PANORAMA DE PRESSE DU 08 03 23
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<strong>PANORAMA</strong> <strong>DE</strong> <strong>PRESSE</strong><br />
Du <strong>08</strong> 02 20<strong>23</strong><br />
- Politique…………………………………………………………………………………….p.2-6<br />
- Viticulture-Environnement..……………………………………………………...p.7-11<br />
- Concours……………………………………………………………………………………p.12<br />
- Communication-Commerce-Cuvées.………………………………………….p.13-24<br />
- Formations………………………………………………………………………………..p.25<br />
Cette revue de presse se destine à un usage strictement personnel et interne à l’entreprise,<br />
le destinataire s’interdit de reproduire, publier, diffuser ou vendre ce document.<br />
www.sgv-champagne.fr<br />
17 avenue de Champagne – CS 90176 • 51205 Epernay Cedex • Tél. <strong>03</strong> 26 59 55 00 • Fax. <strong>03</strong> 26 54 97 27<br />
69 Grande Rue de la Résistance • 10110 Bar-sur-Seine • Tél. <strong>03</strong> 25 29 85 80 • Fax. <strong>03</strong> 25 29 77 81
Le député de Reims Xavier Albertini va<br />
s’occuper de «Vignes, vin et œnologie ».<br />
refletsactuels.fr 2 mars 20<strong>23</strong><br />
Xavier Albertini, Député de la Marne, a été désigné, par ses pairs, vice-président du Groupe<br />
d’études « Vignes, vin et œnologie » de l’Assemblée nationale.<br />
Les groupes d’études sont des instances ouvertes à tous les députés et constituées pour<br />
approfondir et suivre des questions spécifiques, qu’elles soient de nature politique,<br />
économique, sociale ou internationale. Ils sont également le lieu de discussions et d’échanges<br />
entre députés de tous bords. Bénéficiant d’une grande souplesse de fonctionnement, les<br />
groupes d’études développent des activités très diverses : auditions de membres du<br />
gouvernement, de responsables de l’administration, de personnalités du secteur concerné<br />
(dirigeants d’entreprises, représentants de fédérations professionnelles ou de syndicats,<br />
responsables d’associations…), visites de sites ou d’entreprises, participation à des<br />
manifestations extérieures à l’Assemblée (colloques, salons professionnels…).<br />
Dans un communiqué, Xavier Albertini explique qu’il compte bien faire « entendre haut et<br />
fort la voix de la Champagne et de ses acteurs économiques. Il s’agit pour lui d’abord de<br />
valoriser un secteur, locomotive incontestée de la balance commerciale nationale, en<br />
organisant des auditions, un déplacement d’une délégation sur les exploitations. Il travaillera<br />
dans les prochains mois sur la prise en compte des nécessaires améliorations en matière de<br />
transmission d’entreprises, de fiscalité, de modulation du repos dominical à l’occasion du<br />
projet de loi d’orientation agricole qui sera présenté d’ici la fin de l’année 20<strong>23</strong>″.<br />
Les députés marnais Charles de Courson et Éric Girardin siègent également en qualité de<br />
vice-présidents de ce groupe d’études.
Presse écrite<br />
FRA<br />
LE PAYSAN VIGNERON<br />
Famille du média : Médias professionnels<br />
Périodicité : Mensuelle<br />
Audience : 13332<br />
Sujet du média :<br />
Agroalimentaire-Agriculture<br />
Edition : Fevrier 20<strong>23</strong> P.25<br />
Journalistes : José Martinez<br />
Teruel<br />
Nombre de mots : 485<br />
p. 1/1<br />
VIE<br />
ECONOMIQUE<br />
Champagne : 326 millions de<br />
bouteilles expédiées en 2022<br />
1ÏE<br />
En 2022, les expéditions totales de cham<br />
pagne s'élèvent à 326 millions de bou<br />
teilles, en progression de 1,6 % par rap<br />
port à 2021.<br />
Selon un communiqué de presse du Comité<br />
Champagne du 18 janvier, les expéditions<br />
totales de champagne s'élèvent à 326 mil<br />
lions de bouteilles en 2022, soit une pro<br />
gression de 1,6 % par rapport à 2021.<br />
« Après une belle année 2021, ces résul<br />
tats confirment le dynamisme global du<br />
marché du champagne, tant en volume<br />
qu'en valeur. Pour la première fois, la<br />
« Pour la première fois,<br />
des<br />
de<br />
la valeur<br />
expéditions<br />
champagne<br />
dépasse<br />
les<br />
6 milliards d’euros. »<br />
valeur des expéditions dépasse les 6 mil<br />
liards d'euros », souligne le communiqué.<br />
En France, on observe « un léger repli<br />
(- 1,7 %) avec 138,4 millions de bou<br />
teilles », alors que l'export progresse de<br />
4,3 % en un an, avec 187,5 millions de bou<br />
teilles. II confirme ainsi sa prépondérance<br />
par rapport au marché national.<br />
« En dix ans, la part des exportations dans<br />
les ventes totales est passée de 45 % à<br />
57 % aujourd'hui », indique le communi<br />
qué. Maxime Toubart, président du Syndi<br />
cat général des vignerons et co-président<br />
du Comité Champagne, « se félicite de ces<br />
performances.<br />
Elles récompensent nos efforts pour que<br />
le champagne reste un vin d'exception ».<br />
Pour David Chatillon, président de l'Union<br />
des maisons de Champagne et co-pré<br />
sident du Comité Champagne, « le cham<br />
pagne, vin incontournable de la célébra<br />
tion, a naturellement accompagné les<br />
consommateurs dans le monde qui se<br />
sont réjouis de la fin des confinements, ont<br />
retrouvé le goût de la fête, des sorties et<br />
des voyages ».<br />
Les résultats 2022 valident que le<br />
champagne s'est non seulement<br />
remis du choc de la crise sanitaire de<br />
2020, mais conserve aussi sa place<br />
unique dans l'esprit et le cœur des<br />
consommateurs.<br />
« Par ailleurs, la vendange 2022,<br />
solaire, remarquable en quantité et<br />
en qualité, va contribuer à recons<br />
tituer les stocks pour permettre de<br />
répondre à la demande des marchés.<br />
Expéditions de vins de champagne en 2022<br />
(en millions de bouteilles)<br />
Ainsi, malgré un contexte géopolitique et<br />
économique mondial qui invite à la pru<br />
dence quant aux perspectives de 20<strong>23</strong>, les<br />
Champenois restent confiants dans les<br />
fondamentaux de leur filière », selon le<br />
communiqué de presse.<br />
José Martinez Teruel<br />
<strong>DE</strong>TARTRAGE<br />
• PRIXATTRACTIFS,<br />
25 ANS D’EXPERIENCE,<br />
DÉTARTRAGE<br />
• TRANSPORT<br />
EFFLUENTS<br />
'BPdudPlin-ùuprbésdrl<br />
LEGALISÉ<br />
(ADR) ET SÉCURISÉ<br />
<strong>DE</strong>S<br />
<strong>DE</strong><br />
CHIMIQUE<br />
ACHATS <strong>DE</strong> TARTRE<br />
Source :<br />
PAIEMENT<br />
IMMEDIAT<br />
Comité<br />
Champagne.<br />
Bouteilles<br />
MISE A DISPOSITION <strong>DE</strong><br />
Maisons<br />
76,8<br />
160,4<br />
+ 2,8 %<br />
<strong>23</strong>7,2<br />
PALOX <strong>DE</strong> STOCKAGE<br />
Vignerons<br />
45,9<br />
12,3<br />
+ 6,4 %<br />
58,2<br />
Coopératives 15,7<br />
2,8 %<br />
14,8<br />
+ 21,6%<br />
30,5<br />
+ 7,7 %<br />
BP 60<strong>03</strong>1 • ZA <strong>DE</strong>S MALESTIERS *16130 SEGONZAC<br />
Total 2022 138,4<br />
1,7%<br />
187,5<br />
+ 4,3 %<br />
325,9<br />
+ 1,6%<br />
06 15 43 63 59 • beaudelin.guerbe@gmail.com<br />
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Presse écrite<br />
FRA<br />
Famille du média : PQR/PQD<br />
Edition : 28 fevrier 20<strong>23</strong> P.26<br />
(Quotidiens régionaux)<br />
Journalistes : THOMAS CROUZET<br />
Périodicité : Quotidienne<br />
Nombre de mots : 360<br />
Audience : 363000<br />
Sujet du média :<br />
Actualités-Infos Générales<br />
p. 1/1<br />
POLITIQUE<br />
La filière viticole interpelle Emmanuel<br />
Macron<br />
Avec les représentants de la filière nationale, Maxime Toubart, président du syndicat général des vignerons [SGV], a profité du salon de l'agriculture<br />
pour exprimer son inquiétude vis-à-vis de la récente campagne Santé Publique France. Emmanuel Macron a réaffirmé son soutien aux viticulteurs.<br />
THOMAS<br />
CROUZET<br />
la République n’a pas manqué de<br />
lever haut son verre, souhaitant...<br />
La bonne santé n'a rien à voir<br />
avec l’alcool. dernière cam<br />
» La<br />
pagne de Santé Publique<br />
France, soutenue par le ministère<br />
de la santé, a grincer des dents<br />
fait<br />
la profession viticole.<br />
Dans ces courtes vidéos, largement<br />
diffusées à la télévision et sur les<br />
réseaux sociaux, on voit des<br />
y<br />
convives trinquer un verre la à<br />
main, souhaitant ladite bonne<br />
se<br />
santé, avant de l’al<br />
rappeler que<br />
cool la bonne forme font sou<br />
et ne<br />
vent pas bon ménage.<br />
la bonne santé à la profession.<br />
«Lorsque nous avons interrogé le<br />
président sur cette campagne, lui<br />
même afait part de son éton<br />
nous<br />
nement, confit Maxime Toubart,<br />
président du syndicat des vigne<br />
rons de Champagne. II nous a indi<br />
qué qu’il était davantage pour la<br />
modération plutôt que la répression<br />
du vin etdu maintien ces instants<br />
de<br />
de convivialité et sociabilité de qui<br />
font partie notre culture. de »<br />
La filière, et notamment les repré<br />
sentants de l’appellation Cham<br />
pagne, n’a pas manqué de rappeler<br />
“Emmanuel Macron<br />
nous a indiqué qu’il était<br />
davantage pour<br />
la modération plutôt<br />
que la répression du vin”<br />
MaximeToubart,présidentSGV<br />
Pourtant, en arrivant sur le pa<br />
villon des vins de France lors de<br />
l’inauguration du salon internatio<br />
nal de l’agriculture, le président de<br />
la place occupée par les vins et spi<br />
ritueux dans l’économie française.<br />
Et pour preuve de convivialité<br />
la<br />
qui anime le viticole, le milieu SGV<br />
a servi président un millésime<br />
au<br />
du champagne De Saint Gall, 1977,<br />
de l’année naissance d’Emma<br />
de<br />
nuel Macron.<br />
«Nous avons également proposé au<br />
ministre de l’agriculture, Marc Fes<br />
neau, de venir redécouvrir notre ap<br />
pellation, qui, elle est bonne san<br />
en<br />
té », glisse Maxime Toubart. ■ MaximeToubart.à droite. a portê les dolêancesdes vigneronschampenoisauprès d’EmmanuelMacron. â gauche.<br />
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Champagne et Cognac<br />
100 % des vignes Martell et Mumm en<br />
agriculture régénérative d’ici 2<strong>03</strong>0<br />
Les vignobles charentais et champenois en propre de Pernod-Ricard s’essaient aux techniques<br />
de dynamisation des sols, d’agroforesterie… Pour pouvoir transférer les solutions<br />
opérationnelles à ses opérateurs.<br />
Par Alexandre Abellan Le 28 février 20<strong>23</strong> Vitisphère.com<br />
Avec deux ans de recul sur l’agriculture régénérative, Alexandre Imbert n’a pas de résultats<br />
définitifs, mais un plan de « recherche et d’innovation ». - crédit photo : Alexandre Abellan<br />
Pas de remède miracle. « Quand on travaille sur l’agriculture durable, on sait qu’il n’y a pas<br />
une solution, mais tout une palette d’outils à déployer » pose Alexandre Imbert, le<br />
responsable des affaires publiques et juridiques AOC pour Martell Mumm Perrier-Jouët<br />
(MMPJ, groupe Pernod-Ricard), en marge d’une conférence sur la viticulture durable ce 25<br />
février sur le Salon International de l’Agriculture (Paris). « Pour répondre au rendez-vous du<br />
développement durable, on pourra offrir demain une variété de solutions que l’on a testé sur<br />
nos domaines. Libres aux viticulteurs d’en adopter tout ou partie solutions » poursuit<br />
Alexandre Imbert.<br />
Lancé dans l’agriculture régénérative depuis 2021, MMPJ déploie actuellement ses pratiques<br />
sur 50 % de ses 700 hectares de vignobles de Champagne et Cognac (le château Sainte-<br />
Marguerite en Provence ne rentrant pas encore dans ce cadre). Avec l’objectif d’atteindre 100<br />
% en 2<strong>03</strong>0, avec 10 % de ses apporteurs déployant de premiers itinéraires indique Alexandre<br />
Imbert. Passant concrètement par la gestion des couverts végétaux et des travaux du sol<br />
(MMPJ s’interdit les herbicide depuis 2019), des essais d’agroforesterie (depuis ce début 20<strong>23</strong><br />
avec 7 ha en Champagne et 8 ha à Cognac)...
Recherche et innovation<br />
« Nos vignobles ne sont pas pour l’approvisionnement (ils représentent 3 % des volumes à<br />
Cognac et 10 % en Champagne), mais pour la recherche et l’innovation » indique Alexandre<br />
Imbert, soulignant la volonté de « tout tester » sur les parcelles dédiées à l’approche<br />
holistisque de l’agriculture régénérative : « l’élément central est le sol, dans la logique des<br />
sols vivants. On part du sol pour accompagner sa restauration » explique le responsable des<br />
affaires publiques et juridiques, pointant de premiers résultats : le volume de vers de terre à<br />
l’hectare passant de 400 kg/ha en 2015 à quasiment une tonne en 2022 (avec l’objectif de 1,5 t<br />
en 2025).<br />
Suivant l’« idée générale de développer le biotope, pour que le vignoble se défende par luimême<br />
au maximum », MMPJ voit dans l’agriculture régénérative un outil combinant « la<br />
préservation de l’environnement et de l’activité viticole, de sa productivité » ajoute Alexandre<br />
Imbert. Autre avantage de l’approche de l’agriculture régénérative, elle ne présente pas de<br />
rupture radicale, passant souvent par la redécouverte de pratiques anciennes avec l’appui de<br />
technologies modernes (pour l’aide à la décision ou la validation de techniques empiriques).<br />
Cycle de vie<br />
Pour que la production de vins effervescents et d’eaux-de-vie soit durable, il faut aller au-delà<br />
du vignoble, pour prendre en compte les opérations de transformation (vinifications,<br />
distillation, élevage…) et de mise sur le marché (conditionnement, transport…). « On<br />
travaille sur l’ensemble des dispositifs possibles. On ne s’interdit rien : il n’y aura pas une<br />
solution » indique Alexandre Imbert, concluant que le « juge de paix sera le consommateur.<br />
Avec des produits de vieillissement, le consommateur jugera des produits d’aujourd’hui dans<br />
10 à 15 ans avec sa vision d’alors. »
La confusion sexuelle s’organise en<br />
Champagne<br />
28 février 20<strong>23</strong> lachampagnedesophieclaeys<br />
Les chantiers de la confusion sexuelle s’organise cette année. A nouveau, chaque site adopte<br />
l’organisation répondant le mieux à sa situation et celle concernant l’organisation collective<br />
semble connaître un léger regain. Depuis 2021, deux techniques de diffusion se côtoient en<br />
Champagne, celle de la diffusion passive et celle la diffusion active.<br />
La diffusion passive est le mode de diffusion pour lequel les services du Comité Champagne<br />
ont le plus de recul avec une antériorité de travaux de suivi qui remonte au début des années<br />
90 pour les Rak, 2012 pour Isonet et 2019 pour le Biootwin.<br />
Les suivis de pesée menés ces dernières années, dans le cadre d’essais implantés sur le<br />
domaine de Plumecoq, ont permis de confirmer un comportement identique des 3 types de<br />
diffuseurs en terme de diffusion. Ils permettent tous de couvrir les deux générations de<br />
tordeuses (cochylis et eudémis). Plusieurs produits sont distribués en Champagne avec le Rak<br />
1+2 Mix, Isonet 1+2 et le Biootwin L E (diffuseurs homologués courant 2022, produit<br />
biosourcé, biodégradable en 2-3 ans)<br />
Pour la diffusion active deux boitiers sont maintenant disponibles (Checkmate Puffer LB-EA,<br />
Mister LE). Ces deux produits reposent sur le même principe : vaporisation du bouquet de<br />
phéromones, à intervalle régulier, sur environ 12 h (de la fin d’après-midi jusqu’à l’aube),<br />
créneaux correspondant à la période d’activité des papillons.<br />
Depuis près de 4 ans, en partenariat avec les firmes, nous suivons des dispositifs visant à<br />
vérifier l’efficacité de ce mode de diffusion dans notre contexte champenois (comparatif<br />
Diffuseurs passifs/actifs ou encore diffuseurs actifs/absence de confusion). Malheureusement<br />
les pressions « tordeuses » de ces dernières années ont été très faibles, avec très peu d’activité<br />
de ponte notamment en deuxième génération.<br />
Ces différents essais n’ont donc pas permis de conclure sur l’efficacité de ce nouveau mode<br />
de diffusion, dans le contexte champenois, notamment en situation de coteaux et vallées<br />
encaissées.<br />
Le Comité Champagne va continuer ces suivis et espère pouvoir collecter au cours des<br />
prochaines campagnes les éléments techniques permettant de conclure et de pouvoir valider<br />
les conditions d’utilisation de ces dispositifs (atouts et contraintes).
Pour rappel<br />
Les populations des tordeuses de grappes, eudémis et plus particulièrement cochylis, ont<br />
fortement baissé ces dernières années sans toutefois disparaître. La Champagne bénéficie<br />
d’une historique important d’implantation de la confusion sexuelle (près de 50 % des surfaces<br />
de l’AOC protégées par cette technique depuis 5 ans) qui contribue à une bonne maîtriser des<br />
populations. Les conditions météo peuvent également fortement réprimer ou non l’activité de<br />
vol et de ponte des papillons.<br />
En 2022, la pression tordeuse a été globalement faible. A noter, que, très localement, en<br />
secteurs hors confusion, les populations de la première génération a été plus abondantes que<br />
les deux années précédentes.