« Nous y voyons de nombreux intérêts, indique Jacques Bouey, son président. Habituellement,

une bouteille de grand cru passe par plusieurs intermédiaires avant d’arriver chez le client :

négoce, importateur, distributeur… et il arrive que des faux circulent. En Asie, des bouteilles

sont vidées puis remplies avec un vin de moindre qualité et revendues au prix fort. Avec les

NFT, les vins dans nos chais sont conservés dans des conditions optimales jusqu’à ce que

leurs propriétaires les demandent. »

1 à 5 € pour générer un NFT

Pour générer un NFT, il faut compter de 1 à 5 € suivant les plateformes qui émettent ces

certificats. « Nous avons rattaché nos NFT à des caisses de six bouteilles et non à des flacons,


précise Jacques Bouey. C’est plus économique. » Le négociant a mis en vente ces certificats

numériques sur des plateformes spécialisées comme Binance, WiV et Farandole, et par le

biais de la chaîne de cavistes La Nouvelle Cave. « Nous en avons vendu une vingtaine en deux

vagues l’an passé, ce qui a rapporté 25 000 euros. »

Une bonne partie des acheteurs de NFT ne cherchent pas à détenir physiquement ces

bouteilles. « Ce sont des investisseurs, expose Martin Cubertafond, consultant et maître de

conférences à Sciences-po. Ils visent une plus-value à la revente. Autrefois, celle-ci échappait

aux producteurs du vin. Avec les NFT, ce n’est plus le cas. Quand un producteur lie un NFT à

son vin, il peut lui adosser un « smart contract » qui prévoit un partage de la plus-value selon

un pourcentage entre lui et le vendeur du NFT. » Selon l'enseignant, c’est l’un des principaux

intérêts des NFT.

Pour créer du lien avec les consommateurs

« Les NFT permettent également aux marques de créer un lien avec leurs consommateurs »,

ajoute Camilo Gomez Vargas. En 2022, à l’occasion des 770e vendanges du Château Pape

Clément, son propriétaire Bernard Magrez a créé le Club Château Pape Clément. Pour y

adhérer, il fallait acheter un NFT. Montant : 310 €. « Nous avons clôturé la vente quand nous

avons atteint 1252 souscripteurs, chiffre qui correspondant à l’année de la première

vendange du château », précise le responsable marketing digital.

Le « pack » correspondant à ce jeton comprend une bouteille, et une œuvre virtuelle réalisée

par l'artiste Pierre-Blaise Dionet. « Et nous allons convier les membres du club à des

événements prestigieux, des journées portes ouvertes, des dégustations privées…, enchaîne

Camilo Gomez Vargas. En janvier, nous les avons invités au vernissage de l’exposition

Soulages organisée par notre institut culturel. » L’opération a permis d’entrer en relation

avec des afficionados de ces solutions numériques. Un public très différent de l’amateur de

vin.


REPLAY. Les femmes du champagne :

suivez l'édition spéciale du 19/20

Champagne-Ardenne

Diffusé du 25/01/2023 à 18h45 au 25/01/2023 à 19h30 • Publié le 25/01/2023 à 18h00 • Mis à

jour le 25/01/2023 à 20h00

Écrit par Matti Faye et Jérémy Durieux . https://france3-regions.francetvinfo.fr/grand-

est/champagne-ardenne/direct-video-les-femmes-du-champagne-suivez-l-edition-speciale-du-

19-20-champagne-ardenne-2699674.html

Les femmes du champagne, c'est le thème d'une édition spéciale du 19/20 de France 3

Champagne-Ardenne mercredi 25 janvier à partir de 18h50. Rencontre avec celles qui ont

marqué et qui continuent d'écrire l'histoire du plus prestigieux des vins.

Elles s'appellent Pommery, Taittinger, Duval-Leroy, Bougy, Baillette… elles ont été ou sont

viticultrices, propriétaires de maison. Elles ont marqué le monde du champagne et continuent

d'écrire son histoire.

France 3 Champagne-Ardenne leur consacre une édition spéciale du 19/20 le mercredi 25

janvier à partir de 18h50. "Nous avons voulu rendre hommage à ces femmes qui ont eu une

importance dans le développement économique du champagne, un univers majoritairement

dominé par les hommes. Nous invitons nos téléspectateurs à la découverte de ces

personnalités importantes qui ont fortement contribué à l'histoire de notre région" explique

Matthieu Mercier, rédacteur en chef de France 3 Champagne-Ardenne.

Point de départ avec l'aventure d'une femme visionnaire, la veuve Pommery, première à

sélectionner les bons raisins et à exporter le champagne en Angleterre, et à qui on doit

notamment le champagne brut. Plusieurs rencontres rythmeront cette édition spéciale :

• Carol Duval-Leroy, à la tête de la maison de champagne à Vertus. Une entreprise

qu'elle a su développer dans un empire masculin, en s'attaquant au marché japonais.

Une histoire marquante jusqu'à l'organisation de son entreprise, composée à 42 % de

femmes. Elle s'apprête d'ailleurs à confier la direction de sa société à ses fils.

• Elise Bougy, vigneronne marnaise plusieurs fois primée.

• Vitalie Taittinger, la nouvelle présidente du groupe éponyme, pour un entretien

exclusif au cœur du Château de la Marquetterie à Pierry, près d'Epernay.

• Les Fa'bulleuses, sept viticultrices marnaises et auboises à la tête de leur maison de

champagne, qui partagent leurs expériences et leur savoir-faire pour faire évoluer leur

maison, et s'associent autour de cuvées communes.

• Les jeunes étudiantes du lycée viticole d'Avize.

Enfin, avec Yves Tesson, journaliste et historien du champagne, nous verrons l'importance

des femmes au cours des décennies dans le développement commercial du plus prestigieux

des vins, qui doit sa réputation et son succès... aux femmes.

19/20 spécial Femmes de Champagne sur France 3 Champagne-Ardenne, une émission

présentée par Baptiste Galmiche, diffusée mercredi 25 janvier dès 18h50.


« Le chaudron », une nouvelle tradition

champenoise est née !

• 25 janvier 2023 Terre de vins


L’association des ratafias champenois s’est réunie pour un événement qui pourrait bien

devenir une tradition. Alors qu’Alexis Leconte distillait son premier marc de l’année à

Troissy, il a convié ses collègues à un « chaudron », l’occasion de déguster les ratafias

des uns et des autres, tout en savourant les saucisses de Morteau cuites dans les vapeurs

de l’alambic… Un moment unique !

Il y a la Champagne des grands hôtels et des palaces, et la Champagne un peu canaille, celle

qui aime bidouiller des alcools dans son garage, expérimenter avec les copains, et se retrouver

dans la froidure de l’hiver, pour savourer autour d’un feu de bois, à Troissy, au cœur de la

vallée de la Marne, des escargots de Bouzy, des andouillettes au chaource et des saucisses de

Morteau cuites dans le marc de l’alambic, le tout arrosé de leurs derniers ratafias… Un

produit qu’on n’a pas fini de redécouvrir ! Alors, c’est décidé, la Bourgogne a sa Paulée, la

Champagne aura son Chaudron ! Un événement spécial pour les tontons flingueurs du


champagne, les vignerons authentiques, sans chichi, qui vous ressortent leur dernière bouteille

de derrière les fagots, parce que c’est vous et que votre bobine leur revient…

Le ratafia champenois a pendant des années fait figure de pépite oubliée, perdue dans les

limbes. Longtemps, les grandes régions préféraient ne parler que de leurs appellations

principales, pour ne pas créer de confusion et garder un maximum de lisibilité. En 2008, alors

que la tradition des ratafias champenois était en train de s’éteindre, la Commission

européenne a décidé de revisiter toutes les appellations pour les remettre à jour, en demandant

à chacune leur cahier des charges. Le ratafia champenois faisait partie des annexes de

l’appellation champagne. Des producteurs, Claude Giraud en tête, se sont alors mis à souffler

sur les braises pour le ramener à la vie et obtenir pour lui une véritable appellation. Ils ont

créé l’Association des ratafias champenois aujourd’hui présidée par Alexis Leconte et ont

obtenu gain de cause en 2015.

L’argument ? La demande du consommateur a changé. Il ne veut plus seulement connaître le

champagne, mais la Champagne. Il est aussi de plus en plus préoccupé par les questions de

durabilité. En Champagne, on sait tout recycler, les grains de raisin dont on fait de l’huile, la

peau dont on fait des cosmétiques… De ce point de vue, le ratafia a toute sa place dans le

cycle de production du champagne, puisque l’une des spécificités de l’appellation est de

refuser d’utiliser la fin de presse. Or, c’est justement avec cette dernière que l’on élabore le

ratafia et c’est même la raison pour laquelle le ratafia s’était autrefois davantage développé en

Champagne que dans les autres régions où toute la presse se retrouve dans le vin. En faisant

du ratafia, on boucle la filière et on emploie l’entièreté du fruit !

Un fruit que l’on approche aussi au travers du ratafia d’encore plus près que lorsque l’on

déguste du champagne… En effet, en ajoutant l’alcool sur le moût qui n’a pas encore

fermenté, on fige ses qualités initiales. C’est d’ailleurs de cette vocation de conservation

qu’est né le ratafia. A l’époque des grandes découvertes, où le scorbut guettait les marins lors

de leurs longs périples en mer, parvenir à empêcher les fruits de se corrompre à bord était

vital. L’une des méthodes consistait à tremper les fruits dans de l’alcool, le « tafia » (du rhum

en l’occurrence).

Quelques coups de cœur ? Le ratafia six cépages de la distillerie Moutard (un parfum

d’abricot suave, égayé de notes d’agrumes), dans sa magnifique Dame Jeanne (160 €), la

Soléra d’Henri Giraud, pour ceux qui aiment les ratafias un peu moins sur le fruit et plus

évolués. Très pédagogique, on n’oubliera pas le coffret « Apeiron » de trois flacons proposé

par Alexis Leconte qui vous permettra de comparer le fruit gourmand du meunier, à la

puissance du pinot noir et au caractère exotique du chardonnay…


Coca champagne : Le nouveau cocktail qui

fait le buzz !

par Maurice Louis 25 janvier 2023, 3 h 29 min https://www.leenkus.net/cocachampagne-le-nouveau-cocktail-qui-fait-le-buzz/

L’année 2023 commence fort en matière de tendances culinaires. Récemment, on a découvert

la nouvelle recette de cocktails qui risque d’en étonner plus d’un : le coca champagne. Zoom

sur ce phénomène qui affole la toile.

Coca champagne : Une nouvelle boisson qui fait le buzz !

Il n’est jamais trop tard pour se faire plaisir et pour déguster un délicieux cocktail. Si on

apprécie boire un martini blanc ou encore un mojito, avec modération évidemment, ces

alcools restent un poil trop classique. Mais pourquoi ne pas miser sur l’originalité ? À Noël,

on avait fait la découverte du Pilk (le lait au Pepsi), la boisson qui avait fait le buzz

notamment sur Internet. En effet, lors d’une courte vidéo publiée sur les réseaux sociaux,

notamment Instagram et TikTook… La comédienne Lindsay Lohan avait mis en avant une

nouvelle boisson nommée Pilk. Il s’agit en effet d’un mélange de lait et de Pepsi.

En 2023, on renouvelle l’expérience en se laissant surprendre. Bonne nouvelle puisqu’on

a découvert la boisson qui risque de vous laisser sans voix : Coca champagne.


Un mélange insolite !

Mais comment trouver le mélange dont tout le monde rêvait ? C’est simple, il suffisait

d’associer deux boissons iconiques : le coca-cola et le champagne. Après avoir goûté le

mélange audacieux lait et Pepsi, cet hiver grâce à Lindsay Lohan, désormais place au coca et

son champagne.

C’est par un grand acteur que la boisson s’est fait connaître. On vous en dit plus sur ce

mélange insolite et 2.0 qui vous fera peut-être craquer ce début d’année.

Le Coca 2023, se mélange à du champagne !

Si on connaissait le whisky coca, désormais le cocktail se veut plus luxueux puisqu’on troque

le whisky parfois trop fort pour du champagne. Mais le cocktail du moment, c’est le coca

mélangé avec du champagne. L’auteur de cette création ? L’acteur Tom Hanks. En effet, c’est

lors de la saison des fêtes de fin d’année que l’interprète de Forrest Gump a eu l’idée de

préparer le “Diet Cokagne”. Invité dans l’émission de Stephen Colbert, The Late Show.. La

star a confié qu’il était un grand amateur de coca et notamment de coca light.

Un soir de fête alors que le champagne était en train d’être servi, l’acteur a demandé au

serveur d’ajouter juste un shot de coca à sa boisson. Une idée étonnante qui n’a pas manqué

de faire réagir les personnes autour de lui.


Tom Hanks : « j’ai bu une gorgée de ça…. C’était

délicieux »

« Tout le monde a dit : » tu es fou « , se souvient Tom Hanks oscarisé. ‘J’ai dit, « eh bien, je

suis peut-être fou, mais je veux célébrer la saison”. Il poursuit et explique : « alors j’ai bu une

gorgée de ça, et Stephen, c’était délicieux. »

Il n’en fallait pas plus pour attirer la curiosité de nombreux internautes. Effectivement depuis

son interview, les utilisateurs d’internet n’hésitent pas à tester ce mélange, notamment sur le

célèbre réseau social, TikTok. Alors l’acteur américain aurait-il créé la boisson de l’année

2023 ? À vous de tester !


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Audience : 1870

Sujet du média : Lifestyle

26 Janvier 2023

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3 cuvées de charme pour faire pétiller sa Saint-Valentin

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3 cuvées de charme pour faire pétiller sa Saint-Valentin

La Saint-Valentin n'est-elle pas la Fête la plus frivole de l'année ? Ce 14 février dessine une épopée intime au coeur de la

légèreté, du romantisme et du glamour. Les amoureux se retrouvent autour d'un dîner et échangent des regards langoureux

entre deux mots doux. Ce cliché éthéré n'a de sens que lorsqu'il est vécu avec exaltation...

Au restaurant ou bien chez soi, tous les prétextes sont réunis pour passer un moment hautement épicurien !

Paris Frivole vous dévoile 3 cuvées de charme pour faire pétiller sa Saint-Valentin...

La cuvée Année de Madame 2009

Il faut reconnaître que le packaging d'Année de Madame 2009 en fait un objet de désir très assumé. En effet, son écrin rose

dragée et son flacon rose métallique sont du plus bel effet. Conçu comme un bijou, cette bouteille unique est parée d'un

muselet de strass Swarovski.

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Bien sûr, il faut s'affranchir du côté visuel (si féminin) et se concentrer sur ce qu'elle renferme !

Née de l'assemblage subtil de Chardonnay (55%), de Pinot Meunier (30%) et de Pinot Noir (15%), la cuvée Année de

Madame 2009 est la quintessence du raffinement.

Derrière cette cuvée haute-couture, il y a le savoir-faire du chef de cave Jean-Charles Mignon qui n'a pas son pareil pour

sublimer les nectars.

Du côté de la dégustation, on s'émerveille de cette robe rose orangée. Son nez fin et complexe exhale les fruits à chair

blanche et les épices douces. En bouche, place à de la fraîcheur, la douceur et la volupté.

La cuvée Année de Madame 2009 est vendue en coffret au prix de 93€ à la boutique Pierre Mignon à Epernay et chez les

meilleurs cavistes.

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La cuvée Egérie du Champagne Pannier

La cuvée Egérie du Champagne Pannier est un rosé de saignée de qualité suprême. Elle est le fruit d'assemblages pointus

qui retranscrivent à merveille la volonté de la maison de sublimer les grands terroirs de Champagne.

Elle est le fruit de Chardonnay de la Cote des Blancs (20%) et de Pinot Noir de la Montagne de Reims (80%).

Sa robe étincelante est parsemée de bulles persistantes qui laissent présager la finesse du jus !

Au nez, la gourmandise est de mise avec un panier de petits fruits capiteux tels que la mûre, le cassis et la framboise.

La cuvée Égérie est vendue au prix de 108.20€ chez les meilleurs cavistes et sur la boutique en ligne de Pannier.

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La cuvée Trésor rosé de la Maison Bouvet Ladubay

La cuvée Trésor rosé fait la fierté de la Maison Bouvet Ladubay. Ce vin pétillant de Loire n'a pas à rougir face au

Champagne. Il possède lui-même des caractéristiques gustatives prestigieuses.

Cette cuvée historique de la Maison Ligérienne dévoile des bulles aussi fines que délicates. Sa robe rose saumonée est

intense et brillante. Son nez s'exprime avec élégance : un bouquet d'arômes floraux (violette et iris), des fruits rouges mêlés à

une brioche odorante.

La bouche est langoureuse, douce, ronde avec une belle persistance...

La cuvée Trésor rosé est vendue au prix de 14,80€ chez les meilleurs cavistes et sur la boutique en ligne de Bouvet Ladubay.

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Collaboration du chef Arnaud Donckele

avec la Maison Ruinart pour trois ans

27 janvier 2023 lachampagnedesopphieclaeys.fr

Arnaud Donckele, le chef triplement étoilé de La Vague d’Or – Cheval Blanc St-Tropez et de

Plénitude – Cheval Blanc Paris, s’engage au côté de la Maison Ruinart pour défendre une

vision commune entre champagne et gastronomie pour une collaboration durable pour les 3

années à venir.

Selon un communiqué, considéré comme l’un des chefs les plus talentueux de sa génération,

Arnaud Donckele connait bien la maison. Au cours des dernières années, il a imaginé le menu

de plusieurs événements, mettant en lumière une compréhension réciproque. Renforcée au fil

du temps, elle se fonde sur le partage de mêmes valeurs : la recherche de l’excellence,

l’amour du terroir, le respect de la nature, un esprit visionnaire, le sens de la transmission et

une créativité sans cesse renouvelée.

Le chef Arnaud Donckele participera activement aux réflexions menées par Ruinart sur ses

expressions culinaires et élaborera aussi bien l’offre gastronomique déployée à Reims par

Valérie Radou, chef en résidence de la Maison Ruinart, que lors des grands événements de la

maison en France et dans le monde. Se rejoignant sur l’importance de la transmission, Ruinart

et le chef Arnaud Donckele souhaitent participer à la formation d’une nouvelle génération de

chefs internationaux avec une vision renouvelée du rapport entre l’homme et la nature.

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